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 ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures.

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ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures. | Ven 16 Aoû 2013, 13:01




Il n'y a pas de coups sans blessures.


   ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures. 999003Icon1  ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures. 833923elliotHadrian & Elliot
« à l'hôpital »

Devant moi s'étalait l'obscurité des lieux peu fréquentables, les ruelles, de sombres trous béants dans lesquels ont s'enfonçaient sans même se dire que c'était peut-être un peu dangereux, que des méchantes personnes devaient y traîner. Certes, mais cette méchante personne, eh bien c'était moi, tapis dans les ténèbres des coins de mur en briques. Je n'ai jamais dis que j'étais un beau petit mage tout gentil, ça s'est le rôle des gonzesses - pas celles comme Leah, menfin passons. Du coup, je m'arrête gentiment dans le coin de la ruelle que j'ai pris l'habitude de squatter en regardant attentivement le moindre des petits recoins, les derrières de poubelles. Ouais, parce que la dernière soirée que j'avais passé ici, un morveux s'était caché derrière l'une d'elle et m'avait espionné. En même temps, je m'en foutais un peu, mais j'étais pas content quand je l'ai découvert, pleurant sa vie parce qu'il ne retrouvait plus ses parents. Naméoh, il faudrait pas me prendre pour un con non plus ! Je savais trop bien que ce n'était que du bluff pour mieux s'en sortir vu la tête au carré que je venais de faire à un type qui m'avait cherché. C'pas ma faute s'il était entré dans mon bout de ruelle, celui qu'on occupe moi et mes copains ; c'est notre territoire. Oui, bientôt on auras surement le droit à un combat de gang de rue si ça continue .. et puis, ça seras pareil que sur terre - à ce qu'on raconte. D'ailleurs, d'après les histoires de tous ceux qui y ont passé quelques dizaines d'années, j'en viens presque à me dire que ma petite vie banalement merdique est mieux que celles qu'on peut vivre là-bas, presque hein. En gros, aujourd'hui c'étais complètement mort. y'avais personne dans la ruelle et je doutais réellement que quelqu'un arrive ; je suis toujours le dernier sur les lieux quand on pars faire quelque chose. Donc, je me ramasse tous seul pour faire je ne sais quoi de ma vie que j'ai pas.

Hadrian : Ce qu'on peut s'emmerder ici.

Je m'assois finalement sur le dessus d'une poubelle, avec la très mince intention de rester là quelques minutes, le temps de trouver de quoi de mieux à faire que j'entends déjà un bruit vers la droite. Non, j'ai pas des oreilles bioniques, mais je suis certain que j'ai entendu quelque chose.

Hadrian : Eh. Y'a quelqu'un ici ?

Ça a pas l'air, puisque j'obtiens aucune réponse, sauf que je continue de me dire que je suis loin d'être débile, et que j'ai pas créer des bruits par ma simple volonté d'esprit. Je relève à nouveau les yeux vers les alentours avant de me laisser glisser de mon siège improvisé, je pense sincèrement qu'à la hauteur du sol, on es mieux placer pour regarder autour. Je commence à marcher en observant les coins sombres de cette ruelle, je commence à la connaître comme le fond de ma poche - ou presque. Puis, plus rien. Je sens quelque chose de dur m'attaquer la tête, d'un puissant coup bien placé.


-- ♥ --


Ne jamais dire que l'on s'emmerde dans une ruelle, c'est une chose que je souviendrai longtemps. J'ouvre à peine les yeux que je réalise que je suis étendu dans un lit profondément blanc, la chambre entière est de cette couleur à donner mal au crâne. C'est d'ailleurs ce qui se passe, une petite crampe au cerveau alors que je ne prends pas mon temps pour m'asseoir et regarder où je suis.

Infirmière : Vous êtes enfin réveillé, monsieur James ?

Je ferme les yeux deux secondes, à peine plus, puis lorsque j'ouvre à nouveau, je suis encore sur le dos, une serviette humide sur le front. C'est quoi ce délire ? Je suis peut-être réellement fou, mais cette femme aux habits bleus n'est plus là pour m'expliquer. Je suis au fond de la pièce, des bruits parviennent à mes oreilles, mais ils semblent tellement loin que j'ignore d'où ils sortent. Je m'assois péniblement au bord du lit dans lequel j'étais étendu avant de finalement ouvrir les yeux une ultime fois. Un rideau blanc cassé sépare mon lit ... de quelque chose que j'ignore puisqu'il est fermé. Je passe ma tête l'autre côté du rideau pour découvrir une tête bleue allongé dans le second pieu de la pièce. Bon, ça va, j'ai bien compris que j'étais à l'hôpital, mais ça fais combien de temps que je dors ? Une semaine ? Deux jours ? Deux heures. J'en doute. Je me racles la gorge et fronce légèrement les sourcils.

Hadrian : Hé, toi !

Oui, c'est très convainquant comme début de conversation, mais j'avais pas mieux en ce moment. J'ai une migraine qui me martèle le crâne, des blessures un peu partout sur le corps et un pansement sur mon avant-bras droit, sur l'autre une perfusion ; donc, on me pardonne ma stupidité, merci.

Salem : Ils ne t'ont vraiment pas manqué !

Je sursaute en regardant autour de moi pour trouver la boule de poil orange soleil, il faut bien qu'il soit quelque pars. Ou bien j'imagine encore sa voix. Un mouvement provient du lit d'à côté, la personne vas surement se retourner pour me répondre, en espérant que son discours soit mieux que le mien.

Salem : Ça fais trois jours que t'es dans cet état, mon pauvre !
Hadrian : C'est bon, arrête de te moquer et sors de ton trou, vermine.

À coup assuré, il ne me répondras pas toute suite, mais c'est moins sur pour la tête bleu.

