Appelez la Pupuce... Quoi où est le problème ? (Pv Ruth)

Assis sur un tabouret de bar, Arès regardait encore étrangement cet objet qu'il avait avec lui, il n'était rentré que depuis quelques instants. Il ne calculait toujours pas pourquoi il devait se promenait avec elle. Elle n'était aucunement intéressante en ce lieu, alors il restait muet en la serrant contre lui. Ses doigts tapotait le haut du manche en se disant que ce genre de situation ne pouvait vraiment pas arriver à un autre. On lui avait confié cet objet, il l'aurait bien fichu dans la tête du premier passant venant un peu trop près de lui. Personne n'avait osé se tenir à une distance suffisante et puis sur le coup il était pris d'un blasement sans limite devant pourtant une situation insolite. A présent, il devait attendre Ruth, il lui avait donné rendez-vous ici. A vrai dire, il avait pensé qu'ils auraient pu mettre en rogne quelques clients, mais c'était sans compter sur la présence de cette invitée surprise, il ne savait vraiment pas quoi en faire. En fait, il aurait très bien pu la poser en chemin, mais il bloquait encore sur la situation qu'il venait de rencontrer.

Lorsqu'un type surgit de nulle part vous donne un objet étrangement même si vous vous en moquez cet objet prend une teinte étrange, il devient quasiment le centre de votre attention. Surtout, il se demandait quoi en faire, car l'homme s'était barré et lui avait laissé à lui ce superbe souvenir. Au début, il avait cherché à cogner quand même deux personnes qui passaient par là avec , mais il aurait dû leur donner, pourquoi l'avait-il gardée. Cela allait lui servir à quoi sérieusement dans la vie. Vous allez me dire durant une éternité, il en trouverait sûrement un usage, mais là en plein milieu d'un bar, cela devenait critique. Une musique montait lentement à ses oreilles tandis qu'il demandait un verre d'eau en l'attendant. Sérieusement qui rentrait de nos jours avec une pelle dans un bar de nos jours ? Sauf un fou ? Il regardait les gens comme des chiens de faïence comme si ses yeux ne faisaient que de dire : " quoi y a quelque chose qui te choque, mais dis le !". Dans le fond, cela lui plaisait bien ce petit outil, car il devenait un peu le centre de l'attention avec cette pelle. Il se mit à la soulever, la fixer jusqu'à se dire que finalement il allait la garder pour lui. Arès la regardait autrement à présent en la montrant un peu plus, il la faisait tournoyer et donnait des coups contre le plancher pour marquer les temps d'une musique blues un peu trop calme à son goût. Il avait envie de se détendre et d'en faire qu'à sa tête. C'était peut-être parce qu'il savait que Ruth reviendrait. Il l'appréciait vraiment cette fille, elle avait ce ton direct et cette attitude naturelle qui faisait plaisir à voir. Arès ne s'était pas gêné, il avait mis un mot à l'endroit où elle bossait de façon à ce que ce soit à la fois surprenant et visible, histoire qu'il n'attende pas comme un imbécile. Son regard se tournait plusieurs fois vers la porte dans l'espoir de la voir s'ouvrir, il s'ennuyait un peu et surtout il voulait lui raconter un peu sa vie depuis. C'était étrange, mais il avait envie de connaître mieux la sienne par la même occasion. Le message était simple. " Si t'as trouvé le yoga sympa, viens boire un verre à cette adresse."Au moins, pas de politesse, pas de formule compliquée c'était du direct. Typiquement lui.

Un appel au loin l'interpellait, c'était pour elle le temps de briller dans le déterrage de nanards. Elle avait senti dans l'invitation de son camarade de fortune une urgence. Elle prenait une de ses combinaisons qu'elle avait prise pour faire la guerre, bien qu'elle se disait que les conflits serait pas le combat pour cette fois. Elle allait salir ses mains de la terre brune. IL ne manquait pas grand chose pour parfaire son costume du fossoyeuse. Elle n'avait pas de pelle. Elle haussait les épaules. Elle se dirigeait vers le lieu de rendez-vous. Quand elle posait un regard sur la pelle de son partenaire. Elle souriait. Elle se disait qu'il avait que son camarade pour avoir une pelle si cool et badass. Donc l'objet se mettait à bouger. Disant silencieusement ou presque qu'elle était là. Son sourire s'élargissait. Au moins je n'avais pas apporter une concurrente, ça la rassurait. Elle était contente. Elle sentait le film inconnu, mais bon. Ou un bouse tellement ridicule que le regarder serait d'un comique. L'appel plus le mot, voilà qu'elle se retrouver complice de cette aventure. Il allait déterrer quoi comme genre de chef d’œuvre. Se demandant un peu ce qui avait fait que la demoiselle se retrouve dans les mains parfois indélicates du dieu de la guerre. Mais soit. Elle s'installait.

