J'ai traversé le portail depuis le : 14/09/2014 et on me connaît sous le nom de : Sky Angel. Mon nom est : Immanuel-Jared William Snow dit Spencer. Actuellement je suis : célibataire et hétérosexuel. Il paraît que je ressemble à : Netami de l'artiste Naimane & Byakuran KHR - irl Shiloh Fernandez et à ce propos, j'aimerais remercier : Dudu pour le vava; Tia pour la signa et Reyenn pour les gifs!
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Mer 04 Fév 2015, 03:36
Attends... Quoi? T'es mon père?
I.-Jared « S. » W. Snow feat. Arès
Tout simplement un mec albinisme doué d'une schizophrénie partielle à la vue mauvaise et dont le père se trouve à être le dieu de la guerre. Un mec qu'il ne faut pas embêter, quoi. Δ Immanuel-Jared « Spencer » William Snow
- Que...?
Eh merde. C'est sûr qu'il ne me lâchera pas. C'est sûr! Je le sais, car si j'avais été lui, je ne l'aurais pas fait. Même si j'ai lâchement essayé de détourner le sujet. J'ai pas trop envie d'en parler, surtout pas avec mon vieux. Pourquoi? Bah... C'est mon père. Il va peut-être vouloir me le piquer? Qui sait? Cet enfoiré est à moi et à moi seul. Je vais personnellement lui régler son compte. J'ai pas besoin que quelqu'un d'autre le fasse pour moi. C'est ça qui serait lâche. Si je ne suis même pas capable de me venger moi-même, je passe pour quoi? Un lâche, exactement. Et je suis loin d'en être un.
- Parce que tu as une copine... ? Oh mais dis donc, tu es un vrai tombeur Enfin cette fois, ce n'est pas une chute. Et au fait cet oeil, j'espère que ce n'est pas elle qui te l'a fait perdre.
Huh? J'avais beau avoir capté son ton dur et sec, je tiltais sur le mot copine. J'aurai peut-être pas dû le dire comme ça, en fait... C'est vrai qu'en y repensant, ça sonne comme si j'avais une copine, mais en fait, nah. C'est pas ça du tout. Je parle de... De quoi? Ma race? On va appeler ça comme ça.
- Raconte moi tout mon petit...
Son expression me fit frissonner. Il avait un air sadique très effrayant sur le visage. Je ne voulais pas être son ennemi en voyant ça, mais heureusement, je suis son fils, alors j'ai pas vraiment à m'en faire de ce côté. Bien qu'il me foute les jetons en ce moment. Est-ce que je peux avoir l'air de ça parfois? Si oui, je plains ceux qui vont m'emmerder. Enfin bref.
- Premièrement, j'aurais pas dû le dire comme ça. J'ai pas de copine et c'est pas près d'arriver. Je te parlais de ma... race. L'autre moitié du sang qui coule dans mes veines. T'vois?
Je ne le lui dirai pas, parce que je savais qu'il ne m'écouterait pas. Les détournements de conversation ne fonctionnaient clairement pas sur lui et je capte très vite. J'suis pas près de lui refaire le coup. Dooonc. C'est inévitable. Je dois lui dire. En fait, pourquoi, je lui dirais? Il n'a aucun droit sur moi. Je vais vous dire la raison. C'est mon père, du coup, je crois que je me sens le besoin d'en parler à au moins un de mes parents biologique. Je lâchai un soupire. En même temps, je savais qu'en replaçant ma tignasse, il allait voir mon oeil. Ou plutôt, mon absence d'oeil. Je plante le regard de mon unique oeil dans le sien avant de prendre la parole.
- C'est arrivé y'a pas si longtemps. Avant que j'arrive sur l'île. C'est un vampire qui m'a fait ça. Et cette cicatrice aussi d'ailleurs. Je la pointai. J'sais pas, il devait être jaloux de moi. Toi et moi, on a les cheveux blancs clairs et les yeux aussi rouges que le sang. Bah, lui, ces cheveux sont plutôt blanc cendré et ses yeux orangés. J'suis plus beau que lui en gros et il l'a pas supporté. Enfin, je suppose que c'est ça. J'sais pas trop si y'a une raison plus précise derrière ça, moi, c'est celle que je connais. Il a transformé ma soeur, a failli tuer mon frère et a bien failli m'arracher mon autre oeil avant de me tuer.
Je me redresse de toute ma grandeur en faisant craquer mon dos. Je me tiens tellement droit comme une barre qu'il finit par craquer quand je me plis pour m'asseoir et me relever. Je fais tourner mon ombrelle au-dessus de ma tête et je sens mon regard s'assombrir. Le genre de regard assassin qui ne présage rien de bon.
- Mais je t'avertis, ce fils de pute est à moi. Pas question que quelqu'un d'autre lui foute la raclée de sa vie à ma place.
J'allais peut-être me rendre jusqu'au meurtre avec cet état d'esprit, mais je m'en fiche. Tout ce que je veux, c'est lui faire payer au centuple ce qu'il m'a fait endurer. Il faut que je me calme. Je commençais à sentir mon corps trembler de rage. Si je ne me calme pas, je vais faire une crise et je ne veux pas qu'Arès voit ça. Ça en mettrait un coup à ma fierté. Alors je fis ce qui était le plus susceptible de me calmer. Je sortis ma boîte à cigare. Je l'arrangeai soigneusement avant de le coincer entre mes lèvres pour l'allumer avec mon doigt. J'avais même plus besoin de mon lighter. J'aime mieux qu'il voit que je fume qu'il me voit péter un plomb.
- Quand même, arracher un oeil à quelqu'un juste par jalousie, c'est un peu tiré par les cheveux, nah?
