Coeurs : 51 Messages : 102 Couleurs : #8B0000 pour Leyah. #DAA520 pour Saphir. J'ai traversé le portail depuis le : 14/08/2017 et on me connaît sous le nom de : Choupinette/Moon. Mon nom est : Leyah Nasha Raellyth. Actuellement je suis : Célibâtarde. Il paraît que je ressemble à : Lenia/Katarina (LoL) & Nina Dobrev irl et à ce propos, j'aimerais remercier : Misha ♥ & moi-même
Re: To believe that it is Destiny // Vlad ♥ } | Lun 21 Aoû 2017, 22:05
Suite à une bêtise de ma part, j'ai édité ce message en pensant poster un nouveau donc... cette réponse est perdue ;w; Je suis un boulet !
La délicatesse n'a jamais été mon fort. Bien que pourtant, j'ai l'apparence d'une fille douce, tendre... La détresse de Vlad était bien trop flagrante pour moi, et il était évident que je ne pouvais pas rester sans bouger, ni faire quoi que ce soit : je dois l'aider. Du moins, essayer. Car je ne choisis pas toujours bien mes mots. Pourtant, je fais toujours de mon mieux. Tout ça me parait tellement flou, je ne comprends pas ce que sont les Vampires, ni même leur besoin, j'ai toujours vécu dans l'amour d'une mère et la haine d'un père, j'ai toujours vécu à me battre, non, j'ai appris à me battre grâce à Shunsuke. Il m'avait appris. Lui seul savait mieux que quiconque tout ce que j'avais traversé. Et il était évident que je ne pouvais pas nier le fait que je l'aimais toujours un peu, mon cœur était encore rattaché à lui. Je... Je ne peux pas faire autrement. Shunsuke me manque... Et je le revois au travers les yeux de Vlad. Pourtant, ils n'ont rien en commun... Mais je ne sais pas, quelque chose m'interpelle.
J'essaie de me concentrer sur le moment présent, Vlad tient-il absolument à m'aider à maîtriser mon pouvoir, ou voulait-il juste me faire comprendre autre chose ? Je l'ignore, et je ne tenais pas à le savoir pour le moment. Même si peut-être que le temps m'était compté, si jamais je perdrais véritablement les pédales ? Si je blessais quelqu'un ? Voir tuer... Quelqu'un ? À cette simple pensée, mon esprit entier est bouleversé alors que la glace qui s'était formée sous mon pied commençait à disparaître lentement. Très lentement.
« Mon pouvoir est encore trop grand, je dois apprendre à le connaître pour le maîtriser totalement. La glace peut-être mortelle, et je ne sais pas si je pourrais m'en remettre après avoir blessé ou ... tué quelqu'un. Tu comprends ?» lui dis-je en me tournant vers lui, les yeux emplis de tristesse et de confusion.
Nous avions une nouvelle fois pris la route pour arriver jusqu'au bel endroit qu'était ce petit coin, avant de nous asseoir dans l'herbe. Vlad m'informe alors que son Affilé est une petite chauve-souris, que ça doit être impressionnant ! Mais dans les mythes que j'avais pu écouter, les vampires étaient souvent rattachés à ces petites créatures qui vivent la nuit, je trouvais la coïncidence plutôt pas mal, ce qui me décrocha un sourire. « Ignite ? C'est plutôt mignon. C'est dommage qu'elle n'aime pas trop les caresses, ça créer un lien je trouve, bien que celui que nous avons formé normalement avec eux est censé être très fort. »
Et finalement la chute. Vlad perdait petit à petit les manettes, pas étonnant, après qu'il m'est demandé de le tuer, alors que j'en étais tout bonnement incapable, même avec toute la volonté du monde, je ne pourrais pas. Tuer est quelque chose de trop cruel, bien que... je plaisante souvent là-dessus, comme au début de notre rencontre, je ne suis pas aussi cruelle et violente que mon paternel, je ne veux pas de mal à personne. Pas même à Vlad même si au début, j'avais vraiment envie de lui taper sur la gueule. Je ne suis pas... Aussi méchante. Je prends alors une grande inspiration avant de me reculer légèrement.
« Non, je ne peux pas te tuer, Vlad. Tu m'en vois désolée. » avant de détourner le regard. Bien que finalement, j'avais reposé mes yeux bleutés sur ceux du vampire qui n'était plus tout à fait lui-même, perdant le contrôle de sa nature, j'avais pu voir ses crocs sortir, se mordre lui-même pour se maîtriser, devant mes yeux bouleversés par cette scène tout droit sortie d'une série ou d'un film, j'en sais rien. Je sais qu'il a besoin de sang, mais... Je ne veux prendre aucun risque. Il m'assure ainsi qu'une morsure ne me fera rien, et j'aurai à gagner des avantages si je suis attachée à lui. Je penche doucement la tête, ne comprenant pas ce qu'il voulait dire par là.
« Je sais... Vlad, que tu as besoin de sang, mais... J'ai peur. Je n'ai jamais été mordue et... je ne comprends pas ce que tu veux dire par "avantages"... Je ne comprends pas votre mode de fonctionnement. »
C'est d'une voix sincère et bouleversée que je lui avais fait ça. Je me sens trop cruelle de lui refuser ça, mais... Que voulez-vous ? Je me retrouve dans une impasse où je ne sais pas ou aller, ni comment, je suis perdue. J'ai peur... Mais de quoi ? Je l'ignore, je suis tout simplement perdue et je me sens terriblement mal à l'aise en le laissant lui, à la merci de sa propre nature, proie à toute sorte de chose affreuse qui pourrait s’infliger lui-même, et si j'apprenais par un quelconque biais qu'il s'était blessé, au point d'en... mourir, je m'en voudrais tellement. Bon sang, empathie quand tu nous tiens...
Je ferme lentement les yeux pour reprendre un peu mes esprits, j'ai le visage fermé, crispé et envahit par l'émotion qui me traversait. Je suis bien trop sensible à lui, et sa détresse, j'ai l'impression que... qu'il a besoin de moi, et ses paroles me déchirent le cœur, alors que presque, il se dénude avec ses sentiments à moi, j'ouvre la bouche légèrement, mon souffle chaud en sort, et mes yeux se ré-ouvrent, encore une fois, bouleversée par les paroles qu'il venait de déballers Je suis une fille cruelle. Un garçon me déballe son cœur, et moi, je suis encore attachée à quelqu'un d'autre. Je me mords la lèvre nerveusement avant de lui répondre d'une manière assez vague : « Tu... n'es pas obligé de te dévoiler ainsi à moi, après tout, je ne suis qu'une parfaite inconnue que tu as énervée en la dérangeant toute à l'heure alors... s'il te plaît, ne me mets dans l'embarras. Même si je suis touchée parce que tu dis... Mais je ne suis pas une Déesse malheureusement... Je ne suis qu'une personne lambda qui lutte contre son Destin jour et nuit, tu sais ? »
C'était dit. Je ne veux pas non plus que cela ne devienne trop ambiguë pour moi, et je préfère encore contrôler la situation. Bordel, je suis horrible. Je me mordais tellement fort la lèvre, tellement je m'en voulais. Je me surprends même à serrer les poings comme pour ne pas craquer à lui déballer clairement que... je suis toujours attachée à Shunsuke. J'ouvre à nouveau les yeux pour regarder Saphir qui était toujours présente auprès de moi. Et elle me comprenait, elle se sentait plutôt mal pour moi en ce moment-même. Et lorsque Vlad, finalement, me demande la question que je voulais éviter, je ferme les yeux en baissant légèrement la tête.
Le sol se teint petit à petit d'une petite couverture glacée alors que je tente encore une fois de rester sereine et de bien choisir mes mots, je me tourne vers le Vampire en détresse, les yeux emplis d'empathie et de confusion.
« Te laisser... boire mon sang... ? Mais... tu es un sang-pur, une morsure et je peux me transformer... Non ? Enfin, tu comprends ce que je veux dire ? C'est délicat pour moi tout ça... Si je ne craignais rien... je t'aiderai volontiers... »
Rien qu'à l'idée d'avoir des crocs transperçant ma chair, je grimace et je sens mon estomac se tordre : j'ai peur de la douleur. Finalement, une idée me vient, mais j'ignore si... cela aura le même effet pour Vlad qu'une morsure : « Et si je me coupe et que tu lèches ce qu'il coule, ça... marcherait aussi pour te nourrir ? Si jamais... une morsure peut me coûter des risques, je veux dire. »
Re: To believe that it is Destiny // Vlad ♥ } | Mar 22 Aoû 2017, 02:18
To believe that it is Destiny.
La tristesse, c’était le sentiment perpétuel de ta personne, derrière cet air jovial, presque enfantin. Tu n’étais qu’un être brisé, seul sans repère, qui ne savait pas où aller. Tu ne savais plus quoi faire perdu dans les abyssales sans échappatoire, tu étais enfermé dans ce système à jamais. Tes parents avaient gagné depuis le départ, tu étais leur pantin, mais sans eux tu n’étais rien. Tu l’avais vu de te propres yeux, le monde n’était pas ce que tu croyais, il n’était que remord de ton passé. Tu lui mentais depuis le départ, tu masquais ton réel toi, tu n’étais pas heureux, tu n’étais pas fort, tu n’étais qu’un faible vampire à la recherche d’une lumière. Jamais, oh non jamais tu ne pouvais avancer avec ce passé qui te déchirait, qui te ramenais sans cesse à ce que tu étais.
