Je ne suis qu'une rose flétrie ... Etoile triste ... [PV Roxel]

Le silence. Il y avait un grand silence, je m’étais posté devant la porte que Roxel ouvrit sans aucune peine, laissant embraser le barrage naturel qui s’opposait à notre curiosité. Ou en tout cas, celle de mon compagnon. Moi, je m’étais seulement contentai de faire le guide jusqu’ici et par la même occasion, observer l’état des lieux. À première vu, les habitants de cet endroit n’étaient que la vermine, les araignées, soupçonna quelques rats qui avaient du disparaître en même temps que les provisions de nourritures. L’air ambiant de cette chapelle était incroyablement froide, lugubre. On y voyait quasiment rien. Pour ma part, cela n’était point compliqué. C’est pour cela que je m’avançai le premier à l’intérieur, écartant d’un geste de bras les immondes toiles d’araignée qui virent alors se coller à ma peau encore dépourvue de tissus. Le vent gronda par la porte qui vint se claquer d’une façon brutale, laissant alors trembler les murs sur l’effet du bruit et de la puissance. Nous n’avions point remarqué la puissance étant donné que tout à l’heure, nous étions à l’abri entre les arbres.

Après une immobilisation due au bruit qui résonnait à mes oreilles, je repris ma quête qui était de savoir si je pouvais me réfugier à cet endroit. Plus j’avançai plus je voyais, à ma droite comme à ma gauche, une rangé de sièges et là où je me trouvai, une allée directe vers le chœur de cet endroit. C’était petit, certes, mais nous pouvions au moins être une bonne dizaine avec les bancs. Mon regard se posait de partout, découvrant quelques vitraux brisaient de-ci, de-là, une statue écroulait et éparpillait un peu partout. J’atteignis enfin le centre quand un vent s’engouffra on ne sait où et laissa échapper un bruit tel celui d’un fantôme. Levant le nez, il me fut facile d’apercevoir un trou menant vers l’extérieur, vers le clocher. Posant mon regard de nouveau à ma droite : une porte. La main sur la poignée, la tournant encore et encore, rien n’y faisait, elle semblait bloquée. Un coup d’épaule, puis deux. Elle ne voulait point céder.

La tête vide, je vins m’éloigner de celle-ci de quelques pas, ma main entrouverte, je fis apparaître des ronces composaient d’énormément de roses qui, comme par magie, prirent comme forme, celle d’une épée pour s’y transformer totalement. Oui, j’avais des roses à la main, au départ, mais à présent, j’avais une épée de métal, une assez grande épée, au bout luisant, gravé sur le manche le dessin d’une rose avec une pleine lune. Levant cette arme pour la rabaisser sur l’objet, la porte fut coupée en deux. Réduite à l’état de bout de bois. Mon arme disparue dans un millier de paillettes.

Le passage dégagé, je m’engouffrai dans la petite pièce, une table et une chaise, des escaliers. Un vent froid à glacer le sang. Une vitre brisait laissant entrevoir un lierre. Sur cette simple table, une bougie renversait. Rien d’autre. Mes doigts virent caresser le bois éraillé, et une écharde s’infiltra sans aucune gène pour se loger sous ma peau. Pas un « aille » ne sortit de ma bouche. Je fixai mon doigt, tout simplement. Ma tête devenait vide, cet endroit était déprimant, mais je devais m’en contenter pour cette journée. J’enlevai l’écharde malsaine lorsque j’entendis Roxel me rejoindre et, m’avançant jusqu’à la fenêtre brisée, j’écartai les rideaux afin de cacher le rose qui s’engouffrait au loin.

Ouarf, pour le chauffage faudra repasser. La porte claqua d'un coup violent juste derrière le pauvre garçon qui s'hérissa de tout son être, les tympans légèrement atteint par ce bruit, étant pas très loin donc et en plus les murs tremblant ne le rassurant guère sur l'état de cette chapelle qui pourrait s'effondrer. Soku lui tourna simplement la tête en sursautant, regardant tout autour avant de quitter l'épaule de Roxel d'un bond, allant se faufiler ailleurs, explorant dans son coin. Pas super sympa de laisser seul comme ça un dragon assez .. Peureux, mais bon, il était encore jeune, aussi bien mentalement que physiquement, même si des fois, c'était limite s'il ne ressemblait pas a un vieux qui avait déjà tout vécu ... Bref.

