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| ~ Par un froid matin d'hiver [PV Léo Baskerville & Baba Yaga] | |
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| ~ Par un froid matin d'hiver [PV Léo Baskerville & Baba Yaga] | Dim 15 Jan 2012, 16:16 | |
| On a parfois de la chance dans son malheur, observa Lysandra en regardant l'herbe gelée qui avait brit une curieuse couleur bleutée. La jeune personne se levait seulement, elle avait dormi dans le parc, collée contre sa jument à robe isabelle, au-début elle avait eu très froid, mais la chaleur que le corps de Précieuse avait partagé avec la démone/elfe l'avait vite réchauffée et elle était tombée dans le monde des songes, accueillie dans les bras de Morphée. L'hiver se finissait, mais le froid était bien présent, les plantes s'étaient figées et la végétation semblait tombée dans un coma qui réduisait le parc au silence, la faune dormait encore et quand bien même elle serait éveillée, il aurait été peu probable qu'elle sorte de sa cachette. Tout en observant le paysage, Lysa marchait, ses chaussures à talons lui sciait les chevilles et les orteils, le marché n'ouvrirait pas tout de suite, le ciel était encore sombre il ne devait pas être plus de sept heure.
La jeune blonde bailla discrètement, elle aurait aimé dormir un peu plus mais elle ne tenait pas spécialement à se faire passer pour une sans-abri, bien que ce fut sa situation actuelle ici. Ici... Sanctuary of Heart... Endroit étrange, lieu où elle ne connaissait personne et personne ne la connaissait, en Grèce, elle se serait perdue tout le monde savait qui elle était, mais pas là. En cet endroit elle n'était ni plus ni moins qu'une fille banale, blonde aux yeux rouges habillée d'une ample tunique violette, d'un legging noir et de chaussure à talons noires également. Une bise légère se leva, Lysandra frissonna et serra son gilet en maille qui ne la protégeait pas vraiment du froid présent, pour se réchauffer, elle se pressa contre son affilié qui marchait près d'elle au même rythme, le parc était vide, mais il risquait de se remplir petit à petit, et elle n'avait donc pas beaucoup de temps pour faire un brin de toilette. La veille, la jeune fille avait repéré un petit étang empli d'eau claire, certainement potable - mais elle ne se serait pas risquée à la boire - et elle comptait bien se rafraîchir avec ce liquide. Dès qu'elle arriva près de la mare, celle-ci était gelé en surface, Lysandra soupira et se mit à genou sur le rivage de l'étendue d'eau et cassa un peu de glace avec son poing, le contact avec l'eau gelée lui fit comme une sensation de brûlure sur la peau, elle réprima la grimace qui lui venait et mit ses deux main l'une près de l'autre pour former un puits et fit doucement glisser le dos de ses mains sur la surface avec de prendre un peu d'eau dans le creux qu'elle avait formé. Elle s'était presque aspergée mais elle prit le temps de regarder son reflet dans le miroir aqueux irisé que lui renvoyait ses mains, la seule chose qu'elle pu voir se fut ses yeux rouges, presque injectés de sang, elle se faisait presque peur, et d'un geste qu'elle voulait rageur, s'aspergea le visage, ses cheveux furent touchés par l'eau mais elle n'en avait cure, elle aurait tellement voulu que l'eau face disparaître son regard, lui faire oublier ne serait-ce que quelques instants qu'elle était une démone/elfe, qu'elle n'était plus chez elle et qu'elle n'avait pas réussi à tirer son frère de son coma. Cette dernière pensée la laissa triste et penaude, Précieuse qui s'était abreuvée peu avant, posa son nez contre la joue de Lysandra, celle-ci regarda la jument et s'aida de son encolure pour se relever, une fois debout elle donna une caresse à la belle fjord puis elles marchèrent côte à côte pendant un moment, elles ne faisaient pas de bruit, seule le tacatac régulier des fers de Précieuse et le bruit des talons que portait Lysa venaient perturber le silence pesant qui s'était étendu autours des deux amies. La faune semblait retenir son souffle dans l'attente d'un hypothétique geste qui lui aurait permis de s'attaquer aux deux intruses.
- Tout est si calme...
La mi-elfe, mi-démone ferma ses yeux rubis pour humer l'air frais du matin, soudain elle entendit des bruits de pas proches, mais ce fut trop tard, avant même qu'elle ne se rende compte que quelqu'un se tenait près, Lysandra percuta cette personne. Toutefois elle ne tomba pas mais fut légèrement surprise de ne pas avoir entendu plus tôt le bruit, surtout que le parc était désert.
- Je suis désolé, veuillez m'excusez, j'étais dans la Lune...
