La petite flaque dans la prairie, le remake [Pv Allen ♥]

La petite flaque dans la prairie, le remake

« ♥ H. Allen Heung Kei ♥»

Un jour enfin calme ? C’est toujours comme ça après un jour très remplis à la boutique ! Comme d’habitude laver toutes les assiettes et les tasses pour que tout soit bien propre ! Bien qu’on fait attention de ne rien casser quand même, enfin on essais. Aujourd’hui une commande d’assiette en porcelaine va bientôt arriver. Donc la demoiselle bleue attend avec impatience que tout cela arrive en bon état bien sûr. Bien qu’il faut aussi aller faire les courses pour quelques détails… Tant de chose à faire pour si peu de temps… S’essuyant les mains pour ne pas avoir les mains qui glissent pour ranger toute la vaisselle, bien que pour une fille qui contrôle l’eau, c’est un comble pour elle d’avoir la peau sèche !

Bon première tâche de la journée faite, maintenant le ménage dans la salle, avec un peu d’entrain, la femme passe le balais en frappant quelques tables, rattrapant in extrémise un pot de fleur, toujours le même problème avec la demoiselle ! Un jour ça sera la reine du balai, un jour…. ? Faut pas trop rêver, mais si rêvons un peu quand même. La femme vérifie que tout soit impeccable, bien que pourtant rien ne semble avoir changé, ça d’être un peu trop maniaque… Bon le jardin ! Ah non ça c’est le rôle de Krig. Statice réfléchit un peu en enlevant ses gants pour le ménage, mais en fait il n’y a plus rien à faire pour aujourd’hui, content d’elle, la femme décide de s’accorder un petit thé.

Celui-ci terminé, la toute bleu décide de sortir dehors, oui c’est vrai que dire ça c’est sûr un truc va arriver… C’est terrible de sortir dehors quand même, y a des gens, de la lumière non-artificiel, du vent… Bref la vie quoi ? Mais, la demoiselle doit sortir, donc c’est avec entrain et passions, surtout passion, qu’elle part chercher des ravitaillements pour son salon. Après tout, il ne doit manquer de rien ! Statice n’aime pas trop les bains de foule, mais quand elle doit y aller, c’est avec tout son courage que celle-ci avance, bien qu’elle a pu demander à un collègue d’y aller ? Non c’est le rôle du patron de faire ça ! Puis c’est elle qui cuisine donc la femme sait ce qu’elle veut ! La voilà en ville tranquille, mais c’est alors qu’une chose affreuse arrive… Le magasin bondé de monde, celle-ci se stop et n’ose pas rentré, sur le coup ce n’est pas habituel ce genre de chose… Regardant à droite puis à gauche...

« Promotion… ? »

Super c’est bien le moment pour faire ça, juste quand Statice veut sortir faire des courses, ne voulant pas affronter les fous qu’il a dans le dedans, elle préfère rester dans le dedans de dehors (oui cette phrase est logique…) Soupirant un peu, elle attend que la foule soit moins oppressante pour l’ange, bien qu’il y a plus de personne qui rentre, qu’il y en sort. Se mordant un peu la lèvre, la femme serre son sac ne voulant pas y aller, ce n’est pas comme ça qu’on va y arriver ! Voyant l’heure tourner, c’est décidé, affronter sa peur elle doit ! Mettant un pied puis un autre pour rentrer, la femme essais de ne pas bousculer, ou même finir au sol à manger la racine des pissenlits…. Oui bon c’est du carrelage mais voilà !

Sortant de se lieu presque épuisé, le sac en main…. Miracle pour cette femme, elle est vivante ! Les cheveux un peu en pagaille, la respiration rapide, non mais sérieux…. C’est flippant une foule ! Avançant doucement, la femme décide de rentrer chez elle. Le petit bruit de ses talons sur les pavé qui font presque un son tout mignon, et qui ne sont pas désagréable, pas comme ce bruit qui grésille dans les oreilles de Statice. Quand la femme tourne le regard pour voir ce que c’est, elle tombe nez à nez devant une ruche… Une RUCHE ?!

De gros yeux s’affichent sur son visage, avant de reculer en tremblant, une ruche… Voyant une abeille en sortir, la femme n’a pas réfléchit, et est partie d’une vitesse incroyable en volant… Elle n’était même pas à 5 minutes de sa boutique, la voilà maintenant à plus de quelques heures…. Que dire devant ça ? Statice ne panique pas comme ça devant une RUCHE ! Quoi que si c’est flippant une ruche…

La femme atterrit elle ne sait où ? Des maisons un peu partout… Mais le pire c’est qu’elle continue de courir, croyant vraiment qu’une abeille la suivit de la ville à ici… C’est sûr que ça peu vachement voler à une vitesse pareille… Courant comme une furie, la femme arrive dans une rue on va dire, mais remarque un obstacle qui bouge un peu trop à son goût, ne pouvant freiner, la voilà faire de gros yeux et se liquéfié littéralement devant la personne… Le sac de course à côté, après tout c’est le seul truc qu’elle ne peut pas liquéfier…. Ni les vêtements aussi… STATICE !

Tu fixes les faibles rayons de soleil s’infiltrer dans la chambre par la fenêtre aux rideaux semi-tirés. Tranchant nettement avec l’obscurité de la pièce, la poussière danse dans le rayon de soleil, illuminant d’une longue bande le sol et le lit. Ton regard se promène, de la vitre où tu peux apercevoir quelques buissons puis une légère falaise, avant la mer de nuage qui s’étend à l’horizon, au lit sur lequel dort paisiblement le jeune garçon qui t’as hébergé lors de ton arrivé, perdu et angoissé. Tu te frottes les yeux, fatigué, puis descend jusqu’à ton cou et effleure les deux petites traces, seule preuve de la veille au soir. Tu regardes le visage endormi du vampire, ses longs cils et ses cheveux blancs argentés, sa nuque et son dos dégagés des couvertures. Assis et adossé contre le mur, tu tend ta main et caresse ses cheveux, le visage rêveur, tes propres cheveux ébouriffés te tombant devant les yeux. Dix, vingt...tu restes trente secondes la main dans ses cheveux soyeux avant de la retirer et, dans le même mouvement, retirer la couverture qui couvre encore une de tes jambes, puis tu te lèves d’une démarche branlante, encore déstabilisé d’avoir servis de nourriture au jeune homme. Tu marches dans la chambre jusqu’à atteindre une armoire, attrape des vêtements et sors de la pièce, sans bruit, faisant attention à fermer silencieusement la porte.

