Coeurs : 108 Messages : 204 Couleurs : Royalblue J'ai traversé le portail depuis le : 06/04/2011 et on me connaît sous le nom de : Zunnie Mon nom est : Daniel-Henry Ciel Crawley Actuellement je suis : Parce que j'ai une tête à avoir une amoureuse ? Il paraît que je ressemble à : Ciel Phantomhive ▬ Kuroshitsuji et à ce propos, j'aimerais remercier : Moi-même.
Re: Sur le chemin de l'Enfers ▬ Leona O. Ryan | Lun 17 Fév 2014, 11:47
Enfers ◈ D-H "Ciel" Hemsworth P. & Leona O. Ryan
Sur le chemin de l'Enfers - Le début du commencement
Je ne pouvais savoir que mon géniteur n'était autre que lui.
son étonnement, Leona n'étais pas une fille d'Hadès. Pourtant, le jeune homme l'aurait parié. Que gagnait-elle donc à rester ainsi accrocher aux Enfers ? Cet endroit lugubre, triste et plein de solitude convenait peut-être à une certaine partie de la jeune femme. Mais Ciel voyait clairement que son côté rayonnant pouvait avoir du bon et qu'elle pouvait se plaire sur Sanctuary Of Heart après le regard qu'elle avait adressé au jardin de Perséphone. Cette déesse, d'après ce qu'il avait appris, était d'une grande gentillesse et d'une grande bonté, bien que son coeur se soit endurci en Enfers, elle restait une des déesses les plus appréciées. Ciel avait bien sûr ses préférences en matière de Dieux, mais il trouvait à chacun une qualité envers lequel il se réfère assez souvent. Leona débuta son récit sur la sculpture, une histoire qui devait sans doute lui tenir à coeur vu l'enthousiasme qu'elle témoignait en la racontant ce qui fit esquisser un sourire sur les lèvres du demi-dieu. Il avait pour une fois, ce sentiment d’insouciance que l'on éprouvait lorsqu'on était petit. On vivait au jour le jour, on ne se préoccupait pas de l'avenir, enfin du moins, on se prévoyait un futur fantastique la plupart du temps. Il écouta d'une oreille attentive le récit de sa nouvelle amie. Gaïa une titanide, avait versé des larmes lorsqu'elle eu tout perdu, sur ce rocher même. De ces larmes, étaient apparues des fleurs par milliers. le vent aurait sculpté cette statue qui gouvernait à présent ce jardin. Ciel entendait cela comme un mythe ou une légende, néanmoins, malgré son esprit réaliste et très terre à terre, il se laissait porter par le côté fantastique de l'histoire. Il croyait dur comme fer aux dieux, alors pourquoi pas à ce récit. d'autant plus que Leona semblait la mieux disposée pour parler de ce genre de chose. Après qu'elle eut terminé, Ciel jeta un coup d'oeil aux alentours et aperçu au loin, un immense palais. Néanmoins, il ne parvenait pas à le voir correctement. Il se leva alors d'un bon et tendit une main vers la jeune femme.
▬ Nous pouvons continuer les récits tout en marchant.
Non pas qu'il n'appréciait pas ses histoires, au contraire il les trouvait très intéressant. C'était juste l'impatience qui commençait à s'emparer de lui lorsqu'il avait aperçu le palais.
▬ Je t'écoute, conte moi d'autres histoires sur les Dieux et les Titans. Cela diffère tellement de l'éducation que j'ai eu et des quelques ouvrages que j'ai lu à leur sujet.
