« … Mais je refuse d’être tué par toi, qui sais tout maintenant. Alors adieu, ta famille m’a "tué" une fois de plus. »
Du sang… Cette vision qui était tellement habitué, cette vision que Lucio avait vu au moins une centaine de fois, même peut être des milliers… Alors pourquoi cette fois c’était différent ? Pourquoi ses yeux dorés fixaient le corps tombé de son « amie » grand écarquillés, avec cette expression de terreur… Pourquoi avait-il cette envie de crier, au fond de lui ? Incapable de bouger, fixant ce liquide rouge qui coulait rapidement… Avec cette envie de vomir au fond de la gorge. Cette envie de pleurer, cette envie de crier toute la colère et la tristesse qu’il avait… Tout ça pourquoi ? Pour une fille qui l’avait manipulé ? Pour une fille… Qui pourtant l’avait traité comme un être humain normal, et non pas comme une machine à tuer… ? C’est ainsi pourtant que ça s’était passé, durant ces deux années. Tout n’avait été un mensonge ? Pourquoi… ? POURQUOI ?!
Il fuyait, comme si c’était la seule chose qu’il pouvait…. Retenant ce hurlement qui lui brulait la gorge et la poitrine pourtant pour pouvoir sortir, il n’y avait rien qui ne s’affichait, si ce n’est que cette terreur qui lui tordait le visage… Jusqu’à ce qu’il finisse par tomber à genoux dans un coin isolé de la forêt, laissant échapper enfin sa douleur. Cette horrible douleur qu’il ressentait, pour la première fois de sa vie. Et pourtant, il avait dû la causer tellement de fois aux autres, en supprimant des vies dont il ne connaissait rien, mais qui avait dû détruire de nombreuses personnes… Est-ce que tout ceci est une punition ? Oui… Voilà, ce n’est rien d’autre que ça ! Après tout c’est de sa faute ? Pour avoir tué l’homme qu’elle avait tant aimé ? Aujourd’hui il ne fait que voir les débris cassés, par sa main… Et c’était le pire des châtiments qu’il avait pu recevoir.
Combien de temps ce hurlement résonna parmi les arbres ? Combien de temps ses larmes mouillèrent le sol ? Une éternité, peut être… Trop longtemps pour ce jeune homme, qui n’avait jamais connu un tel sentiment en lui. Et c’était bien trop pour lui, en un seul instant… Il n’était plus qu’un être brisé, qui se mit à fuir de nouveau. Fuyant juste, absolument tout. Lui, sa famille, sa ville… Et la terre, tout simplement. Allant dans ce monde parallèle appelé Sanctuary. Pour chercher un apaisement… ? Impossible… Tout était détruit, pour lui. Il essayait pourtant, de se remettre. Et de comprendre pourquoi ça faisais si mal, au fond. Il était juste terrifié, une fois de plus. Terrifié de ce qu’il était… Et écœuré de lui-même, tout simplement.
Et ça n’irait pas mieux. Non, les jours qui passaient n’aidera jamais à aller mieux. Détruit, horrifié et dégouté, il ne pourrait pas oublier cette vision qui lui faisait faire des cauchemars chaque nuit… Et qui le faisait trembler de tout son corps, tout simplement. Ce supplice tellement horrible… Qu’il voulait mettre fin à tout ça, simplement… Avançant le regard vide d’expression après avoir tant pleuré, il fixa alors ces rails qui se présenta sous ses yeux non loin… Alors il se retourna en face du chemin de fer, et commença à s’approcher lentement, même mécaniquement… A quoi servait cette vie après tout, qui en avait effacé tellement…
C’est vrai, il n’avait été que tout ce temps à l’image de ces parents. Froid et sans cœur, une créature humaine faite juste pour tuer. L’ombre parfaite de sa famille… Et aujourd’hui, il ne souhaitait que disparaitre. Car une lumière trop blessante lui avait fait voir un univers qu’il ne connaissait pas, plus doux que ce milieu remplis de sang, pour mieux le détruire. Il entendu le sifflotement du train, et ferma les yeux. Tout sera finis en cet instant.
Re: A blue light can illuminate the night (PV Statice#Remake) | Dim 05 Avr 2015, 11:35
A blue light - can illuminate the night
Parfois, une coïncidence peut sauver une vie
Feat Krig I.L. Fallgaël
Un coup de pinceau pour ici, un autre par là, un coup de marteau ici, un autre là. C’est un peu le résumé de la vie de Statice, enfin surtout les dernières semaines. Depuis son arrivé, la femme tape, scie, recouvre, c’est vraiment des journées bien pleine. Mais, la bleue est au moins totalement motivé dans ce qu’elle fait. Le haut est fini mais pas le bas, au moins, elle peut vivre en haut maintenant et ne plus dormir à l’hôtel. Essayant d’enfoncer le parquet de la grande salle, il ne semble pas vouloir rentrer comme il faut… Tentant tout ce qu’elle peut, c’est mort, quand le plancher dit non, c’est non !
En plus, faut s’entrainer un peu à faire à manger, c’est vraiment dur la vie d’une ange bleue. S’essuyant le front de peinture, la demoiselle soupir un peu d’épuisement. Au moins, un mur vient d’être fini, ce qui est fort bien déjà, plus que trois ! Bon, il faut bien aller prendre une douche pour enlever tout les restes de peinture sur son visage, bien que ce ne soit pas grave, mais vaut mieux pas rester avec de la peinture plein le visage toute la journée, cela ne serait pas apprécié par sa peau.