Elle rougit soudain, par timidité mais aussi parce qu'elle n'était pas sûr qu'ici on connaisse la Lune, mais bon, elle se reprit et son masque stoïque reprit sa place sur son visage. Bizarrement, elle gardait les yeux baissé par peur d'effrayer la personne qu'elle venait de bousculer. |
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| Re: ~ Par un froid matin d'hiver [PV Léo Baskerville & Baba Yaga] | Mar 17 Jan 2012, 21:37 | |
| [Désolé si c'est un peu court, j'avais pas trop d'inspiration ^^"]
En traversant le portail, Léo se retrouva dans l’île de Sanctuary of Heart. Le jeune garçon était un peu étonner de se retrouver dans une île, alors qu’il était dans la bibliothèque des Baskerville il y avait encore pas si longtemps. Léo regarda autour de lui bien curieux de savoir où il s’était retrouver, il ajusta ses lunettes et marcha pendant quelque temps. Quelque temps plus tard, Léo remarqua qu’il était dans un parc, le froid était encore présent alors que l’hiver allait se finir, mais le jeune vampire ne savait plus vraiment où aller. Comme l’endroit semblait paisible et calme, Léo décida de lire le livre qui avait dans la main quand il a traversé le portail. Il l’ouvrit à la page où s’était arrêté, puis commença à lire tout en marchant. Pour jeune vampire c’était un jeu d’enfant, il avait l’habitude de lire que ce soit en marchant ou en restant immobile. Il marchait tranquillement en lisant son livre, quand il se fit percuter par une mystérieuse jeune fille, Léo avait peur qu’elle tombe, mais au final ne tomba pas. Toute fois, le jeune vampire n’avait pas vu la jeune fille venir et il n’attendait pas a voir quelqu’un ici, alors qu’il ne voyait personne dans le parc. La jeune fille se mit à rougir en disant.
- Je suis désolé, veuillez m'excusez, j'étais dans la Lune...
Léo regarda la jeune fille et remarqua qu’elle baissa ses yeux pour des raisons qu’il ignorait forcément, le jeune garçon ferma son livre, rajusta ses lunettes et de manière très calme, commença à dire.
"Ca ne fait rien, ce genre de chose peu arriver à tout le monde."
Le jeune garçon entendit des bruits un peu plus loin, ne connaissant pas vraiment cet endroit, il se méfiait un peu de tout. Entendant le bruit s’approcher de plus en plus, il sorti son revolver par réflexe et le pointa en direction du mystérieux bruit. Peut après, une silhouette fit son apparition, c’était une personne drôlement âgé et un peu étrange, Léo baissa son arme et encore une fois était parfaitement calme, malgré qu’il ne connaissait rien de cette île.
"Tien ?! Ce n’était qu’une vieille dame au fait."
Selon lui, la jeune fille et la vieille dame n’avait rien de personnes ordinaire, elle avaient sûrement des particularités bien à elles.
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| Re: ~ Par un froid matin d'hiver [PV Léo Baskerville & Baba Yaga] | Mer 18 Jan 2012, 20:33 | |
| La canne de Baba Yaga soutenait depuis longtemps la vieille dame, et jamais celle-ci n’avait flanché. Pourtant, l’hybride n’était pas vraiment légère, et ce vieux bâton moisi par le temps n’aurait normalement pas tenu plus d’un mois avant de se briser et de laisser la tortue à terre. Seulement, ceci n’était pas arrivé. Malgré les mois, les saisons, les lieux, la canne de Baba Yaga résistait à toutes épreuves qui lui était donné de traverser. Dans la nuit, alors que la femme laide ne trouvait pas le sommeil, elle pensait souvent à changer de canne car, rongé par la vieillesse tout comme Baba, ce bout de bois n’allait pas être éternel.
Lorsque la maîtresse des potions décida enfin de jeter sa canne, elle s’empêcha elle-même de le faire tout en se souvenant de la première fois qu’elle avait empoigner le bâton. Ce n’était qu’une vulgaire branche trouvée dans la forêt de Sanctuary, mais cette vulgaire branche avait permis à Baba de garder la tête haute sans trébucher dans tout les recoins de l’île. Il ne fallait pas sous-estimé ce vieux bâton tout comme il ne fallait point sous-estimée cette vieille Baba. Chaque choses ridées par le temps est une relique bourré de force et de sagesse. Cette façon de penser plaisait beaucoup à la mégère.
L’hiver avait enveloppé l’île, et les matins frisquets refroidissaient le dos de Baba Yaga qui se réchauffa en buvant une bonne tisane dans un petit restaurant en ville. Vervaine, son parfum préféré, parce que cela était le parfum préféré de toutes les vieilles et l’hybride ne faisait pas exception à la règle. Tout en ajoutant deux sucres à son infusion, elle caressa de sa main libre les poils doux de son compagnon Nikolaï. Enrobée dans sa cape noire, la femme hideuse avait de nouveau revêtue sa longue robe grise à poix vert, et tout le monde savait combien cette tenue était horrible, d’ailleurs toutes les tenues de Baba étaient horribles, mais il était discourtois de le lui faire savoir. Madame n’avait jamais eu bon goût en matière de mode.
