Viens, on se fait une bouffe | Sam 07 Fév 2015, 18:36
Viens, on se fait une bouffe F E A T Maxime
Je me sentais un peu seul dans cette grande cuisine. Je lâchais u soupir, je savais que j'aurai des gens sous mes ordres à un moment ou un autre, je m'imaginais pas crier comme un fou comme mon patron. Je roulais des yeux. Mon ancien patron, ces cris ne me manquerait pas vraiment. Je souriais avant d'ouvrir le porte du restaurant, le bâtiment était jaune poussin, c'était qui m'avait tapé dans l’œil, je me disais qu'un restaurant voyant est mieux qu'un endroit gris et sombre perdu au milieu de nul part. Je retournais la pancarte pour indiquer que mon restaurant était ouvert. Mon restaurant... Cela faisait bizarre de le dire. Je m'en remettais pas. Je riais comme un imbécile heureux avant de commencer à préparer différents ingrédients pour le menu que j'avais mis sur la cartes, comme je suis un carnivore, il y avait pas mal de viande dessus, mais aussi quelques poissons, fraîchement pêché par mes soins ce matin. AU moins on pouvais pas douter de leur fraîcheur. Je n'ouvrais pas le réfrigérateur, car je devais garder la chaîne du froid. Je gardais mon sourire, je vérifiait que mes tables étaient bien dressées, Kojiro dormais sur un d'entre elles, il se réveillerai si un client l'approche de trop près, méfiant, l'oiseau se trouverai un autre endroit pour me surveiller de loin, car c'est que mon affilié faisaient, il me surveillait. C'était sa façon à lui de m'aimer, mah il m'en fallait pas plus de sa part. Par contre de la part de Logan. Je rougissais un peu en pensant à cet homme, je l'aimais tellement, c'était une obsession. Impossible de me le retirer de ma tête. Je respirait à fod, je devais avant tout me préparer mentalement pour des éventuels clients. Pour le moment, il y avait personne, à cette heure le restaurant de Sado est déjà remplis de ces habitués. Je repensais à lui, bien évidemment. Il avait été mon mentor en cuisine tout ce temps. Je me grattais le cou avant de me laver les mains. Première règle en cuisine, toujours se laver les mains. La seconde était de garder ses produits dans les meilleurs conditions possible, y compris cette chose qui m'avait coûté un mois de recette pour avoir une boite minuscule et un poil puante. Mais bon, vu la boite, c'était de la qualité, juste cette odeur d'alcool des rues sombres qui ne voulaient pas partir. Comme incrustée. Mah tant que l'intérieur n'était pas infecté, tout allait bien. D'ailleurs, j'avais pris des bouteilles, sans trop savoir ce que je pourrait mettre pour les gens qui aimaient boire ce genre de choses en mangeant. Je devrais peut-être demandé à un spécialiste. Mah, ce n'était pas urgent, je n'avais qu'à me fier aux odeurs pour associer, même si sentir de l'alcool ne me faisait pas vraiment plaisir. Le boulot et le boulot et j'aime trop manger et faire à manger pour m'en priver. Puis j'entendais comme des pas, un clients ? Non, pas possible, je jetais un regard curieux par la fenêtre, un chat, juste un chat.
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Re: Viens, on se fait une bouffe | Dim 08 Fév 2015, 21:02
~Viens, on se fait une bouffe~
La rouquine déambulait tranquillement dans la rue. La veille avait été une journée des plus productives : Maxime avait vendu une bonne dizaine de rouge-gorge mécaniques ainsi qu’un nouveau pianocktail et avait également réparé une voiture qu’on lui avait amené en piteuse état. Elle se doutait bien qu’être fille d’Héphaïstos lui donnait un sacré avantage sur les autres mécanos de la ville, mais franchement, dans ce monde de requin, le moindre coup de pouce, aussi divin soit-il, était le bienvenu. Elle avait donc bien travaillé la veille. À comprendre : beaucoup d’argent avait trouvé sa place dans la boîte à musique qui lui servait de coffre-fort. Elle avait donc décidé de s’octroyer un petit jour de congé et d’aller prendre un morceau dans un restaurant et de profiter de cette belle journée pour décompresser un peu. Pas qu’elle soit particulièrement stressée, mais ne rien faire le temps d’une journée, ça ne peut faire que du bien n’est-ce pas ? Et puis comment dépenser son argent autrement ? -dépenses pour l’entretien de la maison et pour son job mises à part bien entendu.
