You are the god of the god, Héra ♪ | Ven 10 Mai 2013, 23:21
You are the god of god, Héra
« Si t'as pas d'amis, prends un fusil ♥ »
feat Héra
Panthéon me voilà. Voilà la première chose que je dis en me levant. Les rideaux filtraient la lumière et l’atmosphère était du coup limite angoissante. Je me sortis du lit m’habillait en vitesse, un jean, un t-shirt deux fois trop grand et mes pantoufles. Je pris mon petit déjeuné en vitesse. Je courus ensuite vers le Panthéon, j’avais prévus de faire certaines choses là bas. Bref, arrivé sur le Panthéon je cherchais la statue de mon père. Je courus vers elle dès que je la trouvasse. Je sortis des œufs de ma poche, machiavélique hein ? Je vérifiais qu’il n’y ait personne aux alentours, personne. Je cassais délicatement les œufs sur la statue de mon père et je regardais avec un grand sourire sadique les coquilles et le jaune d’œuf dégouliner sur la statue. J’entendis soudain des bruits de pas. Je courais derrière une autre statue. Une fille marchait vers une statue. Elle était plutôt grande et belle. Matte pas ses seins Never… Matte pas… Trop tard. Bon, alors au lieu de matter les seins de l’autre meuf je ferais mieux de me casser en fait. Bref, je marchais à pas de loup derrière les statues des dieux quand je marchais soudain sur une coque d’œuf, loupé Never. La plus le choix je traversais le Panthéon à toute vitesse, dévala les marches et… Trébucha en loupant une marche et déboula jusqu’en bas. Chouette la petite décente. La femme le regardait du haut des escaliers genre « Crétin ». Je me relevais difficilement et lança un regard à l’autre meuf.
« Tu arrête de me regarder ?! T’es quoi d’abord ? »
Tin tin tinnnnn. Hum… Bref, un coup de poêle dans la tronche ne m’aurait même pas fait bouger à ce moment. Tellement fier de moi. Genre, « regarde-moi ». En ce moment c’était plutôt moi qui la regardais… Mattais était le terme plus exact. Bref, je vais pas faire un compte-rendu sur la grosseur de ses seins non plus, là j’étais plutôt en mode « Putain, faut que je me casse de là ». Je faisais des petits pas sur le côté discrètement pour essayer de m’échapper mais je sais pas pourquoi au lieu de faire des pas sur le côté je montais l’escalier… Bref, je me retrouvais du coup nez à nez avec la femme.
« Salut… »
Je m’empressais d’avancer vers la statue de mon père pour la nettoyer. Pourquoi je fais ça ? A mon avis cette femme m’intimide et ça me rend coupable alors je nettoie. Mais, mais… Je nettoie avec mes mains ! Nan mais… Je retire mes mains rapidement et cours vers la femme. Grosse ocas’, je m’essuie les mains sur ses seins et je les plote en même temps. C’est ce que je fis.
« Excusez moi, mais vous savez marcher. Vous avez pas bougé depuis toute à l’heure. »
C’est con de dire ça mais j’ai tellement l’habitude. Bienvenue dans la maison de Never.
