Something sad is waiting.

Je me trouvais à être transporté, c'était tout de même agréable, bien que je pouvais me débrouiller seul. Je ne connaissais rien, absolument rien aux femmes. Ce que que je savais, c'était de la bouche des clients que j'avais obtenu cette information. Je n'étais pas sur qu'elles étaient justes. Je haussais les épaules, j'avais eu pire comme rumeur fausse. Je le serrait comme je pouvais, j'étais moins fort que lui, mais je devais être plus fort qu'une femme oui, non. Je ne sais pas, ahahaha. Puis il me rassurait sur le fait qu'on y était bientôt, il utilisait le surnom des femmes selon leur mari. Mon cœur rate à battement. Je rougissais comme un puceau. Je ne le suis plus, et tant mieux. Je le regardais avec mon grand sourire, celui que j'avais sans me forcer, il était sincère. Véritablement sincère. Je réponds à son baiser et je retrouve le sol. Un petite rire sort de ma bouche. Il confirmait que marcher serait plus rapide pour trouver. Je le suivais simplement. Je n'avais pas peur qu'on m'écrase les pieds. Ce qui me faisait le plus peur en ce moment, c'est de trouver un truc pour empêcher ces seins de faire qu'à leurs têtes, ils sont très embêtants. Je me retrouvais devant un marchant qui semblait reluquer ma poitrine, je haussais les épaules avant de regarder les chaussures. Où sont les baskets ? Ah les voilà. Je devait prendre des simples qui passent partout. Elle n'avait rien de différent si on oubliait l'étoile violette sur le flanc extérieur de la chaussure.

« Je peux les tester ?
-Bien entendu, jolie demoiselle.
-Mah, pas besoin de tel compliment. »

Je mettais les chaussures, légèrement trop serrées, elle me faisait un mal de chien, pour un loup, voilà une belle ironie. Je regardais les autres chaussures noire, une nuance qui pouvait aller avec tout ou presque. Je ne suis pas une pointure en mode, je m'en fichais même. Je pensais juste que le noir, ça serait mieux. Mon choix s'arrêtait sur des chaussures simples et féminine. Bien entendu, je me rendait pas compte du capital girly que j'avais en ce moment. Porter des vêtements de garçons n'arrangeait rien. Je les mettais, elles avaient la bonne tailles. Je sautais avaec puis faisait un tour sur moi-même.

« Celles-ci sont parfaites. Par contre, je vais éviter de trop marcher avec. Je pourrai tenir la journée avec. C'est quoi l'étape suivante ? »

J'étais un peu curieux, après tout, je n'étais pas habitué à être une fille, je me comportais exactement comme l'homme que je suis, n'ayant aucune gêne à me gratter les fesses en pleine rue. Ce n'était pas un changement de sexe qui allait me changer du tout au tout. Par contre, je tenais sa main. Car j'aimais la sentir dans la mienne. J'avais pas besoin de ça, mais je tenais à sentir sa présence à mes côtés. Il me manquerai à la fin, comme toutes les fois sans lui. Je lui souriais.

« Je ne peux pas courir le marathon, mais au moins j'ai de quoi me déplacer. »

Je me retrouvais avec des chaussures qui n'était pas ma taille habituelle. Je haussais les épaules, sachant très bien que tout cette histoire ne serait que provisoire, tout de même. C'était bizarre d'être une femme, je m'y ferai jamais. Déjà mon physique, j'avais beau me regarder, je le trouvais joli, mais pas attirant pour un sou. Je préférai ma forme homme, je n'étais pas une beauté fatale, mais j'étais pas mal dans mon genre. Mah, le physique c'est pas important, Logan pouvait être différent que je l'aimerai pareil. Sans que je comprenne à cette histoire, je me retrouvais dans un monde de fanfreluche. Moi, qui portait des choses simple, ce n'était pas vraiment mon trip d'être ici. Mais je devais être ici pour mettre un de ces trucs bizarre, même étrange. Je regardais le truc qu'il m'avait lancé, comme ça se mettait ces machins ? Ils pouvait faire un joli lance-pierre. Je pense que ce n'est pas pour ça. Même ça y ressemble vachement. J'observe le tout, comment faut faire pour l'enfiler. C'était trop bizarre. Je suivais Logan de très près, parce que je ne trouvais aucun intérêt à regarder plus ces choses. Je n'avais jamais lorgné sur une fille, ce n'était pas maintenant que je commencerai, même si cette fille est moi. Il me demandait s'il pouvait me montrer.

