Memories hurt. PV Atsuo

Un semaine, voilà le temps qui était passé, j'avais retrouver mon corps d'homme pour mon plus grand plaisir. Je savais que Logan souffrait tellement qu'il serrait difficile de le faire oublier pourtant, je prouvais maintes fois ma présence à ces côtés. L'amenant même au restaurant si ce dernier le souhaitait. Je faisais vraiment tout mon possible pour qu'il retrouve son sourire, je l'aime toujours. J'ai mal en le voyant si détruit. L'enterrement, à ce moment, c'était encore pire. Je n'avais pas vécu ce genre de chose, ma famille a été prise par des sans-cœur, pas de tombe, pas de moyen de souffrir plus en gravant leur noms dans la pierre. J'avais vu le nom de cette femme, la meilleure amie de ma moitié. Le dojo est si silencieux. Je restais à ses côtés, lui donnant toute la tendresse de mon être pour lui. C'est donc inquiet qu'à mon réveil, je ne le voyais pas. Je grimaçais un peu en cherchant un mot et je le trouvait, il allait seul à cet endroit. Je respirai à fond. Je devais y aller le plus vite. J'enfilais des vêtements, je dormais souvent avec pas grand chose sur moi. Je ne le tentait en rien, je dormais toujours comme ça. J'enfilais mes basket et partais le rejoindre. Je devais être là pour lui. M'accordant des congés pour qu'il aille mieux. Je courrai le rejoindre. Je n'allais pas le laisser. Je serai là, encore. Je pouvais être sûr qu'il pleurait, le voir si triste et le visage empli de larme me faisait mal. Je voulais pas qu'il souffre. Je ne pouvais rien faire de plus que ce que je faisais. Je n'avais pas sa force, j'avais mon sourire, mes paroles qui se voulait réconfortantes. Ne pas trop parler de cet événement sauf quand il désirait en parler, ne pas le priver d'être triste. Je me retrouvais dans le cimetière, je pouvais entendre les corbeaux qui coassait. Ces bêtes étaient pourtant belle, je n'ignorai pas leur sale réputation, je préférai simplement l'ignorer. J'en avais vu dans l'endroit avait vécu ma meute autrefois. Ces bâtiments abandonnés livré à la nature. Comme prévu, je le trouvais assis devant la pierre, ses sanglots déchirait l'air et je me sentais si mal pour lui. Je venais le serrer conte moi sans un mot. Il avait besoin de dire tout ce qu'il avait sur le cœur à son amie. Je posais un baiser sur sa tête. Je savais que ma présence pouvait l'apaiser au moins un peu.

« Je suis là. »

Trois mots qui ne faisait que souligner ma présence à ces côtés. Il avait sûrement besoin de plus, mais je ne savais plus quoi dire de plus. J'avais tellement peur de faire des erreurs, de remuer le couteau dans la plaie au lieu de la guérir. C'était devenu un but de la panser le plus possible, qu'il soit à nouveau cet homme dont je suis tombé amoureux. Je n'avais rien contre le changement. Le voir si mal ne me plaisait pas du tout. Je gardais souvent un léger sourire en sa présence.

