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 le fric, c'est chic

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Anonymous
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le fric, c'est chic | Ven 02 Oct 2015, 21:40

September n'était pas revenu ici depuis un moment, donc personne ne le soupçonnerait de faire les poches aux passants. C'était parfait. Il laissait sa queue de singe ou chat, qu'importe, on s'en fichait un peu, elle balançait doucement, exprimant sa joie. Il pourrait piquer des choses intéressantes, ça agrandirait son trésor, avec ça. Il finirait par avoir assez pour vivre correctement, même en hiver. Contrairement à ce qu'on pensait, ce n'était pas si dur de voler en plein hiver, bien sûr, le jeune garçon était souvent stoppé par le froid parfois mordant de la saison. Mais ce n'est pas ça qui le stopperait. Les policiers à la rigueur et encore. Pas sûr qu'il y reste très longtemps. Il riait doucement et s’enfonçait dans la foule. Avec ses doigts agiles et ganté. Le jeune garçon était en plein œuvre. Il volait, il adorait la sensation du danger imminent. Les regards paniqués des gens pillé injustement. Il était comme un gamin, il était encore, à peine quinze ans, ce n'est pas très grand à cet âge. En plus le blond n'était pas très développé. Mais là n'était pas l'intérêt. Il s'arrêtait après quelques instants et s'installa à l'abri des regards. Il ouvrait les porte-feuilles et prenait l'argent, objet de valeur avant de laisser les objets sur son chemin, histoire de faire comme si c'était naturels que leur portefeuille était juste tombé, ce n'était pas vrai. La vérité était tellement surfaite. Il grattait les plumes de son oiseau, Boko restait silencieux, c'était un peu une règle lorsqu'il faisait ses forfaits, interdiction de parler. De toute façon, le jeune garçon n'avait pas envie de discuter avec quelqu'un. Il parlait que pour dire ce qu'il fallait, pour draguer ou avoir la paix. Bien entendu, il avait profiter des femmes, un peu. Quand il n'y a pas de gêne... On connaît la suite.

Le garçon souriait, il pouvait s'acheter une gaufre bien chaude. Il s'en payait une et marchait le long du couloir pillant par moment les gens d'une seule main. Il commençait à avoir un sacré coup de main pour faire les poches. Le pire dans tout ça, c'est que ce jeune homme en était fier. Il ne s'en vantait pas. Mais il en parlait avec fierté avec son affilié quand la nuit donnait des envies de savoir que quelqu'un lui répondait, même si c'était un oiseau mutant. Il finissait son maigre repas, en tant que voleur, le jeune homme était devenu moins regardant niveau nourriture. Tant que ça remplissait son estomac, c'était tout ce qui comptait. Le goût, c'était secondaire. Il souriait, il avait fait pas mal de forfaits, il pouvait se poser un peu. Il se mettait dans un coin et restait un moment, histoire de reposer ses pieds. Il pourrait grimper sur Boko, mais il devait garder son oiseau pour fuir à toute vitesse. Garder un élément de surprise, quoi de mieux pour s'amuser un peu. Il souriait, il avait un air mauvais, clairement, ce jeune garçon n'était pas très abordable. Bien, sûr, il avait volé, vieux et jeunes, hommes et femmes, tout, aucune distinctions.




Anonymous
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Re: le fric, c'est chic | Ven 02 Oct 2015, 23:53

Dans les rues de Castle of Heart, il y avait un monde fou aujourd’hui. Je ne savais pas s’ils s’étaient donné le mot pour faire des achats, mais en tout cas, c’était difficile de circuler aisément dans toute cette foule. Des fois je me demandais même si je ne devenais pas agoraphobe tellement ça me saoulait tout ces gens… Je n’étais pas très patient alors mettre une demi-heure à faire une rue ça me les brisait assez vite. Comment autant de gens pouvait avoir la même idée en même temps de faire du shopping, ils n’avaient pas autres choses de plus important à faire ? Je ne sais pas moi s’occuper de leur gosse, ou aller à l’extérieur de la ville, tout sauf dans les rues que je devais justement traversées.