Re: You are the god of the god, Héra ♪ | Lun 13 Mai 2013, 22:34
« You are the god of the god. »
Never & Héra
Aujourd'hui te semblais être une belle journée à priori pour aller faire un petit tour, tu n'avais décidément pas envie de t'enfermer dans le palais à tourner en rond. Tu avais besoin - tout comme ton charmant époux (noter ici l'ironie) - d'aller voir ailleurs un peu. Seulement, tu n'étais pas vraiment comme lui et tes visites ne se résumaient qu'à une petite marche sur l'île ou bien sur la terre dans les boisées. Habituellement, tu restais loin des peuples humains et autre, tu n'avais pas envie de te frotter à eux. Ils n'étaient pas les êtres les plus intelligents et douées qui existaient et tu n'avais plus aucune pitié ni expérience en eux. Cela dit, tu avais quand même envie de prendre un peu d'air et cette journée semblait assez belle pour que la déesse mère décide de sortir. Tu n'avais aucun intérêt de voir ce que les humains pouvaient bien faire pour passer leurs journées, mais tu avais décidé de passer d'abord dans le Panthéon. Tu fermas alors les yeux et dans un nuage de petites étoiles bleutés, tu n'étais plus. Tu apparus finalement juste en face de l'établissement dans lequel tu avais envie de passer un certain moment. Tu marchas dans le plus grand des silences vers les statues des divers dieux de l'Olympe, tandis qu'un sourire discret étirait tes lèvres. Tu entendis un bruit qui attira ton attention - bien que tu savais déjà que quelqu'un était dans les lieux .. C'était plutôt le bruit en soit qui t'avais fait tourner la tête. Un petit garçon passa à côté de toi - à quelques mètres - et dévala les marches avant d'en débouler le reste. Tu n'eus même pas le réflexe d'aller vers lui pour voir s'il était correct ; tu n'étais pas très maternelle dirons-nous. Tu le regardais sans réelles émotions jusqu'à ce qu'il se relève en te jetant un regard supérieur. Oh ça par contre, tu n'accepterais pas. « Tu arrête de me regarder ?! T’es quoi d’abord ? » En même temps, tu avais le droit de regarder qui tu voulais et ce, quand et où tu le souhaitais. Tu n'étais pas la déesse des dieux pour rien, mh. Tu tournas la tête en direction de la statue saccagée d'Apollon. Certes, ce dernier n'était pas dans tes dieux favoris, mais tu n'acceptais pas que l'on puisse dégrader l'image de tes semblables. Peut-être l'avais-tu un peu manipuler, voir contrôler, mais le garçon s'était ramené en vitesse dans ta direction. « Salut… » qu'il avait dit en passant juste à côté de toi, puis il s'était dirigé vers la statue pour la nettoyer du mieux qu'il le pouvait directement avec ses mains.
Décidément.
Tu ne bougeas pas d'un poil en le regardant faire. Ton silence était souvent beaucoup plus intimidant que ta simple voix ordonnant diverses choses. Lorsque le petit revint dans ta direction, tu ne bougeas pas jusqu'au contact de ses mains sales sur ta poitrine. « Excusez moi, mais vous savez marcher. Vous avez pas bougé depuis toute à l’heure. » qu'il t'avais lancé. Le temps de réaction fut presque spontané. Ta main siffla l'air et alla directement s'abattre contre la joue droite du petit impertinent. Et ça osait se croire supérieur à toi en plus de cela. Il ne savait décidément pas qui tu étais.
« On ne touche pas, petit sang-mêlé. » lui crachas-tu au visage.
Tu l'attrapas par la nuque en serrant assez pour qu'il te suive sans se débattre à cause de la douleur et tu le poussas au pied de ta propre statue en serrant les dents. Peut-être allait-il comprendre qu'on ne plaisante pas avec les déesses, certainement pas avec celle que tu étais. En même temps, maintenant que ta robe était salis, tu n'avais plus le choix que de rompre ta magnifique journée pour aller la changer, mais tu le ferais plus tard. Après avoir donné à ce gamin la correction qu'il méritait.
« Sais-tu qui est CETTE déesse, morveux ? Cette déesse, c'est Héra. La déesse la plus influente du panthéon, si tu ne veux pas voir ta petite vie minable se terminer dans un claquement de doigt, tu ne l'offenses pas. EST-CE QUE C'EST COMPRIS ? »
La foudre de Zeus se dessinait presque dans ton regard, il n'avait pas intérêt à te provoquer le fils d'Apollon ou tu ne te priverais pas de lui mettre la honte de sa vie. Tu ne savais pas encore comment, mais tu n'allais quand même pas hésiter à le ridiculiser, voir carrément lui faire mal. Il était encore à tes pieds et tu attendais des excuses, carrément, oui. Tu ne partirais pas maintenant sans excuses de sa part et même, tu n'étais pas certaine de tes accepter. Il était vraiment impoli, mal élevé celui-là. Tu n'en revenais simplement pas.
« Les excuses s'en viennent, j'espère. »
Code by AMIANTE
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Re: You are the god of the god, Héra ♪ | Dim 23 Juin 2013, 15:09
You are the god of god, Héra
« Si t'as pas d'amis, prends un fusil ♥ »
feat Héra
Il fallait avouer que ses seins étaient très moelleux, oui moelleux, je n’avais guère pu toucher plus moelleux de toute ma vie de pervers, oh mon Dieu ! Qu’est-ce qu’ils sont bien… Hum,hum, bref je m’égare, en tout cas la femme me regardait méchamment, j’avoue qu’elle faisait un peu peur avec cet air sévère et on dirait qu’elle avait l’habitude d’être sévère avec les gens.
