Coeurs : 133 Messages : 471 Couleurs : #ff7518 & Indigo J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
Re: Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday (Pv Amel) | Sam 20 Déc 2014, 16:16
Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday Feat Alex
L'Amérique... un continent que tu n'as jamais visité. En fait, pour être honnête, tu n'as jamais mis un pied sur Terre. C'est la première fois, oui, il y a bien une première fois à tout. Pourquoi te retrouves-tu sur cette chère planète bleue ?... hum, tu ne sais plus exactement. Tu as entendu parlé d'un... « Black Friday » au cirque. June et Crimson en parlaient entre eux. Non pas que leurs sujet de discussion t'intéresse. Mais ça parlait de « bon prix et d'occasion », de mode, de classe, de style... Enfin bref, tu t'es dit que pourquoi pas, ça pourrait valoir le coup d'aller jeter un œil. Et pis, t'avais eu peur que la sang-pur ne te supplie -à sa façon- de l'y accompagner. Alors plutôt que de devoir supporter ses jérémiades et ses blagues à deux balles, bah t'avais pris les devant. Et puis changer d'air, ça faisait du bien aussi. Ombre ne t'a pas accompagné, car une panthère noire en plein milieu de New York... ça passe pas vraiment inaperçu.
Enfin, il y a une chose que tu as oublié : le sort de compréhension n'a pas d'effet hors de l'île. C'est là que tu regrettes de pas avoir été super attentif en cours de langue -enfin c'est pas comme si tu avais été scolarisé jusqu'au bout. Heureusement, l'anglais c'est pas difficile à apprendre ni à comprendre -quand les américains ne mâchent pas la moitié des mots en tout cas. Avec un dico sur toi, tu risques rien n'est-ce pas ? Au début tu as cru que tu allais te perdre au milieu de toute cette foule. Tu n'as jamais vu autant de monde. Il faut dire que la cité est gigantesque. Skyworld c'est du pipi de chat à côté. Ça crie, ça jase, ça hurle, ça marche, ça court dans tous les sens. Et toutes ces longues avenues, avec toutes ces voitures atrocement polluantes qui font rugir leur moteur et passent à fond la caisse. Et tous ces magasins, là... c'est impressionnant. C'est comme si le monde entier s'était donné rendez-vous ici. Tu vois pleins de touristes, des gens qui parlent x langues que tu ne connais pas, que tu n'as jamais entendu même. Des gens de tous horizons, aux yeux bridés ou à la peau noire, des blancs becs, des jeunes filles effarouchées... On trouve de tout et n'importe quoi ici.
Tu marches sur le trottoir en observant à droite à gauche tantôt les passants, tantôt les enseignes. On te rend tes regards d'ailleurs. Il faut dire que ta dégaine marque les esprits, toi, grand roux aux yeux bleus, vêtu d'une veste noire à capuche et d'un jean au style déchiré. Tu parcours ainsi les rues, les mains dans les poches, en sifflotant. Ce qui, vu la tête des agents de police, doit paraître un peu louche. Bah. Tu t'en fous comme de ton premier bavoir. Finalement tu t'arrêtes devant l'entrée d'un grand magasin de mode. Pourquoi ? Non, tu n'es pas spécialement avancé, c'est juste que tu ne peux plus avancer. Il y a une énorme foule qui fait la queue aux portes de l'enseigne. Tu te demandes pourquoi mais soudain, des gens arrivent en courant derrière toi et te poussent dans la coup. Tu cries, tu protestes, tu écrases des pieds, tu donnes des coups de coudes, mais finalement tu te retrouves emporté par le mouvement de foule. C'est ainsi que tu pénètres dans ce grand magasin de vêtements, bousculé dans tous les sens. Ils sont fous ces américains.
