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 {Alex} Secrets hurt more than they preserve

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Amelëyr C. Thanáriel
Amelëyr C. Thanáriel
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J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
{Alex} Secrets hurt more than they preserve | Mar 11 Aoû 2015, 20:26





Secrets hurt more than they preserve
Feat Alex


Ombre à tes cotés tu te diriges lentement vers le marché. Tu ne sais pas pourquoi elle tient tant à t'accompagner jusque là, puisque elle ne pourra pas te suivre sur Terre.  Enfin si, tu supposes qu'elle a envie de passer le bonjour à Alex avant de te laisser. Car oui, c'est bien elle que tu va rejoindre sur le marché. Ombre apprécie décidément beaucoup la rousse. Ç te fait marrer ; elle l'a flattée une fois sur sa fourrure et ça a suffit pour qu' elle la trouve a-do-rable. Bonjour l'objectivité ! Enfin tu penses ça mais c'est vrai que toi aussi tu l'aime bien. Ça doit faire 4-5 mois qu'elle a dormi chez toi à cause de la neige.  En partant elle t'a laissé son numéro, pour discuter à propos du remboursement de ta chaîne. Mais au final vous avez un peu plus sympathisé par textos, entre autres. Lyvion s'est bien foutu de ta gueule en apprenant comment ta chaîne hifi a fini chez le réparateur. Tu n'as pas manqué de le lui rendre à bon escient d'ailleurs. Enfin bref, de fil en anguille, tu as lié une amitié avec la Hollystone. Fait important car elle est bien l'une des seules amies que tu as en dehors du cirque, étant donné ta propension à coucher puis jeter proprement les filles qui tombent sous ton charme. Mais passons.

Tu regardes l'heure sur ton portable.  18h15. Ça va tu es large. Hum ? Oui. Il t'arrive d'être ponctuel. Occasionnellement. Ombre trottine jusque sous un arbre et s'allonge pour profiter de l'ombre, car il fait chaud en ce début d'été. Mais nous n'avons pas dit ce qui t'amène là il me semble ? En fait il y a quelques jours Alex t'a proposé une sortie sur Terre entre amis. Elle a parlé d'une soirée mondaine au Japon, une sorte de fête, avec des feux d'artifices et de la bouffe. Inutile de préciser ce qui t'a le plus attiré dans l'histoire. Enfin sur le coup te retrouver au milieu de gens qui parlent le charabia et n'ont même pas un alphabet normal comme tout le monde, ça t'a pas enchanté des masses. Mais Alex t'a assuré se débrouiller en japonais donc tu n'as pas trouvé de quoi refuser sa proposition. Tu t'assois sur un banc en l'attendant, non loin de ta panthère qui pique un petit somme. Tu lui as répété tu ne sais combien de fois qu’elle ne peut pas venir sur Terre. mais elle a insisté pour venir jusqu’ici, pour saluer Alex. Ton affiliée peut se montrer très têtue pour certaines choses.

18h25. Elle ne devrait pas tarder à arriver, elle est plutôt du genre ponctuel. Enfin c’est ce qu’elle t’a dit. Elle t’a dit par sms “Rendez-vous à 18h30 sur la place du marché !”. Tu n’es pas d’un naturel patient, mais tu as ton portable pour faire passer les 5 minutes qui restent. Tu lances Bomb Beach, parce que taper bêtement sur des cibles sans aucune valeur stratégique, c’est fun. Tu es une vraie teigne sur ce jeu. On te fait une crasse, tu la rends puissance 1000. Ce qui ne te change pas vraiment de la vie de tous les jours en fin de compte. Par contre tu ne te gênes pas pour en faire aux autres, sans scrupule. C’est ça qui te plaît sur ce jeu. Le temps passe sans que tu ne fasses gaffe à l’heure. Tes yeux notent les chiffres de ton horloge interne. 18h40. C’est étrange, elle aurait dû te prévenir qu’elle sera en retard ! Tu n’as aucun nouveau message pourtant.

∞ Allons bon. Qu’est-ce qui lui arrive ?
∞ Elle a peut-être un imprévu de dernière minute ?
∞ Oui mais dans ce cas on prévient c’est la moindre des choses.

Tu n’aimes pas trop l’idée qu’on puisse te laisser en plan comme ça. Ton front se plisse, comme chaque fois que tu es contrarié. Pourtant elle est plutôt du genre prévoyante. Et polie. Même qu’elle s’excuse pour un rien assez souvent. Non, tu penses qu’il y a un souci. Tu veux l’appeler, mais tu vois écrit “URGENCE UNIQUEMENT” sur ton portable. Allons bon, il lui prend quoi à ton Smartphone ? La technologie c’est bien, mais quand ça marche pas c’est chiant. Tu fais comment pour la joindre maintenant ? 18h45. ça se trouve elle s’est paumée. Ou elle a trébuché et s’est foulé la cheville, pas douée comme elle. C’est vrai que côté maladroit, t’as pas d’autre référence, surtout avec ses jambes, on dirait qu’elle a deux pieds gauches… 18h50. Bon cette fois-ci t’en a clairement marre de poireauter. Tu vas aller voir ce qu’il se passe chez elle, avec un peu de chance c’est là qu’elle doit se trouver. Tu te lèves, un peu contrarié.

∞ Bon je vais voir ce qu’elle fout.
∞ Je t’accompagne. Il lui est peut-être arrivé quelque chose.
∞ Ou elle s’est encore emmêlé les pieds.

Ombre te trouve un peu dur avec elle, mais ne réplique pas. Elle se contente de te suivre de sa démarche souple et féline. Mais au fait, comment tu sais où elle habite ? Elle t’as donné son adresse par sms au cas où. Les mains dans les poches tu prends la direction des habitations de la capitale, d’un pas assez vif, ce qui témoigne de ton énervement passager. Tu l’aimes bien, Alex, mais tout de même, c’est pas très réglo de sa part. Ombre ne dit rien à tes côtés, mais elle en pense toute autre chose. Finalement tu arrives dans sa rue. Tu cherches le bon numéro. Elle t’a dit quoi déjà, qu’elle habite avec une certaine Betty ? Tu vérifies ton portable, mais toujours aucune nouvelle. Un soupire exaspéré s’échappe de ta gorge. Enfin bon, ton réseau a des ratés, tu ne vas pas tout lui mettre sur le dos. Tu arrives devant le portail de son duplex. Tu détailles le bâtiment. C’est un style un peu vieillot, dis-donc. Il y a un balcon fleuri aussi. Des fleurs. Tu n’aimes pas les fleurs. Tu vas sonner à sa porte, arborant un sourire forcé, celui qui dit “je fais style tout va bien, mais là je suis un peu contrarié, juste un peu ♥” Ombre s’assoit à côté de toi, patiente. Au bout d’un certain temps, la porte s’ouvre. Tu retiens un “c’est pas trop tôt !” de justesse.

∞ Salut Alex, c’est moi ! J’avais pas de tes nouvelles donc je suis passé pour…

Tu te stoppe net dans ton élan, consterné. Déjà, elle n’est pas si petite pour ne pas avoir sa tête au bon niveau, soit à la hauteur de tes épaules. Donc tu as baissé instinctivement les yeux, et tu découvres maintenant une jeune rousse dans un fauteuil roulant. Sur le coup, tu te dis que tu t’es trompé de numéro. Mais non. C’est bien elle. En fauteuil roulant. Tu fronces les sourcils. Ton esprit est soudain assailli de questions : pourquoi est-elle dans un fauteuil, que lui est-il arrivé, pourquoi elle ne t’a pas prévenu, qui est responsable de son état (histoire de savoir et de prévoir un mauvais coup)... Tu te masses les tempes, ça en fait trop pour toi là.

∞ Qu’est-ce qui t’es arrivé ? demandes-tu finalement d’un ton un peu inquiet.

Sisi. On ne rêve pas. Tu es un peu inquiet. Juste un peu. Parce que tu la trouve cool et sympa, et qu’elle mérite pas ça, hein, avoue-le. Ombre dresse les oreilles, avant de les coucher, un peu révoltée. Elle aurait préféré avoir tort, pour une fois. Mais bordel, qu’est-ce qui s’est passé ?

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Re: {Alex} Secrets hurt more than they preserve | Mar 11 Aoû 2015, 21:55

Secrets hurt more than they preserve

Feat. Amelëyr C. Thanáriel


Les rendez-vous à l’hôpital, tu déteste cela plus que tout. Surtout quand tu dois aller pour toi, encore pour James ou un ami cela te va. Mais pour toi c’est toujours une autre histoire. Te mordant un peu la lèvre, la femme avance d’un pas inquiet vers la porte de son médecin, approchant la main vers la porte… Se mordant un peu la lèvre inferieur la femme rentre dans le bureau avec beaucoup de quiétude.

