Coeurs : 88 Messages : 402 Couleurs : LightSteelBlue J'ai traversé le portail depuis le : 14/06/2013 et on me connaît sous le nom de : misha Mon nom est : Elliot Sullivan McKenzie Actuellement je suis : célibataire. Il paraît que je ressemble à : V (mystic messenger) + Originaux (zxs1103) + Cody Christian (IRL) et à ce propos, j'aimerais remercier : Kingyo la meilleure (signa) ET REYENN MY LOV IOIZFHZF (cs) ♥
❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger than alcohol ✖ (Ellyr) | Dim 16 Aoû 2015, 17:48
Well, the taste of the death is bitter that I expected. Need something stronger than alcohol. Love.
Elliot & Lyrnael
Le combiné se pose doucement à son emplacement habituel, seul bruit distinct dans le silence pesant du grand l’appartement. Debout devant le meuble, dans ton immobilité morbide, tu raccrochais l’appareil dans un mouvement automatique, sans vraiment y penser. A vrai dire, tu ne pensais à rien. Tes yeux reflétaient un mélange d’incompréhension et d’horreur, et ta main occupée tremblait. De rage. De peine. Doucement, tu ouvres la bouche, et tes lèvres commencent à trembler, sous le coups de la réalité qui semble t’arracher le coeur. Des larmes te montent aux yeux, tes yeux bleus hagards qui ne savent sur quoi se poser. Et tu t’écroules au sol, tes jambes ne pouvant plus te tenir, ton équilibre happé par le désespoir, tes mains tremblantes de chaque côtés de ton crâne, tirant tes cheveux ciel, tandis que de ta gorge s’échappait un hurlement d’agonie. Ton visage trempé de larmes ne bougeait plus, quelques heures après. Entre tes mains, le cadre-photo contenant le visage de ton meilleur ami semblait plus hypocrite que jamais, mais tu ne bougeais pas, allongé sur le sol glacé et trempé. Ta respiration saccadée s’était fait lente au fil des minutes, et tu semblait être envahi d’une vague de fatigue, creusant ton visage d’un voile blessé. Ton pouce caressait toujours la fine vitre transparente lorsque tu finis par te redresser, maladroit, marchant difficilement jusqu’au meuble où tu poses d’une main morte le cadre, face contre table. Le seul point positif était que ta colocataire n’était pas là pour te voir mortifié, mais quelque part, vraiment tout au fond de toi, tu regrettais son absence. Le vide des pièces te semblait de trop, comme pour te rappeler l’absence à tes côtés, le fait qu’il soit parti. Pour de bon. D’une démarche absente, tu montes dans ta chambre pour t’écrouler dans ton lit. Tu avais juste besoin de dormir.
Trois jours. Assis sur ton lit, la porte fermée à clef, ton regard était vide. Des cernes étaient apparus sous tes yeux, tes lèvres gercées ne prononçaient pas un mot sans y être forcées. Roulé en boule contre toi-même, la couette tirée sur tes genoux, tes ailes perdaient de leur éclat, tombant sans vie sur chacun de tes côtés. Du sang séché formait une épaisse croûte sur une bonne partie des plumes, résultat d’une crise de panique la nuit précédente, mais tu ne prêtais plus attention à la douleur aiguë sur les nerfs de tes ailes, que, blessées, tu n’arrivais plus à faire disparaître. Trois jours. Les bouteilles d’alcool traînaient au sol. Tu n’avais rien avalé depuis la nouvelle, et tout ce qui entrait dans ta bouche finissait inlassablement par en ressortir par la même entré. Ton estomac réclamait d’être nourri, mais tu n’y prêtais même pas attention. les seuls fois où tu sortais de ta chambre, tu y revenais assez vite pour ne pas avoir à confronter la jeune fille qui, tu le savais, passait régulièrement devant ta porte, hésitant à frapper. Les rares fois où tu étais sortis, tu sentais les regards compatissant de Ginger, mais pourtant tu refusais de le voir. Trois jours. Ta peau laiteuse parsemée de cicatrices plus ou moins vieille se faisait sèche, et la chemise blanche que tu n’avais pas quitté, froissée. Pourtant, tu savais que la dépression n’était pas une solution. Qu’elle t’avais déjà apporté la mort. Mais il y avait des choses que tu n’avais pas, à l’époque. Quelque chose pour laquelle tu ne pourrais pas recommencer ton acte désespéré, et c’était bien ton seul moyen de te raccrocher à la vie.
Sans même regarder la silhouette aux cheveux cerise dans le salon, tu attrapes une veste qui traînait dans le salon, et enfiles rapidement tes chaussures. ❝Elliot!❞ En te relevant, une petite main t’attrapes le poignet, bien décidée à te faire parler; mais tu te dégages d’un mouvement de bras, marmonnant un ❝je sors.❞ neutre et à peine audible, avant de claquer la porte derrière toi. La capuche du sweat te conservant dans ta bulle, tu sors de l’immeuble, sous le ciel gris, sous la pluie battante qui semblait pleurer pour toi. Tu voulais juste marcher, ignorant les protestations des passants, poussés par tes encombrantes ailes abîmées qui pendaient dans ton dos, les hêlements de tes connaissances de l’autre côté de la rue. Ton esprit était presque vide, mais le souvenir de cette idiote de fée semblait collé à ton esprit. Un sanglot te fait frissonner, les gouttes de pluies se déversant sur ton visage fatigué. les mains profondément enfoncées dans tes poches, tu marchais d’un pas hâtif, hâtif d’arriver à ta destination. Bizarrement, tu n’avais pas hésité en sortant de ton immeuble. Tu savais où aller.
Lorsque ton doigt appuie sur la sonnette, les larmes s’étaient mêlées à la pluie sur ton visage, creusant d’avantage tes cernes et collant tes cheveux contre ta peau. Tu reniflais doucement, attendant, impuissant, que la porte s’ouvre, les ailes alourdis par la pluie qui traînaient au sol. Sauve-moi.
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Re: ❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger than alcohol ✖ (Ellyr) | Dim 16 Aoû 2015, 21:24
❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger that alcohol
Met ton casque et écoute un peu de musique, cela va peut être calmé la douleur te dis ton abrutit d’ami. Ouais bien sûr, c’est vrai que la musique t’a toujours calmé c’est bien connu voyons ! Alors bêtement, tu l’écoute et tu mets ton casque bien moelleux sur tes oreilles, l’ordinateur bien branché et en route pour un moment en musique. Léthargique de part tes médicament, mais aussi par le son de la musique, tu te laisse bercé par les paroles que tu entends.
« I don't wanna be down and I just wanna feel alive and Get to see your face again
I don't wanna be down and I just wanna feel alive and Get to see your face again »
Ouvrant d’un coup les yeux sur cette musique, bougeant en secouant ta tête pour enlever se casque qui à l’air de te déranger plus que tout. Grognant un peu, tu avance pour sortir de ta chambre. Avançant pour aller dans la salle de bain, histoire de te passer un peu d’eau sur le visage. Mais, c’est toujours la même rengaine, voir se visage meurtrie, couvert de bandage et de pansement… Ce bras en écharpe qui te fait souffrir. Cette défaite que tu porte comme un poids immense. Donne un coup dans le miroir ne va faire qu’aggraver la chose. Secouant la tête dans la douleur, le blond remonte un peu son haut pour l’état de son estomac… Ouais, c’est regardable.
