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 Visite à Atlantide [Pv Aphrodite]

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Visite à Atlantide [Pv Aphrodite] | Mar 12 Aoû 2014, 16:35

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Visite à Atlantide


Ce matin là, la température de l'eau était bonne et la mer calme offrait une richesse de coraux colorés et de poissons agités. L'Atlantide se réveillait doucement tendit que le soleil d’Apollon éclairait la ville de granite et que la vie commençait à fourmiller dans les rues aquatique. La cité était si belle qu'elle ne manquait jamais d'agitation. Des personnes de toute race venaient dans le bel endroit pour visiter, commercer ou encore servir leur seigneur bien aimé. D’ailleurs, en parlant de seigneur, le Dieu de la mer qui régnait sur les océans commençait à se réveiller auprès de son épouse. Le palais de celui ci brillait en recevant le soleil filtré par la mer et les appartements des deux amoureux divins laissait entrer la douce aurore où des petites lumières colorées dansaient sur les murs et le sol, jusqu'à éclairer le lit où reposait Poséidon et Amphitrite. Les deux êtres se reposaient de temps à autre, ensemble, dans ses appartements vastes et agréables. La Déesse se réveilla en première tandis qu'elle se blottissait dans les bras de son époux encore endormit. Elle scruta son visage apaisé et reposé où le bien être se faisait ressentir, caressant ses joues du bout de ses doigts tandis qu'elle l'embrassait doucement pour le réveiller. A son contact, le Dieu réagissait sans ouvrir les yeux, serrant sa  femme contre lui tout en plongeant son visage dans son cou pur sentir son parfum. Elle se laissait faire en rigolant pendant qu'elle répondait à ses bras. Ils restèrent ainsi un long moment.

Amphitrite se délectait des moments passés avec son Dieu quand il n'était pas occupé. Elle sentait alors qu'il était tout à elle, son corps et son esprit entier, et elle adorait cela. Quand elle ouvrait les yeux une nouvelle fois, la Déesse était seul dans les draps. Son époux, déjà près à partir pour l'Olympe, se trouvait dans la pièce d'à côté, élégant et souriant. Il expliqua à son épouse que Zeus l'avait appelé et qu'il devait partir au plus vite. Amphitrite, se redressant, souffla. Triton était partit lui aussi, depuis quelque jour, remplir une affaire militaire que son père lui avait demandé de remplir.. La Déesse n'aimait pas que sa famille parte aussi souvent loin d'elle, aussi loin de ses yeux. Poséidon, apercevant le visage attristé de sa bien aimée, se dirigea vers elle avant de se poser sur le coin de leur lit. En grand séducteur, il lui sourit et déposa une main sur son dos nue avant de l'attirer vers lui et de l'embrasser. Amphitrite l'enlaça une dernière fois avant de le laisser partir.

La Déesse se préparait lentement dans ses appartements, revêtant une robe bleu ciel aux reflets bleu nuit qui dégoulinait sur son corps. Ses cheveux lâchés furent brossés par des servantes tandis que la Déesse scrutait de la fenêtre de sa chambre le départ de son époux. Fraîchement préparée, la nymphe se dirigea dans une salle des prières, située sur la tour principal du palais, vers un grand balcon suivit d'un serviteur. Les salles du palais étaient toute sublimes et spécial. Chacune avait un rôle, important ou non, et étaient décorées de gravures magnifiques, de dessins en tout genres, comptants les légendes de la mer. Chaque pièces racontaient une histoire, illuminée de lumière et des meubles en pierres marines, de lustre en perles d'huîtres, des sols en sable blanc durcit et servant à la prière, au repas, aux offrandes, aux repos, à la spiritualité ..etc

Son esprit, comme la mer, était très calme et les monstres marins chantaient des mélodies somptueuses qui résonnaient dans l'eau. En fermant les yeux, elle ressentait toute les offrandes que les hommes faisaient actuellement à sa famille, des bêtes sacrifiées, des fleurs et de l'or, de la part de familles pauvres comme des grands temples de prière, Amphitrite les récompenserait tous aujourd'hui, par une pêche abondante, des sauvetage en mer, une eau calme et la présence de créatures marine, signe de bon présage. Il lui arrivait de se sentir seule, mais en réalité, s'occuper des monstres marins, sauver les familles qui vénèrent sa famille et récompenser ceux qui le mérite n'était pas une tâche de tout repos. Elle devait, dans toute sa noblesse, prendre soin de la mer et de ceux qui en ont besoin.