La maison baignait d’un silence pesant. Habituellement, lorsque Rei était réveillé, ce silence t’étais impossible à percevoir. Tu marches dans le couloir, descend les escaliers, traverse le salon et entre dans une salle de bain, tes vêtements à la main, fermes la porte derrière toi et poses tes vêtements sur une petite table, avant de te déshabiller et entrer dans la douche. Tu sors 20 minutes après, ouvre la fenêtre pour faire sortir la buée, te sèches rapidement - en fait, tu n’avais quasiment pas besoin de te servir de serviette, ton pouvoir pouvant très bien retirer toute traces de bain - avant d’enfiler tes vêtements. Tu poses la serviette à l’endroit prévue et sors de la pièce, jetant ton regard vers la baie vitrée par laquelle le soleil illuminait la pièce. Tu jettes un coup d’oeil à l’horloge murale - 10h32 - puis te rend à la cuisine, te préparer un rapide petit déjeuner.

Assis à la table, tu fixes, toujours rêveur, la baie vitrée, le jardin et la mer de nuage, mangeant distraitement ton omelette, feuilles de patates et ton café - tes habitudes coréennes ne sont jamais partis, même après tes années au Japon puis ici. Tu pensais à ta mère. Enfin plus exactement, pas à ta mère et son beau visage déformé par la haine, t’atrappant le poignet pour t’envoyer contre le mur, brisant le-dit poignet, tandis qu’elle vociferait des insultes sans aucune légitimité, mais plutôt la côté elfe et familiale de ta mère. Avait-elle déjà vécu sur l’Île? En avait-elle même conscience? Tu te demandais, si jamais il t’arrivait d’aller te promener parmis les elfes et demander si ils connaissent une certaine Bellatrix Heung Kei, si quelqu’un allait répondre positivement. Bien sur, tu avais envie de découvrir tes origines. Si tu avais encore de la famille, biologiquement parlant, ou si Bellatrix avait changé de nom de famille à Séoul - ou peut-être était-elle née la-bas et n’en savais rien - et qu’il était donc impossible d’en savoir d’avantage.

Tu poses tes baguettes et finis ton café, puis va laver l’ensemble de la vaisselle. Une fois le tout rangé, tu jettes un autre coup d’oeil à l’horloge. 11h14.Tu hésites deux bonnes minutes, avant de retourner dans la chambre, vérifiant si Rei dort encore. La masse de cheveux et le soulèvement régulier de ses côtes te confirme ton hypothèse, tu refermes la porte, attrape un post-it, écrit un petit mot dessus que tu colles sur la table du salon, mets tes chaussures, attrape ton blouson et sors de la maison, les clefs en main.

Il devait être 13h passé lorsque tes pas foulèrent la plaine. Tu te dirigeais vers la forêt, traversant une partie de la plaine, en contournant Chloris, pour t’y rendre. Tu regardes les multitudes de fleurs multicolores autour de toi, te rappelant ton jardin au Japon, quand tu y habitais encore. Avant ton accident. Dès lors, tes derniers mois sur Terre s’étaient déroulés à l’hôpital, en fauteuil roulant, à fixer de tes yeux vides la fenêtre et la mer. Tu secoues la tête, chassant ces vieux souvenirs, accelerant le pas en profitant plainement de tes jambes. Tu n’avais jamais pensé les revoir un jour, pouvoir marcher comme tu le souhaite. Depuis que tu étais arrivé, avec de nouvelles jambes, tu cherchais toujours, consciemment ou inconsciemment, à marcher, bouger. Sûrement par peur de voir tes jambes disparaitre, et remerciant par ailleurs celui qui te les avait offert. Hadès.

Tu entres timidement dans un village elfique situé à la lisière de la forêt. Curieusement il n’y a pas grand monde, alors personne ne te demandes ceque tu fais ici, mais en même temps personne ne peut te renseigner sur ta mère. Tu retiens un soupire exasperé et continue de marcher dans les rues pavées, admirant les différentes maisons et jardins. Est-ce qu’un jour, Bellatrix avait habité dans une d’entre elle? Est-ce qu’un jour cette femme aux longs cheveux noirs et aux yeux spectaculairement dorés avait franchi le pas d’une de ces portes? Tu te savais pas. Quelque part tu t’en fichais, parce que ces yeux étaient tellement remplis de rages qu’ils s’étaient ternis, et cette femme, aussi belle avait-elle était, ne correspondait dans ta tête qu’à une horrible femme sanguinaire sans morale. Tu secoues vivement la tête, chassant de tes pensées, avec un frisson d’horreur, son visage. Puis en rouvrant les yeux, tu aperçois enfin quelqu’un.

Elle court dans ta direction, et tu clignes des yeux en reculant. Tu paniques. Qui est-ce? Pourquoi? Elle court, court toujours, comme si elle fuyait quelque chose que tu ne voyais pas. Tu t’apprête à t’enfuir, mais elle s’approche de plus en plus, la distance entre vos deux corps diminue rapidement, mais alors que tu t’attendais au choc brutal d’une telle course, la jeune femme - il s’agissait bien d’une jeune femme en effet - disparut. Tu pousse un couinement, l’hurlement refusant de sortir de ta gorge, et regarde autour de toi, la terreur te nouant le ventre. Il n’y avait perdonne. Rien. Clignant des yeux et tentant de te calmer, tu jette un regard au sol et sursaute en reculant. Par terre, une flaque d’eau, des vêtements et un sac de courses. Tu clignes des yeux et, après avoir hésité, tu t’accroupie, soulevant la robe du bout des doigts pur t’assurer qu’il n’y a rien en dessous. Rien à part une flaque d’eau. Tu reflechis terriblement rapidement. les vêtements appartiennt forcement à la jeune femme, le sac également, et il n’a pas plus depuis deux jours. Tu regardes la-dite flaque d’eau, puis la rue déserte. Tu hésites fortement à repartir comme si de rien n’était, histoire d’éviter les ennuis, mais te résigne. Tu passes le sac à ton coude, attrapant les vêtements de la même main et avec l’autre, tu soulève l’eau pour lui donner une forme de boule, et te dirige vers l’extérieur du village. A l’abris entre une petite cabane vide et la masse d’arbre, tu reposes par terre la boule d’eau, puis les vêtements, et tu t’assois au sol en plaquant tes mains sur tes yeux.

«Hum...excusez-moi...Je ferme les yeux, alors vous pouvez...enfin, si je me trompe pas...Vous êtes bien l’eau?»