Roxel ne fit plus trop attention au bruit, sachant qu'il n'allait pas arrêter d'avoir peur s'il restait autant en garde. Il avança rapidement dans l'allée, regardant de droite à gauche, puis les vitraux arrivait devant. La plupart était brisé, mais certains, petits ou grands étaient rester intacte, enfin presque. Celui au dessus de l'ancienne statue brisait avait un trou bizarre au milieu, comme si quelque chose avait était lancer a travers, mais quelque chose d'anormal. de toute façon c'était vieux partout, qu'on croirait que c'est rester là depuis des siècles... Du coin de l'oeil, il regarda Chihiro découpait une porte avant d'entrer dans une pièce apparemment pas très rempli. Mais retournons a là où se tenait notre jeune dragon. Il regardait le vitrail, plissant légèrement les yeux sous les quelques très fin rayons de soleil l'éblouissait. Il passa la main sur son regard en essayant de caché cette lumière qu'il n'aimait pas, l'aveuglant. Et il vu quelque chose passait a travers le vitrail, dans un grand fracas. L'ombre d'un homme avec une grande veste noire et des ailes. Quelques instants lui fut accordait, mais clignant des yeux, tout disparut, retournant dans sa tête. Une seule question se posa « Serais - je déjà venu ici ? » mais comme toujours, elle resta sans réponse.

Approchant de l'endroit où était Chihiro, il vu la salle s'assombrir d'un geste du vampire, alors que Roxel plissa légèrement les yeux, modifiant sa vue pour prendre celui d'un reptile pour mieux voir dans le noir, ses pupilles se rétractant, bien que seul les contours du vampire brillait légèrement. C'est vrai que la chaleur corporel du jeune homme n'était pas très élevé, contrairement a lui. Mais bon, tant qu'il le voyait un peu mieux, c'était le principal. Il s'avança légèrement, butant avec un petit crissement contre la table avant de balader une de ses mains enflammée autour de lui, proche de la table avant de replacer correctement la bougie allongé, l'allumant, créant quelques ombres sur les murs. Soupirant en n'ayant rien trouvait d'autres, il se laissa tombait dans un siège de flammes ardentes qui s'immobilisèrent, invitant a s'asseoir Chihiro sur la chaise. Il cligna des yeux, avant de soupirer, relevant la tête.

- Comment as - tu connu cet endroit ? Elle est si .. Eloignée et vieille cette chapelle.

Il ne devait me rester qu’une heure, tout au plus. Le soleil commençait à pointer son bout du nez, ses rayons nous échappaient encore, on ne voyait que le ciel rosi et une pointe de jaune que l’on pouvait dévoiler facilement sa nature : le soleil. Astre de jour, me rongeant la peau sans aucune gêne. Me réchauffant le cœur avant de s’attaquer à ma peau, telle une lotion possédant l’étiquette : corrosive. J’aurais tellement apprécié ressentir son pouvoir réchauffant sur moi, sur mon visage, m’éblouissant les yeux sans jamais les brûler. J’aurais aimé être un oiseau de jour, et non l’oiseau de nuit. J’aurais aimé temps de choses, le peu que je possédai, je ne l’aimais point. Je le haïssais sans trop peser sur mes mots. J’aurais pu passer comme un égoïste à l’époque, mais il était clair que lorsque l’on me regardait, on ne pouvait que se poser des questions à mon sujet. Le pourquoi de mon visage neutre, pourquoi je ne souriais presque jamais, pourquoi ci, pourquoi cela.

C’était bien la première fois que je voyais cette chapelle. Étant tombé complètement au hasard lorsque je marchai en fin de journée. Je ne l’avais qu’aperçu de loin et je n’avais point pensé une minute qu’elle allait m’être d’une grande aide. Il était vrai que c’était étrange de voir un bâtiment abandonné et j’étais d’ailleurs le premier à en être étonné. Je pouvais seulement dire que cet endroit avait été sujet à de nombreuses petites attaques, il n’y avait qu’à observer les nombreuses marques de griffures qui se trouvaient de-ci de-là sur les murs. Les sans-cœurs ? Je ne voyais aucune autre bête capable de faire de telle horreur injustifiable.

- Comme je te l’ai dit tout à l’heure, j’y suis tombé au hasard alors que je recherchai un coin pour me reposer.

Je lâchai le rideau déchiré que je tenais encore en main et, passant à côté de Roxel, sans s’asseoir avec lui, je montai une à une les marches d’escaliers, curieux de savoir ce qu’il y avait encore au-dessus. Je ne fus pas surpris d’y apercevoir deux vieilles cloches fendues, rouillées, ressemblant à deux vieilles amies restaient côte à côte pendant temps d’années. Alors que je voulais m’avancer pour observer les deux ancêtres (sûrement pas plus vieilles que moi), je butais dans un tas de corde d’où la mousse avait incroyablement poussé. Lorsque je vins poser le regard sur le toit, je le vis ouvert. Délabré complètement. Quelques planches tenaient miraculeusement. Un frisson me parcourut lorsque l’une d’entre elles vint s’écrouler juste à côté de moi. De toute façon, je devais redescendre, le ciel commençait peu à peu à perdre sa couleur marine. Dévalant les escaliers et une fois au rez-de-chaussée, je vins m’asseoir sur la chaise poussiéreuse. Je soupirai, plongeant ma tête dans mes bras qui étaient croisés sur la table. Je n’avais pas envie de retourner à ma solitude même si au fond, je savais que c’était mieux ainsi. Je vins étouffer un bâillement sauvage afin de refermer mes paupières.