Enfin une ouverture ! Tu t'y glisses pour reprendre ton souffle. Nan mais c'est pas possible ! Tu n'as même pas pensé à utiliser ton pouvoir pour les obliger à te dégager un minimum d'espace vital. Mais c'est que tu ne t'attendais pas à être entraîné comme ça, contre ton gré... Bon en même temps les articles ont l'air super sympas. Tu commences à faire un tour de rayon. Des chemises, des t-shirt, des ju... ah c'est pas le bon rayon. Si tu dois admirer, voire acheter, autant aller au bon endroit. Donc tu cherches le côté homme et t'y engouffres entre deux files en folie. Ah, enfin un peu d'espace... il faut dire que le rayon des caleçons n'est pas celui qui possède la plus grande popularité. Mais bon, avec une folle telle que June qui fouille dans tes affaires, refaire un peu ton stock, c'est pas une mauvaise idée.
Tu arrives devant un bac avec des caleçons entreposés un peu en vrac, à côté duquel une jeune personne admire les articles. Une jeune fille, pour être plus précis. Le problème, c'est qu'à moins d'être bigleuse, elle n'a rien à faire là. Sauf si elle a un petit ami à qui elle veut faire une surprise de taille... Tu t'approches d'elle silencieusement.
∞ Vous ne seriez pas perdue par hasard ? Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, c'est le rayon homme ici. Et je doute que vous en soyez un.
L'art et la manière d'aborder quelqu'un. Mais tu n'es pas du genre « bonjour ! enchanté je m'appelle Amelëyr, et vous ? Vous faites quoi de beau ici ? » ça c'est pour les tafiolles.
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Re: Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday (Pv Amel) | Dim 04 Jan 2015, 15:25
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Re: Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday (Pv Amel) | Dim 18 Jan 2015, 12:25
Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday Feat Alex
En venant ici, tu t’attendais plutôt à farfouiller dans les rayons, profiter des soldes, négocier des ristournes, ou faire chier un peu ton monde aussi. Mais croiser une rousse, d’après près ton âge, comme elle ? Certainement pas… Après ta question purement rhétorique, elle amorce un geste et un regard vers son décolleté, avant de répondre que, oui, elle est bien une fille. Ça te laisse sur le cul… tu clignes des yeux, puis hausse un sourcil. Elle est sérieuse, là ? Bon, passons… La réponse suivante te fait hausser le deuxième sourcil. Pardon ?
∞… Félicitations, vous êtes la première femme que je croise qui avoue dormir avec des caleçons de mec. Vous êtes sûre que vous n’avez pas eu une vie antérieurement masculine ?
Oui, Amel, tu aimes enfoncer le couteau dans la plaie. Mais tu ne mens pas en disant ça, jamais tu n’as entendu dire qu’une femme porte des caleçons d’homme. Chapeau, elle a réussi à t’en boucher un coin. Un coin de surprise ou de stupidité, tu ne sais pas encore… Néanmoins, elle a attiré ton attention. Dans le bon sens, heureusement pour elle. Ou pas, en fait. Tu es tellement imprévisible. Tu mets les mains dans les poches en l’observant.
∞ Je ne suis pas venu espionner ! ∞ Ça, je n’en doute pas, le contraire eut été étonnant. Enfin, pour autant qu’on sache ce qu’il y a à espionner ici… on est dans un magasin de vêtements, après tout, pas à la CIA.
C’est plus fort que toi, tu ne peux pas t’empêcher d’enfoncer les gens. Mais c’est tellement drôle ! Et puis, elle a l’air d’être du genre à réagir, soit en Kawai façon « je rougiiiis désolééééée » soit en mode offensé « mais non n’importe quoi ». Tu as presque l’impression qu’elle fait exprès de te tendre de telles perches… en même temps elle ne te connaît pas donc elle ne doit certainement pas savoir comment tu fonctionnes. Tu souris, très espiègle. Voyons ce qu’elle a dans le ventre, cette petite… Et aujourd’hui, pas de mégère à poil sombre pour te faire la morale ! Enfin… il y a un détail qui te saute soudain aux yeux. Mais la jeune femme te devance.