« Alors ce sera quoi cette fois ? »

La pelle se mettait à gesticuler, se présentant sous le nom de pupuce. C'était une pelle au caractère bien trempé. Elle lâchait une blague un peu morbide, elle aurait eu des épaules, sans aucun doute, l'enseignante aurait taper amicalement ces dernière, le fait est que c'était une pelle. Elle se contentait de tapoter un le côté large en fer crasseux de l'objet. Un peu vexé, elle se ne bougeait plus. L'enseignante d'histoire s'accrochait de l'objet et lui disait tout bas une filmographie d'une artiste qui ressemblait vachement à la prof. Elle se remettait à sauter, en notant que son dernier film n'était pas fameux. La vampire ne pouvait qu'appuyer ses propos, elle l'avait vu le jour de sa sortie au cinéma. Ruth n'était pas une grande cinéphile, mais elle en avait vu de ces choses tant de fois qu'elle avait parfois tranché, détestant par-dessus tout les films historique, car il déformait cette dernière. En tant qu'historienne, elle se disait bien que les histoires sont faites pour être remise au goût du joiur, mais elle n'aimait pas en voir. Car elle râlait souvent. L'objet attendait que nous soyons prêt. On buvait un coup et nous seront prêt.

« Un Coca, je crois qu'un peu de sucre n'est pas de refus. »

Rien de tel pour savourer leur bataille contre les affres des acteurs inconnus, des erreurs de doublages ou de sous-titres. Heureusement, l'île traduit tout sans commettre de terrible erreurs. Bon il y avait quelques couacs. Surtout avec les mots inventés. La langage évoluait, comme ces bestioles que ces élèves aimait. Son lion ressemblant à un de ses trucs. Son animal était resté là-bas. Chez elle, dans Ruth-cave.

Arès se demandait s'il n'y avait pas un souci avec cet outil, il aurait juré que cette pelle bougeait toute seule. Au bout d'un moment qu'il l'avait cogné contre le sol, elle se mit à bouger toute seule. Il eut le réflexe de la lâcher, les choses étranges mieux valait ne pas trop les garder trop près de soi. Décidément, il était bien loin d'imaginer une telle suite des événements, pour le coup il avait vraiment hâte que Ruth arrive histoire de vivre ce moment avec lui. Quand Ruth rentra dans la taverne où il se trouvait, il soupira d'aise. Cette vampire avait toujours le don de le surprendre et là encore ce fut le cas, elle sourit à la pelle. Le dieu de la guerre crut tomber de son siège, il ne savait ce qui était le plus étrange. Elle semblait accepter tout ce qui pourrait se passer, alors que lui s'énervait de ne pas comprendre presque. Les nerfs à vif de cette découverte, il fixait l'objet en la trouvant de plus en plus...humaine ? Que dire de cet objet ? Il avança son doigt vers la... tête ? Tout ceci était bien de trop poussé, cela le dépassait. Cette pelle venait de dépasser un dieu par sa seule existence. Arès finit par saluer la vampire en tentant d'oublier cette présence gênante, mais elle était loin de pouvoir être oubliée et rangée dans un placard poussiéreux. Mais c'était dingue, on était d'accord, c'était juste une pelle, vous savez un objet inanimé... inanimé hé bien il fallait revoir cet aspect et vite parce que là ce n'était absolument pas le cas.

" Heu... une pelle. Ce truc là... ", finit-il par répondre en désignant l'objet qui lui posait tant de réflexions.

Arès n'était pas un être très réfléchi, son attitude bornée rendait ce genre de situation plutôt comique. Ses grimaces se multipliaient, il ne parvenait pas à lui accorder la moindre considération. Il se répétait sans arrêt : " c'est un objet, un OBJET, UN ...OBJET. Quand il entendit le nom de Pupuce, il se mit à rire bruyamment. Tout mais pas ça, pas un prénom aussi ... affectif pour ... ça, ce truc là par terre ! Ah non, pour Arès il y avait l'acceptable et ... ça. La pelle ne se débinait pas, même si elle jugea que le pied d'Arès était un bon piédestal ce qui le fit jurer un bon moment. Il l'avait cherché, mais tout de même. Arès voulait la briser en deux, au moins ça réglerait le problème. En plus d'être dérangeante, la pelle avait de l'humour. Cela allait être bien plus difficile. Arès se mit à prendre plaisir à cette blague morbide, c'était un peu aussi son genre d'humour. Les échanges avec cette pelle débouchèrent sur l'univers du cinéma. Arès avait un registre très précis en ce domaine. Il ne regardait que les films d'horreur, les films de guerre, d'action où pouvaient y voir comme des représentations de ce qu'il avait vécu. Jamais il ne serait sorti d'un univers qu'il ne connaissait pas. Ruth et Pupuce parlaient d'histoires avec un certain enthousiasme. Comment les interrompre ? Oh, la question ne se posait pas, il fit irruption dans leur conversation par une provocation, juste après la remarque de Ruth sur la nécessité de mettre les histoires au goût du jour. Son pied n'était plus occupé par la pelle depuis longtemps déjà, il commençait à reprendre vie.

