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 [Pv Freya] "Do you want a coke?" "Yes. Of course à pied."

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Anonymous
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Re: [Pv Freya] "Do you want a coke?" "Yes. Of course à pied." | Mer 12 Aoû 2015, 20:08

C'était mieux ainsi.

Tes yeux glissèrent tranquillement sur Freya, pour la suivre tel une caméra à grand angle se déplaçant sur son rail. Au fur et à mesure de ses pas, tu sentais ton coeur se comprimer, comme ferait un enfant serrant de la pâte à modeler... Mais en un peu plus douloureux. Imaginez juste un voleur qui ravit ton coeur, et plus il l'éloigne, et plus tu ne pouvais t'empêcher de te dire Ô combien c'était douloureux. Le fait même de laisser Freya se débrouiller ne te rendait pas la tâche aisée, il fallait l'admettre. Mais d'un autre côté, elle est sans doute innocente, mais pas conne au point de ne pas sentir le danger quand il vient. Ou alors tu la surestimais... Mais franchement, tu doutais de cette possibilité.

Quand tes yeux ne la vit plus, tu t'empressas de regarder à travers la fenêtre si elle n'avait rien de cass-... Mais bon sang Zyska, arrête de te faire un sang d'encre. Tu ne comprends toujours pas que cette femme peut ne pas être fragile. Quand tu le comprendras Zyska? Quand tu comprendras que Freya peut être une battante? Quand comprendras-tu que t-... Oh, c'est bon, tu entendis du bruit à l'extérieur. Tu soupiras de soulagement, ayant déjà tourné le regard. Tu interprétas le son du fait que la sang-mélée était encore vivante, et cela retira de suite cet étau émotionnel qu'il y avait sur ton coeur.

Bon sang de bon soir, tu n'étais plus habituée à autant te soucier de quelqu'un. C'est horrible. Tu glissas lentement une main sur ta nuque, pour doucement la masser. C'est incroyable. Le stress montait lentement, surement, et c'était rare que tu sois autant sous pression pour une chose aussi aisée. Tu te redirigeas vers ton ancienne antre, en tentant de glisser des comics à tout va dans le sac, enfournant de lap itencedans la bête qu'était ce contenant. Tu te redressas ensuite, t'étirant légèrement, possant de tes deux points la partie lombaire et sacrale de ta colonne vertébrale. Ce serait dommage de te froisser quelque chose dans le feu de l'action. N'est-ce pas?

Cela aurait été presque bien, si seulement il n'y avait pas eu ce bruit en bas. Tu savais pertinnement qu'en dessous de toi, il y avait la pièce à la fenêtre brisée. Damn it, elle l'avait découverte. Il ne te restait plus beaucoup de temps avant qu'elle monte. Tu tentas de soulever le sac, mais c'était avec beaucoup de peine. Tu savais que tu allais y aller trèèèèèèèèèèèèèèèès lentement. Tu avais l'habitude de coller des pains aux gens bien plus massifs que ces livres empilés, Mais tu ne pouvais en aucun cas les soulever. Tu n'étais qu'une femme, après tout. Enfin... C'est assez machiste comme remarque. Il fallait juste comprendre que tu n'avais aucune force surhumaine. Cela allait irrémédiablement ralentir ta progression. Alors que tu comptais sortir de cette pièce, tu entendis des grincements de marche. Tournant la tête en direction du couloir, tes yeux écarquillés, tes lèvres tremblantes, ne pouvant pousser de son dans l'état actuelle. Tu savais qu'elle montait. Et tu n'aurais effectivement pas le temps de passer par la fenêtre sans qu'elle te coince. Alors une idée te venait.