Mais alors que tu t’accablais sur ton sort signé, Destin te ramenait à la réalité, te montrant cette lumière que tu désirais tant. Elle brillait, tu l’avais compris, tu savais maintenant pourquoi ton cœur vibrait pour cette personne. Ses mots, ses paroles c’étaient elle, elle lui ressemblait en plus belle, et pourtant ce n’était pas Sophie, non ta fée n’était pas aussi jolie que la dame bleutée. Tu posais ton esprit, écoutant la douce mélodie qui s’était échappé de ses lèvres. Tout en poésie, tu avais enfin compris, une personne qui t’étais destiné ? Tu l’avais nommé Destin par réflexe, mais c’était-elle ? Tu la détaillais de tes pupilles violacées, et ton cœur battait si fort, tu t’étais crispé, retrouvant peu à peu le sourire. Oui, tu l’aimais, c’était véritable, ça ne pouvait qu’être ça. Mais, tu le savais, tu n’avais aucune chance que ce sentiment soit réciproque, si bien que tu gardais ça pour toi, ignorant ce sentiment te concentrant sur elle et sa beauté inégalée. Elle était extrêmement sérieuse, et tu voyais en elle une sincérité absolue, voulait-elle t’aider ? À sortir de ce cercle qui te guettais ? Peut-être, sûrement, ça en avait tout l’air en tout cas. Une chose était sûre, tant qu’elle était là, tu n’avais aucunement le droit de te laisser mourir, pourtant c’était ce que tu désirais. Et puis, ça ne pouvait être réciproque entre elle et toi, tu le savais très bien, jamais une déesse ne pouvait accepter une personne qui s’abandonnait elle-même. Mais, tu l’avais discerné, elle aussi son passé, ce n’avait pas été une étape simple dans sa vie, et tu étais désolé de lui rappeler toutes ces périodes tristes que l’on souhaitait oublier.
En essayant tant bien que mal, de cacher les nombreuses émotions que tu avais éprouvées durant cet instant. Tu t’étais mis à accélérer le pas tout comme ton cœur qui ne cessait d’amplifier son battement incessant. Il hurlait tout comme toi tu hurlais au fond de ton âme de la revoir, de lui demander quoi faire, même s’il fallait y passer, tu le voulais, oui c’était ce que tu désirais, mourir et la revoir, mourir et tout oublier. Mais alors que tu étais pris dans ton élan, et que tu en avais presque oublié la fille qui était prédestiné à ton cœur meurtri. Elle t’avait reprise après tes tristes paroles, tu l’entendais hurler que tu ne devais pas mourir. Ses mots t’avaient glacé, tout comme elle avait glacé le sol. Elle t’avait obligé à plonger ton regard dans le paradis céleste, à chaque fois tu t’y perdais, et à chaque fois cela t’avait apaisé. Si innocente, si mignonne voilà ce qu’elle te traduisait, jamais, oh non jamais tu l’aurais cru comme cela. Tu avais commencé à tendre le bras pour vouloir la caresser, mais tu stoppais immédiatement le mouvement, refaisant balancer ton bras, un peu confus.
« Je le sais bien, mais si tu le maîtrises mieux, tu pourrais blesser moins de gens, et l’utiliser comme bon te semble. J’aimerais t’aider à le contrôler, alors si tu en as envie, je t’aiderai, c’est promis. »
Tu plissais les yeux, laissant un doux sourire la câliner. Non, tu ne voulais pas qu’elle soit triste, jamais tu ne voulais lui faire de mal, tu voulais l’aider avant de le regretter.
Sur le sol, je lui avais répondu doucement pour mon affilé, mais ma réponse n’était pas complète, et défoulait donc sur une nouvelle question. Sa douceur venait consoler cette tristesse insupportable que tu ressentais.
« Mon affilé se nomme Ignite, je l’ai appelé comme ça en l’honneur de Sophie. Sinon, c’est une petite chauve-souris noire, elle n’aime pas trop les caresses contrairement à Saphir. »
Tu ne pouvais plus penser à Ignite, un autre sentiment venait brutalement te dévorer. Tu avais mal, trop mal, tu ne comprenais pas, le monde était flou, le monde n’était qu’une vague qui te repoussait à chaque fois que la chance te souriait. Vlad n’était plus là, et tu fonçais sur la seule cible présente. Assoiffé de sang, tu ne voulais plonger tes crocs dans son cou et boire ce bon liquide sanguin. Tu le sentais, tu le désirais, mais tu t’étais retenu, te mordant pour revenir à toi-même. La salamandre bleutée ne semblait pas aimée ce que tu lui avais proposé, tu tremblais comme tu l’avais fait trembler. Tu lui avais montré ce côté de toi que tu détestais, impossible qu’elle ne t’aime après ça, c’était tout bonnement impossible. Tu ne pouvais pas l’oublier son regard effrayé, son cri qui t’avais fait revenir à toi. Son cœur battait si vite, qu’il avait brisé la douce mélodie des oiseaux, s’envolant de leurs perchoirs. Tu étais au sol, assommé par ce qui venait de se passer.
« Pourquoi ? Pourquoi tu ne veux pas me tuer ? Pourquoi tu veux absolument m’aider ? Je ne suis qu’une plaie, même à toi, celle qui fait battre de nouveau mon… Même à toi, je t’ai fait mal, peur. Je suis un monstre tues moi. »
Tu criais, ta voix avait changé six fois de tonalité, tu en devenais presque monstrueux. Tu n’étais plus totalement toi, tu étais cet animal qui désirait boire, tu étais le second toi qui voulais tout décimer, tout brûler pour réentendre ces hurlements. Tu écarquillais le regard, brûlé… Non, tu ne devais pas faire tout cela, tu devais rester toi-même. Tu reprenais ton calme, soufflant bruyamment.
« J’ai besoin de sang, mais je n’ai pas envie de te mordre même si ma morsure ne te fera rien. Sauf si tu es attaché à moi, cela peut te donner des avantages. »
Tu avais pris une petite pause, laissant tes émotions raconter la triste histoire qu’était ton passé. Tenant difficilement sur ton bras droit, tu continuais à la regarder disparaître sous tes yeux parme. Ta vie ne voulait aucunement t’accorder à un dernier plaisir avant de mourir, tu n’avais pas le droit de la regarder, elle celle que tu aimais, tu en étais sûr c’était-elle. Tu sortais légèrement de ton corps, le décrivant de tes yeux, étais-tu mort ? Tu ne voyais plus rien à part la sonorité. Oui, tu voyais la musique se jouer sous tes yeux, tu ne comprenais plus rien, tu étais perdu essayant de hurler à l’aide, mais tes mots ne c’étaient pas transmis. Tu paniquais, la mort n’était que le vide ? Tu ne comprenais plus rien, tu pleurais, pleurais laissant les larmes couler sur l’herbe que tu ne pouvais voir. Tu étais coincé dans une éternelle obscurité.
Mais, elle était là, devant toi, tu ne pouvais le nier, elle t’avait saisi l’épaule. Elle n’avait pas peur d’être si proche, sa main avait réchauffé ton âme, tu voyais de nouveau le monde, tout était clair. Tu l’écoutais, détaillant son visage qui était affreusement proche. Destin était si belle, et même son air sérieux te réchauffais ton corps sans vie. Allait-elle te tuer ? Avait-elle compris que n’avait pas le droit de vivre, même si tu avais envie d’être avec elle. Non, elle ne le voulait pas, ça l’avait même énervé. Elle voulait t’aider ? Toi ? Quelqu’un ? Tu ne comprenais plus, cette personne, ce hasard, ce prénom que tu lui avais donné tout était lié, la destinée avait écrit que c’était elle. Tes yeux pétillaient, reprenant de leurs teintes violacées, elle venait de te faire revivre, tu en restais bouche bée continuant à l’ouïr. Elle avait totalement raison, Sophie n’aurait jamais voulu ça, ta fée adorée n’était plus et ne sera plus là. Destin avait pris sa place, elle t’avait libéré de ce fardeau perpétuel. Elle t’avait exposé son passé, elle n’avait utilisé pour t’aider à avancer, si gentille, il était impossible pour toi de l’égaler. Alors tu laissais ton passée s’évader, et tu reprenais tes pensées positive. Tu restais toutefois cloué par ce qui venait de ce passé, la déesse l’avait réveillé, le véritable Vlad que tu étais. Tu avais de nouveau refait surface, rien ne pouvait t’arrêter, tu la voulais elle, si proche, si belle.
Au bout d’un instant, la petite salamandre avait resserré son étreinte sur toi, te faisant sursauté. Par la même occasion, elle venait relever de ses doigts féeriques ta tête. Tu la regardais dans les yeux, laissant tes joues prendre un ton rougeâtre. Elle ne voulait tout de même pas t’embrasser, tu restais perplexe, laissant ton regard embrassé reflété dans le miroir de la réalité. La glace venait encercler ton corps, tu avais compris qu’au moindre mouvement, elle te congelait sur place. Mais ce n’était pas froid, c’était si chaud, tu ne montrais aucune agressivité juste un peu d’étonnement quand celle-ci venait s’entourer de glace. Les proximités laissaient doucement place à la glace, et tu comprenais l’ampleur que pouvait avoir son pouvoir. Te battre maintenant ? Voulait-elle que tu lui dises ? Elle te demandait de dévoiler tes émotions à son égard ? Tu ne comprenais pas, alors tu baissais légèrement les yeux.