« Ouais, j'ignore comment fonctionnes ces machins qui ferai un bon lance-pierre pour les gamins. En tout cas, je ne sais pas pourquoi ça sent autant les fleurs, ce n'est vraiment pas très agréable. »

Je sentais cette odeur depuis le début de mon entrée dans ce qu'il nommait le monde des femmes. Si elle sentait ce genre de choses. J'avais une raison supplémentaire d'aimer les hommes. J'aimais la senteur des fleurs, faut pas oublier que je suis un loup, mais concentré comme ça. J'avais de quoi avoir presque la nausée. Bien heureusement, le parfum se voulait discret. J'avais juste pas de bol avec mon odorat. J'enlevais dans la cabine ma chemise. Sans aucune gêne. Je regardais mon corps, je m'en désintéressais rapidement avant de prendre du bout des doigts celui que m'avait lancé mon amoureux. Il était vachement fille, je haussais les épaule, c'était que temporaire.

« Tu m'aides mon chou ? Car j'ai beau retourner dans tout les sens, je ne sais pas comment mettre cet instrument de torture portable. En tout cas, ça me semble compliqué. »

Peut-être trop pour moi. Je faisais bouger dans tous les sens l'habit que je mettrai prochainement. Au moins, je pense avoir saisi que là où il avait plus de tissus, c'était pour le devant, à mon avis, elle cachait ces choses. Je haussais les épaules. Je les cacherai pas par honte, juste parce qu'ils pesaient sur mon pauvre dos. Mais je gardais mon sourire. Il ne me quittait que rarement. Surtout en sa présence. Je savais que ce moment gênant serait vite passé. Je caressais ses cheveux, car j'en avais envie. Je savais qu'il matait mes seins de femmes. Ce genre de chose me gênait vraiment pas. C'était normal, même.

Je le fixais, ignorant toujours comment m'y prendre avec ce machin. Bon, il te rassurait sur les odeurs. C'était juste mon odorat sensible, pas de quoi s'alarmer pour ça. Je pourrai le supporter, ce n'est pas comme si je viendrai dans ce genre d'endroit après cette histoire de corps qui a changé par un effet que je n'explique même pas. Je ravale ma salive puis il m'indique comment faire, je tente de rentrer toutes ses informations dans ma tête. Puis, je me retrouvais avec ces truc sur moi. Ce n'était pas si serrer que ça. Puis, mon dos, il faisait moins mal. C'était cool ça par contre. J'avais de quoi être soulagé pour le futur. Il semblait satisfait. Je riais un peu, il m'aimait qu'importe ce que j'étais. Il disait que c'était parfait. Je ne pouvais que constater les faits en posant un vague regard sur mon corps. Je prenais ma chemise d'une main et la mettais mollement sur moi, ayant aucune honte qu'il sorte alors que je suis à moitié nu. Je m'en faisais pas particulièrement. Je remettait tout en place, y compris mes cheveux longs. Je me dirigeais vers lui avec un sourire ne faisant pas gaffe aux gens qui chuchotait après mon passage. Je n'avais aucune honte. Pourquoi j'en aurai ? C'était ridicule. Il me demande si c'est mieux. Je lui souris encore plus en posant un baiser sur sa joue. L'avantage, c'est que j'avais gardé ma taille, donc, j'étais peu plus grande que les filles ordinaires.

« Non, rien d'autre, juste de quoi me dépanner car j'ai rien de tel dans mes affaires. Donc, oui, on va chez toi. Je n'ai pas envie de rentrer ce soir. »

Je lui souriais. Bien entendu, je voyais son sourire qui en disait long sur la situation prochaine. J'avais un peu peur et en même temps j'avais hâte, car je me demandait comment ça ira avec un physique de fille. Je ne pourrait pas le dominer. Bien que je préférais être en dessous avec lui. Je suis un mec, et prendre le dessus est plaisant.Je pense alors que je suis une femme, vraiment bizarre. Je m'en remettrai jamais de cette histoire. Fin, ce n'était qu'un événements, je me dirigeais vers la sortie. Sentant l'air vicié de la ville. Il m'avait presque manqué celui-là. La légère circulation qui m'obligeait à rester près de l'entrée. Cette odeur avait fini par me rendre plus fille, je ne voulais pas. Je redeviendrai un gars, sans doute. Ma transformation, je m'y habituerai. Car il faudrait plus qu'un corps différent pour m'arrêter. Je prenais le bras de Logan. Comme j'étais une fille, j'avais une excuse supplémentaire pour lui tenir, bien que j'en avais pas besoin en temps ordinaire. Mah, c'était n'importe quoi. Ils nous restaient qu'à rentrer et profiter de son appartement.