Comme d’habitude, ce n’est qu’un petit bilan après quelques radios, un exam de tension et une petite série de question pour savoir si tout va bien dans sa vie. Pouvoir marcher est quelques chose que tu adores plus que tout, en plus tu es juste toute existé d’être ce soir pour cette petite sortie prévue avec un ami. Serrant ton sac quand tu le vois partir chercher les radios. Enroulant un de tes cheveux autour de ton doigts, la demoiselle regarde son portable si Amel, l’ami en question, n’a pas répondu a ton sms pour le rendez –vous. Eh bien si ! Il est rapide. Un petit sourire s’affiche sur ton visage, bien qu’il disparaisse pour plus de sérieux devant le médecin. Tu préfère mille fois Niji que lui. Détournant un peu le regard, pour regarder par la fenêtre, détestant voir ses radios, qui lui rappel toujours autant ses faiblesses.

« Eh bien, je remarque que vous n’y allais pas de main morte !
-J’ai une vie plutôt mouvementé ces temps ! Sourit-elle
-Je vois bien ça, vous prenez bien les médicaments ?
-Oui oui… Un comprimé le matin et un le midi.
-Je vois.
-Il y a un problème ?
-Madame Hollystone, je vais être franc avec vous. Vous poussez votre corps un peu à bout, votre col du fémur commence à avoir beaucoup de mal à supporter ces changements. Je pense qu’il serait bien que vous preniez quelques vacances.
-Mais mon travail… ?
-J’ai déjà communiqué avec la personne qui vous a fait vos prothèse. Nous nous sommes convenue qu’il faudrait que vous marchiez beaucoup moins pendant quelques temps. Pour reposer vos cols. Bien sûr, pour être sûr nous allons enlever vos prothèses pour que la tentation ne soit pas là.
-Mais…
-C’est pour votre santé Madame. »

Faisant de gros yeux, tu n’as jamais voulu contesté le médecin. Mais, de toute façon, il fallait bien que cela arrive. Tu as beaucoup trop abusé de ton corps, il n’en peut plus physiquement. Baissant la tête progressivement, la femme commence à avoir quelques paillettes. Puis tu percutes quelques choses.

« On peut les enlever demain ?!
-Non maintenant. J’ai appelé un ambulancier, il va vous emmener.
-Mais j’ai quelque chose de prévus !
-Eh bien faite le. Mais sans vos prothèses, c’est pour votre santé. »

Serrant un peu le poing, la demoiselle ne sait plus du tout quoi dire en ce moment même. La bouche ouverte, mais aucun argument à lancer. C’est ta santé, rappel toi bien cela Alex. Le médecin approche les mains et te retire doucement tes appareils. C’est clair que tu te sens bien légère. Par réflexe dés que tu entends la porte s’ouvrir tu tentes de te lever, mais tu tombas directement à cause de la douleur. Par chance, le médecin te rattrape rapidement. Te frottant les yeux pour ne pas pleurer, tu te fais soulever comme une enfant par l’ambulancier qui t’emmène dans sa voiture et te ramène chez toi. Tout le long du trajet, tu étais bien silencieuse, ne trouvant rien de bien positif à dire.

Après avoir ouvert le portail, pris l’ascenseur pour arriver au premier, te voilà chez toi sur le canapé. L’ambulancier ta rapprocher ton fauteuil roulant au cas où. Un au revoir bien  froid.  Alexandra ne sait pas du tout quoi faire, allumant juste la télé pour se mettre en boule dans son canapé. Masaichi l’approche et se frotte un peu contre elle, apportant un verre de jus de fruit bien frais pour lui remonter le moral. Poussant un peu la boisson pour voir la télé, bien que celle-ci finira sûrement bu, la femme soupir longuement.

Elle ne remarqua pas le temps défilé bien plus vite qu’elle ne le pensait. Voyant l’horaire de l’horloge, la femme fait de gros yeux. Prenant son téléphone et fixant encore une fois l’heure : 18h40 … Il doit ne plus attendre. Il doit te prendre maintenant pour une fille bien impolie. Pas grave. Te levant doucement pour monter dans ton siège et le faire rouler vers la salle de bain du bas, car oui comme d’habitude tu utilises celle du haut a hauteur de personne debout, celle du bas était celle qui était pour toi celle de la déprime. Lavabo bas, miroir qui montre ce siège derrière toi… Soupirant un peu, tu te brosse un peu les cheveux pour essayer de ressembler à quelque chose. Bien que tu ne te sois pas changer, mais c’est à l’étage puis le temps que tu monte…. Et puis zut. Approchant les escaliers, tu montes avec ton appareil pour vieux et arrive à l’étage ou un autre fauteuil t’attends comme d’habitude. Roulant pour aller à ton armoire, tu prends un truc un peu chinois, s’il n’est pas là, pas grave tu iras toute seule… Cela ne t’a jamais tué d’y aller toute seule. Tu te change lentement avec du mal, te battant presque dans ton lit pour tout enfiler. Essoufflé, tu descends en bas avec lenteur. C’est alors qu’après avoir posé ton derrière sur ta chaise, tu entends sonner. Clignant des yeux, tu demande si ce n’est pas la voisine d’en face qui a un souci.

Approchant doucement la porte, tu tourne doucement les clefs pour enfin ouvrir doucement la porte pour voir si c’est bien cette voisine en question. Tes yeux se sont alors grossis quand la personne devant toi n’était pas la petite vieille, mais un jeune homme à la chevelure blond vénitien et sa grande taille.

«  Salut Alex, c’est moi ! J’avais pas de tes nouvelles donc je suis passé pour… »

Alexandra ne garda que la bouche ouverte, l’air de  se dire que ce n’est clairement pas sa journée en fait aujourd’hui. Bien qu’en fait, elle aurait voulu presque une tout autre personne devant elle. Il va la juger ? Il va se moquer ? Il va partir ? Tu ne voulais aucune de ses hypothèses. Ton visage est presque prêt à pleurer, tu n’aimes pas qu’on te voit comme ça, tu déteste ça…

«  Qu’est-ce qui t’es arrivé ? »

Son ton te surpris quelques instant,  c’est quoi ce ton ? Tu n’as jamais entendu un ton pareil. Non tu ne dois pas claquer la porte, tu ne dois pas te cacher continuellement derrière cette porte qui te protège de ce monde. Levant la tête pour le regarder, serrant la poignée de la porte…. Tu es ridicule.

« Je… Je… »

Alexandra n’arrive pas du tout à parler devant lui, elle a toujours eu du mal de voir les gens qui voit son handicap, en ayant honte tout le temps. Tu ne peux pas marcher comme les gens, tu ne peux pas courir comme tout le monde sans de l’aide. Tu recroise son regard qui semble remplis de quiétude… Ce regard que tu ne veux pas voir sur celui des gens proche de toi, car c’est ta faute. C’est trop tard pour reculer… C’est trop tard.

« S’il te plait, va-t-en… »

Dis-tu les larmes aux yeux, bien que les larmes commencent maintenant à couler. Mettant tes mains sur ton visage pour y cacher avec honte et gêne. Tu ne sais plus ou te mettre.

« Ne me regarde pas… »

Gémit-elle sur son fauteuil dans la porte d’entrée comme une misérable fille incapable d’assumer cette nature de femme faible et inutile au monde.





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Re: {Alex} Secrets hurt more than they preserve | Mer 12 Aoû 2015, 09:04





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Feat Alex

Tu as toujours été quelqu’un d’égoïste. Enfin, ce n’est pas tout à fait exacte. Tu l’es surtout depuis 4 ans. Depuis que tu as compris que tu ne peux compter que sur toi même, et qu’il ne faut rien espérer des autres, même de tes proches, si ceux-ci ont décidé de te laisser tomber. Pendant longtemps tu as espéré. Maintenant, tu trouves que tu n’étais qu’un petit idiot. C’est beau d’espérer, mais ça ne permet pas de survivre. Depuis, tu ne t’inquiète jamais pour quiconque, sinon pour ta propre personne… et peut-être aussi pour Ombre. Le cirque ? Tu n’as pas de raison de t’inquiéter. Ainsi tu ne te préoccupes plus que de toi, tu vis selon tes envies, et tu t’en contentes. Jusqu’à présent, en tout cas. Voir Alex dans cet état, comment dire… ça te plonge dans le désarroi et, osons être audacieux, dans le sentiment d’injustice. Quelqu’un a dû la renverser ! Mais elle ne serait pas déjà sortie… Tu l’observes, et tu la vois bouche-bée, visiblement elle ne s’entendait pas à te voir. Ah bon… Pourtant elle n’est pas venue, elle ne t’a rien dit, elle ne t’a pas prévenu… Tu comprends pourquoi, mais ça n’explique pas tout. D’un côté tu es contrarié, qu’elle ne t’ai rien dit sur ce qu’il se passe, de l’autre… La voir au bord des larmes -tu ne sais pas pourquoi elle se met dans cet état- te rend inconfortable. Tu mets un certain temps à comprendre que, tout simplement, tu n’aimes pas la voir sur le point de pleurer.