Laissant sa cuillère dans la tasse vide, elle posa quelques drachmes, monnaie du pays, sur la table et laissa sa place à qui la voudra. La vieille femme se laissa aller, car aujourd’hui elle n’avait guère envie d’ouvrir sa boutique. C’est comme ça qu’elle se retrouva au parc, et qu’elle allait être entourée par des familles de vampires, des enfants mages faisant tourner une toupie à l’aide de leurs pouvoirs, un couple dégustant un petit-déjeuner sur une couverture posée dans l’herbe dans peu de temps… . Baba Yaga détestait cet endroit et ô combien elle voulu le quitter rapidement avant d’être encerclée par une horde de créature qu’elle n’aimait que trop peu.
Faisant demi-tour, elle se senti pointée par une arme. Ce n’était pas qu’une sensation, elle était belle et bien en mauvaise posture car un jeune garçon binoclard levait devant la tête de cette tortue un revolver. Qu’avait-elle fait ? Elle ignorait la réponse à cette question.
Le jeune en question, accompagné par une fille au yeux écarlates, abaissa sa machine à tuer ce qui rassura la mégère. Mais le mal était déjà fait, et la vieille était fortement en colère d’avoir pu pénétrer dans cet infâme lieu et pire encore, de s’être fait menacé par un habitant de Sanctuary alors que cette fois elle ne faisait rien d’autre que se promener tranquillement. Les endroits déserts étaient sans aucun doute les mieux, car ce genre d’évènement ne risquait pas de se produire !
- Tiens ?! Ce n’était qu’une vieille dame au fait.
- « Une vieille dame » ? A qui crois-tu donc parler aussi familièrement, petit insolent ! Et qui t’as permis de menacer une femme sans défense ? Petit vaurien, chenapan ! Et tu ne t’excuses pas envers ton aînée ?
Puis la moche se tourna vers la fille qui accompagnait le garçon :
-Et toi, ne restes pas planter là sans rien dire ! Fripouille ! |
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| Re: ~ Par un froid matin d'hiver [PV Léo Baskerville & Baba Yaga] | Jeu 19 Jan 2012, 17:57 | |
| - Ça ne fait rien, ce genre de chose peu arriver à tout le monde.
Lysandra releva la tête, les joues toujours un peu plus rosées qu'à l'accoutumé, exposant ses yeux grenats aux monde extérieur cherchant ceux de la personne qu'elle avait bousculé, et elle rencontra une paire de verres de lunettes, des bruits de pas se firent entendre non-loin de là. Soudainement, le jeune homme portant des lunettes pointa son revolver vers le nouvel arrivant. C'était une dame qui semblait d'un âge respectable, des cheveux blancs, elle portait une robe grise avec des pois verts, certainement une mode très ancienne.
- Tiens ?! Ce n’était qu’une vieille dame au fait. - « Une vieille dame » ? A qui crois-tu donc parler aussi familièrement, petit insolent ! Et qui t’as permis de menacer une femme sans défense ? Petit vaurien, chenapan ! Et tu ne t’excuses pas envers ton aînée ?
La jeune fille fut surprise voir presque choquée de voir la réaction de la vieille - bien que celle-ci ai de bonnes raisons de s'en prendre au jeune homme qui l'avait mise en joue - même si son visage ne laissait rien paraître elle était dans une sorte d'état de transe qui lui permit le temps de quelques instants observer les deux arrivants, à la vitesse de l'éclair son esprit les regarda et mémorisa les informations. Le jeune garçon était un peu plus petit qu'elle, ses cheveux étaient noirs mais ils tiraient sur une magnifique couleur violette, ses yeux étaient d'un beau noir et il possédait un revolver, il était donc potentiellement dangereux même si sa tête de premier de classe ne le faisait pas passer pour un criminel. La personne plus âgée, était emmitouflée dans une cape, et une forte odeur émanait d'elle, depuis quand ce corps fripé n'avait-il pas vu de douche ? Un certain temps c'était sûr... En baissant les yeux, Lysandra fut surprise de voir un chat noir ayant l'air plutôt nerveux, presque prêt à leur bondir dessus même... L'affilié de cette vieille ? C'était possible, le chat semblait avoir aussi mauvais caractère que sa maîtresse.
- Et toi, ne restes pas planter là sans rien dire ! Fripouille !