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Elliot S. McKenzie
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J'ai traversé le portail depuis le : 14/06/2013 et on me connaît sous le nom de : misha Mon nom est : Elliot Sullivan McKenzie Actuellement je suis : célibataire. Il paraît que je ressemble à : V (mystic messenger) + Originaux (zxs1103) + Cody Christian (IRL) et à ce propos, j'aimerais remercier : Kingyo la meilleure (signa) ET REYENN MY LOV IOIZFHZF (cs) ♥
Re: ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures. | Mer 21 Aoû 2013, 20:36


Merde. Merde. Ça faisait mal. C'était horrible; pas aussi horrible que d'autre fois, mais c'était franchement désagréable. J'avais l'impression que ma tête allait exploser. Sensation dégueulasse. Mes yeux sont fermés, alors j'ai l'impression que je suis entouré de ténèbres; mais je sens le sol contre mon dos et le mur contre la paume de ma main. D'ailleurs, je frappe le mur tellement mon crâne me fait mal. Avec un peu de chance, on va m'entendre, et quelqu'un de la pièce d'à côté viendra voir pour m'emmener aux urgences. La force me quitte de plus en plus. Merde. Les coups sont de moins en moins audibles. Je vais vraiment rester ici? Putain, je sais pas ce qui m'arrive, mais si je reste par terre je sens que ça va mal finir cette histoire. Un cri sur-aigu parvint à mes oreilles, alors que ma conscience commence à me quitter petit à petit. Si j’avais pu j'aurais soupiré de soulagement. Mais si j'aurais pu j'en serais pas là. J'entends vaguement la nana appeler de l'aide, et des pas s'approchent de moi. Une voix d'homme s'élève. Je sais que je la connais, mais j'arrive pas à mettre un nom dessus. Je sombre de plus en plus, assez lentement pour sentir des bras venir se loger sous mes cuisses et mon dos, et me soulever. J'entends mon nom. Plusieurs fois. Peut-être un écho.


Aïe. Mauvaise nouvelle: j'ai toujours mal. Bonne nouvelle: Beaucoup moins.  La  douleur est toujours présente mais en quantité assez respectable, ou du moins supportable. J’entre-ouvre les yeux, pour voir assez de blanc cassé super moche pour me demander ce que je fous en Alaska. Un peu de bon sens et je me dis que les seuls établissements à mettre autant de blanc cassé super moche sont les hôpitaux. Je sais pas trop pourquoi ils mettent que du blanc. Ou du jaune. Voir du vert pâle à la limite. Mais jamais on ne verra des murs rouge à pois verts avec des p’tits arc-en-ciel en haut. Alors que le blanc cassé, ça fout un mal de crâne pas possible, ce qui est pas mal con pour un hôpital. M’enfin bon. Je me redresse, en peinant légèrement parce que j’ai toujours mal aux bras à cause de la soirée, et jette un œil autour de moi. Mur – blanc cassés -, rideaux – blanc cassés -, lit – blanc cassés- et fenêtre. Confirmation ; je suis bien dans une chambre d’hôpital. Des voix me parviennent d’un côté du rideau – l’autre côté est ouvert sur un autre lit, avec un potentiel autre patient dedans, je sais pas, y a son rideau – et je me redresse entre un peu afin d’être stable, et tire le rideau d’un mouvement. Mon regard tombent sur les visages du blond, du brun, de l’autre brun et du mec aux cheveux blancs, assis sur des sièges et discutant à voix basses. Le blond se redresse d’un coup et se précipite vers moi, ce qui a comme effet de me faire reculer. Mes reflexes ont l’air d’avoir faiblis puisqu’il m’attrape les épaules entre ses mains avant de plonger ses yeux verts dans les miens.


    « Putain, Elliot ! Ça va ? Tu nous as fichu une de ces trouilles… T’aurais dus nous dire que tu te sentais mal ! »


Je clignai des yeux en essayant de tout mettre en place et de calculer ce qu’il venait de dire. Je me dégageai doucement, passant une main dans mes cheveux bleus.


    « Tss, si je savais que j’allais avoir un malaise je l’aurais dit…Vous auriez dû vous en douter, trop de monde, trop oppressif, y a forcément quelqu’un qui va se taper un malaise. Et Alan a rien arrangé en me forçant à boire autant…Si la nana m’avait pas vu je serais mort à l’heure actuel putain… »
    « La nana ? Ah, tu parles de Mana. Je crois qu’elle est partie juste après…Et c’est Alan qui t’as porté aussi, donc dis-toi qu’il a remboursé sa dette ! »


Je tourne la tête en lâchant un « tss » agacé. Parce que l’air de rien, Jack a pas tort. J’allais répliquer lorsque la porte s’ouvre sur une infirmière qui vient voir l’autre patient. Sans se douter du fait que les deux bruns la mataient, elle s’éclipsa derrière l’autre rideau puis revint deux minutes plus tard pour dire que j’avais besoin de repos et blablabla. ‘tain j’ai pas besoin de repos, le seul truc dont j’ai besoin c’est de sortir de là. Je déteste être enfermé, et qu’on me donne des ordres m’énerve entre plus, sachant que je suis pas le plus patient des mecs. Je me résigne à ne pas sauter par la fenêtre pour me barrer après les insistassions de Jack, et ils finissent par passer un à un la porte, en me laissant seul sur mon lit.