Se lavant le visage doucement, la femme frotte un peu pour faire partir tout cette couche de poussière et peinture. Mais, Statice n’aime pas trop perdre du temps, après tout la rentré d’argent ne se fait pas. La bleuté ne veut pas demander de l’aide, ce n’est pas du tout son genre, donc on essaie de tout faire toute seule et si vraiment on appel des professionnels. Douche terminé et vêtement remis pour cette fois construire quelque meuble. Un jean assez large, une t-shirt de couleur unis un peu rose, et un bandeau dans les cheveux pour retenir les quelques mèches qui peuvent gêner la vue. Bien qu’elle soit peu adroite de ses mains, la femme ce concentre pour réussir à faire son étagère, ce qui en soit n’est pas un obstacle non plus énorme.
Mais pour que sa tient, la demie-déesse oublie un peu les outils qu’il faut, se levant pour chercher son tournevis, elle tâtonne un peu partout avant de choper le tournevis et le marteau. Faisant demi-tour pour retourner vers son tas de bois, elle n’a pas vu le pot de peinture qu’elle percute et fini sur la bâche en plastic. Faisant de gros yeux, Stat’ regarde toute la peinture blanche coulé doucement sur la protection… C’était bien sûr son seul pot… Essayant de sauver un peu le reste, c’est pas avec un fond de pot qu’elle va finir son salon de thé. Bon bah résultat, on doit sortir dehors pour se dépêcher d’acheter de la peinture.
Après avoir mis un manteau un peu plus chaud, la femme avance pour aller dehors, bien sûr c’est un peu en courant pour ne pas avoir la porte du magasin qui se ferme devant sa face. Avec la grâce d’un pélican, la demoiselle fait un dérapage dans les rayons pour trouver sa maudite peinture de la même couleur que celle acheté. Regardant avec attention son papier avec la marque, Statice commence à se dire que la chance vient de la quitter… Ah non, c’est juste qu’il l’ait changé de place, bande de petit farceur. Prenant son pot tranquillement, pour une fois qu’aucun problème arrive dans son achat, c’est un miracle.
Statice avance tranquillement son achat bien en main, c’est sûr que ce n’est pas normal d’avoir une sortie sans encombre. Mais, voyant que sur le chemin du retour un accident à eu lieu, elle du donc faire un chemin un peu plus long pour rentrer, ce qui la dérange un peu quand même. Marchant doucement, énumérant tranquillement dans sa tête tout ce qui lui reste à faire, la femme soupir un peu en voyant tout le monstre de travail qui lui reste. Mais, c’est alors qu’elle voit une forme humaine non loin d’elle qui semble un peu immobile ? Au début, elle cru avoir mal vu, c’est vrai qu’une personne qui reste comme ça en plein milieux des rails, ce n’est pas du tout normal.
C’est alors qu’elle entend le sifflement du train qui arrive. Voyant que la personne ne bouge pas, elle ne pouvait pas hurler un prénom, vu qu’elle ne connait pas la personne… Courant d’un coup, lâchant ce pot de peinture pour se jeter sur l’homme qui semble totalement immobile. Sa respiration c’est accélère, la petite seconde d’hésitation aurait pu lui être fatal. Se retrouvant au dessus de cet homme à la chevelure blonde, tournant la tête pour voir le meurtre du pot de peinture… Ca aurait pu être lui ? Oui c’est sûr que cela aurait pu être ce jeune homme à la chevelure de blé. Regardant si tout va bien, inquiète et triste… Oui un pot de peinture est morte dans l’histoire quand même !
C’était la fin de tout… De la souffrance, de la haine, du dégout… Fermant les yeux, attendant tout simplement que ce train lui fauche sa vie. Sans avoir aucun doute, ni même de la peur. C’était tout simplement une délivrance, la seule qui lui soit possible, tout simplement. De toute façon personne ne le regretta, après tout ? Sa famille devait lui en vouloir d’avoir fuis, mais ça, ce n’était pas sans importance. Il était seul… Et allait mourir seul, lui qui n’était pas si longtemps la fierté de sa famille, c’était assez… Tragique, ou plutôt ironique qu’il allait pourrir ainsi seul, sur un chemin de fer. Mais ce n’était pas important pour lui ça non plus, plus rien n’avait d’importance… Est-ce que quelque chose en avait eu dans sa vie, au moins ?
Mais alors qu’il entendait le train s’approcher de plus en plus, des bruits de pas courant au sol se firent entendre discrètement malgré le vacarne du train qui arrivait à toute vitesse. Il eut juste le temps de rouvrir un peu les yeux pour regarder qu’il se fit d’un coup poussé par une personne de toutes ses forces, se retrouvant alors allongé hors de la voie du train qui partit alors sans lui avoir pris la vie, juste… La vie d’un pot, enfin… Sachant qu’un pot de peinture n’a pas vraiment de vie, c’est pas si grave… Il fronça les sourcils, relevant les yeux sur la personne qui lui avait n’empêche sauvé la vie, ne s’attendant pas du tout à ce que cela puisse arriver…
- Vous allez…Bien ?