Je ne voyais même pas bien où j’allais là. C’est là que je sentis un petit corps contre le mien. Et surtout des mains sur mon portefeuille qui disparut de mes poches à la vitesse éclair. Je ne savais pas qui c’était, mais il était clair qu’il ne s’en sortirait pas à aussi bon compte. Je voyais les gens consternés sur le passage du voleur voyant leur porte feuille à terre. Mais ce n’était qu’une mise en scène alors je bousculais les gens m’excusant au passage afin de le rattraper. Il était bien plus agile que moi et surtout il passait inaperçu dans cette foule. Pas évident de le suivre et je finis d’ailleurs par le perdre de vue. Malgré le fait que je sois grand, le gosse était un peu trop nabot pour que j’arrive à le garder en ligne de mire.

Je soupirais en essayant tant bien que mal de suivre la trajectoire qu’il avait prise en espérant lui retomber dessus. Ce n’était pas comme si c’était l’une des plus grandes villes du coin non…Après plusieurs heures de recherches infructueuses je crus enfin apercevoir des habits ressemblant étrangement à mon petit voleur. Il était d’ailleurs dans les proportions que je recherchais. Bon je pense que j’avais mon homme, mais je décidais de faire un petit détour afin de le prendre par surprise pour qu’il ne s’enfuie pas.

Une fois mon détour fait j’étais derrière lui et le pris par le col le soulevant comme s’il s’agissait d’un simple fétu de paille. Il était vraiment léger le petit. Puis je le retournais afin de lui faire face et de le regarder dans les yeux.

Tu n’as pas honte de voler les gens honnête petit ? Que tu vole les gens riches encore, mais les vieux, et les femmes tu pourraient les épargner, n’as-tu donc aucun regret à faire ça ?

Le vol je savais pourquoi c’était fait. Généralement, c’était pour subvenir à un besoin premier qui était la faim. Mais il pouvait quand même cibler des personnes qui méritaient d’être volés, pas des gens honnêtes et innocent qui n’avaient déjà pas forcément assez de sous pour eux même.

Te rends tu comptes que ceux que tu as volé sont peut-être autant dans la panade que toi et qu’ils auraient bien besoin de cet argent ?

Oui je lui faisais la morale, mais en même temps il n’avait pas l’air d’être un môme qui savait faire la part des choses.

D’ailleurs tu as pris le mien de porte feuille, tu peux garder ce qu’il y a dedans, mais j’ai quand même besoin de récupérer le contenant.




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Re: le fric, c'est chic | Sam 03 Oct 2015, 11:40

September était bien là, mais bon, il se retrouvait soulever du sol. Immédiatement, le jeune garçon se mettait à grogner, il détestait quand on lui faisait ça. C'était un coup en traître. Il bougeait, pour se débarrasser de cette personne, elle était là à le tenir comme si le dragon était un vulgaire objet. Heureusement, elle ne le touchait pas directement. Le garçon se retrouvait en face d'un gars, assez bien battit, c'était bien sa veine. Il réfléchissait au meilleur plan pour le faire lâcher,ses dagues. Il pouvait le blesser et se casser rapidement. Voilà un bon plan. En plus, ce gars lui faisait la leçon, comme si ce plouc savait ce qu'il vivait depuis trois ans. Des regrets, ça faisait longtemps que le blond n'en avait plus aucun. Il regardait ce type, jaugeant son temps de réaction, c'est là qu'il regrettait ne pas être rapide comme un elfe. En plus sa queue serrait idéale pour le retenir. Pourquoi il avait eu ce truc, hein. Il continuait son discours qui l'agaçait. Il grondait. Et changeait sa main en griffe de dragon, bien plus imposante que son bras. Le gars avait beau être solide, il pourrait lui faire peur avec sa part animale, c'était un risque à prendre. Il l'avait volé en plus. Preuve que ce gars n'était pas si infaillible que ça.