Ciel était très curieux à l'idée d'en savoir un peu plus sur les histoires et récits qu'elle avait en mémoire. C'était sans doute des preuves encore jamais dévoilées sur les Dieux que seul lui aura eu la chance d'entendre et de connaître sûrement. Tout en écoutant son amie, ils s'approchèrent de plus en plus du château d'Hadès et donc, de son géniteur. Soudainement, lorsqu'il arrivèrent à ce qu'on pourrait appeler le portail - bien qu'ils devaient être à une centaine de mètres du château - Ciel sentit la peur monter en lui. C'était un majestueux palais en cristal qui contrastait avec l'aspect lugubre des Enfers. C'était époustouflant. Bien qu'on pouvait le comparer au Castle of Heart qui était tout aussi sublime, le style ici était différent et très imposant. Subitement, le surplus d'émotion fit que Ciel versa des larmes sans s'en rendre compte. Il voyait enfin, de ses propres yeux le palais d'Hadès. Le dieu dont le sang coulait en lui. Le demi-dieu ressentait en lui de la surprise, de la colère, de la peur, de l'angoisse, de la joie. Il ne savait pas quoi penser sur le moment et lorsqu'il aperçut de son état, d'un revers de la manche, il essuya ses larmes puis lança un regard vers le palais.
▬ C'est donc là. Il est juste là et pourtant, je ne peux m'approcher. J'ai même peur de le voir.
Le demi-dieu baissa les yeux puis déclara d'un ton froid :
▬ J'ai peur qu'on me rejette.
Après avoir réfléchi un dixième de seconde, il releva la tête, le regard plein de détermination et ajouta :
▬ De toutes façons, je n'ai jamais demandé à ce qu'il me reconnaisse. J'étais indésirable. Au moins, j'ai pus voir son palais. Il ne me reste plus qu'à rebrousser chemin...
[J'aime beaucoup ta réponse ! Par contre, désolée pour ma merde, je voulais juste continuer le RP xD]
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Re: Sur le chemin de l'Enfers ▬ Leona O. Ryan | Lun 17 Fév 2014, 12:23
Les Enfers représentent beaucoup mieux les Hommes que l'Olympe : pourris jusqu'à la moelle...
Mon histoire ne semblait pas avoir fait tomber l'excitation du jeune homme, ce qui était compréhensible. Je ris doucement et me levai alors qu'il prenait ma main en regardant le palais que l'on pouvait apercevoir d'ici. Il me demanda, en marchant, de lui raconter d'autres histoires des Enfers, ce que je fis avec un grand plaisir. Une autre histoire, qui se révélait être en grande partie vraie cette fois, régissait le lieu que nous venions de quitter. Je m'empressai donc de la lui conter, qu'il y croit par la suite ou non. Mais je la savais vrai car de nombreux Spectres et le Juge concerné par ce récit m'avaient confirmé cela. Je pris le temps de rassembler mes idées au fil de nos pas et ma voix s'éleva alors que nous avancions toujours plus vers le château de Hadès.
- Il y a bien des siècles maintenant, les Enfers ont été pris d'assaut par quelques démons un peu fous, mais bien puissants. Hadès les a lui-même combattu, et ce fut lors d'une de ces batailles qu'est né cet endroit fleuri, même si cela peut paraître bien étrange que des fleurs naissent du sang. Un jour, alors que le château avait pris d'énormes dégâts, il a demandé à Perspéhone de s'enfuir sous al protection d'un des trois Juges, Rhadamanthys. Malheureusement, des démons attendaient à cet endroit. Pour sauver le Juge d'un coup de lance dans la poitrine, Perséphone s'est interposée et l'arme a touché son coeur. Il est dit que depuis que l'armure de Rhadamanthys a baigné dans le sang de la déesse, elle a acquis une solidité au-delà de toute limite et que le Juge et la Déesse seraient liés pour l'éternité. Du sang divin sont également nées ces fleurs. Quant au rocher, il est dis qu'il a été sculpté par les âmes des Spectres morts à cette époque, pour honorée leur reine.
