Alerte stalkeuse

Freya était une frileuse. Qu'importe le temps qu'il faisait, cela n'égalait pas la chaleur du soleil de son lieu de naissance. Parfois dans les flashs que lui montrait sa mémoire en dehors de ce lieu horrible. Elle y voyait de temps à autre un soleil, bien plus loin qu'elle le voyait actuellement, pourtant plus chaud. Elle souriait. Elle avait fait cadeau de la fleur, bien sûr,elle n'avait pas payer, mais le geste était là. Toute façon, Freya ne touchait pas à l'argent, pour elle, c'était une inconnue. Elle était bien trop loin de s'imaginer comment allait les choses. Elle vivait au jour le jour. Profitant du cirque allégrement. Pour elle, cela serait sûrement une surprise de voir une transaction. Après tout, la demoiselle avait tout oublié. Peut-être que les pièces serait communes dans un coin de son esprit. Elle était naturelle, sans faux semblant. Comme une enfant qui venait de naître. Elle écoutait les paroles de cette demoiselle. Elle ignorait ce qu'était une orchidée, mais elle trouvait jolie cette fleur. A défaut de savoir son nom. Elle rougissait à ses remerciements, elle pensait pas avoir bon goût, elle suivait ce qui lui dictait sa tête. Si c'était bien, tant mieux pour elle. Elle n'allait pas s'en plaindre. Elle ne voyait pas le trouble qu'elle provoquait bien malgré elle. Elle savait que le vendeur voulait quelque chose, elle ne l'avait pas, et cela lui faisait peur. Car elle sentait son regard sur elle. Cela la rendait un peu nerveuse. Elle hochait la tête et s'éloignait à ses paroles.

« Tu reviens vite ? »

Le pire, c'était sorti sans qu'elle s'en rende compte. Freya n'avait pas fini de lâcher ce genre de phrase. Elle se sentait à l'aise pourquoi quitter si tôt une présence agréable. Cela n'avait aucun sens. La jeune fille souriait doucement, jouant avec une mèche de ses cheveux. Elle était un peu nerveuse. Vraiment étrange comme sensation. Elle ne bougeait pas, faisant peu attention aux personnes qui l'entourait, pourtant, elle était loin d'être seule. Si elle y pensait, elle fuirait sûrement encore une fois. Car elle avait peur de tous ces gens. Ces regards sur elle. Elle avait envie d'être loin ou au cirque seul endroit où ils étaient agréable pour elle. Elle respirait à fond. Elle savait pas que faire ou que dire. Perdue. L'adolescente était en plein questionnement intérieur. Elle avait hâte qu'elle revienne... C'était quelque chose de nouveau. Cette attente, elle ne l'avait pas ressenti depuis longtemps. Elle revoyait un instant un sourire d'un garçon, un sourire qui lui réchauffait le cœur, qui était cet homme ? Pourquoi elle n'avait pas peur ? Cet homme devait avoir la position d'Amel dans son ancienne vie. Cela ne pouvait qu'être cela. Elle souriait, elle avait retrouver un autre bon souvenir. Comme quoi n'était pas totalement horrible. Mais écoutant Iorek, elle ne creusait pas plus dans son passé. Puis elle tombait, bousculée par quelqu'un. Elle atterrissait avec violence sur le sol. Créant une explosion par reflexe.

« Désolé ! »

Cette phrase semblait être sortie comme si elle s'attendait à ne pas te revoir.

Tu ne savais pas vraiment comment tu allais réellement te comporter devant le vendeur. Cela dépendra surement du prix qu'il allait lancer à propos des fleurs. Car bien sur, il n'y avait pas le prix. Franchement.... C'était une technique commerciale bateau, ça. On cache les prix en disant que la personne aimerait une fleur tellement fortement que le prix n'aura plus d'importance. Tsss... Si elle va réellement avaler ce procédé totalement idiot, que les médisants crèvent dans d'atroces souffrances. Tu étais peut-être une bourrine, tu n'avais peut-être pas la science infuse, mais tu n'étais pas crédule.

Après un regard lâché en direction du vendeur, en fronçant les sourcils, tu reportes ton regard sur Freya, les traits de ton visage s'étant légèrement radoucis. Elle n'avait rien fait la pauvre petite fleur, alors il ne fallait pas lui montrer de quoi tu étais capable, car elle fuirait, encore et toujours. Et la fleur se recroquevillera, comme le lotus se refermant à la tombée de la nuit. Il suffirait alors de lui montrer uniquement le jour... Et tu pourras lui montrer la nuit quand le Peur aura fini de l'étouffer.

Zyska, avant de partir dans la boutique - " Je ne serai pas longue. Attend juste ici." Puis tu t'arrêtas en plein milieu, pour lâcher un " Fais attention à toi. "

En vérité, cela ne te plaisait pas vraiment de laisser la petite fleur toute seule. Qu'est-ce qui pouvait vraiment arriver, lorsque la Peur rend les choses floues? Rien. On ne pouvait rien décrire. C'était la panique. Celui qui contrôlait la peur avait de grande chance pour produire les scènes les plus aléatoires du monde.