Elle essaie de parler, mais ne fait que bégayer au final. Tu te masses le front, toute cette histoire te déroute complètement. Elle semble souffrir, tellement. Tu connais ce regard. Pendant longtemps, tu l’as contemplé dans ton reflet. Malgré tout l’égoïsme, la malhonnêteté et le mépris qui t’habitent, tu es touché par sa détresse, même si tu ne l’avouerais pour rien au monde.

∞ Alex ?
∞ S'il te plaît, va-t-en…

Va-t-en… Va-t-en… Va-t-en… Des mots simples. Des mots courants. Sans mal apparent. Et pourtant, ils te blessent. Elle te demande de partir. Ton visage laisse transparaître la souffrance, avant de se durcir. Tu as souffert du rejet, toute ta vie. Ton père, ta fratrie, Cyrielle, et pire que tout, ta mère. C’est pour ça que tu ne t’attaches pas, enfin disons peu, aux autres. C’est pour ça que tu t’es mis à rejeter à ton tour, faire souffrir parce que tu as trop souffert. Pour qu’ils sachent ce que ça fait. Mais quand tu te laisses approcher, quand tu commences à apprécier une personne, alors oui, tu n’es pas si acerbe, tu n’es plus si invivable que ça. Mais… Va-t-en Après ces événements, en 4 ans, ce n’est plus arrivé. Plus personne n’a voulu se débarrasser de toi. Va-t-en Alors ces mots résonnent dans ton esprit comme le sifflement d’un vent de tempête. Tes yeux azur la fixent, la sondent, sans ciller. Alors Amelëyr, vas-tu encore une fois subir le rejet ? Ombre te lape soudain la main, comme pour te rappeler qu'elle est là et qu'elle te soutient. Ça a le mérite de te faire réagir.  
∞ Certainement pas, répliques-tu d'un ton sec. Je suis pas venu jusqu'ici pour me faire jeter. ton ton, plus dur que voulu, s'adoucit en la voyant si désespérée. Je ne vais pas partir et te laisser comme ça sans savoir ce qui se passe.

Tu te frottes la nuques, un vieux tic quand tu es mal à l'aise et ne sais pas quoi faire ou quoi dire. Comme si c'était ton truc, de consoler les filles ! Non mais franchement... Ta contrariété s'efface devant sa tristesse, car elle se met à pleurer.  Tu ne la quittes pas des yeux, même si elle n'ose pas te regarder en face, pour une raison qui t'échappe, et cache son visage derrière ses mains.

∞ Ne me regarde pas... dit-elle d'un ton plaintif qui te déroute.
∞ ... Et pourquoi ? demandes-tu en haussant un sourcil, avant de reprendre sur un ton sarcastique : Je suis sensé regarder qui alors, le pot de fleurs ? Ce n'est pas à une plante que je parle, mais à toi. En général on se regarde quand on se parle.

Tu as essayé de dédramatiser, cependant elle pourrait le prendre mal. Tu ne sais pas ce que tu es sensé dire, aussi ! C'est la première fois que tu te retrouve dans cette situation. Tu détournes un instant les yeux, cherchant quoi dire. Tu n'aurais jamais pensé la trouvé comme ça en venant ici, ni devoir faire exactement ce que tu es en train de faire : la consoler. Quand tes yeux se reposent sur elle, tu soupires avant de t'accroupir pour te retrouver à son niveau, posant une main sur une roue de son siège.

∞ Alex... Regarde-moi. Pourquoi tu te mets dans cet état ? Arrête de pleurer. Je ne partirai pas sans que tu me dise ce qu'il se passe. Tu as été renversée ? Pourquoi tu ne m'as pas prévenu ? Explique-moi ce que tu fais dans ce fauteuil... s'il te plaît.

Tu es essayé de ne pas la brusquer, après tu n'es pas un pro pour ça. Si on reste modeste. Ombre ne dit rien, spectatrice silencieuse d'une scène qui la stupéfait. Alex qui pleure, déjà ça fait quelque chose, elle qui est si enjouée d'habitude. Et puis, ton affiliée ne s'attendait pas à te voir réagir comme ça... Même si au fond elle l'espérait.
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Re: {Alex} Secrets hurt more than they preserve | Jeu 13 Aoû 2015, 15:57

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Tu es totalement ridicule en fait. Regardez donc tout le monde, le Léviathan qui pleure comme une gamine qui n’ose pas être regardé par le monde. Serrant ton visage en larme, tremblant comme une femme fragile. Alexandra n’est qu’une demoiselle qui ne sait strictement rien faire d’autre que se cacher dans l’ombre de celle qu’elle veut être, une femme normale. La société est beaucoup trop cruelle avec les gens comme elle. Ne voulant pas affiche la tristesse sur le visage des autres à cause d’elle. La voilà totalement ridicule devant cette personne qui est son ami. Tout ce que tu trouves à dire c’est de s’en aller, Alex touche bien le fond.  Bien sûr, il fallut que cela tombe sur Amel.

« Certainement pas,. Je suis pas venu jusqu'ici pour me faire jeter. Je ne vais pas partir et te laisser comme ça sans savoir ce qui se passe. »

Il fallut que tu tombe sur une forte tête comme lui, tu aurais du t’en douter quand même. Oui beaucoup trop facile de croire qu’il allait partir sans rien dire, sérieux qui est assez stupide pour partir comme ça ? Personne à part les gens qui n’en ont strictement rien à faire. Te mordant un peu la lèvre inferieur, cachant se visage mal à l’aise, tu te masque le visage devant le regard bleuté de ton ami, mais cela ne te protégeras pas beaucoup. Alex veut juste ne pas voir cette personne être inquiet par sa faute, c’est toujours la même chose de toute façon, elle inquiète trop de monde. On continue de supplier devant un mur, il ne semble toujours pas prêt de partir d’ici.

«  ... Et pourquoi ? Je suis sensé regarder qui alors, le pot de fleurs ? Ce n'est pas à une plante que je parle, mais à toi. En général on se regarde quand on se parle.»

Continue donc de t’enfoncer dans l’ombre des gens Alex, tu n’as pas envie d’être vu et pourtant ce n’est pas faux, il en va pas parler à ton canapé alors qu’il n’y a que toi qui peut répondre. C’est totalement ridicule de te voir te mordre la lèvre, en sentant ses larmes te lacéré les joues avec un petit espoir ridicule qu’il part loin de toi, la femme incomplète. Tu entends du mouvement proche, alors que tu es juste entrain de mettre un masque avec tes propres mains pour cacher cette face stupide que tu affiche.

« Alex... Regarde-moi. Pourquoi tu te mets dans cet état ? Arrête de pleurer. Je ne partirai pas sans que tu me dises ce qu'il se passe. Tu as été renversée ? Pourquoi tu ne m'as pas prévenu ? Explique-moi ce que tu fais dans ce fauteuil... s'il te plaît. »

Sa voix était douce et proche de toi, tu sentais bien qu’il ne voulait pas se moquer de toi, il voulait juste savoir ? Qu’est-ce que cela coute de vouloir savoir ? La demoiselle se mord la lèvre, voulant encore une fois le faire fuir. Alors qu’elle retire une main de son visage pour la poser sur sa roue pour reculer. La rousse la pose alors malencontreusement sur la main d’Elfe, l’humidifiant sans le vouloir. Levant la tête surprise, elle le voit bien à sa hauteur avec ce visage encore plus inquiet. Tu t’enfonce encore plus. Les yeux rouges à cause des larmes, ce visage brisé par cet handicap. Il faut bien le dire, tu ne vas pas lui claquer la porte au nez, tu ne peux pas recommencer de fuir, tu ne vas pas bien loin. Posant alors les mains justes sur tes jambes, baissant la tête comme pour tenter de ne pas afficher ce visage totalement épris de la tristesse.

« Non, j’ai pas été renversé… »

Dis-tu simplement, c’est déjà un doute en moins dans la tête du roux. Même si cela n’explique toujours pas le pourquoi tu es là dedans. Quelques mots pour expliquer c’est tout, tu peux le faire Alex ? Il faut arrêter d’avoir peur de ce monde qui te prend comme un poids. Il faut simplement que tu tends les mains pour montrer que tu ne les baisses pas.  Bien que tu n’ose même pas regarder la lumière qui t’éclaire. Tu sens alors une chaleur sous ton menton qui te relève un peu le visage, tes pupilles dorée qui se plonge dans celle du bleuté. Tu ne peux pas reculer, tu ne peux plus fuir, tu es prise dans les chaines de cet homme qui veut la vérité et simplement la vérité.

