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 let's talk about love...

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Re: let's talk about love... | Mar 16 Déc 2014, 00:00


let's talk about love...
f e a t ; Eole ♥

T
rouver sa place n'était pas forcément chose évidente dans une famille aussi grande que celles des dieux de l'Olympe. Il faut dire que Zeus avait une bonne tripotée d'enfants, sans même compter les « mortels ». Rien que sur  l'Olympe, les fils et filles du dieux des Dieux étaient bien plus que présents, tous des dieux eux-mêmes... Et il faut dire que cela ne faisait pas toujours des relations faciles. Il n'y avait qu'à voir Artémis et Aphrodite.. Ou même Arès et Athéna ! Frères et sœurs, mais s'entendant parfois – la plus part du temps – comme chien et chat. Sachant que peut de ces dieux étaient l’œuvre d'Héra et Zeus combinés, cela n'arrangeait pas vraiment bien les choses... Et puis, il était parfois compliquer de rentrer en contact avec les autres deux, même si ceux-ci sont des frères et sœurs, que vous avez le même père... Oui, les affinités, chez les dieux, c'était assez compliqué. Aphrodite pouvait concevoir le fait qu'on souhaite absolument faire partie du cercles privé du panthéon... Mais c'était seulement lorsque l'on voyait les avantages.Certes, vous étiez un dieu connu et reconnu par tous, mais il ne fallait pas oublier que les obligations, les devoirs, sont très importants. Même les dieux les plus hostiles aux règles se pliaient au rendez-vous, aux réunions. Parce que c'était important. Aphrodite était loin de se plaindre de sa condition – au contraire, elle était bien plus bénéfique au final, elle n'hésite d'ailleurs  pas à le clamer haut et fort – mais parfois elle en a juste raz-le-bol d'être prise pas cette fonction, d'occuper cette place. Et oui, c'est grâce à cette place qu'elle se retrouve là où elle est aujourd'hui ? Elle aura beau crier l'inverse, jamais la liberté ne sera complètement à elle. Il y avait quelques escapades, parfois plus longues – il lui est arrivé de fuguer pendant des années – mais toutes avaient un fin. Toujours elle retournait les talons et reprenait place dans ses appartements. Car tôt ou tard, le passé, les devoirs, votre rang... Tout cela vous rattrape. Enfin, ce n'était peut être pas le cas de tous les dieux. Mais derrières ses apparences, Aphrodite était assez sérieuse. Elle prenait tout à la rigolade, avec légèreté, mais c'était une manière de se protéger, de fonctionner, de charmer peut être aussi. Aphrodite restait un mystère pour elle même.... Mais c'était un charme, le côté mystérieux attire les hommes non ? Et les femmes évidemment. Arès avait bien apprécié cela après tout... C'était le plus important.

Héra ? Cela étonnait Aphrodite d'entendre de telles questions sortir de la bouche d'Eole. Elle n'était pas habituée de parler de la reine des dieux, en fait. Mais cela ne lui faisait pas de mal : elle n'avait pas peur de cette déesse. Au contraire. Elle trouvait sa jalousie à la fois touchant et envahissante. Il faut dire que les deux déesses se faisaient un peu la guerre depuis toujours. Une guerre en version féminine, à coup de regards, de remarques mais en coopérant tout de même. Et oui, imaginer un peu le pouvoir que l'on pouvait avoir si on conciliait Amour et Mariage ?  Peut être qu'un jour les deux déesse finirait par parler de tout ce qui ne va pas, de tous ces bâtons qu'elles ont mis dans les roues de l'une comme de l'autre. Car il n'y avait pas une fautive dans leur histoire, mais bien deux ! Aphrodite regarda son cousin rire : au moins, cela le faisait rire !

« Contente que cette histoire te fasse rire ! Je t'avouerais que je n'ai pas souvent l'occasion d'en parler... Finalement je ne croise que très peu Héra. Tout comme Zeus. »

Oui ou alors, elle les voyait quand elle allait faire un énième caprice à son père... Mais c'était une autre histoire.