Je savais que je pouvais l'aider, je l'espérai. Mes bras restaient autour de lui. Partageant ma chaleur avec cet homme. Dans l'ambiance général, je pensais que ça lui ferai plaisir. Tout ici était froid, horriblement froid. Je pouvais sentir sa main sur mon bras, preuve qu'il m'avait senti. Je ne pouvais qu'être heureux. Pourtant, je souriais pas, car le voir souffrir était tout sauf une partie de plaisir pour moi. Je me blottissais contre lui sans un mot, sentant son odeur si particulière, cette odeur que j'aimais tant. Pourtant un peu différente du fait qu'il vivait chez moi. Ce qui le rendait un peu différent, ce n'était qu'un changement subtil dans son odeur. Il l'insultait, sûrement pour la sentir encore un peu vivant. Mes doigts bougeaient doucement, mon but était qu'il se détendent. Que cet endroit ne lui fasse plus de mal. Je sentais sa tête si proche, je ne pouvais m'empêcher de l'embrasser doucement, toujours affectif avec lui. Je restais à ses côtés, je pouvais sentir la légère différence quand un corbeau le fixait. Je caresse son corps comme je pouvais posant quelques baisers sur sa tête. Le silence était roi. Je ne savais si c'était le bon moment. Cet oiseau avait un comportement digne d'un affilié. Je restais là, espérant que cette rencontre serait de bonne augure.
Je ne disais rien, continuant à être là pour lui. Ses pleurs avait cessé, c'était déjà bon signe. Cette pierre était surplombé du volatile, il se contentait de le regarder lui. Je ne faisais aucune remarque. Juste rester à ses côtés en silence. L'oiseau devait avoir compris que je ne voulais pas le croquer, car il se contentait de rester là. Il ne fallait pas oublier que j'étais un prédateur. Un chasseur. Je mettais mon nez dans sa chevelure sombre, respirant calmement contre cette dernière. Je laissais cette rencontre se faire. Je n'étais que là pour le soutenir avec toute ma volonté et mon amour pour lui. On serait pas top de deux pour l'aider, bien que je savais qu'une part de moi serai un peu jalouse, mah, ce n'était pas vraiment une raison de l'être. C'était stupide. Rien qu'un oiseau, je devais lui laisser sa liberté, c'était comme ça qu'il se sentirait mieux plus vite. Comme un volatile, il avait besoin de déployer ses ailes sur ce monde. Laisser le vent caresser son être et avoir un endroit ou revenir, un nid. Je connaissais ce sentiment mieux que personne. Je pouvais qu'être content qu'il continue à me donner des surnoms affectifs.

« Je t'aime, mon chou. »

Je brisais mon silence avec ces mots, j'avais eu ce besoin de lui dire. De prouver encore et toujours ma présence à ses côtés. Je serai là pour le relever, pour l'aider, garder ces secrets les plus sombres. Je voulais être moins possessif et laisser vivre sans avoir peur. Je le serai contre moi, chassant un peu mes pensées, il avait besoin de moi, tel quel, sans ses pensées qui me parasitais. C'était le mieux pour son bien.

Je savais que ça faisait de rencontrer un affilié, je l'avais vécu avec Kojiro, cette sorte de coup de foudre. Cette lumière dans l'obscurité, je voyais mal ma vie sans mon oiseau. Même si ce dernier avait bien plus de caractère que moi. Mah, il m'en voulait pas d'être ce que je suis. J'entends le nom qu'il lui donne, je sais que la présence de cet animal lui sera bénéfique. Je comptais un peu dessus. Je restais à ses côtés, voyant l'animal se lier avec lui. Je gardais mon sourire. Je n'allais pas être jaloux. Je savais que c'était mieux comme ça. Il ne serait jamais seul, pas lui et moi à ses côtés. Je le voyais comme un allié. Un compagnon de route, sur celle que j'avais choisie. Ces mots pour moi me faisait plaisir, je savais qu'il m'aimait, mais l'entendre me rendait fou. Je ne pouvais que l'écouter le dire, sentant mon cœur battre si fort que j'en rougissais, croyant qu'on pouvait l'entendre. Je le laissais faire. Je savais qu'il avait besoin de ces moments. Pourtant son regard triste me poignarde directement dans mon cœur, je garde mon sourire, pour lui. Je le voyais en faire de même. Je ne pouvais que me réjouir du retour de cette expression sur son visage à lui. Son baiser, il m'avait surpris sur le coup. Mais je ne pouvais m'empêcher d'y répondre avec autant douceur que moi. Je sens comme une chaleur se répandre en moi. Je suis heureux. Je le sais que trop bien que notre baiser prendrait fin quand notre air manquerait. Le nôtres. Je sentais une part être fier de ça. Il me fait basculer sur le sol. Je caresse ses cheveux. Il est tellement beau, même le visage déformé ^par sa récente peine. Je ne pouvais que le trouver beau. Le voir dans sa faiblesse me le rendait encore plus beau. Je continuais mes gestes tendre. J'étais là pour lui. Il était devenu essentiel à ma vie, un peu comme le soleil qui éclairait mes journées. Penser à lui me rendait souvent heureux. Sauf que le voir triste me rendait un peu amer. Je voulais qu'il sorte de cette peine, sachant que je ne pourrait pas l'effacer totalement, vu que je pensais encore à ma meute disparue. Sa déclaration me fait pas peur. Je devais le rassurer.