« Je peux marcher depuis ma naissance. Je suis mal faite… Je suis une handicapée. Je ne marche qu’avec l’aide d’une prothèse hors de mon corps…»

Tu prends une respiration.

« On me les a enlevé pour quelques jours, pour que mes jambes se repose, j’ai trop abusé… »

On se mord la lèvre et on reprend.

« Je suis désolé…Pardon d’avoir rien dit…Pardon….je suis tellement fautif.. »

Tu bouges ton visage pour en récupérer le monopole et remet les mains sur ton visage comme pour encore ne pas pleurer devant lui, bien qu’il soit beaucoup trop tard maintenant.



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Re: {Alex} Secrets hurt more than they preserve | Jeu 13 Aoû 2015, 21:57





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Tu t'es fermé au monde il y a 4 ans. Ça n'a pas été difficile, avec tout ce que tu as traversé. C'était nettement plus aisé que de devoir supporter ces images et ces sensations qui revenaient te hanter sans cesse. Alors ce soir-là, dans la forêt, sous la pluie, tu t'es fait la promesse de ne plus jamais verser une larme, pour qui que ce soit, pour quoi que ce soit. Tu as enfermé ces sentiments déchirants au plus profond de ton esprit et tu en as jeté la clé. Ton coeur s'est durci et tu ne t'es plus jamais laissé submerger. Tu t'es cloîtré, et tu refuses depuis de sortir. Tu es devenu insensible pour beaucoup de choses. Tu es indifférent au malheur des autres -parfois même tu t'en réjouis- tandis que tu détestes ceux qui sont heureux. Tu as terminé de grandir là-dessus. Tu agis comme ça depuis 4 ans. Mais aujourd'hui c'est différent. Aujourd'hui tu ne peux pas rester indifférent ni insensible à la détresse d'Alex, ni à son état actuel qui laisse beaucoup de questions sans réponses dans ton esprit. C'est plutôt un exploit, quand on repense à toutes ces années d'indifférence. C'est parce qu'elle est ton amie, que tu l'apprécies, et que tu tiens à elle, que tu n'aimes la voir en pleurs. C'est pour ça que tu ne peux plus faire comme avant, ignorer.

Accroupi devant elle, une main sur la roue de son fauteuil, tu la fixes mais elle n'ose toujours pas te regarder. Et puis soudain elle se met en mouvement. La tête toujours basse, elle baisse vivement une main pour la poser sur la roue que tu tiens. Sauf qu'elle ne t'a pas vu t'accroupir. Elle ne sait pas que ta main occupe déjà la place. Et donc sa paume se retrouve sur le dos de ta main. La sienne est humide de larmes, et froide. Ce contact te surprend, tu ne t'attendais pas à ce qu'elle fasse ce geste. Et tu réalises que c'était pour faire demi-tour et se cloitrer chez elle. Comme toi. Sauf que cette fois-ci, tu ne veux pas. Elle lève alors ses prunelles dorées si uniques pour croiser ton regard azuré. Un moment s'écoule pendant lequel tu vois défiler dans ses yeux sa honte et sa souffrance. Puis elle baisse la tête et pose les mains sur ses jambes.

∞ Non, j'ai pas été renversée…

Tu soupires intérieurement de soulagement.  Au moins il ne lui ai rien arrivé de grave ! Mais pourtant elle se trouve dans un fauteuil... Alors quoi ? Tu es un peu rassuré, certes, mais tu te demandes toujours pourquoi elle est comme ça et surtout, pourquoi la raison de sa situation actuelle la plonge-t-elle dans une telle tristesse ? Voyant qu'elle garde la tête baissée, n'osant pas t'affronter du regard, et reste silencieuse, tu fais quelque chose d'inédit. Tu lui relèves le menton de ta main gauche.

∞ Regarde-moi, pourquoi tu n'ose pas me le dire ? Je ne vais pas te juger tu sais.  Je ne juge pas mes amis.

Elle devrait se sentir privilégiée. Tes amis se comptent sur les dix doigts des mains. Elle fait donc partie de ces rares personnes sur qui tu n'avances pas d'opinion. Parce que tu les apprécies telles qu'elles sont et rien ne va changer ça... Tant qu'elles ne te font pas de crasse , et par-dessus tout, tant qu'elles ne te trahissent pas. Mais tu connais Alex, et tu sais ce qu'elle ne ferait jamais ça. Enfin.... Tu l'espère très fort. Tes mots semblent faire bon effet, car elle finit par prendre la parole. Ou alors elle se sent dos au mur et ne peut plus reculer. Elle prend donc ce qui lui reste de courage et te balance la vérité, droit dans les yeux, avec une voix fébrile. Sa révélation te scie. Tu ouvres légèrement la bouche, mais rien n'en sort. Elle a marqué l'intonation sur les mots difficiles. Mal faite. Handicapée. Depuis sa naissance. Tu ne t’attendais pas à ça. Tu aurais dû pourtant, en la voyant, mais tu ne pouvais pas savoir ! Tu ne sais pas quoi répondre à ça… Tu ne peux rien répondre à ça. Elle a un handicap, depuis sa naissance. Elle ne peut pas marcher sans appareil médical, depuis sa naissance. Elle souffre des jambes, depuis sa naissance. Et toi, tu n’en as pas loupé une pour railler.

∞ ……… Putain.

Oui. C’est tout ce que tu trouves à dire. Ce qui ne vas sans doute pas améliorer l’état de nerf de ton amie. Tu te frottes les tempes. D’un seul coup, des souvenirs remontent. Ceux de toutes les fois où tu n’as eu de cesse de la charier, même gentiment, sur sa maladresse naturelle avec ses jambes. Quand elle est tombé, le jour de votre rencontre, et que tu l’as rattrapée… “Ya…YAMETE !!!” Ce n’était pas le contact alors. Elle devait avoir peur que tu sentes ses prothèses... “Bon, mademoiselle a retrouvé l’usage de ses jambes ? On peut y aller ?” Tu la revoies se mettre à genoux pour s’excuser. Tu redécouvres l’expression de son visage ce jour-là, te rendant compte que c’était en fait de la souffrance. Tu te souviens de ton agacement, la trouvant ridicule à l’époque. “Evite de te tortiller comme un asticot cette fois-ci. Ça ferait tâche sur la photo.” Toutes ces fois où tu as fait allusion à ses jambes, ou cette scène de chute… Et où tu n’as pas manqué de plaisanter en se foutant de sa maladresse. Comme le jour de votre deuxième rencontre, quand elle a dut passer la nuit chez toi à cause des intempéries. “Ravi de voir que tu es encore en un seul morceau. Avec ta maladresse, te prendre un rayon sur la figure, ça t’aurait fait une belle jambe…” Ce même soir, quand elle t’a demandé d’un air suppliant où elle pouvait s’assoir, que lui as-tu répondu déjà ? “Tu viens de passer plus d’une heure assise dans les gradins, et tu as besoin de t’assoir au bout de dix minutes seulement ? T’as des jambes en sucre ma parole…” Et quand elle t’a demandé du thé, au refectoire, et que tu n’as rien trouvé de mieux que de lui balancer “je suis pas ton larbin !”. Et quand tu lui as présenté le canapé, le soir, dans ta caravane. “Tu prendras le canapé, je pense qu’il sera bien mieux pour tes petits os fragiles.”  Toujours d’un ton sarcastique, cynique, narquois. Toujours à al charrier, à penser qu’elle a vraiment des jambes en sucre. Et toutes les fois suivantes, aussi. Malgré les signes, dans ta caravane, lorsqu’elle se déplaçait à l’aide des meubles. tu ne t’es jamais posé de questions. Tu n’as jamais cherché à comprendre, tu profitais juste de chaque occasion pour la charrier, pour plaisanter, même gentiment. “Je te laisse te débrouiller, j’ai assez joué les larbins pour l’instant.” Elle a dû supporter tes blagues de mauvais goût. Ton cynisme. Tes railleries. Tout ça sans broncher. Et toi, tu trouvais ça amusant. Quel con.

∞ Pourquoi t’as rien dit ?