Elle étira longuement ses bras au-dessus de sa tête tout en marchant et réprima un ronronnement de contentement. Elle prenait son temps et en profitait à fond, ce qui agaça un tantinet ce vieux Blackjack qui en avait plus qu’assez de faire dix mètres, de s’arrêter pour attendre sa liée et ainsi de suite.
« -T’as fini de traîner comme ça Max ! À ce train là tu seras déjà une vieille peau qu’on sera toujours pas arrivés au restaurant !
-Non justement, si je commence à me presser tout le temps pour rien au lieu de profiter du moment, alors là oui, je finirai en vieille peau. Comme toi Blackjack. »
Le matou posa un regard passablement aigri sur Maxime qui lui répondit avec un sourire moqueur et espiègle.
« Carpe Diem vieux, Carpe Diem ! »
Irrité, le chat cracha quelques insanités à l’encontre de sa liée qui ne manqua pas d’en rire, et se précipita loin devant Maxime afin de lui montrer à quel point il était impatient de MANGER. Au bout de quelques mètres, il s’arrêta et se retourna pour laisser à la rouquine le temps d’arriver à sa hauteur. Car il avait beau s’énerver souvent contre elle, il ne pouvait décemment pas la laisser toute seule. Sans lui, elle ne savait rien faire après tout ! Maxime s’approcha de Blackjack et s’accroupit à ses côtés afin de le gratifier d’une gratouille amicale derrière les oreilles, en guise de réconciliation. Le vieux chat fit la gueule évidemment, histoire de garder un peu de crédibilité (et aussi par mauvaise foi) mais la jeune fille avait l’habitude et savait qu’il n’en pensait rien.
Elle se releva alors et remarque qu’ils s’étaient arrêtés devant un restaurant dont les murs avaient été peints en un beau jaune poussin. Cette couleur lui rappelait lorsque le soleil atteignait son zénith et qu’il laissait passer ses chauds rayons à travers la lucarne du toit de son atelier. Un sourire étira ses lèvres roses.
« -Bon, on va casser la croute ?
-Plutôt deux fois qu’une ! Fit Blackjack avec entrain. »
Light ricana doucement et poussa la porte d’entrée.
« Bonjour ! Ce serait pour une personne s’il vous plait. »
Bah oui, un chat, ça compte pas comme une personne. Si ?
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Re: Viens, on se fait une bouffe | Dim 08 Fév 2015, 22:04
Viens, on se fait une bouffe F E A T Maxime
Ce qui m'étonnais, c'est que le restait là, un peu méfiant, comme si ce dernier avait senti ma présence, je m'étais pas donné la peine de l'effacer, ce que je faisais en chassant. Je regardais la salle libre, le chat ne bougeait pas, il n'était pas seul, il revenait accompagné d'une jolie rousse, pas parce que je suis gay que je trouve les filles laides, certaines filles sont belles, mais j'aimerai toujours les garçons. Je souriais, c'était quelque chose pour moi, je recevais là ma première cliente de la journée, cela me faisait plaisir. Qu'importe la personne qui pénétrait ces lieux était le bienvenu. J'avais eu quelques différents avec les félins, c'était du à ma nature de canidé, mais celui-là semblait plus posé et un poil râleur, un peu comme un papy, je les aimait bien ces gens-là, ils avaient toujours des tas de choses à raconter. Je rigolais intérieurement en les voyant, pas qu'il étaient drôles,, mais que leur duo se détachait du paysage, une jeune rousse et un vieux chat noir. Elle avait demander pour une personne, je souriais avant de lui donner un menu.