Il regarda avec des yeux écarquillés… Cette jeune fille à la chevelure bleue qui paraissait bizarrement inquiète, qu’il n’avait jamais de sa vie… Il ne comprenait rien du tout, pourquoi l’avoir sauvé ? La fixant encore, il serra un peu les poings… Une légère colère montant en lui, une colère dû au fait qu’une parfaite étrange venait non pas de le sauver, mais au contraire de lui empêcher d’en finir avec ce mal être horrible qu’il ressentait…
-… Pourquoi avoir fait ça ! Pourquoi m’avoir sauvé ! Je ne vous ai rien demandé !
Il cria sur la jeune fille avec toute la colère qu’il ressentait, mais sa voix tremblante montrait sa détresse, comme si il lui fallait peu pour qu’il finisse par craquer complétement… Mais cette profonde colère masquait cette tristesse qui devrait exploser, si seulement…
Re: A blue light can illuminate the night (PV Statice#Remake) | Mer 22 Avr 2015, 21:00
A blue light - can illuminate the night
Je ne suis qu'une simplette trop stupide
Feat Krig I.L. Fallgaël
Un homme que tu ne connais, une personne que Statice n’a jamais vue. Pourtant, la bleue vient de se jeter dessus, juste pour lui sauver la vie en risquant la sienne. C’est assez idiot comme situation, risquer comme ça, sa petite personne pour un inconnu qu’on ne connait pas du tout.
Peu importe la peinture morte devant –elle, la vie est une chose beaucoup plus importante qu’un liquide coloré pour mur. La femme regarde partout sur le jeune blond, rien du tout. Heureusement qu’il n’a rien du tout quand même. Un soupir de soulagement se fait entendre de la part de la femme, c’est une bonne chose pour Stat’ qui serait très mal si celui-ci serait mal. Bien qu’il ne semble quand même pas très bien de ce sauvetage, peut être le contre choque. Penchant un peu la tête, la femme le regard un peu effrayé.
« … Pourquoi avoir fait ça ! Pourquoi m’avoir sauvé ! Je ne vous ai rien demandé ! »
Montant rapidement les épaules, oui Statice vient d’avoir peur. La femme le regard d’un air triste, pourquoi vouloir mourir ? Se mordant les lèvres, c’est vrai qu’il a raison. Il voulait mourir, pas vivre. Encore une fois, Stat fait tout de travers, c’est toujours la même chose. Mais, mourir… La bleue revoit cet oncle mort en la protégeant… Et pourtant, combien de fois Statice a voulu juste disparaitre pour ne pas déranger les gens de sa présence désagréable, surtout son oncle. Combien de fois tu t’es demandé que si tu n’avais pas existé, ton père serait vivant, ou ton oncle aussi. Pourtant, ton oncle t’a bien fait comprendre que la mort n’est pas la plus belle situation, c’est douloureux et mauvais. Statice n’est pas croyant, mais avant de se donner la mort, doit avoir toujours une solution ! Serrant un peu le poing, les yeux qui commencent à briller…
« Il ne faut pas… ! Faut pas mettre fin à sa vie comme ça… C’est important de rester en vie…. Se donner la mort tout seul, c’est pas vouloir voir la lumière ! Mourir n’est pas une solution ! Faut pas pousser la mort à venir, c’est ridicule…. Il ne faut pas mourir… car après, des gens vont pleurer pour toi… et vont souffrir… »
C’est niais ce que tu viens de dire, mais tu es une personne tout de même très simple Statice. Les larmes de Statice coulé, pour une personne qu’elle n’a toujours jamais vu et jamais connu. Il voulait mourir, c’est tout ce qu’elle sait,
« Et si personne ne va vous pleurer… Alors, je le ferais pour être sûre que quelqu’un pense à vous… Et qu’on ne vous oublie pas… »
Égoïste comme pensé ? C’est sûrement ce que diraient certaines personnes qui croiserais une parole pareil dans un livre. Remarquant que ses larmes coulent sur le pauvre jeune homme, la femme s’essuie le visage pour ne pas le salir de ses larmes.
« Désolé… »
Tu frotte tes yeux contre ta manche, hoquetant un peu. Tu ne connais toujours pas cet homme, mais tu pleuras pour lui ? C’est vraiment une personne simplette Statice, crois tu vraiment que le monde est aussi simple que ça ? Bien sûr, tu connais la dureté de ce monde, combien de fois tu voulais pleurer, mais les larmes sont restées bloqué, prenant de plein fouet la dureté de la vie. On entend les bruits de la pluie qui commence à tomber, mais ce n’est pas très grave pour Statice, composé un peu trop d’eau. Il commence à pleuviner, tout ce que l’ange trouve à faire, c’est couvrir l’homme blond de sa veste sur la tête pour le protéger d’une petite pluie passagère… Après tout, qu’il chope un grippe ou autre après être sauver de la mort, serait un peu ridicule.