Elle pouvait entendre un mariage près de l'eau, un mariage qui se faisait sur la terre, un mariage qui demandait la protection de Poséidon pour leur futur famille. Puis Amphitrite sentait un corps brûler sur la mer, l'enterrement d'un brave homme mort à la guerre, puis celui d'un enfant. Elle sentait un bateau chavirer, elle sentait un monstre affamé, elle sentait une femme se noyer dans les eaux troubles d'une plage... En un regard, elle les sauvaient tous. Quand Amphitrite était de bonne humeur, la mer restait calme et sans danger apparent, protégeant tout ceux dont la vie était en danger.

La Déesse se pausa un moment, appuyant ses avant bras sur le marbre du balcon, scrutant intensément tout les gens qui créaient l'animation dans la cité. On pouvait arriver à Atlantide par différents moyens.. Si on était un Dieu, il suffisait d'emprunter un portail qui permettrait l'accès direct à la cité. En revanche, si on est une autre race, on doit emprunter des tunnels qui relit les côtes à la ville. Tout était si beau et si tranquille au fond de la mer, les problèmes reste en surface et toute les émotions plonge vers le fond. L'eau y est si pur, protégée par le dôme et respirable pour n'importe qui. Cette eau si cristalline purifie et soigne tout les maux, y compris ceux qui proviennent du cœur. Ici, les poissons remplacent les oiseaux et la diversité des créatures marine offre un spectacle éblouissant dans la cité. Les maisons et les temples sont fait de marbre de différentes couleurs et les rues sont pavés de pierres brillantes et colorées. Les arbres aquatiques aux fleurs légères remplacent des arbres de la terre, le marché regorge d'aliments atypiques et d'objets provenant du fond de la mer. Dans cette cité, des musiques douces emplissent les rues, entre les instruments cristallins que joues les musiciens de rue et les mélodies des créatures marine, Atlantide est un lieu de délectation pour les sens. Les enfants de l'Atlantide se distinguent de ceux de la surface car ils ont tous des yeux bleu extrêmement clair et une peau presque colorée, on en croise très souvent quand on se promène dans les rues lumineuses. Les enfants s'amusent dans les ruelles en faisant des bulles tandis que les adultes profitent de la cité sans oublier de venir prier et donner des offrandes au palais du Dieu et de sa famille. On pourrait se croire dans un compte de fée en entrant dans un tel endroit, pouvoir respirer l'eau douce du dôme tout en profitant de la beauté de la ville...

Le soleil, n'étant pas aussi important qu'à la surface, des jeux de lumière étaient mit en place dans tout l'Atlantide pour éclairer la cité un maximum, comme sur la terre ferme. Dans toute cette agitation, Amphitrite profitait du spectacle de la ville en souriant pendant que Panthalaimon, son affilié Dauphin allait et venait devant le balcon. Elle aimait à observer la belle cité, si magnifique et exotique, où tout les coeurs s'apaisent une fois à l'intérieur.




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Re: Visite à Atlantide [Pv Aphrodite] | Jeu 14 Aoû 2014, 01:01