« Oui... Son seul fils légitime... Je ne sais pas trop. Je n'ai pas trop eu l'occasion d'en parler avec elle. Mais bon. Peut être qu'un jour... On verra bien. Comme tu dis, je vais profiter d'Arès pour le moment, c'est bien le plus important ! »

Aphrodite lui lança un grand sourire. Cela ne se voyait peut être pas, mais on touchait des sujets qui  atteignaient de plus en plus le cœur de la déesse. Des questions qu'elle se posait depuis toute petite, des histoires de filles, des incompréhensions, des quiproquos... Aphrodite ne savait mettre de mots sur tout cela. Et elle n'en parlait que très rarement. C’était un peu son petit monde, son jardin secret.

« Merci Eole. Pour cette proposition. » dit-elle en lui offrant un sourire clame et sincère. Après un temps de pause, elle reprit la parole « Tu... Tu n'aimes pas les confidents ? »

Ce n'était pas une question qu'elle avait formuler dans le but de l’agresser. Bine au contraire. Mais cela faisait deux fois qu'il évoquait ces confidents, se comparant aux mortels, et on aurait dit que cela le dérangeait.

« Personnellement, je les aime bien. Je pense que c'est important d'avoir des personnes à qui  parler, des personnes qui ne nous jugerons pas. Les hommes qui trouvent ces êtres sont bien chanceux ! Dieux savent qu'un éternité c'est bien long, surtout lorsque l'on a personne à qui parler. »





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Re: let's talk about love... | Mar 16 Déc 2014, 10:22














 ❝ let's talk about love... ❞
La beauté & le rouquin




Je regardais ma cousine, il faut dire que mes mots étaient là pour la faire un peu réfléchir, je ne détiens que le vent, les autres choses sont aux autres dieux, ce qui m'empêche d'être parfois sage, parfois gamin, toujours changeant, jamais le même, ou très peu, recommençant le cycle sans me préoccuper des conséquences . Mes rires sont naturels, jamais forcé ou que peu. Ceux que je donnais à Aphrodite était plus que sincère. Elle avouait qu'en dehors de toutes leur réunion, elle ne la croisait pas des masses, même d'en parler, les soucis des mortels étant leur préoccupations. Les dieux, on était une famille pourtant aucune réunion ne pouvait nous rassembler tous. Il y aurait toujours un pour trouver une excuse pour être absent. Je passais ma mais dans mes cheveux roux. Elle avait raison, elle voulait juste profiter au maximum des moments avec son amant, franchement, en la voyant si heureuse, je ne pouvais qu'être tenté de reprendre avec ma femme. M'accepterait-elle après toutes ces années. J'avais un peu peur. Oui, j'ai peur, une divinité avait aussi droit d'avoir des craintes. La perdre pour toujours me ferai mal, je le savais, je ne voulais pas me l'avouer, j'aimais trop ma liberté, celle que je jouissait à chaque moment. Je me mordais doucement les lèvres. Elle me remerciait pour la proposition, je souriais doucement. Elle vint me demander si je n'aimais pas les confidents, je riais doucement, elle était comique, j'ignorais cela, après l'humour était particulier à chaque divinité. Elle expliquait son point de vue sur ces êtres particuliers pour les mortels. Elle disait que Dieu ne connaissait que solitude et ennui, notre immortalité était à la fois un cadeau et un poison. Je la regardais des mes deux yeux avant de poser ma main sur son crâne doucement. Un sourire afficher sur mon visage.

-J'aime aussi les confidents, j'envie beaucoup les mortels de s'être trouvé ce genre de choses. Savoir tout de l'autre ou presque, il faut assumer et garder tout soi. Cela doit être une question de fierté, mais aussi de soulagement, savoir qu'on est la seule personne qui est au courant de l'être que tu est. Ta fidélité me touche, franchement, je me sens honteux d'avoir éviter ma femme tout ce temps, je me sens pas prêt à l'affronter, c'est idiot n'est-ce pas une divinité qui a peur d'une nymphe qui partage sa vie. J'ai aussi réaliser ma peur de la perdre. Je suis qu'un imbécile, vois-tu, trop épris par sa liberté. Je devrais profiter de ce genre de moments moi aussi. Merci de tes conseils avisés. Ils resteront dans ma tête et bientôt j'irai reconquérir celle qu'on m'as donné comme femme. Malgré qu'elle m'avait pas mal ennuyé, c'est la personne que j'ai aimé le plus intensément.