« Merci, je vais me battre pour toi alors, mon épée sera tienne, comme mon cœur sera tien. J’ose même si je doute, impossible qu’une déesse comme toi accepte un Vampire telle que moi. Mais qu’importe, je finirais par réussir car tu es mon but. »
Tu le savais très bien, tu allais le regretter, mais bon, il y avait un début à tout. Tu relevais la tête lui dévoilant ton plus beau sourire, plissant les yeux un moment. Tu avais autre chose à lui demander qui était tout aussi délicat, alors prenant une inspiration, tu commençais tes dires d’une façon sérieuse.
« Je sais, tu m’as déjà énormément aidé mais… J’ai besoin de sang, et je voulais te demander si… Tu acceptes de me laisser boire ton sang pour que je puisse vivre et réussir mon rêve. Je n’ai plus envie de mourir, je te le promets. »
Tu posais tes mains sur ton cœur, un regard innocent, tu avais totalement changé en un instant. Comme quoi, une personne pouvait changer toute une vie.
Coeurs : 51 Messages : 102 Couleurs : #8B0000 pour Leyah. #DAA520 pour Saphir. J'ai traversé le portail depuis le : 14/08/2017 et on me connaît sous le nom de : Choupinette/Moon. Mon nom est : Leyah Nasha Raellyth. Actuellement je suis : Célibâtarde. Il paraît que je ressemble à : Lenia/Katarina (LoL) & Nina Dobrev irl et à ce propos, j'aimerais remercier : Misha ♥ & moi-même
Re: To believe that it is Destiny // Vlad ♥ } | Mar 22 Aoû 2017, 19:27
La délicatesse n'a jamais été mon fort. Bien que pourtant, j'ai l'apparence d'une fille douce, tendre... La détresse de Vlad était bien trop flagrante pour moi, et il était évident que je ne pouvais pas rester sans bouger, ni faire quoi que ce soit : je dois l'aider. Du moins, essayer. Car je ne choisis pas toujours bien mes mots. Pourtant, je fais toujours de mon mieux. Tout ça me parait tellement flou, je ne comprends pas ce que sont les Vampires, ni même leur besoin, j'ai toujours vécu dans l'amour d'une mère et la haine d'un père, j'ai toujours vécu à me battre, non, j'ai appris à me battre grâce à Shunsuke. Il m'avait appris. Lui seul savait mieux que quiconque tout ce que j'avais traversé. Et il était évident que je ne pouvais pas nier le fait que je l'aimais toujours un peu, mon cœur était encore rattaché à lui. Je... Je ne peux pas faire autrement. Shunsuke me manque... Et je le revois au travers les yeux de Vlad. Pourtant, ils n'ont rien en commun... Mais je ne sais pas, quelque chose m'interpelle.
J'essaie de me concentrer sur le moment présent, Vlad tient-il absolument à m'aider à maîtriser mon pouvoir, ou voulait-il juste me faire comprendre autre chose ? Je l'ignore, et je ne tenais pas à le savoir pour le moment. Même si peut-être que le temps m'était compté, si jamais je perdrais véritablement les pédales ? Si je blessais quelqu'un ? Voir tuer... Quelqu'un ? À cette simple pensée, mon esprit entier est bouleversé alors que la glace qui s'était formée sous mon pied commençait à disparaître lentement. Très lentement.
« Mon pouvoir est encore trop grand, je dois apprendre à le connaître pour le maîtriser totalement. La glace peut-être mortelle, et je ne sais pas si je pourrais m'en remettre après avoir blessé ou ... tué quelqu'un. Tu comprends ?» lui dis-je en me tournant vers lui, les yeux emplis de tristesse et de confusion.
Nous avions une nouvelle fois pris la route pour arriver jusqu'au bel endroit qu'était ce petit coin, avant de nous asseoir dans l'herbe. Vlad m'informe alors que son Affilé est une petite chauve-souris, que ça doit être impressionnant ! Mais dans les mythes que j'avais pu écouter, les vampires étaient souvent rattachés à ces petites créatures qui vivent la nuit, je trouvais la coïncidence plutôt pas mal, ce qui me décrocha un sourire. « Ignite ? C'est plutôt mignon. C'est dommage qu'elle n'aime pas trop les caresses, ça créer un lien je trouve, bien que celui que nous avons formé normalement avec eux est censé être très fort. »
Et finalement la chute. Vlad perdait petit à petit les manettes, pas étonnant, après qu'il m'est demandé de le tuer, alors que j'en étais tout bonnement incapable, même avec toute la volonté du monde, je ne pourrais pas. Tuer est quelque chose de trop cruel, bien que... je plaisante souvent là-dessus, comme au début de notre rencontre, je ne suis pas aussi cruelle et violente que mon paternel, je ne veux pas de mal à personne. Pas même à Vlad même si au début, j'avais vraiment envie de lui taper sur la gueule. Je ne suis pas... Aussi méchante. Je prends alors une grande inspiration avant de me reculer légèrement.
« Non, je ne peux pas te tuer, Vlad. Tu m'en vois désolée. » avant de détourner le regard. Bien que finalement, j'avais reposé mes yeux bleutés sur ceux du vampire qui n'était plus tout à fait lui-même, perdant le contrôle de sa nature, j'avais pu voir ses crocs sortir, se mordre lui-même pour se maîtriser, devant mes yeux bouleversés par cette scène tout droit sortie d'une série ou d'un film, j'en sais rien. Je sais qu'il a besoin de sang, mais... Je ne veux prendre aucun risque. Il m'assure ainsi qu'une morsure ne me fera rien, et j'aurai à gagner des avantages si je suis attachée à lui. Je penche doucement la tête, ne comprenant pas ce qu'il voulait dire par là.
« Je sais... Vlad, que tu as besoin de sang, mais... J'ai peur. Je n'ai jamais été mordue et... je ne comprends pas ce que tu veux dire par "avantages"... Je ne comprends pas votre mode de fonctionnement. »
C'est d'une voix sincère et bouleversée que je lui avais fait ça. Je me sens trop cruelle de lui refuser ça, mais... Que voulez-vous ? Je me retrouve dans une impasse où je ne sais pas ou aller, ni comment, je suis perdue. J'ai peur... Mais de quoi ? Je l'ignore, je suis tout simplement perdue et je me sens terriblement mal à l'aise en le laissant lui, à la merci de sa propre nature, proie à toute sorte de chose affreuse qui pourrait s’infliger lui-même, et si j'apprenais par un quelconque biais qu'il s'était blessé, au point d'en... mourir, je m'en voudrais tellement. Bon sang, empathie quand tu nous tiens...
Je ferme lentement les yeux pour reprendre un peu mes esprits, j'ai le visage fermé, crispé et envahit par l'émotion qui me traversait. Je suis bien trop sensible à lui, et sa détresse, j'ai l'impression que... qu'il a besoin de moi, et ses paroles me déchirent le cœur, alors que presque, il se dénude avec ses sentiments à moi, j'ouvre la bouche légèrement, mon souffle chaud en sort, et mes yeux se ré-ouvrent, encore une fois, bouleversée par les paroles qu'il venait de déballers Je suis une fille cruelle. Un garçon me déballe son cœur, et moi, je suis encore attachée à quelqu'un d'autre. Je me mords la lèvre nerveusement avant de lui répondre d'une manière assez vague : « Tu... n'es pas obligé de te dévoiler ainsi à moi, après tout, je ne suis qu'une parfaite inconnue que tu as énervée en la dérangeant toute à l'heure alors... s'il te plaît, ne me mets dans l'embarras. Même si je suis touchée parce que tu dis... Mais je ne suis pas une Déesse malheureusement... Je ne suis qu'une personne lambda qui lutte contre son Destin jour et nuit, tu sais ? »
C'était dit. Je ne veux pas non plus que cela ne devienne trop ambiguë pour moi, et je préfère encore contrôler la situation. Bordel, je suis horrible. Je me mordais tellement fort la lèvre, tellement je m'en voulais. Je me surprends même à serrer les poings comme pour ne pas craquer à lui déballer clairement que... je suis toujours attachée à Shunsuke. J'ouvre à nouveau les yeux pour regarder Saphir qui était toujours présente auprès de moi. Et elle me comprenait, elle se sentait plutôt mal pour moi en ce moment-même. Et lorsque Vlad, finalement, me demande la question que je voulais éviter, je ferme les yeux en baissant légèrement la tête.
Le sol se teint petit à petit d'une petite couverture glacée alors que je tente encore une fois de rester sereine et de bien choisir mes mots, je me tourne vers le Vampire en détresse, les yeux emplis d'empathie et de confusion.
« Te laisser... boire mon sang... ? Mais... tu es un sang-pur, une morsure et je peux me transformer... Non ? Enfin, tu comprends ce que je veux dire ? C'est délicat pour moi tout ça... Si je ne craignais rien... je t'aiderai volontiers... »
Rien qu'à l'idée d'avoir des crocs transperçant ma chair, je grimace et je sens mon estomac se tordre : j'ai peur de la douleur. Finalement, une idée me vient, mais j'ignore si... cela aura le même effet pour Vlad qu'une morsure : « Et si je me coupe et que tu lèches ce qu'il coule, ça... marcherait aussi pour te nourrir ? Si jamais... une morsure peut me coûter des risques, je veux dire. »
Re: To believe that it is Destiny // Vlad ♥ } | Mar 22 Aoû 2017, 23:08
To believe that it is Destiny.