Trêve de rêvasserie. Te voilà devant le commerçant. Lui, et son sourire commercial. Hm... Tu sentais que tu allais longuement la négocier, cette fleur. Tu déposas l'orchidée sur la table, en plantant ton regard dans le sien. Ah tiens, il est moins confiant, d'un coup. Tu savais qu'il savait qui tu étais... Une commerçante, comme lui.

Zyska, d'un ton sérieux - " Combien l'Orchidée? " Le vendeur donna un prix, et tu serras lentement le poing, pour frapper au comptoir. Nan mais tu n'avais pas la masse musculaire nécessaire pour casser cela, hein. " Le véritable prix. "

Et c'est là qu'un duel de regard s'en suivit... Et puis le ton montait, encore et encore. Non, tu n'allais pas démordre. Tu voulais la gagner durement, cette fleur. Tu n'avais pas une pluiiiiiie d'oseille, et lui te cherchait à avoir le plus d'argent possible de ton porte-feuille. C'était le commerce, bien sur.

Sauf qu'au bout d'un moment, quand tu allais dire que tu allais exploser, elle entendu que quelque chose avait été mis en morceau. En tournant lentement la tête, tu vis un pot brisé, contenant des roses blanches. Tu posas tes yeux en direction de l'Homme, quand tu entendis le "désolé" de Freya. Et là... Si ce n'était pas le moment de Facepalm, tu ne comprenais pas. Oh lala... Toi qui voulait en avoir pour moins cher, tu en auras pour bien plus...

Tu soupiras grandement, en sortant des billets de ton porte-monnaie, en espérant que cela réparera les dégâts en même temps. Tu en profitas, d'ailleurs, pour demander un service à ce fleuriste, ce qu'il fit prestement. Il avait le dessus au niveau des négociations, mais toi tu n'avais pas la patience. Tu commençais intérieurement à rager. Sérieusement, tu n'avais pas le temps pour ces conneries. C'est pour ça d'ailleurs que tu arrachas la commande de ses mains, avant de courir en direction de Freya. Tu te penchas lentement...

Puis tu éclatas de rire.

Zyska, en riant - " Hahaha. Tu portes vraiment bien ton titre de Clown. Te voilà les quatre fers en l'air. "

Tu te redressas ensuite, en essuyant ton œil. Oh nondijiu. C'était tellement intense, et amusant. Tu inspiras un grand coup, en fermant doucement les yeux. L'importance, c'était qu'elle était encore là, qu'elle avait écouté ce que tu avais dis... Bon, à moitié, mais elle avait écouté. Tu rouvris tes paupières, tendant ta main vers elle, le grand sourire aux lèvres.

Zyska - " Ca va? Tu n'as rien de cassé? "

De ta main libre bien sur, parce que tu gardais ton autre main derrière ton dos. Surprise surprise... Mais tu espérais qu'elle aille bien. Un cadeau ne s'apprécierait que si on est en pleine forme, non?

Freya gardait ses soucis et ses questionnements pour elle, enfin pour le moment. Comme elle n'était pas confiante envers les gens. Elle était comme cela. Bien entendu, elle devait se relever et surtout faire à nouveau face à la dame . Qui bien entendu avait profiter de leur séparation pour acheter la fleur qu'elle avait prise en toute innocence. Elle clignait des yeux. Son pouvoir de faire exploser était parfois capricieux, c'était avant tout un réflexe défensif de son corps. Elle se mordais doucement les lèvres. Elle n'avait vraiment pas fait exprès d'exploser un pot de fleur. Malgré ses mots rassurant, le naturel de l'adolescente ne lui faisait pas entièrement confiance. Même son confident, elle ne lui faisait pas totalement confiance et pour cause, ce dernier avait fauté. Comme la clown ne savait pas la plupart des choses, elle pardonnait, car l'incompréhension était si vite arrivée. Paranoïaque. Elle était cela. Malgré ses efforts, elle y revenait. Elle était sur le sol, les yeux remplis de larmes. Puis elle riait, voyant pas ce qu'il avait de drôle, elle penchait la tête. Elle écoutait ces mots. Elle souriait, elle était clown pas que pur sa maladresse naturelle. Elle pouvait faire rire. Mais elle ne faisait pas l'effort d'être drôle quand elle n'était pas en plein numéro. Donc ces réactions pouvait parfois mener au rire, elle ne le faisait pas exprès. Elle papillonnait des yeux. Voilà que la dame s'inquiétait pour elle. Elle saisissait la main de la blonde et se retrouvait à nouveau sur ses jambes. Immédiatement, elle époussetait sa tenue. Bien c'était un inutile, elle le faisait quand même.