Fripouille ? La jeune blonde ancra son regard dans celui de la vieille, il n'y avait rien à voir dans ces yeux là, des petits yeux entourés de peau fripée, elle crut lire du sadisme dans ce regard qui avait traversé les âges. Quoi qu'il en soit, on ne traitait pas la jeune fille aux yeux rouges de tout les noms impunément mais en général Lysa n'était pas d'une nature rancunière et d'ici une dizaine de minute elle aurait oublié, mais elle ne souhaitait pas oublier, même si ce mot n'était pas réellement méchant, elle ne voulait pas le faire partir de sa mémoire. Avant de répondre quoi que ce soit, la sang-mêlé jeta un rapide coup d'oeil aux alentours histoire de s'assurer que sa liée n'était pas loin, et en effet, la jument les regardait les oreilles couchés vers l'arrière, elle n'était pas rassurée et le fait qu'elle tapait du pied montrait le fait qu'elle voulait charger, d'un geste de la main, Lysandra invita sa lié à les rejoindre, ce que la jument fit en marchant lentement, les oreilles toujours couchées, sur la défensive. Puis, Lysa regarda la vieille droit dans les yeux, et répondit de sa voix blanche habituelle, cette voix agaçante et monotone.
- Madame, si je puis me permettre, nous ne vous avons fait aucun mal. Vous n'avez pas le droit de nous agresser sans raison.
Lysandra regarda le jeune homme qu'elle avait bousculé, puis elle regarda encore la vieille, les bras croisés sur la poitrine attendant une réponse de sa part ou bien une pique lancée par le jeune garçon, elle s'attendait d'ailleurs à recevoir un "Quelle insolente !" ou encore un "Petite empotée !" et pour une raison inconnue, elle s'en amusait d'avance.
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| Re: ~ Par un froid matin d'hiver [PV Léo Baskerville & Baba Yaga] | Jeu 26 Jan 2012, 23:29 | |
| Léo avait pointé son revolver par pur réflexe sur une vieille dame, malgré qu'il est baissé son arme juste après, la vieille dame n'allait pas laisser passer cette erreur aussi facilement.
"« Une vieille dame » ? A qui crois-tu donc parler aussi familièrement, petit insolent ! Et qui t’as permis de menacer une femme sans défense ? Petit vaurien, chenapan ! Et tu ne t’excuses pas envers ton aînée ?"
La vieille était drôlement énerver, mais ses propos ne touchait en aucun cas le jeune vampire, au contraire il resta parfaitement calme et d'un autre côté, il en profita pour bien voir à quoi ressemblait la jeune fille et la vieille dame. La jeune fille était un peu plus grande que lui, ses cheveux étaient blonds, elle portait une robe un peu sombre et ses yeux étaient d'un rouge écarlate. Bizarrement, quelque chose lui disait que la jeune fille n'avait pas encore montré de quoi elle était capable. Quant à la vieille dame, elle émanait une odeur insupportable, elle portait une cape et tout ce que Léo pouvait tirer comme conclusion, c'était qu'elle avait un très sale caractère pour une femme aussi âgée. Il remarqua aussi qu'elles étaient toutes les deux accompagnée d'un animal, la jeune fille était avec une jument et la vieille dame était avec un chat noir.
"Et toi, ne restes pas planter là sans rien dire ! Fripouille !"
La phrase de la vieille dame attira l’attention du jeune vampire, il ne comprenait pas vraiment pourquoi elle s’adressait de cette façon à la jeune fille, d’autant plus qu’elle y était pour rien dans tout ça. La jeune fille aux cheveux blonds lui répondit à son tour d’une voix monotone et agaçante.
"Madame, si je puis me permettre, nous ne vous avons fait aucun mal. Vous n'avez pas le droit de nous agresser sans raison."
Léo regarda la jeune fille qui croisa ses bras sur sa poitrine, puis il regarda la vieille dame qui commençait à éveiller les nerfs du jeune garçon. Toujours en restent calme, il ajusta de nouveau ses lunettes et s’adressa à la vieille dame.
"Pour commencer, je parle de la même manière avec n'importe qui, qu'il soit noble ou non. Pour suivre, j'ai sorti mon revolver par un simple réflexe, estimez-vous heureuse que je n'ai pas crée d'illusions par erreur. Et pour finir, je ne vois pas en quoi cette jeune fille serait concernée par ce qui vient de se passer. Conclusion: Chercher d'abord à savoir quel genre de personne se tien devant vous avant de la juger impunément."
Des phrases comme celle-ci, il pouvait en sortir des tonnes et des tonnes, mais d'un autre côté. Il avait visé le milieu, Léo ne connaissait pas vraiment la jeune fille et il ne voyait pas tellement en quoi le fait qu'il est pointé son arme sur la vieille dame, serait une raison pour l'agresser aussi, car Léo l'avait fait de son gré et non pour quelqu'un d'autre. Soudain, quelques minutes plus tard, des tic tac venant de sa montre commençait à se faire entendre de plus en plus. En général quand la montre gousset de Léo faisait des bruits aussi forts que cela, c'est qu'elle avait localisé la zone où il était situé d'un rayon d'environ 20 Km et qu'à partir de ce moment-là, il pouvait voir les événements passé de ce lieu. Mais pour l'instant, il n'en avait pas tellement besoin.