Il hurlait. A pleine voix, sur cette demoiselle qui venait de le sauver. Pour sortir sa colère, qui débordait trop. Une colère qu’il n’avait pas contre elle non, mais bien contre lui. D’avoir finis était incapable de mourir, mais ça c’est parce qu’elle s’est interposé ? Donc il avait bien une légère colère contre elle, mais elle n’était pas aussi forte que la haine à son égard… Il n’aurait qu’à recommencer, autant de fois qu’il faudra, pour disparaitre, après tout. La bleue n’avait été là que pour le « sauver » une fois, mais elle finirait par le laisser, après tout ? Qui voudrait rester vers lui, en fait… Ça se voyait après tout, qu’elle avait peur de lui. Son visage ne savait pas mentir, c’est sûr. Elle avait peur de lui…. Et même lui, a peur de l’homme qu’il est… Il se devait de disparaitre, et seul, en tout simplicité…
- Il ne faut pas… ! Faut pas mettre fin à sa vie comme ça… C’est important de rester en vie…. Se donner la mort tout seul, c’est pas vouloir voir la lumière ! Mourir n’est pas une solution ! Faut pas pousser la mort à venir, c’est ridicule…. Il ne faut pas mourir… car après, des gens vont pleurer pour toi… et vont souffrir…
Elle commençait à pleurer…. Pourquoi ? Il regarda les yeux bleus de la fille se remplir de larmes, sans comprendre… Et choqué sur le coup, à la fois par l’état de la bleue que par ses paroles. Non elle ne savait rien, elle ne connaissait rien de lui. Alors comment pouvait-elle dire ça. Il était seul, après tout. Car il a voulu l’être, en fait. Car on ne lui avait pas laissé le choix, surtout… Cette famille l’avait emprisonné, mais ça avait été également sa volonté bien que dicté, et il en payait maintenant le prix amèrement… Alors les propos de la jeune fille était juste une illusion, après tout personne ne le regrettera ni le pleurera, il le savait. Il ne cherchait pas à ce quoi ça soit le cas, en fait, c’était comme ça, c’est tout. Et il l’acceptait….
- Et si personne ne va vous pleurer… Alors, je le ferais pour être sûre que quelqu’un pense à vous… Et qu’on ne vous oublie pas…
Et pourtant… Elle venait de prononcer ses mots que Lucio ne pensait pas entendre dans sa vie, et surtout pas maintenant… Quelqu’un… Qui pleurerait pour lui…. ? Il afficha de gros yeux, son regard remplis de colère et de tristesse laissant place désormais à une réelle incompréhension, mélangeait à une légère sensation de délivrance… Elle sécha ses larmes qui le moulait, mais il n’y faisait pas attention, en fait.
- Désolé…
Une excuse qu’il ne comprenait pas, en fait il ne l’avait pas réellement entendu… Ne réagissant pas trop à la pluie qui se mettait à couler, ni même au fait qu’elle posa sa veste sur la tête blonde, comme si elle se fichait elle d’être mouillé, préférant que lui aille bien… Une attention que Lucio n’avait jamais reçue de sa propre mère… Mais des gouttes lui tombaient sur le visage, malgré tout. Ce n’était pas la pluie… C’était ses propres larmes qui finalement coulaient sur ses joues…
- Pour… quoi…. Vous…….
Il lâcha ce murmure d’une voix tremblante, avant de se taire enfin de compte. Ses mots ne voulaient pas sortir, restant bloqué dans sa gorge qui ne put que lâcher un bruit. Un sanglot qu’il poussa comme un enfant, en même temps qu’il se laissa tomber un peu sur cette femme en serrant son haut. Il pleurait, comme un gamin envers sa mère. Car d’un coup il avait vu en elle un repère, une délivrance peut être. Qu’importe qu’il ait l’air ridicule, ou même qu’il faisait pitié. Il laissa toute sa tristesse couler sur la bleue. Car il en avait besoin, après tout.
Re: A blue light can illuminate the night (PV Statice#Remake) | Ven 01 Mai 2015, 13:09
A blue light - can illuminate the night
Petite maman en marche
Feat Krig I.L. Fallgaël
L’eau froide la pluie qui coulé sur les visages, ce qui refroidit souvent les cœurs, ou les rends plus vulnérable à la nostalgie. Statice déteste la pluie, mais aime aussi la pluie, c’est assez étrange d’expliquer pourquoi, mais la pluie a toujours était le visage pleurant de Statice, c’est assez étrange dit comme ça. La femme pleurait que rarement pour elle, mais pour l’autre ça allait tout seul. La personne devant-elle a les yeux gonflés de larmes, les joues brûler par cela…
Elle l’a refait pleuré, ce n’était pas son attention, Statice se sent coupable comme une idiote sur le coup. C’est stupide de faire pleurer les gens sans faire exprès. Regardant un peu paniqué, la femme ne sait plus quoi faire, idiote. Bien que pourtant, celui-ci se mette à lui serrer son haut en pleure. L’ange ne savait pas quoi faire, elle ne trouva que de rougir un peu le voyant humidifier plus qu’autre chose son haut. La demi-déesse approche doucement la main tremblante, elle n’a pas l’habitude du contact humain, et la pose délicatement sur la tête du blond en larme. Elle ne sait rien de lui, mais tout ce qu’elle voit, c’est une personne en détresse qui tend la main pour aller dans la lumière.
La pâtissière ne sait pas quoi faire, il faut trouver quelque chose à faire la maintenant. Se levant tout doucement, lui tenant un peu le bras tout de même pour ne pas qu’il tombe. La bleuté remarque juste maintenant qu’il est quand même plus grande qu’elle. C’est vrai que pour elle, au début il ressemblait à un enfant. Avalant un peu sa salive, la femme avance doucement même s’il est plus grand et à moitié sur elle, avec la pluie qui fait un peu plus de poids… Ce n’est pas grave, elle l’aidera à marcher comme elle peut.