La marche vers l’endroit féerique avait été longue, perpétuellement interrompue par des dialogues. Chose qui ne te déplaisait guère, tu aimais lui parler, entendre sa voix mélodieuse te caresser ton cœur meurtri. D’ailleurs, il n’avait cessé de battre, et de te rappeler que tu l’aimais. Tu l’avais vu, se concentrer au moment de te dires, tu avais pu une nouvelle fois contempler sa magnifique beauté, laissant tes yeux profiter de ses pupilles bleu ciel. La glace commençait tout doucement à disparaître, laissant la nature reprendre ses droits. Son pouvoir ? Elle voulait donc le maîtriser. Tu souriais légèrement, tu avais si hâte de l’aider, hâte de pouvoir le spectacle glacial qu’elle pouvait te faire part. Les glaces, tu aimais ça, c’était bon, c’était froid, c’était tout à fait parfait. Tu ne salivais rien que d’y penser. Mortel ? Tu effaçais cette mine heureuse, pour l’écouter plus sérieusement. Impossible qu’elle s’en remette, et c’était bien pour ça que tu voulais l’aider.
« Ne t’inquiète pas, je suis agile, je pourrais facilement éviter ta glace. Et puis je ne vais pas en mourir au pire. »
Un visage rassurant, les doigts posés sur le cœur, tu disais cela franchement. On t’avait enseigné à esquiver des feuilles lors d’une tempête, ou encore de les couper en deux avec ton épée, pour développer ton agilité. Ça te manquait de t’entraîner, tu avais hâte, hâte de repasser ses longues heures à t’entraîner pour être assez fort pour les tuer. Tu pensais bien évidemment à tes maudits parents.
La perte de contrôle se faisait, c’était accentué une fois arrive au lieu qui était censé t’apaiser. Tu avais beau serrer les dents, et trembler, tu n’arrivais plus à le contrôler. Cette envie t’avait submergé, et tu avais presque ce qu’elle avait dit sur ta petite chauve-souris. Quelques mots étaient restés, mignon pour son nom, enfin, tu pensais du moins. Au oui, c’était vrai un lien fort, tu en avais un avec elle, le souci, c’était que ta petite Ignite n’aimait tout comme toi éviter le soleil, et surtout dormais le jour la plupart du temps dans des grottes. Ta vue divaguait, sombrant rapidement dans le tourment de ton âme.
C’était fini, tout n’était que néant, tu tombais, tombais dans les profondeurs abyssales de ton âme, tu ne pouvais pas, non, tu ne pouvais plus. Il y avait quelques instants, tu semblais être redevenu Vlad, elle t’avait apaisé, mais, tu avais du mal, trop de mal à rester toi-même, tu avais envie de boire, tu voulais boire. Non, tu avais fait un faux pas, tu t’étais arrêté nettes te mordant le bras. Elle avait peur, peur de se faire mordre. Tu la comprenais que trop bien, perturbé par ce qui venait de se passer.
« Ma morsure, ne te transforme pas, ne t’inquiète pas, je… Je me retiendrais. Pour l’avantage, lorsque je mords quelqu’un, un lien télépathique se crée, permettant à deux personnes à n’importe quelle distance de ce parler. »
Dit d’une façon mélodieuse, tu savais très bien qu’il était impossible pour toi de la forcer. Tu l’aimais trop pour cela, et si tu devais t’en arrêter là, ce n’était pas si grave. Et vu sa mine triste, tu ne voulais pas en rajouter une couche. Tu ne voulais pas qu’à ses yeux, tu ne sois seulement un monstre, et seulement un monstre. Non, tu voulais être celui qu’elle chérissait, celui qu’elle aimait plus que tout, tout comme toi tu l’aimais.
Pendant que la déesse avait fermé ses beaux yeux bleus, t’abandonnant pendant un instant. Tu en avais profité pour la contempler, tu n’en avais plus longtemps après tout, et malgré tes sentiments, malgré ta jovialité, au fond toi tu le savais. Tu savais qu’il ne te restait plus que quelques minutes avant de voir la vie disparaître. Mais, mourir avec une si belle personne, cette chose que tu avais toujours souhaité, tu ne pouvais qu’être heureux. Alors tu souriais, remerciant la vie de t’avoir offert ce cadeau d’adieu, rien ne pouvait être aussi beau.
Alors, sans aucun espoir, tu avais dévoilé tes sentiments, et ce que tu avais prédit, c’était passé. Mais, pour une fois, tu n’étais pas content d’avoir raison, ton cœur te pinçait, te laissant grimacer. Tu retenais tes larmes, tu ne voulais pas exposer ce sentiment devant elle, qui avait déjà tant fait. Et rien que son souffle venait réchauffer ce cœur de nouveau congelé. Tu plissais les yeux, c’est vrai, tu n’étais qu’un idiot qui l’avait dérangé, tu l’avais déjà oublié. Tu baissais le regard, ton ventre te faisant atrocement souffrir, comme poignardé par les événements. Non, tu ne voulais pas, lui montrer cela, allait la rendre mal, alors tu avais essayé de sourire. Mais, la fin de sa phrase, tu ne pouvais retenir tes émotions, retournant ton visage rapidement pour essayer de cacher tes larmes. Pourquoi tu n’y arrivais pas, tu étais normalement si fort pour cacher tes émotions, pourquoi avec cette personne cela ne fonctionnait pas. Tu soufflais légèrement, avant de replonger dans ses iris célestes. Tu devais l’aider, elle avait mal, elle souffrait à cause de toi. Tendrement, tu venais saisir son poignet pour qu’elle détende son anxiété. Un regard adorable en sa direction, avant de les plisser légèrement et de laisser place à un grand sourire.
Mais, quelques instants après, tu lui avais redemandé pour boire son sang. Et malheureusement cela l’avait encore plus blessé et déstabilisé. Tu sentais cette glace, qui venait chatouiller tes bottes, mais tu n’y prêtais pas attention, préférant répondre à la requête de la jolie fille. N’importe quel idiot pouvait voir son empathie omniprésente envers toi, tu rougissais légèrement lui rendant son air confus, venant jouer avec ta mèche de cheveux. Elle avait peur, à l’idée de se faire mordre, alors tu la laissais finir écoutant attentivement sa triste mélodie. Tu restais ébahi lorsqu’elle sortit une note que tu ne connaissais pas. T’aider volontiers ? Elle acceptait de t’aider et sans broncher, tes yeux venaient pétiller. Mais, tu avais autre chose à faire, tu ne devais pas penser qu’à toi, surtout pas. Alors, dans un élan de grâce, tu venais la prendre dans tes bras, la serrant légèrement contre toi. Une fois à porter de son oreille, tu venais poursuivre la symphonie d’une voix mélodieuse.
« Ne t’inquiète pas, ce n’est pas grave. Maintenant, je veux juste que tu te sentes bien, alors si tu peux m’offrir un beau sourire, je serai très heureux. »
Tu reculais doucement, dessinant un beau sourire enjoué, la regardant d’un œil charmeur. Au moment de ses mots, elle avait là une excellente idée, malgré que le sang soit moins bon, c’était déjà ça. Tu venais une nouvelle fois épouser son haliotide, lui murmurant avec la même intensité de jolis mots.
« Une morsure fait moins mal qu’une coupure, mais si tu préfères cette option, je ne pourrai jamais assez te remercier. Ne te fais pas mal surtout, je ne souhaite pas abîmer une si jolie fille. »
Puis, en moins d’une fraction de seconde, tu venais sensuellement sceller tes lèvres aux siennes. Tu ne savais pas si c’était le bon choix, tu ne savais pas si c’était un remerciement, ou un cadeau empoisonner tu n’en avais aucune idée. Tu venais retirer tes lèvres la fixant avec ce même regard séducteur. Tu voulais la calmer, alors tu abusais de ton charme pour en venir à bout.
Coeurs : 51 Messages : 102 Couleurs : #8B0000 pour Leyah. #DAA520 pour Saphir. J'ai traversé le portail depuis le : 14/08/2017 et on me connaît sous le nom de : Choupinette/Moon. Mon nom est : Leyah Nasha Raellyth. Actuellement je suis : Célibâtarde. Il paraît que je ressemble à : Lenia/Katarina (LoL) & Nina Dobrev irl et à ce propos, j'aimerais remercier : Misha ♥ & moi-même
Re: To believe that it is Destiny // Vlad ♥ } | Mer 23 Aoû 2017, 09:49
Perdue. C'est bien le mot qui correspond le mieux à mon état d'esprit actuel. Je ne peux pas nier le fait que je me sente extrêmement mal pour Vlad, quelque chose qui me touche intérieurement au plus profond de mon être. Je sens qu'il est en détresse et moi... ? Tout ce que je fais, c'est de m'éloigner, de lui, de m'écarter, et de le laisser tout seul. Leyah bordel, tu n'es qu'une cruelle fille. Le son de sa voix me perturbait au plus haut point. Cela n'a jamais été mon intention de le blesser, jamais, jamais. Je... Tout ce que je voulais au départ, c'était me reposer dans l'eau sous ma forme animale, d'ailleurs, ce n'était pas l'envie qui me manquait de reprendre mes traits de salamandre et de partir en vitesse à quelque part, avec ma rapidité sur quatre pattes et ma petite taille, il ne me retrouverait certainement jamais, sauf s'il a vraiment de la chance et du flair. Je me gratte nerveusement la nuque avant de lui répondre d'une manière posée : « Bon... On verra alors concernant mon pouvoir. Mais pour le moment... Ce n'est pas le sujet principal. »
J'ai toujours vécu avec ma glace, lorsque je l'avais découvert, Shunsuke était encore là, il contrôlait lui aussi la glace, je me souviens qu'il m'avait sculpté un petit bonhomme de glace qui me ressemblait, et de mon côté, j'avais fait de même avec un petit homme glacé à son effigie. C'était la bonne époque. Où nous étions tous les deux, de bons amis, mais depuis qu'il était parti avec une autre, alors que mon cœur l'aimait, j'ignore si je pouvais un jour lui pardonner, mais une chose est sûre : nous nous reverrons jamais. Il n'a pas été informé de ma précipitée arrivée sur Skyworld, et il ne le sera probablement jamais d'ailleurs. Ce n'était pas plus mal. Je pouvais ainsi faire mon deuil comme il se doit, et refaire ma vie, reconstruire mon cœur meurtri et redonner des couleurs à mon existence.
