| | Voilà ce qu'on appelle une belle rencontre [PV Lucille Deepdow] | Sam 28 Jan 2012, 16:59 | |
| Il devait être... 6 heures du matin lorsque Dino se décida à fermer son livre. Enfin, en même temps il venait de le finir alors le ranger était la suite logique des choses non? En parlant de ce livre il était un des seul à l'avoir garder aussi longtemps sans pose. Une histoire d'anges et de couleurs. Vraiment spéciale mais intéressant. Regardant vite fait le nom de l'auteur, il se dirigea vers sa bibliothèque. Le jeune homme se frotta la nuque nerveusement, acheter une nouvelle étagère devenait urgent parce que celle-ci commençait vaguement à être pleine à craquer. Forçant un peu pour que l'ouvrage trouve sa place au milieu des autres gros volumes de ses auteurs préférer, Dino entendit un léger craquement. Regardant d'un oeil critique le meuble face à lui, si ça continuait tout allait se casser la g... Figure par terre. Un petit soupir traversa ses lèvres pendant qu'il posait ses lunettes sur la table basse, combien cela allait-il encore lui coûter? À l'instant même où le verre de l'objet entra en contact avec le bois, une vague de fatigue frappa Dino. C'était impressionnant de voir l'effet qu'avait le suspens sur le corps d'un être vivant. Baillant à s'en décrocher la mâchoire le jeune homme se frotta les yeux, ceux ci légèrement rougis par la sa lecture prolongée, et se laissa tomber sur le canapé. Une sieste s'imposait et une flemme incommensurable de se diriger vers sa chambre se fit ressentir. Il savait pertinemment qu'il allait dormir que peu de temps mais mourir, et encore plus de fatigue, n'était pas dans ses plans ni maintenant ni dans les années à venir. C'est donc une dernière pensée pour son roman que Dino sombra doucement au pays des rêves.
Et effectivement son sommeil ne dura pas longtemps, une poignée d'heures seulement, mais lui suffit amplement. C'est donc frais comme pas un que le jeune Italien se leva pour se préparer un expresso (Origine italienne oblige) qu'il bu calmement, appréciant la chaleur du liquide noirâtre et son goût amer que peu appréciait sans ajouter sucre ou autre. Le café finit de booster l'énergie de Dino qui partit vite vers la salle de bain où il pris une douche rapide. C'était décider il fallait qu'il sorte un peu! Il allait pas finir sa vie seul, sans amis non mais et puis quoi encore. Attrapant le sèche cheveux il sécha vite fais sa chevelure noir corbeau, ne prenant ensuite pas la peine de les coiffer puisque même s'il forçait rien ne changerai. Une serviette autour de la taille et sa brosse à dent dans le bouche le jeune homme se dirigea vers sa chambre et attrape un jean noir ainsi qu'un t-shirt de la même couleur. Sombre certes mais c'est yeux n'en ressortirait que plus. Retournant dans la salle d'eau il acheva le nettoyage de ses dents et ressortit de la pièce. Cela faisait un moment que Dino n'avait pas mit les pieds au parc ainsi il décida sur un coup de tête de se diriger vers cet endroit si reposant. Motivé comme un boxeur le jeune homme attrapa un sweat noir et blanc, ses baskets et sortit de chez sans oublier de fermer la porte à clé.
Dino avait décréter à son arrivée ici qu'il ne mettrait pas un seul pied dans l'ascenseur. La raison ? C'est simple. Depuis le jour où il était rester enfermé dans une de ses boites en métal pendant près de 3 heures avec un homme au visage peu engageant le jeune homme avait décider que moins il mettrait les pieds là dedans mieux il se porterait! Et puis la sensation de poids au niveau du cœur le rendait malade. Cependant aujourd'hui le ciel n'avait pas l'air d'apprécier sa bonne humeur car les travaux de rénovation de l'immeuble avait commencer... Et évidemment les escaliers aussi avaient droit à leur coups de pinceaux. Grinçant légèrement des dents notre Italien décida d'affronter son horreur des boites de conserves... Ou plutôt ascenseur. Calvaire qui fut cours bien heureusement. Une fois un pied sortit il se remit à respirer, son sourire de bien heureux repris sa place sur son visage bronzé, laissant ainsi aux passants une jolie vue sur ses dents blanches. Dino prit tout son temps pour rejoindre le parc, admirant la beauté de la ville au passage. Lorsqu'il passa le portail du parc le jeune homme se senti un peu comme chez lui, les arbres qui peuplait ce lieu calme faisait ressortir sa moitié elfe. Marchant doucement à travers ce lieu calme et reposant, Dino avisa un arbre assez gros et composer de branche assez large pour supporter son poids. D'un mouvement souple et d'un petit saut le jeune demi-elfe attrapa la première, puis une seconde et ainsi de suite jusqu'à atteindre celle voulue. Une fois là haut, il se posa dos contre le tronc et ferma les yeux. Il se sentait bien... Même si rencontrer des gens du haut d'un arbre n'était pas spécialement pratique. |
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| | Re: Voilà ce qu'on appelle une belle rencontre [PV Lucille Deepdow] | Sam 03 Mar 2012, 19:11 | |
| Une belle journée, c'est ce que je pensais passé aujourd'hui. Car oui, il faisait beau, très beau dans le parc d'où je me promenait. Après tout, j'étais sorti de chez moi pour me changer les idées. Donc nous disions donc que c'était une belle journée ensoleillée qui s'annonçait agréable, je regardais le ciel et les arbres sans me soucié de ce qui allait arrivé dans pas longtemps. En faite, je sais pas trop pourquoi je voulais sortir, une intuition sûrement, enfin je stressais à mort en se moment avec mon arrivé sur l'île et la peur du danger donc cette petite promenade devra au moins me remettre d'aplomb !
Je marchais donc gaiement dans ce parc en me disant qu'il n'y a rien de mieux que l'air pur de ce genre d'endroit pour évacué le plein de stress quand soudain, je remarquai une silhouette dans un des arbres. Et sans m'en rendre compte, une violente collision entre moi et le tronc de ce même arbre se produisit. Le choc fut si terrible que j'en tombai sur mon postérieur. La colère me monta au cerveau et je me mit a parler à l'arbre :
- Tu a osé entravé ma route saleté d'arbre ! Tu va subir ma colère ! … Et puis non, je suis pas venu pour me battre, ni pour parler avec une plante ... Dis-je en soupirant de ma bêtise
J'étais vraiment pas contente de cet arbre qui était devant moi, même en me rendant compte de ce qu'avais crier à l'instant était idiot et je me relevais lentement en essuyant ma jupe, avec un mal aux fesses pas jouasse. Je leva la tête vers la branche où se trouvait la silhouette en me demandant si je l'ai pas dérangé. J’attendais donc qu'il bougea pour le savoir. |
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