Après quelques minutes a découvrir encore un nouvel endroit, Chihiro vint s'asseoir sur la chaise indiquait, plongeant sa tête dans ses bras pour dormir surement, comme tous les vampires. Pendant quelques minutes, toute la chapelle resta silencieuse, malgré quelques vents et autres petits bruits non dérangeant. Le dragon réfléchissait, essayait de revoir ce qu'il avait vu plus tôt. Cette personne qui traverser le vitraux c'était qui, et qui était devant ? Car oui, il n'avait pas remarquer mais quelqu'un était a moitié accroupi par terre, regardant dans la direction de celui qui s'était fait éjecté. C'est bizarre, mais il avait une impression familière en voyant cette allure frêle, pourtant cachant une grande force pour avoir envoyer cet être dans le vitraux principale. Sa capuche était relevé sur sa tête, et il ne montrait aucune chose qui pourrait faire qu'on le reconnaîtrait. C'était peine perdue, vu que l'autre était caché d'une ombre dut au soleil qui était derrière. Rien pour l'instant ne lui avait était donné pour savoir si oui ou non il avait était ici, et si oui, que c'était - il passé, avec qui ? Un frisson le parcourra, alors qu'il rouvrit les yeux, redressant sa tête appuyé sur sa main. Il regarda Chihiro, probablement endormit le jour ne passant pas un seul rayon dans la pièce plonger dans la nuit.

Roxel se leva doucement de son siège, sans faire de bruits alors que les flammes revirent s'abrité dans le corps du jeune hybride dans un souffle. Il s'approcha doucement du vampire, se penchant vers lui lentement en clignant plusieurs fois des yeux avant d'ôté sa chemise, comme il l'avait fait et lui posa sur les épaules, couvrant la moitié de son dos, ses épaules et son cou doucement. Il y avait des courants d'air partout, et même un vampire pouvait attraper froid ... Du moins dans sa logique. Se retournant, il avança lentement vers l'escalier, frôlant des doigts les griffures fait sur les murs, dont le par terre qui se composait de planches profondément entaillés de quatre traits ayant laissé des petits bois un peu partout sous les bords de l'escalier. Roxel monta jusqu'en haut, et resta accroché a une griffure. Ses ongles génétiquement modifier pour ressembler de moitié a des griffes rentrés parfaitement dans celle ci. Il retira de suite sa main, regardant bizarrement la marque, le mur. Puis s'approchant des doigts cloches, il frôla celle ci a tour de rôle, avançant vers le fond de la grande salle abritant divers cloches au plafond, les deux plus vieilles vers le début de la salle. Il avançait encore, se couvrant d'une ombre fraîche, alors qu'il jeta un regard vers le ciel qui se couvrait d'un manteau parfois bleu et gris, blanc aussi. Finalement, peut - être qu'il pleuvra encore.

Son pied s'enfonça, et c'est tout son corps qui tomba dans le ... Le trou dans le sol, finissant sa course dans un petit fond d'eau surement accumuler par le toit ouvert. Il y avait deux trous, un au plafond et un qui descendait jusqu'où était tomber l'hybride. Quelques planches et poussières lui tombèrent dessus, son premier réflexe, regardait autour de lui... Et il croisa des yeux. mais pas réel, cela se voyait. C'était ... Les siens, aussi vitreux qu'il ne l'avait jamais vu, pleurant toutes les larmes qu'il pouvait. Ce fut un court instant, puis il sortit, l'hybride réellement tomba là sortit du trou, les sourcils froncés. Décidément, il y avait un passage de lui dans cette chapelle, important même. Il souleva son pied, ayant vu quelque chose d'accrocher. Un papier, enfin un livre, poisseux, qui ne l'intéressait guère. Il le posa un peu plus loin, vers le plafond, faisant vibrer a nouveau depuis longtemps les cloches, alors que chez l'hybride cela provoqua un sursaut, se retournant en levant la tête puis la rebaissant vers quelqu'un en veste longue noire qui courait aussi vite qu'il pouvait. Un rugissement, puis il tourna encore la tête pour se voir, en forme dragonienne griffait le mur pour passer, dans un spectacle d'élégance sauvage et brutale marquant les murs pour ensuite en revenir a sa forme humaine, griffant toujours les murs en arrachant des bouts de bois en retirant ses ongles du mur, courant vers la direction de l'inconnu les poings entourés de feu, s'apprêtant surement a frapper avec violence celui qui s'était échappé.