« On va à l’abri de la pluie, d’accord. »
Tu avançais tout doucement, bien que tu ne puisses que marcher doucement avec le jeune homme. Heureusement pour toi, ta maison n’est pas trop loin, c’est vrai qu’au bout d’une dizaine de minute, Statice commençait à s’épuiser. Poussant la porte encore emballé de plastique de ta bâtisse. Stat’ est gênée de montrer le bas autant en travaux que ça… Le sol plein de bâche pour protéger le parquet, les murs à moitié peints… Ce n’est vraiment pas un bel endroit, mais heureusement le haut était aménagé, ce qui rassure un peu dans la tête de statice. La cuisine aussi était déjà prête à l’emploi, c’est par là qu’elle va, après tout c’est le seul endroit ou les escaliers se trouvent pour monter en haut.
Arrivant vers les escaliers, elle lui prend juste la main pour monter en haut. Se dirigeant vers le petit salon ou se trouve un Kotatsu bien chaud, Statice a un peu craqué sur cette achat quand même, elle a mis presque une bonne somme dessus, mais ça fait de ce petit salon en haut un coin chaleureux, en plus les motifs de chaton sont juste trop mignon. Retapant un coussin pour s’assoir dessus, la femme lui montre ou s’installer. Le temps d’aller dans la salle de bain chercher un gant de toilette bien chaud pour lui essuyer les joues qui doivent lui faire un peu mal avec les larmes. Lui frottant doucement, la femme regarde s’il n’a toujours rien.
« Je sais, je vais chercher quelque chose. »
Elle pose le gant en forme de tête de poisson, c’est vrai que Statice le montre pas, mais aime beaucoup les choses mignonne. Pour dire ses gants de cuisson c’est des grenouilles… Enfin, la femme descend doucement les escaliers pour retourner dans sa cuisine. C’est vrai qu’elle laissait mijoté son diner pendant une bonne heure histoire que le gout soit délicieux. Ouvrant la cocotte qui contient un bon potager de potiron qu’elle ce préparer pour une bonne semaine là, mais toujours prévoyante qu’une personne rentre affamer. Prenant un bol dans les nouvelles étagères, elle verse doucement pour que sa dégouline pas trop partout. Versant un cercle de crème dedans pour faire comme un faux sourire… Elle-même se surprend de faire un truc aussi net. Dans un petit ramequin s’y dépose des crouton pour un peu de croquant à mettre dedans ou manger à côté. Posant le tout sur un plateau pour y monter sans renverser… Il manque quelque chose, regardant un peu partout. Elle prend sur le plateau de cuisson quand elle c’est entrainé pour y mettre des cookies au chocolat et à la fraise sur le support et remonte tranquillement. Retournant dans le salon et lui posant le plateau devant lui.
« Tien mange un peu, ça va te faire du bien quelque chose de chaud… »
Ton tons est hésitant mais peu importe, tu t’assois devant lui en allumant derrière toi la bouilloire pour préparé un thé pour ta pomme, un bon thé à la menthe et fraise… L’odeur pour le moment qui embaume la pièce était celle du potage que tu as apporté. Mais, tu as peur qu’il n’aime pas ça ou pire que tu l’as complètement raté, car ta confiance est toujours proche du zéros.
Lucio ne réfléchissait plus à rien. Laissant ses larmes couler, comme le seul témoin possible à sa détresse et sa colère envers lui-même. Qu’il éclata sur la jeune bleue qui n’avait rien demandé, en fait. Mais il ne pensait pas non plus à comment elle devait se sentir, elle. Ca lui faisait tout simplement du bien, de pleurer ainsi, pour la première fois de sa vie, en fait. Alors il continua, sentant une main se poser sur sa tête comme pour lui donner un peu plus d’affection, ce qu’il avait déjà eu plus que durant toute sa vie avant en un seul instant. Que c’est étrange quand même… Cette fille est étrange, à l’aider ainsi. A avoir l’air de le comprendre aussi bien, en fait… Il se sentit d’un coup relevé doucement, relevant alors le visage vers celui de la jeune fille, qui était quand même plus petite que lui. Il fit un pas pour l’aider alors qu’il sentait qu’elle se mettait en marche, à moitié sur elle.
- On va à l’abri de la pluie, d’accord.
