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| Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet | |
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| Re: Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet | Dim 10 Aoû 2014, 08:28 | |
| Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet
Je n'étais pas le seul à donner de la nourriture à Shama, ma cousin s'y mettait aussi. Bah au moins, elle ne pouvait pas dire que les divinités sont de grands méchants qui pensent qu'à eux. Bouh, c'est mal ça. Elle faisait un signe, super, on pouvait sortir de cette endroit, même si on avait pas la clé pour passe-partout. Ce n'était qu'un détail. J'avançais dans le couloir de pierre. Et on tombait sur une plage de sable fin blanc. Profitant de ce bol d'air, je laissais le vent dire bon retour à son maître. Je suis rassuré, enfin sorti de ce endroit horrible. Un message papier nous parviens, Iris l'attrape au vol et lisait. Les mots qu'on avait trouver n'étaient pas de lui. Donc on s'était embarqué de ce truc pour rien. Il me plaignait, mais j'avais toujours un mot à cet homme. Iris le met dans sa poche après l'avoir mis en boule. Elle commence à pester avant de se manger la vague. Je me retenais de rire. C'était comique comment l'eau jouait avec elle. Elle proposait une pause, je me disais que oui, on le méritait, puis la fille aux cheveux rouge avait faim. Bien sûr cette dernière avait remercier les dieux que nous sommes pour notre générosité. Par contre comme moi, elle semblait fâché contre Hermès pour nous avoir conduis. Elle avait carrément grillé un fusible. Le ventre de la mortelle gargouillait, moi, j'avoue qu'un peu de lait de coco ne serait pas refus. Je lançais une rafale vent à cette grande mauvaise herbe. Le noix tombait, se fendillait un peu. J'en profitais pour boire le jus et laisser le reste aux oiseaux qui se jetèrent dessus. La mortelle finissait son repas, si on peut nommé comme cela. Au moins, elle n'aurai plus le ventre qui gargouille, ce son était toujours aussi désagréable à entendre. La démone en avait marre de cette aventure et se demandait même si le trésor était ici. Je mettais une main sur mon menton réfléchissant à quelque chose qui serait Hermès. Non c'était impossible pas après qu'on avait couru comme des malades dans ce temple. Je grognais un peu.
-Le trésor est ici au sinon, Hermès ne s'amuserait pas à nous envoyé des messages, reste à savoir où car il est hors de question que je fasse un autre temple. On a eu assez d'émotion comme ça. Mais pour ça il faut des indices, donc...
Je me préparais, il allait m'entendre, pour sûr. Hors de question que je glandouille trop longtemps, pas que c'était désagréable d'être avec ma cousine mignonne, loin de là. Mais ça commençait vraiment à m'agacer de mettre en chasse de quelque chose dont on voyait pas la fin. Je n'étais pas comme Sora qui s'amusait à fermer et ouvrir des serrures. Bien que je demanderai bien des fées de me construire un costume aussi badass que monsieur porc épic. Même si question chevelure je n'étais mal dans mon genre, mais roux c'est classe, moi je vous le dit. Je sentais un nouveau vent.
-Hey Hermes ! Il serait peut-être temps que tu lâche un indice valable avant que je commence à m'énerver et que je crée une tornade qui s'occupera de ta petite bouille.
Et j'étais sérieux, quitte à perdre mon dernier œil et m'obliger à porter en permanence des lunettes de soleil, comme cet autre rouquin de l'autre côté de la planète qui suivait son script et les enfilait à la fin de chaque épisode, ensuite on avait un générique qui pétait les oreilles. J'étais mille fois plus classe que ce mec. Il fallait voir l'allure que j'avais. Comme si il avait peur de ma menace, un papier vint à moi. Je l'attrapais au vol. Je souriais, ça c'était un bon dieu messager, pour moi, il aurait du mettre des messages un peu partout, à croire qu'il avait compris de mon demi-frère. Ce n'était pas parce que les mortels faisait n'importe quoi que les dieux, on devait n'importe quoi. Je lisais à haute voix.
-Excuse-moi Eole, je vais te donner un indice. On dit souvent que nombril du monde se trouve sur ces terres, pourtant cette montagne est assez disgracieuse, c'est pour cela que j'ai caché mon trésor dans un endroit digne de ma classe. Mais n'oublie pas que je peux te punir si tu fais cela.
Ouais, me punir. Mon œil en était témoin, mais bon tant que Zeus ne s'en mêlait pas tout allait bien. Du moins, je l'espérai du fond de mon cœur. Je suis mal sinon. Ma vue... Mes beaux yeux verts comme la nature cacher à cause d'un pari stupide et d'une bêtise.