« Va voir aux objets trouvés et fiche-moi la paix le malabar. Tu te sens puissant à soulever plus jeune que toi. Tu crois que j'ai des regrets ? Ça fait un bon moment que je les ai laissé au placard. Tu me lâche de suite avant que te fasse du mal avec mes griffes, pigé ? »

Le voleur menaçait vraiment, et il ne plaisantait pas. Il savait qu'il aurait droit à des images de sa vie, avec ce genre de geste. C'était bien sa veine. Il ne pouvait pas se défendre sans avoir le contre-coup de cette capacité à la con. Il lâchait un soupir, c'était un sacrifice à faire. De toute façon,k ça pouvait pas être pire que certaines images qu'il avait pu voir. Et en trois ans, il avait vu des images loufoques et cruelles. Il attendait un moment, histoire de savoir si cet homme le prenait au sérieux ou non. Boko, enfonçait ses griffes dans ma tête, il savait que j'avais en tête. Et il n'était pas d'accord. Son oiseau savait que c'était pour avoir de quoi manger, encore et toujours. C'était toujours la raison pourquoi le jeune garçon pillait sans aucune gène. Son estomac était silencieux, pour le moment. Il en avait marre d'attendre et attaquait cet homme, bien entendu, il avait droit à des images, il faisait de son mieux pour les ignorer.

« Maintenant Boko.
-Non Sept, je pense qu'il te retrouvera.
-C'est bien ma chance. »

Il grognait. Si ce type voulait son porte-feuille, il n'avait qu'à chercher, après tout, il était un dragon, pas un chien. Déjà qu'on le confondait avec un chat à cause de cette chose qu'il eu en conséquences de ses blessures.




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Re: le fric, c'est chic | Sam 03 Oct 2015, 16:26

Ce jeune homme avait vraiment l’air de ne pas trop aimer se faire avoir comme ça. Mais il faut dire qu’il l’avait cherché aussi à voler tout ses gens dont moi. Après je me fichais pas mal de l’argent dedans, je voulais surtout récupérer mon portefeuille qui me venait de ma mère, je ne demandais pas plus. Mais il n’avait vraiment pas l’air enclin à vouloir coopérer. Petit chenapan va. J’imaginais bien ce qu’il avait pu vivre ayant eu une période de ce genre moi aussi. Mais voler des gens aussi pauvres que lui ne l’aiderais pas à vivre comme il voulait autant qu’il volet ceux qui avaient vraiment de quoi faire. S’il volait ne serait-ce qu’une personne riche il pourrait manger à sa faim toute une semaine voir un mois si le mec en question est un abruti finit qui remplit son portefeuille.

Il me fit vite comprendre qu’il ne me donnerait pas ce que j’étais venu chercher. Il voulait que je le lâche me trouvant apparemment méprisable. Mais cela ne me plaisait pas plus qu’à lui de le soulever comme ça. Cependant, je n’avais pas envie de lui courir après durant toute la journée donc c’était un moyen plus pratique d’arriver à mes fins. Il me fit comprendre qu’il n’hésiterait pas à utiliser la force si je ne le lâchais pas, mais j’étais têtu et ça il ne le savait pas encore.

Tant que je n’aurais pas eu ce que je voulais je ne te lâcherais pas. Ce portefeuille est important pour moi rend le moi. Je ne sais rien de toi, mais tu es bien insolent pour quelqu’un en mauvaise posture.

Il allait sûrement appliquer sa menace, mais cela ne me faisait pas peur. Je me demandais surtout d’où il allait sortir ses griffes. Il était lui aussi un hybride ? En tout cas, son affilié avait l’air de vouloir l’empêcher de faire ce qu’il disait. Il agrippait à sa tête comme un forcené. Je soupirais me disant que l’on n’avait vraiment pas commencé comme il le fallait, peut-être que si je me posais et que je lui expliquais la signification de l’objet pour moi il me le rendrait ? Je n’eus de toute façon pas le temps de le faire vu qu’il sortit des griffes immenses qui me surprirent et me firent le lâcher pour pouvoir éviter le coup.

