J'ai traversé le portail depuis le : 14/09/2014 et on me connaît sous le nom de : Sky Angel. Mon nom est : Immanuel-Jared William Snow dit Spencer. Actuellement je suis : célibataire et hétérosexuel. Il paraît que je ressemble à : Netami de l'artiste Naimane & Byakuran KHR - irl Shiloh Fernandez et à ce propos, j'aimerais remercier : Dudu pour le vava; Tia pour la signa et Reyenn pour les gifs!
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Jeu 02 Avr 2015, 00:58
Attends... Quoi? T'es mon père?
I.-Jared « S. » W. Snow feat. Arès
Tout simplement un mec albinisme doué d'une schizophrénie partielle à la vue mauvaise et dont le père se trouve à être le dieu de la guerre. Un mec qu'il ne faut pas embêter, quoi. Δ Immanuel-Jared « Spencer » William Snow
J'sais pas pourquoi je me mis à douter lorsqu'Arès regarda aux alentours. Mais surtout quand il se mit à rire pour aucune raison apparente. Quand même, il peut foutre la frousse à n'importe qui, celui-là. Il voulait se venger parce que je le teste? Parce que j'aime bien tester les gens et Arès mord tellement vite à l'hameçon que je suis aux anges. Peut-être parce que je suis comme lui sur ce côté. Quand on tente de me tester, je réagis tout de suite. Ah, l'impulsivité, que voulez-vous. À ce que je pouvais voir, je ne tiens pas ça du voisin, comme on dit.
- Écoute, première épreuve. Suis-moi.
Je vis sans surprise ses traits se changer pour prendre la forme de celui d'un chien de berger blanc aux yeux rouges. C'était la première fois que quelqu'un se transformait ainsi devant moi. Franchement, c'était plutôt impressionnant. Voir son corps se modeler pour prendre la forme d'une bête plus petite que lui était quelque chose que je n'avais pas eu l'occasion de contempler bien souvent. Si ma foutue mère avait été plus présente dans ma vie, j'aurais pu constater sa transformation en oiseau de feu, mais non, je l'avais vu une seule fois et elle avait formulé le désir de ne plus jamais me revoir de toute sa sainte vie. Quelle bonne mère. Au moins, il me restait mon vieux qui semblait ne pas se lasser de ma présence bouillonnante. Ou impulsive. C'était bien le seul.
- Enfin, si tu arrives à ne pas me perdre de vue. - Tss.
Bon, j'vaux pas grand chose à la course, surtout pour suivre un chien, mais je sais me débrouiller. Vous pensez quoi? Que j'suis un bon à rien? Aller gentiment vous faire voir. ♥ En plus, j'ai Black avec moi, y'a pas de raison pour que je le perde de vue aussi vite. Puis ni une ni deux, Arès part dans une direction et ça me prend un léger temps de réaction avant que mes jambes ne bougent pour me mettre à courir derrière lui. J'étais loin d'aller aussi vite que lui, mais je le distinguais toujours. Quoique très mal à cause d'un oeil manquant et d'une vision affectée. Sans que j'aie besoin de le lui dire, ma chauve-souris domestique prend son envol pour suivre le chien blanc haut dans le ciel. Mais tout de même assez bas pour que je puisse le voir. Je n'avais plus qu'à suivre mon affilié qui suivait mon père dans les méandres des gens qui peuplaient la place.
Surprise, je commençais à m'épuiser un peu. Je ne pouvais pas faire autrement, car je ne suis pas très sportif, mais je faisais mon têtu comme d'habitude et je continuais au même rythme pour pouvoir espérer rattraper mon paternel à un moment ou un autre. Je le vois au loin qui saute sur les branches d'un arbre. Bien, il devait se trouver là. Mais alors que j'arrivais en vue de l'endroit où se trouvait mon vieux, je me fis percuter par un énorme lion au pelage noir. Son poids me plaqua au sol et il lâcha un rugissement impressionnant. J'étais au sol complètement immobile et mon oeil s'était écarquillé en voyant la bête énorme perchée au-dessus de moi. C'est quoi ce bordel? Mon coeur battait la chamade à cause de ce lion. C'est pas tous les jours qu'un lion vous renverse. Puis j'entendis le rire d'Arès légèrement plus loin. Alors je pinçai les lèvres.
- Tu peux bien te marrer! C'est pas toi qui s'est fait renversé par ton affilié!
