Quelques bouleversements dans les forges ( Apollon- Eole)
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Quelques bouleversements dans les forges ( Apollon- Eole) | Sam 09 Aoû 2014, 23:15
Au coeur de la montagne, certains le savaient et d'autres avaient le toupet d'ignorer se trouvait la plus belle et la plus grande forge de la Cité. Plusieurs armes, armures, matériaux nécessaires à la construction d'édifice avaient vu le jour au sein de ces flammes éternelles. Toujours en activité, les cendres ne se trouvaient jamais au repos et finissaient par noircir jusqu'à devenir aussi noir que du charbon. Il y avait de quoi être ébahi par une activité aussi prospère et intense. Héphaïstos était un dieu laborieux dont les oeuvres étaient toutes des réussites tant au niveau de la solidité que de l'esthétique. En son domaine, il était imbattable,mais il possédait surtout quelque chose que'Arès ne pourrait jamais obtenir et qui le rendait furieux : une alliance avec la belle Aphrodite, sa bien aimée. Il jouait le frustré et se permettait bien sûr bien plus que de croiser Aphrodite, leurs rencontres étaient tout aussi intenses que toutes ces flammes réunies. Dans le fond, Arès aimait se dire que ce dieu n'avait rien pour lui et cela l'aidait à aller mieux. Comme sa mésentente avec ce maudit frère était plus que connue aussi bien son existence que les raisons de cette animosité,on décida de l'envoyer dans ce lieu qu'il détestait au plus haut point : le domaine même de cet empêcheur de tourner en rond.
Il eut beau faire plusieurs fois le tour de tous ces fours, nulle trace de l'hôte des lieux. Héphaïstos avait dû sortir. Tant mieux en un sens car cette idée n'était pas de lui de base et il ne se voyait entretenir une conversation avec lui. Comme il se savait seul, il se mit à déplacer des gros rochers pour bloquer l'arrivée des coulées de lave du volcan. Les forges se refroidirent pour la première fois depuis longtemps. Satisfait, il allait continuer de mettre sa petite touche personnelle à la forge,quand il lui sembla sentir des présences se rapprocher. Il n'avait nullement peur ce n'était pas cela, limite juste pour provoquer il aurait continué si cela avait été l'hôte de lui en prenant son air de" je refais ta décoration, il y en avait besoin". Arès avait juste ce besoin plutôt élémentaire de savoir qui pouvait bien passer... et s'il y avait moyen de se divertir avec cette personne. Le dieu de al guerre se mit à partir à la rencontre de cette première personne qu'il avait entendu non loin de lui. Le pas était léger... délicat,déjà ce n'était pas Héphaïstos, il n'avait pas cette aisance d'une démarche soignée. En même temps quand on regardait ce lieu, cela ne respirait pas l’élégance. Il s'imagina qu'il s'agissait peut-être d'une femme avec qui il pourrait "échanger" quelques civilités. Oui, Arès pouvait être un peu civilisé, bon c'était une définition de la civilité bien particulière.
" Alors,on se cache ?", se moqua t-il en se disant bien que la personne comme lui venait peut-être de saisir qu'elle n'était pas seule...
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Re: Quelques bouleversements dans les forges ( Apollon- Eole) | Dim 10 Aoû 2014, 17:03
Quelques bouleversements aux forges Apollon ▼ Arès ▼ Eole
Le ciel immense comme seul lieu de divertissement, je m'aidais du vent pour me déplacer dans cet endroit que je partageais avec mes amis les oiseaux, je descendais doucement de ces lieux pour me poser sur la montagne où se cachait la forge de mon cousin difforme. Si il y avait un dieu qui devait regretter sa place au panthéon, ça devait bien être lui. Qui plus est, il était régulièrement trompé par sa femme, une dame très sympathique avec laquelle je m'entendais assez bien. Je passais une main dans mes cheveux, laissant le vent balayé ma superbe rousseur. Je soulevais un sourcil en entendant des bruits venant de la grotte. Je me demandait si le dieu était là, il pourrai me forger une arme digne de mon rang peut-être. Confiant, je me disais que je pourrai discuter avec lui de choses et d'autres. Donc j'entrais sans me douter ce qui m'attendait. Je marchais prudemment gracieusement, je suis comme le vent discret et silencieux sauf quand il soufflait fort. Le bruit se faisait plus intense. Qu'est qu'il foutait bon sang, je sentais un frisson me parcourir, ce n'était pas cousin difforme, un voleur, si c'était un mortel, je le punirai comme il se doit. C'est là que je reconnaissais ses cheveux blanc, son teint blafard et surtout son attitude que je qualifierai de très arienne. Cette expression n'était pas volé, il représentais bien la guerre sous toutes les coutures. Ce dernier parlait avec assurance. Je souriais sortant de ma cachette qui n'en était pas vraiment une, mais soit. J'affichais un grand sourire digne de l'homme que je suis.