Si j’avais réussi à éviter le coup, c’était bien grâce à mon sang d’hybride. Ma vitesse et mon agilité accrues m’avaient bien aidée. D’ailleurs il allait falloir que je m’en serve pour le poursuivre si je ne voulais pas qu’il m’échappe. J’avais justement réussi à déchirer un pan de son haut ce qui me permettrait de le pister. Je le regardais s’enfuir tandis que je me reprenais. Je posais la bout de tissu à terre et me transformait en guépard. De là je reniflais le fragment de vêtement avant de m’élancer dans la direction qu’il avait prise afin de pouvoir le suivre. Je ne savais pas par où il était passé, mais son odeur était encore bien présente et avec ma vitesse une fois transformée je le rattraperais en un temps record. Plusieurs gens se poussaient face à moi ayant peur de se faire dévorer, mais ce n’était pas mon but. Du moment qu’ils se poussaient tout irait bien pour eux.

Après l’avoir poursuivi pendant plus de vingt minutes je réussis à prendre de l’avance et à le piéger une nouvelle fois au niveau d’un cul-de-sac. Je repris ma forme humaine.

Bon s’il te plaît soit un gentil garçon et rends moi mon bien. C’est ma mère qui me la donner il est précieux pour moi.




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Re: le fric, c'est chic | Sam 03 Oct 2015, 17:27

Cet ne voulait pas entendre raison, okey, il pouvait aussi jouer à ce jeu. Il était plus têtu qu'un gars qui a fait trop de gonflette. Il devait se servir de sa tête. September était loin d'être stupide, même si il agit parfois trop rapidement. Il fonçait dans le tas. Mais là, il pouvait réfléchir et retourner l'intelligence de son adversaire contre lui. Il n'allait pas lui faire plaisir, ça serait trop lui demander. Surtout un voleur, tenir à un objet était ridicule, si il y avait des choses à quoi le jeune homme tenait, c'était ses gants et Boko, le reste, il s'en fichait. Insolent ? Et encore, il n'avait rien vu. Le dragon pouvait être très vindicatif. Il devait lui faire mal, qu'importe, il n'était pas à ça près. Il fuyait, il serait loin de ce type, s'il croyait qu'il avait toujours son parte-feuille, il se fourrait le doigt d'ans l’œil jusqu'au coude. Le dragon avait plus qu'un plan en tête connaissait le château comme sa poche, il lui laissait une chance de le savoir coincé avant de prendre un passage secret. C'était ça une ancienne bâtisse plein d'endroit où se planquer. Il était un hybride Guépart, même si Boko est rapide, il se fera distancer, et merde. Il grattait les plumes de son oiseau. Il voulait son bien en prétextant que c'était sa mère qui lui avait donné.

« Pauvre chéri à sa maman, je vais pleurer, Boko, va le chercher, moi, je n'ai pas envie.
-Je file vous trouver ça monsieur. »

L'oiseau avait une taille d'un mètre et partait à toute vitesse,de poussin à grand volatile, son chocobo était toujours pratique. Il lâchait un soupir, de toius les types qui existaient sur terre, il fallait qu'il croise un sale type qui était accroché à une mère sûrement disparue, alors que lui se portait bien mieux sans la sienne, à cette pensée, il avait presque ses vieilles blessures qui se réveillaient. Il grognait. Il voyait Boko au loin avec le porte-feuille du type.

« Voilà, maintenant, fout-moi la paix gros matou. J'ai autre à faire que d'écouter les conseils d'un fils à maman. Tu n'es pas le premier à me faire la leçon, tu pense pouvoir me changer, plutôt danser la polka en tutu rose bonbon que de revenir dans le droit chemin. J'ai rien à y gagné. Je te dois plus rien. »

September caressait son affilié, un moment qui n'aurait du être qu'à eux. Il savait par quoi il était passé. Il avait du croiser des gens qui l'avait touché. Il posait son front contre ses plumes jaunes. L'oiseau reprenait sa taille de poussin, sa taille d'origine. Il serrait doucement cette boule de plumes, il bougeait ses lèvres doucement, formant un mot que peu de gens pouvait comprendre, du vieux celtique. Il aimait se rappeler parfois d'où ils venaient. Maintenant, tout allait bien, il n'allait pas se faire manger par un chat, aussi gros soit-il. Il se demandait toujours que serait sa vie sans son affilié. Sûrement qu'il serait plus de ce monde. Ils s'étaient sauvés.