Tu manque de t’étouffer en t’entendant ainsi parler, et t’empresses de rajouter d’une petite voix:

«Désolé, c’était déplacé…»

La petite flaque dans la prairie, le remake

« ♥ H. Allen Heung Kei ♥»

Un jour Statice, tu vas te faire arrêter pour attentat à la pudeur, un jour… Ou alors pour agression non voulu sur personne faible. Parfois tu fais peur quand même ! Non mais, imagine la pauvre personne qui a du subir la vue de ta panique… Mais voilà maintenant Statice en mode flaque d’eau devant un homme, ne pouvant rien faire, impuissante et tout ça… Au début, elle faisait comme si on ne l’avait pas vu… Mais vu la tête de l’homme, c’est sûre qu’il a deviné que cette flaque c’est une jeune femme. Statice décide alors de se sauver en mode ninja, mais la voilà entrain de lévité hors du sol… Une première ? Depuis quand l’eau peut voler comme ça ? Regardant l’homme qui semble concentré…

Kidnapping ?! Oh non, pas ça ?! Statice panique toute seule imaginant, les pires choses au monde qui peut lui arriver… Non c’est trop affreux, non pas ça ! Pas la pauvre demoiselle en détresse qu’elle est ! C’est la faute de cet insecte ! Il veut vraiment ça mort quand même ! Essayant de se calmer, la voilà dans un coin un peu loin de la civilisation… Ne panique pas, reste calme, cet homme est peut être pas ce que tu crois ? Non, c’est sûre qu’il a pas la tête d’un violeur de première…ou d’un tueur en série, mais on ne juge pas la couverture d’un livre comme ça, c’est peut être une couverture ?! Reste calme on a dit Statice !

La revoilà touchant le sol, c’est pas le moment de montrer un instant de faiblesse, regardant un peu ce qui se passe, voilà ses vêtements posé au sol… Il fait quoi ? Clignant des yeux un instant… Le voilà entrain de se cacher les yeux ? Ce n’est pas un violeur ? Quoi que… Il va faire quoi avec une flaque d’eau ?! Il est peut être Flaquophile… Oh mince… Il n’a pas l’air de bouger ? Statice se retransforme en elle, se cachant quand même les parties intimes de celle-ci. S’habillant rapidement… Un peu effrayé par l’homme… Voilà, plus d’attentat à la pudeur ! Enfin pour le moment. Clignant des yeux, il ne semble pas bien méchant en fait… Non ce n’est pas un violeur… Approchant la main pour lui tapoter la tête gentiment…

« Je ne vois rien de méchant dans tes paroles…. »

Attend trop proche là, trop PROCHE ! La femme recule pour se cacher derrière un arbre… Bravo, vous gagnez tout les deux le trophée du plus grand courage de tout les temps… Respect total… La femme regarde l’homme, qui pourtant ne semble pas bien méchant ! Statice regarde sur le côté pour regarder un peu, non mais est-ce que vraiment ce type est flippant ? Non !

« Euh….désolé… Je vous ai pris pour un tueur ou pire…. »

C’est clair qu’il a trop le physique d’un tueur, non mais regarder moi ça ! C’est trop la tête parfaite pour ce genre de délire assassin… Tu es désespérante Statice parfois, mais parfois… La femme se rapproche doucement, après tout ce n’est pas méchant vu sa réaction….Restant quand même à bonne distance, on ressent tout de suite la confiance qu’elle lui porte… On sait jamais on peut dire !

« J’espère que je t’ai pas fait trop peur….J’ai vu un insecte et j’ai paniqué !.....Et je suis où ? »

Ah bah c’est bien le moment de percuté où tu te trouve quand même… Aussi qu’elle idée de paniquer comme ça pour rien ! C’est le moment de se demander où tu trouver, c’est affligeant ! Soupirant un peu quand même, la jeune femme est elle-même accablé par son idiotie… Un petit sourire se dessine sur son visage.

« C’est gentil au moins de faire tout ce mal pour moi….c’est vraiment gentil… »

Un petit sourire qui s’affiche, bien que pour le moment, elle garde une bonne distance quand même. Mais alors qu’elle allait regardait un peu partout, elle entend un gros bruit qui la fait sursauter… Puis une grosse pluie qui se met à tomber… Bah au moins, c’est de la flotte, donc c’est pas ça qui va la mouiller comme on dit…. Clignant plusieurs fois des yeux, elle sentit d’un coup une douleur à la tête…ah mas oui, c’est de la grêle…

WATERS' RESONANCE

H. ALLEN HEUNG KEI & STATICE N. C. FALLGAËL

Tu attend patiemment, ne voulant surtout pas l’offusquer ni la gêner, même si ce dernier détail était sans doute déjà fait. Tu sens un mouvement devant toi, ainsi que la disparition de l’eau - ton pouvoir te le permet - mais tu restes comme tu es, bien à l’écart, le temps qu’elle se rhabille. Tu attends sagement qu’elle te dise que tout est bon, que tu peux retirer tes mains et ouvrir les yeux, et penser à autre chose que le néant. Au bout de quelques minutes d’agitations, tu sens une main se poser sur ta tête.

«Je ne vois rien de méchant dans tes paroles...»

Tu retires tes mains et jette un coup d’oeil, surpris par son comportement. Un éclair bleu et la demoiselle recule et se cache derrière un arbre, sous ton regard perplexe. Tu te demandais pourquoi elle avait fait ça, mais quelque part tu savais que tu aurais fait la même chose. Était-ce là de la timidité, ou, comme toi, de la crainte excessive? La tête de la jeune femme dépasse du tronc, te penchant pour te regarder, et tu l’imite. Elle a, elle aussi, des yeux bleus pâles, certes moins pâle que les tiens - à vrai dire c’était assez difficile de faire une couleur d’une pâleur plus tranchante et hypnotique - et tout à fait accordés à sa chevelure. Il n’y a pas grands monde qui possèdes des cheveux bleus, la personne la plus symbolique à tes yeux étant Triton. Elle avait un joli visage, fin, aux traits doux, et ses yeux mêlaient la curiosité, la peur et la gêne.

«Euh….désolé… Je vous ai pris pour un tueur ou pire…. »

Un vague sourire frôle tes lèvres. Tu étais la personne la moins susceptible de devenir un tueur dans ton entourage, même si cela n’est pas très explicite, ton entourage proche étant constitué d’un vampire, des gouverneurs des mers, et du fils de l’un. Bien sur, tu connaissais des tas d’autres personnes, plus où moins bien - tel qu’Earl, la fée rencontrée sur Terre - mais ceux-ci étaient plus qualifié pour l’entourage proche.

«C’est loin d’être le cas...»
«J’espère que je t’ai pas fait trop peur….J’ai vu un insecte et j’ai paniqué !.....Et je suis où ?»

Elle s’était avancée, légèrement, pendant ta remarque, presque comme un soupire, un murmure. Presque immobile, tu laisses tomber tes mains sur le sol, fixant le sac de course encore à terre. Pour autant que tu saches, elle devait venir soit de Chloris, soit de Skyworld, puisqu’elle demandait. Elle ne devait pas venir du coin. Patiemment, tu esquisse un léger sourire, te penches en avant, récupères son sac et le lui tend.