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| Re: ~ Par un froid matin d'hiver [PV Léo Baskerville & Baba Yaga] | Mar 31 Jan 2012, 11:53 | |
| La vieille hybride attendait une réponse des deux sauvageons qui la dérangeaient fortement et qui avaient croisés sa route. Si l’un d’eux était un vendeur de tableaux ou un fou de potions, peut-être aurait-elle engagée une conversation amicale, bien que l’amabilité de Baba Yaga était rare, elle n’en restait pas moins quelqu’un qui savait montrer sa politesse lorsqu’il y avait quelque chose à gagner derrière tout ça. Mais, le mioche et la blonde ne pouvait pas apporter grand-chose à la mégère. Elle continua donc à les fusiller d’un regard peu convivial.
Il fallait être bien impétueux pour prononcer le mot « vieille » devant Baba Yaga. Pour sa part, elle était jeune et pleine d’énergie : bien plus jeune que beaucoup de ce monde magique dont l’âge et l’apparence n’étaient en rien liés. Le chat de la fourbe semblaient furieux tout comme elle, et ses poils foncés devenaient hirsutes à chaque respirations des deux individus, comme si la bête attendait de bondir et d’enfoncer ses crocs dans la chair de ces jeunes. Mais tant qu’il n’avait pas le signal de Baba, l’animal restait en retrait bien que sa garde ne fut pas baissée pour autant.
- Madame, si je puis me permettre, nous ne vous avons fait aucun mal. Vous n'avez pas le droit de nous agresser sans raison.
Au son de cette voix, Baba tourna le regard vers la fille au yeux rouges. Cette phrase avait été dit sur un ton tellement monotone que la vieille ignorait les intentions de la jeune demoiselle. Peut-être s’en fichait-elle royalement d’avoir importunée l’une de ses aînées ? Tout ça déplaisait à Baba, et elle voulu répondre sec lorsque le garçon aux cheveux à reflets mauves lui coupa la parole.
- Pour commencer, je parle de la même manière avec n'importe qui, qu'il soit noble ou non. Pour suivre, j'ai sorti mon revolver par un simple réflexe, estimez-vous heureuse que je n'ai pas crée d'illusions par erreur. Et pour finir, je ne vois pas en quoi cette jeune fille serait concernée par ce qui vient de se passer. Conclusion: Chercher d'abord à savoir quel genre de personne se tient devant vous avant de la juger impunément.
Le vieux croûton délabré releva son dos courbé de sa canne en foudroyant par pensées ces gamins. La figure seule de cette femme aurait fait fuir n’importe qui à ce moment là, car ses sourcils froncés donnaient d’avantage de rides à son visage laid et répugnant. A chaque fois qu’elle ouvrait la bouche en voulant répliquer, elle laissait apparaître ses dents jaunes, voir noires, pourries par le temps et le peu d’hygiène qu’elle leurs consacrait. L’halène n’était pas des meilleures, et lorsqu’elle se rapprocha des deux enfants, les inconnus pouvaient certainement sentir l’odeur délicate de cette bouche répugnante qui pouvait faire tomber en miettes les âmes les plus sensibles ou les nez les plus affinés.
- Tiens, voyons-donc ces mioches à tête d’ange !
Sa voix râpeuse et lente accentuait chaque syllabes aux oreilles de ses interlocuteurs.
- Si fourbe, si lâche. Voilà des gamins qui m’exaspèrent par leur manque d’éducation. Parlez ainsi à vos aînés, il est clair que vous méritez une bonne leçon. M’humilier ainsi, c’est laborieux ! Excusez-vous immédiatement en vous agenouillant, ou coupez-vous la langue !
Sur ces mots, elle ajusta sa cape tout en s’enroulant dedans. |
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| Re: ~ Par un froid matin d'hiver [PV Léo Baskerville & Baba Yaga] | Mar 31 Jan 2012, 14:40 | |
| - Pour commencer, je parle de la même manière avec n'importe qui, qu'il soit noble ou non. Pour suivre, j'ai sorti mon revolver par un simple réflexe, estimez-vous heureuse que je n'ai pas crée d'illusions par erreur. Et pour finir, je ne vois pas en quoi cette jeune fille serait concernée par ce qui vient de se passer. Conclusion : Chercher d'abord à savoir quel genre de personne se tient devant vous avant de la juger impunément.
La demi-démone fut surprise que le garçon eut prit sa défense mais elle reprit son visage impassible, Précieuse s'était posée près de sa maîtresse et observait la vieille d'un oeil mauvais, elle regardait aussi le chat à ses côtés petite boule de poil hérissée ayant l'air fort agressif. La vieille s'approcha un peu plus de Lysandra et du jeune garçon à lunettes, la personne ridée oucrit la bouche pour parler et Lysa put voir les dents de la vieille, jaunes et cariées elle dégageait une odeur de putréfaction, dans quoi ces petites choses d'émail avaient-elles marinés ? Même un cadavre sentirait meilleur osa penser Lysa. Réprimant une grimace de dégoût, la jeune fille passa une main sur la fourrure de sa liée, rencontrant les poils café au lait sous sa paume, elle sentit une certaine sécurité qui lui permit de continuer à soutenir le regard de la mégère qui avait froncé les sourcils ce qui donnait un aspect dur à son visage déjà ridé, un regard qui faisait froid dans le dos et malgré son dos courbé et son allure de mamie inoffensive, elle ne l'était pas et ça la jeune grecque l'aurait parié.