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Re: le fric, c'est chic | Sam 03 Oct 2015, 18:24

Ce petite garnement était aussi têtu que moi ça n’allait pas être simple de retrouver mon portefeuille avec son caractère. Malgré tout je n’arrivais pas à lui en vouloir, il avait l’air d’avoir un passé assez difficile. Ce n’était pas pour rien qu’il volait. Et s’il n’avait plus de regrets et ne faisait plus de distinctions du tout avec les gens c’est qu’il le faisait depuis un moment. Cela me désolait de voir des jeunes de son âge réduit à de telles bassesses pour pouvoir subvenir à leur besoin.

Je n’eus pas le temps de lui demander plus amples informations qu’il s’était échappé en me frappant. J’avais éviter de justesse de me faire crever un œil. Je me transformais en guépard afin d’utiliser mon flair et ma vitesse pour la rattraper. Il pourrait bien utiliser tous les raccourcis qu’il voudrait il ne m’aurait jamais facilement. Pas dans cette forme, j’étais bien trop rapide et mes sens étaient bien développés. Quand j’y pense même s’il faisait nuit, il ne pourrait pas me distancer longtemps vu que j’étais nyctalope. Cela sert bien aussi de voir dans le noir. Bref, il ne m’échapperait pas donc autant me rendre ce qui m’appartenait.

Je le rattrapais au niveau d’un cul-de-sac. Et reprenait ma forme initiale afin de lui demander de me rendre mon bien. Je lui précisais la raison de mon attachement à celui-ci et d’un air tout à fait méprisant il demanda à son piaf d’aller le chercher. Une ruse encore ? Je n’en étais pas sûr. C’était assez difficile à savoir ce petit gars était bien plus complexe qu’on pourrait le croire. Je me fichais bien de savoir ce qu’il pouvait penser. Qu’il se moque si ça lui chantait je m’en fichais. Lui aussi il avait certainement un objet dont il ne voudrait jamais se séparer.

Son oiseau finit par me rendre ce qui m’appartenait. Tant mieux, je n’aurais pas voulu le perdre. Je le regardais ensuite, mais je ne bougeais pas de là où je me trouvais croisant les bras.

Je ne sais pas ce que tu as vécu pour en arriver là. Mais si tu as besoin je peux t’aider. Je ne suis pas un fils à maman, je veux juste garder un objet qui a appartenu à ma mère défunte. On a tous vécus des choses plus ou moins horribles, ne pense pas que tu es le seul à souffrir car c’est faux.

J’haussais les épaules. Il ne voudrait sûrement pas de mon aide il avait l’air d’avoir une certaine fierté. C’est sûr que voler c’était vraiment super bien comme travail. Enfin de là à considérer ça comme travail faut peut-être pas exagérer. Je lui lançais une pomme que j’avais sur moi et lui fis un clin d’œil.

Tiens c’est bon pour le moral. La prochaine fois je t’apporte une carotte histoire de voir si ça rend vraiment plus aimable. Il parait aussi que ça rend les fesses roses mais ça tu le verras par toi-même le jour où je t’en donnerais une dis-je en rigolant.

Je me rapprochais de lui et lui caressais les cheveux comme s’il s’agissait d’un petit frère.

Si un jour t’as envie de parler sache que tu me trouveras sur l’Atlantis. Aller à la revoyure petite garnement.