visite à Atlantide.
f e a t ; amphitrite ♥

V
ous ai-je déjà conté l'attention qu'Aphrodite porte aux Hommes ? La déesse les adore. Elle passe des heures à les contempler du haut de ses appartements, et cela depuis bien des siècles. Depuis toute petite, elle se penche pour observer le monde qui vit sous ses pieds. Elle les trouvait déjà marrant à cette époque, et passait des heures à les observer. Au fur et à mesures des années, elle avait comprit par le biais de multiples offrandes qu'en temps que déesse de l'Amour et de la Beauté elle avait de l'importance pour eux, dans leurs petites vies. Cela toucha la déesse qui se promit – inconsciemment – de toujours avoir un œil sur eux. Et c'est ce qu'elle fait, depuis tout ce temps. Elle les surveille, reste attentive à leurs histoires de cœur. Rigole, souris, pleure en fonction de ce qui leur arrive et tente aussi de les aider au mieux. Ses aides pouvaient se manifester de différentes manières, elle pouvait se contenter de donner des conseils ou bien intervenir – mais de ce cas, il fallait qu'elle soit prudente. Il faut dire que cette manie de s'incruster dans les relations amoureuses des hommes lui avaient parfois jouer des tours. Mais Aphrodite essayait d'être à la hauteur des attentes que l'on avait d'elle, qu'Ils avaient d'elle. Après, comme toutes déesses, elle n'était pas parfaite. Il lui était arrivée de s'en prendre à ces êtres qu'elle observait depuis toute petite. Souvent, c'était parce qu'on remettait en doute son existence. Aphrodite aimait les offrandes, elle aimait être récompensée et appréciée, mais elle détestait être ignorer. Tout le monde devait savoir qu'elle était la plus belle femme au monde, en plus d'être la déesse de l'Amour. Ses vengeances pouvaient être terribles. Bien qu'elle ne soit dotée d'aucun pouvoir de « combat » – si on peut dire cela de cette manière – Aphrodite savait se battre d'une autre manière. Elle savait, elle aussi, donner des coups « là où ça faisait mal ». Elle savait être puissante, à sa manière. Savait dire qu'elle existait. Et cela, elle le devait aux personnes qui l'avait éduquée. En réalité, Aphrodite n'avait pas eu beaucoup de modèle dans sa vie, considérant qu'elle n'en n'avait pas vraiment besoin. Enfin, cette idée là, elle n'avait pas réellement germée toute seule dans sa tête : Amphitrite avait beaucoup aidé la petite fille à se faire une place sur l'Olympe. Maintenant que les siècles avaient passé, Aphrodite se rendait compte de l'impact que sa tante adorée avait eu dans son éducation. D'ailleurs, la jeune déesse pourrait vous dire que sa tante a encore énormément d'influence sur elle. Son caractère tempétueux avait un peu déteint sur sa nièce... Surtout depuis que la déesse de l'Amour n'était pas mariée à l'Homme de sa vie.

Aujourd'hui encore, entre deux devoirs de déesse, Aphrodite s'était permise de s’installe dans son observatoire afin de contempler les Hommes. Et oui, Aphrodite se divertissait tellement bien avec eux qu'elle avait créé une pièce spécialement dédiée à leur observation. Cette pièce jouxtait sa chambre et n'était accessible que par cette pièce. C'était une pièce que peu de personnes avaient eu la chance de visiter. Aphrodite préférait être seule pour les observer. Aujourd'hui, elle avait observé un jeune couple. Enfin, un futur jeune couple, pour être exacte. Les premiers amours étaient vraiment les préférés de la déesse, mais elle n'aimait pas les voir irréalisés. Parfois, il ne fallait qu'un pichenette pour que les deux amoureux tombent dans les bras de l'autre. Aphrodite se faisait un plaisir de les aider. Elle s'était donc attachée à ce petit couple et, les voyant encore hésitant sur leurs sentiments – pourtant bien existants – s'était permise de remuer un peu tout ça pour qu'ils s'embrassent un fois pour toutes ! Les voyant enfin avouer leurs sentiments, elle esquissa un sourire satisfaite. Elle tourna ensuite sur son lit, s'allongeant sur le dos de façon à observer le plafond de la pièce. Son familier, Lysis, vient se coller à elle. Aphrodite lui gratta la tête, se demandant bien ce qu'elle allait faire de sa journée. En vérité, elle l'aurait bien passée avec Arès – en même temps, elle passerait bien tous les jours de sa vie avec lui. Mais hélas, elle devait encore s'occuper de pas mal de choses. Le métier de dieu n'était pas de tout repos. La mâtinée venait à peine de se terminer que la jeune femme en avait déjà assez de ses responsabilités. Dans des moments comme celui-ci, elle pensait à Eole. « Ce que ça doit être bien d'être aussi libre que lui... » pensa-t-elle. Aphrodite n'avait envie de rien. Enfin, si, elle désirait voir son amant, mais puisque c'était impossible, la déesse ne souhaitait plus rien faire. Elle ne souhaitait plus travailler, du moins. Une sortie lui ferait plus de bien. A cette pensée, elle appela un domestique :

«  Oui, madame, que souhaitez vous ?   Lui demanda le jeune homme depuis l'entrée de la pièce.
Pouvez-vous annuler mon programme de la journée ? Reportez le à demain, je n'ai plus la tête à travailler pour l'instant. »