Une histoire que je n'appréciais qu'à moitié, mais c'était tout à fait personnelle. Sans ajouter de jugement subjectif, je devais admettre qu'elle avait une grande part de beauté et de drame dont étaient friands les amoureux de la mythologie. Alors que nous marchions de bon pas, nous arrivâmes devant l'immense portail qui nous interdisait d'aller plus loin. Le silence nous entoura une seconde et je penchais mon regard sur le petit dieu lorsqu'il prit la parole, la gorge serrée de le voir verser quelques larmes. Mais je ne fis rien au départ. Peut-être un peu pudique par rapport à ce qu'il semblait espérer vis-à-vis de son père. J'étais bien placée pour savoir que c'était peine perdue. Les Dieux n'étaient fais que d'égoïsme.
Attendant la fin de ce qu'il avait à dire, je m'agenouillai de nouveau et pris sa main dans un geste d'une infinie tendresse. Il me fallut un temps pour trouver mes mots. Autant ne pas lui cacher la vérité, mais je voulais également le rassurer, lui redonner un peu le sourire. Ma voix douce s'éleva autour de nous alors que je tentais de lui remonter un peu le moral :
- Je suis sincèrement désolée que tu ne puisses pas le voir Ciel. Je comprends ce que tu ressens. Mais ne deviens pas aigri comme moi, cela ne t'ira point, ton coeur est trop empli de tendresse. Ta peur est légitime, mais transforme la en force. Il ne veut point te voir ? Peu importe. Tu avais besoin de voir cet endroit mais tu n'as pas besoin de son approbation pour exister tel que tu es. J'ai renoncé il y a bien longtemps à rencontrer ma mère. Ne vis pas comme le bâtard d'un dieu qui a honte de son acte mais comme Ciel, un demi-humain, qui a tant de choses à apporter au monde.
Je me redressai et passai ma main dans ses cheveux sans le lâcher des yeux. Le fait qu'il se sente mal avait de quoi faire naître en moi une sourde rage. Il était légitime qu'il veuille savoir d'où il venait, mais pas qu'il se rende malade à cause d'un père qui le considérait comme inexistant. Mon regard se posa une seconde sur le palais avant que je ne termine d'une voix acide :
- Il n'y a pas plus égoïste qu'un dieu.
Spoiler:
Ciel que de motivation ! Et ciel quel jeu de mot moisi, je m'en excuse... Eh bien je suis au moins aussi motivée que toi ^^. Ta réponse était très bien, pas de soucis !
Coeurs : 108 Messages : 204 Couleurs : Royalblue J'ai traversé le portail depuis le : 06/04/2011 et on me connaît sous le nom de : Zunnie Mon nom est : Daniel-Henry Ciel Crawley Actuellement je suis : Parce que j'ai une tête à avoir une amoureuse ? Il paraît que je ressemble à : Ciel Phantomhive ▬ Kuroshitsuji et à ce propos, j'aimerais remercier : Moi-même.
Re: Sur le chemin de l'Enfers ▬ Leona O. Ryan | Lun 17 Fév 2014, 19:06
Enfers ◈ D-H "Ciel" Hemsworth P. & Leona O. Ryan
Sur le chemin de l'Enfers - Le début du commencement
Je ne pouvais savoir que mon géniteur n'était autre que lui.
egardant ainsi le palais de son géniteur, Ciel eut la soudaine pensée d'avoir été abandonné, tel un orphelin. Finalement, il réfléchi à deux fois et comprit pourquoi. Pourquoi son père ne lui avait jamais adressé la parole, pourquoi les dieux ne s'occupaient pas de leur progéniture. Il l'avait compris, du haut de ses quinze ans. Il avait seulement formulé une hypothèse plausible. Il ne voulait pas remettre en cause les dieux, non. Tout ce qu'il voulait, c'était de partir d'ici et d'en conserver un bon souvenir. Ce lieu que très peu de personne ont pu entrevoir. Lui, il l'avait vu. Leona, qui sentit une once de la détresse du garçon s'agenouilla à ses côté et lui prit la main. Cette main qui se voulait réconfortante et rassurante ne faisait qu'accentuer la tristesse de l'enfant. Sa mère, biologique ou adoptive, il aurait voulu qu'elles soient encore vivantes.