Je lui faisait un clin d’œil, rassuré de m'être dit ce genre de choses, j'ignorais encore quand je recommencerait, mais j'étais le genre de personne qui tenait parole, surtout aux dieux du Panthéon. Ils était pour moi, mes supérieurs. Me confier à l'une d'entre eux était un peu pompeux, non. Je me grattais le cou nerveusement. Je ne savais plus que faire pour stopper cette crainte. Pour l'oublier un peu, je jouais avec le vent, élément que je suivais envers et contre tout, je suis le maître du vent, plus mes fils, ceux a qui j'ai donné mes pouvoirs, mais aussi un statut Divin, les condamnant eux aussi à vivre cette éternité. Comme mon coup de tête de marié mes enfants, ils avait fini par mourir, ma femme était toujours vivante et je m'en réjouissait aujourd'hui, je vérifias ma température. Aphrodite en me parlant d'Arès m'avait donné juste envie, une envie que je ne pourrai éteindre facilement. Je continuais mon amusement avec mon élément quelques instants. Je me sentais comme poussé par un vent nouveau. Je n'allais pas l'ignorer, cela non. Je regardais ma cousine. Elle avait raison. Je caressais ses cheveux doucement, c'est elle qui devait me faire cela. Mais non c'était moi qui le faisait. Je n'allais pas abandonner cette idée. Elle était en moi. Je comprenais leur soulagement, ce poids à porter sur les épaules, garder ma mémoire, ce n'est pas quelque chose que ma femme pourrait me retirer. Comment faisait-elle pour supporter la douleur de ma retirer des souvenirs, j'en savais fichtrement rien.

-Je me sens plus léger, comme si un poids se retirait des mes épaules, c'est comique, c'est cela que doivent ressentir les mortels. C'est tellement beau, tout semble changé, pourtant on est les mêmes. Juste merci.


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Re: let's talk about love... | Sam 20 Déc 2014, 01:01


let's talk about love...
f e a t ; Eole ♥

A
phrodite ? Moralisatrice ? Laissez moi rire. Jamais la déesse de l'Amour ne s'aventurerait à cette tâche : elle n'était pas là pour juger les autres. Enfin si. Elle pouvait se le permettre, techniquement. Sur deux choses : le physique et les histoires d'amour. Mais même, je ne sais pas si le terme moralisatrice serait le bienvenue. Elle ne cherchait pas à dire ce qui était bien ou non, à ne faire de la race humaine qu'un ensemble qui se ressemble. La beauté, tout comme l'amour, sont des choses qui peuvent bien différer d'une société à l'autre. Aphrodite avait toujours voulu expérimenté mille et une chose, depuis longtemps. Joueuse de nature, elle avait très rapidement mis en place des différences entre les manières de se comporter lorsque l'on était en couple dans telle ou telle société. Il en va de même pour la beauté. La déesse prenait un malin plaisir à tout  remanier à sa sauce, à créer ouvertement des différence. Car il n'existe, en aucun cas, un seul et unique genre de beauté. L'amour fonctionne avec les mêmes genre de règles. Très fluctuant comme affaire. Comme le vent non ? Peut être était-ce une des raisons pour lesquelles elle s'entendait aussi bien avec son cousin ? Alors certes, la déesse était toujours de bon conseil, elle comprenait très rapidement les situations qu'on lui exposait et décelait le problème avec une rapidité phénoménale... Mais elle n'était pas là non plus pour donner une ligne de conduite. En amour, comme en beauté. Pourquoi ? Parce que ces concepts n'étaient pas palpable : il faut obligatoirement passer par la personne pour les comprendre, les faire naître, les faire disparaître... Et ce fait rend les choses bien compliquer. Les gens sont tous différents des uns des autres, ils ont tous un vécu, des traits de caractère, des familles, des manières de lier des liens très différents. Il ne suffit pas de changer de pays pour observer ces différences, mais simplement de frapper à la porte de son voisin. Aphrodite avait compris cela très rapidement. Depuis qu'elle était toute petite, elle avait un regard très juste sur le monde, et n'avait donc jamais vraiment étiqueté de loi ou de manière de se comporter. Les sociétés dans lesquelles elle glissait des idées refaisaient sortir des stéréotypes, mais ce n'était QUE des stéréotypes. Il n'y a pas une manière de faire, mais une multitude. Autant que de gens existant sur ces terres. Alors comme faire une loi qui fonctionne avec tous ? Impossible. Aphrodite se contentait simplement d'aller à la rencontre des personnes, de les comprendre et de les faire réagir. Elle n'avait pas bien souvent de recette miracle, et n'abusait pas de ses pouvoirs : il fallait que les mortels méritent ses soins, qu'ils en paient le prix si elle avait la grâce de se déplacer jusqu'à eux. Sinon, elle restait en haut de sa tour pour les observer et former quelques petits couples quand elle s'ennuyait.