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| Re: Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet | Jeu 14 Aoû 2014, 00:03 | |
| Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet. Feat Shama & Eole On dit souvent qu'un corps mouillé c'est sexy. Qu'un corps mouillé c'est beau. Qu'un corps mouillé ça permet de sculpter chaque détail de celui-ci afin d'y dessiner tout ce qui est beau à voir. En ce moment même si Hermès nous regarde discrètement je suis dans la merde jusqu'au cou ! Non pas qu'il me mate me dérange plus que ça (enfin il ne me mate pas, mais dans l'optique où, on s'est déjà vu à poil sans trop que ça nous dérange, nos paris stupides, vous savez...), mais il serait capable d'ENCORE se foutre de ma gueule car l'élément aquatique a décidé de me faire chier. Serait-ce Poséidon qui est fâché contre moi ? Ou alors est-il tout simplement raciste des bleus... ? Naaan... Quand même pas... Enfin j'espère pas pour moi ! Shama s'active, je la vois s'énerver. Je tourne la tête dans sa direction, toujours allongée sur le sable humide, après tout je pense que même si je viens lui parler elle m'enverra chier, ça n'est pas l'envie qui manque mais en plus je suis fatiguée. - C’est une blague ?! On s’est fait poursuivre par des frelons enragé, harcelé par des serpents vénimeux, on a manqué se faire écrabouiller par une pierre, transpercer par des flèches, bouffer par des araignées, aplatir comme des crêpes, empaler dans un gouffre, piquer par une nuée de scorpions, et Monsieur ne trouve rien de mieux à dire que « Je sais pas ce que vous êtes allez faire dans ce temple ? » IL nous espionne sans nous mettre sur la bonne voie et IL se fout de notre gueule ?! ET MON POING, IL LE VOIT, MON POING ? J'esquisse un sourire. Elle vient de dire en une minute ce que je dis... Tous les jours. Au moins ça me rassure, je ne suis pas la seule à voir le démon en lui ! J'suis sûre quelque part dans son arbre généalogique il y a un démon quelque part. Pourquoi il y a génial et logique dans ce mot aussi?! Ca n'a rien de super génial, la famille... Encore, j'ai de la chance, je ne suis pas issue d'inceste, mais pensez à ce pauvre Arès qui se retrouve fils de frères et de sœurs. On se rend compte pourquoi il est un peu taré le pauvre ! Enfin j'suis sûre c'est Zeus qui lui a inculpé des gènes bizarres aussi... Je regarde le ciel, avant de sentir un peu plus loin une épaisse masse de chaleur. J'ai à peine le temps de tourner la tête pour voir ce qui se passe qu'un poisson sort de l'eau, mort, brûlé, dans l'eau. Shama va le ramasser et croque dedans à pleines dents après être revenue à sa place. Quand elle disait avoir faim c'était pas du mytho' ! Je sèche doucement au soleil en attendant que la rouge finisse son repas de fortune. Je regarde le ciel pour y contempler les formes de nuages, un chien, un cyclomoteur, un livre, un cerf, un cœur... Shama puis Eole me sortent de mes pensées grotesques, l'une en disant qu'il faudrait peut être qu'on se bouge, l'autre en s'adressant directement au ciel -enfin à Hermès quoi- - Hey Hermes ! Il serait peut-être temps que tu lâche un indice valable avant que je commence à m'énerver et que je crée une tornade qui s'occupera de ta petite bouille. Genre ? D'où qu'il lui donne des ordres ? - Excuse-moi Eole, je vais te donner un indice. On dit souvent que nombril du monde se trouve sur ces terres, pourtant cette montagne est assez disgracieuse, c'est pour cela que j'ai caché mon trésor dans un endroit digne de ma classe. Mais n'oublie pas que je peux te punir si tu fais cela. Genre ? Mais d'où qu'il lui obéit ?! Pourquoi jamais à moi et toujours à lui ? C'est la merde ça ! Et en plus il s'excuse ?! Alors que moi jamais, nada, niet, nein, il se fout toujours de ma gueule. J'suis la seule à avoir un traitement pareil de sa part. Il s'acharne sur ma personne. Bon d'accord moi aussi, mais je le fais en étant moins lourde quoi ! Quoiqu'il en est, j'ai du mal à comprendre la phrase. Les montagnes ne sont pas classes, et l'endroit où se trouve le trésor est dans un endroit « digne de lui ». En étant méchante, j'ai envie de dire que son trésor est dans les chiottes, mais je ne pense pas qu'il l'ai mit là. C'est pas son genre de faire preuve d'auto-dérision (ou de voir vraiment la réalité en face.) Je me relève sur mes coudes, soupire doucement et dans une légère impulsion me relève avec légèreté. M'avançant vers ma petite troupe -ouais c'est la mienne, même si dans l'ombre l'autre bleu tire les ficelles- je pose une main sur mes hanches et d'un regard confiant (toujours cette histoire de motivation des troupes) je leur lance « bon bah on y va ! » Me souvenant que Shama ne peut pas voler suite à la chute d'il y a... UNE HEURE DEJA ? Je marche en direction des montagnes. Le chemin est pentu, voir des fois quasiment raide et je me demande par moment si le mec qui a façonné la montagne s'est pas dit à un moment « tiens j'fais faire des côtés de montagnes verticaux ». Drôlement escarpé aussi, la roche