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 dis, tu veux bien être ma famille ? | freya

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Anonymous
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Re: dis, tu veux bien être ma famille ? | freya | Mer 25 Mar 2015, 18:43

Tes yeux te brûlaient encore un peu, éléments marquant les larmes violentes qui s'étaient abattues sur tes joues plus tôt. C'était désagréable. Tu savais que tes yeux devaient avoir pris cette couleur caractéristique rougeâtre, preuve que tes yeux avaient pleuré. Ils te faisaient un peu mal aussi, quoi que cela fut d'avantage une gêne. Tu détestais pleurer. Peut être parce que tu ne savais trop bien ce que cela faisait, peut être parce que tu avais trop laissé échappé de sanglots dans ton existence ne comptant pourtant qu'une petite dizaine d'années. Tu détestais cela. Tu te sentais pitoyable, après, en plus. Pourtant, cela allait, tu ne te sentais pas nulle, là. Tu ne te sentais pas juste faible, tu ne sentais pas toutes tes faiblesses exagérées, exacerbées à en devenir étouffantes. Alors tu souriais, même si tes yeux te brûlaient, signe distinctif de larmes ayant coulé, tout comme la couleur caractéristique preuve que tes yeux avaient pleuré. Ton carnet tourné vers ses yeux, tu attendis simplement sa réponse. Amie. Cela faisait un peu mal d'y penser. Après tout, le seul ami que tu n’aie jamais eu était... quoi, mort ? Tu n'en savais rien, à vrai dire. Juste brisé, broyé, la gorge ouverte par un frère disparu depuis longtemps. C'est fou comme toutes les personnes que tu avais un jour aimé étaient... Mortes. Ce qui te poussait d'avantage à craindre d'aimer quelqu'un d'autre. Pourtant... Tu ressentais ce besoin, tu ressentais ce manque, et tu savais que Freya, tu avais le désir le plus intense d'être son amie. Alors tu te pinças timidement les lèvres, un peu inquiète.

« Ami ? C'est comme cela que s'appelle les gens quand ils s'entraident ? »

Tu clignas des yeux, penchas la tête. En vrai, tu ne t'étais jamais penché sur la définition d'un « ami ». C'était quoi, un ami ? Quelqu'un qu'on aime, toujours présent pour soi et réciproquement, quelqu'un avec qui on rit, qu'on soutient et... Avec qui on s'entraide ? Sûrement. Alors tu hochas vigoureusement de la tête en guise d'affirmation. Tu voyais dans son regard qu'elle était quelque peu pensive, puis, tes doigts furent un peu plus comprimés et tu clignas simplement des yeux – tu ne pouvais rien faire d'autre qu'attendre qu'elle ne rouvre la bouche.

« Bon d'accord, va pour cela. Moi, je ne sais pas comment cela fonctionne des amis, faudra que tu m'explique. Je sais plus grande chose depuis que ma mémoire est partie. Donc si je me trompe, excuse-moi. Car je n'ai pas l'intention de faire mal. »

Des paillettes apparurent littéralement dans tes yeux alors qu'elle acceptait d'être ton amie, et tu te retins difficilement de lui sauter dessus pour un hug de la mort. Parce qu'en réalité, passé le mur de pierre de plusieurs kilomètres de crainte et de violence, tu étais un véritable rayon de soleil plein de joie. Oui oui j'ai bien écrit ça. Tu étais juste une fille brisée par la vie, mais qui au fond, était vivante. Vivante, passionnée. Alors tu penchas légèrement ta tête de droite à gauche avec un immense sourire content avant de rouvrir les yeux – qui étaient fermés, sinon cette phrase n'aurait aucun sens – et de reprendre ton carnet pour continuer de discuter avec ta... Nouvelle amie. Amie. Tu avais une amie ! Tu étais tellement, tellement heureuse.

« Je n'ai eu qu'un seul ami, alors je sais pas trop non plus, mais on devrait s'en sortir ! Puis j'ai lu des livres dessus. Les livres c'est bien. Tu aimes les livres ?
Et tu sais, je suis forte en vrai, donc ça ira ! Je pourrais t'aider aussi et, j'irais bien, tant que tu seras mon amie
 »

Tu gardais ton sourire ravi, alors que tes propos – atrocement mignons – s'étalaient devant les yeux bleus de la brune. Tu étais aux anges. Même si au fond, une petite partie de toi venait se baigner dans un lac gelé d'incertitude et de crainte – crainte d'aimer pour après en souffrir comme cela avait été plusieurs fois ton cas –, petite partie que tu t'évertuais à ignorer de tout ton être.