∞…Je comprends ce que vous dites ? Ou d’un coup je suis devenu super bonne en anglais… Woh… Je doutais de mes capacités a apprendre aussi vite… ∞… Désolé de vous décevoir mais je ne parle pas en anglais. Mais je suis tout aussi surpris de vous comprendre. Mais… vous ne viendriez pas de l’île par hasard ?
Il serait assez incroyable que vous veniez tous les deux de Sanctuary. D’autant plus que son visage ne te dit rien du tout… Bon en même temps ça fait 3 ou 4 ans que tu es dans le cirque Utopia, et avant tu habitais à Chloris, qui n’est pas aussi peuplée que Skyworld. En tout cas, la rousse n’a pas menti : tu la vois se saisir d’un caleçon dans le but de l’acheter. Cela te laisse assez perplexe… mais que voilà, un sujet de moquerie, magnifique ! un sourire goguenard étire tes lèvres.
∞ Vous achetez vraiment… ma foi, autant entrer dans le vif du sujet. (tu en prends un) celui-ci vous conviendrait mieux je pense.
Elle serre son sac. Elle ne semble pas à l’aise, ici dans la foule. Il faut dire qu’on a rarement vu autant de monde… et le rayon des caleçons est le moins peuplé de tous. Elle te demande alors comment tu fais, pour te faufiler sans te faire écrabouiller par ces demeurés. Tu te penches légèrement en avant et mets un index sur tes lèvres.
∞ C’est un secret ♥
Tu ne vas certainement pas dévoiler ta botte secrète aussi facilement à une inconnue, sanctuarienne ou pas. Avec elle, tu n’auras sans doute même pas besoin d’activer ton charisme pour la faire tourner un peu en bourrique. Mais tout de même… si elle veut vraiment le savoir, ce sera donnant-donnant. Et voilà qu’elle s’excuse… quelle naïveté, elle te donnerait presque envie de la sauver de ce monde de chacals. Et puis la voilà qui se met à rire…. Pourquoi? Tu te redresses en secouant la tête de droite à gauche.
∞ Nan, vous m’importunez pas… En fait, je m’amuse comme un fou ! ajoutes-tu avec un clin d’œil avant de te détourner pour chercher d’autres caleçons.
Tu es curieux de voir comment elle réagira face à cet aveux, car oui, tu t’amuses vraiment comme un fou. Après avoir farfouillé un certain temps, tu t’appuies sur le bac avec ton coude et la regarde à nouveau. Tu viens seulement de tilter sur un détail.
∞ Mais, de quels soucis parlez-vous ? Je ne vois pas le rapport…
Te soucier de la vie privée ? Nan, seulement des bons ragots. Et puis, elle a l’air de se faire avoir facilement. Tu es un peu méchant, de penser ça, mais n’est-ce pas ce que tu es, un grand méchant loup ? Tout le monde le dit, autour de toi, du moins les gens qui ont vu ce que tu es vraiment, derrière ton charme et tes beaux discours. Il n’y a que tes compagnons forains qui pensent le contraire, mais eux, ils sont spéciaux… Tu offres à la jeune fille un grand sourire charmeur.
∞ Non pas que je veuille chambouler votre intimité, hein.
Ben voyons…
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Re: Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday (Pv Amel) | Dim 18 Jan 2015, 14:57
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Re: Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday (Pv Amel) | Dim 18 Jan 2015, 16:49
Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday Feat Alex
Elle ne répond pas explicitement à ta question concernant son origine. C’est donc qu’elle vient bien de l’île. Intéressant… vous vous retrouvez tous les deux, jeunes gens roux et sanctuariens, dans le rayon Caleçon d’un magasin en plein Black Friday, avec une foule atteinte de fièvre acheteuse. Il y a de quoi rire, tout de même… la situation est relativement cocasse. Cela te fait même sourire. Exactement comme elle lorsqu’elle accepte avec plaisir le caleçon que tu lui tends. Okay, qu’est-ce qui est le plus con maintenant ? Tu ne t’attendais pas vraiment à ce qu’elle te remercie, mais bon… Tu la taquine en affirmant t’amuser comme un fou. Et inutile de préciser qui, du magasin ou de la jeune fille, est à l’origine de cet amusement soudain. Et lorsqu’elle le comprend –ah, pas si naïve que ça en fait – elle a une réaction qui éveille en toi le souvenir d’une amie foraine : elle gonfle les joues en boudant. Exactement la même expression que Freya lorsque tu la taquines. Ces deux-là se connaissent, ou quoi ? En tout cas, tu ne t’y attendais pas et sur le coup tu restes interdit. Nan, vraiment, elles se ressemblent trop comme ça.