Le rugissement lui résonna en écho dans la tête avec les cloches sonnantes alors qu'il s'écroula a genoux au sol, la tête entre les mains pour essayer de fuir ce bruit qui lui donnait un mal de crâne horrible. Vous savez, quand quelque chose vous tiraille, ça arrive au moins une fois dans la vie, bah ici c'était pareil. Et c'était tellement fort qu'il versa une larme en serrant les mâchoires. Il n'avait jamais entendu de cloche avant toutes celle ci, et plus les bruits de fissures en plus c'était surement insupportable, surtout pour l'ouïe fine qu'avait presque tout les animales. Il avait peur aussi, peur de ce nouveau bruit qu'il découvrait dans toute sa grandeur. Il n'osait même plus bougeait, compressant sa tête entre ses mains, celle ci sur ses oreilles pour atténué le mieux possible, le temps qu'il cesse. Il ne pensait même plus a ce qu'il venait de voir, le bruit dans sa tête devenue trop grand.

La pièce était très poussiéreuse et parfois, il m’arrivait d’éternuer. La table en était pleine, la surface entière était recouverte et je n’avais pas pris le temps de tout enlever. Je commençais à fatiguer. Le soleil gagnait peu à peu le ciel, je n’avais pas besoin de regarder à travers une vitre pour m’en apercevoir. Je me sentais déjà plus faible que d’habitude, tout comme chaque matin, chaque midi et chaque après-midi. Je devais ainsi vulnérable, en proie à la mort, mais j’en ressortais toujours vainqueur. Lorsque le zénith approchait, mes paupières battantes m’offraient alors un paysage comme je l’avais laissé le soir précédent. J’étais toujours en vie et rien ne semblait vouloir m’achever. Rien, absolument rien. Ma vie ne valait rien. J’en étais conscient. En fait, je demeurai un simple parasite intouchable. Une vilaine bactérie qui aucun antiseptique, aucun stérilisant ou désinfectant aussi puissant soit-ils ne pouvaient détruire. Je ne m’aimais point, j’avais le mal d’être, le mal de la vie.

Un tissu vint me recouvrir, pesant sur mes épaules et m’emportant dans le monde des rêves presque aussitôt. Je voyais alors un enfant, cheveux dorés, le regard exactement pareil, un brin de malice se dessinant sur ses lèvres. Il avait l’air d’un jeune garçon enthousiaste, plein de vie, capable d’en revendre tellement la batterie était chargée. Il riait et semblait s’amuser avec ses parents. Puis, dans un flash-back noir, plus blanc, puis noir, me donnant la migraine, je retrouvai le jeune garçon posait sur son lit, les mains devant son visage humide. Je ne pus m’empêcher de ressentir une douleur énorme au niveau du cœur, car ce jeune bonhomme n’était autre que moi. Le visage flou du départ devenait de plus en plus net à chaque nouvelle bride de passé. Mes rêves étaient toujours autant douloureux. C’était bien le seul moment où je pouvais ressentir de telles émotions. Je vis mon ancien moi grandir dans une autre maison, créant la panique à son bord. Le sang des serviteurs giclait, je les prenais de haut avec mon rang. Ils étaient mes larbins, et moi, le prince. J’étais alors un jeune homme turbulent qui essayait par tout les moyens de combler le creux dans son cœur. Malheureusement, je n’eus que le résultat inverse. Je partis de chez moi ou du moins, je devinais la fin car un bruit de plancher craquant, de cloches sonnantes me réveilla en sursaut. Je sentis la chaise trembler et se craquer. Me retrouvant alors allongé sur le sol de tout mon long. Toussotant alors, déchirant presque mes poumons avec autant de poussière envahissant mes sinus.

Me redressant, je donnais un coup sur mon pantalon, retirant alors par la même occasion le haut de Roxel pour en faire de même. Le mettant sur mon bras, je grimpais les escaliers branlants, évitant un petit trou qui se forma sous mon pied. Lorsque j’arrivai enfin en haut, je fus légèrement éblouit par le ciel qui montrait son bout de son nez par le grand trou au plafond. Je m’avançai alors dans le bruit infernal de chacune des cloches, et, sans demander mon reste, je créai des tonnes de ronces qui envahirent les murailles de fers pour les empêcher de créer encore plus de boucan. Un peu plus loin, dans un trou, je retrouvai la personne que je recherchai, tremblante, dans une position que j’avais connu auparavant. Lorsque je le regardai, je me voyais à sa place. Mon cœur ne faisant qu’un tour dans ma poitrine. Je chassai mes idées noires.