" Les histoires, ça rajeunit pas hein ! Tu n'aimes pas ça pour ça, hein petite mamie", fit-il en la prenant par les épaules en la secouant. " Faut te ménager."

Comme elles étaient bien engagées sur le cinéma, il s'était dit qu'il allait y mettre son grain de sel après avoir poussé sa taquinerie. De son côté, il se mit à discuter du côté invraisemblable de certaines scènes et que certaines personnages n'avaient rien de soldats. On aurait pas pu les recruter, si c'était pour pleurer leur chéries au bout de quelques jours de mission. Tout était exagéré. Arès se mit à rire en disant qu'il pouvait leur en donner du réalisme, mais qu'il doutait qu'après ses leçons, ils aient encore envie de faire un film. Il aurait bien voulu savoir à quelle actrice Ruth ressembler d'après l'avis apparemment d'experte de ... cette pelle. Il n'allait pas s'y faire, ils allaient partager leur soirée avec... elle. Bien sûr, la pelle ne commanda rien pour elle, Arès commanda une limonade. Pendant que leur commande arrivait, il se tourna vers l'une puis l'autre de ses interlocutrices :

" Cela fait quoi de ressembler à une actrice Ruth ? "

Ruth gardait son sourire, elle était habitué à cet objet, à cette fille, bien que c'est une pelle, elle avait sa fierté. Combien de fois son partenaire lui avait dit qu'il pouvait faire leur aventure de leur côté, voilà dans les mains d'un dieu. Pas le meilleur, mais elle pouvais être sûr de déterrer des trucs plus anciens. Elle pouvait voir l’étonnement de son complice, elle riait un peu, sans vouloir vexer Pupuce, car c'était le nom de cette demoiselle. Elle voulais bien compatir pour son complice. Savait-il à qui il avait affaire, sûrement pas. Décidément la pauvre avait le don de trouver des partenaires qui l’emmurait de leur incompréhension, mais elle savait que comme elle, Pupuce aimait éclairer de ses lumières les plus ignorants. Plus elle voyait passer le temps, plus le dieu semblait s'adapter à cette présence. Elle ne pouvait que se réjouir. Elle se frottait un peu les mains. Le cinéma, l'enseignante en était friande, malheureusement, elle devait voir ces choses seule. Elle lâchait un léger soupir. Cette fois, elle ne serait pas seule. Mais soit, elle aurait droit à une perle inconnue, soit à un bon nanard. Aux mots de ce derniers, la blondinette se mit à rire. Puis les mots de l'homme surprenait la vampire.

« Rien de particulier, je suppose, comme dirait ma mère, c'est cette peste qui voulait me ressembler. Mais je me dis qu'au moins mon visage n'est pas associé à une personne sans charisme. Qu'en pense notre cher dieu, aimez-vous ces films mythologiques. Il y a en avait des tas à une certaine période. Vos histoires de tromperies et d'aventures ont toujours fasciné et ce depuis le début du cinéma. »

Ruth en savait un bout, avoir presque deux cent ans lui avait permis de voir de nombreux films et le jour de leur sortie. Pleurant que rarement. L'enseignante buvait doucement, elle était prête à suivre Pupuce jusqu'au bout du monde. Au moins ça serait pas long avec Arès qui pouvait se téléporter, comment elle le savait ? Simplement car Pupuce lui avait indiqué en sautillant, c'était sa façon de parler et le pire c'est qu'elle comprenait ce qu'elle pouvait vouloir. C'était peut-être à cause de son don télépathie. L'objet qu'étais à l'origine cette dame était plutôt intelligente. Ce qui flattait l'égo de la prof. Elle pouvais voir une espèce d'empressement de la part de la demoiselle recouverte de terre qui semblait collé à sa tête faite de métal. Comme la trace de ses nombreux de déterrages. Elle posait son verre vidé sur le comptoir du bar. Elle payait sa consommation.

« Et si on passait aux choses sérieuses ? Plus on traîne plus on aura des chance d'être coiffé au poteau par qui tu sais Pupuce. Pas besoin d'en dire plus, je sais que tu tiens à tes partenaires. »

Car la dame n'aimait pas qu'on parle ainsi de son grand amour après celui du cinéma. La prof ne pouvait qu'être heureuse que même avec Arès, ils trouveront quelque chose. Elle avait une hâte que nul ne pouvait arrêter.