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Dim 22 Fév 2015, 12:24
Arès demeura attentif, souriant à tout ce que lui disait son fils, il le fut d'autant plus quand il lui avoua avec une haine certaine qu'il comptait s'en prendre à cet agresseur lui-même... Le dieu de la guerre était satisfait de cette réponse qui lui témoignait une nouvelle fois d'un certain esprit combattif. Tout durant la prise de parole de Spencer, il avait cherché à deviner ce qu'il pouvait bien être. C'était presque comme un jeu. Son fils semblait pendant ce temps-là plus se raidir comme si toute cette histoire le crispait. Qui ne l'aurait pas été après le passage de ce vampire ? Il n'avait qu'à bien se tenir, son fils lui ferait la peau. Arès n'en avait aucun doute. La nervosité de cette déclaration le poussa à vouloir fumer, ce n'était qu'ensuite qu'il reprit la parole invitant son paternel à reprendre la discussion. Arracher un oeil état un châtiment atroce, priver quelqu'un de la vision pouvait le condamner à vivre aux dépends des autres dans le souvenir de cet acte terrible.
" Dans certains combats, certains combattants le faisaient pour montrer leur supériorité sur leurs ennemis. C'était une manière qu'ils avaient pour montrer que la personne était en leur pouvoir. Ils pouvaient laisser la victime perdre son sang et tituber un long moment sans l'achever."
Dans le Colisée, il avait déjà vu cette pratique. Des victimes hurlaient qu'on les abatte, mais l'agresseur riaient en les voyant dans le dénuement le plus complet. Naviguant dans cette obscurité totale, leur inquiétude était telle que parfois, ils venaient à se donner la mort pour ne pas connaître ce qui suivrait. On les traitait de lâches, oui ils l'étaient, mais ils avaient aussi une réalité bien dans leur tête. Sans la vision, leur vie ne pouvait que s'éteindre surtout si leur adversaire se lasser du répugnant spectacle. Arès n'était pas allergique à ce genre de combat, il pouvait regarder bien sûr, mais ce n'était pas intéressant quand l'écart se faisait ainsi bien trop grand. Le désespoir de ces victimes était assez savoureux, mais certains le faisaient et ce à chaque fois. Cela devenait comme une mise en scène et cela le lassait.
" Tu es bien courageux mon fils".
On y sentait une certaine fierté, parce que oui il était de sa famille et il ne déshonorait pas l'héritage qui lui avait transmis. Un guerrier ne pouvait avoir qu'un autre guerrier et c'était ce qu'il était. Qu'importe qu'il soit plus ou moins fort, il avait l'esprit et c'était ce qui comptait. Il avait vu des guerriers faibles se jetaient sur leurs assaillants en oubliant leurs vies, il les avait vus plonger une dague profondément dans la nuque de colosse. Alors non, pour lui rien n'était impossible. Après il ne disait pas que Spencer était un faible non, juste qu'il n'était pas un de ces colosses.
" Si tu veux, je peux te former. Je peux te donner des conseils pour ce futur affrontement. Je respecterai ta décision et je peux te donner les moyens d'obtenir ce que tu veux."
Arès n'était pas patient, il n'était pas à l'écoute, il n'était pas pédagogue, mais il avait une certaine estime pour ceux qui relevaient des défis sans se laisser abattre. Spencer pouvait refuser ou accepter, il s'en moquait. Disons que c'était dans ses capacités de pouvoir transmettre ce qu'il savait au niveau des armes et qu'il s'estimait être le mieux placer dans ce rôle.
" Et donc tu ne m'as pas dit ton autre moitié? La copine, ce sera un autre jour alors", rit-il.
J'ai traversé le portail depuis le : 14/09/2014 et on me connaît sous le nom de : Sky Angel. Mon nom est : Immanuel-Jared William Snow dit Spencer. Actuellement je suis : célibataire et hétérosexuel. Il paraît que je ressemble à : Netami de l'artiste Naimane & Byakuran KHR - irl Shiloh Fernandez et à ce propos, j'aimerais remercier : Dudu pour le vava; Tia pour la signa et Reyenn pour les gifs!
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Sam 28 Fév 2015, 02:57
Attends... Quoi? T'es mon père?
I.-Jared « S. » W. Snow feat. Arès
Tout simplement un mec albinisme doué d'une schizophrénie partielle à la vue mauvaise et dont le père se trouve à être le dieu de la guerre. Un mec qu'il ne faut pas embêter, quoi. Δ Immanuel-Jared « Spencer » William Snow
Ce cigare, il est foutrement bon. Je ne sais pas pourquoi c'est si bon, un cigare. Surtout quand je m'énerve. Et là, le simple fait de parler de ce vampire suffit à faire grimper ma tension.
- Dans certains combats, certains combattants le faisaient pour montrer leur supériorité sur leurs ennemis. C'était une manière qu'ils avaient pour montrer que la personne était en leur pouvoir. Ils pouvaient laisser la victime perdre son sang et tituber un long moment sans l'achever. - Dans mon cas, je crois que c'était pour se persuader qu'il était plus fort que moi.
Sans vouloir me vanter. Mais un vampire, ça fait quoi face à du feu? Ça crame, bordel, vous êtes pourri ou quoi? Bref. Une chance pour lui qu'à ce moment je ne pouvais pas me transformer en phénix parce que je lui faisais sa fête à ce con. Je porte mon cigare à mes lèvres, mais je me rend compte qu'il est fini. Dommage. Je jetai le restant au sol et l'écrasai avec le bout de mon pied. Je soupirai et relevai le regard vers mon paternel.
- Tu es bien courageux, mon fils. - Merci.
Pour que le dieu de la guerre dise ça à quelqu'un, c'est qu'il l'est vraiment. Je ne crois pas qu'Arès dise ça à qui veux l'entendre. En fait, ça doit même être le contraire. Alors oui, je le prend comme un très gros compliment. Et puis finalement, il est bien, mon vieux. Pas comme celui dont j'ai hérité et qui est partie à cause de ma schizophrénie.
- Si tu veux, je peux te former. Je peux te donner des conseils pour ce futur affrontement. Je respecterai ta décision et je peux te donner les moyens d'obtenir ce que tu veux. - Attends. T'es sérieux, là? Moi, je dis. Avec plaisir.