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Re: dis, tu veux bien être ma famille ? | freya | Mer 25 Mar 2015, 20:09

Freya jouait avec ses cheveux nerveusement, évitant ainsi se mordre une énième fois de se mordre les lèvres, c'était arrivé tant de fois. La métisse le faisait plus que de raison, ce qui rendait cette partie de son être plus sensible et plus robuste. C'était étrange comme le corps humain était fait. Avoir une amie, cela bizarre à la jeune fille. Elle sentais son cœur battre dans sa poitrine et ses tremblement être comme oublié, comme si ces derniers n'était que des souvenirs. Pourtant la vérité était là, elle aurait facilement peur, à la moindre brusquerie, pour le moment, mais comme Robin, elle voyait Betty comme un acolyte, une personne qui serait indispensable, donc, pardonner ses erreurs futures et passées. Elle n'était pas la seule à avoir peur. Cela la rassurait tout de même que la peur était quelque chose de plus ou normale. Sa peur à elle était plus puissante que celle des autres, mais elle n'en savais rien. Naïve sur son propre sort. L'innocence avait du bon parfois. Elle était contente, la clown pouvait le voir à son sourire, elle aimait tant voir cela, ces sourires qui n'appartenait qu'à elle en ce moment. Elle écrivait rapidement, jamais la demoiselle n'avait vu cela avant elle. C'était vraiment particulier. Elle était toujours étonnée par son amie, c'était difficile à comprendre, mais plus elle le pensait, plus c'était réel dans sa tête. Avait-elle eu des amis autrefois ? Avant de venir ici ? Elle expliquait qu'elle en savait pas grand chose elle se mordait l'ongle, sans le ronger. Elle lui demandait si j'aimais les livres.

« Euh, je pense, j'en ai pas lu beaucoup, que ceux que je trouvais, mais je les comprends pas, ils utilisent des mots compliqués, je connais pas, je dois demander à Iorek de m'expliquer , c'est mon affilié, un ours, mais il ne sait pas tout. Alors je demande aux autres du cirque, fin ceux qui me font pas peur. »

Freya souriait, car elle ne pouvait en faire autrement. Elle se sentais pas totalement en sécurité, mais il y avait clairement un mieux. La grande fille n'était plus effrayé. Elle avançait dans cette aventure que l'on nommait amitié. Si elle ne tentait pas d'elle-même. Elle finirait par regretter de ne pas avoir fait cette expérience. Puis Elle savait que la petite ne voulait pas de mal. Cela la rassurait. Cela n'enlevait pas toutes ces peurs. Mais elle pouvait lui serrer la main, comme une personne normale, bien loin ce qu'elle était. Une paranoïaque, une personne qui se méfiait de n'importe qui, cela arrivait qu'elle se méfie de Lyvion ou Amel, mais finissait par leur faire une confiance totale. Le laissant guider par ses sentiments, plus que par son instinct qui lui disait de fuir. Il privilégiait toujours cette option, la mettant en avant par rapport aux autres. Car elle ne voulait blesser personne.

« Donc, je vais t'appeler par ton prénom, Betty. Merci. Je ne te trahirai pas, je suis pas une méchante, pas comme le joker. Moi, comme tu l'entends, j'aime les comics. Peut-être que si je lirai des livres, j'aimerai cela. J'en sais rien au fait. »

Elle riait, innocente Freya, bien loin de l'idée que relation pourrait lui apporter.




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Re: dis, tu veux bien être ma famille ? | freya | Jeu 02 Avr 2015, 17:27

Tu étais heureuse. Tu étais tellement contente, là maintenant... Freya avait accepté d'être ton amie ! Tu avais une amie ! Tu ne pouvais t'empêcher de sourire, penchas légèrement la tête sur le côté alors qu'elle lisait ton mot. Tu te contentais donc d'attendre que cela ne fut fait, puis la brunette releva les yeux vers toi pour te répondre.