« Ouais, c’est parfaitement immonde. »
Oh moins, cela guérit un peu, encore un bon moment et tu pourras reprendre une vie normal. La bonne blague. Tu revois encore ta mère te dire que cela ne se verra plus au bout d’un moment… Serrant la seule main que tu peux, le jeune homme avance rapidement pour ne plus voir son image dans le miroir. Descendant les escaliers avec beaucoup d’envie, la moindre marche lui fait pousser un grognement. Ouvrant le frigo pour prendre une bouteille de coca, le jeune homme soupir longuement. Fermant violament le frigo pour revenir vers l’escalier dépité. Super, il faut encore monter, bien que la plante approche et le soulève doucement par le col pour le poser en haut. Pratique. Lyrnaël lui frotte un peu le haut de la tête et va dans la salle de détente. Avec un écran plat HD, histoire de mater un peu n’imp. Le blond ne peut pas travailler, l’homme ne peut pas trop sortir, l’homme n’est plus l’ombre de lui-même. Buvant le coca qui lui ronge l’estomac… N’ayant plus l’envie de quoi que ce soit. Restant presque impossible à contacter, le jeune homme regarde son téléphone qui le démotive totalement à communiqué, il n’a plus envie de rien.
L’heure passe de plus en plus lentement, tu as l’impression juste car c’est peut être le temps grisâtre d’un automne pourris qui s’affiche à ta fenêtre. C’est génial une journée tout aussi pourris que les autres faut croire. Dés que tu bouges un peu, la douleur te rappel au combien ton erreur a été de menacer un dieu, pathétique.
Même la télé t’ennuie considérablement, regarde donc c’est niaiserie, regarde donc c’est drama… Tout aussi dépitant les uns que les autres. Même les dessins animés sont ennuyant maintenant, rien ne te motive c’est sûr. Le sourire stupide que tu affiches n’a plus envie du tout de se montrer, tu as perdu toute fierté, tu as perdu tout simplement.
*dring*
Tu lève la tête au bruit de cette sonnette. Tu te demandes bien qui est l’abrutit qui vient sonner en ce temps. Lyrn se lève difficilement de son canapé pour redescendre ces escaliers qui lui transperce le ventre, pour approcher cette porte. Regardant dans l’œil de judas qui peut bien être cette personne qui s’éclate à sonner. Il ne te fallu pas longtemps pour vite déverrouiller cette porte, bien que tu eu un bug au moment de descendre la poignée. Il va dire quoi devant ton apparence… Non tu ne veux pas l’ignorer, tu…tu veux le voir oui ! Boule au ventre, le mage baisse donc la manivelle d’ouverture et ouvre la porte. Un petit sourire bien stupide et ridicule, malgré la douleur.
« Eh bien, quand on se fait chier tu viens toujours ? »
Un petit rire stupide qui te transperce l’estomac encore une fois. Non, il ne semble pas d’humeur a rire, quand tu remarque enfin son visage et son corps. Il a quoi ? Tu ne le sais pas, mais une chose est sûr, il n’a pas envie de rire. Vu comme il pleut, tu ne trouvas qu’une bonne idée de te décaler un peu pour le laisser rentré, avec espoir que celui-ci ne trempe pas du tout les ouvrages. Il ferme doucement la porte, et un silence ce fait…. Il faut trouver un truc à dire.
Coeurs : 88 Messages : 402 Couleurs : LightSteelBlue J'ai traversé le portail depuis le : 14/06/2013 et on me connaît sous le nom de : misha Mon nom est : Elliot Sullivan McKenzie Actuellement je suis : célibataire. Il paraît que je ressemble à : V (mystic messenger) + Originaux (zxs1103) + Cody Christian (IRL) et à ce propos, j'aimerais remercier : Kingyo la meilleure (signa) ET REYENN MY LOV IOIZFHZF (cs) ♥
Re: ❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger than alcohol ✖ (Ellyr) | Dim 16 Aoû 2015, 23:45
Well, the taste of the death is bitter that I expected. Need something stronger than alcool. Love.
Elliot & Lyrnael
Le perron de la maison n’était pas assez abrité pour empêcher la pluie de tremper tes ailes, qui devenaient de plus en plus lourdes; assez pour que tu ais du mal à les soulever à la seule force des muscles dorsaux. Les plumes les plus basses étaient devenus grises de saleté à force de traîner, mais tu n’avais pas le courage de t’en occuper. Le regard vide, tu te contentais de renifler, les yeux fixés sur la porte qui ne bougeait manifestement pas. La peur au ventre, tu te demandes s’il n’est pas sorti. Après tout c’était une option, et tu n’avais pas envie de tomber sur sa mère, ni même quiconque d’autre. Toujours aussi amorphe, tu jettes un coup d’oeil aux fenêtres, la tête rentrée dans les épaules; mais avant que tu ne fasses demi-tour pour rentrer chez toi, tu vois la porte s’ouvrir.
Debout sur le palier, il te regarde avec un petit sourire aux lèvres. Même avec les larmes aux yeux et profondément blessé, tu mords ta lèvre inférieur devant les yeux de chat du jeune homme. Quelque part, son sourire te paraissait faux, et les multiples blessures que tu observais sur lui trahissait son bien-être. Avec lenteur, tu te tournes entièrement vers lui, le regard baissé. ❝Eh bien, quand on se fait chier tu viens toujours ?❞ Tu aurais aimé rire. Ou au moins sourire. Tu aurais aimé lui montrer que tu n’étais pas insensible, insensible à son humour, à son charme, à lui. Tu aurais aimé montrer un peu plus d’enthousiasme au fait de le revoir, pourtant tu n’y arrivais pas. Tes lèvres restaient fermement immobiles, ton visage impassible et les larmes séchées sur tes joues. Tes mains fourrées dans les poches de ton sweat se serraient à ta propre idiotie, mais le souvenir amer de la tombe de ton meilleur ami, de cet après-midi à pleurer en serrant Hayley dans tes bras te revenait sans cesse en mémoire, et tu ne pouvais rien y faire.
Le blond finit par se pousser sur le côté, t’invitant à entrer, tiltant que tu n’allais pas bouger s’il ne faisait rien. Déglutissant difficilement, tu fais quelques pas maladroit vers l’intérieur, sortant tes mains de tes poches pour agiter tes ailes afin de ne pas tremper le sol de la maison. Puis tu avances encore dans l’entrée, le regard fixé sur le sol, tripotant tes mains, cachées par les manches de ton sweat trop grand, d'embarras. Tu renifles une seconde foi, passant ta manche sur tes joues pour retirer les traces de larmes. Lorsque le blond referme la porte d’entrée, un silence pesant s’installe; pourtant tu n’y fais pas attention, enfermé dans ton silence depuis trois jours. ❝Euh… ça va ? ❞ Honnêtement tu trouvais cette question débile. Évidement que tu n’allais pas bien. Les traces de griffures sur ton cou pouvaient bien le prouver à elles seules. Pourtant tu ne dis rien, te contentant de te retourner vers lui en retirant ta capuche de ta tête, révélant tes cheveux à moitié collés et dégoulinant de pluie, devenus assez longs sur ta nuque pour former des arabesque sur tes trapèzes. Dans tes yeux se reflétait un désespoir vide, et tu mordais ta lèvre inférieur. Tu devais avoir l’air tellement pitoyable, avec ton sweat trop grand, tesy yeux hagards et tes mains tremblantes. Tellement pathétique.