Avoir de l'aide de mon père? Je demande pas mieux. En fait, je crois que j'ai un peu souffert de l'absence d'une figure paternel. C'est peut-être ça qui m'a fait me rebeller. J'en sais rien. Je fais tourner mon ombrelle dans ma main en observant le dieu en face de moi. Sérieusement, la génétique est bien faite. Je suis albinos de par ma mère, mais mon père aussi à ces particularités-là. Comme quoi le hasard fait bien les choses. J'avais pas vraiment le choix d'être albinos. Ça en est presque déprimant.
- Et donc tu ne m'as pas dit ton autre moitié? La copine, ce sera un autre jour alors.
Ah ouais, c'est vrai, j'avais presque oublié ça. Quand j'y pense, il n'a pas chômé mon vieux. J'affiche alors un sourire en coin.
- On peux dire que tu ne t'es pas ennuyé, toi, pour faire un fils à une phénix! En plus de me donner les gênes de l'albinisme! Ma mère l'est, donc. Ça aide pas. Et pour la copine, je dirai que ce sera pour jamais.
Je déteste les filles, alors je ne vois pas comment je pourrais en aimer une. Je ne vous dit pas par ça que je suis homosexuel. Non. Beurk. Beurk. Beurk. Et re-beurk. Il n'y a pas moyen que j'aime les mecs. C'est dégueulasse. Enfin, bref.
- Mais tu sais pas la meilleure encore.
Et je laisse le tout en suspens. Je ne sais pas exactement comment il réagirai face au fait que j'ai été diagnostiqué à moitié schizophrène à l'âge de sept ans. Je suis conscient que je le suis, je suis capable de le dire, mais je ne sais juste pas quand je vois des choses que les autres ne voient pas.
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Mer 04 Mar 2015, 02:26
Très bien, son fils fumait quand il était nerveux, pourquoi pas, il avait envie de dire. Arès pour sa part n'avait rien pour vraiment le calmer lorsqu'il avait ses accès de colère. Comment se maitrisait-il ? Je vous répondrai de façon très aléatoire, mais la plupart du temps cela se finissait par quelque chose réduit en miettes. De façon plus rare, il pouvait lui arriver de sculpter un objet dans le bois. Sa manière de manier les armes était telle qu'il pouvait offrir à l'objet les formes qu'il souhaitait, mais c'était une facette plus créative qu'il cachait souvent. Son fils lui avait parler comment il avait perdu son oeil et lui son père tranquillement lui expliciter la démarche d'un bon tortionnaire au combat sur un ton calme et détaché. Pourtant il n'était nullement question de rester calme, lorsqu'il était question de sa descendance, Arès ne l'était pas. Même s'il promettait de ne pas tuer ce type dans d'atroces et pénibles souffrances qui lui vaudraient une nouvelle fois de devoir passer un sale quart d'heure, il pouvait tout de même lui faire regretter son geste. Il comprenait assez l'esprit de vengeance pour ne pas l'honorer. Cette volonté de vouloir se battre ne pouvait que placer Spencer dans les bonnes grâces de son père. Il partit du principe que s'il le formait à se battre, s'il faisait en sorte qu'il soit prêt pour ce combat, c'était comme s'il combattait à ses côtés. Cependant il ne le disait pas encore mais durant cette formation, il serait sévère et ne prolongerait l'entrainement que si son fils le mériterait. Arès fonctionnait par le mérite, c'était une loi parfois difficile, mais c'était la loi du plus fort. C'était avec un regard encourageant tout en attendant avec impatience que commencent ce qui paraissaient être pour lui des festivités. L'amusement était pour le dieu de la guerre à son comble dans ces joutes, où tout était à bâtir, à construire. Qui plus est, c'était un entrainement dans le but de se venger... Son regard se fit étrangement plus doux alors qu'ils évoquaient tous deux des idées plutôt belliqueuses. Il avait accepté son aide, oh il n'en était pas satisfait car il savait l'intérêt qu'il pouvait avoir à se former avec lui. La seule chose qui le motivait était de voir la naissance de ce guerrier qui sommeillait dans ce fils se trouvant juste là, en face de lui. C'était devenu un vrai homme.
" Par le passé... j'ai perdu un de mes enfants, c'était un type bien. Tué par un enfant de Poséidon. Il ne pouvait se venger là où il était alors j'ai pris l'affaire. La tête de cet abruti était loin de son corps en quelques secondes. Je l'ai bien senti passé.. j'ai été banni sur Terre... Loin de ma femme. Mais si c'était à refaire... Je le referai. on ne touche pas à mes enfants. Je te formerai, tu accompliras ta vengeance". Il lui parlait d'une voix posée comme s'il avait un pouvoir de voyance, comme si tout était écrit que ce vaurien qui avait causé sa perte mourait. "Parce qu'il ne peut en être autrement. " Il lui tapotait l'épaule de façon protectrice, rassurante. C'était un peu comme un maître qui allait laisser partir son champion, mais il était loin de le laisser partir tout de suite...
Arès le regarda de haut en bas comme pour juger du nombre d'heures ou de jours qu'il faudrait pour le former au mieux. Des estimations flottaient dans son esprit, mais tout se déciderait sur le terrain. Il cessa donc de se masser le menton de façon perplexe pour partir sur un bien autre sujet.
" Ahh les phénix, une âme si passionnée, ça m'étonne que tu ne t'enflammes pas pour quelqu'un. Tu serai un tombeur, j'en suis sûr; t'as mon charisme. ", le taquina t-il en le prenant encore sous son bras pour lui frictionner la tête pour peut-être lui faire rentrer quelque chose dans le crâne, enfin peut-être le faisait-il sans raison..
Comme ce n'était fait que pour l'embêter, il s'arrêta presque aussitôt et il allait repartir sur un autre sujet quand son fils évoqua une autre nouvelle.. Il avait le don pour mettre les choses en scène lui alors.