« Non, rien de cassé, sauf le truc que j'ai exploser sans le faire exprès. Je n'ai pas fait attention. Du coup je me suis fait percutée par quelqu'un. Heureusement que je n'ai rien à voler, sauf mon collier. »

Freya en disant ces mots vérifiait la présence de ce dernier, c'était son seul bien qui lui appartenait vraiment, comme ses vêtements, même les comics de sa caravane ne lui appartenait pas. Elle le savait très bien. Elle les rendrait à leur propriétaire, car elle ne voulait pas être une voleuse. Elle avait juste emprunter sans le vouloir des possession qui n'était pas sienne. Elle continuait à cherché, espérant vraiment trouver ce qu'elle cherchait. Elle le trouvait, soupirant de soulagement. Elle pouvait être tranquille à présent. Elle respirait à fond se demandant ce qu'elle lui préparait. La jeune fille connaissait que ce qu'elle avait vu de romantique et les comics mettait la barre bien trop haute pour la réalité qu'elle vivait.

« Qu'est que tu fait, pourquoi tu caches tes mains ? »

Freya était naturellement une personne qui tutoyait à tord et à travers, comme cette femme ne s'en plaignait pas, elle continuait. Bien qu'elle était une étrangère, elle pouvait lui dire de la vouvoyer. Ce n'était simplement pas quelque chose d'automatique chez l'amnésique. Sa peur des autres et son tutoiement était deux choses opposées. L'un repoussant les gens et l'autre faisant l'inverse, fuyant les gens qu'elle croisait. Elle retrouvait tout de même son sourire, celui qui semblait s'être éveiller au long de cette journée avec cette demoiselle. Elle la regardait avec une espèce de tendresse, un peu de peur, car oublier toutes ces craintes était impossible pour la clown, du moins pour le moment.

Elle saisit lentement ta main pour qu'elle puisse se relever.

Et c'est là que tu te rends compte à quel point cela pouvait être impressionnant de voir un géant s'élever en taille. Bon, géant... Pas trop quand même. Les géants des légendes sont bien plus grand... Mais quand même, cela te remettait bien à ta place, au niveau de la petitesse. Mais il fallait le dire:

Entre un roseau et une géante en papier, qui tenait le plus facilement et fièrement face aux intempéries?

Tu la concevais comme cela: Une géante de papier. Merci Pierre Lafont pour la référence.Elle pourrait être "La femme louve au cœur d'acier" , mais ne restera que géante de papier sous tes yeux... Car tu étais entêtée, et cela te plaisait de la rabaisser légèrement au niveau de la taille. Au moins, tu pouvais être d'une utilité certaine quand elle en aura besoin. Cependant, tu posas lentement ton regard sur vos mains, puis tu lui lâchas, silencieusement, la laissant fuir telle une voleuse... La main hein. Tu te contentas de lentement croiser tes bras, au niveau de ton ventre. Non pas pour le maintenir, mais plutôt... La gène de ne pas savoir quoi lui dire après son interpellation.

Ah... Le fameux collier. Cela finit par confirmer un postulat, que tu avais depuis longtemps énumérée tel un des fils que les Moires s'amusaient à couper, tel un fatidique destin: Elle y tenait vraiment à son collier.

Ah merde... Du coup, quand tu as voulu croiser les bras, tu as fais entrapercevoir la surprise: Quelque chose de blanc. Tu pensais que cela pouvait refléter l'innocence de la demoiselle, comme si son âme fut blanchie par du Omo, qui lave plus blanc que blanc. Tu la remis tout de suite derrière ton dos, la regardant de là où elle était. Tes traits devinrent assez gênée, voir tristounette. Tu espérais qu'elle n'avait rien vu. Tu finis par soupirer, puis inspirer. Allez ma petite Zyska, montre lui de quoi tu es capable. Alors tu t'en approches, Et tu glisses ta fleur violette entre les dents pour... Non, ne pas faire la tango avec elle. Ça va pas hein?! Il faut penser à la petite fleur, qui ne voudrait surement pas d'une danse aussi rentre-dedans.

Tu commençais à retirer ta main de ton dos, mais tout de suite tu sautillas sur place, en tentant la chose suivante: Mettre la tige de son cadeau dans ses cheveux. Mais il fallait se rendre à l'évidence: Après dix sautillements, tu n'arrivais même pas à faire tenir l'objet deux secondes, avant qu'elle glisse lamentablement dans les airs, suivant la gravité. Tes gestes étaient vifs, rapides, et d'une précision chirurgicale presque effrayante...

Mais même si le roseau tenait mieux la route, il ne pouvait atteindre le sommet du géant de papier.

Alors son visage prit une mine boudeuse. Non mais sérieusement, il y a tricherie là! Fraude monsieur l'arbitre. Elle a prit trop de soupe et bu trop de lait petite. Alors dans un soupir presque déçu, elle plaqua en douceur l'objet en question au niveau du sternum de la demoiselle.