-Je n'était même pas caché cousin, c'est toi qui était trop occupé à foutre la bazar que tu ne m'as même pas entendu entrer. Quel bon vent t'amène dans ses lieux ?
Je ne savais pas ce qu'il cherchait à faire, mais je suis sûr que cousin difforme n'appréciera pas. Arès avait refait la décoration, déjà que la forge devait avoir un ordre spécial pour le dieu forgeron. Je mettais les mains dans mes poches, attendant sa réponse. Je me demandais bien ce que le dieu de la guerre voulait de cousin difforme, à part nous, je sentais une présence disons-le plus raffiné, enfin à côté de dieu de la guerre, ce n'était pas compliqué d'être plus classe et raffiné, mais j'avais rien contre le rival d'Athéna. Je connaissais que trop bien sa réputation. Et elle n'étais pas toujours teinté de rose. Je vérifiais un instant que mon bandeau ne glissait, j'avais pris un différent pour l'assortir à ma tenue du jour. Je portais encore et toujours des vêtement légers, mais qui recouvrait le plus possible mon corps bien fait. Je me tournais cette présence était là, Arès n'était pas le seul dans cet endroit, qui se cachait encore dans ses lieux, mortel ou divin ? D'après l'aura, je penchais pour le divin. J'avais de grande chance de croise deux divin en une fois, au moins, je pourrai voir comment il allait interagir ensemble, ça promettait de longues minutes passionnantes.
Re: Quelques bouleversements dans les forges ( Apollon- Eole) | Lun 18 Aoû 2014, 16:09
Quelques bouleversements dans les forges
Arès ∞ Eole ∞ Apollon
« Prendre soin de ses armes même dénuées d’usage est aussi un art ». En ce beau jour, il venait admira ses précieuses flèches. Les faisant tournoyer de ses deux doigts, le divin des arts posa ses yeux sur chacune de leur pointe. Des pointes si frêles et pourtant si violente, que planter cette acier dans une chair pouvait s’avérer mortelle. Apollon se trouvait sur la magnifique île céleste, il avait eu vent d’une forge menée par des Cyclopes. Des acolytes de ce cher Héphaïstos qui était d’ailleurs, l’œuvre de ceci. Le Dieu des arts fut épris par l’ennuie, il contemplait les flammes qui brûlaient la matière, ses yeux semblaient passionnés par cet art ardent. Le feu était l’élément artistique le plus terrifiant si l’on faisait allusion aux flammes de l’Enfer ou encore au Soleil, mais il était du même le plus attirant pour notre cher Blondin. Car contempler les flammes lui faisait passer ce temps qui semblait si long et un peu trop calme à son gout. Un bâillement s’annonça, alors il plaça furtivement sa main devant sa bouche pour finalement croiser les bras sur son torse.