«Je comprend. Nous sommes dans un village, elfique, près de la Plaine, à la lisière de la forêt. » tu désignes le côté par lequel tu étais arrivé quelques minutes plus tard «Là-bas se trouve le chemin qui mène à la mer de nuage, donc logiquement, là tu désignes une autre partie du paysage se trouve la ville. »

Tu jettes à nouveau ton regard bleu glacé vers elle, approchant le sac pour qu’elle le récupère. Elle sourit en le récupérant, avant de parler une nouvelle fois.

«C’est gentil au moins de faire tout ce mal pour moi….c’est vraiment gentil… »

Déstabilisé, tu clignes des yeux un instant, abandonnant ton masque uniforme d’inexpression totale. C’était rare qu’on te qualifie de gentil, ou plutôt, tu n’étais pas assez social pour qu’on te le dise. Enfermé dans ta bulle, dans ton monde, il y avait beaucoup de paroles et de gestes qui ne t’atteignaient plus. Du moins tu le penses. Pourtant, les paroles de la belle Déesse maritime étaient comme un paume sur ton coeur meurtri. Un bruit sourd fait sursauter la demoiselle et te fais lever les yeux au ciels, n'apercevant que maintenant un nuage d’une couleur porteuse de mauvaise chance. A peine quelques secondes après, de la grêle commence à vous tomber dessus et tu lèves une main pour qu’elle ne frappe pas ton visage. Avec un geste presque machinal, tu créée une barrière d’eau au dessus de vous, sur laquelle les petits blocs ricochent et glissent sur le côté.

«J’espère que ça tiendra.»

Tu baisses les yeux vers la demoiselle, toujours en gardant un oeil sur la fine couche protectrice, puis te souviens des bonnes manières.

«Excusez-moi...Je m’appelle Allen. Allen Heung Kei. Vous êtes…?»

La petite flaque dans la prairie, le remake

« ♥ H. Allen Heung Kei ♥»

La pluie c’est un élément qui n’est pas dangereux pour Statice, pourtant la glace solide ça fait mal à la caboche, la grêle c’est vraiment douloureux. Secouant un peu sa tête la demoiselle se la frotte, si elle sait mieux contrôler son pouvoir, cela serait passer à travers… Un petit regard qui fixe cette boule de glace, dans quelques heures il sera mort comme tous ses frères… C’est bien dommage… Mais, d’un coup la pluie ne la mouille plus du tout, son regard bleuté regarde le jeune homme qui semble la protéger… La demoiselle cligne plusieurs fois des yeux. Les picots de glace rebondisse dessus, c’était presque trop jolie pour que cela soit réel, la femme touche cette barrière puis regarde l’homme plus gentil qu’elle ne le pensait, après tout, il n’a vraiment pas la tête de l’empois de criminel.

«Excusez-moi...Je m’appelle Allen. Allen Heung Kei. Vous êtes…?»

La femme re-cligne des yeux avant de comprendre que ce nom de famille… Et totalement bizarre, ce n’est pas français et même pas anglais, pas tout les jours qu’elle croise un nom pareil… Bien que pourtant le nom soit anglais, les parents se sont bien amusés ? Peut être bien, elle ne connait pas la vie de cet homme, enfin elle n’a pas vraiment envie de lui dire « d’où tu viens mec ? » Sérieux, ce n’est pas le genre de cette petite bleu. On n’oublie rien ? Statice, les présentations ! La femme fait de gros yeux sur le coup et s’incline doucement pour se présenter, arrête d’être trop polie quand même !

« St…..Sta…..Statice ! Statice Nonoshiri Cyria Fallgaël »

… Il n’a pas demandé non plus tout la panoplie de prénom que tu te trimballe… Désespérante en fait ! La femme lui dit très rapidement, c’est presque un miracle s’il a tout compris, ça fait presque plus « Statinonoshicyriallgaël » comme elle l’a prononcé…. Mais, peut être que ce jeune homme a bien compris ! Enfin jeune, tout est tellement trompeur ici… La femme fait apparaitre quelque rougeur de gêne sur son visage, après tout, elle a gaffé dans sa présentation… On refait ?

« Je désolé ! Je m’appelle Statice Fallagaël… Je suis chef pâtissière responsable du salon de thé, « Au Bonheur sucré » ! Située dans la ville, non loin de la place Athéna ! Et proche du marché….ENFIN VOILA ! »

Un jour, tu paniqueras presque plus quand tu parle… Cette femme est vraiment flippante, il demandait peut être juste ton prénom, pas une tirade de présentation, il n’est pas de la police... Enfin bref, faut laisser parfois couler avec cette femme.

Nonoshiri regarde donc Allen, qui utilise son pouvoir, comme elle c’est un contrôleur de l’eau –nan sans blague on l’avait pas remarqué- La femme approche la petite cabane où ils se sont donc arrêté pour qu’elle s’habille en sécurité et loin des regards des gros pervers d’habitant d’ici. Ouvrant la porte, qui semble faire aucune résistance, normal c’est une porte avec pour rôle d’obéir, ça serait la meilleure qu’une porte refuse juste pour le délire de s’ouvrir car elle a flemme… BREF !

« On peut s’abriter ici, histoire que tu ne te fatigue pas trop quand même, c’est déjà bien aimable de me protéger…. Enfin je veux dire…tout est de ma faute…. J’en suis sincèrement désolé ! »

Encore des excuses ? On va mettre un compteur bientôt tellement c’est le mot clef de chez la demoiselle. Un petit regard gêné, puis elle décide enfin de rentrer dans la petite bâtisse de bois qui tient bien le coup au moins. Elle semble assez grande du fait que c’est un peu creuser, en fait on dirait que c’est même fait en sorte pour couvrir un trou qui semble aller plus au fond… Alors que le tonnerre décide de s’inviter chez le clan des gros courageux, la femme secoue un peu la tête pour secouer les cheveux bleus qui laisse tomber quelques gouttes froides… Passant sa main devant elle pour faire lévité les gouttes pour les faires tomber dans un seau -car toujours trop polie – Statice s’assoit sur une caisse de bois pour se reposer un peu, après tout elle a voler très loin…

« Je suis si loin de la ville, j’aurais du faire attention… Merci de votre indication… »

..En fait on va juste faire un compteur de toutes les choses poli que la femme dit, on va exploser le compteur à force là, bien que ce soit le but premier ! Mais alors que la demi-dieu le gratifie d’un petit sourire, celle-ci fouille dans son sac et lui tend une tablette de chocolat.