coupante et glissante demande à ce qu'on s'aide de ses mains par moment. Mais par solidarité pour la rouge qui ne peut pas voler JE SURVIVRAIS EN GRIMPANT. Me faufilant sous le soleil de plomb, sur la roche qui commence à chauffer sévère, je respire bruyament, fatiguée. Ayant pris un peu d'avance, je m'abrite dans une petite cavité assez grande pour nous accueillir tous les trois à l'ombre et au frais. Je m'assieds au fond et une fois qu'ils m'ont rejoins, je lance, sûre de moi à nouveau : « Bon, faudrait trouver un moyen de gravir plus vite, sans voler, y a pas quelqu'un qui a une idée là maintenant de suite ? J'ai mal aux pieds en plus. » J'examine mes petits petons, effectivement ils commencent à être sacrément écorchés et j'ai hyper mal à force de marcher sur de la caillasse. Les posant sur le sol frais je profite de cet instant de bonheur, assise là par terre. Est-ce qu'Hermès nous voit là ? Nooon, on est pas visibles, de personne, même pas d'un ours si celui-ci passait par là. |
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Shama E. S. DragonfireStaff Brave Shama'Losse Coeurs : 114 Messages : 450 Couleurs : Red & darkorange J'ai traversé le portail depuis le : 21/05/2013 et on me connaît sous le nom de : Shama, Sham'. Mon nom est : Shama Ember Scarlet Dragonfire. Actuellement je suis : Bi et libre comme l'air. Il paraît que je ressemble à : Erza Scarlet de Fairy Tail (in RP) ~ Michelle Rodriguez (IRL). et à ce propos, j'aimerais remercier : Kuru pour le vava et Cali pour la signa ♥
| Re: Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet | Dim 31 Aoû 2014, 14:22 | |
| C’est bien connu qu’une fois l’estomac plein, le temps reprenait son cours normal. Et bien je ne faisais pas exception. Il me fallut bien sûr quelques minutes pour retrouver un semblant de bonne humeur… enfin disons plutôt pour perdre ma mauvaise humeur, temps nécessaire aux premiers aliments pour atteindre mes intestins. Une fois rassasiée… ce qui était une hyperbole, je croisai les bras, et observai ce qui se déroulait autour de moi, reprenant contact avec la réalité, comme si ma faim m’avait plongé dans un monde irréel dominé par les gargouillements et des trous dans l’estomac. Sensation très désagréable soit dite en passant. Eole ne semblait pas très content non plus, vu son grognement. Bah on était sur la même longueur d’onde de ce côté.
- Le trésor est ici au sinon, Hermès ne s'amuserait pas à nous envoyé des messages, reste à savoir où car il est hors de question que je fasse un autre temple. On a eu assez d'émotion comme ça. Mais pour ça il faut des indices, donc... - Mouais, manquerait plus que ça… il a intérêt à ce que le trésor soit dans l’coin sinon…. Sinon…
Je me tus, histoire d’éviter de gaspiller de la salive et de l’énergie en ressortant un torrent d’injures. Je préférais m’imaginer en silence toutes les horreurs que je pourrais –jamais – lui faire subir. Je me délectais de ces douces images, un sourire limite psychopathe sur les lèvres, lorsque Eole s’adressa au dieu des voleurs –il me semble – pour lui demander un coup de pouce. Je levai les yeux en haussant un sourcil, en mode sceptique. Il croyait vraiment que ça allait mar… WHAT ? Depuis quand ce crétin sadique avait décidé de répondre là ? NAN MAIS JE REVE. Oui c’était ça, je rêvais. Y’avait pas d’autre solution… je me pinçai, juste histoire de vérifier. AIE. Nan, j’étais bien réveillée et j’étais vraiment, mais VRAIMENT agacée. Je rentrai la tête dans les épaules, renfrognée.
Je distinguai du coin de l’œil l’expression d’Iris qui se rapprochait, partagée entre la consternation, l’irritation et la colère. Ah bah on était deux. Pour une fois je ne protestai pas à son injonction. Là tout de suite, j’avais besoin de bouger, sinon je risquais de foutre le feu aux foutus arbres de cette foutue île. En me relevant, je grimaçai, sentant mes ailes toujours courbatues. Bon bah pour le vol, c’était raté. La déesse dut le sentir car elle se dirigea vers la montagne à pied. Je me précipitai à sa suite, ignorant tant bien que mal les cailloux un peu trop pointus qui me cisaillaient la plante des pieds. Oui, j’avais retrouvé ma dignité.
Visiblement les dieux n’ont pas l’habitude de marcher, de faire grimpette, ou de contourner des obstacles, vu la respiration sifflante d’Iris. Si elle voulait rivaliser avec les vents d’Eole, elle n’était pas très loin, là. Rompue à un exercice quotidien, je m’en sortais mieux niveau endurance. Sauf que j’étais en pleine digestion, et que la marche active est totalement incompatible avec cette activité. Donc, ça me ralentissait un peu. Manquerait plus que j’eus des crampes d’estomac. Je m’arrêtai au niveau de la bleue et posai les mains sur mes hanches en contemplant la colline rocailleuse que nous gravissions. Je remarquai alors une petite corniche, un peu plus haut, accessible par l’escalade, sur la gauche. Si on grimpait jusque-là, on pourrait avoir une meilleure vue d’ensemble, et qui sait, découvrir la cachette potentielle de ce trésor.