HERA > On ne touche pas, petit sang-mêlé.
NEVER > Vos seins sont merveilleux !
Ben, oui, pervers comme réflexion, très même. Surtout quand j’allais apprendre plus tard qui elle était. Mais bon en ce moment j’avais plus peur pour moi que pour elle m’empoigna par la nuque. Elle se mit à me traîner par terre. Par rapport à ses seins, le sol était beaucoup moins chaud et surtout beaucoup moins moelleux mais alors là je ne pouvais pas me tromper. Oh mon Dieu ! Rien que de penser à ses seins me permet d’oublier la douleur qui me traversait la nuque. Je serais enchanté de pouvoir relater dans mon carnet de pervers : « Seins de la belle inconnue rencontrée au Panthéon : merveilleux. » Oui vous allez me dire que tenir un carnet comme celui-là c’est extrêmement pervers etc… Mais ne vous inquiétez pas, je ne touche que ceux des adultes. Franchement, vous m’imaginez une seconde toucher les petits seins de Lindasilme. Non. Je n’irais jamais jusque là. Surtout à ma petite Lindasilme. Bref, après ce long monologue sur ma vie personnelle, revenons à notre histoire. La femme me trainait sur le sol en me tirant par la gorge ce qui était très désagréable. J’avais l’impression que mes cheveux étaient en train de se détacher de ma tête, la douleur me traversait le cou et si je n’avais pas un torticolis ce soir ce serait un miracle. La femme arrêta de me trainer mais continuait de me tenir par la nuque. Elle s’était arrêtée devant une statue qui représentait une déesse, très belle, qui me rappelait vaguement quelqu’un. Je tournais la tête comme je le pouvait et la voir me fit frémir d’horreur : c’était la femme de la statue. Une déesse. Je pensais que je n’allais peut-être pas pouvoir écrire la consistance de ses seins dans mon carnet car je serais peut-être mort à ce moment là. Mais je pansais tout de même à ce que je pourrais écrire dans mon carnet ce soir si toute fois j’était encore vivant : « Seins de la Déesse du Panthéon : merveilleux. »
HERA > Sais-tu qui est CETTE déesse, morveux ? Cette déesse, c'est Héra. La déesse la plus influente du panthéon, si tu ne veux pas voir ta petite vie minable se terminer dans un claquement de doigt, tu ne l'offenses pas. EST-CE QUE C'EST COMPRIS ?
Voilà. Mes soupesons étaient confirmés. La femme qui me tenait la nuque était Héra, reine des dieux, femme de Zeus. Elle était reine et donc connaissait bien les différents dieux et déesses. J’espère qu’elle pourra me parler de mon père. Je ne l’aime pas vraiment parce qu’il n’a jamais essayé de me voir mais si j’apprenais à le connaître, je pourrais essayer de lui ressembler même si cela allait être un peu compliqué. La phrase que prononça Héra me fit revenir à la réalité.
HERA > Les excuses s'en viennent, j'espère.
NEVER > Est-ce que si je m’excuse vous me parlerez de mon père ?
J’avis posé cette question avec une certaine appréhension de ce qui pourrait se passer. Je m’imaginais déjà mourir dans d’atroces souffrances sous le regard triomphant d’Héra. Je profitai d’un petit moment d’inattention de celle-ci pour me dégager de l’emprise qu’elle entretenait toujours sur ma nuque. Je me relevais difficilement en me frottent celle-ci ; elle était chaude et aussi rouge que mes cheveux à présent, ce qui était pas très bon signe vu la teinte de mes cheveux. J’avais très envie d’en savoir plus sur mon père. D’après ce que je savais déjà il était très intelligent : déjà sur ce point je ne lui ressemblerais jamais. Mais peut-être que je pourrais le copier sur son sang-froid à toutes épreuves… Héra… Dites-m ‘en plus ! En fait... J'avais pas trop envie de m'attarder ici. Alors je me tourna et me barra d'ici vite fais on peut dire qu'elle me reverras pas de si-tôt.