« Je ne sais pas si vous aimiez les choses sucrées, mais prenez le ça me fera grandement plaisir… C’est aux noisettes, j’aime beaucoup ce chocolat, il n’est pas amère et apporte une petite douceur agréable… Dans mes gâteaux c’est la petite touche qui fait souvent sourire…. Je vous l’offre… En signe de reconnaissance. »

Un autre sourire, une main trop charitable, un chocolat QUI COUTE chers –vire Lyrnaël le radin- Ahem… La demoiselle est si gentille en fait, qu’elle peut être aussi trop naïf, mais pas grave. Mais alors que les deux prisonnier de cette pluie se croit au calme, on entend une voix au fond du troue que cache cette cabane…. Qu’est-ce donc ?

WATERS' RESONANCE

H. ALLEN HEUNG KEI & STATICE N. C. FALLGAËL

La jeune femme aux cheveux bleus clairs te regarde un instant, come plongée dans ses pensées, avant de s’incliner légèrement. Cette manière de saluer te rappelle celle des japonais, qu’au fils des années tu avais assimilée, et tu te demandes si elle y était déjà allée. Mais après tout, faire une courbette était assez communément admit, dont le fait qu’elle soit une Sanctuarienne, comme Rei, ne t’étonnerait pas.

«St…..Sta…..Statice ! Statice Nonoshiri Cyria Fallgaël »

Tu sursautes. Elle avait parlé extrêmement rapidement, et tu avais à peine compris la syntaxe de son nom. Tu l’observes sans rien dire, préférant l'appeler Statice - puisqu’il s’agissait de son prénom - et ne pas t’aventurer en terre inconnue. Tu remarques de légères rougeurs sur ses joues mais les met de côté, avant qu’elle ne reprenne la parole.

«Je suis désolé ! Je m’appelle Statice Fallagaël… Je suis chef pâtissière responsable du salon de thé, « Au Bonheur sucré » ! Située dans la ville, non loin de la place Athéna ! Et proche du marché….ENFIN VOILA ! »

Tu clignes des yeux, surpris par le fait qu’elle ait déblatéré la moitié de sa vie un parfait inconnu, qu’elle avait pris pour un criminel quelques secondes avant. Néanmoins tu essaies de mémoriser, histoire de savoir où la trouver si un jour tu avais besoin d’une jeune femme liquefiable, sait-on jamais.

«D...D’accord...»

Tu restes silencieux en la voyant se lever, tu l’imites et la suit timidement jusqu’à la petite cabane derrière laquelle tu t’étais arrêté. Vous la contournez, et elle pousse la porte d’entrée dans un grincement qui te fais frissonner. Tu regardes derrières toi, vérifiant qu’il n’y avait personne; si jamais l’entrée de cette petite cabane était interdite, tu n’aimerais pas qu’il y ait des villageois aux alentours alors que tu étais venue pour en savoir plus sur ta famille.

«On peut s’abriter ici, histoire que tu ne te fatigue pas trop quand même, c’est déjà bien aimable de me protéger…. Enfin je veux dire…tout est de ma faute…. J’en suis sincèrement désolé !»

Tu hausses les épaules avec nonchalance: ce n’est pas comme si créer un fin bouclier aqueux te demandait beaucoup d’effort alors que l’eau est ton élément depuis des années. Elle te lances un surieux regard avant d’entrer dans la bâtisse, et tu la suis en supprimant ton bouclier, fermant doucement la porte derrière toi. La cabane était légèrement plus grande que ce que tu pensais, et assez sombre; les quelques rayons de lumières qui passaient par la fenêtre étaient ternes, illuminant la salle d’un gris pâle. La tonnerre se met à gronder et tu retiens ton souffle, tentant de ne pas ceder à la panique. Tu avais toujours eus peur de l’orage, comme beaucoup d’enfants. Avec une raideur robotique et observant tes mains trembler malgré toi, tu t’assied sur une chaise en bois mangée par les mites.

«Je suis si loin de la ville, j’aurais du faire attention… Merci de votre indication…»
]«...Pas de soucis. »

Tu lui lance un regard pâle vers la demoiselle avant de détourner les yeux. Si elle voyait que tu avais peur, c’était fichu, alors tu te tais et serre l’accoudoir, la voyant du coin de l’oeil fouiller dans son sac et en sortir quelque chose.

«Je ne sais pas si vous aimiez les choses sucrées, mais prenez le ça me fera grandement plaisir… C’est aux noisettes, j’aime beaucoup ce chocolat, il n’est pas amère et apporte une petite douceur agréable… Dans mes gâteaux c’est la petite touche qui fait souvent sourire…. Je vous l’offre… En signe de reconnaissance. »

Tu ouvres de grands yeux, rendant ton regard, habituellement troublant, déstabilisant, et fixes la tablette de chocolat qu’elle te tend, hésitant. C’était rare qu’on te traite comme ça, et encore plus par une inconnue. La main hésitante, tu l'attrapes en murmurant un «Merci» à peine audible. Alors que tu te remettais dans ta chaise en ouvrant la bouche, un bruit de voix venant de derrière Statice te fais sursauter. Tu tend la te^te sur le côté, l’air anxieu, et regarde fébrilement un trou dans le mur semblant s’enfoncer dans le sol, comme une cave, d’où deux voix résonnent en s’approchant. Tu déglutis et te lèves, droit comme un piquet, lorsqu’une ombre gravit le trou et vous fait face, un peu plus grande que toi.
Il s’agissait d’un homme d’un certain âge, une barbe blanche couvrant son menton et deux eptits yeux bleus foncés vous fixant avec une surprise mêlé à la curiosité.

«Eh bien, que vois-je? Êtes-vous perdu pour arriver ici, jeunes gens?»

Tu clignes des yeux, surpris, et te détend légèrement. A ses côtés, une ombre bien plus petite fait irruption, révélant un loup noir grognant contre Statice, la plus proche. Tu lui lances un regard glacial, il te semble qu’il se calme légèrement, avant de prendre la parole d’une voix peu rassurée.

«Hum, oui...en quelques sortes. Nous sommes désolés, nous ne pensions pas vous déranger. Nous sommes venus nous abriter de la pluie.»

Le vielle homme eut un sourire bienveillant avant de répondre poliement, faisant un rapide signe sec au loup.

«Je n’habite pas vraiment ici, ne vous inquiétez pas - couché, Esper - vous n’êtes pas du village, je me trompe?»