Zyska, qui a détourné la tête, en grognant un peu - " Cadeau. J'ai demandé au fleuriste de retirer les épines. "

Et bien le cadeau, maintenant que Freya le voit, c'était... Une rose blanche. Et oui, tu avais profité de l'accident pour prendre une des fleurs du pot cassé et demandé à retirer les épines. Parce que... Déjà tu ne voulais pas avoir des écorchures aux mains en la manipulant n'importe comment. Et puis, c'était... Un genre de... Cadeau spécialisé pour la petite fleur?

Néanmoins, au bout d'un moment, son sourire s'était légèrement élargit. Tu espérais qu'elle allait apprécier ce présent. Et sinon, bien... Cette fleur aurait servi à rien.

Zyska, gardant son sourire, la regardant du coin de l'oeil - "C'est ta fleur maintenant. Prend en soin. " Puis tu marquas un moment de pause, avant de déclarer. " On continue notre exploration? Je pense que nous avons encore beaucoup de choses à voir. "

Car oui, il y avait en effet deux explorations simultanées: Celle de la ville... Et celle de ton interlocutrice. Et maintenant, cela ne servait plus à rien de le cacher...

Freya. Qui était-elle vraiment? Quelle était cette sensation de paix intérieure en la regardant?

Freya n'était pas du genre à avoir des habitudes, à part celle de fuir les personnes qu'elle croisait. La peur prenant le pas sur la curiosité du monde qui l'entourait. Quand bien même cela faisait un temps qu'elle était sur l'île, elle découvrait tout, tel l'enfant qui explorait son univers. Elle regardait la dame en face d'elle comme si elle allait faire quelque chose qui lui plairait, elle était sur le terrain de la confiance. Elle savait que c'était dangereux pour elle de laisser quelqu'un entrer dans sa vie. Mais elle s'y faisait pour son propre bien. C'est comme ça qu'elle pouvait voir que sa fleur rejoignait ses cheveux blond comme un coquelicot en plein champ de blé. On voyait plus que plante se perdant dans la tignasse de la demoiselle. L'adolescent se surprenait à trouver cela joli. C'était vraiment étrange ce qu'elle pouvait ressentir à présent. Elle n'arrivait pas à comprendre, pourtant les paroles de son confident étaient encore vives dans son esprit. Elle étaient là pour lui rappeler qu'elle n'était pas dénuée de sentiments, loin de là. C'est ainsi, ne faisant pas attention à ce qui se passait autour d'elle. Ce qui était un exploit pour la jeune fille. Elle vit un fleur blanche, pure. Elle rougissait, c'était pour elle ? Elle était loin d'être aussi immaculée que cette fleur. Après tout, elle était en partie démone. Comme postulat de départ pour paraître aussi blanche, dans l'âme car de peau, c'était pas quelque chose qui traversait la tête de cette jeune fille. Puis sa peau était très bien. Elle prenait la fleur entre ses doigt, la tige presque rigide sous son toucher faisait sourire la sang-mêlée à la peau foncée. Elle avait donc des épines. Ignorant la signification de ces fleurs, elle était loin d'imaginer que les roses blanches pouvait signifier beaucoup de choses, toutes tournant sur l'amour. Cette chose à la fois douloureuse et agréable. A croire qu'elle l'avait exprès, car l'autre disait qu'elle serait sa fleur. Elle se penchait pour humer la douce effluves qui s'émannait de la plante. C'était discret à peine perceptible. La senteur délicate emplissait les narines. Elle laissait un sourire se dessiner sur son visage.

« Merci, pour avoir retirer les épines, parce que j'aurai sûrement fini pour me blesser, pas toujours en le faisant exprès. En effet, nous avons une ville à voir Amel dit que Chloris est grande. Qu'il y a pleins de jolies plantes ici. Je me demande si il parlait vraiment de la végétation. Il est parfois bizarre. Mais je l'adore. Je ne sais pas ce que je serai sans eux. Désolé. »

Freya se grattait le cou et commençait à marcher, comme elle avait l'habitude, ses grandes jambes aidant même lentement à avancer plutôt vite car la distance qu'elle parcourait était plus grande qu'une personne de son âge avec une taille plus normale. Oui, Freya était grande, elle l'avait toujours été. C'était comme cela.Elle ne pouvait rien n'y faire. C'était comme cela. Elle faisait comme la demoiselle, il la mettait dans ses cheveux, s'aidait de son élastique pour tenir la pante. Car elle ne voulait pas qu'elle manque de tomber comme celle qu'elle avait donné à cette femme. Vraiment, pleine d'énergie, comme un soleil de printemps. Pas trop cependant envers ceux qu'elle ne voulait pas fréquenter. Elle gardait sa marche pour observer ce qui avait autour, des fleurs, mais aussi des maisons dons les murs faisait ressortir toute la beauté de nature qui les entourait. La clown était impressionnée. Tant de beauté, c'était quelque chose de magique pour elle. Laissant un rire s'échapper quand elle sentait une mèche la chatouiller. Elle ne le faisait pas exprès, toujours naturelle. Elle savait que cette journée pouvait être belle. Qu'elle n'avait pas à avoir des gens autour d'elle que les regard sur elle n'était pas pour lui faire du mal. Car d'ordinaire, c'est ce qu'elle pensait de ces regards. Le cirque apaisant ce côté paranoïaque.