    « Hé, toi ! »


La voix me sort progressivement de mon sommeil, mais pas suffisamment pour que je me redresse directement. Un grognement finit par s’échapper de ma gorge alors que j’entre-ouvre les yeux. Je dois pas avoir beaucoup dormi depuis que les mecs sont parti, mais assez pour que la journée avance sans que je m’en soit rendu compte. Je me redresse lentement, une main sur le visage, l’autre sur ma cuisse, et me tourne vers le côté où la voix avait retenti. L’autre patient a du se réveiller, et a décidé de faire de même avec moi. Ma main quitte mon visage où se montre clairement mon énervement d’être emprisonné, mêlé à mon attitude généralement je-m’en-foutiste, et parcoure vaguement mon crâne en plaquant en arrière mes cheveux bleus. Je finis par lever les yeux vers l’autre garçon. Plutôt grand, peau clair, traits nets, cheveux bleus marines et yeux bleus un peu comme les miens. Bordel, il est super canon. Je cligne des yeux et m’assois en tailleur sur mon lit, les jambes sous ma couette, en fixant l’inconnu avec une pointe de curiosité.


    « …ouais ? »


Bah ouais, hein, il est p’têt sexy mais j’vais pas me mettre à causer pour autant. Pis c’est lui qui a commencé à me parler – en me réveillant, d’ailleurs – alors j’attends juste qu’il me dise ce qu’il a à me dire. Mais à force de le mater – huhu – , un autre truc me viens à l’esprit, et mon visage se radoucie un peu – très peu – en le regardant.


    « Et t’es qui, d’ailleurs ? »


Enfin, à par un autre patient, hein.


HRP; désolé pour le temps de réponse, je suis rentré avant-hier et mon ordi s'est arrêté deux fois, donc j'ai perdu deux fois mon RP presque finis @.@




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Re: ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures. | Sam 24 Aoû 2013, 21:07




Il n'y a pas de coups sans blessures.


   ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures. 999003Icon1  ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures. 833923elliotHadrian & Elliot
« à l'hôpital »

En ouvrant les yeux, je réalise que je suis encore dans une chambre de l'hôpital de skyworld ; bien sûr, parce que je n'ai rien d'autre à foutre que de perdre mon temps étendu dans un lit aux draps blancs cassés, dans une chambre morte avec quelqu'un que je ne connais pas. Je lui adresse finalement la parole, parce que ça commence à être chiant que de se parler seul, ou bien a un putain de chat qui n'écoute jamais rien. D'ailleurs, je n'ai plus envie de perdre mon temps avec lui, parce qu'il ne fait toujours qu'à sa tête de chat et qu'il m'énerve royalement en ce moment. Un énervement typique de celui que je ressens toujours quand je m'adresse à Salem, qui se contente de courber le dos, de cracher sur tout les étrangers qu'il croise, sans considération pour la relation que j'ai avec eux. Je regarde donc dans le coin de la pièce en espérant y découvrir un animal poilu, mais toujours aucune trace de ce félin mal léché. En gros, je retourne mes yeux en direction du garçon aux cheveux bleus ciel qui commence tranquillement à se relever , peut-être se retourneras-t'il pour me regarder et m'adresser la parole. Du moins, j'imagine qu'il finiras bien par ouvrir la bouche et j'entendrai sa voix , petite voix angélique pour aller avec son corps assez maigre comparé au mien. J'avoue que du coup, si on se met l'un a côté de l'autre, je dois bien faire deux ou trois fois sa largueur de corps rien qu'avec mon bras musclé.

Elliot :  … ouais ?

N'empêche, il est affreusement convainquant avec sa voix encore rouillée. Je viens de le réveiller, ne me demandez pas si ça me fait quelque chose, parce que sérieusement, j'en ai rien à foutre, j'avais juste pas envie de continuer à parler seul. J'ai besoin d'un peu de communication, de conversations avec des humains ; ou bien .. non, je veux simplement savoir depuis combien de temps je suis sans connaissance.

Elliot : Et t’es qui, d’ailleurs ?

Non, il n'y a pas plus direct quand même. Un peu plus et il me demandait ce que je foutais dans cet endroit, ce qui serait quand même assez ridicule. N'empêche, je balance mes pieds sur le bord du lit et les ballottes dans le vide avant de relever la tête dans sa direction pour lui répondre ; parce qu'il faut être gentil si je veux des réponses à mes questions.

Hadrian : Je me nomme Hadrian. Tu es ici depuis longtemps ?

À l’hôpital, je parle, mais j'ai l'impression qu'on vas me sortir ici une connerie béante, du style, je suis née à sanctuary ou quelque chose du genre. Oui, parce que les gens ils sont bêtes quand ils le veulent, sérieusement. Je ne sais jamais vraiment comment agir avec les gens, parce que j'ai pas l'habitude de discuter réellement avec eux. Je m'en tiens à ma petite bande d'emmerdeurs, et les autres d'habitude, je ne leur parle pas sauf s'ils viennent vers moi. On vas quand même pas s'éterniser sur le sujet de mon manque de popularité, de savoir vivre.

Hadrian : Non, plus sérieusement, ma question serait plus : Sais-tu depuis combien de temps, moi .. je suis ici ?

Salem se décide finalement à sortir de son trou et de faire une belle apparition en sautant sur le matelas dur juste à côté du garçon en face de moi. J'ose pas tellement lui poser un autre question, parce que c'est assez chiant de se faire poser deux milles questions sans avoir le temps de répondre. Je me gratte légèrement la tête en me demandant pourquoi est-ce que ça tourne autant là-dedans, j'entends même les battements de mon coeur dans mes temples, mais ça passeras.

Hadrian : Salem, putain. Descends de là !

Le chat courbe le dos, puis saute du lit voisin au tien avant de s'allonger comme si l'entièreté du matelas lui appartenait ; comme s'il avait le droit d'être là aussi.