-Vous pouvez vous installez où vous le désirez, je vous apporte un peu d'eau et du pain. Faites à votre aise, je serai bientôt de retour. Je suis Atsuo Fuyuki Kazuki, le patron de ce modeste établissement et votre serveur.
Je saluais par habitude avant de filer en cuisine pour remplir un pichet d'eau et prendre un panier en osier que je devais remplir de pain. Je posais une main sur mon katana qui était dans un coin de la cuisine, je respirai doucement de coupais en quelques secondes les pain en morceau qui se voulait égaux. J'en disposais dans le panier avant de de le prendre d'une main et pousser la porte de la cuisine avec mon pied droit. Toujours le sourire sur mes lèvres. Je m'approchais de la demoiselle. Je lui souriais et déposais le pain et l'eau près d'elle. Je lui souriais, tout content. Ce n'était pas un de ces sourires commerciaux comme on voyait partout, c'était les miens. Mah, elle n'était pas méchante te le chat semblait ne pas vouloir de faire de Kojiro son casse-croûte, pour changer, mon oiseau ne paniquerai pas, c'est cool. Je n'aurai pas à laissé la fenêtre ouverte, certains clients n'aimait pas cela, moi, personnellement, je m'en foutait un peu, tant que ne fumait pas à l'intérieur. Je n'aimais pas du tout l'odeur âcre de la cigarette, c'était quelque chose qui marquait mon odorat de lycan.
-Avez-vous choisis ? Ou puis-je faire une suggestion ? Je vous préviens pas de chichis entre nous, vous pouvez m'appelez par mon prénom et on peux même se tutoyer, vous êtes un peu comme chez vous. J'espère que mes plats seront te ravir.
Je ne savais pas si je pouvais la tutoyer comme cela, mah on verra cela. Si elle voulait pas, ce n'était pas grave. Je n'allais pas mourir pour des formules de politesses, c'est ridicule. Je mettais mon essuie sur l'épaule, j'avais du faire la vaisselle à un moment, je savais même plus ce que je faisais, haha. J'avais du la faire ce matin, à moitié dans le gaz, oui, c'est ça.
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Re: Viens, on se fait une bouffe | Mer 11 Fév 2015, 14:22
~Viens, on se fait une bouffe~
« -Vous pouvez vous installez où vous le désirez, je vous apporte un peu d'eau et du pain. Faites à votre aise, je serai bientôt de retour. Je suis Atsuo Fuyuki Kazuki, le patron de ce modeste établissement et votre serveur.
-Parfait merci ! » répondit Maxime tout sourire.
Il faut dire qu’elle côtoyait rarement des gens aussi polis et amicaux alors elle était plutôt contente. Blackjack en revanche, grimpa sur les épaules de sa liée et se mit à lui parler au travers de leur pensées. Il était aisé de deviner que le matou ne voulait pas que leur conversation soit entendue.
« -Ça sent le clebs par ici Max, faisons vite demi-tour !
-Tu vas pas chipoter pour ça merde ! T’avais pas faim ?
-Si je peux éviter de tomber sur un canidé ça m’arrangerait, alors tant pis mon estomac attendra.
-Eh bah pas le mien donc c’est non. »
La jeune fille mit un terme à cette discussion en posant son fessier sur une des chaises qu’avait préparé le dénommé Atsuo. Blackjack était sur les nerfs et décida de passer son repas roulé en boule sur les genoux de Maxime -parce que c’était plus confortable que le sol, et un peu pour l’énerver aussi. Elle ne s’en formalisa pas et se concentra sur ce qu’elle allait prendre. Il lui fallait une grande assiette, si possible avec de la viande, histoire de partager avec Grincheux comme elle aimait à appeler son affilié.