Je sautai dans le trou et une fois engouffrait à l’intérieur, je le pris dans mes bras comme on aurait pris un enfant, pour ma part, Roxel en était un. Je plaquai alors mon torse nu contre le sien, dans ces moments-là, le contacte entre deux personnes étaient la solution, j’appliquai bêtement ce que j’avais appris. Ma tête dans le creux de son cou, je vins lui chuchoter des paroles apaisantes comme « ça va aller », « tu n’as plus rien à craindre », ou encore « je suis encore là ». La proximité entre son cou et mes crocs était tellement proche que mes battements de cœurs s’accélérèrent, devenant comme des poignards, me créant une douleur à cet emplacement. Je le repoussai légèrement, me remettant debout, la tête dans mes mains. Je remettais par la même occasion sa chemise sur ses épaules et je redescendis en courant jusqu’à être au rez-de-chaussée. Retournant dans la pièce de prière, toujours la tête dans mes mains. Je ne voyais pas où j’allais, je me cognai donc à tous les bancs qui se trouvaient sur mon chemin. Je finis par trébucher, m’écroulant à nouveau sur le sol gelé dans un grand brouhaha. La poussière monta dans la pièce et redescendit doucement. Les yeux encore rouges, je combattais de nouveau contre ma bête intérieure. La nuit avait été sèche et mon moi intérieur se rebellait en vue de la journée de sommeille qui s’annonçait …

Encore, quelqu'un près de lui, et la même personne, encore une fois. C'était la seule qui l'avait pris ainsi plusieurs fois depuis son existence, enfin du moins quand il s'était réveillé encore une fois sans rien pouvoir reconnaître encore une fois, ou pour la première fois. Tout était si floue qu'il ne voulait plus rien lâcher, la peur au fond de lui grandissant a chaque fois, comme une grande balle de feu tournoyante qui grossissait a chaque blessure. La peur de tout reperdre surement, de ne plus rien avoir sous les pieds pour se soutenir au dessus du vide. Si tout cela s'écrouler encore, que faire cette fois ci. S'il savait, il recommencerait tout. S'il avait cette possibilité, il se tuerait pour tout recommencer, comme un phénix qui renaît de ses cendres. Mais cela lui était impossible, alors il continuait a courir sur ce chemin de bosses et de trous, comme si de rien n'était. Les mots de Chihiro l'atteignirent profondément, fermant les yeux en libérant ses oreilles pour apprécier le silence qui s'était installer depuis quelques secondes. Mais cela ne dura pas très longtemps, Roxel sentit le rythme cardiaque de Chihiro s'accélérer, au moment où il le repoussa légèrement, se remettant debout pour fuir a nouveau, comme dans la forêt. L'Hybride ne se posa même pas la question qu'il se mit a courir en remettant sa veste qui s'accrocha a un bout de bois, le faisant arrêter soudainement alors qu'il le brûla d'un coup de flammèche, se libérant pour poursuivre le vampire.

En arrivant, il l'entendit tomber, parmi un nuage de poussière qui s'éleva parmi les rangées. Le vent soufflait dehors encore et la porte commençait a ne plus tenir contre le fait de s'ouvrir, laissant entrer le soleil, ce qui serait mauvais pour le vampire. Le Dragon visa en a peine une seconde les poignées de porte d'une lame de feu qui se transformait peu a peu en chaîne rapidement, s'entrelaçant avec les deux poignées en resserrant au maximum les battants. Des flammes aussi furent tirés juste en dessous des pieds et de la tête du vampire, avant qu'elle ne forme un cercle dans lequel le Dragon rentra en courant, les flammes ardentes formant comme une cloche autour d'eux. Le dragon se laissa tombait a genoux a côté de Chihiro, le prenant par les épaules pour le tournait face a lui et le regardait bien en face. Il resserrait légèrement ses mains en fixant les yeux rouges, se rappelant du moment ou son lion était intervenu. Mais il ne pouvait pas libérer la porte, au risque de laisser le faible mais soleil entrait et touchait Chihiro. Les flammes autour d'eux servait a renvoyer la lumière des vitraux cassait, reflétant ainsi toute les sources de danger ailleurs.

De toute évidence, Chihiro devait cacher quelque chose pour s'empêcher de mordre quelqu'un comme ça, alors que certain ne s'en empêchait pas, au contraire même... Mais Roxel s'en foutait légèrement beaucoup en faite de ce qui pourrait lui arriver, c'est pour ça qu'il serra Chihiro jusqu'à lui en faire craquer les os contre lui, comprenant la douleur qu'il devait supportait, et le reste du temps qu'il devait passer seule, quelque part.

J’étais soumis à une douleur infernale. Mes mains encadrant ma tête des deux côtés, bouchant alors mes oreilles, j’avais l’impression que tout cela allait exploser. Ma bouche entrouverte devenait sèche, tellement sèche que je dus avaler ma propre salive, mais, sans aucun espoir de m’hydrater. Je laissai alors apparaître mes crocs de vampires bien pointues, touchant alors le sol, car j’étais en ce moment même sur le ventre, mes muscles se contractants sous le poids immense de la douleur. J’étais sujet à plusieurs lancements dans mon estomac et dans ma tête, j’entendais des voix hurlant mon nom à s’en faire éclater les cervicales. C’était un bruit fort désagréable, aigu et j’en devenais presque fou. Je me soulevai un peu, mais je retombai presque aussitôt. Je manquai de plus en plus de force, et cela était logique.