« Je ne partirait pas, même l'eau ne me fera pas partir, je luterai. »

Mon aversion pour l'eau était telle. Je savais que lui l'aimait. Donc, je vivais avec ma peur, la combattant comme je pouvais. Je ne partirai pas sans me battre pour lui. Pour moi aussi. Je ne rejoindrai pas les enfers prématurément, quitte à être mordu pour rester plus longtemps à ses côtés. Je savais ma vie courte par rapport à la sienne. Mais j'en disais rien, je resterai autant qu'il voudra de moi.

« Tant que tu le voudra, je resterai. »

Il avait ce pouvoir sur moi. Je pouvais passer des heures avec lui, il me changeait, il me rendait meilleur. Je le caressais, pesant à rien d'autre que cet instant, tentant de ne plus voir ses yeux rougis par les larmes, les cernes cerclés ces derniers. Même comme ça, je l'aime, car je me rends compte que sa force m'as soutenu, à moi de le soutenir comme je le pouvais.

Je savais que c'est dur, il a mal je reste près de lui, infaillible et sans aucune peur. Juste lui. J'essuyais doucement ses larmes, avec soin, les voir me faisais mal. Je les chassais avec tendresse.je sentais son étreinte contre moi. Je ne pouvais m'empêcher d'être content de l'avoir aussi proche. Je posais un baiser volatile sur ses cheveux. Question tendresse, il était servi avec moi. Je continuerai en lui donner, il en avait besoin plus que n'importe qui en ce moment. Je me rendais compte que je n'avais pas eu ce genre de choses. Mah, c'était passé. J'avais laissé Logan faire comme bon lui. Je savais qu'il était mal. J'attendais qu'il ai mieux, je n'avais aucune envie de le brusquer. Ce n'était pas le bon plan. Donc même si cette distance m'avait fait du mal, je pouvais sentir à quel point je lui avait manqué, il me serrait fort, mais pas trop connaissant sa force de loin supérieure à la mienne. Je respirai son odeur, rien que pouvoir le faire me remplissait de joie, son odeur, j'en étais honteusement accroc. A son vie rester avec moi pour toujours, mon cœur ratait un battement. Je souriais, avec cette envie de l'embrasser à nouveau. Je l'écoutais religieusement, je pouvais sentir que ces mots n'était plus pour elle, et donc pour moi. Il faisait son deuil doucement, il n'oublierai pas son amie. Je le savais. Je gardais en tête de rien forcer. Pourtant l'entendre que je pouvais percer ce mur qu'il avait dressé autour de lui. Je me ferai un plaisir de faire en sorte qu'il n'existe plus.

« Je vais commencer les travaux alors. »

Je ne savais d'où venait ces mots, mais ils étaient justes dans la situation que je vivais en ce moment. Je déposais un baiser sur ces lèvres. C'était un baiser toujours empli d'amour, je ne pouvais faire autrement quand il s'agissait de lui. Le fait qu'il me serre comme si je n'étais qu'à lui seul m'avait plaisir, mais je ne disais rien, je préférai garder ce genre de choses pour moi pour le moment. Je lui dirai plus tard. Je ne voulait pas qu'il ignore ce que j'avais ressenti. Je passais une main dans sa chevelure. Il m'avait tellement manqué. Si proche et si loin. Je n'avais jamais baissé es bras. Dans un coin de ma tête cette promesse d'être là pour toujours ressemblait à autre chose. J'essayais de pas trop en prendre compte. Je me séparai, à court de souffle.