❝... Etha- ❞ Une vague de peine te soulève le coeur à la seule évocation de son nom, et tu retiens un sanglot; puis un deuxième. Vaincu, tu avances rapidement vers lui, te blottissant contre son torse, la tête fourrée dans son cou, les sanglots secouant l’intégralité de ton anatomie, et tu recommences à pleurer. Plus fortement, plus violemment. Le corps secoué de soubresauts, tes bras viennent enlacer ton ami, tes mains s’agrippant désespérément à son dos. Et tu pleures. Le vase déborde et tu craques comme tu l’avais fais après avoir raccroché le téléphone, après avoir vu les larmes d’Hayley couler sur ses joues froides. Tu cris, aussi. Et tu gémis. Le visage déformé et caché, les larmes roulant sur tes joues puis dans son cou, tu relâchais tout ce que tu avais retenu, toute la faiblesse dont tu avais toujours fais preuve. Tes jambes se coupent sous le coup de l’émotion et tu t’écroules au sol, entraînant le mage avec toi, dans une étreinte désespérée que, pourtant, tu n’aurais pas fais à Ethan. Tes larmes coulaient comme le ballet des morts jusqu’au sol. Sauve-moi.
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Re: ❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger than alcohol ✖ (Ellyr) | Lun 17 Aoû 2015, 00:41
❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger that alcohol
Le ridicule ne tue pas et heureusement. Tu savais bien que ta question était débile au plus au point, mais c’est mieux que de ne rien dire. Il est devant toi, le regard vide de toute émotion. Tu n’aimes clairement pas cela et pourtant tu es totalement impuissant, même avec tout tes atouts tu ne le serais pas. Lyrnaël n’a jamais était d’un grand réconfort de toute façon. Se grattant un peu les cheveux, le blond regarde un peu partout, mal à l’aise.
Enfin, Elliot n’est pas mort, il bouge un peu. Il enlève la capuche qui orne ses cheveux bleu, bien que pourtant, il n’est toujours pas comme avant. Lui demander pourquoi serait ridicule, il n’a peut être pas envie d’en parler. Mais alors, qu’est-ce qu’il fout chez toi ?! Puis, il pleure ! Non attend, restons calme au lieu de le regarder d’un air totalement suspect… Alors, si celui-ci commence à se déshabiller avec le corps huilé, c’est que Lyrn dort… Sinon, c’est qu’il est bien dans la réalité. Il tremble, Elliot donne l’air si fragile et toi, tout ce que tu trouve à pensé c’est « est-ce que je rêve où non ? » Minable.
« ... Etha- »
Tu as eu du mal à comprendre les mots qu’il a sortie entre ses lèvres, mais au moins tu n’es pas con. Lyrn a compris le prénom Ethan. Bien que tu n’as pas du tout calculé ce qui arrive. Les bruits de pas qui vont rapidement, puis rapidement une chaleur contre toi… Des gémissements, des pleures…UNE AFFREUSE PUTAIN DE DOULEUR… un chagrin, un homme faible et fragile contre toi. Tu fais de gros yeux en sentant l’homme qui occupe tes pensées contre toi, mais étrangement, ce n’est pas le sentiment de surprise ou de timidité qui te fait grossir les yeux et qui te met larmes aux yeux. Ouvrant la bouche en bloquant ta voix d’un coup, un mini gémissement se fait entendre. Ce n’est pas la peine qui t’accable, mais plutôt la brûlure a vif de ton ventre, ainsi que la fracture qui te rappel juste que mec : les câlins et les bisous ce n’est pas pour maintenant. Bien que tu rougis le sentant la tête dans ton cou, mais la c’est assez compliqué de comprendre ton ressentit. Douleur & Bien être au même moment, c’est pure que du SM la.
Elliot pleurait, il criait tout ce qu’il pouvait. Toi aussi tu voudrais hurler, mais comparé à sa douleur, c’était minable comme raison. Le mage sentit alors un poids à l’avant, ce qui le fait basculer en arrière. Le voilà avec une autre bonne raison de chialer comme une tapette. Approchant son poing de sa bouche pour le mordre. Lyrnaël se condense beaucoup, pourquoi ? Car l’être que tu aimes le plus est justement entrain de pleurer sur toi, cherchant du réconfort auprès d’une personne fort, alors ce n’est clairement pas le moment de hurlé : connard bouge ton cul, non vraiment. Le demi-dieu se mord à sang, les larmes aux yeux. Alors voulant oublier cette douleur qui te sonne au cerveau de vite de bouger, tu essais de vite comprendre ce qui se passe. Il pleure, il pleure un mec qui s’appelle Ethan, il pleure un mec qui s’appelle Ethan que tu te rappelle avoir vu. Il pelure un mec qui s’appelle Ethan que tu te rappelle avoir vu et tu les vois proche…. Pourquoi d’un coup ton regard devaient un peu plus sombre ? Non, me dit pas que tu crois qu’il est sont ex ? Ils étaient si proches d’après tes souvenir, proche comme toi qui voudrait l’être auprès d’Elliot. Lâchant son poing entre ses doigts, le jeune mage se relève doucement pour s’assoir en regardant cette personne fragile pleurer… Levant la main pour au début le virer de sa personne… Non.
Posant doucement ta main sur sa tête, en te mordant cette lèvre inférieure. Tu es ridicule Lyrn. Bien qu’il faille que vous bougiez un peu, le parquet n’était pas un lieu pratique pour se morfondre. Mais, il semble n’être qu’une loque, le jeune homme ne veut pas bouger, et toi tu ne peux pas le porter. Trouve une idée, trouve un truc à faire…. Toi aussi, tu ne sais pas quoi faire la maintenant. Tu t’insulte comme une merde, l’homme que tu aime est devant toi et tu es… inutile !
Un regard sur ton bras en écharpe, les os doivent être un tout petit peu soudés, enfin tu l’espère. Un regard sur le bleu, un regard sur la pièce plus loin, le vrai salon… Aller 5 mètre a tout cassé ? Juste 5 mètre merde… Aller ! VITE !
« Et puis merde ! »
Tu approche ton bras d’Elliot et le soulève doucement en utilisant aussi ton bras cassé. Un petit gémissement se fait entendre de tes lèvres, le bruit est insupportable. La douleur est insupportable, la sensation les encore plus. Aller encore quelques mètres, juste quelques mètres. La douleur te faire sentir de plus en plus mal, c’est alors que tu approche ce fameux canapé le posant et te laissant t’assoir … Ta respiration est beaucoup trop rapide, tu retiens tes larmes, tu retiens ton hurlement, bien que tes jambes trembles de douleur, bien que ta tête sonne l’alarme d’urgence.
Pourtant, malgré la douleur, peu importe. Tu l’as fait juste par amour.
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Re: ❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger than alcohol ✖ (Ellyr) | Lun 17 Aoû 2015, 03:44
Well, the taste of the death is bitter that I expected. Need something stronger than alcool. Love.
Elliot & Lyrnael
Concrètement, tu aurais pu dormir là, sur lui, bercé par sa chaleur et le battement de son coeur que, quelque part, tu voulais voler. Mais tu avais peur que si tu t'endormes, il n'y ait plus personne à ton réveil. Alors tu t’accrochais à lui, tes mains dans son dos comme si jamais tu ne voulais le lâcher, tentant de te calmer comme tu le pouvais. Mais la tristesse était si profonde que même la main hésitante du jeune homme sur ton crâne, bien qu’ayant électrocuté ton coeur, ne parvient pas à stopper tes larmes. Pourtant, elle est chaude, cette main. Elle parait même brûlante sur ta peau; à moins que ça ne soit tes joues? Tu ne sais plus, ta vue se brouille de larmes, le temps semblait comme ralenti, blottit contre cet homme, blottit contre ce coeur tambourinant.