Un. Deux. Trois. Il avait décidément du mal à s'y faire, mais il y prenait goût, c'était bien le pire dans l'histoire ou le meilleur d’ailleurs. Ce matin, il était bien loin de se douter, qu'il croiserait une pelle qui parle. Même pour un dieu c'était difficile à concevoir comme idée, Ruth semblait pourtant bien partie pour accueillir la nouvelle venue. Elle était même enthousiaste. Cette femme l'épatait, il ne regrettait aucunement de l'avoir croisée. Quand il la vit soupirer, il la gratifia d'une mise en forme éclaire de sa coiffure. Il plaça ses mains sur le haut de sa tête et les frotta énergiquement. Son amie paraissait ressembler à toutes ces stars de rock un peu rebelles, en même temps cela pouvait tant lui correspondre. Un peu de style rock and roll n'allait pas beaucoup contraster avec toute cette vigueur qu'il sentait. Il fallait la voir devant ce professeur et même ici on sentait qu'elle ne demandait qu'une chose : découvrir tout cela et vite. On voyait bien que son métier transparaissait nettement dans cette attitude, il se demandait bien ce que cela donnerait d'être professeur et d'enseigner. Arès avait déjà été formateur, il faudrait qu'il lui en parle un jour, juste pour savoir sa réaction. Ils allaient au cinéma... Arès n'y allait jamais, tout simplement parce qu'il bougeait tout le temps sans prendre la peine sans doute de se poser ne serait-ce qu'un peu lorsqu'il était seul quelque part. Il se mit à rire quand Ruth parla de cette ressemblance, elle était bien motivée pour sortir et cette allusion aux films mythologiques le fit rire.

" Aucun acteur ne me ressemble, c'est ça le problème dans ces films. Cela imite mal la réalité."

Rien ne valait l'original pensait-il et comme pour marquer ce dire, il se redressa en sentant dans cet acte toute la force qu'il détenait. Aucun autre acteur surtout mortel ne pouvait imiter cela, cela le ferait bien rire d'ailleurs. Ruth buvait doucement, tout comme Arès, mais peut-être pas pour les mêmes raisons que lui. Il s'imagina que comme ils faisaient une sortie au cinéma, elle ne voulait pas hoqueter des verres d'alcool bus à la va vite. Arès songeait quant à lui à ne pas tomber dans cette espèce de béatitude émerveillée qui lui faisait honte. Quand il fixa Ruth et la pelle, elles semblaient communiquer entre filles. Cela aurait pu ne pas être épatant si la dénommée "Pupuce" avait un visage un tant soit peu humain. Alors qu'Arès était à la moitié de son verre, Ruth posa le sien et hop c'était comme si elle n'attendait que ce coup d'envoi pour y aller. Elle semblait impatiente. Arès but sa consommation sans dire un mot en s'amusant de cette entente.

" Tu m'avais caché cette amie Ruth, je ne te savais pas si proche d'elle", rit-il d'un ton un peu moqueur.

C'était épatant tout de même. Le choc avait laissé place à de la taquinerie, il se dit qu'étant prof elle avait dû être soumise à différents élèves, sans doute pas des... (pouvait-il dire "individus"?) des créatures comme cela. Arès la regarda, fit mine de s'étirer et hop embarqua Ruth en espérant qu'elle prenne la pelle avec elle. Il ne toucherait pas cette chose... enfin pllus car il l'avait déjà touchée.

"Si c'est une course, on va la gagner ! Je ne veux pas être dans une équipe perdante."

Aussitôt dit... aussitôt fait, les voilà dans une salle de cinéma pile pour un film dont ils ignoraient le résumé, le titre, vous savez tous ces détails qui forment disons de bons renseignements. Arès fit un regard dubitatif, l'écran dévoila un château, des rois, des reines... Et fallait un successeur à l'enfant et le conseiller fomentait un coup.... Arès brûlait l'envie de s'écrier : " mais bute le !". Au bout d'un moment à force de taper la main de Ruth et de vouloir donner des coups à la pelle qui semblait ne pas apprécier, il se leva en disant ce qui lui brûlait les lèvres depuis ... 6 min.

" MAIS BUTE LE"

On aurait beau lui dire que un film historique, c’était important de poser le décor, le contexte, non là il n'était pas d'accord c'était un film soporifique pas historique. Et l'envie lui démangeait de chercher le réalisateur quelque part dans le monde pour ne pas discuter non, c'était pour les sages ça, mais pour s'en servir comme punching ball tout durant la projection. Il y aurait eu un intérêt là, notable, visible et cela lui aurait évité de déverser sa hargne par un cortège d'insultes à tous ceux qui se levaient pour lui dire de se la fermer. Une fois qu'il fit le tour de toutes les doléances, il se rassit dans le siège en disant :

" Ben, c'est vrai ! Il sert à rien en plus !"

Certaines dans les films arrivaient à produire des personnages qui venaient là pour décorer, il avait juste envie de les tuer dès qu'ils arrivaient. Il regardait des films d'action, de guerre, il avait l'habitude de l'action, de l'hémoglobine, mais ce rythme là tout mollasson lui cassait les pieds. S'il pouvait mettre juste une musique plus dynamique. Il pencha la tête en arrière en baillant bruyamment, il voulait voir aussi le point de vue d'une professeur à ce sujet... Pupuce de son côté pivotait s'agitait, il commençait presque à la comprendre. Elle grognait une hargne sans nom, au moins en voilà une d'accord avec lui.