« Euh, je pense, j'en ai pas lu beaucoup, que ceux que je trouvais, mais je les comprends pas, ils utilisent des mots compliqués, je connais pas, je dois demander à Iorek de m'expliquer , c'est mon affilié, un ours, mais il ne sait pas tout. Alors je demande aux autres du cirque, fin ceux qui me font pas peur. »

Tu clignas des yeux. Iorek, un ours, son affilié ? Oh ! Elle avait une très grosse peluche pour affilié ! Tu t'imaginais que cela devait être rassurant. En plus d'être une très grosse peluche, un ours, c'est dangereux, donc elle devait se sentir en sécurité, protégée par un tel compagnon. Tu ressentais la même chose à propos de Stitch ; il était rassurant, paternel, et très protecteur. Puis, tu savais qu'il demeurerait toujours à tes côtés, et cela avait tendance à t'apaiser. Il te protégeait, te parlait, s'occupait de toi, t'aimait. Et toi en retour, tu l'aimais énormément aussi, ton dragon. Cela te fis penser à votre rencontre, mais tu chassas rapidement cette pensée de ton esprit – cela faisait encore un peu mal, sans doute.

Freya aussi souriait. C'était rassurant, de ne pas se sentir seul. Tu te disais cela, tu songeais à quel point il était plus doux de vivre grâce aux autres, dans le reflet de leurs yeux et à travers leurs sourires. Bien que tu avais toujours privilégié ta propre survie en fuyant autrui, bien que tu avais toujours été effrayée à l'idée de t'attacher... Aujourd'hui, tu avais beau être un peu craintive, tu souriais. Tu étais contente de ce lien que vous aviez – commencé à – tisser. Tu te lançais dans cette grande aventure qu'était l'amitié la tête la première avec autant d'appréhension que d'excitation.

« Donc, je vais t'appeler par ton prénom, Betty. Merci. Je ne te trahirai pas, je suis pas une méchante, pas comme le joker. Moi, comme tu l'entends, j'aime les comics. Peut-être que si je lirai des livres, j'aimerai cela. J'en sais rien au fait. »

Tu acquiesças d'un mouvement de la tête quant à ton prénom et lui offrit un autre sourire rayonnant, les yeux fermés et la tête légèrement penchée sur le côté. Tu écoutas attentivement le reste de sa phrases et papillonnas des yeux, puis retournas ton calepin pour lui parler à ton tour. Freya aimait les comics... Toi, tu n'en avais jamais lu. Tu connaissais un peu l'univers Marvel, mais seulement en tant que référence dans un certain nombres de livres que tu avais littéralement dévorés. Il faudrait que tu essayes, cela ferait un bon sujet de conversation.

« Donc je t'appellerais Freya ! Merci toi aussi, et je le jure, je serais toujours là pour toi. »

Tu attendis qu'elle lise, puis retournas à nouveau le calepin pour continuer sur ta lancée.

« J'ai jamais lu de comics, tu voudras bien m'en faire lire un ? Je te prêterais un livre si tu veux en échange. Tu es dans un cirque ? C'est comment ? »

Tu étais un peu curieuse.




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Re: dis, tu veux bien être ma famille ? | freya | Ven 03 Avr 2015, 08:13

Freya était toujours u peu nerveuse, bien que cette fois, elle était un peu plus sûre de ces actions. Car elle était avec personne qui était de son côté, une amie. Ce mot sonnait étrange dans la tête de la métisse. Mais elle pouvait sentir une chaleur se répandre dans son corps quand elle voyait les sourire de la plus petite. Car oui, elle était toujours plus grande qu'elle et ce malgré qu'elle se penchait pour lire les feuilles. Elle ne voyait pas le changement quand elle parlait de son ours. L'air de rien, elle savait bien que c'était assez rare. Elle l'avait vu de ses yeux bleus. Elle semblait d'accord avec la jeune clown sur le fait que si elle testait pas, elle ne pouvait pas savoir si elle aimait ou non. C'est aussi pour cela qu'elle s'était tant attaché aux deux hommes du cirque. Elle leur avait donné une chance d'être différent. Bien entendu, elle n'avait aucune conscience de cela. Son innocence était loin d'être à la hauteur des esprits calculateur. Des références à d'autres univers cela se faisait tout seul et heureusement, la jeune femme y était déjà un peu commune à tout cela. Par moments, la demoiselle se disait que les mondes imaginaires avait un lien avec les autres. Mais bien vite, elle oubliait son idée. Tout cela était bien loin de tout ce qu'elle pouvait imaginer ou faire. Elle n'avait qu'un faible talent de création. Elle écrivait vite, comme toujours. Elle souriait en lisant, elle était vraiment contente. Elle allait tester leurs univers. C'était quelque chose de beau. Elle avait hâte, notre jeune fille ne pouvait que sautiller sur place à ce moment.