Mais jamais, jamais, elle ne jugerait ce qui est bien ou mal dans un couple. Il n'y a pas de mauvais dans un couple, pas de bien. C'est une histoire que l'on vit à deux. Il n'y a pas de coupable et de victime. Il n'y a pas de responsable... Quelque chose que l'on construit à deux ne peut avoir qu'un seul coupable. C'est ce qu'elle pensait. Après, peut être que certain cas lui prouvait le contraire... Parce que, comme toute position, il fallait aussi savoir voir l'inverse. La déesse sort de ses pensées grâce à la main d'Éole. Celle ci c'était délicatement déposée sur le crâne de la déesse. Et, munit d'un beau sourire, il semblait vouloir la rassurer. Le sujet qu'ils abordaient... Enfin non, qu'elle avait abordé, n'était pas vraiment évident. L’immortalité, était-ce un poison ou une  bénédiction ? L'amour ? Le mariage ? Les enfants ? Tant de questions qui restaient bien souvent (trop souvent) sans réponses... Il fallait des confidents pour parler de tous ces sujets, pour échanger des avis, des idées. L'échange a toujours été très intéressant, c'est essentiel à nos vies... Et heureux soit celui qui trouve cette personne. Car c'est assez rare de croiser des gens qui ne poseront pas forcément un regard rempli de jugement... Et qui vous accepteront tel que vous êtes... Seront prêt à vous aider. Aphrodite aimait tendre la main... Et se fichait qu'on la lui tende ou non en  retour. Car lorsqu'elle le faisait, elle le faisait sincèrement. Surtout lorsque l'on parlait de dieux. Oui, elle n'était pas du genre très sociable sinon. Enfin non, ouverte. Car la conversation, les connaissances, elle savait faire... Lorsque l'on rentrait dans du sincère, c'était encore mieux. Mais c'était aussi plus rare. Il fallait le mériter, la toucher. Éole la touchait. Son histoire, ses pensées, ses sentiments la touchait. Alors elle lui tendait la main.

« Oh, Éole. »dit-elle attendrit en souriant « Tu n'as pas besoin de te flageller autant. Comme j'aime le dire : il vaut mieux tard que jamais...Et  les gens font parfois de drôles de choses quand parle leur cœur... Simplement, je pense que c'était important pour toi de faire autrement avant. Il faut que tu gardes ta liberté. Ne la rejette pas, ne la saccage pas pour un couple. Il faut que tu sois toi, simplement. Et un Éole enfermé dans une cage, ce n'est pas toi ! »

Après un clin d'oeil et quelques caresses dans les cheveux de la déesse, Éole reprit la parole. Il se sentait plus léger ? Très bien. Aphrodite afficha une mine lumineuse. Si elle avait pu l'aider, elle était ravie. Rien ne lui ferait plus plaisir qu'il s'envole vers de nouvelles aventures, qu'il se redécouvre qu'il profite à nouveau de sa femme et de ses instants de bonheur que l'on partage à deux.