▬ Je suis sincèrement désolée que tu ne puisses pas le voir Ciel. Je comprends ce que tu ressens. Mais ne deviens pas aigri comme moi, cela ne t'ira point, ton coeur est trop empli de tendresse. Ta peur est légitime, mais transforme la en force. Il ne veut point te voir ? Peu importe. Tu avais besoin de voir cet endroit mais tu n'as pas besoin de son approbation pour exister tel que tu es. J'ai renoncé il y a bien longtemps à rencontrer ma mère. Ne vis pas comme le bâtard d'un dieu qui a honte de son acte mais comme Ciel, un demi-humain, qui a tant de choses à apporter au monde.
après ces mots pleine de compassion, Leona caressa les cheveux du demi-dieu, telle une mère apportant de l'amour à son enfant tout en le regardant d'un air tendre. Le fait qu'il est dit "indésirable" l'avait sûrement révolté. Elle déclara alors :
▬ Il n'y a pas plus égoïste qu'un dieu.
Soudainement en entendant ces mots, cela fit encore une nouvelle fois, réfléchir le demi-dieu qui répondit à la remarque de son amie.
▬ Je pense que les humains sont égoïstes aussi, et parfois plus que les Dieux car, ils veulent sans cesse qu'on les aide, sans cesse des choses, lorsqu'ils ne peuvent pas, ils rejettent la faute sur les Dieux. Mais, les dieux, bien qu'ils aient créer le monde et tout le reste, ils ne sont pas là pour contrôler chaque jour les humains. Je pense que si on vivait sans difficultés, sans la moindre souffrance, on ne peut devenir indépendant et se forger. Il faut parfois faire face à des choses et ne pas s'enfuir.
Le garçon soupira puis leva la tête en direction du château. Il pensa très fort à son père qui était peut-être là à l'observer et continua son raisonnement.
▬ Je me contrefiche du fait qu'il ne me désire pas. Ce n'est pas pour ça que je ne deviendrai pas quelqu'un. Un père, c'est important. Mais, il a quand même de nombreuses responsabilités derrière lui et malgré le fait que chaque vie à son importance. Sauver une humanité entière est bien plus important. Je ne veux pas penser qu'à moi et me dire seulement que je veuille qu'il pense à moi, qu'il me reconnaisse, qu'il s'occupe de moi. Non. Cette partie de ma vie m'a forgé et m'a rendu plus fort. cela peut paraître naïf de ma part mais je pense que rejeter la faute sur les dieux ne servira à rien. Autant faire bouger les choses de notre côté. Et puis, ce sont les Dieux qui ont créer ces choses, le monde. J'ai appris que les Dieux intervenaient très peu dans la vie des humains, pour leur laisser la chance de choisir leur voie, mais aussi pour qu'on évolue par nous même.
Sur ces mots, il fit volte face après avoir jeté une dernier regard vers la demeure de son père. Il fallait qu'il reparte chez lui désormais. Il avança droit devant pour s'éloigner un peu du château et se retourna une dernière fois tout en souriant à Leona :
▬ Je serai toujours fier de mon père quoiqu'il arrive car, être le fils d'un dieu. Ce n'est pas donné à tout le monde...Je vais devenir quelqu'un et montrer que je suis digne d'avoir du sang de dieu en moi. Maintenant, il faut que je rentre chez moi. Merci pour tout, Leona. Merci.
Le jeune homme s'approcha de sa nouvelle amie puis lui tendit la main.
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Re: Sur le chemin de l'Enfers ▬ Leona O. Ryan | Lun 17 Fév 2014, 19:50
Les Enfers représentent beaucoup mieux les Hommes que l'Olympe : pourris jusqu'à la moelle...