DUMBLEDORE EST SORTI DE LA CAAAAAAAAAAAAVE C:

:
La petite flaque dans la prairie,
le remake

Non en fait c'est le remake de Harry potter "sort"

feat H. Allen Heung Kei

Sous cette cabane qui les protèges de leur élément, la femme essais de le rassurer comme elle peut, après tout ce n’est pas un monstre. Bien qu’il ne semble pas très habitué à trop de gentillesse, la bleu ne sait pas comment on peut être méchant, mais y a des gens comme ça. Un petit sourire, bien que celui-ci disparait vite quand elle entend du bruit.

Bien sûr une réaction tout à fait normal de la part de Statice, quand elle entend trop de bruit, se liquéfier immédiatement… Dés que l’homme est sortie de son trou avec son chien qui ne semble guère rassurant, la femme c’est vite changer en flaque d’eau… Okay, c’est une façon de dire bonjour comme on peut. Le bout de flotte qu’elle est avance tranquillement pour retourner dehors et s’habiller pour revenir, c’est un peu plus classe quand même.

De petites rougeurs sur le visage, c’est sûr que c’est super gênant quand même, essayant de se calmer un peu la femme affiche une petite mine comme une enfant qu’on aurait grondé. Statice ne comprend pas trop le « je n’habite pas vraiment ici » C’est la cabane au fond du jardin de cet homme ? C’est la salle de torture de cet homme ?! Non, pas le moment de flipper pour rien, enfin ce n’est pas vraiment le moment quand même. Il ne semble pas bien méchant quand même cet homme, un petit regarde de haut en bas, cherchant le moindre danger sur lui… Y a que son chien qui semble dangereux, rien d’autre quand même. Mais il a posé une question, faut répondre Stat !

« Ah euh….No…Non… »

C’est bien…Bien trop court oui, tu pourrais être un peu plus bavarde quand même. Au moins, c’est clair comme réponse, on peut ne pas s’en plaindre. Retournant s’assoir sur sa caisse de prédiction, la femme joue avec ses mains comme mal à l’aise quand même d’être ici. Elle ne connait personne vraiment, puis en plus elle a complètement laissé sa boutique comme ça en mode yolo. Imaginant les pires choses qui peuvent arriver, la femme commence à paniquer dans sa tête… En espérant pas retrouver un tas de cendre de sa boutique, mais ses collègues ne sont pas des boulets… Juste des cas à part certain… Non en fait, c’est la fin du monde là… Restons calme ! Un petit rire ce fait entendre du vieil homme.

« Eh bien, la jeunesse d’aujourd’hui semble ne pas avoir beaucoup de confiance en soi. Vous semblez un peu perdu, mais ne vous en fait pas, vous ne craignez pas grand-chose. »

Oui bon, elle ne va pas non plus se mettre en mode hippy tout va bien, mais ça soulage un peu la conscience de Statice, après tout c’est une parole qui semble sincère quand même, donc autant lui donner un peu de confiance quand même pour cette fois ? Un tout petit peu.

« Du chocolat, un met sucrée qu’y semble rassuré beaucoup de personne, tu en as de la chance mon petit ! Surtout si cela vient d’une demoiselle ! »

…Vieux pervers ? Non, il veut juste détendre un peu l’atmosphère sûrement, vu qu’il semble tranquillement posé lui. Bien que Statice ne fait pas trop de réaction, enfin ce n’est pas trop son genre de se mettre à taper la causette d’un coup quand même. Même si parfois elle regrette de ne pas être aussi détendue. Respirant pour se détendre un tout petit peu quand même, son cœur bat beaucoup trop vite quand même…

« Dites moi, vous faites quoi dans votre petite vie ? »

Eh bien, il tente tout ce qu’il peut pour les rassurés et les détendre. Nonoshiri hésite un peu entre oser prendre la parole ou pas, mais bon faut bien que quelqu’un commence non ? Aller courage ma petite, personne ne va te manger !

« Je suis responsable d’un salon de thé que j’ai ouvert… Il n’est pas très vieux, mais il est très réputé… Il s’appel « Au bonheur sucré »…. Je l’ai appelé comme ça car… je veux au moins apporté un petit sourire ou une petite part de douceur dans la vie des gens quand il rentre chez moi… »

C’est niais, mais mignon on peut dire, le nindo de cette boutique, juste faire sourire c’est tout. Des rougeurs sur son visage, trop gênée de cela. S’imposer comme cela, Statice n’aime pas du tout quand même, c’est une façon qu’elle déteste être. Mais au moins, elle a trouvé le courage de parler juste un tout petit peu quand même. C’est presque trop fier que la femme regarde ses mains. Après tout c’est grâce à elles qu’elle est là.

Bien que le ton soit dans la gentillesse, c’est dans un grondement d’éclair que tout changea un peu trop vite. La malchance est toujours là pour frapper comme on dit. La porte s’ouvrit pour laisser place à une femme super flippante. Les cheveux explosés, un air totalement désordonné. Quand l’homme plus vieux la vu, il se leva rapidement avant de voler rapidement dans son trou. Statice a fait de gros yeux sur le coup, avant d’elle-même se faire propulser hors de la cabane et rouler hors de celle-ci dans la boue. Ce n’est pas tous les jours que la femme fait un vol planer. Un peu sonné tout de même, secouant la tête pour se remettre, elle se rend compte qu’elle est allée bien loin. Tentant de mettre un pied devant l’autre, bien que douloureux, la femme ne veut pas laisser Allen tout seul…ni même le bon vieux monsieur, malgré le rire sinistre qui se fait entendre au loin…

FICHE DE RP (C) MISS YELLOW sur LIBRE GRAPH'

[Bellatrix is comming "sort" ]

WATERS' RESONANCE

H. ALLEN HEUNG KEI & STATICE N. C. FALLGAËL

Tu n’avais pas vu la jeune femme sortir de la pièce, tu ne savais pas pour quelle raison elle l‘avait fait, mais tu la vois revenir, les joues roses et le visage gêné; elle s’avance lorsque le vieil homme pose sa question, et de vous deux, elle est la première à y répondre.

«Ah euh….No…Non…»

Tu hoches la tête, affirmant les dires de Statice: tu vivais, toi, de l’autre côté de la plaine, de l’autre côté du lac, près de la mer de nuage, toi et ton vampire. C’était un endroit assez reculé, exclus de la population, de l'afflux de la ville, mais après tout c’était ce que vous vouliez. Un endroit où personne ne vous verrez. Tu secoues vaguement la tête pour chasser de ton esprit l’image du vampire et ses lèvres empourprées de sang, de ton sang, et regarde vaguement les deux autres personnes avec toi s’asseoir.