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Re: le fric, c'est chic | Sam 03 Oct 2015, 20:28

September respirait doucement, il pouvait faire face à ce tas de muscles. Il avait plus d'aptitudes que lui pour certaines choses. Il en était sûr. Encore un peu, il en riait. Il ne pouvait décemment rire dans la situation dans laquelle il se retrouvait bien malgré lui. Il roulait des yeux. Décidément, il y avait pas mieux que se retrouver dans un cul de sac. Encore heureux ce gars ne semblait pas traquer les jeunes comme lui, sauf qu'il avait pillé un bien précieux, n'importe quoi. Les gens s'attache vraiment à des choses sans importance. Comme si un objet remplaçait la personne qu'on appréciait, c'était comme si on remplaçait Boko par une peluche, ridicule. Le gars disait qu'il l'aider. Il riait, se décollant de son oiseau. Il grattait son plumage d'un air distrait, il allait continuer comme ça le père castor ? Lui faire la leçon une fois sans être écouté ne lui suffisait pas pour qu'il ferme son clapet, celui-là. Comme si le dragon ne savait pas que d'autres souffrent, il voyait les émotions des gens d'ici à chaque fois qu'ils les touchaient. Bref, c'était un bébé qui voulait un objet à sa mère. Il lui donnait une pomme disant que c'était bon pour le moral avant de dire qu'une carotte serait pas mal pour me rendre aimable. Pfeuh. Avant de lui dire qu'il n'avait qu'à venir lui parler si le blond en avait envie.

« C'est ça, me confier à toi, plutôt voir les souris danser le french cancan que de te parler, abruti. En plus tu te trompe de genre, achète-toi des binocles la taupe, je suis un gars . Un mec. Apprends à distinguer les formes avant de pleurer après un objet, ne compte pas sur moi pour te voir et ta carotte, fout là où je pense. Crétin. »

Petite, et puis quoi encore ? Porter une robe, pitié non. Il grimpais sur son oiseau et adressait même pas un regard à cet homme quand il partait, il avait de fric pour rentrer de toute manière. Il n'avait pas très envie de marcher, il le pouvait, mais se déplacer sur chocobo, c'est classe, faut se l'avouer. Les rues défilaient plus vite comme ça. Il serait rentré, loin de ce sale type qui ne qu'à sa chère mère, s'en était gerbant. Il serrait les plumes de son affilié. Il s'arrêtait tout près de sa planque. Il devait rester tranquille un moment. Il lâchait un soupir et marchais un peu. Il savait qu'après un peu de marche, il y serrait. Il cachait son poussin dans ses cheveux. Il se laverait, demain matin. Il avait d'autre chats à fouetter que de se préoccuper d'un gars qui pouvait le retrouver. Il le jetterai dehors sous forme de dragon. Ouais, il irait jusqu'à se transformer en dragon pour avoir la paix. C'était grave à ce point. Il faisait de son mieux pour qu'on lui foute la paix. Mais bon, il y avait des débiles sur terre. Cet homme semblait de cette catégorie.




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Re: le fric, c'est chic | Sam 03 Oct 2015, 23:36

Il n’avait pas l’air de comprendre l’importance de mon portefeuille mais bon je n’étais pas là pour lui faire un récit. Je voulais simplement récupérer mon bien et qu’il comprenne ou non je m’en fichais. Cela me désolait cependant qu’il n’agisse pas un peu plus gentiment. Je n’imaginais pas comment la vie avait du être dur avec ce gosse pour qu’il soit antipathique comme ça, sa vie n’était surement pas rose bonbon. Ce portefeuille ne serait jamais ma mère, mais c’était un cadeau, et un cadeau ça se garde toujours précieusement. Je dirais même que son état de santé dépendait de l’importance de la personne pour nous. Mon portefeuille était le plus neuf possible. On voyait qu’il avait déjà passé plusieurs années, mais il n’était pas encore en trop mauvais état juste deux trois petites attaches qui commençaient à se détacher, mais encore rien de grave.

Apparemment, mes mots ne l’atteignaient pas. Je me demandais pourquoi exactement. Ne voulait-il pas les entendre ou pensait-il que ça ne changerait en rien sa condition de les écouter ? Je ne savais pas trop, mais j’étais un peu peiné de voir qu’il se foutait éperdument de mes conseils. J’essayais toujours d’aider les autres quand j’en avais l’occasion, mais lui s’en fichait royalement. Je m demandais si je devais continuer ou arrêter car là pisser dans un violon faisait le même effet.