Tu finis par te reprendre pour lui poser la question concernant les « soucis » qu’elle a évoqués un peu plus tôt. Serait-elle un peu agoraphobe, ou une simple peur des foules peut-être ? Mais voilà qu’elle riposte en reprenant trait pour trait ton attitude, avant de se mettre à rire, visiblement fière d’elle. Ah. Décidément pas si stupide que tu l’as pensé au début. Tu plisses un œil, frustré de t’être fait doublé sur ce point. Bon. Il va falloir négocier autrement. Et si… Tu ouvres la bouche pour parler, tandis que la jeune fille commence à avancer, mais on ne saura jamais ce que tu voulais dire car voici une dame qui se dirige vers vous à grand pas et vous héle.
∞ Mes cocos, je vous ai vu de loin, et vous êtes ce qui me faut pour une petite exposition ! Bien sûr en échange je peux vous donner des passes VIP du centre commercial !
… Coco ? Tu ne rêves pas, elle t’a bien appelé COCO ? Nan mais elle t’a bien regardé ou quoi ? Tu lui lance un regard sombre peu engageant, mais elle l’ignore royalement. Ce qui est fichtrement agaçant d’ailleurs. Sa proposition résonne dans ton crâne. Des passes VIP…. Voilà qui est intéressant, ma foi. Qu’est-ce que qu’on peut bien vous demander en échange ? Et puis pourquoi vous deux en particulier d’abord ? Il y a plein de gens autour de vous… ce pourrait-il que cette femme ait repéré ton incroyable talent d’artiste et ton charme révélateur ? Elle a de l’œil, pour sûr. Tout flatté dans ton égo, qui sera ta perte un jour mon cher, tu hausses les épaules et suit les deux autres. Ce peut être amusant après tout. Servir de mannequin pour une exposition, parce qu’il s’agit sûrement de ça. On est dans un magasin de vêtement après tout.
Les mains dans les poches tu marches sans rien dire, observant par contre avec attention. Elle vous emmène dans l’arrière-boutique. Tu as soudain un drôle de pressentiment. Qu’est-ce que c’est encore ? Une entourloupe ? Si elle espère te berner, cette saleté, elle se trompe royalement. Mais tu es bien au-delà de la vérité. Alors, quand tu la vois pousser les portes pour révéler la nature de la boutique… Tu te stoppes net, les yeux ronds. Pardon ? c’est une erreur, une grave erreur, que tu t’empresses de faire remarquer.
∞ Euh, excusez-moi, je crois qu’on s’est mal compris… ça va pas être possible. ∞ Ah….c’est que ça ? Je suis rassuré… ∞ Que ça ? répètes-tu, consterné.
Voilà qu’elle vous demande vos prénoms. Et puis quoi encore ? Mais la rousse joue le jeu et dit s’appeler Alex. Serait-ce un diminutif ? En tout cas il ressemble curieusement au tien… à deux lettres près. Tu ne donnes pas le tien, tout simplement parce que tu n’as pas l’intention d’aller plus loin. D’une, vous ne m’appelez pas « cocos ». de deux, je regrette, mais il est hors de question que j’enfile ne serait-ce qu’une seule de vos tenues. Elles sont peut-être sublimes, mais très peu pour moi.
La styliste pose ses yeux perçants sur toi. Tu es un bad boy. Tu n’as peur de rien, vampires exceptés. Rien ne te fait fléchir. Et pourtant, là, tout de suite, tu déglutis. Cette femme n’est pas saine d’esprit. C’est une parente de June, c’est obligé. Elle s’approche de toi avec vivacité, si bien que tu fais un effort pour rester immobile et impassible.