Finalement, Vlad essaie de me faire comprendre par le biais de paroles vagues et incessantes qu'il avait besoin de sang. Du mien. Je le sais. Mais je ne peux pas. J'ai trop peur d'avoir mal. Et peur de devenir comme lui. Je ne me vois pas assoiffée de sang... Comme ça. C'est bien trop cruel. Je... J'avais déjà assez de mal a assumé ma partie démoniaque dans mon cœur, si on me rajoutait une nouvelle partie vampire... j'en serais tellement... Perturbée. Mais je me fis simplement aux mythes que ma mère me contait quand j'étais plus jeune, autant, tout ce que j'ai pu apprendre ne sont que des mensonges... Et qu'il est tout bonnement impossible de se transformer, enfin, j'en sais rien. Je balaie ses idées de ma tête en agitant ma main devant mon visage avant de regarder Vlad.
« On peut dire que le lien télépathique est un avantage c'est vrai que c'est toujours... pratique. » lui disais-je en soupirant.
Tout autour de moi c'était formé une petite couche de glace, alors que j'avais finalement perdu les manettes de mon pouvoir, et surtout, j'avais voulu faire comprendre à Vlad qu'il fallait qu'il se batte, le menaçant presque. Je suis horrible n'est-ce pas ? La glace n'est-elle pas mortelle lorsqu'elle vous congèle le cœur d'une barrière de pierre ? Vous brûlant finalement tout votre être. Et soudainement, lorsque j'avais finalement accepté de l'aider à surmonter tout ça, Vlad m'avait prit dans ses bras, surprise par ce contact physique si ... soudain, je tente de le repousser en tremblant légèrement. Mon visage se tourne vers le sien, lui montrant une expression faciale plus que surprise.
« Me... sentir bien... ? Sourire... ? » demandais-je dans le vide, sans m'en rendre compte. Je me mordais la lèvre en détournant le regard. Tentant une fois de plus d'échapper à son étreinte. « C'est... soudain tout ça Vlad, j'peux pas... lâches... moi s'il te plaît. » avant d'éloigner mon visage, comme pour fuir, tout ce que je fais depuis le départ finalement.
Le son de sa voix me provoquait des frissons... Je savais... Je me doutais... qu'il essayait de m'amadouer avec ces belles paroles, je le sais, les vampires sont tellement odieux, mon corps frissonne à nouveau pendant que ma conscience essaie de reprendre le dessus. Alors qu'il m'informait qu'une coupure me ferait plus mal qu'une simple morsure, je tourne la tête vers lui avant que celui-ci ne m'embrasse soudainement, même si le baiser ne dura que quelques secondes, cela avait suffi pour me mettre dans un état possible. Alors qu'il reculait son visage du mien, je ne bougeais pas, mon visage choqué par ce qu'il venait de se passer.
« Tu... tu... m'as embrassée là ? J'ai pas rêvé !? Mais qu'est-ce qu'il te prend Vlad ! C'est... un geste intime ça ! » lui disais-je avant de me redresser du sol et de retomber un peu trop titubant avant de m'allonger carrément au sol, sur le dos. Mes mains tremblaient... Non... Faites que tout cela soit qu'un gros rêve dont je vais me réveiller d'ici peu de temps.
Re: To believe that it is Destiny // Vlad ♥ } | Mer 23 Aoû 2017, 11:51
To believe that it is Destiny.
Tes sentiments opéraient ta grâce, devenue aussi majestueux que la mésange bleue. Tu étais venu user ton charme pour ton propre intérêt. Avais-tu oublié ce qu’elle t’avait dit ? Ton pauvre cœur n’était-il pas brisé ? Si, mais tu ne pouvais résister à tes émotions. Tu… Tu ne voulais plus la voir apeuré par ce que tu étais, tu voulais lui montrer que c’était bien l’inverse. Une morsure et elle était à toi pour la vie, n’était-ce pas tout bonnement égoïste ? Un peu trop, tu voulais l’aider, c’était ce que tu désirais le plus. Mais, au final, tu ne faisais qu’une série d’actions dans ton propre intérêt. Tu n’étais qu’un maudit vampire, tu ne valais pas plus que tes maudits parents. Non, tu ne voulais pas lui faire mal, tu ne voulais pas qu’elle et peur d’une morsure, qui procure une jouissance pour les deux personnes. Oui, tu te devais de lui montrer.
Tout à l’heure, elle n’avait pas nié l’avantage du lien que pouvais procurer tes crocs, alors tu n’allais pas t’en plaindre. C’était vrai, oublié l’un de ses paroles étaient tout simplement impossible, chacun de ses mots venaient caresser, ou torturer ton cœur fleurissant. Mais, ce n’était pas la seule chose que tu n’arrivais pas oublier, son visage moduler par ses émotions. Elle ne se sentait pas réellement bien à cause de toi, et à chaque fois tu en rajoutais, venant l’étouffée sous le poids de tes envies. Oui, tu n’étais pas différent de ses tyrans. Au final, tu t’amusais avec elle, comme eux s’amusaient avec toi. Bien, évidemment, tu n’étais pas dupe, et tu savais très bien que ce n’était pas l’heure des grimaces. Tu avais pris ton courage à deux mains, la prenant dans tes bras pour la presser contre toi. Son corps chaud, avait réchauffé l’âme glacée qu’il y avait en toi. Et si tout ceci ne tenait qu'à toi, tu l’aurais bien tenue indéfiniment. Pourquoi lâcher ce qu’on aime le plus, c’était juste une idée absurde. Mais, si jamais elle n’appréciait pas, quel calvaire lui avais-tu fait vivre. Alors, tu limitais tout de même tes envies, te laissant guider par son souffle irrégulier et ses changements d’attitude. Non, tu ne voulais pas lui faire du mal, tu voulais seulement tout effacer. Quel ne retienne que ce moment que tu avais espéré fabuleux pour elle.
Ses mots soudain ne t’avaient pas dérangé même si tu y avais répondu d’une voix mélodieuse. Sûrement la première fois qu’elle croisait une situation comme celle-ci. Tu devais briser la barrière de son passé, comme elle avait brisé la tienne.
« Ne t’inquiète pas, je veux juste que tu te sentes bien. S’il te plaît, laisse-moi faire, je te promets, je ne ferai rien contre ta volonté. »
Tu ne savais pas réellement si, tes mots étaient exacts. Il y avait une chance sur deux que ça marche, et tu priais pour que ton action soit réciproque. Mais, tu restais toutefois sincère, tu ne voulais rien faire contre sa volonté.
Un instant après, tu avais lié tes lèvres aux siennes pour voir comment celle-ci régissait. Et surtout, pour savoir si tu pouvais continuer, de laisser tes sentiments te contrôler. Malheureusement, tu l’avais offusqué, quel idiot faisais-tu. Elle était ankylosée par la situation, et encore une fois, tu lui avais fait du mal. Tu avais eu un pincement au cœur, suivit d’un frissonnement désagréable. Ce n’était pas le visage, tu avais souhaité, ce n’était pas l’expression que tu voulais engendrer. Tu écoutais ses louanges d’un air abasourdi. Ses mots atteignaient tes haliotides, pour venir poignarder ton cœur ensanglanté. Tu avais mal, si mal, alors elle ne t’aimait pas du tout ? Après tout, elle avait raison, tu ne faisais que perpétuellement la déranger. Tu avais abandonné ton air charmeur pour laisser place aux larmes. Tu venais t’écrouler à sa proximité, tes yeux affligés dans les siens, tu venais la serrer dans tes bras pour livrer une dernière fois tes sentiments par le biais de tes larmes. Tu pleurais, délivrant la seule réalité, depuis le départ, tu t’en voulais. Depuis le départ, tu ne voulais simplement rattraper tes torts. Mais, tu n’y arrivais pas, tu étais faible, alors tu pleurais abandonnant tes sentiments. Son cœur contre le sien, tu voulais lui partager ta sentence, comme tu voulais qu’elle te partage la sienne.
« Je suis désolé, je suis un peu perdu. Depuis que je t’ai importuné sur cette moitié d’arbre, je… Je ne fais qu’essayer de réparer mes torts, mais… Mais j’en rajoute. Je suis désolé, j’essaie un dernier truc et promis, je disparais à jamais après. »
Tu pleurais, tes mots avaient été dits par tes sentiments. Ta voix bouleversée, tes mains tremblantes sur le sol glacé, tu hésitais à partir maintenant. Mais, si proche du but, tu t’étais mis une nouvelle fois à douter, laissant les larmes couler sur le cou de ton amour. Une nouvelle fois, tu allais perdre celle que tu chérissais. Oui, c’était même sur, vu ce que tu allais lui faire, elle allait à jamais te détester. Alors, dans un élan de courage, tu venais planter tes crocs dans son cou. Sophie t’avait dit que la morsure était comme une première fois, ça faisait mal au début, et ensuite, c’était plaisant. Tu fermais les yeux, essayant tant bien que mal de croire ses paroles, espérant que ce n’était pas juste des mots. Tu sentais le flux sanguin venir faire effet sur ton corps. Tu te sentais revivre, tu avais arrêté de trembler, profitant peut-être du dernier instant avec elle. Les yeux légèrement plissés, tes larmes, c’était arrêté de couler.