Ruth était toujours en compagnie de ces deux acolytes, pour elle l'objet était autant importante que celui qu'elle avait rencontré en faisant du yoga. Plus jamais elle irait, vu qu'au final, elle avait remis en cause l'enseignement d'un autre. Ce qu'elle faisait peu de manière générale. Elle était consciente que son camarade masculin donnerait son avis d'homme bourrin, ce mec était un barbare qui vivait que pour le combat. Elle commençait à comprendre l'esprit du film « 300 ». C'était digne du peuple qu'il avait guidé. Même à présent, ça avait crée des mêmes que l’enseignante avait entendu maintes fois. Elle comprenait qu'une mode, ça pouvait être cool. Mais régresser à l’Antiquité ne l'intéressait nullement. Elle était bien heureuse dans son époque actuelle. La vampire souriait quand il râlait un peu. Elle s'y était attendu à cette réaction. Elle savait qu'il avait vu plus de choses qu'elle de fait qu'il avait plusieurs millénaires dans les pattes. Elle haussait les épaules quand il insinuait son amitié avec la pelle. Entres filles, on se comprenait, bien qu'elle aimait fille et garçon de façon égale. Contrairement à son amie. Elle n'était pas là pour discuter joyeusement de ces préférences. Elle avait mieux à faire. Elle prenait sa complice du jour, ça lui faisait plaisir de ne pas être la seulke femme du groupe, trop de fois, c'était arrivé. Elle se sentait moins seule. Ce n'était pas grand chose. Mais sa solitude commençait à lui courir sur le haricot. La salle était remplie, elle était étonné qu'un film du genre engrange un tel engouement. Elle n'avait pas eu le temps de prendre d'autres boissons, les salles obscure était toujours assoiffante été comme hiver. La lumière faisait place à l'obscurité, puis le film commençait. Le décor était posé, le Moyen-âge, cette époque barbare. Elle la détestait pour bien des raisons. Elle restait les yeux fixés sur l'écran, un complot se préparait, comme elle le devinait, c'était trop lent, car ces deux complices râlait en réclamant ma mort du personnage principal. Si il y a bien un truc que l'enseignante savait c'est qu'un héros meurt que rarement, c'était bien dommage. Bien entendu, les autres de la salle se plaignait d'avoir lui dans la salle. C'était comique, sachant que c'était un dieu, il pouvait les faire taire facilement. Il se réinstallait en râlant un peu. Bien entendu c'était lent, mais elle espérait un mieux qui venait pas. Le pire c'est que le film n'était pas assez nul pour en rire. Il était juste minable. Elle croisait les bras en grognant attendant l'entracte qui tardait à arrivé et bien sûr, il avait coupé au seul moment où ça bougeait pas mal. Une bataille allait commencé.

« Bordel, ils avaient besoin de présenter tous les personnages ? On s'en fout. Tout ça pour justifier le cachet des acteurs présent. Je ne suis pas là pour ces humains qui se pâme tel Narcisse devant son reflet. En plus, il coupe là où ça devenait intéressant. Je les hais. Il respecte rien en plus. Depuis quand les rois étaient aussi élégant et les filles si maigres. À l'époque on les aimait ronde. Pas fichu de respecter ça. Pour plaire, vague plaisanterie, ça ferait pas de mal au cinéma quelques rondeurs. »

Ruth était maigre comme un mannequin. Elle devait être pour ce changement de mentalité, mais non. Elle trouvait ça injuste que tout dans ce monde suivait les standards. C'était aussi pour ça qu'elle se fichait d'aimer une femme ou un homme. Le point positif, quelques personnages étaient déjà mort, elle savait comment tout ça finirait, parce que c'était un fait historique. Mais comme tout film nul, il remanierait à sa sauce cet fait. Ça l'enervait beaucoup. Elle frappait dans le vide, avec sa force surhumaine, elle aurait pu tuer quelqu'un si il avait le malheur de passer devant en ce moment.

« Je sais Pupuce, il faut voir le film entier, tu dois bien avouer que c'est n'importe quoi. »

La pelle était d'accord. Elle était sûr que c'était la même chose pour Arès. Il allait avoir son bain de sang. Ça ne faisait aucun doute.