Il hocha juste la tête pour répondre. Même si elle ne devait pas trop le voir, mais bon. Il n’a jamais appris à parler beaucoup, en fait. Donc il se contenta juste de ça, de toute façon le fait qu’il n’essayait pas de se barrer était bien une réponse en soi. Il ne disait plus rien, regardant la route qu’ils empruntaient droit devant lui, et la jeune fille qui paraissait se fatiguer un peu. Ses larmes s’étaient calmées quand même un peu, bien qu’il n’ait pas eu encore le réflexe de s’essuyer les yeux. En fait il les laissa couler encore un peu, bien que ça brulait les joues, mais il n’y faisait pas attention…
Ils arrivèrent alors dans un endroit bien en bazar quand même, enfin surtout que ça semblait… Pas du tout aménagé, mais Lucio ne réagit pas plus qu’à tout ça. Ils montèrent des escaliers, arrivant dans un salon qui lui était bien plus joli à voir qu’en bas. Mais ne disant toujours rien, le blond se contenta de s’asseoir alors que la jeune fille lui montrait un coussin avant d’aller ailleurs. Elle revenue avec un gant avec lequel elle lui frottait les joues. Sur le coup il ferma un petit coup les yeux par reflexe, avant de les rouvrir tout aussi rapidement. La chaleur du gant était quand même agréable… Autant que ce geste remplis d’affection une fois de plus de cette femme dont il ne connaissait toujours rien…
- Je sais, je vais chercher quelque chose
Elle reparti alors, visiblement pour descendre les escaliers aux bruits que Lucio entendait. Celui-ci regarda rapidement la pièce, en attendant. Fixant ce qui en face de lui semblait être une table, il n’en avait jamais vu de telle auparavant. Et puis on pouvait sentir une chaleur sortir du dessous… Alors il tendit un peu une de ses jambes pour la passer sous l’espèce de couverture, et remarqua qu’effectivement c’était tout chaud en dessous. Clignant des yeux car quand même, c’est choquant pour lui de voir une chose pareille alors qu’il n’avait jamais vu ça avant. Mais c’était agréable, c’est sur… Il mit alors l’autre jambe dedans, pour lui faire profiter lui aussi de cette chaleur. Dire que c’est Japonais en plus, il a loupé quelque chose dans sa vie quand même… Enfin il en a loupé pas mal, en fait…
La femme revenue alors avec un plateau, sur lequel étaient posé un bol et une petite assiette, ainsi qu’un autre espèce de bol plus petit. Le blond regarda le tout, qui visiblement était pour lui ? En tout cas, il ne fallut pas longtemps avant qu’une bonne odeur émana dans la pièce. Elle le posa devant lui, signe que c’était bien pour lui.
- Tiens mange un peu, ça va te faire du bien quelque chose de chaud…
Il fixa le contenu du bol. Ou plutôt le petit dessin fait de crémé dessus. Un sourire… Cette chose qu’il ne savait pas du tout faire, en fait. Il avait un peu bugé. Mais son regard retourna sur la bleue, ayant l’air de vouloir dire quelque chose…
-… Mer… Ci….
Bien que sa voix était un peu faible. Il faut le dire, l’Elfe n’avait vraiment pas l’habitude de parler ainsi, il était un peu hésitant là. C’était déjà un gros effort, quand même. Mais elle le méritait, elle qui l’avait soutenu quelque minutes plus tôt… Il prit un crouton alors, dans le but de le mettre dans le potager, le sourire en crème le fit hésiter quelques secondes. Mais il fallait bien manger ! Alors tant pis, il mit le crouton dans le bol, avec d’autres, et commença à manger, bien que c’était assez chaud il n’en fut pas dérangé. Il avala doucement.
-…. C’est bon…
Encore une fois d’une voix hésitante, c’est presque un exploit pour lui quand même. Mais il était sincère malgré tout. Il n’avait jamais mangé quelque chose d’aussi doux et remplit de sentiments. Alors il continua de manger lentement, dégustant avec presque plaisir cette nourriture…
Re: A blue light can illuminate the night (PV Statice#Remake) | Jeu 28 Mai 2015, 20:51
A blue light - can illuminate the night
Petite maman en marche
Feat Krig I.L. Fallgaël
Comme une maman s’occupant de son petit qui a vécut une journée beaucoup trop pesant est traumatisante, Statice s’occupe d’un jeune homme qui semble totalement perdu dans toute sa tête. Sa voix timide et hésitante est beaucoup plus faible que la tiennent. Un petit penchement de tête quand tu le vois hésiter à manger, peut être qu’il n’aime pas du tout ça.
Mais, dés qu’il commence à manger, la bleue est plus rassurée qu’autre chose. Hochant un peu la tête quand un remercie de celui-ci sort de ses lèvres, bien que timide comme remerciement. Prenant une tasse à côté de la bouilloire pour y mettre un sucre et un sachet de thé, la femme se verse l’eau bouillante pour se servir une bonne boisson chaude pour se réchauffer. Surveillant si le jeune homme mange bien à sa faim, oui toujours inquiète pour un rien. Sur le coup l’ange réfléchit un peu à quoi faire, peut être préparer un lit ? Ou la douche ? Et les vêtements ?! Sur le coup, la femme ne sait pas trop comment lui donner de nouveau vêtements. Se mordant un peu la lèvre en regardant partout, la femme se souvient qu’elle a pris quelque vêtements de son oncle décédé… Elle n’arrivait pas à les revendre. Autant qu’ils soient utiles.
« Si tu veux, tu peux aller prendre une douche après ? »
Dit-elle en penchant un peu la tête, bien qu’elle ne sait pas du tout si c’est imposé ou non. Bien que ce ne soit pas du tout le genre de la femme d’imposer des ordres comme ça dans la face des gens, c’est une autre personne ça. Buvant doucement sa boisson bien chaude, qui lui provoque un frisson avec le froid de dehors et la chaleur de celui-ci. Puis d’un coup, Statice percute quelque chose de plutôt pertinent. Elle pose la main sur sa poitrine en s’indiquant.
« Sta…Statice. »
Bravo, tu connais ton prénom. La femme ne sait jamais vraiment comment s’introduire devant les gens qui sont totalement inconnus pour elle. C’est toujours compliqué de se présenter correctement parfois. Se disant d’un coup que peut être qu’il ne veut pas se présenter et garder son prénom en secret ?! Faisant des gros yeux, la femme ne sait pas du tout quoi faire en ce moment même, peut être qu’elle a fait une gaffe totalement nulle.