Sans doute étais-je devenue amère avec le temps et les épreuves. Sans doute étais-je trop dure, avec moi-même comme avec les dieux. Mais pour moi, ils étaient certes utiles et puissants mais ne représentaient pas ce que je chérissais le plus. L'humanité était beaucoup plus riche. Tous parlaient de gens égoïstes, uniquement menés par une envie de guerre, par les pires vices, mais personne n'arrivait à voir les âmes qui donnaient tout, sans concession, par amour ou simplement charité, sans rien attendre en retour. Personne ne voyait ces enfants qui mouraient de faim et qui pourtant partageaient ce qu'ils arrivaient à avoir par leurs efforts. Personne ne remarquait ce vieillard assis tous les jour sur son banc, qui donnait du pain aux canards et qui racontaient des histoires inventées aux enfants du quartier après l'école. Personne ne faisait attention à cette boulangère qui se levait une heure plus tôt tous les matins afin de préparer un peu plus de pain pour les sans-abris. Certes, les Hommes étaient pourris jusqu'à la moelle, mais certains méritaient beaucoup plus qu'un crachat à la figure à cause d'une généralisation.
Je fus surprise de l'amour, du respect, que Ciel portait aux déités. Je ne dis donc rien pour le contredire. Je ne voulais pas qu'il perde cette étincelle en lui qui faisait que même chez les dieux les plus aigris il savait voir de la douceur et quelque chose de bien. Il était fier de son sang et il pouvait. Il aurait fait un roi des Enfers exceptionnel si ce destin qui avait été permis. Mais il allait vivre parmi les Hommes. Qu'il soit aussi fort, qu'il soit conscient de tout ce qu'il pouvait apporter au monde, c'était tout ce qui comptait. Ses paroles avaient quelque chose de presque sacrées. Ma main se serra de nouveau sur mon chapelet. Je lui souris doucement lorsqu'il me tendit la main. Je la pris doucement.
- Tu es quelqu'un d'exceptionnel.
Sur ses mots, nous débutâmes notre trajet du retour. Sans doute avait-il eu juste besoin de voir ce palais pour continuer d'avancer sur la voie que le destin avait décidé de lui accorder. J'étais impatiente de voir ce qu'il allait devenir. Il me rappelait les enfants du couvent, c'était amusant et étrange en même temps. Blasphématrice que j'étais de le comparer à eux. Alors que nous traversions les paysages morts des Enfers, sous les rauques des âmes subissant leurs tortures, mon esprit se libéra d'une petite parcelle de son amertume. La vie était faite de rencontres que l'on ne programmait pas, et certaines étaient des plus enchanteresses. J'étais soulagée d'avoir débusqué ce petit être et de lui avoir permis de réaliser son souhait. Même en sachant que j'allais m'attirer les foudres du maître des lieux, que j'allais sans doute beaucoup perdre. Mais cela, personne ne pourrait le comprendre. Personne ne pourrait comprendre pourquoi j'avais fais un tel acte, avec de telles conséquences, alors que techniquement cela ne m'apportait rien. Et pourtant la réponse était évidente : j'étais un guide. Je guidais les âmes des morts depuis des années, alors pourquoi pas faire de même avec un enfant égaré ? Je ne demandais pas aux autres de me comprendre, juste d'accepter, point.
Nous fûmes rapidement de retour devant le portail ouvert qui donnait sur l'Île. Je savais que Charon devait me voir pour un dernier détail, d'ailleurs il m'attendait non loin. Je lui fis signe de patienter et je me tournai vers Ciel pour lui dire quelques dernières paroles :
- Je suis contente d'avoir pu t'aider Petit Prince. Si jamais un jour tu as besoin d'aide, appel Ombre.
Le vautour poussa un long cri avant de se poser près du Passeur qui attendait patiemment.
- La fille de Perséphone aide toujours ses amis.
Après ces quelques mots, je rejoignis le Spectre en souriant, le coeur allégé. Oui, décidément, j'étais impatiente de voir ce que ce petit bout de déité allait devenir.