- Bah si vous êtes doués en escalade, on peut passer par là. La roche me semble assez imparfaite pour offrir des prises assez faciles. Ça devrait pas être trop difficile.
Comme pour montrer l’exemple, je me dirigeai vers un petit sentier naturel qui conduisait jusqu’à la paroi rocheuse. Je levai la tête afin d’évaluer la hauteur. Une dizaine de mètres tout au plus, et assez pentue, ce qui permettait de se retenir plus vite si on dérapait. Néanmoins, une chute serait toujours douloureuse. Bon, plus on restait là sans bouger, plus on retarderait l’échéance. Et moi j’en avais marre de cette foutue chasse au trésor. Parce que, pour l’instant, à par des pièges, des animaux venimeux, des gouffres, des cascades, des toboggans, et ces putains d’indices à la con, il ne se passait rien.
Je pris la tête du groupe d’escalade, agrippant une première prise de ma main droite, cherchant la seconde de la gauche, puis prenant appuie sur une troisième plus bas avec mon pied droit. Je poussai fort sur mes jambes pour me hisser et entamai ainsi mon ascension. Je ne le dis pas, ne montrai rien, mais je regrettai assez vite ma décision. Mes pieds s’en trouvaient encore plus sollicités, et je ne sentais plus qu’une masse de chair et d’os avec la peau écorchée à vif, et des courbatures un peu partout. Enfin, au bout d’une grimpette qui me sembla durer une éternité, j’arrivai enfin au sommet. Je m’étalai sur le plateau de la corniche à plat ventre, les bras en croix. La vache, ce que c’était crevant ! Je finis par me lever, histoire de laisser la place aux deux autres, et fis quelques pas sur le sol rocheux.
Devant moi le chemin continuait en serpentant, surplombant la colline qu’on s’efforçait de gravir un peu plus tôt. Si l’ascension avait été pénible, ça en valait la chandelle. En passant par là, d’une on avait une bonne vue d’ensemble, de deux on irait bien plus vite. Je jetai un rapide coup d’œil au panorama. Qu’est-ce qu’il avait dit, l’autre zigoto, déjà ? A la hauteur de sa classe ? Donc… un truc…. Classe, ou en hauteur, ou même les deux… J’aperçus une étrange structure de pierre, un peu plus loin, sur le sommet de la colline. Je plissai les yeux, comme si je m’imaginais que ça zoomerait sur l’objet de mon intérêt. Mais je suis pas Legolas, tant pis. Je me retournai et pointai du doigt le monticule de pierre, très Stonehenge.
- Je crois que c’est par là. Je sais pas pourquoi, mais je sens que ce serait bien le truc d’un dieu, de planquer un trésor là-bas.
Oubliant l’espace d’un instant que j’étais la seule mortelle, entourée de deux divinités donc, j’avais parlé comme si les dieux étaient absents. Bon. Bah tant pis. Je pris une grande bouffée d’air frais, accueillant une douce brise fraîche avec délectation. C’était que ça réchauffait, de grimper. Je fis rouler mes épaules, pour détendre les muscles de mes omoplates. Je dépliai et pliai mes ailes pour tester leur état de santé. « pas encore ma vieille » me disaient-elle. Bon bah on allait devoir continuer à pied pendant encore un petit bout de temps.
- J’espère qu’il est là-bas ce foutu trésor, parce que sinon, je… Je sais pas ce que je ferai, mais je le ferai !
Par ces mots, je visualisai particulièrement un petit incendie de forêt, un homme écartelé, ou mieux… brûlé vif et crucifié ! Bon, il fallait que je me calme moi. Aussi je serrai les poings et attendis que mes compagnons de galère soient prêts à repartir, puis je pris les devants d’une marche assurée mais rageuse. Et le premier cafard que je verrai, il finira sous mon pied bien écrabouillé ! Humain ou pas, mortel ou divin, le cafard. |
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| Re: Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet | Dim 31 Aoû 2014, 16:08 | |
| Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet
Je pouvais voir l'agacement de cousine mignonne, je pouvais la comprendre, toute la journée à courir comme un jour de solde n'avait aucun sens, je ne comprenais pas Hermès sur ce coup. Cela avait quoi d'amusant de faire une chose pareille, sinon énervé encore plus Iris, la voir en colère devait vraiment lui plaire, derrière leur haine, moi je dis qu'il y a de l'amour, déjà Arès et Athéna ne tuait sur place lors des réunions divines c'était quelque chose d'exceptionnel. Je chemin que nous suivions était escarpée, je me posais au sol en soupirant, allons-y comme un mortel ordinaire, heureusement que mes bottes était sèches, je n'aimais le clapotis qu'elle faisait quand elles étaient trempées. Le soleil nous narguant de là où il était. Ce qui était sur, c'est que Iris n'avait vraiment pas l'habitude se déplacer ainsi, mes nombreuses conquêtes m'ont donné une bonne endurance. D'ailleurs, elle alla s'asseoir dans un petite cavité à l'ombre, je souriais doucement à cela. Ce qui était sûr c'est que Shama en avait tout aussi marre que le reste de la troupe qu'on formait. On avait pas mal bougé pour cette journée. La jeune femme se mit aux côté de la déesse messagère. Elle proposait d'escalader, je voyais mal cousin mignonne faire cela, mais avait-on seulement le choix, j'en doutait fortement. Elle pris de l'avance menant la troupe provisoirement. Avec sa volonté d'en finir au plus vite, je lui faisais entièrement confiance. Donc je la suivais Après la grimpette imposée, je regardais si cousine mignonne arrivait à suivre et ce fut le cas. Je regardais les environs, les trouvant d'une banalité rare. Je haussais les épaule, me disant qu'on était au mauvais, ou mauvais moment, quand Shama s'exclamait en pointant un ensemble de rocher digne d'un bande-dessinée d'Astérix. Il ne manquait plus que les pirates qui se font couler à chaque fois et on y est. On pouvait voir en effet une jolie construction , bien qu'un peu rustique. Elle proféra une menace à mon cousin pillard. Il s'était mis à dos une mortelle féroce. Elle s'avançait sans même attendre. Je souriais un peu.