« Je t'aime, je ne partirai pas, je suis de ta meute, tu es de la mienne. Je vivrais à tes côtés. »

Je savais que ma vie serait courte, mais je profiterai de chaque moment, à moins que j'ai du sang d'autre créature en moi. Va savoir. Je passais mes mains sur son corps. Je 'avais pas particulièrement envie, mais je perçais le mur avec mes gestes tendre. Je voulais qu'il se libère, être la victime des démons qu'il retenait en lui. Revoir l'homme dont j'étais tombé amoureux. Loin de la fragilité. Bien que le voir ainsi avait confirmer mon attachement à cet homme.

« Mon chou, je suis là. »

Il en avait besoin. Je faisais tout pour qu'il soit mieux.

Je gardais mon sourire, tout pour le rassurer. Cet endroit était vraiment plein de sentiments pas très agréable. Une odeur de chair qui se décomposait venait me chatouiller le nez. Pourtant je ne bougeait presque pas. Assez pour respirer. Je caressais son corps, sans aucune arrière pensée, c'était juste un moyen de prouver ma présence à ces côtés. Il s'excusait pour tous ces moments. Je lui en voulait pas. Je suppose que je n'étais pas mieux à l'époque. Je posais mon front sur le sien. Je voulais pas l'interrompre. Je savais que ça serait dure de dire la suite. Déjà qu'il utilise des surnoms me rassurait un peu. J'espérai vraiment qu'il soit mieux dans sa peau. Sa meilleure amie. Je me demandais si j'avais quelqu'un de ce genre. Un client régulier, peut-être, va savoir. Il avait toujours mal. La douleur partirait jamais totalement. Je le savais bien. Je le serrait contre moi, tentant de calmer ses pleurs avec mes gestes toujours doux. Je savais qu'il luttait contre lui. C'était très honorable de sa part. Je restais là dans cet endroit. Sans l'oiseau tout semblait morne.

« Ne t'excuse pas mon chou, je sais ce que ça fait de perdre quelqu'un. Pleure autant que tu le souhaite, j’essuierai tes larmes. Te retenir te fera que plus mal. »

Je ne savais que faire, juste que mes mots semblait si loin de sa vérité. Je le serrai donc en silence. Caressant son dos. Je pouvais sentir ses poings serrer mon chandail. Difficile de croire que je portais toujours ce genre de vêtement, mais mon instinct avait bien fait de l'avoir mis. Tous dans ces lieux semblait froid comme les pierres. Je posais un regard sur la pierre de son amie. Je regrettais vraiment ne pas l'avoir vue avant. C'était la nana que j'aurai pu devenir ami, sûrement. Mah tout ça n'était plus possible. J'embrassais sa tête. Doucement, il savait que je serai là. Vu comment il me tenait, je n'avais aucun doute. Je frottais son nez contre le mien, signe que je lui avait un peu emprunté. C'était son truc à lui. La première chose qu'il m'avait faite alors qu'on était pas ensemble.

« Au moins, je sais que tu as des moments de faiblesses, ça m'encourage à être fort pour nous. J'ai aussi mes faiblesses. Tu le sais que trop bien. »

Je lui disait des choses réelles, espérant que ces dernière l'aiderait à remonter la pente. Je me battait peut-être contre le vent. Mais je sais qu'il pouvait changer de direction. Je restais immobile afin de garder son souffle se mélanger au mien. Doucement. J'aurai pu faire le premier pas et encore voler ses lèvres. Je lui laissais le loisir d'en profiter ou non. Même si si Logan évitait, je lui en voudrait pas, jamais. Je devais être vraiment amoureux. Car même aussi triste qu'il est, être entre ses bras me faisait du bien, même si je pouvais sentir sa peine. Ce sentiment qui lançais ma poitrine. On devait vivre mieux. Je chantonnais doucement une chanson d'un Disney. Peut-être ça aiderai.