De tous les films projetés, celui-là devait avoir une sacrée palme. Arès se demanda s'il n'allait pas sortir de la salle, il n'en pouvait plus. Le héros allait mourir comme il avait vécu de façon pitoyable. Il jetait un tel regard sur l'écran que l'on sentait son envie d'aller sur un autre film. C'était du film d'action ça, pitié non c'était juste fait pour tenir mamie éveillée pendant son tricot. Il s’ennuyait et son amie semblait y trouvait le même plaisir que lui. Elle faisait des haussement d'épaules très désinvoltes comme si elle aurait pu être ici ou ailleurs, il n'y aurait eu aucune différence. Enfin si tout comme lui, il y aurait eu une petite différences tous ces râlements ainsi gaspillés auraient pu servir contre des personnes et ainsi être mieux exploités. Arès donnait des coups de plus en plus pressés sur son accoudoir qui avait intérêt à être suffisamment solide.

Les remarques de Ruth étaient tout à fait justifiés, il se demandait d'ailleurs comment elle arrivait à faire appel à de l'histoire face à un niveau aussi médiocre. Il se dit que cela bien illustrer la patience qu'elle devait avoir devant tous ces petits cancres. Il n'y avait rien à raisonner devant une horreur pareille. Il se contenta d'un " mais oui, mais oui" exaspéré en ne tenant pas compte des réactions aux alentours. Si on les virait de cette salle pour les mettre dans une autre, cela ne l'aurait pas gêné, ça absolument pas. Ils pouvaient d'ailleurs même le faire maintenant que ce ne serait pas une grande perte. Quand Pupuce appuya sur le fait de voir le film en entier, la moutarde monta violemment au nez d'Arès, il allait prendre les choses en main fissa fissa. D'un coup, il se leva :

" Messieurs, mesdames, BON FILM"

Sa voix tonitruante eut le mérite d'être bien captée par toutes les oreilles de l'assistance. Sans consulter l'avis de personne, sans prendre le temps d'expliquer ce qu'il avait en tête, il agit rapidement. D'une main, il se saisit de la pelle et de l'autre de Ruth qu'il mit sous son bras pour la transporter rapidement et se sauver vite de cet enfer. En la transportant ainsi par la taille sous son bras, il eut le plaisir de blesser quelques spectateurs. Ils auraient enfin un peu d'action dans toute ce platitude d’invraisemblances. Certaines films ne valaient pas le coup d'en savoir la fin, il fallait juste connaître la sortie et fort heureusement elle était fléchée. Dès qu'il n'y avait plus personne à assommer ou à embêter, il déposa Ruth sur ses deux jambes. Ils avaient juste à remonter les escaliers pour passer cette maudite porte. Il allait engloutir du pop corn comme une personne n'ayant pas manger depuis ... une semaine. Il avait besoin d'énergie après une telle ... performance. Il s'était arrangé pour que Ruth n'ait rien durant ce petit transport improvisé, il avait protégé sa tête tout le long. Il s'était dit en plus que la connaissant, elle n'allait peut-être pas apprécier cette "balade" ce qui rendrait leur sortie encore plus remarquée. Une fois la portée de sortie poussée, il respira un coup comme si toute son agressivité sortait du moins en partie.

" Comment on peut faire une merde pareille... "

D'un air rageur, il alla vers la machine à pop corn, brisa la vitre pour se servir. Il n'allait pas payer pour quoi que ce soit, il était un dieu tout de même. Tout en machônant, il lui demanda ce qu'elle enfin il se reprit ce que " elle et Pupuce" voudraient voir. Il se retourna en ne voyant plus leur invitée, elle était restée devant le film. Elle avait dû glisser quand il la portait, manquait plus que ça. Pour rien au monde, il n'allait revenir dans cette salle et il prit grand soin de ne pas souligner cette absence davantage. S'ils pouvaient poursuivre ensemble avec l'intention de pouvoir partir quand ils le souhaitaient, cela le satisfaisait plus. De quel droit cet objet pouvait-elle avoir de toute façon un avis sur les projections ? Il n'arrivait pas à faire le lien, il ne parvenait vraiment pas à le faire. Arès fit à Ruth un sourire diabolique.

" Et si on se faisait un bon petit film d'horreur ?"

Il se voyait déjà l'effrayer pendant que les images défileraient. Le mot bon bien accentué signifiait un de ces films qui dressent les cheveux sur le caillou et qui fait bien frissonner pas ces bons nanars de seconde zone.

Ruth aurait du se douter que le dieu de la guerre ne resterait pas en place. Elle roulait des yeux. Cet homme était décidément chaotique. C'était pire que ces élèves. Elle savait qu'elle ne faisait pas le poids contre cet homme. Elle posait un regard sur pupuce, un peu vexée qu'on parle en pleine séance. Elle n'aimait pas trop qu'on massacre un film, aussi mauvais soit-il. La pelle respectait les films d'un premier abord pour les critiquer en long et large par la suite. Ce qui peut expliquer son presque immobilisme. Elle laissait Arès s'en aller, il était parti en râlant. Bien entendu, la prof restait calme par la suite, ce qui rassurait pas mal l'objet qui aurait du être inanimé, mais que voulez-vous. Il y a des choses qu'on explique pas. C'était trop facile, car la divinité les avait emporté, ne laissant pas voir la suite. Ce qui créait l'énervement de la pelle qui sautait sur place dès que cette dernière était lâchée. Bien entendu, l'homme disait son avis. Ce qui avait pour but d'énerver encore plus la demoiselle à leur côté.