Un instant après, tu t’étais rapidement relevé, lui tournant le dos pour essuyer ton fardeau. Puis, tu avais soufflé légèrement, essayant tant bien que mal de garder ton calme. Finalement, tu t’étais retourné, muni d’un visage charmant, un sourire interrogateur aux lèvres. Tu plongeais tes iris violacés dans les siennes, ta grâce était revenue, et tes belles paroles ne s’étaient pas fait attendre.
« Merci beaucoup Destin, je suis désolé pour tout ça. J’ai sacrement ruiné ta journée, mais ne t’inquiète pas, je vais partir… Je n’ai pas envie de plus te déranger, je ne te mens pas, je vais sûrement pleurer. Je t’aime, voilà. »
Tu lâchais une larme, avant de te retourner, marchant tranquillement vers là sortis dans l’endroit féerique. C’était la fin d’une histoire, et ton cœur à cet instant était brisé en mille morceaux. Tu n’espérais rien, tu savais très bien qu’elle te haïssait maintenant.
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Re: To believe that it is Destiny // Vlad ♥ } | Mer 23 Aoû 2017, 13:46
J'ai toujours cette foutue impression d'être cruelle, je ne voulais aucun mal à Vlad. Il n'était pas méchant en soi, et je ne pouvais pas lui en vouloir d'être aussi en détresse. J'imagine toutes les horreurs qu'il avait pu subir suite à la perte de son être cher : cette Sophie. Cela avait dû être si terrible, pas autant que mes peines, mais je ne peux que comprendre cette douleur qu'il pouvait ressentir à l'heure actuelle. Il avait perdu la jeune fille qui l'aidait à aller mieux tous les jours, il avait perdu ce que son cœur chérissait, et maintenant, c'est moi qui m'en vais, je lui refuse ses sentiments tout simplement parce que je n'ai pas les mêmes que lui, non, ce ne sont pas les mêmes. Et j'ai l'impression qu'il ressent tout ça uniquement parce qu'il est seul, perdu, et je suis peut-être pour lui la seule lumière qu'il lui permettrait de revivre. Je pense que les sentiments qu'il voue à mon égard ne sont juste que des petites émotions qui font que je l'attire, mais sans plus. Il n'y a peut-être pas une seule once d'amour vrai là-dedans, et honnêtement, je n'avais pas envie de le savoir. Bordel, pourquoi mon cœur reste-t-il attaché à Shunsuke alors que je ne reverrai plus ce garçon ? Je dois être vraiment trop conne pour y croire encore. Même au fond, je sais que je serai... peut-être incapable de lui pardonner un jour, même si nous avions vécu de super bons moments tous les deux, en tant que Meilleurs amis, je le considérais comme mon frère, celui que la vie avait oublié de me donner. Mais finalement, tout ça... avait prit subitement fin. Pourquoi le destin est toujours aussi cruel tout comme je l'étais avec Vlad ? Serait-ce tout simplement une punition ?
« Tu peux... me l'affirmer que tu ne seras rien sans mon autorisation, heh ? » lui avais-je demandé avant de repositionner mes yeux vers les siens. Je le savais très mal en point, et je ne pouvais pas m'empêcher de me mettre à sa place, mais malheureusement, je ne pouvais... non, c'était bien trop pour moi. Je voulais l'aider, mais malheureusement, je ne pouvais pas. Trop de "malheureusement" me faisait tellement mal au cœur. Il m'avait prise contre lui, m'avait serrer fermement contre lui, comme s'il comptait sur cette action unique pour me faire comprendre que je devais m'ouvrir à lui, mais malheureusement, je ne pouvais pas forcer mes sentiments qui étaient toujours éteints. Et la vérité avait éclaté. Vlad m'avait embrassée, et je l'avais presque repoussé, comme je l'aurai fait pour n'importe qui d'autre qui m'aurait touchée sans mon accord.
Le jeune homme n'est pas du tout dans son assiette, il tremble comme une feuille, il pleure tel une personne brisée. J'avais son cœur entre les mains, et finalement tout ce que j'ai fait, c'est de le lui briser, et j'ignorais comment réparer ça, peut-être que je ne pourrais probablement jamais le faire. J'en suis désolée Vlad... avais-je pensé dans mon esprit avant de fermer les yeux.
« Ce... n'était pas voulu tout ça... Je crois que ça va bien trop vite pour moi et je... n'ai pas le temps de m'y faire, je suis désolée... Je ne voulais pas te blesser Vlad, je ne suis pas une horrible fille... » ... C'est simplement que Shunsuke est encore dans mon cœur. Je venais lui essuyer les quelques larmes qui s'étaient nichées sur ses joues pâles et mouillées par l'eau pure de ses perles translucides qui dégoulinaient sur son visage.
J'avais essayé de me relever après m'être légèrement écartée de son étreinte, mais j'étais retombée au sol, il était toujours un peu accroché à moi et lorsqu'il s'agita, venant se coller près de mon corps. Je le sentais si proche, qu'il m'avait fait rougir de gêne, j'ai eu le malheur de tourner la tête trop vite et voilà qu'il avait planté ses crocs dans la chair de mon cou, je poussais alors un cri de douleur, me crispant de tout mon corps, je venais positionner mes mains fermement sur ses épaules, en lâchant de profonds gémissements de douleur alors qu'il continuait de s'abreuver de mon sang. J'avais fermé les yeux subitement afin d'essayer de me calmer. La douleur était vive, deux trous dans ma peau... le sang qui quittait mes veines, bon dieu, faites que je ne fasse pas un malaise. Au bout de quelques instants, j'avais relâché toute la pression qui m'avait saisie afin d'essayer de faire ce moment, un bon moment. Mais je pense que c'était un peu... difficile.
Vlad se retira. Quelques perles sanguines continuaient de couler de mes plaies alors qu'il me tournait subitement le dos, surtout pour cacher son visage meurtri par les larmes et le sang qui devait s'y trouver maintenant. Dans un soupir de douleur, je me penche vers lui en murmurant : « V...Vlad... »
C'est finalement lorsqu'il se retourne que je retrouve son sourire, ses paroles presque réconfortantes, je lui adresse un maigre sourire alors que j'essaie d'oublier ces petits picotements qui subsistaient au niveau de ma morsure. J'avais dû avoir mal, parce que j'étais crispée, stressée, mais au moins... c'était fait. « T'as... pas à être désolé, Vlad... C'est... c'est ma faute. Uniquement la mienne. Après tout, je t'avais dis que je t'aiderai... »
J'ignorais la quantité de sang qu'il avait prise, et je ne veux même pas la savoir, tout ce que je veux, c'est de me sentir à l'aise parce que... là, je ne me sentais pas très... bien. La douleur, les picotements, les petites perles sanguines qui coulent... Ce n'était pas un agréable moment alors que pourtant, j'aurai pu adorer ça et lui en redemander. Alors qu'il m'adresse un énième "Je t'aime" avant de commencer à marcher, je me redresse et je tente de le rattraper en marchant.
« Pourquoi fuis-tu... ? » Même si peut-être, qu'au fond, il valait mieux se séparer pour le moment, le temps... de digérer tout ça.
Re: To believe that it is Destiny // Vlad ♥ } | Mer 23 Aoû 2017, 18:36
To believe that it is Destiny.
Tes sens étaient revenus, tu sentais le sang couler à flots dans ton cœur brisé. Oui, tu avais bu, oui, tu n’étais pas mort. Mais, à quoi bon vivre quand une nouvelle fois, on devait abandonner son amour. Tu ne voulais pas être un poids pour elle, tu l’avais déjà suffisamment fait souffrir. Et, tu l’avais compris, son regard t’avais dévoilé le fond de son cœur. Il y avait un autre gravé, et tu ne voulais pas l’effacer, et surtout, tu ne pouvais pas. Tu lui avais déjà volé du sang, alors que tu lui avais promis de rien faire contre sa volonté. C’était vrai, elle t’avait demandé d’affirmer le fait que tu n’allais rien lui faire sans son accord. Et usant de ton charme féerique, tu avais placé ces quelques mots.
« Je ne veux que ton bien, alors oui, je l’affirme. »
Ce n’était que des mots bien évidemment, au fond, tu n’étais qu’un monstre qui pensait qu’à toi. Son état était normal vu comme tu la traitais. Tu avais commencé par la déranger, puis tu l’avais tourmenté, ressassant son passé et le tiens. Pourtant, tu avais essayé de te rattraper, mais ce n’était qu’une succession d’erreurs. Toi, tu avais pris plaisir à la rencontrer, et malgré qu’elle t’eût brisé le cœur, cette journée était inscrite à jamais dans ton cœur. Mais, depuis le début, tu le savais, c’était tout bonnement impossible de sortir avec une déesse, tu étais trop bas dans l’échelle pour te le permettre. Alors, tu jouais sur les mots, tu avais évité d’être direct. Mais, elle n’était pas dupe, et t’avais répondu d’une phrase des plus triste. Tu avais tout simplement baissé les yeux, écoutant les lourds morts poignarder ton amour. Elle restait tout de même mignonne, tu savais qu’elle s’en voulait terriblement, et ça ne faisait qu’accentuer ta sentence. Non, tu ne voulais pas qu’elle soit triste, tu t’en fichais bien de ton cœur brisé, de toute manière, il l’était déjà avant de la rencontrer. Mais aucunement, tu ne voulais la blesser, elle ne l’avait pas mérité. Si compatissante qu’aucune autre, si adorable… Tu n’étais que l’inverse d’elle, égoïste que tu faisais.