Le serveur -quoique, il semblait occuper tous les postes- revint tout sourire avec un petit panier en osier rempli de morceaux de pain bien découpés ainsi qu’un pichet d’eau dont la buée sur le verre indiquait sa fraîcheur. D’un sourire accompagné d’une petite inclinaison de la tête, la rouquine le remercia quand il posa le tout sur la table.
« -Avez-vous choisis ? Ou puis-je faire une suggestion ? Je vous préviens pas de chichis entre nous, vous pouvez m'appelez par mon prénom et on peux même se tutoyer, vous êtes un peu comme chez vous. J'espère que mes plats seront te ravir.
-C’est vrai ? Demanda la jeune fille en haussa un sourcil, alors tant mieux, les chichis c’est pas mon truc. Je crois que je vais prendre un steak à cheval avec des frites et-
-J’veux du poulet ! Fit le vieux chat en relevant la tête de sous la table. »
Light se plaqua une main contre le front -oh le beau facepalm- navrée de l’attitude du félin. Elle soupira.
« Et on va prendre une assiette de poulet frit avec s’il te plait, finit-elle par commander.
Elle rendit la carte à Atsuo avant d’ajouter en souriant :
« Au fait, puisqu’on se la joue franche, je m’appelle Maxime, mais appelle moi Max si tu veux. Ah, et l’ancêtre là c’est Blackjack ! » Fit-elle en pointant du doigt le vieux chat décrépi.
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Re: Viens, on se fait une bouffe | Mer 11 Fév 2015, 15:11
Viens, on se fait une bouffe F E A T Maxime
Elle était polie, cela au moins, c'était quelque chose de positif, je n'allais pas chipoter sur les petits non plus. Le chat avait grimper sur sa maîtresse en me fusillant du regard. Ce n'était aujourd'hui que je m'entendrai avec les félins. Je gardais tout de même mon sourire. Je la regardais gentillement, sans la juger, j'étais quelqu'un de simple, aimant les gens simple, même si j'étais dans une relation compliqué, mais cela était du domaine privé. J'étais en face 'elle. La jeune fille semblait enthousiaste au fait que je n'avais rien contre elle et que je préférai être en bon terme avec mes clients, ils sont là pour manger pas pour faire la tête. Elle commençait sa commande, un steak et des frites, cela allait être facile. Puis le chat parlait, mais vraiment, j'étais vraiment surpris. Je trouvait cela assez drôle. Je souriais, il était comique ce vieux chat. Elle ajoutait bien entendu le plat qu'avais demandé le matou. Puis elle se présentait de manière dynamique ce qui agrandissait mon sourire. Elle était vraiment sympa. L'animal semblait plein de sagesse. Malgré son nom qui me disait vaguement quelque chose. Je riais avant de lui répondre.
-Bien, je t'amène cela le plus rapidement possible, j'espère que la musique ne te dérange pas trop, elle permet de me sentir moins seul, ah si tu vois une hirondelle, c'est mon affilié, Kojiro, vu le chat, il ne risque de pas approcher.
Je la saluais avant de filer en cuisine, ce n'était pas très dur de faire des frites. Je prenais une poele, de l'huile et prenait quelques pommes de terre. Je prenais ma respiration, lavant le tubercule tentant de freiner mon envie de hurler par ce simple contact avec l'eau. Ce n'était pas simple. Je pelais après cette aventure et sortais la viande juste après. Je me lavais les main et découpais le poulet pour que le chat n'ai pas d'os, une attention sûrement inutile, mais je le faisais pour mon propre plaisir. Je mettais tout ce que j'avais à cuire sauf le steak. Je devais lui demander, je n'y avais pas pensé sur le moment, cela m'était sorti de la tête. Je courrai auprès d'elle.
-Votre steak, vous le manger comment, à point ? Saignant ou bleu ? Cela m'était sorti de la tête. Ahaha, si vous besoin d'eau ou de pain, crier, j'arriverai le plus vite possible. Donc, j'attends votre préférence avant de retourner en cuisine.