Le jeune homme inclina la tête, salua la déesse puis se retira. Aphrodite s'allongea sur le ventre, tête sur sa petite boule de poil favorite. Aujourd'hui, elle n'avait pas vraiment le moral. Elle sentait comme un manque, un doute qui la hantait. Et n'ayant pas le moral à ce point, la déesse ne préférait pas rester seule. S'enfermer dans ses pensées noires ne résoudraient absolument rien. Elle ne pouvait monter de projets saints et réalisables de cette manière. Et pour son combat, il lui fallait un plan plus que résistant – ou y aller au talent. La jeune déesse hésitait encore. En observant l'océan – plus précisément la mer – un nom monta au cerveau de la déesse : Amphitrite. Il n'y avait qu'elle pour l'aider, pour la conseiller. Sa tante avait toujours été de bon conseil, un vrai soutient pour déesse de l'Amour. Petite, Aphrodite se fichait bien de ce qu'on pouvait dire de sa tante : à ses yeux elle était un femme parfaite, une femme qui ne se laissait pas marcher sur les pieds. C'était une femme forte, ce à quoi aspirait Aphrodite. Sa tante fut rapidement une sorte de seconde mère pour l'enfant. Dans sa jeunesse, Aphrodite ne cessait de la couvrir de cadeaux : fleurs, dessins, tout y passait. Elle adorait faire des couronnes de fleurs pour les mettre dans les cheveux de sa tante.

Après quelques chatouilles sur la tête de son affilié, Aphrodite se leva et défroissa ses vêtements d'un coup de main. Chose qui ne servit à rien puisqu'elle se changea dans les minutes qui suivirent. Elle adopta une tenue simple : un short en jean et un t-shirt blanc, le tout accompagné d'un petit gilet bleu pétrole – très à la mode ces derniers temps – histoire de ne pas se rafraîchir si elle décidait d'allonger sa visite. Connaissant sa tante, Amphitrite devrait être à Atlantide, son lieu de résidence. Cela faisait bien longtemps qu'Aphrodite n'avait pas mis les pieds dans ce somptueux palais. Une fois prête, la déesse caressa son chat :

«  Profite bien des lits, espèce de paresseuse ! Sois sage en m'attendant, je serais vite de retour. Enfin, je devrais plutôt dire : profite de ta tranquillité, elle ne durera pas ! »

La déesse lui adressa un dernier sourire avant de se téléporter aux portes du grand palais. L'océan était déjà si beau en surface... Mais il était magnifique depuis les fond de la mer. Cette cité reste et restera un des lieux favoris de la déesse de l'Amour qui avait toujours aimé l'eau. L'océan, la mer, le vent et le ciel étaient remplis d'énergie. Ils étaient tous des éléments très important pour la déesse qui ne cessait de les admirer lorsqu'elle en avait le temps. Un petit sourire apparu sur ces lèvre au moment de frapper à la porte. Par politesse, elle frappa deux fois. On lui ouvrit la porte, un domestique très certainement. On lui demanda ce qu'elle faisait ici.

«  J'aimerai voir ma tante, Amphitrite, s'il vous plaît. » annonça-t-elle gaiement.




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Re: Visite à Atlantide [Pv Aphrodite] | Jeu 14 Aoû 2014, 16:53

Visite à Atlantide [Pv Aphrodite] Nagi_n10
Visite à Atlantide


Un invité se doit d'être accueillit convenablement dans le Palais de Poseidon, surtout lorsqu'il s'agit d'un dieu. La jeune personne qui frappa à la porte vint réveiller les murs du lieu encore endormit. Le Palais résonna tout entier et le marbre s'illuminait tandis que des petits poissons s'agitaient autour de la porte. Un serviteur se précipita à l'entrée principal, cheveux bleu et yeux, originaire de l'Atlantide, fidèle au Dieu de la mer et à sa famille. L'entrée s'ouvrit d'elle même avec un courant marin magique et chaud, qui laissait des petites bulles sur son passage tandis que le majordome se présentait devant la belle personne qui se tenait à l'entrée, prêt à l’accueillir.

«  J'aimerai voir ma tante, Amphitrite, s'il vous plaît. » fit la demoiselle sur un ton enjoué.

Le serviteur l'invita à entrer tandis qu'il s'écarta pour laisser passer la belle demoiselle, s'exclamant en baissant respectueusement la tête.