" Dis donc entre ta rencontre avec le banc plutôt musclée et ton suspense, tu comptes me surprendre encore comment maestro ? "
Arès s'amusait à gonfler cette fierté qu'il sentait de temps à autre en son fils tandis qu'ils parlaient ensemble. C'était un peu comme un jeu de miroir et ça lui plaisait grandement. Il se tenait droit tout durant ses prises de parole comme un général contrôlant ses recrues. De toute évidence, il y avait moyen de faire quelque chose de Spencer, il en était sûr et avant même même qu'il ne s'en rende compte lui-même il agissait un peu comme le père qu'il n'avait jamais été au sens où il lui apportait du soutien. Ce soutien, il aurait pu l'apporter à quiconque bénéficierait de ses grâces et de son intérêt soit de part sa position ou sa façon d'être. C'était tout de même un privilège.
J'ai traversé le portail depuis le : 14/09/2014 et on me connaît sous le nom de : Sky Angel. Mon nom est : Immanuel-Jared William Snow dit Spencer. Actuellement je suis : célibataire et hétérosexuel. Il paraît que je ressemble à : Netami de l'artiste Naimane & Byakuran KHR - irl Shiloh Fernandez et à ce propos, j'aimerais remercier : Dudu pour le vava; Tia pour la signa et Reyenn pour les gifs!
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Jeu 05 Mar 2015, 06:13
Attends... Quoi? T'es mon père?
I.-Jared « S. » W. Snow feat. Arès
Tout simplement un mec albinisme doué d'une schizophrénie partielle à la vue mauvaise et dont le père se trouve à être le dieu de la guerre. Un mec qu'il ne faut pas embêter, quoi. Δ Immanuel-Jared « Spencer » William Snow
- Par le passé... j'ai perdu un de mes enfants, c'était un type bien. Tué par un enfant de Poséidon. Il ne pouvait se venger là où il était alors j'ai pris l'affaire. La tête de cet abruti était loin de son corps en quelques secondes. Je l'ai bien senti passé.. j'ai été banni sur Terre... Loin de ma femme. Mais si c'était à refaire... Je le referai. on ne touche pas à mes enfants. Je te formerai, tu accompliras ta vengeance. Petite pause. Parce qu'il ne peut en être autrement.
Je souris à ces paroles, car j'étais entièrement d'accord avec lui. Je ne peux que lui donner la raclée de sa vie à ce déchet. Puis Arès vint me tapoter l'épaule de façon... Comment dire? Protectrice? Rassurante? Un peu des deux? Ça ressemblait à ça, mais je n'étais pas assez sûr pour me prononcer. Il me détaillait de haut en bas, des pieds à la tête. J'avais la vague impression qu'il me jaugeait ou qu'il jaugeait du nombre de temps que cela prendrait pour me former. Mais au fond, j'en sais rien. Je me doutais que les entraînements avec lui seraient durs et pénibles, car je savais qu'il était réputé pour n'avoir aucune pitié. Et c'était tant mieux, je détestais la pitié. C'est pourquoi je n'en montrerai pas du tout au moment de confronter ce vampire.
- Ahh les phénix, une âme si passionnée, ça m'étonne que tu ne t'enflammes pas pour quelqu'un. Tu serais un tombeur, j'en suis sûr; t'as mon charisme. - Comme si ça pouvait arriver un jour.
Vraiment? Pourquoi il a cette idée collé au crâne? J'ai beau avoir son charisme, - si ce qu'il dit est vrai - je ne suis pas attiré par les filles. Ou c'est simplement que je n'ai rencontré personne qui en valait vraiment la peine. Ou c'est sûrement ma capacité à me borner à mon idée que je ne suis pas fait pour l'amour. Alors savoir. Mais je sens que mon paternel ne lâchera pas le morceau aussi facilement... Ça me pourri déjà l'existence. Sans que je ne comprenne pourquoi ni comment, je me retrouve à nouveau sous son bras à me faire frictionner le crâne. Je ne me débattis même pas, car il arrêta presque aussitôt.
- Dis donc entre ta rencontre avec le banc plutôt musclée et ton suspense, tu comptes me surprendre encore comment maestro ?
Je souris. Un sourire tremblant légèrement sur les bords. En fait, ça me fout un peu les boules de lui dire que je suis à moitié fou. Je sais que c'est à cause de mon père adoptif. Que c'est parce qu'il est partit exactement à cause de ça. Qu'il ne m'aimait pas. Alors de le dire à mon vrai père, ça me chiffonne. Même si je ne sais pas comment il va réagir. Peut-être qu'il s'en fichera, mais peut-être pas, justement. Et si ça me faisait déraper pendant un entraînement avec lui? Et qu'il ne veuille plus rien savoir de moi? J'étais en position d'insécurité, ne supportant pas l'idée de me faire rejeter de nouveau.
- Eh bien, c'est un peu délicat, mon père adoptif nous a abandonné à cause de ça. Uniquement à cause de ça, tu vois. Il l'a pas supporté.
Ça devait bien se voir un peu que ça me mettait mal à l'aise. Pourtant, je me devais de le lui dire, au moins, avant que je ne lui fasse la surprise en hallucinant.
- Alors voilà, j'ai été diagnostiqué très jeune comme étant à moitié schizophrène. Et que mon état pouvait empirer avec le temps jusqu'à devenir une schizophrénie totale...
J'avais tout lâché d'un bloc en le regardant droit dans les yeux. Ça avait beau me foutre la chienne, je n'avais pas l'habitude d'éviter le regard des autres et surtout pas celui de mon paternel.