Ta question est stupide, mais c’est l’exclamation. Elle n’a rien dit, parce que c’est un secret lourd à porter, et dur à dévoiler. Tu te sens tellement inconfortable maintenant. Tu n’arrives pas à définir cette sensation… Tu as eu beau te faire traiter de con, et l’assumer, aujourd’hui… Tu te trouves con, et tu n’en es pas fier. Tu lui as balancé toutes ces vacheries dans la gueule, et elle n’a jamais rien dit. Elle a encaissé, sans rien montrer. Tu as dû la blesser un demi-million de fois. Et tu riais, comme un con. Tu sais quoi, Amelëyr ? Tu te sens misérable. Oui. c’est ça. C’est le mot. Misérable. Les yeux fermés, tu te masses le front. Si elle te l’avait dit plus tôt, tu n’aurais pas… Tu pousses un bref soupir. puis elle se confond en excuses, en pleurant. Mais qu’elle arrête ! ce n’est pas à elle de dire pardon… Ce n’est pas à elle de se sentir fautive. Tu poses tes yeux bleu ciel sur elle. Ton visage grave affiche une expression désolée. Minable te murmures une voix dans ton esprit. Alex se dégage et se cache à nouveau derrière ses mains. Tu expires de façon brève et rapide. Tu ne sais pas quoi dire. Ni quoi faire. Tu dois bien trouver, pourtant. Tu ne vas pas la laisser comme ça. Tu ne veux pas. Tu ne peux pas. Alors, tu attrapes ses poignets et tires, pour la forcer à ne plus se cacher. Pour qu’elle te regarde.

∞ Alex… Arrête. Arrête de t’excuser, arrête de pleurer, je... Tu soupires en secouant la tête. Tu n’as pas à t’excuser… C’est à toi de le faire, encore faut-il que ça sorte. Je t’en veux pas, okay ? de n’avoir rien dit. De pas avoir prévenu pour ce soir.

Voyant qu’elle se calme un peu, ou du moins en a l'air, tu pousses un énième soupire. Tu finis par détourner le regard. Pas à cause de son handicap. Pour toi, ça ne change rien. Tu ne vas pas moins l’apprécier. C’est de ça dont elle a peur ? C’est ridicule. Enfin… Tu détournes le regard car tu te sens mal pour elle, à cause de ton comportement avec elle, de tout ce que tu as pu lui dire, même si ce n’était pas en pensant à mal. C’est bien la première fois que tu t’en veux pour quelque chose. Tu t’humectes la lèvre inférieure avant de poser à nouveaux des iris bleus dans les siens.

∞ C’est juste que… si j’avais su… si tu me l’avais dit plus tôt, Je n’aurais pas... Tu te serais épargné une souffrance inutile...Pourquoi tu ne le dis pas, hein ? Après tout, tu lui dois bien ça. C’est moi qui suis… désolé.

Elle ne va sans doute pas comprendre. Elle va peut-être se remettre à pleurer, parce que, tu ne sais pas, elle trouvera que tu fais trop de courbette, que tu la traites comme une handicapée. Pourtant c’est faux. Ton attitude à son encontre n’a pas changé. C’est juste que tu es en train de t’excuser, et les dieux savent que tu n’es absolument pas adroit, ni à l’aise, dans cette entreprise. Parce que tu ne le fais jamais. Et même Ombre est impressionnée. Bon, maintenant que tu as craché le morceau, il faudrait l’aider à se remettre, non ? tu te râcles la gorge.

∞ T’as pas à avoir honte. Je te juge pas. C’est pas ça qui te définit, Alex. Avec ou sans handicap, tu restes… toi. Je vais pas te regarder de travers. Je vais pas t’éviter. Je vais pas te traiter différemment, sinon comme une amie. Faut pas te mettre dans des états pareils...

Okay, on peut applaudir. Ce sont les plus belles choses que tu ai dites depuis… très longtemps. Tu te sens un peu ridicule. Tu te rends compte que tu lui tiens toujours les poignets, donc tu ouvres tes mains pour la libérer. Puis, un peu gêné, tu te redresses un peu en souriant légèrement, et tu lui ébouriffes les cheveux. Tu espères que tu n’as pas dit de la merde. Qu’elle ne va pas se remettre à pleurer, parce que tu n’aimes pas la voir pleurer. Qu’elle va se calmer, et retrouver le sourire. Parce que tu préfères quand elle sourit.
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Re: {Alex} Secrets hurt more than they preserve | Dim 16 Aoû 2015, 19:53

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Ne pas déranger, ne pas vouloir l’apitoiement des gens, être comme tout le monde. C’est une chose bien compliqué pour toi d’être normal. Résultat quand on te voit en chaise roulante, on est tout de suite choqué de te voir dans cet accoutrement, toi qui semble si normal. C’est le même tableau pour Amel, lui aussi il est choqué, lui aussi il se pose des questions et toi tout ce que tu trouve à faire c’est baisser la tête comme une pauvre victime.

« ……… Putain. »

Ce seul mot te dit clairement qu’il est totalement perdu. Levant un peu la tête avec de gros yeux, tu ne voulais pas qu’ils le savent, pourquoi ? Tu ne le sais même pas du tout. En fait, tu fais tellement tout pour être comme les gens, que tu en oublie toi-même ton état, c’est quand la douleur revient que tu te rappelles que tu ne peux pas être comme les personne normal. Serrant ton vêtement, regardant le jeune homme être perturbé par cette révélation. Il te regarde avec ce regard qui te met mal a l’aise, il s’en veut…

« Pourquoi t’as rien dit ? »

Te mordant la lèvre inférieur, la femme ne sait même pas quoi répondre. C’est vrai qu’elle aurait pu le soir ou elle a dormit chez lui. Elle aurait pu par sms, elle avait beaucoup d’occasion de lui dire, mais pourtant elle ne l’a pas fait. Comme une peur qui l’empêcher de le faire, mais une peur de quoi ? Alexandra ne le sait même pas. Tu es minable ma chère. Le voilà entrain d’afficher une expression de désolé, ce regard que tu ne veux pas voir, mais hélas, il fallait que ce soit ainsi. Alors tu te caches encore ton visage, pour ne rien voir.

Pourtant, il n’était pas du tout de son avis. L’homme lui retira les mains de son visage, pour  que vous vous regardiez les yeux dans les yeux.

« Alex… Arrête. Arrête de t’excuser, arrête de pleurer, je... Tu n’as pas à t’excuser… Je t’en veux pas, okay ? De n’avoir rien dit. De pas avoir prévenu pour ce soir. »

Tu te calme légèrement, bien que la demoiselle ne sache pas du tout encore quoi dire. Tu ne fais que le fixer, bêtement, stupidement…. Bref, tu ne sais clairement plus quoi dire à cet homme qui semble chercher ses mots.

« C’est juste que… si j’avais su… si tu me l’avais dit plus tôt, Je n’aurais pas... Tu te serais épargné une souffrance inutile... C’est moi qui suis… désolé. »

Faisant un petit non de la tête, te voilà maintenant à réconforter un peu l’homme qui tente d’en faire de même, vous êtes une belle pair de bras cassé en fait. Vous voulez des rames pour communiqué. Bien que son désolé, t’as un peu surprise, c’est bien la première fois qu’il te surprend encore plus qu’autre chose. Bien que cette fois tu lui laisse toute la parole, un réconfort en plus…

Te frottant tes yeux gonflés par la tristesse, la demoiselle ne sait clairement plus quoi dire. Il parle, dit des paroles rassurantes. Que demander de plus ? Vas-tu encore lui demander de partir au plus vite ? Non, tu n’as pas le droit de le virer comme ça, pas après ce qu’il vient de dire… Cela ne se fait pas du tout. Tu reste la même, tu es celle qu’il a connu même en chaise roulante. Hochant encore une fois la tête, la demoiselle en reste totalement muette. Bien qu’elle sente sa coiffure se faire massacrer par l’homme qui essaie de calmer le jeu de révélation. Tu n’imagine pas la tête que tu dois avoir maintenant.

Clignant plusieurs fois des yeux, tu le fixe avec tes cheveux dans tout les sens… Essayant de les remettre comme avant, ce qui est dur avec tes cheveux. Faisant un signe à Amel pour qu’il se penche, la jeune femme le regarde se pencher doucement. Bien que la raison reste assez gamine.
Elle approche les mains et le décoiffe dans tout les sens en riant un peu. Pour des raisons de survit la femme recule son siège et se laisse aller en arrière avec un petit rire. Roulant jusqu'à la cuisine pour ouvrir le frigo. Dans sa cuisine toute équipé et parfaitement à sa taille, la femme sort une bouteille de lait.

« Tu veux du lait Ombre ? Tu as du faire tout le déplacement… »

Dis-tu d’un ton comme pour changer de sujet, ou comme signe que tu dois attendre que monsieur doit se re-coiffer.