« Le cirque, c'est spécial, on dit souvent que nos numéros sont différents. Pour moi, ils sont normaux. Mais, ils sont beaux à voir. On fera ça alors. On s'échangera nos lectures. Dis-moi ? Il y a des mots compliqué dans les livres ? Je n'aime pas trop cherché dans le dictionnaire leurs significations. Je sais certaines choses, un grâce à lui. »

Freya n'avait en aucun cas honte de son manque de savoir. Elle habitué à le signaler aux personnes qui lui conseillait certaines choses. Ce qu'elle aimait ans les comics, au-delà de l'action, c'était les dessins. Elle avait tenter de dessiner, sans succès, elle avait fait une espèce de patate difforme avec une cape rouge. Elle avait rit et déclaré qu'elle avait fait super pomme de terre. Elle souriait à ce souvenir. Elle avait mis son dessin de côté sans l'approcher, c'était loin d'égaler l'affiche du cirque collé dans sa caravane.

« Tu ne peux pas être là pour moi tout le temps, c'est flippant. Je n'ai pas de ça. Faut aussi que tu vis. Ne t'en fait pas, si j'ai besoin de toi, je saurai te trouver. Nous sommes à présent liés, donc, je ne te fuirai plus. Sauf si tu sors brusquement d'une cachette. Cela fait peur. »

Freya offrait là un de ces sourires tendre à la jeune fille ainsi qu'un câlin, elle qui ne le faisait jamais, sauf à Amel parfois, mais c'était rare, ces signes d'affections étaient quelque chose de peu commun. Paranoïa oblige.




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Re: dis, tu veux bien être ma famille ? | freya | Dim 05 Avr 2015, 22:58

Tu voyais dans sa rétine au moins autant d'excitation qu'il ne devait y en avoir dans la tienne. Tu avais hâte d'aller la voir, encombrée de livres – simples, pour qu'elle comprenne, pour commencer – et t'affaler avec elle pour dévorer les siens. Hâte de contourner les traits des comics et en refaire les couleurs dans le reflet des verres de tes montures écarlates, de rire avec elle et de faire tout ce que deux amies faisaient. Tout ce que tu étais capable d'imaginer et de scénariser dans ta petite caboche. Tu supposais que la mâte songeait aux même choses, plus ou moins. Pressée de vous connaître, de l'aimer aussi peut être, quand bien même cela pouvait aussi faire peur. Pressée qu'elle ne fasse pleinement partie de ton monde, qu'elle n'en devienne une place irremplaçable et unique, quand bien même cela ferait mal, quand bien même cela pourrait t'offrir bon nombres de nouvelles plaies.

« Le cirque, c'est spécial, on dit souvent que nos numéros sont différents. Pour moi, ils sont normaux. Mais, ils sont beaux à voir. On fera ça alors. On s'échangera nos lectures. Dis-moi ? Il y a des mots compliqué dans les livres ? Je n'aime pas trop cherché dans le dictionnaire leurs significations. Je sais certaines choses, un grâce à lui. »

Tu penchas la tête. Des numéros différents ? Déjà... C'était quoi, un numéro « normal » ? Pour dire que quelque chose était différent, il fallait un référent, un objet sur lequel se baser pour savoir ce qui divergeait de la « normale ». Tu n'avais pas ce référent. Donc tu ne savais pas trop. Tu avais sans doute lu quelque chose en lien, dans un de tes bouquins... Mais, rien ne te vint à l'esprit. Quoi que c'était le cadet de tes soucis, tu verrais bien le moment venu !