« J'espère que je ne prends pas trop de ton temps. Après tout, tu as aussi un travail, tu devras sûrement te lever tôt, il parait que c'est comme cela qu'est la vie en dehors. Est-ce vrai ? Doit-on courir comme Superman ? J'aimerai pas être pressée comme lui... »

Si seulement tu savais ce que voulait dire les significations cachées des fleurs...

Tu aurais pu du coup prendre autre chose que ça, mais... Bon, comme dit avant, tu n'en savais rien de tout cela. Pour toi, une fleur était une fleur. Fallait juste voir l'apparence de la fleur, et non pas se raconter des chimères à la con pour une quelconque signification symbolique. C'était bien un truc d'humain, ça. C'était juste un concours de circonstance. le pot brisé contenait des fleurs blanches qui étaient des roses blanches, et puis voilà. Ses rougeurs ne faisaient qu'accentuer la couleur de la plante, dont le phénomène d'albédo était fortement présent. Nan... Franchement, ce n'était qu'une motherfucking coïncidence.

Une belle coïncidence. Tu avais hâte qu'elle la mette dans ses cheveux, tiens. Ca contrasterait bien avec sa chevelure et sa couleur de peau. Si c'était la pureté... Qu'importe la race en fait. Elle se comportait comme un enfant découvrant le monde, non? Avec toute l'ignorance et l'innocence qui l'accompagne. Donc oui, peut-être qu'elle méritait de porter ce blanc.

Enfin bref, tu ne savais pas grand chose de cette femme. Enfin, jeune femme. Ou gamine. Ou... Oh merde, elle restera la petite fleur hein. C'est trop chiant de la nommer différement, vu que ce surnom était l'évidence même du passage de l'ignorance jusqu'à le Savoir, la compréhension. Elle ne portera surement pas ce blanc longtemps, mais on va dire que tu y croiras jusqu'au bout. Ca fera une bonne raison pour penser à Elle souvent... Mais tu penses que cela ne servira à rien de penser à cela pour penser à la petite fleur.

Elle parlait encore de ce cher Amel. Un être mystérieux dont tu n'as que le nom. Vu ce que dit Freya sur lui, tu en concluais qu'il aimait bien les belles choses... TOUTES les belles choses. Et cela fit légèrement froncer tes sourcils. Tu n'appréciais pas vraiment ce genre de gars, qui fricotait comme pas permis. M'enfin bon, espérons que ce n'est pas le cas.

Zyska, en se penchant un peu, et en suivant le pas d'une démarche légèrement plus rapide qu'elle (Les nains au pouvoir) - "Cet... Amel, c'est quelqu'un du cirque aussi?" Léger sourire de ta part. "C'est bien si les gens du Cirque te soutiennent. C'est une genre de grande famille en somme."

Famille... Ca te rappelait "eux" à un moment, et ton visage perdit de son splendide sourire par passer à quelque chose de moins drole. Toi aussi, tu aurais aimé que des gens te soutiennent jusqu'au bout, en ayant une très grande confiance en toi. Mais pour l'instant, tu ne l'avais pas vraiment trouvé, cet être pouvant remplacer cette place. Mais... Tu secouas vite fait la tête pour pouvoir chasser cette idée, et poser ton regard sur les différentes décorations florales. Et cela raviva la petite flamme itnérieure qui t'animait. Enfin. Ce monde était de toute beauté, alors cela suffisait à cacher ce petit trou pour l'instant.

Et tu entendis un rire. Un rire qui te fit tourner la tête en direction de l'origine de ce son. Et c'était Freya. Freya, qui riait innocement, comme si le Monde n'existait pas. Comme si... Il n'y avait rien de plus à côté que ce moment et ces belles choses. Ah lala... Tu envirais presque cette innocence, mais on ne pouvait plus faire machine arrière, n'est ce pas? On ne peut plus vivre quand on sait que l'on peut savoir ce que ressentent les individus à ton égard. Alors... Tu vas faire en sorte d'aller en douceur quand tu seras avec elle.

Zyska - "Pourquoi ris-tu?"