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Re: ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures. | Mar 27 Aoû 2013, 04:28

Tss, ouais bon, ok. C'est pas la meilleure technique d'approche pour avoir une réponse aimable, mais...merde hein, quoi. J'viens de me reveiller, faites pas chier. Pis l'autre mec n'a pas l'air de réagire a mon irresistible sensualitée /BIM/. Quoique le fait que je sois fringué d'une horrible blouse blanche légère qui me fait un teint pale et qui tranche avec mes cheveux -après, ça peut servir de camouflage pour se barrer de l'hôpital, soyons obtimiste - y est peut-être pour quelque chose. Ouais nan, pas peut-être. Ça jure affreusement avec mon teint, et j'ai l'air encore plus petit - hum - et maigrichon - HUUM - . Je me frotte les yeux alors qu'il balance ses jambes hors du lit. Si ça t'amuses, écoutes. Il finit par relever la tête vers moi pour me répondre.
    « Je me nomme Hadrian. Tu es ici depuis longtemps ? »
Hadrian. Ouais, joli nom, ça lui va bien. Si j'suis ici depuis longtemps? J'viens d'arriver mec, je sors d'un malaise de soirée, pas d'un coma éthilique version longue durée avec cancer du poumon en bonus gratos. Hem, bref.
    « Ouais nan, hier soir, ce matin, 'fin pendant la nuit quoi, j'sais plus trop, j'étais claqué, bourré et surement drogué. Ah, c'est Elliot. Moi. C'mon nom Elliot. Tss, bref. »
Ouais nan mais je déblate que d'la connerie, je sais, ça va, mais! Je viens de me réveiller (le premier qui dit que j'ai toujours la meme excuse je l'explose) donc voila, taggle. Je regarde l'autre bg en attendant une réaction qui tarde pas franchement à venir.
    « Non, plus sérieusement, ma question serait plus : Sais-tu depuis combien de temps, moi .. je suis ici ? » « Euuh, ouais Nan. Nan mais j'sais pas du tout, juste que t'étais là quand j'me suis réveiller. 'fin pour la première fois. T'as pas d'mandé à une meuf en blouse? Ça doit savoir ça. »
Ouais bah mépris total des meufs et de l'autorité superieur, hein. J'suis comme ça, merde à la fin. J'allais rajouter un truc lorsque je sens un truc bondir sur mon lit. Je me retourne instinctivement, pret à...déguerpir à tout allure - pas très classe mais je te merde - et renonce directement en voyant qu'il s'agit juste d'un simple petit chat de rien du tout. Ok Elliot, instinct: 0. Je soupire, avec un exasperemment qui se voit a dix kilomètres a tout casser. Y a franchement des fois où je me trouve con. Mon amour-propre plus ou moins grand fait en sorte que ça arrive le moins souvent mais bon. Ça arrive. Hadrian passe une main dans ses cheveux - en fait il se gratte, mais c'est moins sexy - avant de parler.
    « Salem, putain. Descends de là ! »
Salem= chat. Chat = Affilié. Ok. Infos enregistrés. Le chat a l'air d'obtemperer - si tu veux mon avis, pas vraiment de son plein gré vu son attitude - et s'allonge sur le lit du BG. Genre c'est son lit. Ok. Cool la vie.
    « C'ton affilié?»
Ouais bah c'est bon hein. Il peut parler aux chats qui sont pas son affilié si il veut, ça va pas me deranger, mais je préfère être sûre. Je me gratte à mon tour la tête - ça va, hein... - avant de rajouter, après ma qiestion, une autre question. Deux en un.
    « T'as foutu quoi pour arriver ici toi?»




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Re: ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures. | Jeu 05 Sep 2013, 00:33


Je me mords la lèvre en relevant les yeux dans sa direction, je n'ai pas l'impression qu'il sait quoi que ce soit sur ce qui m'est arrivé. En même temps, je n'ai aucune idée du pourquoi il est ici, alors pourquoi ce serait-il questionné à mon sujet, il n'en a rien à faire de ma gueule. Je fronce légèrement les sourcils en le regardant, j'espère une réponse positive de sa part, qu'il me dise qu'il sait quelque chose, mais j'en doute réellement.

Elliot ♯ Ouais nan, hier soir, ce matin, 'fin pendant la nuit quoi, j'sais plus trop, j'étais claqué, bourré et surement drogué. Ah, c'est Elliot. Moi. C'mon nom Elliot. Tss, bref.

Pas très clair ce mec, mais je me contente de lui poser la réelle question. Je lui demande simplement s'il sait ce qui s'est passé dans mon cas, du moins, rien que de savoir s'il sait depuis combien de temps je suis dans cette chambre, oui, parce que je n'ai pas ma vie a passer ici et que personne ne viendras me chercher - ni me voir. En fait, personne ne s'inquiète pour moi parce que je ne rentre pas à la maison, mes parents sont habitués à mes absences sans avertissement, alors ils n'en font même plus de drame. Ma mère en feras surement un lorsqu'elle apprendras mon petit séjour à l'hôpital, d'ailleurs, je suis déjà surpris que l'établissement ne l'ait pas déjà appelé - oui, parce que si ça serais le cas, elle serait déjà ici à me casser les oreilles avec sa voix mielleuse de maman poule qui a peur pour son poussin.

Elliot ♯ Euuh, ouais Nan. Nan mais j'sais pas du tout, juste que t'étais là quand j'me suis réveiller. 'fin pour la première fois. T'as pas d'mandé à une meuf en blouse? Ça doit savoir ça.

Ouais, ça serais sans doute une bonne idée. Dès qu'elle repasseras dans la chambre, je lui demanderai sûrement, si je ne suis pas étendu sans connaissance ; encore. Je veux lui dire que c'est sans doute ce que je ferais, mais Salem fait irruption dans la place ; mais bien sûr quand le chaton est là, on le sait. Je lui ordonne de dégager de là et il vient prendre toute la place sur mon lit alors que je me contente de lâcher un très long soupire d'exaspération ; il est étrangement chiant aujourd'hui. Peut-être parce qu'il sait que je vais pas lui foutre ma main à la gueule dès que je le pourrai, on est dans un hôpital quand même.