« Tu ne peux pas être là pour moi tout le temps, c'est flippant. Je n'ai pas de ça. Faut aussi que tu vis. Ne t'en fait pas, si j'ai besoin de toi, je saurai te trouver. Nous sommes à présent liés, donc, je ne te fuirai plus. Sauf si tu sors brusquement d'une cachette. Cela fait peur. » 

Tu hochas d'un léger mouvement de tête. Elle... Prenait tout au pied de la lettre. Cela te fit rire de ce rire silencieux que l'on voyait pourtant si peu chez toi, mais qui t'allait somptueusement bien. Tu repris ton calepin pour continuer.

« Non mais, c'est une façon de parler t'inquiète pas. J'ai une vie aussi, à côté, comme toi. Et oui, tu pourras toujours me trouver. Et aussi, il faudra que je vienne te voir au cirques ! J'aimerais bien voir où tu vis, comment sont les gens avec qui tu partages tes journées... Et pour les mots un peu compliqués, je te les expliquerais voilà. On se fera des journées lectures, ça te dit ? Et tu veux bien me parler du cirque, un peu ? je suis curieuse »

Tu étais heureuse, tu semblait presque briller, et l'on aurait presque pu jurer voire des étoiles autour de toi tant tu respirais la joie.




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Re: dis, tu veux bien être ma famille ? | freya | Lun 06 Avr 2015, 07:56

Freya gardait son sourire, il ne la quittait plus pour le moment. C'était comme si l'amitié nouvelle apportait du bonheur à la jeune fille. Ce n'était pas faux en soi. Elle était aussi contente d'avoir pu laisser une autre personne dans sa vie, pour une personne ordinaire, c'était normal, mais pour elle c'était quelque chose qu'elle faisait vraiment pas naturellement. Il n'était pas facile pour elle d'avoir d'autres proches. Même si ses sourires et ses mots pouvait toucher autrui. La fuite était sa solution pour échapper à ses craintes. Elle le faisait encore à certains de ces contact, pourtant elle les connaissait. La jeune fille resterait parano, quand bien même elle serait entourée, car il y avait toujours de quoi se méfier. Il lui a fallut longtemps pour se confier à Lyvion. Le temps et les moments ensemble changerait la donne pour elle et la fille qui lui parlait à travers son carnet. C'était étrange d'échanger comme ça. Mais son écriture soignée était loin de la faire reculer, au contraire, sa belle façon de noircir ces feuilles blanches intriguait la clown, comment elle faisait pour écrire si proprement ? Pourquoi son écriture à elle était presque illisible ? Tellement de question qui tournait dans la tête de la métisse. Mais les mots de la fille aux lunettes la rassurait. Elle ne serait toujours là et qu'elles se ferait des soirées lectures. Avant de lui demander encore pour le cirque.

« Le cirque, comment dire, si tu veux pas en faire partie, ne viens jamais après représentation. Le chapiteau est grand, il se trouve dans les plaines en général, mais on se déplace par moments. Notre place préférée reste celle-là. Il y a des artistes vraiment cool. Un magicien un peu flippant, mais ses tours sont vraiment à couper le souffle. C'est quoi des soirées ? Je cours quand il fait noir... »

Freya savait que c'était là que les fous se baladait, mais elle voulait tellement pas rencontrer trop de monde qu »'elle avait pris l'habitude de courir quand la nuit tombait. Et elle voyait bien que plus la saison chaude approchait, plus elle le faisait tard. Elle finirait sûrement par arrêter d'attendre la nuit pour se défouler physiquement, elle ressentait ce besoin de le faire. Elle n'était une fille qui lit de base. Avant sa perte de mémoire, elle n'aimait pas cela, alors sa passion des comics était toute nouvelle et sa curiosité pour les livres due à cette fille. Parfis, son amnésie avait du bon. Ce genre de choses en faisait partie.

« C'est un peu comme une famille, le cirque. La troupe est bordélique, l'acrobate fuit madame loyal, le dompteur dors souvent, la trapéziste saute sur tout ce qui bouge, j'ai réussi à l'éviter pour le moment, mais elle finira par m'avoir et me serrer bizarrement. A part ça, je ne peux pas te dire grand chose de plus. »

Freya n'en savait pas plus que cela, puis certaines choses restaient secrètes comme Amel et ses personnes qui entraient et sortaient de sa caravane ou d'autres choses qu'elle avaient vu de ses yeux innocents.




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