... Quoi? C'était une question comme une autre, bon sang. Une chose étrangère à tes yeux semblait titiller ton attention tel une petite souris titillant le chat. Et si elle répondait pas... Et bien ce ne sera pas si grave que ça. Enfin, tu penses. Ce n'était pas uen question fondamentalement existentielle. Alors, tu préfèresp lutôt passer aux questions que tu te poses. Ce qui te fit mettre tes mains dans les poches de ta jupe. Tu voyais là où elle voulait en venir.

Zyska - "Et bien... Je pense que si tu aimes ton travail, le temps passe super vite. Moi j'apprécie ce que je fais, donc ça va, je ne m'en plains pas. Sinon... Je pense que ce n'est pas si différent de ce que tu fais au Cirque en matière de travail." Puis tu lui souris amicalement. "Et par rapport à Superman, nous n'avons pas une ville comme Metropolis à protéger."

Nous sommes des héros des temps modernes, sans collant, sans slip par dessus. Nous rendons la vie des uns plus convenable, plus heureux. Donc... Personnellement, tu penserais que c'est un train à prendre. Les personnes au quai pensent que cela va vite, alors que ceux à l'intérieur n'ont pas cette sensation de vitesse. Cette différence de point de vue dont on apprennait cela dans des écoles, permettait une vision purement critique. Tout cela avec de la physique, ce n'est pas beau?

Du coup, à parler de Superman, cela te donna une idée. Une idée... Dont tu espérait qu'elle allait parfaitement fonctionner. Tu croisais de façon intellectuelle les doigts pour que cela se passe. Cela te permettra de passer cet épreuve facilement. Et c'est donc ainsi que tu te mis en face d'elle, reculant rapidement pour suivre ses mouvements de pas. Heureusement que tu étais un peu sportive...

Zyska, un peu gênée de demander cela - " Dis... Au lieu de te donner les comics au Cirque... Ca te dirait de... M'accompagner? Comme ça, tu verrais pas mal de choses du monde des Humains. Par contre, je ferais un petit détour dans un autre endroit."

Tu te tapotes le torse, la regardant droit dans les yeux, sérieuse. Ces mots, tu les appuies avec minutie. Tu avais besoin de Freya pour cette tâche. Pourquoi? Parce que. Tu voulais toi aussi faire découvrir certaines choses à la petite fleur, et donc tu allais t'y prendre avec coeur. Parce que tu penses que toi, tu ne taperais pas la main que l'on te tenderait.

Zyska, rajoutant ces mots, légèrement rouge - " Ca me ferait plaisir de te montrer tout ce petit monde. Et ne t'inquiète pas. Je te protègerai."

La naine protégeant la géante? Why not. Après tout, il faut un guide qui sache le maximum de choses sur cette Terre hostile. Bon, tu n'y étais pas allée depuis... 4 ans, mais ça, c'était une formalité, non? Une monde ne peut changer drastiquement en 4 ans, non? Il fallait juste espérer qu'ILS n'aient pas vendu les comics en question. Ca me ferait mal de partir les mains vides. Alors... T'iras surement lui acheter dans ce cas là. A voir... Tu n'aimais pas trop trainer là-bas. Non pas par dédain, mais... C'était une sensation de ne pas être vraiment à ma place.

Alors tu attendais l'avis de Freya sur la question. De toute façon, qu'importe la question, le résultat restera le même: Freya aura ses comics, et toi tu feras ce que tu auras à faire. Mais c'est plutôt pour toi que ça changera quelque chose. Ce sera plus ardu, avec elle présente, mais... Si effectivement elle avait le pouvoir de la calmer... Alors elle en veut, de sa médecine.

Freya était toujours dans sa marche, elle était motivée à voir le monde en la présence d'une personne aussi forte à ses côtés. Puis à elle deux. Elle pouvait former un duo très cool, sans pour autant que l'une soit l'assistante de l'autre. Après tout ce n'était pas comme si elle était Robin, un faire valoir qui semblait utile à Batman qu'en cas d'urgence. Elle n'avait presque plus peur, c'était quelque chose de rare en dehors de son précieux cirque. Ce lieu où elle était à sa place, bien qu'elle soit venue à l'improviste. Puis brisant le silence, elle demandait qui était Amel, si c'était une personne du cirque.

« Oui, il est du cirque. »

Le fait qu'elle parle d'eux comme une famille était ce que ressentait la jeune femme. Elle souriait simplement en confirmant silencieusement les mots de la demoiselle qui l'accompagnait. Elle semblait un peu triste, un peu de son éclat semblait s'être assombri du coup. Freya penchait la tête, un peu curieuse. Puis elle se disait que ce n'était pas ses affaires. Elle ne voulait pas parler des flashs qu'elle avait parfois. Il lui donnait des nausées.La question sur son rire tombait comme si de rien n'était, elle rougissait à nouveau comme si elle avait cessé un peu avant. Après tout elle faisait rire, le rire était sa principale récompense pour son travail accompli.