Je n'étais certainement pas pour lui dire la frousse que j'avais eu en voyant l'animal foncer directement sur moi pour me plaquer au sol. C'est très impressionnant de constater qu'une bête aussi énorme fonce droit sur vous. Au moins, ça n'avait pas été pour me déchiqueter sinon je serais mort à l'heure qu'il est. Mon regard était fixé sur celui du gros félin. Je ne voulais pas bouger, mais en même temps, je le devais pour m'abriter du soleil sous mon ombrelle. Alors inspirant profondément, je lève doucement le bras pour mettre mon ombrelle dans la trajectoire de la grosse boule de feu.
- Dis, tu pouvais pas simplement répondre à ma question en me disant que t'avais un lion domestique comme affilié? Ça aurait été plus simple, non? Ah! Mais j'pense que tu connais pas la simplicité, alors... Et si c'est ta première épreuve, tu commences ça vraiment bas, hein.
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Mar 07 Avr 2015, 02:40
Arès avait commencé la mise à l'épreuve, cela promettait d'être comique. Il était fier de lui en plus. Il avait été surpris de voir son père se rétrécir un peu et revêtir le trait du meilleur ami de l'homme, mais en même temps il ne l'avait pas prévu. Sa course se finit entre les racines d'un arbre, bien à l'abri pour se reposer. Il avait tout donné dans cette course pour donner du fil à retordre à son fils. Spencer n'avait rien d'un sportif d'après lui, mais il avait hâte de voir cela de près. Couché près de l'arbre, il entendit peu après son arrivée des bruits de pas. Le chien sortit de sa cachette qui n'en était pas vraiment une vu que l'on voyait son poil blanc de loin. En s'approchant, il se changea pour retrouver son apparence humaine. Cette scène le faisait rire à un point, il n'avait pas anticipé cela, mais vraiment pas. Plié en deux, il voyait Leios se répandre en rugissement effrayant et surtout il avait vu la tête de son fils lorsque la bête avait surgi. Non, c'était mémorable. Couché au sol, il fixait la tête de l'animal comme si sa dernière heure était venue. Arès se rapprocha de son lion pour lui caresser la crinière.
" Ah non, tu as raison, ce n'était pas moi. Belle prise Leios ! J'aurais pas mieux fait, à présent dis lui bonjour."
Leios pencha sa tête vers Spencer, ses yeux jaunes se rapprochaient de son visage. C'était bien impressionnant. Il le renifla, grogna puis lui lécha la figure en signe de bienvenue. Bien qu'il était très solitaire, il pouvait manifester un signe de sympathie et souvent c'était un coup de langue comme un gros chat somme toute. Peu de gens arrivaient à le voir. Il était toujours non loin d'Arès mais ne venait qu'en cas de danger. Là, il avait vu une course poursuite et avait voulu s'en mêler.
" Tu as pris une grosse souris. Brave bête ! Donc, voilà mon affilié est un gros lion noir un peu solitaire, mais protecteur. C'est mon fils, donc tu évites de le mordre ou autre hein", fit-il en lui tapotant la tête.
Leios tenait toujours Spencer sous ses grosses pattes, à croire que lui aussi appréciait la poupée guerrière de son maître. Spencer sortit son ombrelle pour se protéger du soleil. Le lion regarda cet objet avec une certaine curiosité. Il le fit tournoyer d'une patte en ronronnant. D'accord, le voilà redevenu un petit chaton. Le seul ennui, c'était que Spencer n'avait pas une protection du soleil très optimale à cause de cette espèce de rotation qu'imposait l'animal. Arès fronça les sourcils en voyant la dignité de son animal abaissée de moitié à cause d'un jouet improvisé. C'était à noter qu'il aimait les ombrelles ou peut-être avait-il cru que Spencer voulait jouer avec lui... C'était un grand mystère. Toujours est-il que Spencer reprit la parole en évoquant qu'il ne faisait pas dans la simplicité, qu'il aurait pu lui dire tout simplement la nature de son affilié sans le laisser se faire ainsi attaquer. Arès se pencha vers Spencer jusqu'à s'accroupir.
" Ah oui, c'est vraiment bas, tu es tout près du sol, mon fils. Va falloir penser à se relever. Non, je ne t'ai rien dit, je préfère que tu vives ça à fond. C'est mieux, je pense. Allez Leios, laisse ta souris partir. Elle reviendra."