Je ne fus pas surpris d’apercevoir un feu se propager autour de moi et de voir surgir de n’importe où, le jeune Roxel. Il vint me prendre dans ses bras, je ne pouvais point y résister, j’étais trop faible pour cela. Je sentis mes os craquer sous le poids de son câlin, et je ne fis aucun bruit plaintif, je me contentai de le laisser faire. Ma tête se trouvait tellement proche de son cou que je crus en perdre la raison. Je refermai mes yeux après avoir vu les siens, ayant honte d’être ce que j’étais. Je n’appréciai guère que l’on me voit dans cet état. Je n’aimais point laisser la bête qui se logeait en moi, prendre le dessus et blesser ce que j’appréciais. Je vins malheureusement loger ma tête dans le creux de son cou. Respirant alors l’odeur qui s’émanait de ce si petit recoin croquant. Un moment d’inattention et paf, je me retrouvai en train de lui lécher son petit cou, rapprochant enfin mes crocs aiguisés de sa chaire et, alors que j’allais pénétrer à l’intérieur, je sursautai et je vins repousser assez violemment Roxel.

Me redressant, j’observai mes mains tremblantes qui avaient servi à le serrer encore plus fort pour ne point qu’il s’échappe. Je tremblai de partout et mon regard semblait perdu on ne sait où. J’étais effrayé par cette partie de moi-même. Je ne voulais pas, et je répétai inlassablement « non », me couvrant de nouveau les oreilles avec ses deux mains. J’étais debout face à lui, je me pliai et me redressai. Je ne savais plus où j’en étais. Les yeux rouges, livides, ne me permettaient plus de voir, je pleurai. Je pleurai réellement. Je ne me comprenais plus. Pourquoi hésitai-je temps aujourd’hui ? Pourquoi ce personnage-là me tenait tant à cœur ? Je ne le connaissais presque pas et lui non plus ! Je traversai les flammes qui me barraient la route. Me brûlant alors les genoux, je voulus sortir de cette pièce, mais la porte semblait bloquée. Je hurlai juste avant de m’écrouler de nouveau sur le sol, inconscient …

De drôle de sensation se succédèrent dans le corps de Roxel, ainsi que dans sa tête, mais avant tout, celui de vouloir garder son calme, le calme lui même essayant de se frayait un chemin parmi tout ce brouhaha, ce mélange d'un peu de tout qui ressemblait a un grenier qui aurait était rempli de chose au fur et a mesure des années. Colère, haine même, peur, tristesse, douleur, joie en même temps, cela faisait un beau mélange de tout, mais bien sûr il en existait bien d'autres qu'il avait honte d'avoir en lui, ne sachant en plus pas d'où cela venait. Ne pas savoir d'où venait ce genre de chose était déstabilisant, surtout pour un jeune comme lui, pas encore arriver a l'âge adulte, majeur. Bref, c'était quelque chose difficile a assumer, mais il l'effaçait peu a peu de lui, se "purifiant" de ces sentiments qu'il prenait malsain, même si au fond il était ... naturel ? Non, pas là, pas dans cette condition. Quand il sentit la langue de Chihiro passait sur son cou, il se retenu en serrant les poings de se débattre comme un fou, de pleurer, et de rougir, tout ça en même temps. Pourquoi ? La mémoire du corps peut - être. Mais Chihiro le repoussa assez violemment, mettant fin a cette torture intérieur.

Le vampire se remit a se comportait pas droit, enfin il se tordait, et les larmes qui tombèrent atteignirent Roxel comme un poignard dans plusieurs parties du corps. Il avait envie d'absorber toute la douleur du vampire pour le soulager de ce poids qu'était sa partie "étrange", "anormal", tout comme la partie "animal" de lui même. Il traversa les flammes que Roxel stoppa, mais renforça celle qui barrait la porte. Il faisait jour dehors maintenant, et il savait que s'il y allait cela lui causerait une douleur de plus, encore une. Il hurla, le Dragon réagit mal a ce cri, il voulu s'enfuir, reculait, mais non, a la place il se "téléporta", enfin courut extrêmement vite vers lui, le rattrapant délicatement dans ses bras en reposant un genoux a terre. Il était inconscient. Mais quand il se réveillerait, ou même a l'instant même il aurait mal, peut - être. Roxel prit doucement la tête de Chihiro en le remontant, posant ses deux genoux au sol. Il cala l'épaule du vampire contre son torse, passant sa main dans sa nuque pour lui appuyait sur un endroit bien précis de la mâchoire afin de l'ouvrir. Portant son autre main, il ouvrit sa bouche en dévoilant ses crocs d'hybride, ses canines longues d'environ 2 ou 3 cm qui lui faisait des fois atrocement mal qu'il en saignait. Il enfonça sa pointe acéré dans la peau de son poignet, il perça la couche frêle de chair a la verticale sans remords, ni même expression de douleur, le sang affluant directement alors qu'il plaça celui ci juste au dessus de la bouche de Chihiro, le laissant couler dans sa gorge.