-Cousine mignonne, tu peux voler, je n'ai pas prévu des chaussures de rechanges, peut-être j'aurai du en effet. On aura fini, on pourra se reposer tranquillement. Un peu de courage, on y est presque.
Je pouvait m'essouffler, après tout même les dieux ne sont pas illimités. Ils ont des tolérances plus grandes que les mortels ce qui nous rend si unique et forts à leurs yeux. Même si on faisait pas les fiers là en ce moment. Courir après un trésor qui semblait se déplacer comme si Hermès se déplaçait avec, sérieusement, si ce n'était pas de l'amour, certes un peu vache, mais s'en était. Ils se cherchait tellement des noises pour s'amuser. Il ne manquait plus grand chose, moi je dis qu'un petit baiser puis une baffe tout irait bien. Bon se diriger vers un cercle de pierre, je pouvait presque entendre une chanson traditionnelle du nord de ce pays nommé france, trimatelot, lalaa, merde, je n'ai pas la suite, bouarf, ce n'est pas grave. On arrivait dans le cercle de pierre se dernier était silencieux. Je m'approchais du menhir, dire qu'un autre rouquin portait ce genre de chose comme si rien n'était. Les mortels étaient étranges parfois, tout cela parce que un mage les avait rendu fort avec sa potion étrange. Je n'étais pas dans ce genre de cas, puis je pouvais faire en sorte parraître plus fort que ces personnages de fiction pure. Je pouvais voir que la pierre, puis une sorte de table au centre , je me demandais si il y avait genre, une entrée secrète. Cela serait grave cool qu'il ai une. Je cherchais partout et tombait sur un rocher étrange, appuyer dessus ou non, là était la question du moment. Je devais y réfléchir, je ne voulais pas tomber dans un de ses pièges grossiers digne d'un coyote affamé. Je ne suis pas une proie, je suis un dieu, mineur certes, mais on me devait le respect. Je soulevais un sourcil.
-Vous croyez qu'il est judicieux de pousser un bouton, après tout ce que nous avons vécu, je pense que nous devons nous monter prudent.
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| Re: Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet | Dim 31 Aoû 2014, 19:17 | |
| Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet. Feat Shama & Eole Je suis fatiguée, j'ai chaud, la pierre me brûle les pieds et reflète la chaleur vivement. J'ai l'impression de marcher sur un grill et le seul moment où je trouve un endroit pour m'asseoir et respirer, bah j'y reste pas longtemps. De mauvaise humeur, j'écoute Shama qui a prit les devants de notre excursion et propose d'escalader un mur de pierre. Oh lala ; y a pas marqué les bûcherons de l’extrême sur mon front eh ! J'ai une tête à aimer grimper moi ?! Non, je vole dans le ciel ! Je bougonne durant tout le chemin qui nous mène au dit mur d'escalade, puis voyant que personne n'y prête attention, j'arrête. J'ai vraiment l'impression que personne ne m'écoute des fois ! Et que personne ne se rend compte quand je fais la gueule, La demi-déesse prend les devants, suivie d'Eole, et moi je traîne derrière car je galère à mort. Mon pied là, ouille ça coupe, ma main là, aille ça pique, mes couettes là, aie ça tire. Si seulement Shama pouvait voler. Je regarde en bas, heureusement que je n'ai pas le vertige car sinon je pense que je resterais tétanisée. C'est que c'est quand même vachement hauuut ! Grâce à la force de mes bras -ou des encouragements d'Eole- je finis par arriver en haut sans avoir une fois battue des ailes. Je m'écroule à plat ventre et souffle bruyamment. En ce moment je ne suis pas Iris la messagère des Dieux mais Iris le cachalot échoué. Je reste là, joue contre terre, espérant par je ne sais quel miracle qu'en rouvrant les yeux je me retrouverais dans mon lit ou dans un bain. Mais non, ça ne marche pas comme ça, et même si je voulais me téléporter là je crois que je suis trop crevée. Puis le soleil tape sur ma tête, ça cogne à l'intérieur et c'est super désagréable. Shama me sort de mes pensées -ouais je vous assure qu'il m'arrive de penser- et nous montre au loin des pierres qui sont disposées en cercle. Je sais pas pour vous, mais moi je vois ça j'ai envie de faire des dominos, d'appuyer sur un pour faire tomber la totalité de la chaîne ! Mais je pense que ni la divinité pour qui on a fait ce.. truc, ni les gens qui l'ont construite, ni les archéologues du coin aimerait. Alors encore une fois je ne vais toucher qu'avec les yeux, comme une grande fille pas chiante -en comparaison à Hermès. Enfin moi si on dressait des pierres