∞ Peut-être ? PEUT-ÊTRE ? Mes créations SONT sublimes. Il n’y a pas à discuter. Ensuite, je continuerai à t’appeler « mon coco » tant que tu ne m’auras pas donné ton prénom. Et puis… (elle prend un air tellement mesquin que tu sens un frisson te parcourir l’échine) si Môsieur ne se sent pas assez viril pour enfiler un costard, j’ai une flopée de robe pour toi.
Tu en restes muet de fureur. Vous vous défiez du regard. Comment ose-t-elle t’insulter ? Non mais de quoi elle se mêle celle-là ? Et d’où elle vous croit en couple ? Il faut que tu te calmes, il serait bête de perdre le contrôle devant tout ce beau monde. Et le meurtre est sévèrement puni ici, tu as entendu dire. Rouge de colère, tu serres les points. Tu ne vas pas te laisser faire par cette femme tout de même ? Ah, elle ne te croit pas assez viril ? Elle va en bouffer, de la virilité. Elle ava voir à quel point tu es VIRIL. Et pis… Tu vas pas passer pour une tafiolle devant une femme quand même.
∞ Okay. D’accord. T’as gagné. Je vais les mettre, tes créations.
Tu ne précises pas que, quand on te force la main, tu peux être très désagréable. Encore plus que d’habitude. Et puis… tu ne vas pas en rester là. Tu auras ta vengeance, tôt ou tard. Tu médites déjà sur un scénario…
∞ Je m'appelle Amel, ajoutes-tu d'une voix grognon, histoire d'éviter un nouveau surnom débile. ∞ C'est un prénom de fille ça ! ∞ ... c'est un diminutif. ∞ Oh ! Comme c'est mignon.
Un long soupir franchit la barrière de tes lèvres. Nan mais, qu'as-tu fait pour mériter ça ? Tu regrettes déjà d'être là. Et quelque chose au fond de toi t'affirme que tu n'as encore rien vu.
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Re: Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday (Pv Amel) | Dim 18 Jan 2015, 18:28
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Re: Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday (Pv Amel) | Dim 18 Jan 2015, 20:21
Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday Feat Alex
La frustration. Voilà un sentiment qui te suit depuis longtemps. Le pire, dans cette histoire, c’est de perdre la face devant une femme. Devant cette styliste, mais devant la dénommée Alex aussi. Putain. Il va falloir que tu prennes sur toi sinon tu vas faire un malheur… Un coup d’œil te suffit pour distinguer l’amusement dans les prunelles de la jeune rousse. Ça t’énerve encore plus. Au moins elle essaie de se cacher. Cette satanée vendeuse n’a pas fini d’en entendre parler… En attendant, vous voilà séparés. De jeunes assistantes attirent Alex dans un coin. Tu la perds de vue lorsqu’elle se retrouve derrière un rideau. C’est curieux comme sa soudaine absence te laisse démuni. Vous étiez deux pauvres victimes des lubies de cette femme, et tu te retrouves seul dans un coin entouré de vautours. Car oui, ces femmes te tournent autour en sifflant, en faisant des commentaires tantôt sur ta tenue assez « originale » tantôt sur ta coiffure « bien faite mais à améliorer », tantôt sur ta carrure. Tu fermes les yeux. Tu inspires profondément. Tu expires profondément. Si vous pouviez éviter de me fanfaronner dans les oreilles, ça serait vraiment cool.