Tel une mauvaise parodie de film d'horreur... Ou alors grâce à Halloween, tu tentas de tenter le coup de poker. Tu trainas ton corps en direction du placard, pour déposer le sac dedans, et t'y glisser. Parfois, tu remercies ta petite taille. Ta main gauche tenant l'anse du sac rempli d'une partie du butin, et ton autre sur la poignet. Tu profitas du fait qu'il y aitdes petites fentes dans ton abri pour pouvoir jeter un coup d'oeil. Oeil qui d'ailleurs ne trahissait aucunement l'ambiance interne: Peur, doute, angoisse. Un bon petit trio qui sont là pour mener la vie dure à la petite Zyska que tu es, en tambourrinant ton kokoro à vive allure. Tu ne pouvais même pas dire que tu sentais la pression... Elle te collait un pain, actuellement. Au niveau de l'estomac. Tu l'avais tout retourné, comme si un marin s'était amusé à le nouer. Le sonse propagea dans le mur tel des petites bêtes s'amusant à user de ce dernier comme une autoroute. Un jour, vraiment... Ils vont isoler cette foutue maison. C'est pas possible de l-... Ah mais en fait tu t'en foutais maintenant, pourquoi tu pensais à cela? Tu réfléchissais bien plus que d'habitude sur ce genre de sujet, et cela ne t'allait absolument pas.

Telle une parodie de The Binding of Isaac, la monstruosité que tu nommas "Mère" pendant de longues années entra dans cette pièce. En même temps, tu pus admirer les effets néfastes sur sa peau du temps, qui creusa cette surface protectrice de jour en jour, d'année en année, de décennie en décennie. Tu commençais à voir d'autres difformations, et cette chevelure grise en bataille. Tu la vis tourner la tête en direction de la bibliothèque à moitié vidé. Tu arques un sourcil en la voyant s'y approcher, et de lentement serrer uen étagère vide. Tu voyais ses mains trembler... Tu te mordillas la lèvre.


??? - " ... Zyska.... "

Tu te recules contre le placard, doucement. Ca devient vraiment n'importe quoi cette parodie. Enfin... Peut-on vraiment parler de parodie? La parodie, c'est plutôt à un ressort humouristique. Sauf une parodie satyrique. Mais... Cela devrait détourner quoi? Une vieille comédie dramatique moisie? Du Shakespeare? Regarder Faust avoir son immortalité. Cependant, cela te fit encore plus mordiller la lèvre. Les pensées se troublent sous cette tête, avec la désagréable envie de ressentir ce qu'elle peut ressentir. Seulement, tu ne voulais pas. Tu ne voulais pas réultérer l'expérience avec elle. Quand tu écoutas la suite... Tu arquas de plus en plus les sourcils, et tu pouvais enfin reconnaître des frissons, ainsi qu'une désagréable impression que des poulets te picorent violemment la colonne vertébrale.

Oh. Dorothy.


Dorothy, laissant échapper des larmes sur ses joues - " Pourquoi es-tu partie? Que fais-tu? Héhé... On ne sait même pas où tu es. Et il faut qu'un voyou vole les comics que tu aimais tant. J'aurai tellement aimé que tu sois là, pour au moins te les rendre. "

Tu poses ta main sur tes lèvres. C'est bancal comme tu ne savais quoi ce speech. Mais... Ce sentiment, tu ne t'en souvenais plus. De la tristesse, tu voyais. Pensait-elle que ce serait toi qui ait fait le bazar, et qu'elle soit heureuse de te voir? Tu ne le sauras pas dans l'état actuel des choses. Tu n'étais pas très à l'aise, d'un coup. Toi... Tu as fuis, et elle se tenait là, te regrettant. Tu la vois sortir un mouchoir en tissu, ce qui fit reculer ta tête de dégoût. Tu le connaissais ce mouchoir. Il servait un peu à tout... Et tu la vis se moucher dedans, avant d'aller en direction de la porte. Tu ne bougeas toujours pas, attendant d'entendre les marches grincer.

Tu finis par ouvrir la porte du placard. Sans savoir que tu avais ressenti des choses bien plus profonde. En effet... Ton empathie avait encore frappé. Tu ressens encore cette peine, incrustée à vive peau. Tu pris de longue bouffée d'air, pour lentement te calmer. Cette fois ci, ce n'était pas la colère qu'il fallait dominer, mais une entité d'autant plus impressionnante et destructrice. Tu te penches doucement, avant de clore tes paupières.