- Tiens, voyons-donc ces mioches à tête d’ange !
La sang-mêlé regarda la vieille sans comprendre, des "mioches à tête d'ange" ? Lysandra eut beau retourner la question dans son crâne cherchant une quelconque pique à lancer contre cette dame mais ne comprenant pas, il s'avérait plus compliqué de dire quoi que ce soit. Lysa remarqua aussi la voix fort râpeuse triant les syllabes, une certaine euphonie théâtrale ne put s'empêcher de penser la jeune demi-elfe.
- Si fourbe, si lâche. Voilà des gamins qui m’exaspèrent par leur manque d’éducation. Parlez ainsi à vos aînés, il est clair que vous méritez une bonne leçon. M’humilier ainsi, c’est laborieux ! Excusez-vous immédiatement en vous agenouillant, ou coupez-vous la langue !
La blonde s'étonna, s'excuser ? Lysa n'avait rien à se reprocher, quand elle avait parlé à la vieille son ton avait été relativement poli et les mots employés n'étaient absolument pas méchant et ne sous-entendait rien. Mais la mamie avait parlé de couper la langue... Il ne fallut pas deux secondes à la démone aux yeux rubis pour concocter une sorte de plan qui irait dans le sens de leur aînée.
- Très bien... Je ne pense pas vous avoir fait du tort et je ne m'excuserais pas, cependant je veux bien faire ce que vous avez demandé.
Lentement, l'héritière des Daïkis rapprocha ses mains formant un puit en les collant, elle baissa légèrement la tête et entrouvrit les lèvres, du sable sortit de sa bouche venant stagner dans la main de Lysa, sauf que la jeune fille ne souhaitait pas vraiment perdre sa langue, ne parlant certes pas énormément, cet organe servait à déglutir chose qui n'était pas des moindres. Laissant juste le temps aux deux personnes présentes de voir ce qu'elle venait de faire, elle aspira le sable et passa sa langue sur ses lèvres histoire de montrer que celle-ci avait reprit sa place. Lysandra n'était pas orgueilleuse mais elle aimait bien créer un effet de surprise parfois, et surtout en montrant sa maîtrise de l'élément sable.
La jeune fille trouvant qu'elle s'était assez donner en spectacle, elle coula un regard vers la seconde personne visée par les paroles de la vieilles femme repoussante. Le jeune homme a l'allure d'intello sortant d'une faculté de lettre, d'ailleurs quand elle l'avait bousculé il lui semblait qu'il tenait un livre... Bien qu'au premier abord il ne semblait pas plus dangereux que la grand-mère, il avait sorti un revolver et avait même parlé d'illusions, et ils n'étaient pas sûr qu'il ait abattu toute ses cartes... |
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| Re: ~ Par un froid matin d'hiver [PV Léo Baskerville & Baba Yaga] | Jeu 02 Fév 2012, 21:55 | |
| Le demi-vampire commençait à avoir les nerfs sensibles, la vieille dame l’avait traité de tous les noms et commençait même à agresser la jeune fille aux yeux écarlate. La vieille dame releva son dos courbé de sa canne en foudroyant Léo et la jeune fille du regard, rien que de voir son visage horrible donner au demi-vampire envie de vomir, Quand t’elle ouvrait sa bouche, on voyait des dents jaune virant au noire, à croire qu’elle ne connaissait pas non plus la brosse à dent.
"Tiens, voyons-donc ces mioches à tête d’ange !"
Des "mioche à tête d’ange", Léo ne comprenait pas vraiment se que la vieille dame insinué par là, le mot qui n’avait fait tiquer était "mioche". La jeune homme ne voyait pas en quoi il était un mioche, il voyait mal ce mot être utilisé dans ce sens là. La vieille dame parlait d’une voix forte et râpeuse en triant sur les syllabes, les oreilles du demi-vampire résonnaient à chaque une de ses paroles.
"Si fourbe, si lâche. Voilà des gamins qui m’exaspèrent par leur manque d’éducation. Parlez ainsi à vos aînés, il est clair que vous méritez une bonne leçon. M’humilier ainsi, c’est laborieux ! Excusez-vous immédiatement en vous agenouillant, ou coupez-vous la langue !"
Léo était abasourdi, s’excuser auprès de la vieille dame le rendait presque malade. Il n’avait rien fait pour être insulté de la sorte et il ne voyait pas en quoi ils l’avaient humilier. Cette histoire commençait à sérieusement sensibiliser les nerfs du demi-vampire, il avait envie de la faire taire une bonne fois pour toute. Et puis il n’allait ni s’excuser, ni se coupé la langue. La jeune fille aux yeux écarlate commença à prononcer des paroles qui n’allaient pas vraiment plaire à la vieille dame.