« De rien alors. Sincèrement. Si jamais... Tu as d'autres questions, ou un tracas, tu peux toujours venir frapper à ma porte. Ne l'oublie jamais.  » Aphrodite afficha un petit sourire en coin « A une condition bien-sûr : que tu me tiennes au courant des avancés de cette histoire !  »





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Re: let's talk about love... | Sam 20 Déc 2014, 12:57














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La beauté & le rouquin




Je restais comme un gamin pris en flagrant délit, un peu gêné par ce que je disais et je faisais, cela ne me faisait pas peur. J'avais vu pire que cela, je regardais ma cousine avec un question en tête, comment faisait-elle pour ne griller un fusible. Elle s’épanchait sur moi, disant que je ne devais pas oublier ma liberté, c'est celle qui me rendait tel que j'étais. Je souriais, ma liberté faisait partie de moi. Je ne devais pas tomé dans le piège, m'attacher sans oublier de rester moi, c'est comme cela que l'on m'aimait, j'avais ce besoin d’indépendance. Ma femme devait apprendre à l'aimer de toute façon, elle serait là à chaque fois. Je souriais content de moi. Elle semblait contente de m'avoir soulagé. Je penchais la tête. Je riais un peu, elle me rappelait un peu ce que je devais faire. Elle me disait qu'au moindre souci, je pouvais revenir la voir. Je souriais à nouveau, c'était vraiment agréable d'avoir quelqu'un pour parler, ça permettait tellement de choses. Elle mettait une condition qui me faisais rire si fort, que je sentais la douleur dans mes côtes. C'était d'un comique. Mon hilarité prenait fin quand je sentais mon vent revenir sur moi. Comme pour me rassurer, cela fonctionnait plus ou moins.

-Aucun souci cousine, je te dirai tout, je suis sûr que j'éviterai même pas les détails croustillant. Ahaha, je plaisante, c'est plutôt mes sentiments qui t'intéresse pas les détails de ce que je peux faire à celle à qui je suis marié. Donc, je pense qu'il est temps de nous séparer sur ces belles paroles, je te promets que je reviendrais te dire l'évolution de mon aventure, ça promet d'être autant amusant pour toi et pour moi. Promis Aphrodite, je la retrouverai, bien que je sais qu'avant j'irai un peu m'amuser. On ne me change pas facilement, c'est moi qui change, selon mes désirs. Aphrodite, viens me voir si tu as besoin de moi, le vent n'est pas mon seul pouvoir.

Je lui faisais un clin d’œil qui en était un vu que j'avais mes deux yeux qui la regardait. La voir m'avait fait plaisir, mais je n'aimais pas trop rester à un endroit, j'aimais trop voyager, explorer et découvrir pour me fixer. Comme le vent, je ne restais presque jamais en place, ma femme devra faire avec. Mes humeurs et mon envie de voir toujours des choses différentes selon ce que je pensais. Je passais une main des mes cheveux roux avant de remettre mon bandeau, je devais rester prudent, je n'avais pas envie de croiser un mortel et d'être responsable de sa mort. Je posais une main sur son épaule en souriant aimablement. Elle saurait tout de ce qui allait se passer. Je ferai sûrement des erreurs, mais je les regretterai sûrement, mais avec son soutient, je pourrai les rendre moins graves. C'est cela qui me rassurait un peu. Je pouvais filer, mais avant je voulais la remercier comme il le fallait. Je faisais danser le vent avant de me tourner.

-Merci pour tout, Aphrodite.