Non
Non
NON
NON

Tu ne devais pas faiblir... Pas pour l'instant. Il y avait Freya. Pour Freya. Freya. Freya. FREYA. FREYA. FREYA! FREYA!! Tu dressas ta main, que tu serras fortement, avant de te mettre un bon coup au visage. Ta tête suivit ce mouvement cinétique, avant de revenir àsa place. Le souffle saccadé est devenu bien plus calme. Tu te redresses ensuite, inspirant grandement. Soit. Tu devais lui apporter les Comics. Tu pris lentement le sac, t'avançant en direction de cette fenêtre encore ouverte. Tu soupiras, avant de laisser tomber le sac dans les ordures, dans un fracas quine sonnait pas vraiment. Tu réinspiras, serrant le bord de cette fenêtre, en hochant la tête doucement. Tu posas un pied sur ce bord, avant de te laisser emporter par la gravité de cette planète. Tu ne faisais rien de plus que te relever en t'époussetant, et tu pris le sac, que tu trimballas tranquillement sur la pelouse fraichement tondue. Tu soulevas le sac à deux mains, puis tu reculas le cas, avant de le surélever aafin de le lâcher. Il fit une magnifique trajectoire en cloche, d'ailleurs. Tes mains se posant sur la barrière, tu fis un petit saut, avant de récupérer le butin. Tu t'en allas sans vraiment d'énergie.

Tu avais juste trottinée sans un certain effort, ton sourire n'étant plu depuis bien longtemps. Il s'était envolé avec la tempête émotionnelle. Ta démarche te fit balancer un peu plusdu côté du sac,mais tu t'en fichais. Largement. Tu réfléchissais à tout cela, en brassant un peu de noir. Tu glissas ta main sur ton front, pour ensuite remettre quelques cheveux rebelles à leur place. Tu vis une personne de grande taille, avec un chignon, et un sac. Bon...Freya trouvée. Tu t'avançais en sa direction, un petit sourire au lèvres.

Non
Pas ça
Non

Tu t'arrêtas dans ton élancée. Non, cela n'arrivera pas. Tu... As fait souffrir ces personnes par ton absence. Ce choix égoïste a fait de toi ce que tu étais, c'est vrai... Mais tu n'avais jamais réfléchie aux conséquences. Et si... Cela se produisait pour elle aussi? Non. Tu ne voulais pas que ça se produise. Et puis, l'avoir laissée seule, c'était comme les avoir abandonné. Tu te mordillas la lèvre, t'avançant toute penaude. Et quand tu arrivas près, et dans une action assez vive, tu lâchas ce sac près de vous pour pouvoir te glisser contre elle, glissant tes bras autour d'elle. Tu la serrais doucement. Tu n'avais plus ce petit sourire. Non, c'était plutôt...

Des perles de "pluie" venu d'un pays où il ne semblerait pas pleuvoir. Et cela, Freya pouvait le sentir. Sentir ces gouttes se déverser sur sa tenue, alors que tu te frayas (Olol un jeu de mot moisi de l'auteur) contre elle. Tu étais peut-être à la bonne taille, mais là n'était pas la question.


Zyska, ses joues humidifiées par les larmes - " Je... Ne te laisserai jamais. Au grand jamais. Je... Je... Je te le promet petite Fleur. Je... Veux que tu sois heureuse."

Tu la serras un peu plus contre elle. Des gens? Tu t'en fous. Des OVNIs? Tu t'en fous. Une armada de pouletsde Zelda pas content? Tu t'en fous. Tu ne voulais plus revoir ce genre de scène.

Au final, sous tes airs de gros dur, tu resteras une femme. La personne qui ne ressent pas est un monstre. La personne qui ressent est l'allégorie de l'horreur. Tu te devais de braver ces dangers, comme toujours. Surmonter cette épreuve, comme toujours. Il ne tenait qu'à toi de t'améliorer là dessus. Car il y avait quelqu'un d'important dans ta vie... Même plusieurs. Et ces peu de personnes te font confiance.