Installé sur un des plans de travail loin de l’entrée, il se trouvait en tailleur et continua d’admirer le travail des Cyclopes, quand des auras se sentir. Le Divin tendit ses bras et maintenu une emprise sur ses chevilles croisées, se redressant lentement, il commença à pencher sa tête en faisant face à l’entrée. Couvrant délicatement sa présence, il plissa les yeux et voici que se dressèrent des roches qui vinrent stopper les circulations de laves. « Diantre j’oubliais ces ardentes cascades ! », et bien oui la forge détenait un volcan qui n’intéressait gère Apollon, d’où le fait qu’il en avait oublié l’existence. Des bruits s’annoncèrent bien après, un intrus ? Du tout très cher, l’aura dégagée était celle d’un divin, mais lequel était assez bruyant pour causer tout ce vacarme ? Un soupir fut poussé, alors qu’il sentit une seconde aura divine. Alors pendant que les voix de ses derniers résonnèrent, le divin qui –, en plus de son arc et ses flèches – avait fait le déplacement avec un violon, vint sans bruit vers ses auras et de là, surprise. Quoique non, évidence voyons. Qui d’autre que le grand Arès pouvait causer de telles absurdités ? Trouvez donc les autres amants de la belle Aphrodite et nous en reparlerons. En sa compagnie, Eole le Dieu du vent, ceci était une surprise en revanche. Se posant de nouveau en tailleur sur un plan de travail, le divin orna un sourire et fermant les yeux, il se mit à jouer un morceau des plus tristes « la marche funèbre de Chopin », marquant assez bien l’erreur de son frère pour avoir prit son cousin pour une femme. Ceci lui permettait également d’attirer leur attention. Achevant la dernière note en dix secondes, il ôta le violon de son menton et passa l’archet derrière sa nuque.
Apollon ❝Salutations mon cher frère Arès ainsi que ce cher cousin Eole.
Une chose le fit doucement rire, Arès était en manque de demoiselle à effleurer vu cette action. Pourtant, il était bien ici pour chercher des noises à Héphaïstos. Quant à Eole, en quoi cet endroit pouvait l’intéresser, il avait le ciel à lui seul pourquoi diantre perdait-il son temps ici. A bien y voir, Apollon de même n’avait aucun intérêt à se trouver ici si ce n’était pour ses armes.
Apollon ❝Je ne vous savais pas si éperdu de tendresse mon frère, la magnifique Aphrodite ne vous suffit-elle donc plus ? Pauvre Eole, ce malentendu semble tout de même vous avoir amusé.
Apollon avait posa son regard sur Arès puis par la suite, Eole. Il se devait d’accorder son attention de part égal à l’un comme à l’autre.
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Re: Quelques bouleversements dans les forges ( Apollon- Eole) | Mer 08 Oct 2014, 11:40
Quand Arès vit Eole, il soupira en se disant que cela aurait pu être mieux, mais qu'il s'en satisferait vu les circonstances. Autour d'eux, les coulées de lave léchaient le rocher qu'Arès avait posé pour freiner la production. Le rocher ne tiendrait sans doute pas longtemps, il s’agissait tout de même d'un âtre puissante : celle d'un volcan. Mais lorsqu'il avait vu que cela ralentissait en plus de causer quelques dégâts, il ne s'était pas privé. Héphaïstos ne se privait pas pour se déclarer l'époux de sa bien aimée alors bon il fallait lui rendre la monnaie. Revenons à cette rencontre, il vit Eole dans une tenue encore renouvelée, enfin il était un bien piètre témoin, car il ne le croisait pas tant que cela au final.
" Ce n'est que toi, ahlala j'oubliais qu'à chaque brise, tu n'étais pas loin. Ce que je fais ici, visite de courtoisie. Cela faisait longtemps, il fallait bien marquer le coup. Arès faisait son presque courtois, ce n'était pas dans ses habitudes. Tout simplement, parce qu'il s'échauffait et qu'il était déçu de voir que ce n'était pas une charmante demoiselle qui aurait pu rendre ce lieu plus agréable. Il ne détestait pas Eole, loin de là, il ne le connaissait pas tellement et il l'aurait bien assez remercié pour toutes ces fois où il avait eu le vent dans les cheveux et tous ces inconforts liés à cet éléments. Le vent ne servait à rien sauf à pousser les navires des hommes et rien que pour ce fait, il avait du mal à concevoir que l'on puisse accorder de l'importance au vent. Le vent poussait les nuages, ce qui ne donnait pas grand chose au final : toujours le même paysage. Les moulins tournaient par son action, mise à part donner du pain à ces insectes que l'on nommait humains, c'était aussi inutile. Enfin, pour le moment il n'avait rien à lui reprocher mise à part qu'il ne comprenait pas qu'il puisse aider ceux d'en bas parfois...