«Eh bien, la jeunesse d’aujourd’hui semble ne pas avoir beaucoup de confiance en soi. Vous semblez un peu perdu, mais ne vous en fait pas, vous ne craignez pas grand-chose. »

Ton visage ne bouge pas, restant impassible, contrairement à la demoiselle qui semblait plus qu’angoissée, ce qui ne t’étonnais pas d’après ce que tu avais pu voir quelques minutes auparavant. Tu ne le croyais pas - qui croyais-tu, dans ce monde? - mais il n’avait pas l’air méchant. Ne jamais se fier aux apparences, c’était ce qu’on t’avais appris. Ne jamais croire personne, aussi. La crainte, la peur, l'effroi, enfouit en toi, si tu avais appris à les cacher, étaient cependant là, toujours, toujours, toujours.

«Du chocolat, un met sucrée qu’y semble rassuré beaucoup de personne, tu en as de la chance mon petit ! Surtout si cela vient d’une demoiselle !»

Le vieil homme t’avais surpris en te parlant ainsi, et tu lèves les yeux, les croisant un instant avec les siens avant de détourner le regard. Tu fais tourner la tablette entre tes doigts, la regardant vaguement: tu la partageras sûrement avec Rei, puisque, si lui était très pâtisseries, tu l’étais beaucoup moins. Mais ce n’était pas une raison pour refuser un cadeau. Et puis, ce n’était juste pas humains, de le refuser.

« Dites moi, vous faites quoi dans votre petite vie ?»

Tu clignes des yeux, surpris par la question. Tu n’avais pas l’habitude qu’on te la demande; sûrement parce que la plupart de ceux que tu côtoyaient te connaissaient, pour ton travail. Après tout tu étais loin d’être une personne parmi tant d’autre, sur l’Atlantide. Tu écoutes Statice annoncer qu’elle tenait un salon de thé, et retient le nom pour le répéter, le soir, à ton vampire; puis tu réponds à ton tour, un écho distant dans ta voix.

«Je travaille sur l’Atlantide en tant que serviteur de Triton, Poseidon et Amphitrite.»

Tu sers la mâchoire, t’attendant à toute sorte de réaction, car en général, ceux qui étaient proche des Dieux, les divinités mineurs ou mythologiques superieurs, vivaient dans leurs domaines, mais ce n’était pas ton cas. Eole te l’avais déjà demandé, mais tu préférais vivre sur l’Île.
Puis tout se passa très vite. La porte d’entrée s’ouvrit en un instant sur une femme terrifiante, le vieil homme recula vers la cavité, et Statice fut projetée hors de la cabane. Tu sursautes, te relèves d’un bond, le visage horrifié. La femme n’était pas seule, derrière elle se trouvaient une demi-douzaine de sans-coeurs. Ravalant ta salive, tu jettes un coup d’oeil vers la cave où avait disparu le vieil homme, puis la fenêtre où était passée la jeune femme. Tu fixes l’inconnu, sentant ton coeur près à se rompre dans ta poitrine. Le rire sinistre de la femme te glace jusqu’au sang, mais ton regard se dirige vers la fenêtre, où tu t’approches. Son regard fou te suit, et tu as l’horrible impression de te retrouver face à ta mère, ses cheveux noirs en bataille, son regard méprisant brisant son visage pourtant agréable. Quoique après tout, tu n’as jamais réussis à trouver son visage véritablement agréable à regarder.
Tremblant, tu te retiens à la table de la petite pièce, fixant avec effroi les petites créatures noirs s’approcher. Ton regard passe des sang-coeur à la fenêtre, espérant que Statice n’avait rien de grave. Tu déglutis, t’éloigne, ton regard glacé entrant en contacte directe avec les yeux dorés de l’inconnue.

«Qui êtes-vous?»

Ton ton était glacial, aussi tranchant que la glace, ton que tu avais légèrement emprunté à Triton lorsqu’il commandait les armées, les peu de fois où tu le voyais dans ces circonstances. Il n’était pas vraiment froid, mais plutôt autoritaire. Ta voix naturelle, elle, était plutôt soufflante, glacée. Tu secoues la tête, t’appercevant que quelques écailles étaient apparus entre ton menton et tes clavicules, de même que sur la base de ton front.

:
La petite flaque dans la prairie,
le remake

Adieu ?

feat H. Allen Heung Kei

La douleur est présente dans Statice, ça fait mal au ventre… Mais dans sa tête, malgré le danger qui est présent dans cette maison, certain aurait fuit. Mais pas Statice, la vie de certaine personne son peut être en danger en ce moment. La bleue marche avec du mal… Ce tenant aux arbres pour avancer, c’est sa faute… Si seulement elle ne l’avait pas percuté, si seulement elle était normal…. Serrant le tronc d’un arbre, la demoiselle se mord la lèvre inférieure, encore une fois tout est de sa faute pense-t-elle.

Trop lente, trop faible, c’est dans sa tête que le vrai combat se trouve, pourtant, elle ne veut pas se laisser abattre, il faut avancer. Le chemin semble de plus en plus long pour elle. Secouant la tête pour se redonner un peu de courage. Non, il ne faut pas laisser le mal prendre le dessus ! Statice n’aime pas qu’on fasse du mal aux autres…. Encore moins au personne qui semble pour elle fragile… Serrant son haut au niveau du cœur, la femme est maintenant sûre d’elle. Tentant d’ignorer les alertes de douleur dans sa tête, la femme courre comme elle le peut, il faut aider ! Il faut y aller !

Par la fenêtre de cette petite cabane, elle voit l’homme aux cheveux de jais. Peu importe la situation, la femme pense en premier à protéger cette personne. Son regard cette fois se change en quelque chose de beaucoup plus sérieux. Statice ne sait pas se battre, mais sait une chose, que fuir serait lui peser trop sur le cœur. Sautant par la fenêtre en mode classe…. Pour se vautrer juste après, c’est juste ridicule là Stat…. Elle a glissé a cause de la pluie en prenant appuie…. Au moins ça en a fait rire une quand même. Bon c’est la méchant mais au moins, ce n’est pas passé inaperçu… C’est bien dommage, mais une personne bleue qui passe par la fenêtre ce n’est pas discret aussi.

Se frottant l’épaule qui a fait un drôle de bruit… Bravo, STATICE vient de se DEBOITER l’épaule respect total ma petite ! Où est le public qui est toujours la pour applaudir la bêtise humaine… ? En plus, c’est que ça fait mal ! Mais le regard de Statice ne change pas du tout. La femme se tient le bras, et fixe la femme avec ce regard provocateur, se mettant devant Allen… Protéger et juste protéger cette personne, c’est son objectif dans sa tête. Regardant les sans-cœur qui se mettent autour d’eux. Sur le coup, la demoiselle ne sait pas trop quoi faire dans sa tête qui hurle la douleur de son bras. Bon aller, on réagit comme on peut !!!