Elles te lancent un regard surpris. Elles ne doivent pas avoir l’habitude qu’on s’adresse à elles sur un ton aussi sec et acerbe. En temps normal, tu aurais été flatté, ton orgueil se serait gonflé. Mais là tu n’es vraiment pas d’humeur. Elles finissent par te laisser seul avec un jeune styliste qui t’examine sous toutes les coutures, suivant à la lettre les instructions de sa patronne que tu peux entendre tonitruer à l’extérieur de ton abri provisoire. Tu refuses de laisser quelqu’un te déshabiller, et puis quoi encore. Tu n’es absolument pas pudique,te retrouver en sous-vêtement devant un ou une inconnue ne te pose aucun problème. Mais tu es un grand garçon et tu n’as besoin de personne. Tu espérais qu’un mec ferait son travail en silence. Tu avais tort. Il te noie sous un flot de paroles qui te laissent pantois. Il siffle d’admiration en contemplant tes abdominaux.
∞ Vous faites de la muscu tous les jours ou quoi ?
Vu qu’il parle anglais et vite, tu ne comprends pas la moitié, heureusement. Tu hausses les épaules, en répondant « cirque » ce qui lui fait lever les yeux au ciel. Il t’amène finalement un costume de marié –mon dieu ce mot t’écorche le cerveau. Tu dois reconnaître que le tissu, d’un gris clair très doux, est d’excellente qualité. La chemise d’un blanc immaculé s’accompagne d’une jacket noire assortie la cravate. Le pantalon est étonnamment confortable. Il te pousse devant une grande glace pour te permettre de te regarder. Bon, tu n’es pas toujours de mauvaise foi, alors tu reconnais que ça te donne une certaine prestance. Et encore plus de charme. Et revoilà les groupies pour te coiffer et te « pouponner » comme elles disent.
∞ La première qui me pouponne va avoir une mauvaise surprise ! Et NAN, pas de ciseaux. Vous faites ce que vous voulez, mais moi vivant, vous ne me couperez pas les cheveux.
Elles abandonnent les ciseaux mais tu te retrouves à servir de poupée, assis sur ton siège, en poussant des « aïe » à tort et à travers dès que tu juges que la coiffeuse tire trop. Tu n’es pas douillet, c’est juste pour rendre la chose moins agréable. L’une des jeunes femmes s’occupent de tes mains, tandis qu’une autre t’asperge de parfum. En d’autres circonstances, tu n’aurais pas rêvé meilleur traitement ainsi entouré de belles filles ; mais là… elles te font plus penser à des mouches qu’autre chose.
Ce que vous êtes grognon ! Vous pourriez y mettre un peu du votre toute de même, c’est contrariant à force.[/color] ∞ C’est bien le but de la manœuvre, répliques-tu avec un sourire mesquin.
Au bout de ce qui te semble une éternité, elles se décident enfin à te laisser tranquille. Ça tombe très bien, tu étouffes. T’as besoin d’air. Tu n’en PEUX PLUS de ces sales pies. Tu mets enfin un pied à l’extérieur de cette pièce de torture psychologique.
∞A…Amel ça va ? ∞ Je suis encore en un seul morceau, si c’est ce que tu veux savoir. Mais je dois t’avouer que j’ai les nerfs UN PEU à vif. A part ça tout va bien.
Gentille attention de sa part. En ce qui te concerne, égoïstement, tu n’as pas songé à elle un seul instant. Tu jettes un œil dehors. Tu aimes bien la foule en général. Mais là, tu te sens comme un cheval au concours du meilleur étalon. Mais qu’est-ce qui t’a pris de dire oui ? Comme je le disais, ta fierté te joue des tours. Voilà une bonne leçon d’humilité. La patronne pousse Alex vers l’avant pour l’encourager. Tes yeux glissent naturellement vers elle, maintenant qu’elle se trouve dans ton champ de vision. Il y a peu de choses qui sont aptes à te laisser muet. Mais il faut croire qu’elle en robe de mariée –argh ce moooooot – en fait partie. N’as-tu pas la bouche légèrement entre-ouverte, là ?
∞Tu…. Euh, ça te va bien. Enfin je veux dire… tu es ravissante.
C’est tout ce que tu trouves à dire, c’est affligeant. Et en tutoyant subitement en plus. Pourquoi un tel compliment ? ça n’est pas ton style. Peut-être parce que c’est si sincère qu’il a fallu que ça sorte. Nan mais, ça ne va pas du tout ! Tu dois te reprendre, sérieusement. Tu te racles la gorge en réarrangeant le tissu blanc qui décore la poche de ton costume, en dessous de l’épaule.