Freya avait ce pouvoir. Cette faculté fascinante de donner le meilleur d'elle même malgré tout. Tu te souvenais soudainement de ce moment, où vousavez fait un tour dans Chloris. C'était magnifique, c'était beau. C'était étrange de partager des choses avec un individu comme elle, alors que vous vous êtes connus il y a peu de temps. C'était rare que tu ais fais des efforts. Et... Tu avoues profiter de sa douceur, de cette étreinte qui te faisait tant plaisir actuellement. Tu sentais aussi l'étreinte se déserrer doucement, tu sentais ton coeur prendre un rythme bien plus posé. Tu ne sentais pas grand chose à part ces éléments cités précedement. C'est ainsi que, étape par étape, tu te calmas. Au point de ne plus sentir des tremblements liés aux sanglots. De ne plus être le pantin d'idée noirs, mais être maître de ton corps, à l'heure actuelle. Quand tu repris un peu de contenance, tu compris où tu étais, et... Tu rougisde plus belle, ne voulant pas la quitter actuellement. Non... Calme toi avec. Calme la elle avec ton étreinte.


Zyska, en fermant doucement les paupières - " Je... Désolée. Je n'aurai jamais du t'emmener là-bas. " Tu renifles un coup. " Tu... Veux rentrer? Je suppose que tu as hâte d'avoir de la lecture. "

Tu lui offres enfin un petit sourire bien vrai bien frais. Kalindra avait peut-être raison, finalement... De croire qu'elle est plus pour toi... Ou pas. Tes pensées étaient encore trop floues pour conclure.




Anonymous
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Re: [Pv Freya] "Do you want a coke?" "Yes. Of course à pied." | Mer 12 Aoû 2015, 22:28

