Amelëyr C. ThanárielStaffien Coeurs : 133 Messages : 471 Couleurs : #ff7518 & Indigo J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
| ~ Game of Seduction ~ {Alexiël} | Dim 28 Juin 2015, 23:32 | |
| Game of Seduction Feat Alexiël
Il y a des soirs, la malfaisance et la décadence ne sont pas attractives. Parfois, tu as besoin d’une toute autre sorte de divertissement. Quelque chose de plus dynamique, qui te permette de mettre à l’épreuve tes capacités physiques hors normes. Tu adores bouger, même si tu as un côté très paresseux (c’est surtout le matin en général, un autre point commun avec ton meilleur ami). Te dépenser, jusqu’à l’épuisement, de n’importe quelle manière que ce soit, tant que ça te procure plaisir et satisfaction. Et ce soir en est un. Tu as envie de bouger, de profiter, de te mettre en scène. Et, accessoirement, de faire des ravages. Donc, ta décision est prise : tu vas sortir en ville ce soir. Skyworld n’a qu’à bien se tenir.
Ombre ne cherche même pas à te suivre, en sachant très bien ce que tu as à l’esprit. Blasée elle se contente de bâiller en te voyant sortir, vêtu d’une tenue pour le moins… originale. Tu n’as pas de style à proprement parler, puisque tu aimes le changement. Mais le cuir et les hauts sans manche sont particulièrement appréciables. Des mitaines noires, un chapeau, une chemise à moitié fermée seulement, laissant entrevoir ton torse musclé qui en ferait baver un millions. Un gilet en cuir noir sans manche, un pantalon assez souple, noir aussi, parce que le noir c’est le mal. Et tu aimes ce qui est mal, disons-le clairement. Tu aimes te détacher de ce monde si fade et si laid. Tu aimes être à part, agir différemment, souvent de la façon dont on s’attend le moins, qui détonne sur ce rythme monotone qu’est la vie.
Fermant la porte à clé, tu quittes le cirque en sifflotant, les mains dans les poches. Tes pas te mènent jusqu’aux portes de la ville. Une cigarette dans la bouche, parce que tu te fous de la santé de tes poumons comme de ton premier bavoir, tu lèves les yeux pour observer l’architecture du premier bâtiment. Moderne et traditionnelle à la fois. Tu trouves ça chiant, l’architecture en fait, quand on y pense. Tu reprends ta route en secouant la tête, résigné. Tu marches ainsi d’un pas vif jusqu’à arriver à ta destination : les ruelles sombres. Là se trouve ton lieu de prédilection. Le Chat Noir, une boîte de nuit assez prisée. Tu es un habitué, mais ça fait un certain temps que tu n’y as pas mis les pieds. Le videur qui est de garde ce soir te connait bien d’ailleurs. Tu le salues de deux doigts joints, en tendant ton poignet pour y recevoir la marque obligatoire de l’établissement. Ceci fait, tu pénètres dans ce lieu de divertissement exclusif. Et de flirte aussi, c’est l’endroit rêvé pour pécho.
Le rythme endiablé de la musique parvient aussitôt à tes oreilles. Tu sens déjà une intense énergie t’envahir, qui ne demande qu’à être dépenser, d’une quelconque façon que ce soit. Alors, tu t’élances sur la piste, saluant quelques têtes connues au passage –enfin, de façon moqueuse aussi pour tes quelques anciennes conquêtes qui te fusillent du regard en retour. Ah, tu adores quand ils font ça. Tu réponds par un sourire éblouissant, parfaitement hypocrite. Ce qui ne t’en rend que plus détestable, mais tu n’en as rien à cirer. Ça t’amuse. Lorsque la musique change, gérée par les soins du DJ de la soirée, tu enchaînes aussitôt sur une chorégraphie adaptée. Très vite la pseudo-transe te gagne et tu ne manques pas de te faire remarquer sur la scène.
--- Tu finis tout de même par prendre une pause, pour retrouver ton souffle. Adossé contre le mur, tu profites d’un instant de répit, quand tu repères dans la foule une tignasse qui ne passe pas inaperçue. Cette tête, tu la connais très bien pour la côtoyer de près assez régulièrement, et même plus si affinité… tiens donc, mais il semblerait que le lanceur de couteau du cirque, ton sexfriend régulier au passage –révélation dans vos gueules #okayjesors# - soit aussi de la partie ce soir. Tes lèvres s’étirent en un sourire espiègle, une nouvelle lueur brille dans tes yeux. Tu te faufiles entre les différents protagonistes sans un regard pour eux, tes yeux de prédateurs rivés sur une seule et unique personne en cet instant : Alexiël. Tu te glisses derrière lui pour lui glisser à l’oreille d’une voix sensuelle :
∞Tu aimes tant mon corps que tu me suis malgré toi ? Votre différence de taille étant conséquente, tu es légèrement penché, et une main vient frôler sa hanche. Le mouvement est suffisamment éphémère et subtile pour passer inaperçue, mais tu sais très bien qu’il l’a senti. Et c’est bien le but de la manœuvre.
Codage par Cali' pour Ame. |
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