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Re: let's talk about love... | Dim 28 Déc 2014, 01:11


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A
phrodite s'était surprise à proposer ouvertement ses services. La déesse de l'Amour était souvent à l'écoute d’autrui, mais habituellement, c'était les autres qui venaient à elle et qui lui parlaient de leurs problèmes – enfin, si elle était apte à les écouter, madame était assez exigeante. Mais dans le cas présent, tout c'était passé hasardeusement. Ils s'étaient croisés comme cela, s'était installés sur le banc et avait discuté d'un peu tout et rien. Aphrodite était contente de cette rencontre en tous cas. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas eu une conversation avec son cousin... Et une à cœur ouvert tout simplement. Souriante, on pouvait aisément dire qu'elle avait prise du plaisir à prendre des nouvelles d'un de ses proches. La famille et les dieux faisaient souvent deux, certainement à cause de l'éternité de leur existence. Peut être qu'une vie avec trop de relations positives seraient ennuyante, et que c'était pour cela qu'il fallait des relations compliquées... Pour ne pas s'ennuyer... Enfin... Ce n'était pas le moment pour philosopher de cela. Aphrodite était concentrée sur son cousin, elle sentait que la conversation et cette rencontre imprévue touchaient à leur fin. Alors elle profitait encore de ces quelques minutes, assise sur le banc, à côté de lui qui rigolait. Rigoler ? Oui, à ce qu'Aphrodite venait de dire en lui proposant de « l'aide » ou de l'écoute quand il le souhaiterait. Il n'aurait qu'à venir frapper chez elle et devrait lui raconter sa progression. C'était la seule et unique condition qu'elle avait énoncé. Ne pouvant s'empêcher d'en faire de même face à un rire aussi communicatif, Aphrodite le rejoint. Ce fut un éclat de rire partagé, bien que court. Tous deux s’arrêtèrent lorsqu'Éole prit la parole à son tour, histoire de répondre à cette petite blague de la part de la déesse – enfin, ce n'était pas tellement une blague.

Aphrodite lui sourit le long de sa tirade. Des détails ? Il serait prêt à lui donner quelques détails ? Cela fit pas mal rire la déesse qui était presque impatiente de le voir frapper à sa porte. Éole confirma le fait qu'il était temps de partir. Aphrodite n'avait pas vu le temps passé à ses côtés. Depuis combien de temps étaient-ils en train de parler ? Elle n'en savait rien, mais le soleil faiblissait ans la ciel. Encore une belle journée qui se termine, se dit-elle. Et elle n'avait même pas eu le temps de visiter sa statut afin de récolter quelques offrandes – chose qu'elle avait prévu de faire à la base en venant ici. Mais elle ne regrettait pas. Les offrandes pouvaient attendre : elle avait aussi passer un bon moment avec son cousin. Il lui avait, d'une certaine manière, remonter le moral, lui aussi. Et savoir qu'elle avait pu l'aider, le conseiller lui faisait bien plus plaisir. Il avait l'air de prendre bien à cœur les conseils qu'elle lui donnait, donc Aphrodite était contente. Elle le regarda, toujours en souriant.

« Hum... Je ne suis pas contre le détails, tu sais ? »

Lui dit-elle en faisant un clin d’œil alors qu'il remettait son manteau en place. Aphrodite s'y était faite à ce bandeau. Il était aussi mignon avec et sans, il n'avait donc pas trop de soucis à se faire. Il n'était pas physiquement gênant. En se relevant, Aphrodite ne put s'empêcher de répondre aux... nouvelles questions ? … d'Eole. Elle était un peu mère poule sur les bords :

« Prend ton temps, je n'ai pas dis que c'était une urgence... Et il veut mieux prendre son temps avec ce genre de chose. » Elle lui adressa un sourire et dit le plus important : « Je ne peux que tu souhaiter bon courage donc. »

Aphrodite rigola lorsqu'il s'amusa avec le vent. Elle profita de cet air lui caressant les joues, faisant danser ses cheveux. Elle adorait cela. Elle lui adressa elle aussi un signe de la main, se dirigeant vers la vue – elle avait bien l'attention d'en profiter encore un peu – et lui cria :

« De rien ! Ça m'a fait plaisir de te voir !   »





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