∞ Bon allez, les tourtereaux, on avance ! s’exclame la femme en vous poussant tous les deux vers l’avant. Prends ça ma jolie, ajoute-t-elle en collant un bouquet de mariage dans les mains de ta jeune camarade de galère.
Vous vous retrouvez sous le feu des projecteurs. L’ironie de la situation… te voilà qui déteste les regards des autres alors que tu ne recherches que ça sur la piste du cirque. Tu te sens tellement ridicule dans cette tenue. Si Lyvion te voyait, il se foutrait de ta gueule pendant le reste de ta vie. Un flash, puis deux viennent t’éblouir. Oh noooooooooooooon. Manquait plus que ça. Pourvu que ces photos ne parviennent pas jusqu’à l’île… La patronne vous force à avancer histoire que sa petite « exposition » soit au centre de l’attention. Vous descendez des marches, toi en premier. Mais Alex trébuche et bascule vers l’avant. Ton premier réflexe en l’entendant crier est de te retourner et c’est ainsi que tu la réceptionnes dans tes bras, un bras sous ses genoux, l’autre au-dessus de ses hanches.
∞ Ça va ? demandes-tu.
Vous voilà tous deux dans une position bien singulière. Et tu es certain que, derrière toi, la patronne jubile.
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Pour nos amies les shippeuses 8D:
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Re: Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday (Pv Amel) | Lun 19 Jan 2015, 20:39
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Re: Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday (Pv Amel) | Mar 20 Jan 2015, 19:45
Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday Feat Alex
Tu n’es pas le seul à être mal à l’aise. Alex ne semble pas plus confortable que toi, bien que la robe lui aille à merveille, comme si elle avait été faite pour elle. En fait, en ce qui te concerne, ce n’est pas le fait de devoir « défiler » devant tous ces gens qui te rend inconfortable. Tu adorerais le faire, la foule ne te fait pas peur, tu cherches même à l’impressionner presque tous les jours, durant les représentations, tu cherches leur attention à tous. Mais pas dans cette tenue. Nan mais, un costard de marié, s’il vous plaît ! C’est bien pour ne pas perdre la face devant la styliste et devant la rousse que tu as accepté. Mais tu sens d’ici venir les conséquences. Tu pries très fort –n’importe quel dieu, tous s’il le faut – pour que personne à Sanctuary n’en entende parler. Ce serait la fin de ta réputation. Enfin, ne pensons pas à de telles extrémités…
Tu aperçois du coin de l’œil la couleur pivoine de ta camarade. Cela te fait sourire en coin, inévitablement. Heureusement que toi, tu te maîtrises beaucoup mieux que ça. En même temps tu es un maître dans l’art de la manipulation. Enfin, la plupart du temps. Il y a toujours des exceptions, comme on dit. Vous arrivez tous les deux devant une petite série de marche. Tu sens un étrange malaise de la part d’Alex. Ce doivent être les chaussures ; elle ne doit pas avoir l’habitude de marcher avec des talons hauts. Elle prend son temps pour descendre, ce qui confirme tes soupçons, aussi tu te retrouves vite devant elle. Et puis, la seconde d’après, elle crie, tu te retournes et la voilà dans tes bras, sans que tu l’ai réellement anticipé. Elle est très légère, un poids plume, cependant, de ton bras qui soutient ses jambes, tu sens une rigidité inhabituelle. Cette partie de son corps est anormalement plus lourde…
Cet instant ne dure que quelques secondes. Elle ouvre les yeux, visiblement surprise de ne pas s’être rétamée sur le sol. Vos regards se croisent. Tu lui demandes si elle ne s’est pas fait mal. Et puis, soudainement, elle te repousse le visage avec ses mains en criant. Elle gigote comme un asticot, tu es donc forcé de la lâcher, et la voilà qui se retrouve à tituber avant de s’asseoir par terre en se cachant le visage derrière les mains. Tu lui lance un regard assez dur, malgré sa détresse apparente. Tu croises les bras en la fixant. Tu rends service, pour une fois –bon, un peu malgré toi tu dois l’avouer – et voilà comment tu es récompensé !