Elliot ♯ C'ton affilié?
Hadrian ♯ Ouais, bien malheureusement. J'aurais sans doute préféré un grand léopard, mais non, j'hérite d'un petit chat de gouttière.

Je grogne légèrement alors qu'on me donne un coup de patte, un sourire aux lèvres je baisse les yeux vers le chaton. Il m'a coupé sur la cuisse. OH PUTAIN ! Je suis nu en dessous de c'te jaquette ! Je tire sur la couette pour cacher le bas du corps en relevant les yeux vers l'autre mec ; une chance que c'est un mec, quoi. J'en aurais bavé si ç'aurait été une meuf, bien qu'on ne voyait pas grand chose ; mais quand même.

Elliot ♯ T'as foutu quoi pour arriver ici toi?
Hadrian ♯ On vas dire que j'étais au mauvais endroit au mauvais moment, mettons que je me promenais dans les ruelles et qu'un malade m'a attaqué !

Je serre les dents, puis tourne la tête vers ma cuisse ; on voit le filet de sang à travers la blouse bleu pâle dont sont fournis la plupart des hôpitaux. Y'a pas à dire, ce ne sont pas mes vêtements habituels. Je cherche ces derniers des yeux, mais je vois rien. Je me demande si c'est la belle blonde a la blouse blanche qui m'a retiré mes vêtements, si oui, elle doit avoir aimé, quoi.

Hadrian ♯ T'étais bourré comme ça .. Ce que je ferais pour une bière ..

Je lâche un nouveau soupire avant de pencher légèrement la tête sur le côté, puis je ferme mes yeux. J'entends des pas dans le corridor, évidemment, il y a toujours des mouvements dans ce genre d'endroit. Une infirmière fait son entré dans la pièce, elle est vachement plus jeune que celle que j'ai aperçus dans mon coma, du moins, entre mes comas. Elle s'approche de nous deux et ne fait que regarder ce qui est connecté à mon bras. C'est quoi, d'ailleurs ? Je pose pas de question, elle est mignonne, très jolie dans son uniforme rose. Ça lui donne un teint magnifique, elle est bronzé, mais aussi blonde que l'autre femme. Elle demande au garçon comment il vas, puis à moi. Je lui demande depuis combien de temps je suis là, elle me réponds vaguement « quelques jours » et elle disparaît en passant la porte. Je me contente de froncer les sourcils.

Hadrian ♯ Elle est sexy, tu trouves pas ?

Je tourne les yeux vers le mec en face de moi avec un sourire béant scotché aux lèvres, parce que d'habitude, c'est rare que je trouve le femme autant belle.
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Re: ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures. | Lun 23 Sep 2013, 00:06


    « Ouais, bien malheureusement. J'aurais sans doute préféré un grand léopard, mais non, j'hérite d'un petit chat de gouttière. »


Mouais, il a pas l'air d'être le meilleur pote de son chat. Sur ce point-la je ne peux pas dire quand chose vu que...bah j'ai pas d'affilié, moi, et la plupart des personnes que je connaisse qui ont un affilié ne s'entendent pas avec lui ou passent leur vie a s'engueuler avec. Genre Désirée - la meuf bleue qui m'a aidé - , Jack - le blondinet qui traine quasi H24 avec moi - et meme Jun - la vieille proprio' de mon ancien appart sur Terre qui ne s'entendais pas du tout avec sa fouine. Autant dire que je manque franchement d'argument pour défendre l'amour affilié/lié. D'ailleurs, celui-ci -le chat - s'empresse de montrer son indignitée en griffant la jambe nue du mec. Grr, sexy. Je t'aime le Chat. Merde, le proprietaire de la jambe cache cette dernière sous sa couette. Eeeeh. C'est pas drôle (ㅇзㅇ) ... Elle était bien où elle était, ta jambe. Je détache mon regard de ce fjznfiehs bout de couette pour lever les yeux vers les siens, l'air de rien, style « mais noooon j'ai rien maté voyons ~ » , ce qui était considerablement faux, et pose ma question pour changer de sujet.

    « On vas dire que j'étais au mauvais endroit au mauvais moment, mettons que je me promenais dans les ruelles et qu'un malade m'a attaqué ! »
    « Ah ouais, merde. Ça fout mal ça. Bah tu t'en ai bien sorti en tout cas. Sauf si tu sors d'un coma de 7 ans, là j'dis rien. »


Non mais je pense a toutes les possibilitées moi, même si le coma serait un peu - carrement - gros à avaler. Il serait pas comme ça. 'fin j'crois, après tout je petais bien la forme après ma renaissance en Alaska. Chacun son truc. Il baisse les yeux vers sa jambe - moi aussi je veux voir >(>з<)< ! - avant de regarder autour de lui. Il cherche quoi? J'en sais rien. J'm'en fou, aussi. Je tourne la tête vers un miroir, pour voir ma t...OH PUTAIN. LA TRONCHE. Mon père - 8D - mais je suis super livide, j'ai des putains de cernes et mes cheveux me tombent devant les yeux. D'un côté ça fait super sexy, de l'autre ça fait zombie. Un sexy zombie, yupii! Je passe ma main dans ma crinière couleur ciel et tourne la tête vers la table de chevet. Il devrait y avoir un truc pour attacher mes cheveux. Je me tourne et m'y approche à quatre pattes, les genoux sur la couette, dos a Hadrian. Normalement il doit pas voir mon cul. J'éspère. Trèèès très fort.


    « T'étais bourré comme ça .. Ce que je ferais pour une bière .. »
    « Boarf. J'me bourre la gueule et saute sur tout ce qui bouge dès que je sors, alors bon.»