Le sang coula jusqu'à qu'il se sente mal, vidé, mais il savait très bien comment compensait ce manque assez important chez son âge. C'était ... C'était un prédateur après tout. En contractant ses muscles, il arriva a soulever Chihiro malgré que ses pieds traînait encore a terre, et le traînait jusqu'à la salle où il était plus tôt, tremblant légèrement alors que son sang continuait de couler sur la chemise du vampire. Il le déposa allongé sur la table. Il n'en aurait pas pour longtemps a revenir, du moins il était sur de revenir avant qu'il ne revienne. Enlevant a nouveau sa veste, il la déposa sur le torse de Chihiro, un léger sourire sur le visage.

C'est sur ces mots qu'il partit sans bruit comme une flèche vers la forêt, cherchant n'importe quel son, sensation de pas pour fonder sur la pauvre créature. Son instinct prit le dessus, alors que ses yeux cherchèrent une ombre, quelque chose a perforait. Ses yeux se rétrécirent légèrement tout comme ses pupilles qui se mirent légèrement a trembler. Il entendit des cris aiguës et tourna directement dans cette direction. Il vu une fille, puis un mec derrière. Il lécher ses lèvres en gardant sa langue hors de sa bouche, un couteau suisse a la main alors qu'il avait l'odeur d'un vulgaire porc sur lui, mais un être porteur de sang pour Roxel. Dans un bond, il lui sauta a la gorge, l'égorgeant vif avant de retomber les pieds par terre, la gorge dans la gueule pendant que tout le sang couler dans son corps. Une fois légèrement revigoré, il laissa tomber l'animal pour marcher vers la petite, se penchant vers elle toujours la bouche ouverte, du sang sur les pointes de ses crocs. Une gifle partit, et elle se mit a courir a nouveau mais en contournant le Dragon. Il ne réagit pas vraiment, se redressant juste en la suivant du regard... Après tout, sa joue était rouge mais il en avait l'habitude.

Il revient a la chapelle, ralentissant vite l'allure en se ramassant devant la porte qui lui claqua dedans dans un coup de vent violent. Il se releva, puis trottina vers l'endroit où il avait laissé Chihiro. En entrant dans la salle, il le regarda longuement, appuyé contre un mur griffé. Il avait l'air d'un ange quand il dormait, mais le hurlement lui résonnait toujours dans la tête, comme une mélodie insoutenable. Le Dragon serra les mâchoires, avant de soulever le vampire, surement mal installer et de s'asseoir par terre. Il remonta ses genoux, posant le dos de Chihiro sur son torse et ses bras sur ses cuisses. Il posa sa tête contre l'épaule du vampire, le prenant dans ses bras en le serrant doucement, versant quelques larmes qui lui brûlèrent d'abord, la joue encore chauffé de la claque puis finit par la refroidir. Les petites gouttes rencontrèrent d'un côté la chemise de Chihiro, de l'autre, le pantalon vert de Roxel. Il murmura un « Pardon » en sanglotant, ne pouvant effacer ce hurlement de sa tête. Après tout, c'est de sa faute s'il avait agit comme ça. Son coeur ne pouvait pas le supportait, pourquoi ? Pourquoi chercher des réponses maintenant, il est bien trop tard. Tout ce qu'il fit c'est pleurer en serrant lentement le vampire contre lui, murmurant encore et encore des mots d'excuses.

Le sang. De quoi était bien composé cette substance dont peu d’être en profité ? Principalement d’ « hématie », autrement appelé globule rouge, il y a aussi les thrombocytes, petit bout d’hématie décollaient, de leur nom barbare : plaquette. Les plus importants, les leucocytes, ces petits globules blancs ayant comme fonction de protéger le corps. Je vous aurais bien fait un topos là-dessus cher lecteur, mais cela prendrait plus de lignes et de temps. Si nous devions faire une liste complète sur le sang, on pourrait ajouter l’eau, les histoires de coagulation, les cailloux sanguins et tout le tralala composant cela. Le sang. The Blood en anglais. Berçant temps de mystères. Que sommes-nous sans le sang ? Rien, absolument rien. Nous avons besoin de cela pour faire battre notre cœur, envoyant alors du sang dit hématosé et non-hématosé, riche en dioxyde de carbone ou en oxygène, parcourant alors tout le corps par les capillaires sanguins, les veines. Allant jusqu’à envahir les cous tendres, appétissants. Voilà ce qu’appréciaient les vampires. Mais moi, je n’aimais point se genre de chose. Je ne m’aimais point, j’aurais tellement aimé naître dans une famille différente. Malheureusement, ça n’avait pas été le cas. J’aurais temps aimé pouvoir me nourrir d’autre chose, boire de l’eau, et pouvoir vivre face au soleil. Le sentir réchauffer ma peau froide, porter des lunettes de soleil, bronzer … Mais j’étais une créature de nuit. Et cela m’était interdit. Je n’allais pas bronzer, mais plutôt griller et ne devenir plus que poussière. M’élever en fonction du vent, envahir quelques endroits, mais être libre.