"Alors toujours à glander Eole ? "
Vous l'avez compris, il le prenait pour une feignant de premier ordre. Même sans le connaître il s'était déjà fait une petite idée du personnage et comme son caractère le poussait à agir de la sorte, il le disait très ouvertement. Il le regardait en massant ses cheveux aussi gris que sa morosité que son ennui, enfin déjà il n'était plus seul. Il espérait bien se distraire en provoquant son cousin qui avait eu l'idée de se trouver là en sa présence.
"Donc pas trop dur...?"
D'un coup et ça c'était très mauvais, il entendit la marche funèbre... Non pas Apollon pitié pas lui... C'était bien un des dieux qu'il avait la veine de souvent croiser. Arès croisait souvent ceux qui lui donnaient le plus de mal et Apollon était l'un d'eux bien qu'il n'arrivait pas à l'agacer autant qu'Athéna. Eole avait pu voir son changement d'attitude d'une mine moqueuse à une mine ennuyée. Un dieu de la guerre ne fuyait pas face au danger, car ce type c'était bel et bien un danger... S'il se retrouvait entre deux feux, ce n'était absolument pas bon. Il préférait avoir le contrôle de la situation et là face à quelqu'un qu'il ne connaissait pas tellement et qu'il voulait tester les limites et l'autre qui n'en avait pas. Cela présageait une sacrée bataille. Dans un sens, Arès avait hâte de se confronter à tout ceci, cela lui rappelait un peu le combat physique, sauf qu'il ne s'agirait là que d'une joute verbale.
" Tu peux retirer cher, ne te sens pas obligé". Arès l'abordait d'un ton sec sans appel, tout simplement parce qu'il le savait, il savait que ce personnage lui en ferait baver alors autant passer la phase de courtoisie et attaquer le reste. Il tira un peu sur son col pour remettre sa cape droite et ainsi avoir plus belle allure. Tout était sujet à des remarques chez Apollon ... La beauté Tss... Ne disait pas d'une rose qu'elle a des épines, hé bien Apollon était cette rose, oui exactement, une rose qu'il faudrait vite couper. Il avait remarqué qu'Eole ne semblait pas trop à l'aise avec son bandeau, mais ça il s'en occuperait plus tard. Décidément, il venait toujours au mauvais moment cet Apollon.
" Que fais-tu ici ? Le volcan t'inspirait ?"
Dès qu'il arriva ou presque, il se mit à faire une sorte de rire discret. Arès leva un sourcil perplexe, cette expression l'agaçait, car il ne parvenait pas à prévoir ce qui sortirait de cette bouche..... et il en resta un instant figé. De quel droit invoquait-il Aphrodite ici ? Oui, il avait pris Eole pour une fille et après. Détachant son regard des deux, il pointa ensuite son index vers Apollon et lui répondit :
"Mes relations ne te regardent pas. Et Eole si tu marches comme une fille, tu peux t'en prendre qu'à toi. Fais gaffe, on va voir ton oeil."