à la verticale pour en faire des constructions à mon effigie, je le prendrais juste H Y P E R mal. J'le prendrais genre « Iris t'as une tête de caillou ! » vous voyez le style ? IJe crois que c’est par là. Je sais pas pourquoi, mais je sens que ce serait bien le truc d’un dieu, de planquer un trésor là-bas. J’espère qu’il est là-bas ce foutu trésor, parce que sinon, je… Je sais pas ce que je ferai, mais je le ferai ! Je ris, amère. Je vois pas trop ce qu'il peut nous arriver, on s'est fait courser par tous les animaux de la terre et sommes tombés dans tous les trous du monde. Je me relève en m'aidant de mes bras et soupire longuement. Enfin, nous serons deux à ne pas savoir ce que nous lui feront mais le faire quand même. Je le dis tous les jours, que je lui ferais pleins de choses horribles comme mettre des asticots dans son lit ou lui mettre de la glace dans la chemise, mais j'oublie à chaque fois que je le vois (j'ai l'impression d'être sacrément conne en sa compagnie). On marche jusqu'au dit rassemblement de cailloux et Eole prend la parole : Vous croyez qu'il est judicieux de pousser un bouton, après tout ce que nous avons vécu, je pense que nous devons nous monter prudent. Je ris, amère. Je vois pas trop ce qu'il peut nous arriver, on s'est fait courser par tous les animaux de la terre et sommes tombés dans tous les trous du monde. Hochant la tête, sérieuse, et croisant les bras, je regarde les alentours. Que faiiiiiire. Oh un papillon ! Je le regarde, émerveillée, recule de deux pas afin de l'admirer dans son ensemble et... Oh. Merde. Je sens un truc descendre sous le poids de mon talon. Je baisse la tête et vois que j'ai enclenché le bouton. Je retiens le « oh merde » qui veut sortir de ma bouche et qui n'est absolument pas féminin et recule douuuuuuucement. Un ploc. Puis plus rien. Peut-être que c'était une blague... ? Crrr. Un passage s'ouvre, je soupire de désespoir. Oh. Mais. Une boite ?! Je me penche au dessus et la prend dans mes mains. Je l'ouvre, en premier lieu un papier. Qu'est-ce que c'est ? Une trêve, un joli poème ? Un truc comme quoi il arrêtera de me faire chier ? Je déplie le papier que je lis à voix haute « Vous avez trouvé le trésor ! Je vous laisse le loisir de vous le partager comme vous l'entendez. ». Bon, le trésor, c'est quoi ? Je sautille sur place et ouvre la petite boite des étoiles dans les yeux, pour y trouver.. Un collier de pâtes ? Ouvrant de grands yeux ronds, je lance rageusement la boite par terre en pestant : Il s'est bien foutu de ma gueule ce salaud ! Je tends le collier de pâtes à Shama et fais volte face : IJe vous dis au revoir, j'vais aller lui botter le cul à Hermès moi ! Sur ce, je m'envole, franchement énervée. Un jour il finira par arrêter de se payer ma gueule ?! Non ça m'énerve ! Eole et Shama se débrouilleront pour rentrer, c'pas difficile, la Grèce c'est pas si loin. Moi ; direction Olympe, j'dois trouver ce messager qui s'est bien joué de nous durant plusieurs heures ! Pffffffffffff. Hermès m'énerve ! Et le pire dans tout ça, c'est que ça fait plus de 2000 ans que ça dure. |
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Shama E. S. DragonfireStaff Brave Shama'Losse Coeurs : 114 Messages : 450 Couleurs : Red & darkorange J'ai traversé le portail depuis le : 21/05/2013 et on me connaît sous le nom de : Shama, Sham'. Mon nom est : Shama Ember Scarlet Dragonfire. Actuellement je suis : Bi et libre comme l'air. Il paraît que je ressemble à : Erza Scarlet de Fairy Tail (in RP) ~ Michelle Rodriguez (IRL). et à ce propos, j'aimerais remercier : Kuru pour le vava et Cali pour la signa ♥
| Re: Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet | Mar 09 Sep 2014, 20:08 | |
| Ne manquait plus qu'un orage foudroyant et ce serait une parfaite reconstitution d'une ambiance néolithique mystique. J'imaginais bien des gens timbrés danser en tenue de cérémonie autour de la table centrale, en balbutiant des paroles inintelligibles. Je regrettai aussitôt ces pensées lorsque j'entendis un grondement sourd lointain. Un regard à l'horizon me suffit pour comprendre qu'une tempête approchait, et celle-ci promettait d'être corsée. Franchement, on aura tout eu pendant cette drôle d'excursion. Enfin, maintenant que nous étions à deux doigts de trouver ce trésor -je le sentais au plus profond de moi, l'instinct sans doute- je me trouvais plutôt zen et même contente. Ma mauvaise humeur se ternit lorsque Eole découvrit un rocher d'aspect peu ordinaire.