Et puis tu le sens te soulever. Tu ne bouges pas, continuant de sangloter, le corps trop endolori et les muscles fatigués pour l’aider. Tu savais que, si tu voulais, tu pouvais marcher. Tu savais que tu pouvais faire une impasse sur tes sentiments, prétendre ne rien ressentir. Tu savais que tu pouvais encore jouer l’hypocrite pour te sentir faussement mieux, sourire comme le diable pour oublier ta peine. mais tu ne pouvais pas te résoudre à tout abandonner. Tu ne pouvais pas te résoudre à le lâcher, lui qui te tenais si fort au péril de sa propre santé, tout ça pour que tu ailles mieux. Et tu te sentais égoïste. Terriblement égoïste. De venir toquer à la porte d’un homme pour venir te plaindre, pleurer dans ses bras sans qu’il ne comprenne. Tu aurais pu aller toquer à tant d’autres adresses aux quatre coins de la ville, n’importe quelle connaissance, n’importe quelle conquête. Mais il n’y avait que lui que tu voulais voir, alors même que tu ne savais pas si lui, le voulait. Et pour ça, tu était égoïste. Tu sais, le monde ne tourne pas autour de toi.
Tes dents sur ta lèvres exerçaient une pression si forte qu’elle était devenue blanche, et tu ne t’en aperçois que lorsque le goût du sang vient se mélanger au goût salé des larmes. tel un enfant assoupi, tu fermes les yeux en te laissant porter, jusqu’au canapé où il te dépose avant de s’asseoir lourdement à côté de toi. Instinctivement, tu viens te blottir encore une fois contre lui, les doigts tremblants autour de son bras valide, le front contre sa clavicule et les yeux fermés. Tu pleurais moins, c’était déjà ça. Ton corps tremblait toujours en refoulant les larmes, laissant échapper de temps à autres des sanglots impuissants. ❝Merci.❞ Ta voix n’était plus qu’un murmure presque inaudible, un souffle dans son oreille. Lentement, tes doigts glissent le long de son bras pour venir tenir sa main, entrelacés en une poigne désemparée: tu ne voulais plus quitter ceux que tu aimais. Tu étais tellement effrayé, les mains tremblantes et l’esprit chancelant. Pourtant tu te détend petit à petit, ton souffle redevenant régulier.
❝Désolé.❞ Ta voix rauque était légèrement plus élevée mais tiraillée par la fatigue, et tu tournes la tête sur le côté, le regard vide, l’oreille posée sur son épaule. Ta manche vient essuyer tes joues, et doucement, tu bouge tes ailes dans un effort qui te fait grimacer, pour les replier dans ton dos; mais, toujours endolories, tu ne pouvais pas les faire disparaître.
❝je- désolé, vraiment. Mais...❞ Tu ne savais pas vraiment comment expliquer. Tu ne te sentais pas capable de lui annoncer la nouvelle de but en blanc, pas maintenant, pas tout de suite. pas comme ça. ❝j’avais besoin de te voir.❞ Tu prononces ces mots avant de t’en rendre compte, comme une traduction immédiate de tes pensées, les yeux perdus dans le vide. Pourtant tu voulais les dire, ces mots. Enfin. Sauve-moi.
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Re: ❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger than alcohol ✖ (Ellyr) | Mar 18 Aoû 2015, 23:45
❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger that alcohol
Si tu ne retourne pas à l’hôpital, cela sera un véritable miracle. Le jeune homme sent bien que son bras lui sonne l’alarme que rien ne va plus, en plus il doit être bouillant, tu en transpire tellement tu souffre. Mais, pour toi cela n’est pas du tout grave, au contraire. En fait, le voir dans cet état te fait beaucoup plus mal que ton stupide bras qui pourtant te ferait hurler à plein poumon. Un petit coup de morphing serait pas mal venu, mais tu n’as pas de ça chez toi. Il pleurait encore, mais cette fois, il ne te monte pas dessus, il te serre la main. Bien que cela soit ridicule, cela te soulage de sentir juste un peu de sa peau contre la tienne.
Tu entends sa voix te rappeler un peu à la raison, bien que celle-ci n’est pas l’habituel que tu as connu. Cela te parait tellement étrange de voir une personne que tu apprécie dans cet état. Tu ne sais clairement pas quoi dire devant un état pareil, même toi tu n’as jamais était comme ça. Même à la mort de ta mère, tu n’as pas pleuré… Un criminel ne pleure pas ses victimes c’est bien connu. Bien qu’il soit trop proche maintenant que tu percutes, il est vraiment proche. Te mordant un peu la lèvre, tu ne sais toujours pas quoi faire. Bien que la sonnette d’alarme dans ta tête sonne la douleur et la timidité, tu es véritablement le cul entre deux chaises.
Puis d’un coup, Elliot commence à vouloir s’expliquer, mais c’est tellement brouillon. Les yeux jaunes de l’homme se posent dans les bleus vide d’Elliot, bien qu’il décroche vite son regard. Trop gêné et ne sachant clairement plus quoi faire. Bien que tu rougis comme un idiot devant sa dernière phrase. Aller dit un truc, n’importe quoi.
« Ouais, t’as compris que mon futur métier c’est d’être un homme mouchoir ! »
Dis-tu en souriant. C’est nul tu le sais bien, mais au moins, toi tu parles un peu que faire le silence du mort. Serrant un peu le poing, tu affiches ce sourire bien faux qui est toujours là. Comme d’habitude, tout va bien pour toi pour que lui va bien, si tu pouvais, tu aurais enlevé tes bandages, mais c’est beaucoup trop moche et douloureux d’enlever.
« Aller t’excuse pas ! Puis, toute façon j’t’aurais foutu à la porte si tu me dérangeais ! »
Continue de sourire, continue d’ignorer la douleur de ton ventre, de ton bras. Souris donc pour effacer la tourmente de cette personne importante à tes yeux. Affichant toujours ce sourire avec tes dents blanches, tu es Osef de ta santé.
« Puis, tu dois avoir une bonne raison ! J’imagine que tu ne chiales pas car il fait mauvais ! »
Tu ris, tu cherche n’importe quoi à dire, pour juste dire je suis là. Alors que tu pourrais juste le serrer contre toi, mais c’est trop douloureux. Puis, étrangement, tu te doutes peut être pourquoi il est là. Lyrn ressent comme un poignard dans le cœur, ce qui en sois est encore beaucoup plus douloureux que cette sensation physique. Prenant un mouchoir sur la table, le blond lui essuie les joues qui sont meurtrit par les larmes, elles sont tellement rouge qu’on croirait qu’elles vont saigner.
« T’inquiéte… »
C’est bien la seule chose qui te semble le plus sincére en ce moment de ce qui sort de ta bouche. TU vas mal, il va mal, tout va mal. Mais, pas grave, tu es là pour lui, alors osef.
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Re: ❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger than alcohol ✖ (Ellyr) | Dim 06 Sep 2015, 16:26
Well, the taste of the death is bitter that I expected. Need something stronger than alcool. Love.