Je venais de tomber à terre, ma respiration était rauque, et je devais suer énormément. J’avais sûrement de la fièvre, beaucoup de fièvre. Mais alors que je me sentais partir, la bouche sèche, quelque chose de chaud, très chaud, d’agréable, ayant un goût sucré envahit et fit frétiller mes différentes glandes salivaires. Ma parotide, ma sublinguale et ma sous-maxillaire redécouvraient le goût merveilleux du sang. L’odeur du sang envahit la pièce. C’était comme être bercé dans un berceau de verre, rempli de lins, bercé dans une douceur extrême. Je me sentais apaisé. Après la pluie venait le beau temps. Je ne pleurai plus et j’affichai un très léger sourire. Presque invisible. Je m’endormis dans les bras de Morphée. J’étais comme déconnecté du monde extérieur. Je nageai dans un monde rose, si l’on pouvait dire. Mon passé re défila, mais au ralenti, laissant passer que les bons moments, comme une passoire laisserait passé que la fine terre, celle qui était toujours douce.

Mon rêve s’acheva en douceur. J’ouvris mes lourdes paupières, les faisant papillonner. L’image encore floue, je pouvais aisément découvrir la personne qui me tenait dans ses bras. Son odeur et celle du sang. J’écarquillai grand les yeux, il pleurait. Je lui attrapai les épaules, l’éloignant de moi afin de pouvoir lui attraper le poignet et découvrir le massacre. J’hésitai entre lui crier dessus et le prendre dans mes bras pour le consoler. Je le voyais pleurer, ses joues étaient plus qu’humides, inondées. Mon regard rouge était toujours présent, mais ma bête avait disparu, heureux d’avoir gagné fasse à ma faiblesse. Je lui lâchai le poignet et s’en réfléchir, je le pris dans mes bras. Le collant contre moi, ma chemise s’envola de mes épaules et retomba sur le sol. Ma main sur le dessus de sa tête, je l’obligeai à se loger dans le creux de mon cou. Mes yeux fermaient, j’essayai de le consoler.

- Qu’as-tu fait ? Tu aurais dû me laisser mourir …

Roxel sentit bien Chihiro se réveiller, le tenir par les épaules. Mais il ne réagit pas, même pas quand il lui prit le poignet, le regard sur lui. Il n'arrêtait pas de pleurer, l'image du vampire devant lui floue a un point qu'il n'en voyait même plus l'expression de son regard, s'il était énervé, ou au contraire souriant, il ne voyait plus rien. Ses yeux s'ouvrirent en grand quand il fut coller a nouveau au torse du vampire, sa main sur sa tête en se logeant dans le creux de son cou. Mourir ? Oh grand dieux, s'il l'avait laisser mourir, que .. qu'aurait - il fait ? Il aurait surement était .. Enfin il préférait pas y penser, il mit ses mains sur le torse de Chihiro, fermant ses doigts doucement en laissant ses larmes couler sur son cou, clignant des yeux.

Ce qui le choqué le plus en faite, c'est de comment il pouvait faire du mal aux gens qu'il rencontrait. Mourir, Chihiro, voir Chihiro mourir ... Il aurait préféré mourir a sa place tiens. Tiens, cela lui rappelait quelque chose ... A nouveau. Mourir ? Il se voyait sur un lit d'hôpital, les yeux clos avec des cernes sous les yeux, il entendait le bruit de la machine qui marquer un long trait vert, droit, sans fin. Cela lui fit bizarre de se voir avec ce masque sur la bouche, bien qu'il avait arrêter de respirer. Que son coeur avait arrêter de battre. D'ailleurs, en pensant que Chihiro aurait put être a cette place, dans le même état son coeur manqua un battement, alors que les sanglots continuèrent de plus belle.

- Tu ... rigole ! J'aurais jamais put. J'aurais préférais crever a ta place tiens.

En faite, c'était bizarre ce qu'il venait de dire, et de penser, mais c'était la vérité. Il agrippa la chemise un peu plus, se rappelant de comment il avait égorger cette homme, si facilement, pour récupérer son sang en plus ... Il frissonna, ayant une petit envie de vomir au creux de l'estomac. Mais bon, de toute façon il était condamné a mourir celui ci, d'un jour ou l'autre, mais surement pas par mort de vieillesse... Roxel renifla légèrement, sentant en même temps l'odeur de roses de Chihiro qui l'apaisait légèrement.

- J'suis ... Désolé de t'avoir causé tout ça... Je voulais pas.