- Hmm, il vaut peut-être mieux rester prudent, en effet, après ce qu'on a traver….
Iris choisit ce moment pour commettre ce qui aurait pu être une énorme bourde : elle recula, en proie à une stupide fascination pour un papillon, s'il vous plait, et appuya sur le rocher avec son pied. Putain. Nan mais, quelle cruche ! Je m'attendais à ce que le ciel nous tombât sur la tête, cette fois-ci. Après tout, tout y était : les menhirs, le mauvais temps, les emmerdes… ah si, il ne manquait plus que les romains. Bref, je sentis mes muscles se tendre comme des élastiques, tellement j'avais peur de ce qui allait suivre. Mais, fort heureusement, rien de mauvais ne se produisit. Pas d'insectes, de piège, d'araignées mangeuses d'homme, de serpents venimeux, ni de cascade. Bref, le bonheur. C'était tellement beau que j'avais du mal à y croire. La bleue n'avait pas déclenché de catastrophe ! Et même mieux que ça, elle avait ouvert un passage ! Sur le coup là, j'aurais pu l'embrasser sur la joue, si elle ne s'était pas avancer pour récupérer la boîte qui se trouait au fond de la petite cavité. Mes yeux s'allumèrent aussitôt.
- Ça y'est, ça y'est, tu l'as trouvé ! Alléluia !
J'étais à deux doigts d'entamer la danse de la joie. Mais je tombai des nues par la suite. En fait, le ciel s'était juste fait attendre. Car en réalité, ce que Hermès considérait comme un trésor était… un vulgaire collier de pâtes. Là, tout de suite, mon cerveau dérapa. Il manqua une case, littéralement. Je fixai l'objet avec des yeux dénués d'expression, incapable d'aligner 1+1=2. Puis au bout d'un certain temps je réalisai ce que cela voulait dire. DAFUUUU[…]UUUCK !!! NAN ! Je rêvais, c'était pas possible, PAS POSSIBLE autrement. J'avais pas fait tout ce chemin pour CA… Nan. Je refusais de le croire. Et pourtant… ni or ni argent à l'horizon, juste un bijou de bouffe sèche. Je pris machinalement l'objet quand Iris me le tendis en pestant contre son rival. J'étais trop sonnée pour réagir. Je tenais l'objet paume vers le ciel, le contemplais avec des yeux grands comme des soucoupes. Puis, je sentis un rire nerveux pointer le bout de son nez -façon de parler.
Toute la tension décida de s'évacuer par ce faux fou rire incompréhensible. Mais cela ne dura pas longtemps, car aussitôt vidée, ce fut la colère et la rage qui la remplacèrent. Mon visage se tordit en une grimace terrifiante, tandis que des flammes s'allumaient dans mes yeux. Je sentis plus que je ne vis d'autres flammes apparaître sur mon corps. Je DEVAIS me défouler, d'une manière ou d'une autre. Ma respiration se fit saccadée, et je serrai les poings, furieuse contre ce foutu dieu de malheur.
- Nan mais je rêeeeevee ! J'ai risqué ma vie une demi-douzaine de fois pour un COLLIER DE PATES ?! QUEL CON ! JE VAIS LE TUER, JE JURE QUE JE VAIS LE BUTER LA TOUT DE SUITE ! CONNARD, GAMIN, ENFOIRE DE MES DEUX !
Et je continuai ainsi mon flot d'injure, tandis que je balançai des boules de feu sur les rochers autour de moi, ce qui ne leur fit pas plus d'effet qu'une piqûre de moustique sur un rhinocéros. Mais là n'était pas le but de toute façon. J'imaginais un certain personnage, ligoté à chaque rocher, brûler vif sous ma colère. Connerie, pourquoi devait-il être un dieu ! Je l'aurais bien étranglé de mes propres mains. Lorsque je me fus un peu calmée, je m'immobilisai, la respiration sifflante, les poings tellement serrés que mes doigts blanchissaient. A cet instant précis, plus rien, vous m'entendez, PLUS RIEN ne pourrait me faire réagir. Rien ? Non. Une chose, une seule chose, qui décida de me pourrir d'avantage la journée pour m'achever. La pluie.
Elle se déversa telle un torrent tombé du ciel. C'était une véritable douche, et mes cheveux écarlates furent immédiatement trempés. Déjà qu'ils avaient souffert, alors là… Cela me fit l'effet d'une douche froide. Haha, très drôle. Bref, je clignai des yeux, surprise qu'une merde de plus puisse m'arriver. Mes flammes s'étaient éteinte aussitôt bien sûr. Je repris vite mes esprits et me mis à piétiner le sol devenu boue sous mes pieds.