« Ne t’inquiète pas pour moi, s’il te plaît. Mon cœur, c’est une chose, mais toi s’en est une autre. Je veux juste que tu te portes mieux à présent. C’est moi qui suis terriblement désoler, j’aurais dû garder mes sentiments, mais… Mais c’était trop dur de les garder, alors je préfère être fixé maintenant qu’après. Si… Juste… Si tu pouvais sourire, et ne pas t’en faire. J’en serais très heureux. »
Tu l’avais dit de façon si romantique, même si tu avais butté sur quelques phrases, cela t’apportait un petit charme. Tu t’étais forcé à lâcher un sourire, que tu ne pouvais faire durer. Elle avait tendrement essuyé les larmes sur mon visage déchiré par les sentiments.
Un instant après, tu avais décidé de la serrer contre toi pour l’empêcher de fuir. Et surtout pour sentir la chaleur de son corps, qui venait enivrer tes pensées. Elle avait rougi, et tu avais rougi à ton tour, tout en profitant de cet instant pour planter tes crocs. Un peu crispée au début, elle avait dû avoir mal. Ses mains sur tes épaules, les hurlements de douleur venant résonner dans ton crâne. Cette morsure, tu n’étais pas sur le point de l’oublier, et surtout, tu avais clairement discerné que c’était la fin. Sophie t’avait menti, donc tu retirais tes crocs une fois fini. Pleurant ton échec, pleurant pour le fait que tu n’étais qu’un idiot et que tes parents avaient toujours eu raison. Tu t’étais retourné pour pleurer, pensant déjà à rentrer chez toi pour aller te faire fouetter. Mais, il fallait bien que quelqu’un te punisse pour tes actions. Alors tu pleurais quelques larmes, pour ensuite les essuyer. Oui, tu ne devais pas l’embêter plus. Tu avais donc stoppé tes larmes, masquant une nouvelle fois tes émotions quand entendit sa voix te demander. Tu l’avais fait souffrir, tu ne méritais plus de vivre… Mais comme tu lui avais promis, tu allais retourner chez toi.
Tu t’étais retourné, le sourire aux lèvres. Tu venais plonger tes iris pour la dernière fois dans les siennes. Oui, tu pouvais explorer les firmaments de tes yeux. Au moins tu l’avais souri une fois. Un sourire angélique, qui amplifiait la beauté de son visage. Ses mots étaient adorables, tu baissais les yeux, grimaçant légèrement. Grâce à elle, tu pouvais de nouveau rêver. Elle avait affirmé que c’était sa faute… Alors que ce n’était pas le cas. Trop gentille, elle l’était vraiment trop pour toi, qui venait de briser une promesse.
« Merci beaucoup Destin, tu m’as énormément aidé. Tu ne me devais rien du tout, et tu m’as aidé, alors tu es une personne admirable pour ne pas dire formidable. Je n’aurais jamais dû quitter ma demeure, je t’ai blessé, et ce n’était pas ce que je voulais. Alors, je suis réellement désolé pour tout ça. »
Tu t’étais incliné toujours les prunelles posées sur le sol, avant de partir. Le cœur brisé, les sentiments effacés, tu abandonnais une nouvelle fois celle que tu aimais. Les yeux fermés, les remords constants, tu ne voulais pas continuer à avancer. Pourtant, tu ne devais pas le faire, tu ne voulais pas une nouvelle fois être pathétique envers elle. Non, tu voulais qu’elle rêve, et étant le cauchemar, tu devais t’évader vers le passé. Mais, sa voix venait te clouer sur place. Elle marchait vers toi, et tu restais de dos. Tu ne voulais pas une énième fois lui apporter le malheur de croisé ton regard. Pourquoi Fuyais-tu ? Car tu n’étais rien, tu ne lui apportais que le malheur, et le poids que tu étais ne voulais pas se poser sur elle.
Tu avais pris pas mal de temps à répondre à son interrogation, fixant le sol de tes yeux incolores. Oui, tes yeux avaient eux aussi perdu leurs âmes pour la vie. D’une voix calme tu répondais à sa requête, même si aucun sentiment s’écoulait dans la mélodie des mots.
« Je ne sais faire que fuir, alors je rentre chez moi, mes parents avaient raison sur moi. Je suis désolé d’avoir gâché ta journée et d’avoir été un poids pendant tout ce temps. Je suis désolé pour la morsure, je pensais que la personne ne souffrait pas… Mais apparemment, c’est l’inverse. Mais, si tu veux le savoir, je ne pars pas par envie, bien au contraire, j’aimerais rester en ta compagnie. Dommage que je sois pathétique, j’aurais dû réfléchir, maintenant, je ne peux que regretter et une nouvelle fois me faire rattraper par le passé. »
Restant encore un petit moment de dos, tu avais l’esprit lucide. Tu poussais un petit soupir, avant de te retourner vers la beauté. Tu voulais encore savoir une chose sur elle, alors, tu t’étais approché d’elle, les yeux baissés.
« Si tu me permets une dernière requête. J’aimerais savoir le nom de la fille qui m’a sauvé. »
Tu regardais tes pieds, essayant de maintenir au maximum tes émotions. Tu avais l’air d’un mort, tu étais redevenu le Vlad d’avant. Une marionnette qui allait se rediriger vers sa maison. Même, si cette fois-ci, tu repartais avec de bons souvenirs, et un poids en moins sur ton cœur.
Coeurs : 51 Messages : 102 Couleurs : #8B0000 pour Leyah. #DAA520 pour Saphir. J'ai traversé le portail depuis le : 14/08/2017 et on me connaît sous le nom de : Choupinette/Moon. Mon nom est : Leyah Nasha Raellyth. Actuellement je suis : Célibâtarde. Il paraît que je ressemble à : Lenia/Katarina (LoL) & Nina Dobrev irl et à ce propos, j'aimerais remercier : Misha ♥ & moi-même
Re: To believe that it is Destiny // Vlad ♥ } | Mer 23 Aoû 2017, 21:40
Mes yeux étaient toujours rivés sur Vlad, comme si nous étions transportés dans une autre bulle, ailleurs. Loin de toute cette vie. Où nous seuls, comprenaient le langage. C'était si étrange. Je n'avais jamais ressenti ça auparavant pour tout avouer et cela me surprenait à quel point l'émotion était forte, très forte. Je suis impressionnée encore de la force des mots que nous avions pu prononcer. J'étais une horrible personne de l'avoir rejeté de la sorte, je m'en voulais tellement. Et pourtant, c'était lui qui s'en voulait vraiment parce qu'il m'avait dévoilé ses sentiments à cœur ouvert, et moi... Et moi, j'ai été trop bête de refuser de voir la vérité en face et je l'ai rejeté, comme l'on jette un vieux journal à la poubelle dès qu'on n'en a plus besoin. Je venais de faire EXACTEMENT la même chose avec Vlad. Je l'avais jeté au feu sans m'en rendre compte. Finalement, mon cœur était lui aussi brisé. Mais pas de la même manière. Et pas pour les mêmes raisons. C'est ainsi, que je reconnaissais ma faute, mais à quoi bon ? Aurais-je mieux fait de répondre à son cœur et lui mentir ? Où être honnête avec lui dès le départ afin que nous puissions... Refaire nos vies chacun de notre côté ?
« Je me sens mal pour toi... Parce que... tu me touches, tu es attachant et pourtant, je suis une horrible fille de te faire subir ça, je m'en veux vraiment parce que je n'ai jamais voulu tout ça... Mais... » Je marquai alors une petite pause avant de baisser la tête. Réfléchis Leyah. Trouve bien les mots... Puis lorsque les mots me viennent, je lève la tête vers Vlad, terminant ma réplique : « Es-tu sûr... de ce que tu ressens ? N'était-ce pas simplement un attachement que tu me voues parce que je suis là... à essayer de t'aider ? Tout comme... Rien, oublies ma dernière phrase. » J'allais tout simplement parler de Sophie, je ne voulais pas qu'il me prenne pour elle, parce que je sais que dans son cœur, au fond, elle ne sera jamais remplaçable, elle avait occupé une place très importante pour lui et maintenant les Dieux le lui ont reprit la fille qu'il aimait. Et... Vlad devait ressentir la même chose pour mon cas. Alors que... nous n'avons jamais eu de contact avant. Ce que je peux être maladroite. Mais j'avais tenté de rattraper le coup, et de ne pas avoir prononcé le nom de "Sophie" devant Vlad. J'avais juste prétexté une fin de phrase... Qui n'avait aucun sens, lui demandant de l'oublier comme si je n'avais rien dis, mais bizarrement, je sentais qu'il allait comprendre ce que j'avais faillis dire, et là, je m'en veux... Vraiment.
C'était sans compter le fait qu'il m'avait également mordue, me prenant de mon sang, sans mon autorisation. Je me souviens encore de cette douleur qui m'avait prise parce que j'étais sûrement très crispée, j'avais eu l'impression que l'on m'arrachait la peau violemment. Pourtant, Vlad pensait que la douleur n'allait pas être autant insupportable, mais c'était peut-être moi le problème tout simplement. Je reprenais doucement mon souffle après qu'il s'était éloigné, créant une zone de distance entre nous, la glace autour de moi avait disparue d'ailleurs. Je tremblais. J'avais froid. Parce que j'avais peur. Je ne me sentais pas bien. Ma première morsure de vampire. C'était... Désagréable. Ces picotements incessants, la sensation de mon sang qui partait dans l'organisme de Vlad... Je me souviens encore de tout ça.