« Tu… Vous… pas obligé de dire votre prénom si pas…envie… »
Elle en perd son français la cocotte. Ne sachant plus ou se mettre d’un coup, elle boit juste en espérant que sa bourde ne va pas lui faire mal… Puis, au lieu de rester dans le silence, la femme allume la télé, pour mettre un peu d’ambiance. Un dessin animé se met en route, bon okay, ce n’est pas ce que regarde Statice, mais ça met de l’ambiance au moins. Une petite musique joyeuse qui remplit la salle, au moins c’est toujours agréable de regarder des dessins animé.
Se levant doucement, la femme va dans sa chambre ouvrir la valise contenant quelques vêtements, bien que ce n’était que des vieux truc… Hésitant un peu, l’ange décide de prendre juste un jogging et un t-shirt qui va être sûrement trop large pour lui. Posant tout dans la salle de bain. La femme vérifie que rien n’en manque tout de même. Revenant doucement vers l’homme.
« Euh… J’ai préparé la salle de bain. Si y a un problème, ma chambre et juste à côté, je vais juste me changer d’accord… ? »
Tu ne veux pas le laisser c’est sûr, mais faut bien que tu te change. Avançant doucement pour aller dans ta chambre, l’ange se change pour mettre son pyjama bien chaud pour la nuit. Un bas de pantalon unis et un haut avec un dessin de poussin dessus, oui bon y a mieux pour quelqu’un d’adulte comme toi, mais tu l’aime bien ! Enlevant doucement ton haut pour libérer ta poitrine de l’emprise de ton dessous, Nonoshiri s’habille pensive en écoutant si tout va bien.
Mangeant de la nourriture qui n’avait jamais été aussi bonne dans ses souvenirs, cela apaisait juste un peu le cœur pourtant inexistant de cet homme. Peut-être que la gentillesse de la femme l’avait touché ? Oui, c’était le cas. Il avait suffis d’une seule phrase, pour qu’il laisse couler toutes les larmes de son corps, après tout. C’est comme si on lui avait mis cette femme, cet ange gardien, pour lui donner une seconde chance. Pour qu’on accepte de le pardonner, la question était : en avait-il le droit, pourtant ? Même si il était la victime de sa propre famille, qu’il avait été toujours été dicté par cette dernière, en même temps il n’avait jamais cherché à réaliser le mal qu’il faisait, avant maintenant. Alors il voulait malgré tout saisir cette « seconde chance », qu’il le mérite réellement ou non.
- Si tu veux, tu peux aller prendre une douche après ?
Lucio regarda de nouveau la jeune femme, lâchant de ce fait le potager du regard qu’il mangeait avec délice, même si il n’arrivait pas vraiment à le montrer. Il hocha juste la tête en signe de réponse. Mais elle paraissait vraiment nerveuse, même si il avait du mal à la suivre, comprendre autrui est tellement dur, pour lui qui n’en avait pas l’habitude… Et qui était trop mal encore, trop perturbé, pour pouvoir analyser quoi que ce soit, quand même bien il devait toute sa gratitude envers la femme… Femme qui venait d’avoir l’air de tilter quelque chose, d’un coup. Elle plaça sa main sur elle-même, comme pour se pointer.
- Sta…Statice.
« Sta… Statice »… Il la regarda quelques instants, sans comprendre. Jusqu’à ce qu’il réalise, après un moment court quand même, qu’elle se présentait à lui. Car oui Lucio, cette femme à un nom, comme toi. D’ailleurs en ce qui te concerne… Que peux-tu faire de ton nom, alors que tu as tout fui du jour au lendemain ? Tu n’y avais pas pensé, toi qui voulais juste tout envoyer en l’air, même ta propre vie… Que devait-il dire à part ça, autrement ? Il n’avait jamais fait dans la politesse ni même dans les réelles échanges avec autrui, donc il se retrouve bien démuni…
- Tu… Vous… pas obligé de dire votre prénom si pas…envie…
Elle stressait, une fois de plus. Mais c’est comme si elle avait compris qu’il n’avait pas vraiment envie d’en parler, enfin qu’il avait hésité surtout. Alors que le silence s’installait maintenant, la dénommée Statice alluma alors la télévision…. Oui oui, il sait quand même ce qu’une télévision, sa famille en avait une pour pouvoir rester au courant de ce qui se passait après leurs missions… Mais ce qui était à l’écran ici, ça n’avait rien à voir avec ce qu’il avait toujours vu. Il en sortait une musique joyeuse, et des images très… Très… Gnangnan ? Pourtant, Lucio était scotché devant ça, ce dessin animé qui était une première pour lui… D’ailleurs, sur le coup de cette nouvelle découverte, il en faisait pas mal depuis qu’il était dans cet appartement, il n’avait pas entendu sa sauveuse quitter la pièce, pour y revenir quelques instants après.
- Euh… J’ai préparé la salle de bain. Si y a un problème, ma chambre et juste à côté, je vais juste me changer d’accord… ?