« Tu es vraiment impatient. Tu avais besoin d'écourter la séance, oui, le film est nul, mais bon sang, ça allait changer quoi de rester une demi-heure de plus ? C'était ce que disait Pupuce. Quand à moi, je te permets de dire que me faire porter c'est vraiment de trop. »

Bien entendu la demoiselle râlait aussi pour le vol des pop-corns. Des gens travaillait ici. L'enseignante savait qu'est que c'était de vivre avec presque rien. Tout de même son glissement avait permis à l'enseignante d'en savoir plus. Mais la trame historique n'était que le prétexte d'une romance. Elle avait un regard dégoûté, c'était tellement classique. Elle grognait et regardait l'homme en face de lui. Elle était invitée à voir un film d'horreur, le souci, c'est que Ruth n'avait pas envie de voir ses semblables ridiculisé par l'industrie du cinéma. Elle avait eu sont compte avec cette histoire de Dracula. Bien que le film était assez fidèle avec ce qu'elle était. Elle roulait des yeux et le regardait.

« Vous avez de la chance, ils passent Shining, j'avais bien aimé la première fois. Vous verrez qu'il existe des bons films d'horreurs, je vous déconseille Saw, ça doit être trop lent pour vous, si vous voulez de l'action, massacre à la tronçonneuse sera très bien. Si vous croyez m'effrayer avec l'un d'entre eux, Arès, je vous souhaite une très bonne chance, j'ai vu vachement pire que ça de mes propres yeux. Je suis une ancienne combattante. »

Les allemands endoctriné avait fait pire que n'importe quel film d'horreur, bien que le gore s'en rapprochait pas mal, mais voir des morceaux de boyaux ainsi exposé pour créer des vomissements ne lui faisait ni chaud, ni froid. Elle préférait quand le film installait une ambiance et la faisait sursauter par son changement de ton. Mais elle devinait avec aisance qu'il préférait voir le sang couler. Hors de question de regarder Destination finale, ce film était juste cruel. Du sang pour du sang. C'était ce genre de chose que voulait voir les gens normaux de cette époque, ça la dégoûtait un peu.

« Si tu veux voir ce film, soit plus calme, tu pourra t’exciter après. Je ne m'étonne même pas que Athéna gagne vos batailles si tu t'agites comme ça. Je te respecte, mais bon sang, si tu veux râler, fais-le après qu'on puisse râler à trois. »

Ruth était claire et déterminée, voir un film entier ét(ait plus plaisant, même si ce dernier est nul à chier.

S'il y avait bien une chose dont se moquait bien Arès c'était bien le confort des autres, surtout de ceux qu'ils ne connaissaient pas ou n'estimaient pas, ce qui faisait un bon paquet de gens en fait. il se faisait même un malin plaisir à déranger, aussi sa réponse fut donc des plus éloquente, il bailla pour montrer son indifférence. S'ils étaient une demie heure en plus, cela aurait donné qu'il aurait réduit en miette le fauteuil ou qu'il se serait éclipsé. Ce film était nul pourquoi rester ou alors il aurait continué de râler, mais même râler sur le coup devant tant de.. beautés visuelles c'était à peine imaginable. Il leva un sourcil en se demandant bien ce qu'ils pourraient voir d'autres de plus distrayant que cette... chose.

" De trop ? Fallait bien ! Attends, c'était un cas d'urgence là, non mais je te jure... Tu vois même pas que je t'ai sauvée, fit-il en se frottant le front un air faussement consterné.

Il aurait bien eu envie de barrer l'entrée de cette salle pour les empêcher de la quitter, à tous ces masochistes qui étaient rester regarder ces images... sans intérêt. Arès ne parvenait pas à concevoir qu'on puisse s'ennuyer à ce point, alors il aurait presque voulu les bloquer à l'intérieur comme cela ils pourraient voir le film une seconde fois. Ils auraient une chance de bien se souvenir de ce spectacle... ahurissant. La jeune femme se mettait à grogner tandis qu'il se reculait tranquillement pour faire fondre un peu le mécanisme des serrures de façon à bloquer la porte. L'air de rien, il s'éloigna en se disant que c'était bien dommage qu'il ne voit pas plus longtemps ce spectacle, ça c'était du beau spectacle. Ce serait une cohue qui cognerait contre une porte jusqu'à ce qu'elle cède en créant une belle panique. C'était du vrai cinéma grandeur nature. Son regard se reporta vers Ruth visiblement toujours aussi peu enchantée par un film d'horreur.