Elliot & Lyrnael
Bercé par la chaleur de son corps, tu fermes les yeux en savourant le peu de sentiment positifs que tu arrivais à sentir. Dans ton coeur meurtri par la paroles et la déception, perçait les picotements dans ton estomac. Doucement, tu en venais à serrer la main du jeune homme, priant dans un silence mortuaire pour que jamais le contact ne se rompe. L’égoïsme te tiraillait l’estomac mais tu tachais de l’ignorer. Après tout, tu savais très bien à quel point l’égoïsme te caractérisait. Tu étais même parfaitement au courant de tes nombreux défaut mais n’en avais pas honte; pourtant, pour une fois, tu t’en voulais, de lui faire endosser ta venue. Tu ne voulais pas être égoïste, pas envers lui. Alors dans ton esprit paniqué, tu te demandais si partir n’était pas ma meilleure chose à faire. Toi qui avait toujours voulu compter uniquement sur toi-même, tu aurais du rester dans ta chambre. Finir le travail tout seul.
❝Ouais, t’as compris que mon futur métier c’est d’être un homme mouchoir !❞ Un léger rire rauque s’échappe d’entre tes lèvres mais le coeur n’y est pas. ❝Aller t’excuse pas ! Puis, toute façon j’t’aurais foutu à la porte si tu me dérangeais ! Puis, tu dois avoir une bonne raison ! J’imagine que tu ne chiales pas car il fait mauvais !❞ Reniflant doucement, tu ouvres les yeux pour les grimper vers son visage. Le rouge colorait ses joues et sa nuque sous ses mèches blondes, et tu te disait bêtement qu’il devait avoir chaud. Après tout tu l’avais collé sans même penser à lui. Égoïste. Après tout tu ne pensais qu’à toi. Égoïste. Tu te mords la lèvre inférieur en baissant le regard, honteux. Tu n’avais jamais pensé pouvoir te sentir aussi honteux d’être égoïste, toi qui poussait les autres pour ne pas te faire mal. Pourtant tu sens le tissu d’un mouchoir caresser tes joues mouillées, et tes yeux clignent, puis se tournent: il était là à te tenir la main, un pauvre sourire au visage, essuyant les traces de ton malaise. ❝T’inquiéte…❞ Sa parole semble porter ton coeur et, encore une fois, tu sens les picotements dans ton ventre faire rougir tes joues. Tu baisses rapidement ton visage pour ne pas qu’il voit tes yeux écarquillés et son sourire imprimé sur ta rétine. Lorsqu’il retire le mouchoir de ton visage, tu serres un instant encore sa main avant de la lâcher, de t’écarter et de te rouler en position foetale, légèrement sur le côté pour laisser tes ailes pendre à côté de toi. La douleur était infâme mais tu ne t’en préoccupais pas. Si tu pouvais, tu aurais hurlé. Hurlé pour évacuer la pression, la peur et la tristesse. Pour évacuer l’étrange sentiment dans ta poitrine le faux-semblant de sourire qui voulait honteusement germer sur tes lèvres sèches. Mais tu ne pouvais pas. Alors, quitte à faire quelque chose, autant parler. ❝Il est mort.❞ Un son brisé, tu retiens tes larmes une nouvelle fois pour ne pas craquer. Enfin, c’était dit. Enfin, tu l’assumais, tu comprenais ce que ces mots voulaient dire. Brusquement tu déplies tes jambes, les bras tendus et les poings serrés sur tes cuisses. ❝Je. désolé.❞ Les lèvres pincées, tu fronçais les sourcils. Tu n’avais jamais autant prononcé ce mot en si peu de temps, mais, désolé, tu l’étais sincèrement. ❝Désolé d’être aussi égoïste. J’ai pas vraiment réfléchis, je- je sais plus ou j’en suis. Mon meilleur ami est mort et j’ai l’impression que tout s’est écroulé. J’ai vu Hayley pleurer à son enterrement et c’était trop. J’ai refusé l’aide de tout le monde et j’ai rien trouvé de mieux à faire que de m’enfermer, et maintenant mes ailes sont en train de se détruire et je voulais te- Désolé, je m’emporte.❞ Tu prends une grande inspiration en passant tes deux mains dans tes cheveux vers l’arrière, refoulant tes larmes par ces geste. Tu parlais sans réflechir et tu ne savais même pas ce que tu voulais dire. Ce que tu aurais dis si tu avais continué ta phrase. Poussant un long soupir, tu finis esquisser un mouvement pour te relever.❝Je. Je ferrais mieux de rentrer.❞ Ton cerveau marchait trop vite et tu te sentais perdu. Tu voulais juste mettre les choses au clair. Avec tout ça. Sauve-moi.
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Re: ❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger than alcohol ✖ (Ellyr) | Mer 16 Sep 2015, 14:13
❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger that alcohol
Nous revoilà en face de ta vieille ami, combien de fois lui as-tu dis bonjour ? Combien de fois tu l’as vu passé à côté de toi avec le sourire que tu lui rends souvent de façon narquoise ? Combien de fois es-tu resté inerte devant elle comme ci c’était qu’une vulgaire personne passagère… Beaucoup trop de fois. Vas-tu pleurer ? Vas-tu être compatissant ? Vas-tu juste être normal ?
Te cachant derrière tes mains comme un gamin devant elle, jouant sur la règle du tant que je ne vois pas cela ne m’affecte pas. C’est tellement plus simple de fermer les yeux et de ne pas regarder ce qui se passe devant, tourne le dos et sourit. Aller rigole donc encore une fois, c’est tellement plus simple qu’autre chose. Pourtant, tu n’es pas devant n’importe qui, tu es devant un être cher. Vas-tu le fuir comme tous les autres qui t’entoure ? Il est celui qui occupe tes pensée, il est celui qui t’offre une peut être raison de vivre, alors vas-tu le fuir dans sa tourmente ? Pour le moment, tu ne fais que servir d’homme mouchoir, c’est un rôle qui te va tellement bien, être là balançant quelques vannes pas drôle pour faire rire, c’est le rôle du pierrot, alors soit pierrot pour lui. Fait donc rire, fait donc jouir de bonheur les gens, c’est au moins la seule chose que tu sais bien faire. Tellement plus simple.
« Il est mort. »
Ce silence vient de se faire briser d’un coup pour ses mots si lourd. On ne dit pas ces mots comme ça, enfin de cette façon dans une ambiance si pesante. Ton regard jaune se dirige lentement dans ses du bleu. Qui est mort ? Qui est décédé en ce moment ? Tu ne sais rien. Enfin, tu ne t’intéresse jamais au monde qui t’entoure, donc comment peux-tu savoir qui est mort ?
« Je. Désolé »
Il se redresse un peu. Lyrn le fixe avec un peu d’interrogation en lui, qui est ce mort ? Qui est cette personne qui le met dans un état pareil ? Tu ne comprends pas le pourquoi du comment, tu es extérieurs à tout cela.
« Désolé d’être aussi égoïste. J’ai pas vraiment réfléchis, je- je sais plus ou j’en suis. Mon meilleur ami est mort et j’ai l’impression que tout s’est écroulé. J’ai vu Hayley pleurer à son enterrement et c’était trop. J’ai refusé l’aide de tout le monde et j’ai rien trouvé de mieux à faire que de m’enfermer, et maintenant mes ailes sont en train de se détruire et je voulais te- Désolé, je m’emporte »
Et c’est à cet instant, que certain mot résonne, résonne comme des lames qui te transpercer. « Est mort ; que tout s’est écroulé ; pleurer à son enterrement ; J’ai refusé l’aide ; enfermer » Est-ce que c’est comme ça que tu aurais du réagir ? Est-ce que c’est comme ça que tu aurais du être à la mort de cette personne que tu as tué ? Peut être ? Le regard de Lyrn se veut fuyant, il est perdu. C’est quoi être triste ? Tu étais à l’enterrement de ta mère, tu étais là, mais tu n’as ni pleuré, ni déprimer. Est-ce que c’est normal ? Si Heylin mourrait, est-ce que tu pleurais ? Si ta mère biologique mourrait, est-ce que tu pleurais ? Et si Elliot mourrait est-ce que tu pleurais ?