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Mer 11 Mar 2015, 02:29
Arès le regardait de bas en haut sans vraiment statuer une durée exacte, au pire il la déterminerait en fonction de ses performances. C'était un peu comme jauger un cheval avant de le lancer dans l'arène. Oui, Arès avait des comparaisons un peu douteuses, mais parier sur un gladiateur, c'était presque comme parier sur un cheval. Il fallait le comprendre dans ses assimilations douteuses. Spencer n'avait rien de ces grands animaux et grand bien lui fasse, cela aurait été un choc pour son père. Arès n'était pas quelqu'un qui pouvait être effrayé facilement, c'était plutôt l'inverse qui se produisait. C'était un type qui faisait celui qui avait tout vu, tout compris même s'il n'avait peut-être compris que le quart. Ne pas se perdre en divagation et en spéculation, c'était sa manière d'agir.
Tout en se frottant le menton, il remarqua une chose : Spencer n'était nullement gêné par ce petit check up. Non, il n'avait rien dit à propos de cela. Serait-il plus discipliné qu'il ne le laissait voir ? De toute façon, ils aviseraient de cela dans l'arène. Comme il le sentait un peu trop à l'aise et que cela le déroutait de sa part, il aborda à nouveau cette fameuse question de la moitié qui le composait. Cette partie de phénix qui se trouvait en lui semblait bien lui plaire pour qu'il en parle aussi aisément. Le dieu de la guerre se prit un malin plaisir à aborder de nouveau le sujet de l'amour, il sentait que là il tenait quelque chose de sérieux. Oui, il se sentait sur un bon filon. Son petit rire en disait long. Arès n'abandonnerait pas ce sujet aussi aisément. Quand son fils évoqua l'idée que cela ne lui arriverait jamais, Arès rétorqua :
" Il te reste un de mes yeux, tu as toutes tes chances".
Ne disait-on pas que l'amour rendait aveugle ? Arès se gonfla d'orgueil en disant ces mots. Il n'allait pas s'embarrasser de ce sujet pouvant être sensible aussi, non autant le dire carrément ainsi, après tout on était en famille. Et même si on ne l'était pas, il se privait rarement de dire les choses, comme il le pensait. Après un moment de silence qui ne s'était pas fait pendant ces quelques minutes, il remarqua le malaise de son fils, il allait retomber devant lui ? Ah non, ça il lui avait fait une fois, il ne fallait pas exagérer. Sinon il allait lui balancer qu'il était vraiment fragile pour déjà frissonner à ce point. IL croisa les bras dans l'attente qu'il se calme, il attendait ... un peu, en sachant qu'il ne pourrait pas le faire longtemps. Tapotant du pied, il avait hâte qu'il finisse par lui dire. Il avait l'impression de vivre une série de révélations. Plus ça s'allongeait, plus ça le rendait nerveux. C'était comme une trajet dont on ne voyait pas la sortie. Arès était du genre à s'emporter pour un oui et pour un non. Il s'emportait dans tous les sens termes : la colère surtout.
"On a intérêt à te former avant alors. Vraiment intérêt."
C'était une réponse des plus pragmatiques, on y sentait une espèce de distance sans être de la peur ou de la répulsion, juste il plaçait la remarque dans l'instant présent. De ce qu'il voyait pour le moment ça avait l'air d'aller, donc il pourrait le faire. Tant qu'il avait assez de force, qu'importe qu'il soit schizophrène, borgne ou manchot, c'était pour Arès la même chose. Cette distance feinte qu'il montrait par ses paroles en était une sans l'être. Le dieu de la guerre s'était pris la peine de reste et d'écouter. Il avait même... hoché la tête d'un air entendu. A vrai dire au sein de la guerre, il en avait croisé des hommes avec ce qu'il appelait "des défauts", mais ça les empêchait pas de tirer, manier le fusil et de courir comme des lapins.
"Dis donc, tu comptes vraiment pas me dire ensuite que t'es marié avec dix enfants ? ", rit-il. Arès se dit que tout de même ce gosse avait eu une sacrée mauvaise pioche. C'était son gamin avec toute cette mauvaise pioche, il avait eu quel karma : abandonné, schizophrénie, il était borgne et aimait se cogner dans les bancs. C'était un peu rude comme réaction, mais bon c'était Arès. Autrefois, il l'aurait montré du doigt en le traitant de faible, ce qu'il était d'une certaine façon.
" C'est qu'il est fragile le petit Spencer", finit-il par se moquer.
Rapidement il plaça ses mains sur sa taille, lui mit la tête à l'envers en riant de plus belle. Non, d'entendre ça, il le considérait pareil. Une chose l'amusait, c'était toute cette gêne en énonçant ces simples mots.
" Détends toi, respire ! ", lui disait-il en imitant la voix d'un professeur de yoga qu'il avait eu, il n'avait servi à rien donc autant montrer les restes de ces leçon sans intérêt. Soyons honnêtes, il n'avait rien retiré de formateur sur son cours. "Tu verras ça passe mieux".
Il illustra ses propos en le secouant comme un prunier.
J'ai traversé le portail depuis le : 14/09/2014 et on me connaît sous le nom de : Sky Angel. Mon nom est : Immanuel-Jared William Snow dit Spencer. Actuellement je suis : célibataire et hétérosexuel. Il paraît que je ressemble à : Netami de l'artiste Naimane & Byakuran KHR - irl Shiloh Fernandez et à ce propos, j'aimerais remercier : Dudu pour le vava; Tia pour la signa et Reyenn pour les gifs!
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Jeu 12 Mar 2015, 03:14
Attends... Quoi? T'es mon père?
I.-Jared « S. » W. Snow feat. Arès
Tout simplement un mec albinisme doué d'une schizophrénie partielle à la vue mauvaise et dont le père se trouve à être le dieu de la guerre. Un mec qu'il ne faut pas embêter, quoi. Δ Immanuel-Jared « Spencer » William Snow
- On a intérêt à te former avant alors. Vraiment intérêt.