Lucio releva subitement la tête vers elle, revenant à la réalité. Alors il se leva, allant dans la salle de bain sans se perdre, faut dire que ce n’était pas un grand appartement non plus, ne pas s’y retrouver allait être compliqué. Se déshabillant pour prendre sa douche, elle s’avéra être rapide en fait, vu qu’il n’avait jamais eu la pensé que ça pouvait être aussi agréable de rester un peu sous l’eau, il n’y voyait que le côté pratique et propre dans l’action de prendre une douche. En fait il avait pu constater aussi que le seul produit à douche disponible faisait féminin, mais il n’avait rien à y dire, ce n’était que l’affaire d’une soirée, après tout ?
Bref, il en sortit du coup après 10 minutes à peine, prenant les habits qui était posé et les enfila sans se poser de question, même si ce n’était pas vraiment à sa taille. Il retourna dans le salon, où Statice était revenu déjà, habillé d’un pyjama assez enfantin… Il se rassit sur son coussin, fixant le bol qu’il avait fini avant sa douche, le regard un peu vide d’expression.
- Je…. M’appelle Lucio… Ilian Keynes…. Enfin je crois…
Il croit…. Cela ne veut rien dire, mais on ne va pas le relever. Montrant juste qu’il était paumé en ce qui concerne sa propre identité, c’est vrai que celle-ci ayant été fait par la mort de beaucoup d’innocents, ce n’est pas quelque chose que beaucoup accepteraient, lui ne pouvait plus le faire maintenant. Il serra un peu les jambes contre lui-même, jusqu’à ce que le son de la télé revenu à lui. Alors il releva les yeux vers l’écran, une fois de plus hypnotisé par les dessins qui défilaient.
-…. Qu’est-ce que c’est ?
Il avait presque une curiosité digne d’un enfant devant les animations qui passaient devant lui. Mais tout était nouveau pour lui, alors il cherchait juste à apprendre ce monde inconnu qui se présentait devant lui. Ce monde appelé juste une vie normale, en fait.
Re: A blue light can illuminate the night (PV Statice#Remake) | Mar 11 Aoû 2015, 18:49
A blue light - can illuminate the night
Petite maman en marche
Feat Krig I.L. Fallgaël
Le stress t’explose à la figure, c’est sûr que tu te sens plus du tout en ce moment même. Tu ne sais pas du tout comment réagir devant ce jeune homme complètement perdu. Bien qu’il te ressemble un peu, il ne montre pas beaucoup d’expression, ne sait pas du tout quoi faire en ce moment même. On va dire qu’on ne prévoit pas grand-chose si on prévoit de se suicider dans l’heure, ou alors c’est que cette personne est clairement bizarre. Entendant le bruit de la douche, la femme ne sait pas trop quoi faire en attendant. Se grattant un peu la joue avec beaucoup de stress, respirer lui fait un peu de bien.
C’est alors qu’elle voit une tête blonde apparaitre discrètement, c’est fou comme il ne fait aucun bruit quand il marche. La femme est bien contente de l’avoir vu, sinon elle aurait fait un bond, ou pire serait devenue une flaque d’eau. Mais, ce qui t’as fait un peu peur, c’est d’entendre sa voix parler d’un coup comme ça, ce n’est tellement pas stylé de faire de gros yeux d’un coup.
« Je…. M’appelle Lucio… Ilian Keynes…. Enfin je crois… »
Clignant encore des yeux, la femme ne sait pas trop quoi pensé ? Enfin, c’est un prénom sophistiqué. La femme regarde partout, ne sachant clairement pas quoi dire devant lui, au moins elle peut l’appeler par son prénom ou son nom plutôt. Maintenant tu es comme une débile a ne pas savoir comment l’appeler… Bravo cocotte. Détournant un peu le regard vers la télé comme lui, comme pour s’aider à trouver quoi dire, mais il faut croire que le blond parle plus vite qu’elle.
« …. Qu’est-ce que c’est ? »
Sur le coup, la bleu semblait un peu débile, elle ne savait pas trop quoi dire. Il parle de quoi ? De la télé ! Ah bah oui, crétine, pourquoi paniquer autant pour pas grand-chose. Te mordant la lèvre, tu cherche tout de même tes mots pour ne pas dire n’importe quoi. Comment expliquer ? Aller, faut lancer la réponse !
« C’est un dessin animé. C’est des dessins qu’on a mit bout à bout pour faire de l’animation. C’est souvent dans des mondes imaginaires… »
Dit-elle en jouant de ses mains, ne sachant pas trop si ce qu’elle a dit était bon ou non. C’est n’est pas non plus une grand spécialiste dans ce genre d’explication. Avalant un peu sa salive stressée la demoiselle débarrasse donc la table de façon à ce qu’il n’y a plus de gêne pour les mouvements.
« Les enfants aime beaucoup ce genre de série, comme cela s’adresse à des publics plus jeune… Enfin, selon le thème et la façon de parler. »
On se perd dans les explications, ne sachant clairement pas si c’est toujours bon. La demoiselle s’assoit bien en le fixant. Regardant l’heure qui commence a défiler, la femme commence à bailler. C’est vrai qu’il commence vraiment à se faire beaucoup trop tard pour la femme. Se frottant les yeux, la femme se lève doucement.
« Il faut aller dormir…Enfin, tu veux dormir… ? Enfin, tout seul.. ? »
Tu ne sais clairement pas quoi dire, ce qui est bien dommage tout de même, faut parfois être beaucoup plus franche dans la vie !
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