« Le vent, il fait bouger mes cheveux, ça chatouille. »

La dame qui se tenait du mieux qu'elle pouvait à ses côtés lui disait qu'elle aimait son travail, elle ne pouvait qu'être d'accord avec ces mots. Elle écouter parler de son amour à elle pour son boulot. Elle y passait une bonne partie de sa journée. Puis elle disait que contrairement à Superman, elle n'avait aucune ville à protéger, la seule chose qu'elle voulait garder c'était ce chapiteau et ses artistes. Et en plus, elle n'avait pas envie de perdre une amie qui comme elle aimait les comics. La fan en elle ne l'accepterai pas. Puis sans comprendre pourquoi. Freya recevait une invitation à venir chez elle. Ses rougeurs redoublèrent. Elle n'avait jamais imaginé être aussi bien avec une personne. C'était vraiment bizarre. Elle l'écoutait, bien entendu ça évitait à avoir la malédiction sur cette personne. Comme Kana, elle finirait par détester cette dernière. L'adolescente ne voulait pas de ce fardeau, elle aurait voulu que les autres puisse avoir le choix. Elle parlait de détour, la peur revenait un peu en la jeune fille. Qui disait autre endroit, disait d'autres gens, forcément. Comme si elle avait compris la blondinette disait qu'elle protégerait la clown. Rassurée par ses mots, elle reprenait son sourire et une couleur normale. Entre les rougissements et la peur, on pouvait dire qu'elle avait un visage expressif, la jeune Freya. Elle hochait la tête, comme pour se donner du courage.

« D'accord, je veux bien te suivre. Puis au moins, tu sera pas obligé de rester au cirque. »

Elle avait toujours un peu peur, mais elle pouvait affronter ces craintes, après tout, elle était un héros encore méconnu, qu'une ombre qui veillait pacifiquement sur l'île, plus particulière cette plaine où le lac n'était pas bien loin et semblait si grand, qu'elle ne voyait pas la fin. Elle pourrait voler, mais craignait trop de tomber en cours de route et de ne pas savoir remonter, les plumes mouillées pesait une tonne. Elle avait découvert ça avec Iorek quand elle a avait voulu les rendre moins grises. Ce qui était une erreur de sa part déjà. Finalement, elle s'était handicapée toute seule et attendre que ses ailes sèchent. Elle avait un peu hâte de connaître cet endroit inconnu où les comics serait plus nombreux que les siens. Bien entendu, elle serait pas toujours des plus utiles, mais elle était prête à vivre cette aventure avec sa ligue de justiciers nouvellement formée. C'était presque aussi cool qu'être un Avenger.

On ne pouvait point contredire le fait qu'elle était comme un livre ouvert.

Tu t'amusais de la voir ressentir de la crainte, mais aussi la joie de pouvoir y aller. C'est comme une amatrice de sensation forte, en fait. On appréhendais avec crainte le fait de devoir se mettre en danger, mais on avait aussi l'excitation de ressentir de nouvelles choses. Peut-être que ta comparaison était merdique. Ca, on ne pouvait te contredire. Et puis ces rougissements... Argh, mais que l'on te jette la première pierre si une personne n'a pas pu la trouver choupinette. Cela contrasta aussi sur tes joues, avant d'inspirer grandement. C'est bon, c'est terminé... Chute vitesse de battement cardiaque, tout est fini. Le tango est terminé.

Zyska, en gardant un léger sourire - " Bien. Donc du coup, je... Dois m'y préparer. Alors euh... "Tu soupires en pensant à ce que tu allais dire. Tu t'en pinças même la lèvrei nférieure. "Je vais te laisser. Rendez vous devant le cirque demain matin."

Tu clos doucement tes paupières, avant de les rouvrir. Tu t'avances vers elle, et tu oses prendre doucement une de ses mains pour lui tirer dessus, la faisant légèrement pencher, pour sautiller et lui claquer un léger baiser sur sa joue. Puis tu la relâchas, en te reculant doucement, détournant le regard. Tu savais qu'elle aurait eu peur de cette réaction, mais... Tu avais agis par instinct.

Zyska, qui gromellait légèrement - " Et ne ramène pas ton affilié, si tu en as un. Les humains nous considèrent que comme des mythes oubliés. Ah oui, et faut aussi éviter les pouvoirs."

Tu n'allais pas préciser le fait que trop de pouvoirs pourrait être mal. Qu'elle pourrait servir dans un laboratoire, ou être directementl iquidée. Ah ça nan Zyska... Tu ne dois pas penser cela. De toute façon, qu'importe la difficulté que ce sera, tu pourras la surmonter. Alors tu la regardas dans les yeux quelques instants.