Tu es totalement impassible.
Lyrnaël ne connait pas la déprime, Lyrnaël ne cherche pas à comprendre ce sentiment inconnu. Alors que vas-tu faire ? Que vas-tu dire à cet homme que tu ne comprends pas.
« Je. Je ferrais mieux de rentrer. »
Il te tourne le dos, il a comprit ? Il sait que tu es un être dépourvu de sentiment compatissant? Il a comprit ? Tu lèves la tête, tu regardes un homme détruit par la mort d’une personne. Dans ta tête, les mots pathétique et ridicule ce bouscule… C’est drôle non ? Tu vas rire ? Tu commence à sourire ridiculement. Vas-tu l’enfoncer comme tout le monde, vas-tu lui rire au nez ? Les gens qui souffre à cause d’une personne morte te font rire, car tu ne comprends pas. Ou tout simplement, tu te moques d’eux car tu es jaloux. Tu te lève pour lui saisir le poignet, tu souris, tu fais ce sourire stupidement narquois.
«Tu devrais arrêter de te mettre dans un état pareil car… »
C’est Elliot. Ce n’est pas un mec lambda, c’est Elliot. Tu te stoppes car tu allais dire une méchanceté, t’allais enfoncer cet homme… T’es un monstre.
« Car je… Suis sûr qu’il te regarde en ce moment… Et qu’il ne voudrait pas partir en paix… Car t’es entrain de te détruire par sa faute. »
Tu ne crois même pas en t’es paroles. C’est tellement niais que tu le regardes même pas dans les yeux, tu t’insulte toi-même. T’es minable devant lui, toi qui dit n’avoir besoin de personne pourquoi t’as pas dit la première version salope ? Car tu es amoureux.
« Je suis peut être pas le mieux placé pour ça… »
Cherche tes mots encore et encore.
« Mais tu sais Elliot, faut que tu arrêtes de fuir comme une personne faible. »
L’hôpital qui se fout de la charité.
« Car tu es une personne forte, et je suis sûr que lui aussi pense que tu l’es. Car c’est pour ça qu’on est… »
Un silence assez lourd se fait.
« Proche. »
Dis-tu en serrant le poignet de cet homme. Bien que toi-même, tu ne comprends pas le sens de tes mots, car tu es celui qui fuit le plus dans toute l’histoire car tu n'es rien d'autre qu'un mensonge dans ce monde.
Coeurs : 88 Messages : 402 Couleurs : LightSteelBlue J'ai traversé le portail depuis le : 14/06/2013 et on me connaît sous le nom de : misha Mon nom est : Elliot Sullivan McKenzie Actuellement je suis : célibataire. Il paraît que je ressemble à : V (mystic messenger) + Originaux (zxs1103) + Cody Christian (IRL) et à ce propos, j'aimerais remercier : Kingyo la meilleure (signa) ET REYENN MY LOV IOIZFHZF (cs) ♥
Re: ❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger than alcohol ✖ (Ellyr) | Ven 25 Sep 2015, 16:54
Well, the taste of the death is bitter that I expected. Need something stronger than alcool. Love.
Elliot & Lyrnael
Tu forces tes jambes à ne pas trembler, tentant comme tu pouvais de porter cette fausse assurance. Tu voulais t’enfuir. Tu ne voulais pas l’accaparer, tu ne voulais pas l’ennuyer. Qu’avait-il de plus pour que ton égoïsme te dérange autant? C’est un ami. Tu te répètes ces mots dans ton esprit, te mordant la lèvre inférieur pour te contrôler. Ne pas craquer. Tu devais partir, et vite. Quelques pas vers le hall, tu retiens ton souffle en passant devant le blond; mais lorsque tu t’apprêtais à soupirer -de soulagement? de déception?-, tu sens sa poigne sur ton bras. Il te retient. Pourquoi? Tu sens ton coeur se resserer et ton torse se tourne à moitié, le regard bas caché par des mèches de cheveux. Pourquoi? ❝Tu devrais arrêter de te mettre dans un état pareil car…❞ Un court silence s’installe et tu fixes le sol. ❝Car je… Suis sûr qu’il te regarde en ce moment… Et qu’il ne voudrait pas partir en paix… Car t’es entrain de te détruire par sa faute. ❞ La surprise peinte sur ton visage, tu lèves brusquement les yeux dans sa direction, sans vraiment le voir. ❝Il..❞ Ta voix de brise en mille. Tu ne relevais même plus ses paroles, te contentant de t’emmurer dans ton silence en retournant sa phrase dans ton esprit. C’était ce que tu avais dis à Hayley. Tu lui avais répêté la même chose et pourtant, tu te retrouvais à sa place. Ne pleure pas ma belle. Bien sur. Tu ne voulais pas la voir pleurer, tu voulais prendre ses larmes et les laisser couler sur tes propre joues. Tu ne voulais pas que les autres souffres, et c’était our ça que tu étais resté des jours dans ta chambre à te morfondre. Et c’était pour ça que tu voulais partir. Parce que c’était injuste, ce que tu faisais à Lyrnaël. ❝Je suis peut être pas le mieux placé pour ça… ais tu sais Elliot, faut que tu arrêtes de fuir comme une personne faible.❞ Tu baisse les yeux vers le sol et tes épaules s’affaissent. Pourtant c’est ce que tu es. Faible. Te cachant derrière un statut et des mots durs, tu fuis les problèmes, comme à chaque fois que tu n’as pas la force de te relever. Un rire rauque s’échappe une seconde d’entre tes lèvres, secouant vaguement tes épaules. ❝Car tu es une personne forte, et je suis sûr que lui aussi pense que tu l’es. Car c’est pour ça qu’on est… ❞ Les yeux rivés sur le parquet, tu tournes légèrement la tête. Il ne pouvait pas voir ton visage et le silence lourd de sens te pesait sur la nuque. La frayeur te broyait le coeur, craignant la fin de la phrase. ❝Proche.❞ Le souffle te manque. Tu lèves les yeux, perdu, les plongeant dans ceux du mage. Sur ton poignet, ses doigts te paraissent brûlant, mais tu ne savais si c’était son contacte ou juste sa chaleur contre ta peau glacée. Le silence dans la pièce était lourd de sens. Tu ne bougeais pas, ses paroles tournant dans ton cerveau si vite que tu avais l’impression que tout allait exploser. Proche. Proche. Ton regard glisse sur ses lèvres. Proche. Tu t’avance doucement pourtant ton esprit se vide progressivement. Ta main libre vient se loger contre sa nuque, et, avant que tu ne t’en rende compte, tes lèvres étaient pressées sur les siennes. Elles étaient légèrement sucrées. Tu savoures ce baiser, mais, pour toi qui en avais tant embrassés, tu ne savait plus différencier. Puis il y eut ces explosions dans ton estomac, cet étau d’acier qui pressait ton coeur. Tes doigts se mirent à trembler lorsque tu compris où tu avais déjà ressentit ce sentiment d’angoisse et de bonheur. Avant que ses lèvres ne bougent contre les tiennes, tu recules d’un mouvement sec, en proie à la panique. Tu ne pouvais pas. Tu t’étais pourtant juré de ne plus te laisser avoir, de ne plus te laisser enchaîner par un homme. Et te voila devant lui, le goût de ses lèvres imprimé sur les siennes avec ce sentiment de faute creusé dans son coeur. Il ne t’aimait pas. c’était certain. Et toi, pauvre imbécile, tu avais ruiné la plus forte amitié que tu avais eus depuis des années. ❝Je. Désolé. Vraiment désolé.❞ Tu marmonnes, tu bégayes, incapable de trouver les mots justes et les mots droits. Évitant son regard que tu sais dégoûté, tu recules de quelques pas avant de franchir la porte. Et de t’enfuir, loin, sous la pluie, dans les rues encore bondées. Tu courrais comme si ta vie en dépendait, comme si tu étais chassée par tes propres pensées. Tu te détestais. Assis sous la pluie dans une ruelle, à peine abrité sous tes ailes meurtris, tes doigts tremblant caressaient tes lèvres avec une touche de mélancolie. Tout ton corps tremblait, mais pas de froid. tu dégaines ton téléphone, tapotant nerveusement l’écran avant de le porter à ton oreille. Une sonnerie. Deux sonneries. A la troisième, tu l’entends décrocher. ❝Je sais pas où je suis. Quelque part vers la place. Viens me chercher, Ginger. S’il te plais.❞ Ta voix faible tremblait de peine, se brisant lentement. Aime-moi.