∞ Si je te répugne à ce point, d’accord, pas de soucis. La prochaine fois je te laisserai t’écraser comme une crêpe.
Voici un aperçu de ce que tu es vraiment. Un être quelque peu sournois et aigri. Tu ne sembles pas affecté de son désarroi, tout simplement parce que tu es vexé. Elle s’excuse, mais toi tu continues de la fixer. Tu ne cherches pas à comprendre pourquoi elle a réagi comme ça, malheureusement, tu te contentes des apparences dans ce genre de situation. Tu sembles imperméable à sa gêne. Pour toi, c’est un paiement équitable pour ce qui vient de se produire. Tu es très injuste, Amel. Mais tu t’en rends rarement compte. La sanctuarienne pose à nouveau son regard sur toi pour te remercier. Tu ne cilles pas, les bras toujours croisés, dans une rigidité contrariée.
∞ Ah quand même ! commentes-tu d’un ton sec. On rattrape les jeunes filles qui tombent et en échange on se prend des coups, c'est un monde ça !
Elle se relève avec difficulté, se tenant à la rambarde, et sourit. Pourquoi elle sourit ? Tu n’es pas un gentleman, donc tu n’esquisses pas un seul geste pour l’aider. C’est de sa faute si elle s’est retrouvée dans cette situation. Si elle ne t’avait pas repoussé comme une folle, tu aurais pu la reposer les pieds sur terre en délicatesse –si, tu peux faire preuve de délicatesse, des fois. Mais voilà, on lui rend la monnaie de sa pièce maintenant. Les gens chuchotent derrière toi, trouvant que tu y vas un peu fort, que tu es méchant, cruel, injuste, et blablabla… La styliste finit par intervenir en frappant dans ses mains. Tu lui jettes le regard le plus stoïque qui soit.
∞ Allons, allons, mes loulous ! Ce n’est pas grave. Vous vous réconciliez, et on oublie tout ça. On a une exposition éclair à terminer je vous rappelle ! (elle se tourne vers toi et ajoute à voix basse sur un ton de reproche) Tu pourrais être plus galant tout de même, laisser cette pauvre chérie par terre ! Quelle façon de traiter sa petite amie !
Un muscle juste sous ton œil s’agite nerveusement à l’écoute de ce mot.
∞ Qu’on soit bien clair vieille carne, d’une ce n’est pas ma petite amie, je ne la connaissais même pas deux heures plus tôt, et de deux, j’ai dit oui pour porter cette chose (tu pinces le tissu) mais pas pour être agréable ni pour jouer au gentilhomme ! Alors tes reproches tu peux te les mettre où je pense.
Bon, tu as un peu perdu le contrôle, là. Mais au moins tu lui as coupé le sifflet, douce vengeance ! Tu lui tournes le dos, histoire de ne pas avoir à supporter son regard, et reprends ta marche d’un pas rageur. Arrivant au niveau d’Alex, tu t’arrêtes et la regarde.
∞ Bon, mademoiselle a retrouvé l’usage de ses jambes ? On peut y aller ? Plus tôt ce sera terminé et mieux je me porterai.
Tu tapotes le sol de ton pied, les mains sur les hanches, absolument imperméable aux regards et aux échanges quasi silencieux des spectateurs de la scène. tu fais preuve d'un abominable égoïsme et tu t'en fiches. Tu perçois encore des flashs. Ah, la greluche voulait de la pub, hein ? Elle est servie.
Codage par Cali' pour Ame.
HRP : j'ai mal au coeur pour ALex >w< y'a des moments comme ça je le déteste x)
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Dans la famille des mauvaise bonnes idées, je prends aller au Black Friday (Pv Amel)