Serrant son poing, la femme donne un coup dans le vent pour leurs jeter de l’eau pour les repousser… Inutile….Statice ne sert à rien…. Elle le sait, faible faible faible faible FAIBLE FAIBLE ! Ce mot résonne dans sa tête comme un glam. Tremblant de douleur, la femme essai de se montrer forte… Puis, elle entend cette pluie qui tombe. Regardant partout, cherchant n’importe qu’elle moyen, d’un coup elle percute qu’il pleut depuis bien longtemps…. Son regard se porte sur la paroi de la cabane qui semble un peu abimer… ça y est une petite idée lui vient en tête !

Respirant rapidement, elle pousse Allen dans l’espèce de cave et recule en regardant cette femme. Puis tentant de donner ces dernières forces, la femme ferme la cave au moment où elle s’assure qu’Allen soit bien dedans, un petit sourire s’affiche sur son visage. C’est alors que sa concentration arrive, essayant de contrôler toute l’eau dehors, la femme force sur son bras blessé pour faire quelque chose…. C’est alors qu’elle écrase les deux côté de la cabane avec la force de l’eau. Cela a fait un bruit très sourd sur le coup.

Au début, elle pense qu’elle allait y rester, mais heureusement, son corps à bien réagit…. Passant à travers les fissure de la porte pour aller dans la cave en forme liquide (q croire qu’en fait Statice c’est que de la flotte est pas une humaine) La femme se retransforme dans la douleur en se tenant le bras... Un gémissement se fait entendre… enfilant son bout de vêtement qui est arrivé avec elle…

« Ca va retenir…quelques minutes…..aie....»

Son corps n’en peut plus, il lui dis stop ! Mais Statice veut protéger cet homme…. Essayant de mettre un pied devant l’autre, son corps ne veut plus avancer…. La limite de Statice ce trouve ici…. Regardant devant-elle, l’ange remarque que cette cave est quand même très profonde… est-ce t une cave ?

FICHE DE RP (C) MISS YELLOW sur LIBRE GRAPH'

WATERS' RESONANCE

H. ALLEN HEUNG KEI & STATICE N. C. FALLGAËL

Tu ravales ta salive en reculant de quelques pas. Ton regards emprunt d’autorité tient les monstres à distance sans pour autant les faire reculer, et la femme reste immobile. Ses yeux dardaient vers toi une folie meurtrière que tu ne connaissais que trop bien. Tu voulais fuir. Fuir sans jamais te retourner, parce que la terreur te nouait le ventre et qu’une petite voix dans ta tête te disait que tu allais y passer. Mais d’un autre côté, tu n’avais pas la force de partir.
Une ombre bleue entre avec grâce par la fenêtre, mais la jeune femme glisse et échoue sur le sol, les joues rouges de honte. Tu n’y prêtais pas vraiment d’attention puisque ce n’était en aucun cas le moment, mais la brune, elle, riait aux éclats devant la maladresse de la demoiselle. Celle-ci l’ignore totalement et vient se placer devant toi, dans un élan de protection que tu jugeais inutile: tu n’avais plus besoin qu’on te protège, personne ne t’avais protégé et tu te débrouillais très bien tout seul. Tu n’étais plus la faible créature recroquevillée sur elle-même dans le couloir de sa maison en attendant que le temps passe et que les blessures cicatrisent.
Mais si la force n’était pas son point fort, elle semblait être plutôt intelligente; ou du moins tu espère qu’elle possède un plan lorsqu’elle te pousse dans la large cave où devait se trouver le vieille homme. Tu la regardes, perplexe, puis fermer la porte d’un coup; et tu sentais -oui tu sentais- l’eau salée de la pluie environnante se concentrer et s’abattre en un bloc sur la partie de la cabane où devaient se trouver les femmes et les sans-coeurs. Mais, alors qu’elle aurait dut mourir sous la pression de l’eau, tu sentais que Statice était encore là, parmi l’eau, et tu la regardes se reformer devant toi, derrière la porte de la cave. Elle semblait terriblement fatiguée et se tenait l’épaule.

«Ca va retenir…quelques minutes…..aie.... »

Elle n’avait plus la force de marcher, tu le savais. Ton visage ne quittant pas son expression glaciale et insensible, tu lèves tes deux mains en essayant de la maintenir debout sans la toucher; puisqu’elle semblait être constituée d’eau, tu arrivais plus aisement à la manipuler. Et au pire, tout les être vivants avaient une masse considérable d’eau dans leur corps, mais jusque là, la contrôler était la chose la plus compliquée que tu ait tentée de faire. L'entraînement te manquait beaucoup mais tu vivrais de longues année, bien assez pour apprendre auprès des Dieux.
Tu tournes la tête vers la cave, mais l’obscurité vous empêchait d’y voir quelque chose. Tu regardes autour de toi et avises l'interrupteur, que tu enfonce à l’aide de ton coude, avant de t’enfoncer lentement dans les escaliers. La cave était très large, mais où que ton regard se pose il n’y avait que des présentoirs à vins: la poussière s'agglutinait en épaisse couche grise, et l’odeur de moisissure était presque écoeurante.

«Ça va?»

Tu chuchotais par réflexe mais aussi parce que ta voix n’avait pas tendance à porter très loin. C’était dans ta nature, calme et discret, malgré ton apparence animal intimidante et imposante. Avant qu’elle ne réponde, un tintement se fait entendre à quelques rayons de là, et tu plaques ta main contre la bouche de la jeune femme en posant un doigt sur ta propre bouche pour lui intimer le silence. A quelques mètres, un sans-coeur apparaît, reniflant autour de vous dans l’espoir de trouver l’origine de l’odeur de vivant qu’il devait sentir.
Tu déglutis et fermes les yeux. L’humidité de la cave s’identifie dans ton esprit, et quelques secondes plus tard, une vague d’eau brûlante s’abat sur le monstre hors de votre champs de vision; une bulle se forme autour de lui, l’étouffant et le brûlant à la fois. Quelques secondes plus tard, il ne restait plus qu’une bulle fumante où la fumée noir se fondait en son centre.

«Viens.»

Tu attrapes Statice par le poignet et la tire rapidement vers le fond de la cave où une autre petite porte s’encastrait, mystérieuses lattes en bois qui n’avaient pas grand chose à faire là. Mais si le vieille homme était quelque part, c’était sûrement par ici.

» heylana ∞ se perdre dans les coquillages, se noyer dans les nuages.
» A blue light can illuminate the night (PV Statice#Remake)
» Baba rencontre un gars blond dans une forêt en pleine nuit, et se demande ce qu’un gars blond fait dans une forêt en pleine nuit. [PV : Aaron T. Hamilton]
» Sea, Sex and Sun ð Earl&Allen
» (H/H) Famille (2/2)

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Recherche avancée