Et le tout avec un ton tout à fait naturel. Tranquille le mec. J'hausse les épaules et tourne la tête pour voir sa réaction. Il ferme les yeux. Ok. La vue est si horrible que ça? (ㅠдㅠ) La porte s'ouvre sur une blondasse en rose, et son regard tombe directement sur moi. Je tchip et reprend une position normale, sans pour autant avoir trouver de quoi attacher mes cheveux. Elle s'approche d'Hadrian pour examiner son bras, et j'hausse un sourcil. Et elle regarde même pas la jambe l'autre pute. Celle-ci se tourne finalement vers moi pour me demander mon état avec un sourire qu'elle veut beau et que je ne vois que superficiel. Je ne lui rend pas son sourire. Par contre je lui répond, avec la voix la plus cinglante à ma disponibilitée.

    « Si je pouvais sortir de ce truc avec que des putes et des bouffons ça irait nettement mieux. D'ici dix minutes je me casse par la fenêtre.»


Elle sursaute et je souris. Dans tes dents ma vieille. Elle marmonne que je ne peux pas sortir pour le moment et j'hausse les épaules, la fixant avec un regard blasé et furieux à la fois. Si on me perd ça sera de sa faute. Je l'ai prévenue. Elle préfère se tourner vers mon compagnon de chambre et lui pose la même question qu'à moi. Je détourne mon attention pour regarder autour de mon lit, cherchant mes fringues, mes bijoux et mon arme. Rien. Je fronce les sourcils et me tourne vers la meuf qui va partir.

    « EH! Elles sont où mes affaires?»


L'infirmière me regarde et hausse les épaules avant de sortir rapidement. Salope. Je sers les poingts en m'empêchant mentalement de la poursuivre pour lui enfoncer le crâne dans le mur. Si ça ne tenait qu'à moi ça aurait été fait depuis longtemps.

    « Elle est sexy, tu trouves pas ? »


Je sursaute, les sourcils haussés. Qui? Elle? Sexy? Une meuf sexy? Non mais ça existe peut-être; juste pas dans mon monde. Je le regarde sourire comme un con avec mon regard naturelement je-m'en-foutiste et hausse les épaules.

    « Mmh, bof, nan j'trouve pas. Pas mon genre.»


Par genre j'entendais bien parler du genre sexuel. Mais ça pouvait très bien être compris en genre, style de meuf, donc je m'en fiche un peu. Je tilte juste après que si il dit ça c'est qu'elle l'excite - ou alors je vais trop vite - donc qu'il est pas gay. Naaaaan, il est nul...sauf si il est bi'...pff. Je pousse un long soupire intérieur et saute de mon lit, atterissant sur mes jambes nues, le corps à peine vêtu de la blouse bleue ciel -pwahaha, accordée à ma couleur capilaire et oculaire. Dans un autre contexte on aurait put penser à une scène érotique. Tiens, interessant, je note pour une prochaine fois. Bref, je me tourne vers la fenêtre et m'y approche, avant de l'ouvrir d'un mouvement et jeter un coup d'œil par la fenêtre. Putain c'est haut, les bâtards. Au moins six-sept étages. Bon, ça poserait pas de problème pour moi mais y a des fois - comme maintenant - où je me dis que pouvoir voler, c'est cool.

Je re-tourne la tête en fermant la fenêtre et retourne sur mon lit. Cette putain d'infirmière a raison en fait - argh, je déteste penser ça - je suis trop fatigué pour partir maintenant. Mais il n'empêche que j'aime pas ça. L'hopital, je parle. Je passe une main dans mes cheveux en jettant un regard par la fenêtre.

    « Tss, j'vais être obligé de rester ici putain...Eh, t'aurais pas un truc pour m'attacher les cheveux? Quand ils sont lâchés ils tombent devant mon visage et ça fait chier.»


Je venais de tourner la tête vers mon interlocuteur en disant ça. Qu'il n'ait pas de truc en question ne m'étonnerait pas trop, c'est plus les meufs et les mecs aux cheveux longs qui en ont, rarement les mecs aux cheveux courts. Quoique, les siens ne sont pas beaucoup plus courts que les miens. Plus qu'à esperer ne pas avoir à les laisser tomber jusqu'à ma sortie.
.

HRP: HAAAAAWN je m'en veux trop, j'suis deeeesolée pour le temps qie j'ai mis à te répondre, surtout que je sais que c:est chaud de continuer après de longues attentes ;-; promi je le refais plus ;-; *huuug*




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Re: ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures. | Mer 25 Sep 2013, 21:50


Y'a de quoi qui me fait tourner la tête. J'sais pas ce que c'est, mais ça a tendance à m'énerver. Pour le moment, j'ai le coeur dans les talons et une envie de vomir toutes mes triples sur le blanc plancher, mais j'fais rien. J'reste là à tranquillou observer mon compagnon de chambre, sans réellement pouvoir savoir ce que je devais lui dire. On parle tranquillement, on ne sait pas vraiment ce qu'on peut dire, ce qu'on peut faire. Avec un peu de chance, dès que je serai capable de me mettre sur mes pieds, on vas foutre le camp d'ici. Ça pourrait être drôle de décâlisser et qu'ils nous cherchent. Enfin, ils passeraient sans doute pas plus d'une heure à nous chercher avant de se remettre à bosser ; y'a des cas beaucoup plus important que nous après tout.

Elliot ♯ Mmh, bof, nan j'trouve pas. Pas mon genre.