Je rêve ou il pense juste à me former? Avant que je devienne complètement fou, de surcroît? Je pinçai les lèvres d'irritation. Oh, mon cher Spencer, on a intérêt à ce que tu ne deviennes pas totalement barge pendant ta formation, ça pourrait, j'sais pas, moi, tout ruiner? Je laisse planer un silence mal à l'aise. En tout cas, pour ma part, parce que lui n'avait pas l'air de se rendre compte à quel point cette révélation m'affectait. Et puis, je m'attendais à quoi venant de la part du dieu de la guerre? Et puis, j'crois que ça peut se lire sur mon visage que je suis irrité. Je porte ma main à ma nuque pour la gratter, signe de mon malaise.
- Dis donc, tu comptes vraiment pas me dire ensuite que t'es marié avec dix enfants ? - Aucune chance.
Bon, on s'entend que ça serait impossible. Je l'ai déjà dit et je le dirai toujours, l'amour n'est pas fait pour moi. Ça ne m'a jamais intéressé et je ne crois pas que ça changera dans les années à venir. Remarque, je dis ça, mais j'en sais rien de ce qui va m'arriver. Sauf que. J'pense pas que ça arrivera. Même s'il me reste un des yeux d'Arès, comme il me l'a fait remarquer.
- C'est qu'il est fragile le petit Spencer.
Je le dévisageai. Alors pour lui, être schizo, c'est être faible? Bon, sûrement que quand je fais une crise, c'est vrai, mais sinon, je suis loin d'être faible. En fait, j'étais vexé. Réellement. Il avait fini par me vexer même si je sais que c'était pour détendre l'atmosphère lourde que je tenais en place. Bon, peut-être que j'en fait un peu trop et que je me prends la tête pour un rien. Et puis, il avait dit ça le sourire aux lèvres, ça ne veut rien dire, si? Cependant, je restais assez crispé. Je n'aime pas que l'on rit de moi à cause de ma génétique. J'avais chopé un karma assez pourri, c'était pas ma faute, alors on s'abstient de se moquer, vous comprenez? Je vais vraiment finir par m'offusquer. Puis je n'ai même pas le temps de faire quoi que ce soit que je me retrouve la tête en bas. Hein?
- Détends toi, respire ! Tu verras ça passe mieux.
COMMENT TU VEUX QUE JE ME DÉTENDE LA TÊTE EN BAS? Sérieusement, sa manie de faire n'importe quoi avec moi commençait sérieusement à m'agacer. Je ne suis PAS une poupée, bordel! Mais d'entendre son rire me fit me détendre légèrement. Si ce n'est que j'avais la tête à l'envers. Puis, comble du malheur, il se mit à me secouer comme un prunier. HÉ HO! J'SUIS PAS UN OBJET! Bon, je sais que mon emprise sur le feu ne lui fera strictement rien. Puis j'allais quand même pas me transformer en phénix en plein milieu du parc.
- Foutu vieux à la con, tu me lâches, oui! J'suis pas une chose que tu peux secouer comme bon te semble! Ni faire n'importe quoi avec! J'ai pas étampé « poupée » dans le front!
Je ponctuai mes paroles d'un bon coup de poing dans le ventre. Je ne sais pas si ça allait faire quoi que ce soit, mais je commençais à sérieusement m'énerver. Et je sais ce qui arrive quand je m'énerve. Ce n'est pas que ça me dérange particulièrement, mais je ne veux pas que mon paternel me voit dans cet état peu... adapté? Là, il aurait une bonne raison de croire que je ne suis qu'un faiblard. Bon. Au moins, il ne m'a pas balancé au loin suite à mon annonce, c'est déjà ça.
- Et puis, y a rien qui prouve que mon état empirera! Ça fait bien au moins quinze ans et ma schizophrénie est toujours considérée comme tempérée! Si t'as rien d'autre de mieux à me dire, tu fermes ta sale gueule de vieux con.
J'étais furax, mais étrangement, je ne sentais rien d'autre que la colère. D'habitude, quand je sais que ça va dégénérer, je ne sens pas que la colère qui monte en moi, mais je ne saurais pas bien l'expliquer. Et puis, peut-être que je lui parle avec cette colère, parce que je suis trop orgueilleux pour laisser une autre émotion prendre le dessus sur moi.
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Mer 18 Mar 2015, 16:10
Quand Arès avait une idée toujours derrière la tête et souvent elle ne trainait pas longtemps au stade projet, il l'appliquait assez rapidement. C'était même assez effrayant, avec lui c'était action , réaction au quart de tour. Là il était dans son trip et n'en démordait pas borné qu'il était. Il avait déjà en tête de le reprendre comme un sac à patates, mais il ne savait pas encore comment bah il improviserait. Ce n'était pas vraiment agréable de sentir aussi fixement le regard d'Arès regarder chaque petit aspect de la morphologie, de la corpulence, de la souplesse. C'était plutôt gênant de se voir juger ouvertement ainsi et Arès se privait pas pour le faire ouvertement. C'était très visible qu'il disait " bon là c'est mince, ah il aura peut-être beaucoup d'esquive, de la vitesse aussi hum à voir.. mais la force où elle sera ? " dans sa tête sans que rien n'en sorte. C'était un examen silencieux sans pitié. C'était à croire qu'il avait vraiment zappé qu'il avait un être vivant face à lui et pas un futur investissement. Il se frictionnait la tête tout comme son père quand il cherchait à se sortir d'une situation embarrassante sans savoir exactement comment. Il leva les yeux vers lui l'air malicieux en interrompant son check up un moment. De toute façon, il laisserait ses performances parler une fois dans l'arène.
Quand Arès lui a fait la remarque sur son mariage et ses dix enfants, il fit comprendre à son père que cette éventualité était peu probable. Ce gars était direct au moins et un brin buté, ça c'était visible, mieux ça pétait au visage pour ainsi dire. Il l'amusait vraiment ce petit. Il avait enfin trouvé comment il allait le prendre en songeant à son affilié, il lui mit la tête en bas. Le sang circule mieux ainsi, peut-être que ça lui serait bénéfique, mais surtout il pourrait s'amuser à le voir gesticuler. Comme pour accompagner ses mouvements, il le secoua pour voir ce que ferait son fiston plein de fougue. Il avait bien hâte tiens et la réaction fut immédiate : il gueula et lui infligea un coup de poing dans le ventre. Spencer n'avait pas la force pour lui infliger une douleur conséquente. Son action eut le mérite de déclencher à nouveau chez son paternel un rire amusé.