« En tout cas, j'ai adoré, même si c'est vraiment trop bizarre pour moi. Définitivement, je suis mieux en mec et avec des garçons. »

A force d'être avec lui, j'ai appris à parler sans me soucier des conséquences et à sourire comme un con.

Je ne sais pourquoi ce vent me glace le sang jusqu'à la moelle. Tout allait bien, il était là. Je le raccompagnait sagement. Je le tenais fermement en écoutant ces mots. Il parlait d'orgie. Je sentais mes poils se dresser sur ma peau. Je grognais presque. Je n'aimais pas du tout cette idée. Puis son clin d'oeil me rassurait. Je ne savais d'où venait ce sentiment que j'avais. De la jalousie. Ce n'était pas mon genre. Je haussais les épaules me disant que tout compte fait, ce n'était pas grave. Je gardais pour moi le fait que ça m'avait effleurer, mais je n'aimais pas du tout le principe. C'était tout. Je n'avais rien contre les gens qui le faisait, c'était leurs affaires, pas les miennes. Puis après avoir marché quelques minutes, je revoyais son appartement, il sentait fort, encore plus que la dernière fois, plus une odeur que je n'aimais pas trop. Je n'arrivais pas à l'identifier. Un sentiment montait en moi. Je serrais un peu son bras avant de le voir partir. Je n'avais pas rencontrer Winifred, mais je savais qu'elle était sympa. J'aurai tellement aimé la rencontré. Pourquoi je parle au passé ? Je ne sais pas. En tout cas, ça sentait pas bon tout ça. Dans les deux sens de l'expression. Il l'appelle, elle réponds pas. Je sentais à nouveau ce sentiment me prendre. Je savais que mon instinct voulait me prévenir d'un truc. Je tentais de l'ignorer pour lui. Je sens son baiser, j'y réponds pas. Car je me doute de ce qui se passera dans le fond. Il ouvre la porte, l'odeur me frappe à plein nez. L'odeur de la mort. Je la connaissais que trop bien, mon cœur se serre, bien que je l'avait jamais rencontrer, je sens quelque chose en moi s'effondrer. Sa voix est si cassé, à court de mot. Je ne bougeais pas. Pour respecter son souhait, mais mon âme veut le serrer. Mon cœur dit de le rejoindre. Je devais le laisser un moment. Il crie de tout son âme, ton cœur bat vite, il veut encore que je sois auprès de lui. Je me retenais. Je l'entendais pleurer, je devais le laisser, même si mon âme se déchirait de plus en plus à l'entente de ces derniers. Je m'avançais doucement sur le canapé. Je m'étais assis pour ne pas trembler face à cette odeur. La dernière fois que je l'avais senti c'était à l'endroit où j'avais cherché ma meute. Je retenais mes larmes. Je devais être fort. Il sort, je le voyais, il était détruit de l'intérieur. Il tombe. Je me lève, je tremble. Je le prends entre mes bras. Je disais rien les mots n'était pas suffisant pour lui en ce moment. J'embrasse sa tête avec tendresse, je caresse ses cheveux avec lenteur. Je ne disais rien. Je savais que n'importe quel de mes mots pourrait faire mal. Je le tenais tout contre moi avec ferveur. Continuant mes gestes. Je pleure contre lui. Je sais ce que la mort fait, c'est juste horrible, je comprenais sa douleur, car je l'avais vécue. Je gardais mes son corps, il avait besoin d'une personne pour lui.

« Je suis là, mon amour. »

Je disais ça si bas que c'était qu'un murmure, pourtant il venait de fond de mon âme. Je me sentais mal. Mais sans ma décision, il aurait trouvé encore pire et sans moi, Mon cœur se serrait à cette pensée, je ne pouvais le laisser seul, encore moins maintenant. Je pose mes lèvres sur son crâne. Mes mots serait plein d'amour et de compassion pour lui. Il en aurait besoin, comme j'en aurai eu besoin petit, c'était passé. Ce n'était pas important. Le garder à mes côtés et le consoler du mieux que je pouvais. Lui dire les mots qu'il voulait entendre. Je sentais un vent, cette odeur me revenait en plein nez. Je ne bronchais pas. Il devait la sentir moins fort que moi. Mais la douleur était grande. Je caressait son dos avec douceur, tellement que je l'effleurais à peine. C'était tout l'étendue de ce que je pouvais faire.