J'hausse simplement les épaules en penchant la tête sur le côté alors que la demoiselle a quitté la pièce. Je veux pas rester ici H24 pendant des semaines ; je pense que j'survivrais pas à ça, c'est trop pour mon petit corps. En même temps, c'est compliqué, c'est difficile de rester immobile comme ça, coincé dans une petite chambre d'hôpital. Ça m'emmerde d'être là, de rester sans rien foutre. Je le regarde se lever pour s'approcher de la fenêtre, s'il pense s'enfuir par là celui-là, il se fiche un doigt dans l'oeil quand même. Franchement, on doit être au ... dixième étage, sauter de là c'est une mission suicide ; bonjour l'atterrissage ici.

Elliot ♯ Tss, j'vais être obligé de rester ici putain...Eh, t'aurais pas un truc pour m'attacher les cheveux? Quand ils sont lâchés ils tombent devant mon visage et ça fait chier.

Je lui fais un bref sourire avant de regarder autour, il me semble que j'ai vu quelque chose tout à l'heure, je me souviens plus. Je fronce légèrement les sourcils sans pour autant lui répondre de quoi de bien, j'pense que j'sais juste plus quoi répondre. Je m'attache jamais les cheveux, les siens sont plus long que les miens - de quelques centimètres au minimum. Je glisse mes pieds au bord du lit pour me relever le plus tranquillement possible, j'regarde le sol quelques secondes avant de me décidé à y mettre les pieds. Je me sens étourdis, comme si je m'étais drogué la veille et que je savais plus ce que j'faisais ; ce qui est loin d'être le cas. Je pose mes pieds sur le sol froid, puis me décolle de mon lit.

Hadrian ♯ Je vais voir dans la salle de bain si y'aurais pas d'quoi pour toi, mec.

Je serre les dents en posant un pied devant l'autre, calculant à la perfection chacun de mes pas et la proximité de ceux-ci, tel un robot bien programmé. Je réussis finalement à glisser mes pieds contre le sol comme une patineur de vitesse - sans la vitesse évidemment - jusqu'`à la porte de la salle de bain, je m'accote doucement contre la porte en regardant le comptoir avec beaucoup d'attention.

Hadrian ♯ Y'a de quoi, sur le comptoir. Viens voir.

J'ai l'air d'un mec con là, adossé à la porte sans y entrer. Je pense que si je met un nouveau pied devant, je vais me casser laggle avec une mention bien, j'ai pas envie de faire foutre de moi. Il faut absolument que je bouge pas, sinon je tombe. Je tourne la tête vers le garçon, attendant simplement qu'il s'approche. J'suis pas bien. Je me frotte la temple avant de glisser contre le mur pour m'asseoir finalement sur le plancher froid de la pièce ; j'arrive plus à bouger et j'respire très mal. Je plaque mes mains contre mon crâne pour me concentrer sur ma respiration, il faut que je prennes sur moi. J'entends plus rien, je vois plus rien, c'est le noir total. Je me sens pas bien, j'ai mal au coeur, j'ai mal à la tête, j'ai mal partout, c'est la seule chose que je ressens.
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Elliot S. McKenzie
Elliot S. McKenzie
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J'ai traversé le portail depuis le : 14/06/2013 et on me connaît sous le nom de : misha Mon nom est : Elliot Sullivan McKenzie Actuellement je suis : célibataire. Il paraît que je ressemble à : V (mystic messenger) + Originaux (zxs1103) + Cody Christian (IRL) et à ce propos, j'aimerais remercier : Kingyo la meilleure (signa) ET REYENN MY LOV IOIZFHZF (cs) ♥
Re: ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures. | Dim 13 Oct 2013, 17:46

J'regarde calmement Hadrian chercher ce que je lui avais demandé du regard. J'attend aussi qu'il me reponde, mais je prefère me taire en attendant. Trop parler peut être très chiant. Je le sais bien, je deteste quand on me parle H24 - sauf Jack, mais ça c'est autre chose. Oui bah ça va, je sais que j'ai pas mal posé des questions à Désirée, hein, merde quoi, ça m'arrive. Rarement mais ça m'arrive. Je secoue la tête. Hadrian se lève du lit, avec la même démarche que la mienne.
    « Je vais voir dans la salle de bain si y'aurais pas d'quoi pour toi, mec. »
    « Thanks. »


Je le regarde s'éloigner avec la grâce et l'élégance d'un rebot en direction de la-dite salle de bain. En attendant qu'il réapparaisse, je me lève à mon tour et avance prudement vers la porte d'entrée pour l'ouvrir legerement. Putain de bordel de merde. Y a trop de monde dans ce foutu hopital. Je reste quelques instants planté sur le palier jusqu'à ce qu'une infirmière, une grande rousse, ne s'approche de moi. Je m'empresse de lui claquer la porte au nez avant qu'elle ne se mette à me parler.

    « Y'a de quoi, sur le comptoir. Viens voir. »
    « 'key, j'arrive. »


Je me détourne de la porte pour avancer vers la salle de bain. Mon camarade de chambre était adossé contre la port, ce qui fit que je dus le contourner pour entrer à l'intérieur et examiner ledit comptoir. En effet, il y a de quoi attacher mes cheveux. Je m'approche, attrape les barrettes et l'elastique et m'installe face au mirroir pour commencer à dompter mes cheveux ciel à l'aide de mes doigts. J'attrape quelques mèches que je tire en arrière, coincés avec le petit objet, et regroupe une partie de mes cheveux pour en faire une couette. Je cligne des yeux en me regardant. Mouais. Ça peut passer. En même temps c'est fait à la va-vite. Je me retourne pour avoir l'avis du bg et...GOD DAMNIT mais wtf? Il est assis par terre, devant moi, la tête entre les mains et l'air franchement mal. Why? Je me précipite jusqu'à lui et m'accroupie, le relevant un peu en lui tirant l'épaule.


    « Eh! Ça va?»