Je lui donnais une pomme et lui fis comprendre que je serais là s’il avait besoin de ma parler, mais aucune reconnaissance ne parut dans sa voix, il m’envoya plutôt pété comme un vulgaire guignol. Ce petit me faisait marrer, même si ce n’était pas forcément drôle sur le coup. Beaucoup de personne aurait fini par lui mettre une bonne fessée, mais le fait qu’il est un caractère aussi impulsif me plaisait. Dommage qu’il ne veuille pas de mon aide il aurait pu être comme un petit frère, mais je n’étais pas du genre à abandonner au premier obstacle.

Ma langue a simplement fourché le mioche je sais que t’es un mec. Je suis pas aveugle.

Et je repris mon air nonchalant et calme tandis qu’il monta sur son piaf, je n’eus même pas le temps de l’arrêter qu’il était déjà parti loin. La vache c’était rapide ces bestioles… Je soupirais me disant que j’allais encore partir en poursuite. Je voulais vraiment aider ce morveux à s’en sortir. Vivre dans la rue ce n’était pas la meilleure chose au monde et je le savais. Je ne savais pas encore comment j’allais me démerder surtout qu’il m’envoyait paître toutes les deux minutes, mais tant pis qui ne tente rien n’a rien. Oui il va me prendre pour un imbécile, mais qu’importe de toute façon il n’avait pas l’air d’aimer grand monde en général.

Une fois devant un bâtiment plus ou moins désaffecté. Je m’arrêtais et reprenais ma forme humaine. Ça va il y avait pire comme endroit pour vivre. Je rentrais sans demander la permission et l’aperçu.

Bon alors c’est là que tu vis ? C’est pas mal. Mais j’ai connu mieux aussi. Tu vis ici depuis longtemps gamin ?




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Re: le fric, c'est chic | Dim 04 Oct 2015, 13:17

September se mettait sur son lit de fortune. Il s'étalait un peu, faudra qu'il pense à mettre un peu d'ordre, histoire de voir un peu plus clair dans sa tête. Il détachait ses cheveux, à force d'être attaché, il avait fini par le tirer un peu. Ce n'était pas si grave. Il sortait ses dagues et regardait un moment leur tranchant. Il avait retiré ses gants pour ça. C'était rare de voir ses mains. Elles étaient petites et présentaient de vielles cicatrices. Comme beaucoup chose qu'il couvrait. Le voleur était une personne meurtrie. Il ne s'en plaignait jamais. Ce mec lui avait dit que sa langue avait fourché.

« Les excuses sont faites pour s'en servir. »

Heureusement, il était parti loin de tout ça. Il ne pouvait pas supporter les crétins dans son genre. Il leur disait clairement qu'ils pouvaient aller voir ailleurs, il serait bien heureux sans eux. Le monde se porterai bien mieux sans qu'on lui dise quoi faire. Sous prétexte qu'il était jeune qu'il n'était pas responsable, n'importe quoi. Il avait vécu sans rien demander à personne. Il se débrouillait très bien. Il avait connu des débuts très houleux. Mais après trois années, il avait le coup de main. Il pensait être tranquille, mais non. Le type revenait à la charge. Il lâchait un soupir, fermant ses yeux bleus. Il lui posait des questions, bon, passons au plan C. C'était à dire prendre la forma la plus dangereuse du monde. Celle de dragon, jeune dragon, mais plus imposant que le matou qu'il avait vu débarquer.

« Tu ne comprends pas le Sanctuarien, mec ? Fout-la paix ! Faut que je le dise combien de fois pour que tu me lâche les miches ? Bah ouais, mais c'est chez moi. M'en fiche que ça te plaît pas le plouc. Essaye de deviner, tiens, ça te fera les pieds. Bon, je vais passer aux choses sérieuses...
-Sept, tu sais que...
-Ouais, mais il me fait chier ce branquignol. »