Je continuais mes caresse, l'écoutant pleurer, c'était normal. Mais, je ne pouvais m'empêcher d'avoir mal. Pas autant que lui. Le voir laisser exprimer sa peine, c'était une chose que je n'avais jamais vu, à présent, je le voyais clairement. Je ne voulais pas le voir pleurer, plus jamais. J'embrassais doucement sa tête. Je pleure aussi, moi qui croyais que je ferai pas avant un moment. J'étais sur le fait accompli. Mes bras ne semblait pas lui effacer sa peine. Elle devait compter pour lui, comme un membre de sa famille. Je savais ce que ça faisait de perdre les personnes importante dans sa vie. Je sentais cette odeur horrible, je restais près de lui. Il avait besoin de moi, plus qu'à n'importe quel moment. Je le tenais fermement, pour montrer que j'étais bel et bien là. Je ne laisserai pas seul. Je le voyais bouger, avec mal. Il est mal. Je le savais. Je ne disais pas un mot laissant à ma moitié le temps de faire ce qu'il désirait. Il posait simplement ses mains sur mes joues. Ses tremblements indiquant à quel point cette perte l’atteignait, j'avais du mal à sourire et à retenir des larmes. Je ne l'avais jamais rencontré, mais je savais à quel point elle pouvait être cool et importante pour lui. Son visage est déformé par la peine. Il est fragile en ce moment. Je sentais mon cœur se serrer à cette pensée. Je voulais le serrer, l'embrasser tendrement, le voir comme ça me faisait mal. Sa voix est brisé, plus qu'un murmure, mais je l'entendais. Il avait peur que je parte. Je savais ce qu'étais cette peur j'avais eu la même précédemment. Je le regardais, ce visage, je voudrais plus le revoir après ce moment. Mes mains allait rejoindre les siennes silencieusement. Il venait de me déclarer un amour sans borne celui-là que j'avais depuis notre première fois. Ma gorge était serré, j'avais beaucoup pleurer, pas autant que pour la perte des miens.

« Jamais, je ne te quitterai pas... Je resterai avec toi, tout mon amour t'appartiens... Je t'aime mon amour. »


C'était bizarre avec cette voix trop aiguë, mais je devais lui dire à quel point j'étais là pour lui. Je caressais ses mains de mes doigts, gardant son front contre le mien tentant que nos nez se touche tendrement. Je voulais le serrer contre moi, effacer toutes ses peines. Comme lui l'avait presque fait. Bien entendu, il me restait quelques souvenirs de ma vie de louveteau. Mon compagnon, mon Alpha, il dominait ma vie sans que je m'en rende compte. Je restais comme ça. Tentant de temps à autre de m'approcher sans oser, je ne sais pas si c'est le moment idéal. Cette hésitation pourrait lui faire mal alors je posais simplement mes lèvres sur les siennes quelques instants, assez pour qu'il les sentent malgré sa peine qui pèse son être. Il est brisé, je faisais de mon mieux pour le soutenir et recoller les morceaux. Je ne suis pas elle, je le savais. J'avais cette odeur qui empirait à chaque seconde, un corps qui lentement revenait à la nature, c'était une odeur insupportable, bien que naturelle. Je le regardais toujours ce visage déformé par la tristesse et sa douleur profonde. Mes mains toujours sur les siennes, comme une évidence. Je ne pouvais pas faire plus pour qui remarque que je ne bougeais pas de ma place à ses côtés. Je serai là pour lui, comme il a été là pour moi. Je ne laisserai pas seul. Comme lui avait attendu que je m'en remette, j'avais eu si peur. Mais il était resté pour m'apaiser, j'en ferai de même. Sachant que je pouvais faire bien plus. Je caressais ses mains, voulant les calmer dans leurs tremblements.

« Logan, je suis là, je ne t'abonnerai pas. Je te le promets... »

Ma voix est faible, je me sentais si inutile en le voyant souffrir de la sorte. Je voulais l'envelopper et lui faire sécher ses larmes. Je ne remplacerai jamais son amie. Je ne voulais pas de sa place. Je suis moi. Je serai là pour lui. Prenant ce que je pouvais avec délicatesse. Je gardais mes mains sur les siennes et le portait à mes lèvres.

« Je t'aime... »