Freya courrait de toutes ces forces, ce n'était pas simple. Parce que l'air de rien, elle manquait plusieurs fois de tomber. Elle était à court de souffle. Elle regardait la route, pourquoi était-elle si abîmée, pourquoi il y avait des trou dans certains, elle avait pu voir un peu d'eau aussi sombre que sa peau. Ces trucs puaient, pour que la jeune fille les éviter à tout prix. Elle n'avait pas très envie de retrouver les comics abîmes. Elle y tenait déjà, vu qu'ils étaient à Zyska, son amie, une personne qu'elle appréciait beaucoup la présente. Elle ne savait pas ce que c'était cette autre peur qui grandissait en elle, comme celle qu'elle ressentait pour Iorek, mais encore en différent, elle ne l'expliquait pas. Elle continuait sa route péniblement, c'était pas toujours facile. Elle pliait de plus en plus. Elle finirait par se plier pour toujours. Ce n'était pas très plaisant. Elle avait couru combien de temps avant de s’arrêter en voyant la foule, des gens qui riant, qui semblaient faire quelque chose d'important. Elle voulait reculer, avant de se rappeler des mots de son ami, fuir, c'était quelque chose que sans doute, elle savait faire mieux que personne. Mais là, elle ne pouvait pas traverser cette foule compacte. Tous ces gens la regardaient comme si elle était une étrangère à tout ça pourtant d'autre personne avait une peau sombre. Elle portait sur son dos un sac qui faisait facilement plus du sixième de son poids à elle. Ses jambes flageolaient. Elle se sentait pas tout à l'aise devant tous ces gens. Qu'est qu'il faisaient là. Elle l’ignorait, leur poser la question, quelle drôle d'idée. Elle voyait des éclairs brillant de certains. Ce n'était pas possible.  Elle paniquait, certains avaient les mêmes rires que ces gens bizarres dans ces rêves, c'était ses souvenirs qui tentaient de faire doucement surface. Mais elle ne voulait pas de son passé, elle aimait bien sa vie de maintenant et puis Iorek le disait qu'elle était bien mieux à présent, si on oubliait sa peur permanente, en effet.
Puis elle sentait des bras la saisir. Elle sursautait, fatalement, elle avait eu peur que quelqu'un la kidnappe. Elle peinait à retenir un cri, se souvenir des conseils d'Amel, oui, les explosions. Mais elle ne pouvait faire à quelqu'un, c'est mal, la prison, c'est pour le joker, pas pour elle. Elle tournais doucement et voyais une touffe de cheveux blonds bien familiers, c'était qu'une seule personne à avoir une telle chevelure dorée et sauvage, comme un soleil d'été. Quelque chose mouillait son haut. Elle papillonnait les yeux. De toute sa vie, elle n'aurait jamais cru ça possible, Zyska pleurer, c'était quelque chose d'impensable de la jeune métisse. Elle savait que faire. Elle regardait un moment la demoiselle. Elle hésitait à rendre son étreinte. Elle ne voulait pas la mettre en prison dans ses bras. Elle n'osait la toucher, si elle aussi, elle lui faisait mal en la tenant. Ce n'était pas très bien. Elle restait interdite et écoutait les mots de la jeune fille entre deux sanglots. Elle lui promettait de pas la laisser. Elle avait à cet instant même une vague de chaleur qui montait en elle. Chaleur qu'elle pouvait sentir sur ses joues. C'était beau ce qu'elle disait, mais Freya ne captait pas tous les sens de ces mots. Elle serrait dans ses bras timidement la femme. Elle ne savait que faire de plus. Elle ne bougeait pas et malgré les regards qu'elle pouvait sentir sur elle et la faiblesse de ses jambes qui finiraient par la lâcher. Elle devait s'entraîner plus sérieusement. Bien sûr, elle avait peur, mais non seulement pour elle, mais aussi pour son amie. Ça ne se faisait pas de la laisser dans le noir, elle la guiderait comme la mage l'avait fait, dans un certain sens. C'était encore pas très clair.
Elle avait beau être entre les seins de la clown, ce n'était pas vraiment ça qui la dérangeait, mais le regard des personnes. Elle s'excusait pour tout ce qui était arrivé. Elle devait faire quoi ? Caresser ? Le dos, le cheveux, sait pas. Tout ça était trop compliqué pour elle. La demoiselle qui lui servait de guide voulait rentrer, elle devait en avoir bien besoin, vu son état. Pire qu'elle, alors même que la peur était à son paroxysme, les gens s'approchait du groupe qu'elle formait, reculer, elle n'y pensait toujours pas.

« Rentrons, je ne veux pas rester, les gens font peur et même à toi, ils sont méchants, ils se feront fouetter par Hadès, ou par ses sbires. C'est tout ce que mérite les gens qui font pleurer mes amis. »

Elle avait l'air fière comme ça, Freya, mais, elle ne restait moins qu'une personne craintive. Quand les hommes s'approchaient d'elle, sans s'en rendre compte (parce qu'au sinon, c'est moins drôle pour l'auteur), elle utilisait son pouvoir pour contrôler les émotions à sa puissance quasi maximale, s'épuisant encore plus au passage, personne ne ferait plus de mal à Zyska, au sinon, elle punirait, comme le Punisher et puis zut. Mais bon, elle n'avait pas très envie d'être punie par le dieu des enfers. Ça craignait beaucoup tout ça. Elle tremblait, elle devait fuir, mais décoller ici c'était un peu se lancer dans une attaque suicide. Ça ne servirait à rien au final. Elle respirait à fond et faisait exploser un truc au loin, sans s'en rendre compte, ses jambes lâchèrent, elle n'avait plus de force, ni la volonté de faire plus. Qu'on les sorte de cet enfer bleu et gris. À côté le monde d'Hadès, c'était la prairie, sérieux. C'était n'importe quoi. Faire du mal à son amie précieuse. C'était un crime, et ne laisserai pas impuni, au nom de la lune (je glisse les références que je veux). Elle avait écarter les gens, c'était plus tranquille. Elle posait une main sur sa joue.