" Nous allons prévenir votre arrivée à notre maîtresse. Mettez vous a l'aise en attendant" Fit il en lui indiquant le grand hall qui s'offrait à la visiteuse.

Il lui demanda de patienter dans celui ci, autrement appelé Hall à cristal où des divans et toute la beauté du lieu s'offrent aux invités. Les murs et le sol sont recouverts de pierres aux différentes nuances de bleu, brillantes et magnifiques, tandis que le plafond laisse place à une gravure sublime, représentation d'une fille offerte en sacrifice au Dieu de la mer, racontant ainsi l'histoire de la jeune personne sacrifiée. La gravure de cette pièce raconte que les hommes ont envoyés la jeune enfant au Dieu pour un sacrifice annuel... Mais, loin d'être un bourreau, Poséidon ne donne pas ses jeunes offrande à la mort, il les invitent à résider dans L'Atlantide sous son service.

Visite à Atlantide [Pv Aphrodite] Sacrif10

Des écrits grecque sont également dessinés, apparaît alors l'histoire d'Amphitrite et de Posédion, représentés également en gravure, où le nom de Triton est présent également. Il y est écrit que la famille de la mer réside en ses lieux et que seul les personnes aux intentions pure ont le droit de franchir les portes. Une musique pure et douce provenant des pierres résonnent à travers la pièce, dégageant ainsi une atmosphère calme et reposée.

Pendant ce temps, toujours à son balcon, la Déesse de la mer caressait Panthalaimon en regardant le paysage. Une servante lui faisait part de toute les nouveautés et, au fur et à mesure, Amphitrite exécutait ses pouvoirs, tantôt pour récompenser tantôt pour réprimander.

"On nous signal un bateau qui polluerait les eaux clair d'un réseau corallien. Il pêche en détruisant la faune et déverse du pétrole dans les eau clair."

Amphitrite se crispait. Elle avait horreur que les hommes détruisent à ce point l'océan. "J'enverrai un monstre pour leur rappeler leur priorités" fit la déesse en soufflant. "Ensuite ?"

Puis la servante annonçait un message de calypso, la sœur d’Amphitrite, qui demandait à venir au palais pour prendre des nouvelles de sa cadette. Il y avait aussi des présents provenant de son hôtel qui venait d'arriver au palais en même temps qu'un message de son fils, et enfin, la servante annonçait des tensions parmi les sirènes, de plus en plus agitées ses temps ci. Amphitrite ne savait plus ou donner de la tête avec toute ses informations qui fusaient... Les sirènes lui donnaient beaucoup de file à retordre car elles avaient un caractère très pénible et des manières morbides. Elle allait, une fois de plus, devoir les calmer un bon coup.

Amphitrite savait qu'en étant déesse, elle ne pouvait pas reporter ses affaires au lendemain.. Donc elle les régla toutes en lançant des sorts un peu partout dans l'océan. La Déesse de la mer souffla un peu quand un nouveau serviteur se présenta dans la pièce avant de s'incliner. Il annonça à sa maîtresse la visite d'une jeune femme.

"Une jeune femme vous demande, maîtresse."

"Que veut-elle ?"
fit Amphitrite avec un ton presque irrité, sans détourner son regard du vide, préférant observer les fonds marin.

"Elle réclame sa tante."

La Déesse s'immobilisait. Elle souriait avec un regard malicieux devinant, bien heureusement, l'identité de l'invitée. Elle adressa un sourire à Panthalaimon tout en lui offrant quelques mots.

"Nous savons de qui il s'agit, n'est ce pas Pan ?"

Le Dauphin acquiesça en lançant un rire typique a sa race. Amphitrite connaissait bien tout ses neveux et nièces mais il n'y en avait qu'une pour se présenter de la sorte, sans prévenir à l'avance. La déesse se retourna avant de lancer signe à son serviteur qu'il pouvait se retirer. Elle s' avança près d'une grande table en marbre où était disposé un petit coffre avant de prendre possession du contenue, une sorte de petit collier où une magnifique pierre bleu pendait fièrement. L'audacieuse demoiselle plongea le bijoux dans une de ses proches, sachant d'avance qu'elle le ressortira dans peu de temps. La seconde servante se retira, puis, la Déesse, suivit de son Dauphin, se téléporta en bas de son Palais.
Elle réapparut dans le hall, fraîche et élégante, toute satisfaite en apercevant sa nièce, toujours aussi belle. Souriante et le regard apaisé, Amphitrite observait Panthalaimon qui se dirigeait vers la Déesse de l'amour pour réclamer une caresse. Il était rare que Pan soit aussi amical, surtout avec un autre Dieu que sa maîtresse. Puis la Déesse de la mer s'exclama en s'approchant de sa chère nièce :

"Bonjour Aphrodite, tu m'as manquée." Fit elle sur un ton presque formel mais d'une incroyable douceur, comme une mère parlant à sa petite fille.