Le lion arrêta de jouer, se recula, poussa un fort rugissement de bienvenue à Spencer et s'éloigna. Il lui arrivait de parler, mais qu'en cas de nécessité. Ce n'était pas un affilié très sociable, pour le faire parler il fallait être proche de lui, avoir appris à le connaître. Comme il était souvent seul, c'était une tâche délicate... Arès prit la main de Spencer et l'aida à se relever doucement. Il avait en tête qu'il avait failli faire un malaise quelques minutes auparavant. Il lui donna une tape sur l'épaule.
" Hé bien, c'est pas si mal tout ça", dit-il en se frictionnant le menton. " Prometteur , prometteur ! Enfin, nous verrons le reste à l'arène, mais c'est un bon début."
J'ai traversé le portail depuis le : 14/09/2014 et on me connaît sous le nom de : Sky Angel. Mon nom est : Immanuel-Jared William Snow dit Spencer. Actuellement je suis : célibataire et hétérosexuel. Il paraît que je ressemble à : Netami de l'artiste Naimane & Byakuran KHR - irl Shiloh Fernandez et à ce propos, j'aimerais remercier : Dudu pour le vava; Tia pour la signa et Reyenn pour les gifs!
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Mer 08 Avr 2015, 00:25
Attends... Quoi? T'es mon père?
I.-Jared « S. » W. Snow feat. Arès
Tout simplement un mec albinisme doué d'une schizophrénie partielle à la vue mauvaise et dont le père se trouve à être le dieu de la guerre. Un mec qu'il ne faut pas embêter, quoi. Δ Immanuel-Jared « Spencer » William Snow
Attendez... Je rêve ou il complimente vraiment son affilié? Je ne suis pas une « prise » comme il m'appelle, je suis son fils qui s'est fait percuter par son putain de gros lion noir qui m'a fichu la frousse. Bref, peu importe. En ce moment, je suis plus préoccupé par le visage de l'animal qui se rapproche de mon visage pour me détailler de plus près. Hé ho! Ça va pas, la tête? T'es un putain de carnivore et moi, je suis ta proie et même si je sais parfaitement qu'il ne me fera rien, je ne peux empêcher mon corps de se crisper. Quoi que je dise à propos de ça, ça devait très bien se voir que j'étais tendu un maximum. Lorsqu'il renifla et grogna, je craignis le pire. Mais sans bonnes raisons apparentes, car Leios - de son nom - me lécha le visage. Eurk.
- Tu as pris une grosse souris. Brave bête ! Donc, voilà mon affilié est un gros lion noir un peu solitaire, mais protecteur. C'est mon fils, donc tu évites de le mordre ou autre hein.
Me... comparer à une souris? C'est quoi son problème, à lui? Je ne suis donc qu'un simple objet de divertissement? Une poupée guerrière et maintenant un souris... C'est quoi, le prochain surnom débile? Au moins, il avait averti son lion de ne pas me faire de mal. Parce qu'à moins de me transformer en phénix, vous voulez que je fasse quoi contre un lion de cette taille? Il n'y a rien à faire à part fuir. Arès n'aimerait pas cette pensée, aussi resta-t-elle un pensée, justement. Ce qu'il ne sait pas, ne le foutra pas en rogne. Oh, mon ombrelle? Quand je la sortit, la grosse bête noire devint un chaton et mon corps se décrispa légèrement à la vue de ce comportement inoffensif. Il usa même de sa patte pour la faire tourner. Ce qui, vous le devinerez, me donna du fil à retorde pour la garder dans la ligne de mire du soleil. Lorsque je piquai mon paternel avec ma phrase débile, il vint s'accroupir près de moi.
- Ah oui, c'est vraiment bas, tu es tout près du sol, mon fils. Va falloir penser à se relever. Non, je ne t'ai rien dit, je préfère que tu vives ça à fond. C'est mieux, je pense. Allez Leios, laisse ta souris partir. Elle reviendra.
J'étais pour le moins offusqué. Il avait raison sur le fait que c'était mieux que je vive ça à fond, mais me traiter de souris, ça ne me plait pas du tout. Aussitôt qu'Arès le lui ordonna, Leios arrêta de jouer, se recula et poussa un fort rugissement. J'en frissonnai quelque peu, mais je ne pense pas que mon vieux ait pu le constater, car c'était vraiment subtile. Après que l'animal soit partit, mon père empoigna ma main pour m'aider à me relever. Puis je sens sa main percuter mon épaule. Quelle image est-ce que je venais de lui donner de moi, là? Roh, j'aime mieux ne pas y penser.