« On va rentrer Zyska, ne t'en fais pas, même si je ne sais pas comment ouvrir un de ses fichus portails pour aller à notre quartier général. »

Même la peur ne lui faisait pas oublier sa plongée dans le monde fantastique de la bande dessinée américaine.




Anonymous
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Re: [Pv Freya] "Do you want a coke?" "Yes. Of course à pied." | Ven 21 Aoû 2015, 14:55

Ses bras... Autour de toi.

Lentement mais surement, tu inspiras pour avoir un peu de cet air, avant de doucement soupirer. Glissant ta main dans tes cheveux, tu restas quand même contre elle, silencieusement. Tu ne disais rien pour l'instant, profitant de ce calme. Ignorant les personnes. Ignorant le bruit d'explosion au loin. Ignorant le fait que les individussemblaient s'écarter petit à petit de vous. Tu ne pouvais que te sentir mieux après ce contact. Après, cette main dans tes cheveux finit par t'assuyer les joues. Tu ne pouvais afficher les traces brillantes laissées par ces perles.

Cependant, tes yeux t'écarquillèrent quand tu la sentais fébrile. Cette fois-ci, tu la serras contre toi, tentant désespérement de la faire tenir. Tu ne comprennais pas le pourquoi du comment, mais elle était d'accord avec toi. Partir. Cela avait du être éprouvant pour la petite fleur. Alors tu n'hésitas pas un moment. Reprenant le sac de la main libre de totu à l'heure, tu le glissas sur ton épaule, et silencieuse, tu te glissas sur le côté,ta tête sous son aiselle... Et non, pas de remarque sur l'état sanitaire de ses aiselles. De toute façon, là n'était ni la question, ni le moment pour la poser.


Zyska - " Freya. Ca va? Tu peux marcher? "

Ton ton était empli d'une inquiétude sans nom. Tu connaissais la peur que pouvait éprouver la demoiselle métisse. Enfin... Grossièrement. Tu espérais juste que ce ne soit que passager. Parce que tu ne sais absolument pas si tu arriverais à traîner Freya sur plusieurs mètres, avec un plus deux sacs remplis de comics. Et... Tu sentais cette main sur ta joue. Cette main douce et innocente. Cette main qui peut autant faire du ben que de ravager sans faire exprès. En tout cas, tu pouvais sentir une puissance endormie se réveiller petit à petit... Et pour l'exprimer, tu ne pus qu'étirer un mince sourire à cette femme.

Zyska, après un petit rire - " Ne t'inquiète pas petite fleur. Je connais quelqu'un qui sait en créer. Je lui ai demandé d'en rouvrir un dans... Lentement, de cette main libre, tu tiras de ta poche un téléphone portable, appuyant sur un bouton pour afficher l'heure. En voyant ces chiffres, tu ne pus que soupirer de soulagement. Vingt minutes. Cela nous suffira pour aller à notre point de départ. "

Mais... Tu ne bougeas pas pour l'instant, profitant de cette douce caresse. Et tu pensas à ce qu'elle aurait pu dire précédement. Méchant? Non... Tu savais que Dorothy ne l'était pas vraiment, que c'était plus de la peur à cause de cette foutue empathie non contrôlée. En y voyant de plus près, le duo ne semblait pas avoir la main mise sur une grande partie de leurs pouvoirs. Haha... On dirait deux enfants se découvrant petit à petit. Mais bon... Tu as appris que l'empathie pouvait s'enclencher sous le coup d'une émotion bien trop forte de ta part. Et pourtant, cela ne le faisait pas à Freya. Pourquoi? Est-ce que ce petit volcan au fond de toi n'entre pas vraiment en éruption? Est-ce parce que cela ne se déclenche que lors de ton malheur? Tu ne saurais le dire. Cependant, il fallait bien un jour.

Doucement, tu te tournas en direction de là où tu étais arrivé. Bien... Il ne manquait plus qu'à rebrousser chemin, et c'est ainsi que tu commenças à marcher, tenant Freya du mieux que tu pouvais, le temps qu'elle se sente un peu mieux pour marcher à son aise.