- Ah nan mais C'EST PAS VRAIIII !! Pas la pluiiie je déteeeeeste la pluiiiie !! Maudit soit ce Herma ou je sais plus qui là, je le haiiiiis !
Sur un point au moins, j'étais sur la même longueur d'onde qu'Iris, vous le croyez ça ? Je ne désirais pour rien au monde rester une minute de plus dans ce foutoire pas possible. Aussi j'invoquai un portail, mue par une énergie surprenante. Puis je me tournai vers Eole.
- Désolée mais moi je m'en vais, j'en ai MA CLAQUE de vos histoires merdiques. Ne me mêlez plus de vos affaires divinement emmerdantes.
Je m'apprêtais à passer le cercle lumineux, mais une pensée me retint et me fit me retourner vers le pauvre homme qui, je le savais bien au fond de moi, n'y était pour rie là-dedans, mais bon, il me fallait bien reporter ma frustration sur quelqu'un !
- Ah, et ravie d'avoir fait votre connaissance, même si j'aurais nettement préféré d'autres circonstances. Adieu !
Je précise que le dernier n'était absolument pas destiné à faire un jeu de mot pourri, mais bon. Je lui fis un signe de la main en guise de salutation et me dépêchai de quitter ce lieu humide et détestable. Enfin c'était un pléonasme. Pour moi, tout ce qui était humide était forcément détestable. Blaze me vit appraître dans le salon, échevelée, trempée, et furieuse comme un taureau. Autant vous dire que toute cette aventure n'avait fait que renforcer, à une nuance près, deux points : je détestais la pluie. Et, à deux -ou trois ?- exceptions près, je ne supportais pas les dieux. |
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| Re: Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet | Sam 20 Sep 2014, 20:01 | |
| Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet
J'avais raison d'être prudent, Iris ne faisait que confirmer mon idée en hachant la tête, puis elle a été distraire par un papillon et c'est moi qui suis un peu lunatique, elle n'était pas mal dans son genre, cousine mignonne. C'est ainsi que par le plus grand des hasard, elle appuya sur le bouton alors que cette dernière avait dit de ne pas touché, je me frappais le front. Pas trop fort, mais je marquais ainsi mon agacement, je suis un jeune dieu, mais je ne fais pas toujours le gamin comme ça. La pierre laissa place à une crevasse dans laquelle était une petite boite. Elle rage puis nous montre un collier de pâtes, j'hésite entre rire et rager comme un fou. Elle donne le collier à Shama, elle peste encore contre Hermès, il y a de l'amour dans l'air, moi je le dis. Elle s'envole, comme si rien n'était, ces marches à se plaindre, c'était fini. La fille aux cheveux rouge se mit à rire, mais c'était nerveux, elle commença à crier contre l'autre dieu messager, heureusement, j'avais couvert mes oreilles dans léger vent pour atténuer les décibels de ses jurons contre mon cousin. Elle continuait à l'insulter de tous les noms, ces mortels ont imagination débordante tout de même. Puis la pluie, je tendais la main réceptionnant l'eau dans le creux de ma main, un nuage de pluie que le vent avait mené jusque ici, comme pour me calmer et énerver la demi-déesse. Un portail s'ouvrant sur l'île vint à la jeune fille comme si elle en était responsable, peut-être qui sais. Elle s'excusait pour son humeur massacrante, elle n'aimait pas les dieux et leurs histoire, mon ego divin en prenait un coup, mais je souriais, elle semblait m’apprécier dans une certaine mesure. Furieuse elle traversa lae halo de lumière, le collier de pâtes sur le sol, je venais le ramasser, en me promettant de lui envoyer en pleine face. Je laissais la pluie trempé mes vêtements, je m'envolais avec grâce dans le ciel, jouant avec la pluie quelques secondes, cette aventure avait été distrayante, à défaut de lui avoir rapporter de trésor. Il avait un magnifique souvenir à la place. Ce n'était qu'une compétions entre les des dieux, ils s'aimaient, ah les gens sont parfois bouchés, faudra que j'en parle à Aphrodite tiens, je parie qu'elle trouvera cette histoire drôle, ouais, il me restait plus qu'à rentré mais où, pas chez ma femme, chez quelqu'un, mais qui ? J'avais envie de squatter chez quelqu'un. Je trouvais cette idée très bonne reste à savoir qui accepterai un beau rouquin à ses côtés, n'importe quel mortel bien sûr, allez, je venais d'une aventure, j'étais un peu mouillé, je vais plaire comme ça. Attention, le bombe sexuelle arrive bientôt, d'un coup de vent, je m'envole dans les cieux de plus en plus vite, un portail vint à moi comme pour écourter mon voyage avec lui une mortelle des plus séduisante. Je lui sortais mon sourire charmeur et mes beaux sourires et k'avais un toit pour la nuit, bien que l'hôtel était peu pouilleux.
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| Re: Rien ne vaut une chasse au trésor en plein juillet | | |
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