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J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
Re: {Alex} Secrets hurt more than they preserve | Mar 18 Aoû 2015, 20:28





Secrets hurt more than they preserve
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Tu te doutes que ta réaction subite n'est pas adaptée à la situation. Que ce n'est justement pas ce dont Alex a besoin de voir ou d'entendre. Cependant la nouvelle est tellement... inattendue que tu n'as pas pu te retenir. Et lui demander pourquoi elle n'a rien dit ! Ce que tu peux être bête... C'est ce que tu te dis du moins. Qu'aurais-tu fait à sa place ? C'est une bonne question. Tu ne te mets jamais à la place des autres, tout simplement parce que tu t'en fous. C'est la première fois que tu te poses cette question, et c'est assez déroutant. Oui, qu'aurais-tu fait en étant handicapé, capable de marcher uniquement grâce à une prothèse externe ? ... Tu ne lui aurais sans doute pas dit, non plus. C'est en voyant son regard triste et sa tête dépité que tu t'es repris. Et tu t'es excusé, même si tu ne dis pas exactement pourquoi, même si elle ne doit pas te comprendre. Tu te dis qu'elle mérite des excuses. Que c'est la moindre des choses que tu puisses faire. Tes paroles semblent la calmer. Ses pleurs cessent et cette fois-ci c'est elle qui te détrompe d'un hochement de tête négatif. Curieusement, tu n'as pas besoin de mots pour comprendre son message ; "ne t'excuses pas" te dit-elle par son regard.  Elle est surprise, et toi aussi d'ailleurs, de ta réaction. Mais tu es rassuré de voir que tes mots ont fait mouche. Pour détendre un peu l'ambiance tu la décoiffes gentiment d'un main. Tu ris devant son air dépité. Oeil pour oeil, dent pour dent comme on dit ! Un instant se passe en silence avant qu'elle te fasse signe de te pencher. Tu ne te méfies pas et accèdes donc à sa demande muette. Et tu te récoltes une attaque Décoiffage en prime.

∞ Heeey Alex ! Tu sais très bien que je déteste ça...

Oui elle le sait très bien, et elle en rit la fourbe ! Rapidement elle fait reculer son fauteuil pour être hors de ta portée. En réalité, tu aurais tout à fait eu le temps de la rattraper avec ta vitesse elfique. Ce qui signifique que si tu ne l'as pas fait, c'est que tu n'en as pas vraiement eu l'envie. Si ça peut la faire rire et sourire à nouveau... alors, dans un sens, c'est bien peu cher payé. Tu remets de l'ordre dans ta chevelure, comme Alexandra un peu plus tôt. Tu l'entends proposer un rafraîchissement à ton affiliée. Ombre, jusque là immobile et silencieuse, dresse les oreilles avant de se lever et de rejoindre la rousse en trottinant. Tu entres à ton tour, fermant la porte derrière toi, prenant ça comme une invitation.

∞ Je veux bien, merci.
∞ Pas de trop quand même tu nous ferais une indigestion, préviens-tu avec un sourire narquois.

D'habitude c'est elle qui te dit quoi faire, donc tu peux bien lui rendre la pareille. En même temps, tu ne mens pas, le lait n'est pas très bon pour les félins. Elle se contente de t'ignorer bien sûr, comme tu le fais toi. Une main dans la poche, l'autre dans tes cheveux, tu observes les lieux. Tu ne manques pas de remarquer que la cuisine est parfaitement adaptée à la condition d'Alex, et c'est probablement le cas pour tout l'appartement. Tu as vu des escaliers en passant, équipés d'un appareil spécialisé. Ce ne doit pas être facile pour elle, psychologiquement. Tu comprends un peu pourquoi elle s'est mis dans un tel état... Mais au final elle a juste besoin d'être rassuré. Qu'on ne fasse pas de différence. De toute façon tu ne vois pourquoi tu en ferais. Il faut juste s'adapter. Rebondir.

∞ C'est sympa chez toi, lances-tu banalement en t'asseyant sur le canapé. T'habites avec une certaine Betty je crois. Ça fait longtemps que tu vis ici ?

C'est vrai qu'elle ne te l'a jamais précisé. Enfin tu supposes que ça ne fait que quelques années, elle devait vivre avec ses parents avant. En fait quand t'y penses, elle ne t'a pas dit grand chose sur tout ce qui concerne sa famille. Enfin tu n'en a jamais parlé non plus, et tu as de bonnes raisons. Tiens, maintenant que tu y penses, tu ne connais même pas sa race, après tout ce temps. Enfin ce n'est pas important, ce ne sont pas les origines qui font les amitiés. Tu t'adosses au canapé tandis que Ombre vient te rejoindre en se léchant les babines et s'allonge à tes pieds.

∞ Qu'est-ce que tu veux faire du coup ? Je veux dire, j'imagine que tu n'as plus envie d'y aller. Moi ça m'est égal...

Ça se trouve elle préfère que tu partes. Ça ne t'ennuierait pas... enfin moins que tout à l'heure, maintenant qu'elle ne risque plus de se noyer dans son chagrin, enfin façon de parler. D'habitude tu es plutôt du genre à d'imposer tel un parasite sans aucune gêne, mais avec ce qui vient de se passer, c'est différent cette fois. Peut-être qu'Alex n'aime pas recevoir des amis en étant forcée de rester dans son fauteuil. Du coup tu t'empresses d'ajouter :

∞ Bien sûr si tu préfères que je m'en ailles je comprendrais...

Ton ton sous-entend cependant que toi tu as envie de rester, pour le moment. Il serait bête d'avoir fait tout ce chemin pour vous dire au revoir tout de suite. Et puis tu avais réservé cette soirée. Pour dire, tu as même dû refuser à Lyvion, ton meilleur ami, une tournée malhonnête des bars de la cité. Comme quoi...
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Re: {Alex} Secrets hurt more than they preserve | Lun 31 Aoû 2015, 10:22

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Tu n’as pas du tout à l’aise, te voir comme ça n’est pas agréable, même si tu lui as dit, tu ne semble pas très bien. Soupirant un peu, bien que tu gardes ce sourire, t’as juste envie de revenir en arrière et ne pas ouvrir cette satanée porte. Posant une assiette creuse de lait, pas trop tout de même pour la santé de l’affilé du jeune homme. Alexandra se gratte un peu les cheveux voulant un peu se calmer. C’est assez dure tout de même, t’es vraiment une douée de nature ma cocotte !

« C'est sympa chez toi. T'habites avec une certaine Betty je crois. Ça fait longtemps que tu vis ici ? »

Dit-il d’un air, je veux taper la conversation miss. La demoiselle sursaute au bruit de son canapé, qui ne doit pas avoir l’habitude d’un homme... Pauvre meuble qui va être traumatisé. Ahem. La demoiselle se tourne donc vers le roux squatteur, c’est à prêt tout ce qu’il fait en ce moment. Un petit sourire pas très à l’aise, bien qu’il détend quand même bien l’atmosphère.

« Merci. Et je dirais…5 ans ? 6 ans ? Je sais plus trop, j’ai l’impression d’avoir vécut aussi depuis très longtemps ! »

On sent pas du tout dans ta voix un petit coup de stress, c’est clair que c’est vraiment unique comme moment là. Calme toi ma petite, il ne va pas te manger, enfin on espère. Approchant doucement du canapé, au moins t’as pas besoin de t’assoir, c’est… Bien ? Enfin, laissons donc notre théorie qu’être handicapé c’est génial car on peut rester assis, c’est nul.

« Qu'est-ce que tu veux faire du coup ? Je veux dire, j'imagine que tu n'as plus envie d'y aller. Moi ça m'est égal... »

C’est une très bonne question ? Sur le coup, la femme est partie pour y aller toute seule car elle voulait y aller toute seule avec son état, mais il est ici. Il c’est déplacé pour toi, pour ton envie d’y aller… C’est ridicule de ne rien faire non ? Alex ne sait pas trop quoi dire, elle ne veut pas être un poids, ou quelques choses semblables à cela.

« Bien sûr si tu préfères que je m'en ailles je comprendrais... »

Faisant de gros yeux, la femme ne sait même plus si c’est une bonne idée de le foutre dehors, cela ne se fait pas. Faut être un monstre pour envoyer les gens chier comme ça de chez sois ! Bien que tu en sois un de monstre, qui ne fait clairement pas peur, la demoiselle se voit mal pousser un homme, surtout en fauteuil roulant en fait. L’image dans ta tête te semble totalement ridicule tout de même. Soupirant un peu encore une fois et secouant la tête pour faire partir cette image totalement stupide, la femme cherche ses mots, pour une fois on prend le temps de parler.

Mais alors qu’elle avait enfin ses mots, la rouquine voit une porte s’ouvrir. Voyant sn affilé très mal réveillé, marchant avec des petits yeux tout mal réveillé et approchant le canapé. C’est alors qu’il saute pour s’étale sur Amel tout content….Une vraie guimauve. Toi qui pensais Masaichi être un raciste du monde, le voilà entrain de faire la larve sur les jambes de l’acrobate. Te voilà complètement choqué de celui-ci. Bien que dés qu’il ouvre un peu les yeux et remarque la personne, il se met à paniqué et glisse des genoux. Il était juste mal réveillé. Alex rit un peu en voyant son abrutit d’affilé être totalement paniqué et troublé, trop d’émotion à la fois pour le petit. Celui-ci se plante parmi les plantes vertes, camouflage ultime.