" Ca t'irait bien pourtant !", lui fit-il en lui saisissant un pied et en montrant son front. " Juste là ! Poupée guerrière ! Les autres n'ont qu'à bien se tenir ! " fit-il en riant. Semblable à de la moquerie, Arès ne pouvait se départir de cette façon qu'il avait de toujours parler avec un peu de condescendance. Il jugeait de haut, mais pourtant il l'appréciait d'une certaine façon même suspendu par un pied la tête en bas. Ses yeux n'avaient pas cette teinte hautaine. En revanche, il ne tenait pas vraiment compte de ce qu'avait dit Spencer, c'était comme s'il avait pris dans ses mots ce qui lui plaisait. Ce n'était pas une formule à la carte Arès, mais ça il avait beaucoup de mal à comprendre. Il agissait toujours comme il le voulait, comme il le sentait. Néanmoins, sa farce était passée, il n'avait plus de raison de poursuivre, aussi le posa t-il tout de même au sol en douceur. C'était comme si rien ne s'était passé. C'était si beau cette facilité qu'il avait d'oublier rapidement certaines choses ! Arès avait bien des défauts mais son côté fonceur lui donnait un côté spontané et une certaine fraicheur . Il fallait juste apprendre à mieux le connaître disons, il fallait dépasser certaines choses pouvant faire péter un câble à n'importe qui.
" ... Ben écoute, nous aviserons mon petit ! Pour le moment, c'est ça alors ben faut faire avec ! A moins que tu préfères rester comme tu es et attendre, mais ce sera sans moi."
Là, il était parfaitement sérieux. S'il comptait toujours tenir compte de sa maladie autant dire qu'il était mort et qu'il n'avancerait pas, dans ce cas c'était inutile d'investir son temps pour lui. Ce n'était pas ce qui lui manquait, loin de là ce n'était pas une raison pour le gaspiller avec quelqu'un qui parlerait en de tels termes. Spencer lui avait prouvé une certaine détermination, il voulait juste la revoir briller à nouveau. Arès acceptait de le former avec ce souci, il s'en moquait du moment qu'il ne le sente pas hésiter. Les gens qui doutent se font manger, c'était comme ça. Il n'y avait pas d'autres alternatives que agir ou attendre alors il fallait qu'il se décide maintenant.
J'ai traversé le portail depuis le : 14/09/2014 et on me connaît sous le nom de : Sky Angel. Mon nom est : Immanuel-Jared William Snow dit Spencer. Actuellement je suis : célibataire et hétérosexuel. Il paraît que je ressemble à : Netami de l'artiste Naimane & Byakuran KHR - irl Shiloh Fernandez et à ce propos, j'aimerais remercier : Dudu pour le vava; Tia pour la signa et Reyenn pour les gifs!
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Sam 21 Mar 2015, 02:37
Attends... Quoi? T'es mon père?
I.-Jared « S. » W. Snow feat. Arès
Tout simplement un mec albinisme doué d'une schizophrénie partielle à la vue mauvaise et dont le père se trouve à être le dieu de la guerre. Un mec qu'il ne faut pas embêter, quoi. Δ Immanuel-Jared « Spencer » William Snow
Non, mais c'est un rire amusé que j'entends sortir de sa gorge? Il a ri quand je l'ai frappé? C'est quoi, ce bordel, sérieux? Depuis quand quelqu'un rit quand il se fait frapper? Bon, là, j'avoue que je ne suis pas face à une personne ordinaire. Peut-être que c'est parce que c'est Arès qui se trouve devant moi que ça me semble moins improbable. On sait jamais avec ce genre de personne.
- Ça t'irait bien pourtant ! Juste là ! Poupée guerrière ! Les autres n'ont qu'à bien se tenir !
Tout en parlant, mon vieux se met en tête de ME PRENDRE PAR LE PIED et de pointer mon front. J'avais envie de me marrer et de gueuler en même temps. Parce que je suis trop grand pour qu'il fasse ça sans risques. Ma tête touche pratiquement le sol et je me suis employé à tenir mon ombrelle dans les airs en plein dans la ligne de mire de ce foutu soleil. J'ai pas vraiment le goût ni l'intention de me retrouver avec des cloques sur la tronche. Ça ne serait pas génial et pas très joli. Bon, là, je boude un peu, parce qu'il ose encore se moquer de moi. Et pis, me faire tenir de la sorte ne me plait pas vraiment. Hé! Mettez-vous un peu à ma place. Je galère grave, là. Entre ma grandeur et mon ombrelle, je ne savais plus quoi privilégier. S'il décidait de baisser le bras juste un peu, ma tête cognait contre le sol. Mais, oh! Je n'eus pas besoin de poser ma main libre sur le sol pour empêcher ça, car mon paternel s'est décidé à me remettre sur pieds. Bordel, ça fait du bien. Puis je devais avoir le visage tout rouge à cause du sang. En plus, vu que ma peau est extrêmement pâle, ça paraît encore plus.
- ... Ben écoute, nous aviserons, mon petit ! Pour le moment, c'est ça alors ben faut faire avec ! À moins que tu préfères rester comme tu es et attendre, mais ce sera sans moi. - Huh? Qu'est-ce que tu dis? Je ne passerai pas ma vie à attendre, c'est bien mal me connaître. T'as fais l'erreur de me proposer une telle chose, t'as pas le choix de t'y tenir. Quoi qu'il en coûte. Crois-moi, je ne reculerai devant rien pour faire bouffer son cul à ce salopard de vampire.