Amphitrite se régalait des visites de sa nièce, qu'elle considère comme sa tendre fille. Elle lui porte un intérêt spectaculaire et apprécie ses visites comme elle apprécie aller la voir sur le Mont Olympe. Elle aimait tellement la demoiselle qu'elle avait faillit plusieurs fois se mettre en danger en intervenant contre son mariage... Mais bon, ça en valait la peine.




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Re: Visite à Atlantide [Pv Aphrodite] | Ven 22 Aoû 2014, 23:53


Visite à Atlantide
f e a t ; amphitrite ♥

L
a déesse de l'Amour et de la Beauté n'avait jamais été une grande travailleuse. Tout le monde le disait, tout le monde le savait et Aphrodite elle-même le disait – et elle s'en vantait presque. Selon elle, son travail n'était pas un travail mais plus un devoir. Il fallait qu'elle veille à bien faire son devoir, qu'elle ne le fasse pas sans envie. Pour s'occuper des histoires d'amour de ses chers fidèles, elle souhaitait être concentrée, attentive et disponible. Les histoires d'Amour ne sont pas à traiter sur un coup de tête – contrairement à ce que l'on pouvait croire. Ou plutôt, Aphrodite n'aimait pas les traiter sur un coup de tête. Se tromper dans une discipline quelconque ne dérangeait pas la déesse, mais c'était impardonnable de se tromper en amour. C'est LA raison pour laquelle Aphrodite s'occupait à tête reposer de ses devoirs. Une fois d'humeur calme, la déesse se prélassait sur ses lits, observait les Hommes, écoutait leurs requêtes et tentait du mieux qu'elle pouvait de les aider. Parfois, il ne suffisait que d'un coup de pouce. Coup de pouce que la déesse donnait avec le plus grand des plaisirs. Mais parfois, c'était un peu plus compliqué, et le coup de pouce n'était pas si simple à donner. Il fallait réfléchir et être un peu plus... attentive. Il n'y avait pas mieux pour elle de voir deux âmes sœurs courir dans les bras l'un de l'autre. C'était Le but de la déesse. Même si parfois elle ne pouvait pas réellement arranger la situation dans laquelle se trouvait les protagonistes. Cela lui arrivait de demander l'aide d'autre dieux. Mais c'était rare. Il fallait vraiment que la situation soit sensible.

Mais il y avait un hic dans cette manière de fonctionné. Certes le travail était bien fait... Néanmoins il n'était pas vraiment régulier. Aphrodite n'était pas le genre de femme à se dire « Aujourd'hui, je bosse de telle heure à telle heure ! ». Non. Le « Travail » c'était en fonction de ses humeurs. Aphrodite n'avait pas d’horaires fixes. Elle s'abandonnait à sa tache par humeur, par passion. Comme pour tout.  On ne pouvait pas dire qu'elle n'était pas sérieuse, elle était très assidue dans sa tâche. Mais voilà, ce n'était pas tout le temps. Elle était consciente de cela, elle savait qu'elle fonctionnait de cette manière et donc se fichait bien des reproches que l'on pouvait lui faire. Chacun procédait selon son bon vouloir, Aphrodite n'était pas du genre à critiquer ou même commenter la  manière dont les autres dieux fonctionnaient : ils faisaient leur vie. Elle admirait certain d'entre eux pour leurs dévouement et leur sérieux. Parfois, ces derniers la poussaient à passer plus de temps à « travailler ». Mais voilà, Aphrodite se fichait qu'on dise qu'elle n'était qu'une princesse qui se pâmait sur son petit nuage : c'était une demi-vérité. Et du moment qu'on la nommait « princesse » la déesse était contente. Et puis, dans tous les cas, l'Amour était son affaire. Malheureusement, elle ne devait pas faire de travail manuel ou contrôler quotidiennement un élément. Ce n'était pas si simple.  