« Eh bien, maintenant que tu trouves ici, autant y aller… »

Dit-elle en se grattant la nuque, ne savant pas clairement s’il sous-entendait qu’il ne voulait pas y aller…

« Ombre peut rester ici se reposer, qu’elle ne fasse pas le chemin toute seule ! »

Tu aimes beaucoup Ombre, tu ne voulais pas du tout qu’elle fasse un aussi long chemin toute seule. Un petit sourire adorable se dessine sur son visage assez timide.

« Mais si tu ne veux pas, ce n’est pas grave je comprendrais. »

En fait, vous êtes des boulets.



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J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
Re: {Alex} Secrets hurt more than they preserve | Sam 10 Oct 2015, 17:05





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Maintenant que tu te trouves ici, avec Alex dans l'incapacité de marcher, tu n'as pas envie de partir, même à sa demande. Tu lui as réservé ta soirée, après tout, donc tu préfères continuer sur ce chemin, même s'il n'a pas pris la direction souhaitée. C'est pourquoi tu espères que ton amie ne va pas te mettre -même gentiment- à la porte. Refuserais-tu de partir ? Peut-être, c'est bien ton genre de jouer au parasite, mais en même temps... Tu ne veux pas la mettre mal à l'aise, enfin plus qu'elle ne l'est déjà. Même si elle le cache, tu sens bien qu'elle déteste se trouver dans un fauteuil devant toi. Tu peux le comprendre, elle prend ça pour une faiblesse et toi aussi tu n'aimes pas montrer tes faiblesses. Pourtant tu la trouves forte, d'avoir supporté cet état depuis sa naissance sans jamais perdre son sourire et sa bonne humeur -enfin sauf au réveil. Elle n'a pas de souci à se faire en ce qui te concerne. Tu as été sincère tout à l'heure ; son handicap ne change rien, pour toi elle reste Alex. Pour l'aider à chasser son malaise tu engages la conversation sur un sujet assez banal. Sa réponse te surprend un peu. Tu hausses un sourcil tout en la fixant. 5 ans ? C'est étrange tu lui donnes pas plus de 20 ans d'âge, et tu doutes qu'elle puisse vivre sans seule ici depuis ses 15 ans.

∞ 5 ans, ah bon ? Je te donne 20 ans pourtant, pas plus. Ça m'étonnerait que tu sois là depuis tes 15 ans. Alors tu as quoi, 25 ans ?

Comment ça, on ne demande pas l'âge d'une jeune fille ? Tu ignores cette règle de bienséance -c'est mieux de savoir l'âge d'une future conquête histoire de pas avoir d'ennui hrem- et quand bien même tu t'en fiches un peu. Et comme tu sais bien mettre les pieds dans le plat, ti continues dans ta lancée.

∞ C'est curieux cette impression de vivre depuis des plombes. Moi je trouve que la vie est courte. Encore que, c'est vrai qu'il peut se passer beaucoup de choses en peu de temps par fois...

Tu te tais soudainement. Tu sais de quoi tu parles. En 4 ans il s'est produit tant d'évènements... Que personne ne devrait subir pour la plupart. Pendant un instant une ombre masque ton visage. Puis Ombre, te sentant divaguer, frotte sa tête contre ta jambe. Une façon discrète de te ramener à la réalité. Et puis elle déteste quand tu broies du noir. Tu lui demandes donc ce qu'elle souhaite faire pour la suite. La tête qu'elle tire te donne envie de la chambrer, du style "fais pas cette tête on dirait une chouette" mais pour une fois tu te retiens. Comme elle ne répond pas tout de suite, tu fais celui qui ne veut pas déranger et n'impose rien à personne, alors qu'en réalité tu n'attends qu'une seule chose... Égoïste que tu es. Le silence s'installe ente vous, l'une tentant de trouver quoi dire, l'autre guettant sa réponse. C'est alors qu'une petite créature interrompt la scène en se traînantraînant jusqu'à toi... pour sauter sur tes genoux. Sur le coup, tu te contentes de fixer l'affilié d'Alex en haussant les sourcils, quelque peu surpris. Tu ne sais pas vraiment quoi faire, ne voulant pas te montrer brusque, du coup tu restes immobile et silencieux. Puis la chose -tu ne sais pas comment l'appeler en fait, à part par son nom- remarque que tu n'es pas sa maîtresse et s'enfuit précipitamment, paniqué, pour se cacher derrière une plante verte. Qui se ressemblent s'assemblent comme on dit ! Tu ne peux qu'éclater de rire devant une scène aussi burlesque. Ombre elle se contente de fixer Masaichi, les oreilles dressées, mais tu sens qu'elle aussi est amusée. Ça laisse le temps à la rouquine de trouver ses mots. Tu ne réagos pas tout de suite à sa proposition. En fait tu la contemples se gratter la nuque. Sa gêne apparente lui donne un air adorable...

∞ Mais si tu ne veux pas, ce n’est pas grave je comprendrais.

Sa reprise de ta propre formulation t'arrache un nouveau rire. Elle semble vraiment douée pour te plagier ! Puis tu lui offres un magnifique sourire, absolument ravi de sa proposition.

∞ Mais avec joie  ! t'exclames-tu en te relevant. En fait je n'attendais que ça. Mais c'est tellement amusant de te voir embarrassée que je n'ai pas pu résister... Ce que je peux être faible parfois. Désolé !

Tu lui fais un clin d'oeil pour appuyer ta déclaration, signe indéniable que, d'une, tu plaisantes gentiment, et de deux, tu n'es absolument pas désolé. Puis tu te tournes vers ta panthère qui vous fixe intensément de ses prunelles indigo.

∞ Qu'en dis-tu Ombre ? Elle se contente de bâiller longuement, ce qui montre son intention de poursuivre sa sieste là où elle l'avait laissée. Tu te retournes pour fixer Alex avec un sourire satisfait. Bon, et bien voilà qui est réglé ! Ombre va rester ici pendant que nous serons sur Terre.

Tu te rapproches ensuite de ton amie et soudain un souvenir remonte à la surface. Le jour de votre première rencontre, lors vos tous premiers échanges, vous aviez tous deux jouté sur une histoire de secrets. C'était aussi la première fois qu'elle avait piqué une de tes précédentes répliques en déclarant "c'est un secret ♥ ". Quelle avait été ta question déjà ? Ah oui... Tu t'accroupies pour te mettre à son niveau.

∞ C'était ça alors, ton fameux secret du premier jour, tu te souviens ?  Tes fameux soucis persos qui t'empêchait de te glisser dans la foule. -tu es toi-même un peu surpris de t'en rappeler aussi bien- ça veut donc dire que je connais ton secret. Ce n'est pas très équitable, parce que le mien sera assez difficile à découvrir ou deviner, même si sans le savoir tu en as vu quelques démonstrations.

Ombre lève sa grosse tête de peluche -dangereuse la peluche quand même- vers toi avec une expression qui, chez les félins, s'apparente aux yeux écarquillés. Car non, elle ne se trompe pas, même si elle te demande confirmation par l'esprit. Elle est surprise. Car jusqu'à présent tu n'as jamais, de mémoire, révélé sciemment la nature de ton Charisme. Tu lui jettes un sourire en coin, malicieux, mais en fait c'est un peu ta façon de t'excuser auprès d'Alex, par rapport à ton comportement parfois rude : rééquilibrer la balance. Pourquoi  ? Parce que tu en as envie.

∞ Si je me faufilais si bien dans la foule, c'est parce je leur demandais de s'écarter pour me laisser passer. Et s'ils m'obéissaient aussi facilement c'est parce que j'ai un pouvoir qui exerce une sorte d'attraction puissante sur les autres qui les rend, disons, très suggestibles. Entre autre. Ils ont envie de me plaire quoi.

Tu restes planté là devant elle, guettant sa réaction. Tu n'as peut-être pas été assez clair. Les démonstrations valent dans doute toutes les explications du monde, seulement, pour une fois, et parce que c'est elle, tu n'as pas envie de lui montrer... Hum, sauf si elle te le demande bien sûr. Tu finis par te redresser les mains dans les poches.

∞ Je te rassure ça ne fonctionne pas à cent pour cent. Il y a des exceptions, comme toi vis-à-vis de la malédiction du cirque...

Tiens, justement, une question s'impose à ton esprit : et si elle était immunisée ? Après tout elle fait partie de la petite minorité sur qui la malédiction du cirque n'a aucun effet. Bah... Tu hausses les épaules avant de te placer derrière Alex.