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Re: ❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger than alcohol ✖ (Ellyr) | Mer 04 Nov 2015, 17:56
❝ Far from heaven, wings and heart both broken, all he needs is something stronger that alcohol
Est-ce que je t’aime ? Je ne sais pas si je t’aime.
Je ne suis qu’un être calculateur qui ne cesse de tirer la langue au monde. Pourtant, chaque jour de ma garce de vie, je me suis toujours dit que je me foutais de ce qui peut m’arriver, je me suis toujours enfuit en levant mon majeur au monde. J’ai toujours calculé les choses avec le sourire, j’avais toujours ce que je voulais. Alors, est-ce que je suis heureux de tout cela ? Oui, j’ai toujours était content de tout manipulé comme je le souhaite. Je ne sais pas si en fait, je me complaisais de façon aveugle dans un monde où moi-même je me masquais le visage avec un smiley dessiné sur les mains. Je m’amuse, je m’éclate tellement.
Alors est-ce que tout cela n’était pas un calcul totalement absurde ? Je le savais, je m’en doutais. Je suis un être tellement compliqué, je marche sur le fil en sautillant, en tirant sur les autres pour ramener ce que je veux à moi. Regardez moi comme je suis souriant, regardez moi donc encore et encore. Acteur du monde, acteur d’une vie, je suis toujours là à tendre les mains pour attraper le ciel qui me nargue, car c’est que moi qui nargue dans ce monde.
Je suis toujours si émerveillé, que j'en sourirais presque, j’ai le droit non ?
Pourtant, moi l’homme qui se fiche de monde. Me voilà dans un rôle que je peux dire pathétique. Est-ce que je le fais exprès ? Je ne sais pas. Je te regarde de mes yeux jaune plongé dans tes bleuté. Nous sommes comme deux être humain que le destin à réunis en cette journée de pluie. On peut voir nos blessures physique et mental, et pourtant ce jeu de la vie ne cesse de continuer encore et encore. Tout cela n’était qu’un jeu ? Tout cela n’était que du pur calcul que j’ai méthodiquement fait dans ma tête ? Non, enfin je crois ? On s’en fiche ? Ouais, on s’en fiche !
Le personnage blond ne bouge pas après sa phrase balancer au bon moment, regardait le avec sa mine si faible. Le personnage aux cheveux bleu torturé regarde l’homme jaune qui essaie de le sauver des ténèbres, mais peut être que l’homme bleu n’a jamais remarqué que l’homme jaune était depuis bien trop longtemps perdu ! C’est amusant ! Le mage ne bouge pas avec cette mine si faible, si affectif. L’ange se perd peu à peu dans ses pensée, regardez le. Regardez-les. Deux être cassés deux être parfaitement attiré par le négatif de leurs vie, il ne fallut qu’un mot pour que tout ce déclenche. D’un geste vif et parfaitement bien exécuté, l’homme dépressif pu poser ses délicates lèvres rêches sur les sucrés du blond qui fait de gros yeux. Alors est-ce agréable ? Alors est-ce que tu aimes cela ? Hein moi-même ? Dessinant de gros yeux sur mon visage, j’enclenche un pas en arrière.
Ce n’est pas ce que tu voulais ? Pourtant c’est ce que tu désirais le plus.
L’homme bleu se rend compte de l’absurdité de cette situation. Reculant de l’homme jaune, il se rend compte de cette bêtise parfaitement orchestré. Voyant le visage de l’homme qu’il semble plus qu’aimer faire de gros yeux choqué.
« Je. Désolé. Vraiment désolé. »
D’un coup de vent, il s’enfuit de moi ! Regarde-le donc partir loin de toi, tu es si drôle Lyrn. Ne bougeant pas d’un centimètre, je regarde cette porte de sortie d’où laquelle tu es partie Elliot. Je suis perdu ? Non, je ne suis pas perdu. Tu dois être beaucoup trop loin pour que je te cours après, tu es beaucoup trop proche pour que je te rejette. Tu es maintenant beaucoup trop présent dans ma vie. Pourtant :
Est-ce que je t’aime ? Je ne sais pas si je t’aime.
Je me suis caché sans cesse la face, mais est-ce qu’en fait je ne sais clairement pas ce que je veux ? Le jeu de la séduction c’est pourtant quelques choses de facile. Est-ce que je me doutais de ce qui aller arrivé ? Je devrais être content, j’ai eu ce que je voulais ! Je suis si content que ton meilleur ami soit crever Elliot ! Regarde, nous nous sommes encore plus rapprochés. Regarde. REGARDE ENCORE ! Je suis là ! Il n’existe plus, donc nous nous sommes encore plus liés. Je n’ai jamais pensé ce que je t’ai dit. Je m’en fiche des gens, je m’en fiche de tout. Mais ? Bien que je devrais être encore et encore plus choqué qu’autre chose, j’affiche un sourire qui est tellement tiré que ma joue blessé en souffre. Je ris, oh que oui, un rire tellement mauvais et emplis d’émotion négatif. Mon rire n’est clairement pas celui d’un homme bien heureux dans sa vie.
Mes yeux me brûlent, mes yeux me piquent un peu trop. Ah, maintenant je deviens sentimentale ? Pourtant, aucune larme ne coulera, car au fond est-ce que je suis triste ? Je ne suis pas triste, je n’ai pas mis le masque de la tristesse. Aller on met le masque de l’homme que j’ai décidé d’être. Je suis heureux non ? Je suis un être qui est pourtant heureux. Mon jeux était tellement parfait, j’ai eu tout ce que je voulais. J’ai un métier parfait, j’ai une maison parfaite. Un amour qui s’approche de plus en plus, c’est tellement amusant… non, en fait c’est ennuyant, tout ce que je désirs arrive comme ça dans ma main.