"Ancienne combattante, tiens donc, j'aimerai bien voir ça. Ce serait de vrais frissons ! Je te mets au défi de m'accompagner une fois !

Quand elle parla d'Athéna ce fut un peu comme lui envoyer un hérisson dans la face, comment osait-elle le juger en face de sa soeur? Il lui fit un regard contrarié et pour toute réponse... marcha plus loin en direction d'une caisse laissée inoccupée. Il observa les écrans montrant des films en se demandant combien de personnes avaient des envies tout comme lui de pulvériser des gens dès qu'il était contrarié. Il avait bien envie de supprimer l'affichage de toutes les séances sauf de celui qui était horrible.

" Athéna n'est pas une guerrière, " fi-il froidement.

C'était sans appel toute contradiction entrainerait une élévation de voix sans retour possible. Alors qu'ils parlaient tranquillement, il vit de loin la poignée de la porte du cinéma bouger.... Il se mit à sourire, ça y est le film était terminé, sauf que non le public resterait dans cette salle qu'il avait tant aimé.

" Je n'ai peur de rien. Je suis sûr que toi, tu finirai par crier."

Parler d'Athéna était dangereux, il pouvait faire passer Arès d'un état moqueur, à un état où l'on sentait qu'il pouvait vous foncer dedans à tout moment et ce qui que vous soyez. C'était fou comme il en fallait peu, mais un dieu n'aime pas que l'on juge, surtout quand celui ci s'appelle Arès. Il appréciait bien Ruth, cette jeune femme l’amusait, il la sentait faite du même ciment que lui, mais justement il était temps qu'elle sache que parler d'Athéna n'était pas une bonne idée.

Ruth regardait son quoi, elle ne savait pas, c'était plus un compagnon, comme ceux qui avait été à ses côtés lorsque la guerre battait son plein. Un allié. L'enseignante préférait qu'il le soit que l'inverse. Elle ne voulait pas non plus être catalogué à un seul camp. Elle enseignait son savoir, après tout. Il râlait encore, comme un gros gamin, les dieux avait beau être plus vieux qu'elle, la dame se disait que parfois les plus âgé ne sont pas les plus sages. Mais bon, c'était Arès, il fallait pas s'entendre à une certaine maturité, surtout quand ce dernier se faisait royalement chier. Pupuce de son côté avait envie de frapper ce type, mais elle n'avait pas de main, c'était juste une pelle. La blonde faisait de son mieux pour calmer cet étrange objet. Il lui proposait de voir un film d'épouvante. Elle roulait des yeux. Niveau action, il y avait mieux et pire. Mais niveau hémoglobine on serait plus ou moins servi, tout dépendait du film qui passait en ce moment. L'accompagner une fois, pourquoi pas, s'il pouvait se taire, je ne dirai pas non. Mais je savais qu'il dirait tout haut que les mortels sont des crétins et qu'ils se séparent pour mieux se faire tuer.

Ruth le regardait, c'était clair, parler de sa sœur, ouais, d'après ses souvenirs, c'était ça. Une demi pour être plus exacte, comme elle venait de Zeus lui-même. Les dieux sont les être les plus étranges qui soit, ils peuvent créer tout et rien, c'était fou quand même. Il disait avoir peur de rien. Mais bien sûr, il devait craindre quelque chose, au fond de lui-même. Même si elle savait qu'il serait capable d'affronter les pires des situations sans broncher et même s'amuser de certaines d'entre elles. On parlait du dieu de la guerre, pas du dieu de la flemmardise, si ce dernier existe.

« J'ai pigé le message, espèce de Grizzly. Pas parler de mademoiselle savoir. Pour les films d'horreur, trouves en un qui me fait peur, je te jure que je te donne une bouteille de mon meilleur alcool. Et oui, j'ai combattu à ce que le monde nomme guerre mondiale, aux deux. Un vrai bordel, pas dans le meilleur des camps, mais bon, j'ai survécu. »

C'était l'essentiel, la pelle était encore peu vexé et le faisait savoir en sautant furieusement manquant plusieurs fois d'écraser le pied le plus proche de Arès, elle vivait dangereusement, pour une pelle.

« Aussi, tu ferai mieux de pas partir cette fois. »

Elle le regardait avant de voir encore l'objet râler. C'était cool, elle avait à côté d'elle deux personne de pas très bonne humeur. Elle pourrait les frapper un bon coup, mais l'enseignante tenait à la vie. Provoquer un dieu du panthéon, ça ne fini jamais bien. C'était pire avec Zeus. L'idée de se faire manger éternellement par un piaf n'était pas très plaisante pour elle. Bon sang, elle était dans une galère pas possible. Elle prenait des rafraîchissements.

« Sinon, je te prendrai pour un couard... »

Provocation, c'était une arme comme une autre.

» [Ruth} ∞ Yes, I can do this.
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» La musique adoucit les moeurs (et les gaufres). [pv Ruth]
» Problème de visage !

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