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Re: Quelques bouleversements dans les forges ( Apollon- Eole) | Mer 08 Oct 2014, 16:29
Quelques bouleversements aux forges Apollon ▼ Arès ▼ Eole
Un musique vint à mes oreilles, une harmonie si compliqué, ça ne pouvait être que Cousin poète, comme quoi tout pouvait arrivé, le dieu de guerre et celui de la guerre dans une même pièce. Tout les deux les cheveux clairs, en voyant les cheveux blonds de son cousin, je me disait qu'il avait beaucoup de point commun avec tonton sexy, qui plus est, il était presque aussi beau que le dieu des dieux. Je l'observais l'air de rien, il joua une musique triste. Après cette dernière il nous saluait. Un drôle de personnage. Il rit ensuite, vraiment, j'avais de quoi m'amuser, un fonceur et une lyrique. Oui, je m'amusait, il me prenais pour une femme soit, c'est pas cela qui va me vexer, du moins pour le moment. Arès avait relever ma fonction, je souriais, il s'inventait clairement des excuses, c'était presque trop facile de la démasquer, parfois ce personnage manque cruellement d’inventivité, mais soit, on était pas sur un champ de bataille, loin de là. Il lâchait que je foutais rien, j'ai eu un rire amer avant d'envoyer un vent en pleine figure, je savais ce que je risquait à provoquer monsieur je suis au panthéon. Je faisais pas grand chose à ses yeux, mais cela ne voulait pas dire que je ne faisait rien. Je roulais des yeux. Il avait insisté, pour me provoquer, heureusement que cousin poéte était venu, cela rendait les choses plus intéressante, j'avais le bonheur de jamais participer aux conseils donné au panthéon, je ne suis qu'un dieu mineur, pourtant mon travail était impossant et ce malgré ce que pouvait penser Arès. Il le provoquait lui aussi, à sa manière, donc c'était assez grossier. On serait dans un Rpg, mes cousins auraient fait respective le barde et barbare. Ces classes leur allaient bien. Je souriais en imaginant cousin albinos en pagne. J'écoutais la suite, le barbare s'acharnait sur le barde, il le voyait mal dans un volcan, en voyant ces armes, il aurait pu deviner comme moi la présence dans ces lieux, mais le dieu de la guerre est ce qu'il est. Tous ces millénaires ne le changeait pas. Il s'emporta sur la petite provocation.
-Je marche comme j'en ai envie, préfère avoir une démarche aussi légère que la brise que de rameuter les gens en ayant une démarche digne d'un tambour de guerre, ce qui est plus ton style, cousin albinos. Merci pour ton avertissement, je le remets correctement, je pense que la malédiction ne touchera pas, mais on sait jamais avec tonton sexy. Je suis ici pour avoir moi aussi une arme, j'ai beaucoup hésiter et me voici en ces lieux pour demander au maître de ces fournaises de me construire une arme. Le vent s'engouffre parfois dans les grottes, ma présence ici n'est pas une gêne en soi. Ma présence ici est aussi légitime que vous deux.
Je serrais le bandeau, il ne tomberait plus avant un moment. Mon œil vert se baladait dans la grotte, elle me rappelait celle que j'avais autrefois stocké quelques vents. C'était comme un retour aux sources pour moi. Mes débuts en tant que dieu. J'aimais beaucoup les grottes, c'était mes endroits favoris pour dormir. Car dormir en un seule endroit était impossible, un jour j'aimais la douceur, l'autre la robustesse. Je souriais en voyant que je rejoignais un peu Apollon dans cette bataille, il n'avait pas qu'à me provoquer en disant que je foutais rien. Oui, j'avais été vexé, il est vrai que j'ai pas mal de temps libre, ce qui me permet de croiser quelques mortels intéressants. Mais cela ne voulait pas dire que je ne faisait rien, et puis quoi encore. J'étais le seul sans arme, mais j'avais des pouvoirs, sûrement pas assez puissants contre les dieux. J'étais qu'une vague plaisanterie comparé à eux. Je lâchais un petit soupir.
-Je ne glandais pas comme tu vois, si tu crois que le vent est une chose facile, c'est là que tu te trompe. Quand à toi, Apollon, une musique plus joyeuse serait assez approprié, bien que tu souhaite semé la discorde avec ton instrument, qui sort un joli son d'ailleurs, le son et le vent vont de paire.
Même si parfois j'inspirais des artistes, je laissais ce domaine à mon cousin qui avait hériter de la chevelure de son père, a quoi aurais-je ressembler si comme lui j'avais pris la pigmentation de mon paternel. Ce n'est pas très original blond, j'aurai sûrement trouver un moyen pour me démarquer des autres dieux. J'aimais ma particularité, mes cheveux roux étaient uniques
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