Gnagnagna, je sais que ça va pas, je suis pas con quand même! Je le force à retirer une main de son crâne et attrape son menton pour le soulever vers moi et me montrer son visage. Extra-livide. Ok. Ce mec va pas bien du tout. Je soupire avant de me mordre la lèvre. Non. Je n'appelerais pas de l'aide, pour mon amour propre. Je passe une main derriére son dos, met son bras derrière ma nuque et attrape ses cuisses avec mon autre bras. Grr. Pas le choix. Je le soulève, sans trop de mal - j'en ai pas l'air mais j'ai des muscles en fait - même si il est bien plus grand que moi, et l'apporte lentement jusqu'à son lit. Je le depose en essayant de ne pas trop le faire tomber. Ça serait un peu con. Je lui fous la couverture dessus et m'assois sur mon lit en le regardant. Ça me rappelait des choses de veiller un mec malade. À chaque fois que Sven attrapait quelque chose, en fait. Je chasse ce souvenir de ma tête et me concentre sur le malade. Il va franchement mal. Pour sa santé, je finis par laisser mon ego de côté et me lève pour ouvrire la porte. Avec un peu de chance je tomberais pas sur une pute. Sur un infirmier ça serait plus cool. Je m'adosse à la porte et regarde deux-trois secondes les gens passer, puis mon regard s'arrête sur un beau blond en blouse blanche. Je le hêle et il s'arrête, me regarde et s'approche avec le sourire d'un ange. Tiens, il pourrait faire un bon grand frère pour Jack, il lui ressemble. Je le tire dans la chambre et ferme la porte, avant de montrer Hadrian d'un mouvement de bras.

    « Il s'est assis tout a l'heure et depuis il est comme ça. Il a quoi?»


Oui bah au moins ça a le merite d'être clair. Quoique pas du tout. Enfin ça depend du point de vu. Je m'assois sur mon lit, les jambes croisées - le premier qui sort "comme une gonzesse" je le nique - en regardant le blond s'approcher de son patient pour l'observer.
.




Anonymous
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Re: ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures. | Mar 22 Oct 2013, 16:52


J'entends plus rien. Je sais que je l'ai déjà dis, c'est juste pour dire que la phrase de mon compagnon m'a passé au moins six pieds au dessus de la tête. D'un coup, je me sens atrocement léger, comme si mon âme s'envolait de mon corps. c'est débile cette sensation, j'ai l'impression que je peux répondre, que je suis là alors .. que non en fait. Je n'ai pas perdu connaissance, j'ai simplement les yeux fermés, je vais pas bien. Ça se voit, non ? En moins de deux, je me sens de nouveau très lourd, cette sensation que le sol vas se dérober sous notre pesanteur, ce n'est pas des plus agréable à vivre.

Je réussis à ouvrir les deux au moins deux secondes pour regarder le garçon. Je ne suis plus assis contre la porte de la salle de bain, et il me fixe avec une de ces intensités. J'ai presque peur.

Je ferme les yeux. Je me sens beaucoup mieux ainsi en fin de compte, ma tête tourne moins, je ne ressens plus les nausées, mais j'ai mal. Ce n'est pas mon genre de me laisser faire comme ça. Il faut me ressaisir, mais la douleur est assez puissante, je ne sais pas vraiment ce que c'est, je ne sais vraiment pas. Je serre les dents, puis j'ouvre à nouveau les yeux pour constater qu'Elliot n'est plus dans la pièce. En tout cas, s'il est là, il se tape une partie de cache-cache, parce qu'il n'est plus dans mon champ de vision.

Hadrian ♯ Elliot ..

La seule chose que je réussis à dire avant qu'une nouvelle douleur m'attaque en pleine poitrine. Je ne comprends plus rien. Je penche la tête vers l'arrière et fixe le plafond, je réfléchis malgré la souffrance. Je lève la main vers le ciel, puis ça me frappe.

Elliot ♯ Il s'est assis tout a l'heure et depuis il est comme ça. Il a quoi?

Il est revenu dans la chambre, mais il n'est pas seul. Surement quelqu'un du personnel, mais .. je vais bien. Du moins, pas vraiment mais personne peut rien faire. Je secoue légèrement la tête alors qu'un homme s'approche dans ma direction. Il me touche le front, genre style je prends ta température et je comprends fuckall pourquoi t'es dans cette situation. Je serre les dents et repousse son bras en regardant partout autour dans la chambre comme si ce foutu objet pouvait s'être détaché de moi sans que je n'en ai eu conscience. C'est bête. Bête. Putain. Bestiole de mes deux couilles.

Hadrian ♯ SALEM !

Je m'assois directement dans mon lit sans tenir compte de la douleur qui me martelle le crâne et chacun de mes muscles d'ailleurs. J'ai la tête qui tourne, je me sens mal. Je tourne la tête vers Elliot et serre les dents.

Hadrian ♯ Le chat .. le chat a la bague .. trouve la ..

J'ai l'air d'un idiot qui sait plus ce qu'il dit, en pleine crise de folie, mais si je retrouve pas cette putain de bague, je vais exploser. Imploser serait sans doute un meilleur terme. Dégage l'infirmier, ou bien trouve le chat, essaie pas de me trouver des maladies, J'SUIS PAS CINGLÉ. Y'a de quoi s'énerver quand tu sais que ta vie est en jeu et que personne veux comprendre ce que tu dis. PUTAIN DE MERDE ! Tu réussis de peine et de misère a rester debout, ce chat, il doit pas être dégagé bien loin. Il sait ce que ça te fais quand tu n'as pas ta bague. Il le sait. Il fait exprès de se cacher. Putain de lié.


_________________________________

Hors rp ♯
Je suis désolée, je suis pas très inspirante du coup ... ;__;




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ELLIOT ♯ Il n'y a pas de coups sans blessures.
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