- Hé bien, c'est pas si mal tout ça. Prometteur, prometteur ! Enfin, nous verrons le reste à l'arène, mais c'est un bon début. - C'est déjà ça.
Je grognais presque, lui en voulant un peu de m'avoir foutu une telle frousse. Mais bon, j'allais bien passer par-dessus, car après tout, je ne suis pas mort ni même blessé.
- Tu veux que j'te dise, t'es un sacré malade mental. C'est toi qui m'a refilé le gêne de la schizophrénie? Parce que ça collerait, tu vois.
Et je souris, mais pas de façon joyeuse. Non, plutôt de façon provocante en faisant tourner mon ombrelle au-dessus de ma tête. Ça en devenait une manie ou c'est moi? Peu importe.
- J'ai déjà hâte d'y être, monsieur le professeur de combat. Sur ce, je crois que je vais aller pieuter quelque part en attendant.
Parce que je vois déjà le soleil qui commence à descendre à l'horizon. J'avais vraiment hâte d'y être, dans cette arène. J'avais besoin plus que tout d'apprendre de nouvelles techniques et de m'endurcir un maximum.
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Mer 15 Avr 2015, 15:53
Un proverbe dit "les chiens ne font pas des chats", hé bien Arès fut servi quand Spencer après que Leios soit parti, dit qu'il avait tout d'un malade mental. Décidément, il ne perdait pas une seconde pour venir le titiller lui. Arès fit jaillir une boule de feu d'une main et s'amusa à la lancer, puis à la rattraper. Il faisait comme s'il pouvait la lancer à n'importe quel moment. Il n'était pas le père le plus sécurisant, mais il était en dépit très protecteur. Il respectait tout à fait que Spencer veille se venger de ses propres moyens, tout simplement parce qu'il n'aurait pas accepté qu'un autre fasse ses vengeances. C'était assez personnel et cela n'engageait qu'une personne dans une situation. L'image qu'il avait de son fils était loin d'être mauvaise. L'accolade forte qu'il lui avait mis à l'épaule avait dû le surprendre, mais tout ce que Arès voulait c'était partager un moment avec lui enfin... tout en le martyrisant un peu. Il n'avait pas caché ses intentions, depuis le début il ne faisait que cela : le chercher. S'il n'était pas parti entre temps, c'était plutôt bon signe. Arès n'avait pas senti la peur l'envahir face à Leios dans sa globalité, il avait bien vu qu'il était surpris. Il lui souriait en se disant que tout de même, ça avait dû lui donner une sacrée frousse. Ce soir, il dormirait sans doute bien après tout ça. Il n'aurait personne pour le secouer comme un prunier la tête à l'envers déjà. Grognant un peu pour ajouter une touche de bonne humeur à tout ceci, Spencer faisait tournoyer son ombrelle. Arès fixa les extrémités de cet objet dans leurs rotations en souriant, voilà donc ce qui avait hypnotisé son affilié. C'était bien un jeu pour chats, rien à dire. Il lui annonça qu'il allait prendre congé, aussitôt il referma le poing qui continuait de manipuler la boule de feu pour la faire disparaître.
"Si tu te débines pas entre temps, je t'attendrai là-bas dans une semaine. Repose-toi bien, tu en auras besoin", lui fit-il en guise d'au revoir tout en le saluant.
Il posa la main sur sa temps et leva son bras comme un salut militaire très digne. Ce délai, il lui avait imposé pour réunir les quelques trucs qu'il aurait besoin, mais aussi pour qu'il se prépare à cet entraînement. C'était loin d'être une partie de plaisir avec le dieu de la guerre, il allait vouloir du résultat. Lorsqu'il s'éloigna, il se tourna vers une allée pour voir son affilié débouler vers lui en boulet de canon, puis repartir. Arès lui rouspétait dessus, puis se mettait à rire lorsque le lion fut plus loin. Il aurait pu lui dire tous les mots les plus abjects, son lion restait et n'avait pas peur d'aller au devant de lui. C'était vraiment le meilleur associé qu'il puisse avoir. Mine de rien, même s'il se moquait de Spencer, même s'il en avait profité pour lui frictionner la crinière, ses attaques étaient si brutales qu'il comprenait nettement ce que Spencer avait dû ressentir. A présent, c'était devenu une habitude d'avoir un lion aussi impulsif dans ses interventions que lui. Jetant un regard par dessus son épaule, il regardait son fils sans qu'il le devine en se disant qu'il arriverait peut-être à construire quelque chose avec lui... La suite le dirait..
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Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R |
Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R