Le jeune garçon prenait la forme d'un dragon, du moins, au tant qu'il le pouvait dans cette pièce. Il savait que il serait pas mal fatigué et affamé après une transformation comme celle-là. Mais il montrait là qu'il ne plaisantait pas. Le voleur était bien plus grand avec sa forme animale. Il regardait ce type. C'est là qu'il regrettait ne pas savoir cracher du feu, il aimerait bien lui griller les fesses à cet abruti de première. Peut que là, il aurait plus la paix, en plus il venait de rentrer chez lui, son espace privé, son antre, son lieux rien qu'à lui. Il allait griller un fusible s'il ne partait pas ce gars. On entrait pas chez quelqu'un comme ça. Sa planque était non seulement pleines d'objets divers, mais aussi de tissus, il faisait parfois ses vêtements lui-même, ça lui prenait des heures, mais au moins, il n'aurait à à couper un trou pour sa queue qui restait encore et toujours là. D'ailleurs, là, il avait plus l'appendice de sa forme de dragon, un simple mouvement pourrait l'envoyer voler quelques secondes. C'était très tentant ça...




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Re: le fric, c'est chic | Dim 04 Oct 2015, 15:44

Je le voyais avachi sur un lit de fortune tandis que j’entrais dans ce qui était apparemment sa demeure. Je n’étais pas là pour lui faire une fois de plus la morale ou même pour entrer dans son espace privé, non si j’étais là c’était simplement pour lui faire passer quelques trucs afin qu’il ne manque de rien durant quelques temps. Je ne savais pas si sa fierté et son mauvais caractère accepterait, mais qui ne tente rien n’a rien.

En effet, avant de revenir là, j’avais rempli un sac à dos de diverses choses. Que ce soit vêtements, couvertures, ou nourriture. J’avais même rajouté quelques médicaments ne sachant pas s’il avait le pouvoir ou non d’annuler les effets des maladies. Bref, je voulais l’aider, parce que j’étais comme ça quand je voyais des gens dans le besoin il fallait que je les aide. D’autant plus qu’il me rappelait moi à son âge, même si je n’avais peut-être pas un caractère aussi chieur que le sien…

Enfin, il m’aperçut bien assez vite et comme je le devinais il n’aimait pas franchement me voir là dans son antre. Dis comme ça, il passait vraiment pour un ours des cavernes, mais quelque part ce n’était pas complètement faux. Je voulais juste simplement voir s’il était bien installé. Je me demandais bien depuis quand il était là d’ailleurs. Même si pas mal de choses traînaient ça avait plutôt l’air confortable. Je pense qu’il était là depuis quelques années maintenant. Pendant que je réfléchissais à tout ça le jeune homme pris une tout autre forme. Lui aussi c’était un hybride ? Je n’en sais rien, mais en tout cas il se transforma en dragon et ça ne me disait rien qui vaille cette histoire…

J’eus un mouvement de recul afin de quitter son champ d’action. Je ne savais pas ce qu’il voulait faire, mais il était vraiment sérieux sur le fait qu’il ne m’aimait pas. Ou bien alors c’était parce que j’avais pris la liberté de rentrer chez lui sans demander ? Dans tout les cas, j’étais mal barré si j’expliquais pas assez vite la raison de ma venue. Je pris mon sac délicatement sur mon dos tout en regardant ses moindres mouvements pour ne pas me faire surprendre par un coup de griffe ou autre. Je pense que niveau cicatrices j’avais déjà donné. Une fois dans mes mains je le balançais au pied de ce qui avait remplacé le gringalet.

Tiens c’est pour toi j’étais juste venu voir si t’étais bien installé rien de plus et je vois que tu t’es fait un sacré nid douillet. Y a un peu de tout dans le sac c’est juste pour t’aider un peu plus. Je ne peux pas te sortir de tout ça, mais cela me paraissait une bonne idée de te donner un peu de bonus à ce que tu as d’habitude.

Je reculais les mains devant moi.

Je quitte ta demeure à présent, mais tu sais où me trouve si tu as besoin, je serais à bord de l’Atlantis.

Sur ce je reculais encore avant de me retourner et partir sans demander mon reste. Un coup de griffe et je pourrais bien rendre l’âme alors faut que je fasse gaffe quand même…




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le fric, c'est chic
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