[blockquote]Mais, au fond est-ce que c’est ça que je désirs le plus ? [/blockquote]
Un pas en arrière, puis un autre, me voilà contre un simple mur pour un soutient que je semble avoir besoin. Pourquoi le doute ? Pourquoi tu continues de douter Lyrnaël ? Je suis heureux, donc nous le sommes non ? C’est ce que je voulais non ?
Qu’est-ce que je voulais ?
Clignant plusieurs fois des yeux. Je réalise de plus en plus que je commence à douter de plus en plus de tout. Est-ce que c’est ce que je voulais ? J’approche ma main pour me frotter les yeux, c’est étrange comme sensation. Je suis empli de vertige et de nausée, je me dégoute ? Non, c’est toujours comme ça. Cette sensation d’être jamais comme il faut, d’être là à une place qu’il n’est clairement pas pour moi. Je pousse les gens avec le sourire pour prendre leur place.
Aujourd’hui, j’ai poussé la place de l’homme qui aurait du être tient Elliot. T’as vu, je suis la devant toi avec un sourire, je suis heureux d’être la devant toi.
C’est fou comme mes propres mot sonnent tellement vide quand je les entends. Est-ce que je commence à réalisé que ma vie commence à devenir de plus en plus fade. Peut être que je suis le plus 0 plaindre ? Non ? Je vais parfaitement bien ! Je suis heureux ! Tellement heureux ! Je m’amuse tellement dans ma nouvelle vie ! Je suis une personne qui est si heureux que j’ai le temps de me trouver l’amour, des amis, des emmerdes, bref une vie normale.
Lyrnaël Khaedis est-il vraiment heureux ?
C’est fou non ? Je me remets toujours en question pour rien. Mais bien sûr que je suis parfaitement heureux ! Pourquoi vous ne me croyez pas ? Je vous fais flipper car je me dis calculateur ? Je vous fais flipper car j’ai l’air d’être totalement perdu ? Mais non ! Je suis ce que je voulais être ! William n’était qu’un raté ! La vie ma offert une seconde chance ! Je suis beaucoup mieux dans mon élément ! Vous croyez que j’essaie juste de me cacher dans une vie parfaite juste car j’ai peur ? Peur de quoi ? Je n’ai jamais peur ! Je n’ai… Peur de rien.
Alors pourquoi je me laisse glisser contre ce support qui n’a pas lieu d’être, pourquoi j’enfonce mes ongles dans ma peau qui me fait souffrir. Je suis quoi ? Putain, mais je suis qui ?! Mais qu’est-ce que je fous ?! Non, non Lyrn reste calme. Nous sommes parfaitement posés, nous ne sommes pas énervés. Au point que je me parle moi-même en ce moment même à la troisième personne…. Pourquoi je suis toujours comme ça ? Je fais tout pour remonter la pente, et pourtant je me rends compte que je n’ai jamais monté en haut. J’ai plutôt plongé dans les ténèbres dans lesquelles je me suis mis tout seul.
Est-ce ta douce vengeance ? Ou est-ce ma propre punition Maman ?
Non, elle n’a rien à faire la dedans ! Je suis parfaitement heureux comme ça ! Vous allez encore croire que je me masque que j’ai tué cette femme ? Mais, je ne l’ai pas tué ! C’est cette idiote qui c’est donné la mort toute seule ! Je n’ai rien fait ! Je suis parfaitement innocent ! Arrêtez de me pointer du doigt, arrêté juste de croire que je suis le seul fautif. Je n’ai rien fait, je suis… Je suis
Tu es ?
Je suis heureux, donc si je suis heureux tout va bien. Les criminels ne vont jamais bien, après leur meurtre ! Après tout il s chercheront des excuses et tenteront de se cacher. Je ne suis pas ça ! Je suis parfaitement conscient de tout ce que je fais ! Je suis heureux, et ça me va comme ça. Pourtant, quand je vois mon reflet dans le miroir, me voilà entrain de douter de ma propre personne. Non, tout va bien ! JE SUIS HEUREUX ! Tout ce que j’ai fait c’est juste comme ça ! Rien n’a était calculé, rien de tout cela n’a était… médité. Tout est venue tout seul, tout n’a pas était désiré. Tout n’a pas était fait pour que je me cache, je suis normal, je suis comme tout le monde. Je suis sûr de mes sentiments.
Mais merde, si je ne doutais pas, je serais juste allé me coucher après mes médocs, alors pourquoi ma tête ne cesse de me dire que tout va mal. Saleté d’émotion, allé donc vous faire. Je vous cacherais sans cesse, je n’ai pas besoin de vous ! Je peux très bien tout gérer parfaitement. J’ai toujours réussis à vivre ma vie comme cela me chante, alors commencez pas à me faire chier. Je suis content et heureux d’être ainsi, alors pourquoi vous venez de plus en plus me dire que je ne fais que foncer dans le mur ? Mais non, c’est juste que je suis embrouillé par ce que vient de faire Elliot, c’est ça ? Mais oui, je suis bouleversé car il m’a embrassé ! Je ne m’attendais pas du tout à cette réaction ! Ahahaha…
…
Suis-je entrain de me mentir à moi-même ? Encore une fois ? Non, je viens de le dire, je suis bouleversé et choqué ! T’ain Elliot, t’abuse de me faire autant d’effet ! … Je crois ? Non non, je suis chamboulé c’est tout, aller on est chamboulé répète, je suis chamboulé.
Je suis chamboulé. Je suis chamboulé. Je suis…Chamboulé.
Non, je ne suis pas chamboulé. Je me rends compte que plus tu approches Elliot, plus tu vas te rendre compte de l’être que je suis. Tu te rends compte Elliot, aujourd’hui tu es sur la limite d’approcher l’être que je suis. Tu sais, derrière un masque, il y a toujours une ombre. Cette ombre c’est moi qui te parle. Elliot, ah chère Elliot. Te rends tu comptes que je vais devoirs jouer encore et encore de mes émotions pour te faire croire que tout va bien. Mon cœur bat ? Pour toi ? Sûrement. Mais, tu sais, cela me fait de plus en plus mal, car plus tu t’approches, plus je flippe. Je flippe de quoi ? Je n’ai jamais peur ! Regarde moi, je te réconforte comme je peux, je t’apporte un peu d’amour dans ta misérable vie. Alors, tu vas m’aimer, et moi je vais te le rendre car tu apportes une touche de douceur à cette vie que je dis parfaite. Tu sais Elliot, tu es un être bien chiant. J’ai dois maintenant me persuadé que tout va bien. Car je suis chamboulé. Est-ce que je suis amoureux de toi ? Bien sûr, je le suis. N’oublie pas, nous sommes deux êtres que le destin à rapproché, donc je vais continuer a tirer sur ta ficelle pour te ramener à moi. Peu importe ce que je suis, peu importe qui je suis. Après tout, qu’est-ce qu’on à faire si je suis en proie au doute. N’oublie pas que nos vies sont faites pour être ensemble. Je l’ai compris dés lors que tes lèvres on volé un baiser des miennes. Alors, on va continuer comme ça, okay ? Car sinon… Non, il n’y a pas de sinon, tout ira bien.
Je serais Lyrnaël Khaedis, celui que tu connais, ne t’en fait pas, tout va bien Elliot, tout ira bien. Je t’aime vraiment, je ne doute plus, je t’aime et je t’aimerais comme tu le souhaites.
Et puis de toute façon, je suis parfaitement heureux. Alors osef.