"Très bien... Je ne pense pas vous avoir fait du tort et je ne m'excuserais pas, cependant je veux bien faire ce que vous avez demandé."
La jeune fille baissa la tête et de sa bouche sortit du sable qui venait stagner dans ses mains, le jeune homme se disait bien que la jeune fille n’était pas une personne ordinaire et il en avait eu la preuve. Dans un premier temps, il remarquait bien que la jeune fille voulait aussi faire taire la vieille dame, mais les paroles de la vieille dame n’allaient pas laisser Léo indifférent.
"Vous savez quoi ? Je me serais bien excuser pour avoir pointé mon arme sur vous si vous n’étiez pas aussi désagréable, vous nous insulté de tous les noms et vous croyez qu’on va s’excuser ?! Franchement ça devient pitoyable."
Pour le demi-vampire, les paroles de la vieille dame commençaient à devenir de plus en plus illogique et si sa continuait, il allait vraiment péter un câble. D’autant plus que les tic tac de sa grosse montre commençait à accumuler sa colère en plus de la vieille dame. Léo mit sa main sur sa paire de lunette, il était prêt à les enlever au premier moment où ses nerfs ne tiendront plus.
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| Re: ~ Par un froid matin d'hiver [PV Léo Baskerville & Baba Yaga] | Sam 04 Fév 2012, 20:42 | |
| Baba scruta les alentours du parc. Si tôt le matin, le seul bruit parasitant les lieux était le piaffement de quelques oiseaux bien courageux qui supportaient le froid de l’hiver. La vieille, les os frigorifiés, aurait préférée être en ce moment même devant un bon chaudron en train de perfectionner l’une de ses merveilleuses mixtures à base d’ingrédients loufoque, au lieu d’être devant ses deux jeunes personnages qui l’irritaient fortement. Mais le destin en avait décidé ainsi, et la vieille chouette ne pouvait faire autrement que de supporter ces gamins.
L’une des principales choses que détestaient la maitresse des potions était les gens peu sympathiques. Et comme elle trouvait tout le monde peu sympathique, elle n’aimait personne. Donc ces interlocuteurs en ce moment n’échappaient pas à la règle. Alors que la femme ridée observait le coin, elle remarqua que son chat venait d’approcher un grand cheval blanc. Si Nikolaï cherchait des noises à cette bestiole, il était sûr que l’animal de la mamie finirait écrasé et en compote. Et justement, le chat noir n’étant pas très futé, s’était mis en tête qu’il pourrait grignoter un bout de la patte du cheval, et le voila qui sortait ses crocs pour goûter ce festin. Baba, discrètement, rappela vite à l’ordre son familier.
*Nikolaï, petit chenapan ! Reviens ici immédiatement !*
Par télépathie, elle avait appeler son chat discrètement qui revint se poser d’un air déçu vers la grand-mère. Celle-ci releva la tête lorsque la blonde qui se tenait devant elle prit la parole. Mais ces mots n’étaient pas sincères, et l’union de ses mains et de sa bouche fit apparaitre du sable devant le regard étonnée de Baba Yaga. La mégère comprit aussitôt que la demoiselle cherchait à lui montrer de quoi elle était capable, et devant son air inoffensif, qui aurait cru qu’elle était doté d’un contrôle parfait de l’élément sable ? Horripilée par la scène dont elle venait d’assister, la dame dont les âges se comptaient sur ses rides tira une grimace en pensant que ce pouvoir n’était pas approprié pour une fillette aussi jolie que la demoiselle devant elle.
- Comme quoi même un serpent peut jouer avec sa langue…
La femme sous sa cape avait chuchoté ses mots avec un sourire mauvais. Après avoir jouer avec les grains de sables, ceux-ci disparurent du corps de Lysandra et la démone tourna ses yeux rouges vers le garçon qui se trouvait non loin. Baba attendait impatiemment de le voir également à l’œuvre, car après tout, si il suivait le mouvement de la fille, il allait également se montrer en spectacle.
- Vous savez quoi ? Je me serais bien excuser pour avoir pointé mon arme sur vous si vous n’étiez pas aussi désagréable, vous nous insulté de tous les noms et vous croyez qu’on va s’excuser ?! Franchement ça devient pitoyable.