Zyska - " Je... Merci. Et encore désolée. Tu... Tu sais quoi?" Tu tournes la tête vers elle, avec un grand sourire. " Pour te dédomager, je t'invite chez moi ce soir. Tu pourras en profiter pour feuilleter les acquisitions. "

Tu lui étiras un plus grand sourire. Tu voulais faire en sorte u'elle aille pour le mieux. Et si elle était vraiment fatiguée, tu pourras lui demander de se reposer chez toi. D'ailleurs, à cette idée, tu deviens encore plsu écrevisse que tu étais. Vraiment Freya... Elle était un sacré numéro pour ton être.




Anonymous
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Re: [Pv Freya] "Do you want a coke?" "Yes. Of course à pied." | Ven 21 Aoû 2015, 16:47

Freya était habitué à la peur, elle vivait avec, ce n'était pas ça le souci, en ce moment. C'était que quelqu'un faisait peur à la fille la plus courageuse qu'elle avait rencontrée. Même si elle n'en avait pas beaucoup croisé des femmes depuis sa perte de mémoire. Mais bon, ça comptait pas mal pour l'esprit de cette demoiselle. Elle était prête à partir et sans plus de discussion, elle ne ferait donc jamais du tourisme comme il le fallait. Le comicon, ce n'était pas encore pour elle. Trop de monde et trop d'hommes, bien qu'il aurait pour ses yeux innocents pas mal de super, mais aussi des méchants. Elle lui demandait si ça allait, elle ne savait que répondre en ce moment. Elle savait qu'elle devrait marcher, encore. Elle voulait avant tout rentrer. Mais elle devait marcher pour être à nouveau en sécurité.

Ce qui rassurait pas mal Freya, c'était que Zyska conaissait quelqu'un capable de créer des portails. Elle savait à quel point cette magie pouvait être épuisant. La femme en bleu lui avait montrer avec panache. Apparemment, elle avait tout prévu, sauf cette rencontre avec une dame étrange. Un e madame ce n'est pas méchant, apparemment, ça pouvait l'être. Au fond d'elle. Elle sentait une peur monter, une de plus qui venait s'ajouter aux autres. Elle ravalait doucement sa salive. Elle devait tenir bon, pour cette demoiselle, pour les comics. Elle regardait doucement la jeune femme qui l'accompagnait. Elle semblait un peu remise de ses émotions, contrairement à elle, un peu. Elle souriait, elle avait bien besoin de cette invitation. Elle ne voyait pas le mal dans cette dernière. Elle hochais doucement la tête.

« D'accord, allons chez toi alors. On se fera du chocolat chaud et on lira des comics sur le canapé. »

La vision de Freya était sûrement très romancée de la vie de cette femme. Mais qui pouvait empêcher son imagination de faire ça et d'idéaliser un peu la blonde qui l'accompagnait. Personne. Absolument personne. Elle avait hâte d'y être. Elle se réjouissait de ce départ et de ce moment à rire entre amies. Bien que Zyska comptais déjà beaucoup pour la métisse aux yeux saphirs. C'était beau comme l'innocence excusait pas mal de choses. Comme celles qui se passait à présent. Marcher jusqu'au point de départ, rien de plus facile, sauf que la jeune adolescente était un poil perdue dans toutes ces rues. Tout étais différent, tout était plus dangereux à ses yeux. Comme si le danger était à chaque tournant. Elle restait sur ses deux jambes. Elle devait tenir. Elle tapotais doucement l'épaule de la demoiselle plus petit qu'elle en taille.

« On sera bientôt à la maison. J'espère qu'on ne rencontra pas d'autres dames qui font peur. Elle feront pas de mal à ma coéquipière. »

Freya était tellement loin de la vérité. Une amie, c'était plus proche. Si il n'y avait pas cette chose floue qu'elle n'expliquait pas entre peur et joie à chaque fois qu'elle la voyait. Ces deux sentiments perturbait pas mal la jeune femme aux tenues souvent bien sportives.




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[Pv Freya] "Do you want a coke?" "Yes. Of course à pied."
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