« Non c'est pas vrai... Tu ne pouvais pas savoir que tu allais me faire mal, j'ai du sûrement être trop surprise et mon corps à mal réagit... C'est... la première fois que je me faisais mordre, donc finalement... j'étais... angoissée. S'il te plaît, ne t'en veux pas pour ça... Ce serait idiot. Parce que... chez toi, c'est naturel de faire ça. Et... j'peux pas t'en vouloir pour ça... » fis-je doucement en baissant la tête. Mes cheveux bleutés cachaient mon visage à la peau bronzée. Mes yeux étaient fermés. J'avais croisé les bras, attendant sagement des réponses.
« Arrête... Arrête de te dévaloriser bordel ! Ouais, tu m'as mordue sans mon autorisation, je n'ai pas apprécié, mais ce n'est pas pour autant que je vais te battre à mort ! Parce que... bien, quelque part, j'ai qu'à assumer d'avoir accepté de t'aider, c'est tout. C'est tombé sur moi, mais ça aurait pu tomber sur n'importe qui d'autre qui t'aurait trouvé, là, assit au sol, en train de te laisser crever comme un vulgaire... Animal qui n'en peut plus. J'étais là. Et je suis là... Du moins, je pense être encore vivante, n'est-ce pas ? »
La dernière phrase était tout simplement là pour le ton humoristique que j'avais essayé de prendre. J'avais également relevé la tête, fixant Vlad qui avait cet air tellement attristé, il se voilait la face, mais pourtant, je pouvais comprendre facilement qu'il s'en voulait. Puis finalement, Vlad s'était posté devant moi, me demandant une dernière requête mon prénom.
Dans un énième soupir d'aise, je ferme les yeux en me mordant la lèvre : « Je m'appelle Leyah... Et non pas Destin... »
Re: To believe that it is Destiny // Vlad ♥ } | Jeu 24 Aoû 2017, 00:30
To believe that it is Destiny.
Le regard noir du monde se posait sur toi, hurlant ta douleur par le biais des arbres. Son œil blanc empli de mépris venait t’illuminer, dévoilant ton teint pâle aux yeux des hiboux. Il était si tard ? Cela faisait maintenant combien de temps que tu étais parti, tu ne te souvenais plus. Mais, ton cœur meurtri lui se souvenait venant ressasser une nouvelle fois le passé.
Tu avais essayé de nier tes sentiments comme te l’avait dit la salamandre bleutée. Tu t’étais souvenue de ses mots confus, tu les avais écouté attentivement. Tu avais honoré son honnêteté, au moins ce qu’elle te disait n’était pas que des mots, mais une musique que tu pouvais comprendre. Elle se sentait mal pour toi, et tu avais conscience que tes émotions l’avaient touché. Malheureusement, tu savais aussi l’issu de ton jugement. Comme quoi, être calculateur n’était pas toujours chose simple. Elle était vraiment mignonne, et malgré le cœur brisé qu’elle avait engendré, tu ne pouvais aucunement lui en vouloir pour une chose aussi futile. L’amour ne se contrôle pas, c’était un sentiment fort qui ne pouvait pas s’acheter, ou même s’inventer. Non, la déesse n’était pas une horrible fille, bien au contraire, elle avait eu l’audace de briser le cœur d’un vampire. Et les gens qui te refusaient, il n’y en avait très peu sur cette île à pouvoir s’en vanter. Elle marquait un temps d’arrêt au début de sa phrase. Tu avais donc écarquillé tes yeux violacés, te demandant ce qu’elle allait pourvoir t’annoncer. Sûrement… Quelque chose de très triste et surtout de blessant. Chercher les mots n’était pas souvent chose simple lors de ces situations. Alors, tu attendais patiemment sans broncher.
Ah ? Voilà ce que tu redoutais, une fameuse phrase qui pour toi était dénuée de sens. Mais, tu ne lui en voulais aucunement, c’était rare de ressentir autant d’émotion en si peu de temps. Sur de ce que tu ressentais ? Et la fin de sa phrase signifiait clairement qu’elle faisait référence à Sophie. Avait-elle raison ? Tu avais si mal à ton cœur meurtri pour un sentiment qui n’existait pas ? Pourtant, tu le savais très bien elle n’était pas Sophie. Alors, tu le savais bien, tes sentiments envers Destin était véritable. Tu étais normalement bon pour masquer la réalité, mais avec elle, c’était tout bonnement impossible. Alors, tu avais essayé de mentir approuvant ses dires, grimaçant sur sa question.
« Peut-être… Et non, tu n’es pas une horrible fille ne dit pas ça s’il te plaît. Tu es superbe ne change pas. »
Malheureusement, tu savais déjà la réponse au peut-être. Tu soufflais légèrement essayant de reprendre ton calme. Ton cœur avait déjà gravé cette personne à jamais dans ton cœur. Aussi vite, pourquoi ? Pourquoi ton cœur te faisait cela. Pourquoi tu n’arrivais pas à contrôler ce sentiment, pourquoi étais-tu obligé de le subir et tu ne pouvais tout simplement pas l’ignorer ? Des questions qui restaient sans réponse, torturant ton esprit. Tu avais vraiment tout raté, et comme disait ton paternel, tu n’étais qu’un raté. Et dire que tu croyais que c’était des tyrans, alors qu’ils avaient raison depuis le départ. Tu aurais dû plonger dans les flammes avec elle, quand tu avais encore l’opportunité.
Oh, la morsure ? C’était encore une de tes stupidités, tu avais tout raté, vraiment tout. Impossible qu’elle te fasse confiance après ce que tu avais fait. Tu étais de dos, et pourtant, tu sentais qu’elle tremblait. La petite salamandre avait sûrement atrocement peur, était-elle perdu ? Lui avais-tu fait mal ? Tu étais encore une fois dans l'incapacité de répondre. Tu avais laissé tes yeux incolores trainer sur le sol, à la recherche de ton existence. Mais il n’y avait rien, mise à part des cendres. Tu t’abandonnais donc dans tes horribles pensers, te concentrant sur ton inspiration.
Un dialogue venait briser une nouvelle fois cette solitude. Ton amour venait une nouvelle fois te réconforter de ses mots doux. C’était vrai, tu ne savais pas, mais tu n’aurais pas dû prendre le risque. Tu l’avais blessé, et tu t’en voulais fortement, ce n’était que la suite logique des évènements. Cette fille, ça ne pouvait être réel, tu venais de briser une promesse et elle te défendait. Alors, tu t’étais retourné pour contempler une nouvelle fois sa beauté. Malheureusement, celle-ci te l’avait caché. Les yeux clos, la tête baissée voilà ce que tu pouvais détailler de tes yeux violacés. Alors d’une voix calme, tu venais lui répondre en essayant de retenir les nombreuses émotions qui se jouaient de toi.
« Je n’aurais pas dû tenter, je me suis fié à un jugement d’une fille qui m’aimait alors… Ça n’était sûrement pas véritable. Tu as raison, c’est naturel, mais je déteste faire du mal aux personnes. Alors avec toi, c’est encore pire. Et merci… Merci beaucoup d’être aussi gentille avec moi. »
Ramené à la réalité que tu ne pouvais oublier. Non, impossible d’oublier qu’elle souffrait à cause de toi. Et, tu priais pour qu’elle se remette rapidement du fardeau que tu lui avais fait porter. Ta bien-aimée ne t’avait pas laissé le plaisir de te morfondre encore une fois dans tes pensées, venant une nouvelle fois t’apaiser. Tu avais globalement compris ce qu’elle avait essayé de t’énoncer. C’était vrai que tu n’étais pas du genre à te valoriser n’y l’inverse d’ailleurs. Mais avec elle, tu ne pouvais t’en empêcher, la voir comme ça, te rendais hors de toi. Toi qui n’étais pas au final totalement toi, mais l’homme brisé qui s’apparentait à Vlad.
« Oui, heureusement que tu es toujours vivante. Je suis désolé de mon attitude envers toi, j’ai été déraisonnable. Et merci beaucoup pour ton aide, sans toi, je ne serais plus là. »
Tu dessinais un sourire sur ton beau visage, mais celui-ci n’avait duré qu’un instant. Tu avais essayé de parler d’une voix claire, pour ne pas faire parvenir la tristesse de tes émotions à ses oreilles. Tu avais ensuite posé ta question, et attendais patiemment la réponse. Et enfin quand la réponse se dévoilait, tu levais les yeux, d’un regard ébahi. Son prénom était tout bonnement magnifique, Leyah lui correspondait parfaitement. Alors, prenant le temps d’une dernière fois la détailler. Tu lui offrais un radieux sourire, avant de te retourner vers l'obscurité.
« Leyah, ce nom sera gravé à jamais dans mon cœur. Je ne vous propose pas un câlin d’adieu, je pense avoir compris que ce n’était pas la meilleure option. Sur ce, je vous dis adieu. »
Ta voix mélodieuse avait porté pour la dernière fois tes paroles, avant d’être de nouveau de plonger dans le noir. Et d’une voix douce, tu avais murmuré des mots dénués de sens.
« Espérons que le destin opérera une nouvelle rencontre. »