Je le regardais avec l'air le plus sérieux que je pouvais avoir. Il ose insinuer que je préfère attendre? Nah, mais c'est hors de question! Ma vie est bien trop longue - ou courte, ça dépend de mon caractère - pour que je reste là à rien faire. J'ai son sang qui coule dans mes veines, je ne peux pas faire autrement qu'être combatif et déterminé. S'il en doutait, c'était lui le pire.
- Et puis, c'est une excellente occasion de contrôler au mieux ma maladie mentale en cas de danger. Enfin, si tu me dis ça, parce que tu ne veux plus me former...
Je lui fais un sourire espiègle. Bien sûr que je déconne, mais j'aime tester les gens. Et sans aucun doute, Arès reste la personne que j'aime le plus tester jusqu'à maintenant. C'est tellement drôle et flippant, c'est presque comme une drogue. Hein? J'entends comme un bruit. J'observe autour en plissant mon oeil pour mieux distinguer ce qui m'entoure, mais j'y voit que dalle. Maudite vision de merde. Puis c'est quand je sens un léger poids sur mon crâne que je sais d'où provenait ce bruit. Je souris grandement.
- Black!
Je ne sais pas pourquoi je suis aussi content de le voir, mais c'est comme ça. Peut-être parce que c'est mon affilié? Ça doit sûrement être ça. Je repose mon regard sur mon père, gardant toujours mon sourire.
- T'as un affilié, toi? Oh, je vois bien un animal sauvage comme animal de compagnie! T'as quoi? Un tigre? Un loup? Ou encore un lion? Oh, un lion, c'est trop badass!
J'avais l'air d'un gamin? Moi? Ouais, je l'avoue, j'avais l'air d'un gamin. Oui, ça peut m'arriver parfois. J'sais pas trop pourquoi ça m'arrive quand ça m'arrive, mais j'm'en fiche. L'important, c'est que je ne sois pas colérique, car c'est un immense déclencheur pour ma folie.
Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R | Mer 01 Avr 2015, 05:16
Arès avait une manière bien à lui de réagir, il tournait parfois les autres en ridicule de façon à pouvoir s'imposer indirectement. A vrai dire, il n'avait pas senti son coup de poing de façon nette aussi c'était il permet de rire aux dépends de Spencer qui nageait dans son délire de vouloir le tenir la tête en bas. Le visage de son fils devenait de plus en plus rouge comme une tomate avant la cueillette. Quand il lui évoqua l'obstacle de sa maladie, il le coinça à nouveau en lui disant qu'il pouvait encore renoncer à cela, qu'il pouvait attendre, attendre que sa chance passe. Quand il lui parla de façon très éloquente de sa détermination, ses doutes disparurent et il sourit à nouveau. La brindille avait du cran. Arès se contenta comme tout réponse de rapprocher ses mains et d'applaudir ironiquement son fils pour lui signifier que oui, c'était une bonne réponse. Il était satisfait de cette réponse. C'était si ironique, comme s'il venait d'accomplir un haut fait. Quand il lui fit part qu'il ne voulait peut-être pas le former, il le regarda avec un sourire inquiétant. Le dieu de la guerre cherchait à quel test il pouvait bien le soumettre. Spencer semblait retrouver de l'énergie à revoir son affilié... très bien, il voulait voir le sien. Il pouvait le faire venir ce gros chat solitaire, mais il faudrait lui trouver une bonne raison de venir, car monsieur était souvent en retrait. Mimer un assaut serait peu crédible, il ne viendrait pas. Alors, il faudrait le trouver ! Arès observa les alentours, aucune boule de poils noirs dans les environs. IL se mit à rire sans rien expliquer à Spencer. Très bien, il cherchait à le tester ? C'était ce qu'il avait cru comprendre, car d'une seconde à l'autre il lui avait dit que lui était motivé en sous entendant qu'Arès ne l'était pas....
" Ecoute, première épreuve. Suis moi."
Sans plus d'explication, car il fallait croire que ce n'était pas compris dans ses plans, ses traits se changèrent. Son nez s'allongea jusqu'à ressembler à une truffe, sa peau devint bien plus poilue jusqu'à ce qu'il fut recouvert d'un grand pelage blanc de la truffe jusqu'à cette queue qui apparut derrière lui. Il était plus petit ainsi, plus agile, mais surtout il devenait un vrai limier. Retrouver Leïos serait une vraie partie de plaisir et puis il avait hâte de voir ce que valait son fils en matière de traque.
"Enfin, si tu arrives à ne pas me perdre de vue." Arès s'était changé en chien de berger blanc aux yeux rouges et ne laissa pas le temps à son fils de prendre plus de recul sur cette transformation. Le dieu de la guerre chercha l'odeur de cet affilié si protecteur et si discret. Comme d'habitude, il se tiendrait à l'écart. Leïos accueillait toujours les nouvelles personnes de façon spectaculaire, puisqu'il en avait fait la demande, il le verrait. A travers les bosquets, par dessus des bancs qu'il franchissait, il gardait la truffe en l'air et cherchait à se déplacer le plus vite qu'il pouvait. Il n'avait pas une vitesse exceptionnelle, mais c'était celle d'un chien sportif bien entrainé. La piste devint de plus en plus fraîche, il se mit à courir en sautant entre les racines d'un vieil arbre. Il aurait dû sans doute : le gros matou aimait lézarder. Il s'arrêta non loin d'un jeune chêne, qui avait la particularité d'avoir des racines apparentes. Est-ce que son fils était parvenu jusqu'ici ? Leïos avait perçu qu'une autre odeur venait à lui, il se préparait à bondir... Trop impatient, il partit hélas aux devants de Spencer et lui sauta dessus pour le plaquer au sol en lui grondant dessus dans un rugissement impressionnant.
Arès se courba en deux tant il riait de voir cette scène bien avant qu'elle ne se produise. Les attitudes de son lion surprenaient souvent...
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Re: Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R |
Attends... Quoi? T'es mon père? - A R È S & S P E N C E R