Vous l'aurez compris mais aujourd'hui la belle déesse n'était pas d'humeur. Elle n'avait pas envie de s'occuper des histoires de cœurs des Hommes qu'elle chérissait tant, qui la divertissaient tant. Elle avait donc demander à ses domestiques de déplacer ce qu'elle s'était programmé au lendemain. Ce n'était pas urgent. Du moins pas encore. D'ailleurs, à quoi cela servait-il de se mettre la pression ? Pour terminer comme ces Hommes qui s’ôtaient la vie ? Non merci. La pression était bien, mais à petite dose. Dès que le seuil de tolérance de la déesse était dépassé, elle savait qu'elle devait s'occuper à faire autre chose. Mais aujourd'hui, elle n'avait pas subit de pression particulière, non. Elle avait... envie de sa changer la tête. Sur un coup de tête, la belle déesse se téléporta à l'entrée du palais de sa tante : l’Atlantide. Ce palais qu'elle adorait. Elle ne l'avait pas visité depuis bien longtemps. Enfin, c'était plus qu'un palais, c'était une citée. Une magnifique citée, à l'image des dieux de la mers qui vivaient dans cet divin lieu. Aphrodite, petite, adorait passer des journées avec sa tante Amphitrite. Elle aimait la vision du monde de cette femme, la manière dont elle lui parlait, dont elle la traitait, dont elle l'aimait. C'était presque une deuxième mère pour la déesse de la beauté. Elle adorait cette femme, elle dégageait quelque chose d'unique – et pourtant, elle n'en n'était pas jalouse ! En même temps, peut on être jalouse de sa mère ?

Une fois devant la porte de la cité, elle frappa. La politesse, c'était primordiale. Surtout qu'elle n'avait prévenu personne de son arrivée. En même temps, elle était venu ici sur un coup de tête... Comme à son habitude. Aphrodite n'avait pas attendu longtemps. Un domestique se présenta devant la jeune déesse qui adressa sa requête. Une fois cela fait, on l'invita à patienter dans le hall d'entrée. Ce qui fit la déesse. Elle s'abandonnait à la contemplation des diverses décorations présentes dans la pièces. Il y avait à voir, dans cette pièce. Le palais en lui-même pouvait être un musée. Les offrandes, les cadeaux, les tapisseries... Tout cela s'inscrivait dans l'histoire de ce bâtiment. Lorsqu'on le pénétrait, on avait l'impression qu'il vivait, qu'il respirait et qu'il nous racontait son histoire au fur et à mesure de notre visite. Aphrodite s'attarda sur une tapisserie. Une offrande, si ses souvenirs étaient bon. La déesse de l'Amour aimait quand sa tante lui comptait les histoires de cette ville, de l'Atlantide. Tant absorbée par cette tapisserie, Aphrodite n'avait entendu sa tante apparaître. Elle n'avait pas mit longtemps à se libérer – ou bien la déesse de la beauté avait été trop absorbée. Elle fut surprise par l'affilié de sa tante : Pan, pour les intimes. Ce dernier lui demandait une petite caresse, comme d'habitude, qu'Aphrodite s'empressa de lui grattouiller la tête et le dessous de la mâchoire. La déesse se retourna ensuite vers sa tante qui la saluait.

«  A moi aussi, tu m'as manquée ! » répondit la déesse  de l'amour du tac au tac en portant son attention sur sa tante.

La déesse de la beauté se permis de serrer sa tante dans ses bras. Elle avait toujours été collante, Aphrodite. Peut être trop, mais c'était sa manière à elle de montrer à quelle point elle l'aimait. Mais elle était comme ça avec tout le monde... Arès, Eros, Athéna, Eole... Tout le monde y passait. Le contact était quelque chose d'important pour notre déesse. Elle remplissait ses étreintes de douceur sans nom.

«  On ne prend plus vraiment le temps de se voir. Je me suis permise cette petite visite à l'improviste, j'espère que je ne te dérange pas trop... »

Telle une enfant – parce que c'est ce qu'elle devenait quand elle était avec sa tante/mère – elle s'écarta de sa tante en faisant une petite moue :

«  Si jamais tu as du travail, j'attendrais que tu aies terminé, comme au bon vieux temps. »




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