L’hybride fronça les sourcils. Elle s’attendait à autres choses, elle souhaitait au moins le voir utiliser ses dons, ça aurait distrait la monotonie de sa vie. Mais au lieu de ça, le garçon à lunettes n’avait rien fait, et en plus il l’avait traiter de femme… « désagréable » ? Impossible, la vieille avait ses cheveux gras qui sautaient sur sa tête (ou peut-être était-ce les poux qui nichaient dans ceux-ci ?) tellement elle était en colère ! Baba ne resta pas indifférente à ses paroles, et vérifiant qu’il n’y avait personnes d’autres autour, elle claqua deux fois sa canne contre le sol et sa gigantesque plante carnivore sortie du sol devant les plus jeunes. Elle mesurait plusieurs mètres, et possédait une bouche édentée qui sentait l’herbe mouillée mais qui ne cachait pas l’odeur de Baba Yaga. Sa longue tige robuste supportait deux grosses feuilles que le vent matinal n’arrivait pas à faire bouger.
- Jusqu’à maintenant, j’étais vraiment gentille et compréhensible avec vous. Mais vous me mettez réellement en pétard ! |
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| Re: ~ Par un froid matin d'hiver [PV Léo Baskerville & Baba Yaga] | Dim 12 Fév 2012, 14:05 | |
| - Vous savez quoi ? Je me serais bien excuser pour avoir pointé mon arme sur vous si vous n’étiez pas aussi désagréable, vous nous insulté de tous les noms et vous croyez qu’on va s’excuser ?! Franchement ça devient pitoyable.
Lysandra fut quelque peu déçue de cette réponse, elle aurait préféré pouvoir voir l'étendue des pouvoirs du jeune homme, au moins pouvoir deviner de quelle race il était, à première vue ce n'était pas un elfe, pas d'oreilles pointues et habituellement un elfe et plutôt pacifiste et ne provoquerait personne. Mais quelque chose avait attiré l'attention de Lysa, il avait utilisé le pronom "on" et cela dérangeait un peu la demi-démone, en effet bien que cela ne se voit pas, Lysandra commençait à bien apprécier la vieille, elle semblait emplie d'une grande sagesse malgré son mauvais caractère, mais malheureusement la dame parut s'iriter fortement aux paroles du jeune garçon, son expression semblait quelque peu rageuse et elle claqua deux fois sa canne contre le sol, soudain une énorme plante possédant une bouche sortit des entrailles de la terre devant eux ce qui provoqua un hennissement surprit de la part de Précieuse, même Lysandra ne sut que faire face à cette chose et gardait ses yeux rubis écarquillés. L'invocation mesurait bien trois ou quatre mètres et malgré sa bouche sans dents, elle était effrayante, une grande tige large comme le tronc d'un jeune chêne possédait deux grosses feuilles qui devaient faire office de bras. Impressionnant, nota mentalement la sang-mêlé.
- Jusqu’à maintenant, j’étais vraiment gentille et compréhensible avec vous. Mais vous me mettez réellement en pétard !
Sentant que la situation risquait de dégénérer, et que l'avantage était du côté de la grand-mère Lysandra fut prit d'un élan de panique qui lui serra les entrailles. Calme-toi, se sermonna t-elle mais la boule qui se formait dans son estomac restait bien présente certes sa maîtrise du sable pouvait la sauvé mais cette plante était trop grosse pour que Précieuse puisse fuir sans risquer d'être blessée - et Lysa ne voulait pas laisser sa liée, d'ailleurs celle-ci avait les naseaux dilatés et les oreilles couchées en position de charge attendant un ordre de sa maîtresse. Mais Lysa était comme tétanisée, il fallait empêcher une prochaine bataille, souvent en retrait mais pacifiste, la jeune blonde n'avait pas envie de blesser qui que ce soit, paradoxalement n'ouvrant pas souvent la bouche pour parler - ce qu'elle avait dit aujourd'hui était déjà un record ! - elle ne savait quels mots employer pour stopper la vieille, mais quoi qu'il en soit il fallait absolument calmer les esprits.
- Madame sauf votre respect, que comptez-vous faire avec votre invocation ?
Peut-être Lysa passerait-elle pour une naïve de première mais elle voulait vraiment retarder le moment fatidique où la petite bataille éclaterait, peut-être qu'avec un peu de temps des gens viendrait visiter le parc et la vieille serait obligée de faire repartir la plante dans le sol... Sauf que le temps la demi-elfe ne l'avait pas, se préparant à ce qui allait suivre elle se rapprocha du garrot de sa jument et posa une main sur la partie bosselée prête à tout moment à grimper sur son dos et partir au galop mais il y avait aussi ce jeune garçon à lunettes qui méritait d'être sauvé aussi, enfin c'est ce que pensait Lysandra, son visage d'habitude si inexpressif avait prit un air vraiment apeurée, un peu comme une jeune vierge effarouchée face à un satyre. Elle ne voulait pas se battre, on est pacifiste ou on ne l'est pas et pour son plus grand malheur, la jeune fille était du côté des gentils...
[désolé du retard et de la nullité de mon Rp mais vous me laissez dans une sacrée situation >< Bonne chance pour la suite !] |
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| Re: ~ Par un froid matin d'hiver [PV Léo Baskerville & Baba Yaga] | | |
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