∞ Tu veux que je te pousse ? Je peux te faire rouler aussi vite que le vent ! Enfin... Tu n'as pas de ceinture de sécurité. Ni de casque. Je peux toujours arranger ça.

Oui il t'arrive d'avoir des idées assez farfelues parfois. Ceci dit, c'est vrai qu'avec ta célérité d'elfe tu pourrais, en courant, lui faire découvrir de nouvelles sensations de vitesse. Enfin c'est si elle veut. Pour une fois que l'avis des autres compte.

Codage par Cali' pour Ame.




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Re: {Alex} Secrets hurt more than they preserve | Dim 25 Oct 2015, 18:21

Secrets hurt more than they preserve

Feat. Amelëyr C. Thanáriel


Des larmes au sourire, c’est ce qu’on pourrait dire maintenant. Toi qui t’es mit à pleurer honteuse de ton statut, te voilà avec un petit sourire sur le visage, bien que clairement tu ne pensais pas le ravoir dans la journée, Amel est parfois doué c’est ce que tu peux penser clairement. Bien que pour toi, tu l’aurais pas vu si compatissant, il est un adulte en fait, une personne assumant ses bêtises, c’est fou comme certaine personne réagisse différemment parfois. Mais, tu n’es pas choqué, tu en es ravis ou heureuse, il ne fait pas demi-tour avec une blague blessante. Il s’excuse et te demande comment tu te portes, il est un homme un vrai qui n’a que faire de ton handicap, tu es une personne comme les autres, peu importe ton problème, tu es comme lui, tu as un cœur, une tête et des ressentis.

Pourtant, tu as toujours peurs d’abuser un peu des gens de leur gentillesse, détournant toujours le regard pour rien, te voilà maintenant à douter clairement s’il faut oui ou non aller à cette sortie prévus. C’est clair qu’on ne va pas avancer dans la situation si tu ne fais que faire des réactions vague. Bien que tu ris un peu en le voyant chercher ton âge, un petit rire timide. C’est tellement drôle s’il savait la vérité ! Te grattant un peu la joue légèrement rouge, la petite demoiselle se dit qu’il est bien bien loin du compte, elle a 25 ans fois 10 ! Un peu souriante, tu regards ce roux en proie totalement au doute, c’est vrai que tu ne fais clairement pas du tout ton âge.

« C'est curieux cette impression de vivre depuis des plombes. Moi je trouve que la vie est courte. Encore que, c'est vrai qu'il peut se passer beaucoup de choses en peu de temps par fois... »

La vie est courte ? Pour toi elle est très longue, beaucoup trop longue. Regarde toi, tu as plus de deux siècles, et pourtant t’as juste l’impression que c’était hier que ton père ta laissé derrière. Serrant un peu ton vêtement, la demoiselle se dit que la vie est trop longue. Pourquoi naitre comme ça ? Cette vie n’a pas de sens, rien n’a de sens dans ta personne, tu es dangereuse, tu es là entrain d’attendre dans un siège roulant… Est-ce que tout cela a un sens ? Pour toi non. Peut être que tout simplement tu devrais disparaitre loin de tout ce monde, car tu es dangereuse ? Non, tu ne peux pas, Betty a besoin de toi… Ils ont besoin de toi ? Tu as besoin de te sentir irremplaçable pour te dire que ta vie vaut le coup ? C’est ridicule.  

Mais son rire ta sorte de ta pensé, tu lèves un peu la tête pour voir ce sourire qui montre presque toute ses dents, woh ? Tu ne pensais pas le mettre en joie comme ça.

« Mais avec joie  ! t'exclames-tu en te relevant. En fait je n'attendais que ça. Mais c'est tellement amusant de te voir embarrassée que je n'ai pas pu résister... Ce que je peux être faible parfois. Désolé ! »

….Tu gonfles les joues gênée, il n’est clairement pas possible ce type. Tu boudes maintenant, c’est vraiment le moment de lui donner encore plus de satisfaction qu’autre chose, mais tu ne peux clairement pas t’empêcher de faire ce geste. Amel est vraiment une personne tellement taquine que tu en oublies de faire gaffe à ne pas lui tendre des perches qui se change en poutre tellement c’est gros. La rouquine au carré regarde Ombre qui semble s’être approprié la place pour dormir ici, au moins tu es soulagé que celle-ci trouve sa place chez toi. Sait-on jamais, puis elle pourra surveiller Masaichi et inversement, même si tu penses qu’Ombre n’est clairement pas le genre à faire ses griffes partout où voler.

« C'était ça alors, ton fameux secret du premier jour, tu te souviens ?  Tes fameux soucis persos qui t'empêchait de te glisser dans la foule. Ça veut donc dire que je connais ton secret. Ce n'est pas très équitable, parce que le mien sera assez difficile à découvrir ou deviner, même si sans le savoir tu en as vu quelques démonstrations. »

Tes pupilles jaune plongé dans le siens, c’est presque gênant de l’avoir à ta taille, enfin, il ne se met jamais à ta taille d’habitude, tu avais pris cette habitude. Penchant un peu la tête, la demoiselle réfléchit rapidement, mais c’est  dur, y a tellement de possibilité…. C’était une femme avant ? C’est la première chose qui te vient en tête… Tu le regardes de haut en bas… C’est alors que tu te retiens clairement d’éclater de rire en l’imaginant avec des seins.  Mettant ta main devant ta bouche pour clairement ne pas te tuer toute seule avec cette image que tu as.

« Si je me faufilais si bien dans la foule, c'est parce je leur demandais de s'écarter pour me laisser passer. Et s'ils m'obéissaient aussi facilement c'est parce que j'ai un pouvoir qui exerce une sorte d'attraction puissante sur les autres qui les rend, disons, très suggestibles. Entre autre. Ils ont envie de me plaire quoi. »

…Heureusement que tu n’as rien dit. Car clairement, tu te serais littéralement planté, même si cette image de petite Amel enfant avec des nœuds dans les cheveux rose et une petite robe à froufrou est juste hilarante dans ta tête. Calme-toi. Mais, n’empêche son pouvoir est tellement flippant, c’est vrai qu’il peut contrôler pas mal de gens…comme les gamines rousses à couette rose et robe à froufrou….ALEX TU TE CALMES OUI !

« La vache…t’es flippant en vrai.
- Je te rassure ça ne fonctionne pas à cent pour cent. Il y a des exceptions, comme toi vis-à-vis de la malédiction du cirque... »

Dit-elle avec beaucoup de mal de ne pas se tromper de mot, non car clairement ça craint de dire ça pensée en ce moment même. Respirant doucement pour se calmer, la rouquine affiche un petit sourire tout simple

« Merci du partage. »

C’est vrai qu’il te dit un secret, donc t’as politesse te rappel qu’il faut dire merci à ce jeune homme bien aimable –que tu as ridiculisé dans ta tête certes- Il est beaucoup plus gentil que tu le pensais, il est en fait une personne agréable, très agréable.

« Tu veux que je te pousse ? Je peux te faire rouler aussi vite que le vent ! Enfin... Tu n'as pas de ceinture de sécurité. Ni de casque. Je peux toujours arranger ça.
-Je veux arriver là-bas en vie si possible monsieur Fast and Furious, mais tu peux pousser, je n’aurais pas mal aux bras ! Mais n’enclenche pas la deuxième s’il te plait. »

Dis-tu en éclatant de rire totalement. Mais, avant tout, c’est tellement gentille de prendre soins de toi que tu le trouve tellement touchant, c’est si agréable une compagnie comme cela.  Bien qu’il faut maintenant se rendre au Japon par portail ce que vous partez faire.

Cela fait tellement longtemps que tu n’étais pas revenue ici, c’est clairement nostalgique de revenir dans ce pays où une bonne partie de ta vie c’est déroulé, c’est dans ce pays où tu as trouvé Masa, c’est ici que tu es allé à SOH, bref beaucoup de Nostalgie !

« Bien alors, si je me souviens bien, y a des jeux, nourriture et un défilé dans pas longtemps !  Tu veux faire quoi en premier ? Y a aussi des achats pour le tourisme… bien que cela va être dur d’avancer avec mon fauteuil… Aller on y croit ! »

La demoiselle lève un bras comme une gamine pour se motiver.

« On peut faire le jeu d’attraper un poisson avec une feuille de riz, pour voir si tu es vraiment agile monsieur l’acrobate ! »

Dis-tu avec ton petit sourire pour le taquiner, tu le cherches un peu, mais c’est si amusant. C’est fou comme tu commences vraiment à aimer sa compagnie, tu le cherches de plus en plus en vrai…qu’est-ce qu’il t’arrive ?



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