Zyska, dans un léger souffle, et presque à contrecoeur - " Au revoir. Et à bientôt petite Fleur. Bbonne route pour rentrer chez toi. "

Tu te retournas donc, avant d'aller dans une direction qui n'était pas au hasard. C'était là où tu pouvais exactement prendre ta super moto. Oui, tu en étais fière de ta bécane. Tu commençais à lentement mettre ton casque, en regardant lengin mécanisé. Tu te demandais si Freya apprécierait ce genre de choses.

Eternuum, sortant sa tête de l'écharpe - ° ... Milady? Pourquoi ce sourire niais sur votre visage? C'est la première fois que je le vois. Serait-ce à cause de votre interlocutrice?°

Ah, Eternuum... Heureusement qu'il ne comprennait pas vraiment lel anguage des créatures humanoïdes de l'île. Sinon, tu serais largement dans la merde. Tu touchais tes lèvres, comme si c'était la lèpre qui prennait position sur celels-ci. Et tu le sentis sur tes doigts fins, ces lèvres étirés. Il avait raison. C'était rare de te voir aussi satisfaite d'une simple rencontre sans un coup de poing dans la tronche.

Zyska, en grognant et en enfourchant sa bécane - " Tais toi."

La Salamandre ne disait rien, mais elle te voyait, toujours avec ce sourire ne voulant pas défaire son emprise sur ses lèvres. Eternuum sentait que tout cela allait évoluer en bien, et au fond, ça lui faisait plaisir... Enfin, il espérait que cela se passe. Le bruit de l'engin motorisé réveilla la salamandre dans ses pensées, ne changeant pas ses habitudes pour autant. Il te connaissait bien, donc il pouvait te faire confiance.

Et voilà comment terminer une journée en beauté. Eternuum savait que ce soir là, sa liée n'ira pas dans les bars, ni autrement. Car lui pensait savoir ce que tu ressentais, mais il ne disait rien, parce que c'était tes affaires, pas les siennes.

Freya était vraiment capable de suivre cette personne, même si c'était au bout du monde, après il y avait aussi la crainte. Elle tenait pas mal à la vie, la jeune adolescente. Elle gardait son sourire sur son visage. Elle était contente d'avoir trouver quelqu'un qui comprennait ses références et elle en faisait pas mal. Puis comme si la décision de la clown avait tout changé, la blonde déclarait à la chocolat qu'elle se verrai demain. La jeune fille faisait une légère moue, mais il était temps de rentrer, elle savait que bientôt, la malédiction rappellerait, c'était qu'une question de temps. Elle lâchait un léger soupir, gardant son visage heureux. Elle pouvait la revoir demain. Elle hochait la tête, c'était une bonne idée, devant le cirque, loin de la malédiction aussi. Sans comprendre pourquoi, elle se retrouvait plus bas et recevait un bisou sur la joue, immédiatement, la jeune femme se mettait à rougir, avec sa peau métissé, ça faisait un drôle de mélange. Mais elle ne pouvait pas le stopper. Même si elle le voulait. Ce n'était vraiment de la peur, c'était avant tout très surprenant. Elle ne savait pas ce que signifiait, il fallait dire qu'on lui avait jamais fait ça. Puis dos à elle, la mage disait de pas apporter Iorek, elle était un peu triste, mais son ours était tout sauf discret, en plus il parlait, pour elle c'était normal. Pour les gens extérieurs, non. Il fallait se cacher comme super-man. Donc elle comprenait, elle le faisait au cirque, car les gens y étaient habitué, à ces explosions. Ce n'était pas la bonne solution de se faire voir. Elle comprenait complètement. Elle hochait la tête. Elle entendait les au revoir de la jeune fille. Elle insistait pour la nommer fleur. Elle avait son sourire timide sur le visage. Puis Elle la voyait partir sur un moto, comme un duo connu. Elle avait le nom sur le bout de sa mémoire. Une lecture de Comics s'imposait doucement dans sa tête. Elle agitait sa main, espérant vraiment qu'elle ne laisse pas aller seule, elle n'était pas assez forte toute seule. Elle pouvait se débrouiller jusqu'à un certain point.

« J'ai une amie fille du coup, non ? C'est cool, et puis elle est mignonne. »

Elle secouais la tête, elle ne comprenait pas pourquoi elle disait ça. Elle se grattait le crâne avant de hausser les épaules.

« Toute façon, si je teste pas un peu, je nepourrai pas savoir ce qui m'arrive, même si ça fait peur. Je dois les affronter pour devenir encore plus forte, comme ça je pourrai protéger, Amel, Lyvion, Betty et Zyska. »

La relation avec Betty était plus qu'une amitié, elles se comprenaient. La peur qu'elle avait en commun les unissait. Elle rentrait au cirque en volant, car elle avait bien assez marché comme ça. Elle savait qu'elle serait pleine de question, mais le plus urgent était retrouver le comics dont elle avait oublié le nom. Elle se précipitait dans sa caravane sans saluer son ours. Les joues légèrement rouge par ce qui s'était passé, on l'avait embrassé.