Mes mains sentais le poulet, mon odorat de loup commençait à me titiller, je savais que j'aurai faim, mais aussi que je devais me retenir de tout manger, je n'avais qu'à faire plus de frittes pour moi. Ce n'était pas bien compliqué d'en faire. Je souriais, les plats qu'avais commandé était d'une simplicité enfantine. Cela en disait un peu sur personnalité de cette personne. Je l'aimais bien, cela serait le genre de nana que j'apprécie. Mah, c'est cool, mais c'est une cliente, pas une pote, mah on verra, non ? Je me grattais le cou en souriant.
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Re: Viens, on se fait une bouffe | Lun 16 Fév 2015, 13:04
~Viens, on se fait une bouffe~
« -Bien, je t'amène cela le plus rapidement possible, j'espère que la musique ne te dérange pas trop, elle permet de me sentir moins seul, ah si tu vois une hirondelle, c'est mon affilié, Kojiro, vu le chat, il ne risque de pas approcher.
-Moustache gracias ! Répondit Maxime en prenant encore plus ses aises sur la chaise. »
Elle étira ses bras au dessus de sa tête une énième fois, faisant au passage craquer plusieurs vertèbres, et chercha du regard la dite hirondelle. Simple curiosité. Elle la repéra bien vite, perchée sur une des poutres du plafond. C’est vrai que son instinct de survie lui indiquait probablement de rester à l’abri sur son perchoir, mais franchement, ce n’était même pas la peine. À force de vivre avec elle, Blackjack avait prit des goûts de luxe et ne chassait plus. Au mieux, il courrait après les deux ou trois souris qui grouillaient parfois chez elle, mais ne les croquait jamais. C’était plus pour faire un peu de sport car à présent, le chat préférait largement des petits plats cuisinés plutôt que des animaux encore vivants. Il était devenu un peu trop précieux pour ça.
« -Et surtout il est trop vieux , murmura la jeune fille sans s’en rendre compte.
-De quoi ? fit le matou en dressant une oreille.
-Rien, rien. »
Maxime ferma les yeux en attendant que sa commande arrive et se laissa bercer par la musique ambiante. Du jazz, tout ce qu’elle aimait. Elle comprenait parfaitement ce qu’Atsuo pouvait ressentir, il lui arrivait souvent de mettre un bon vieux vinyle de jazz terrien -dégotée par sa mère dans sa jeunesse- lorsqu’elle travaillait dans son atelier. Le cuistot revint quelques minutes après pour lui demander la cuisson de son steak. Elle lui répondit qu’à point ce serait parfait, merci, et prit bien soin d’ignorer la remarque de son affilié qui ne jurait que par des steaks bien sanglants. Carnivore un jour… Avant qu’Atsuo ne se soit trop éloigné pour l’entendre, elle l’interpella.
« Dis donc, sans vouloir te vexer ça se bouscule pas pour venir manger ici, et tu dois avoir faim vu l’heure. Ça te dis manger avec moi ? J’ai besoin d’un autre genre de compagnie qu’un vieux félin ingrat ! »
Que les suspicieux comprennent bien ceci : elle ne le draguait pas. Light n’était pas vraiment le genre de fille qui drague le premier gars dans le premier resto venu. Elle était plus du genre à attendre que les choses se fassent naturellement et progressivement. N’empêche qu’elle avait vraiment besoin de discuter avec d’autre personnes que ce Grincheux de Blackjack. Il lui fallait un peu de renouveau dans ses conversations. Non mais, on peut bien inviter quelqu’un à partager un repas sans se faire assaillir par les regards ambigus non ?!
HRP; Pouêt ! Je m'excuse d'avance mais je voulais te prévenir que je vais sûrement mettre du temps à te répondre en ce moment (Bac Blanc en approche oblige) :V
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Re: Viens, on se fait une bouffe | Lun 16 Fév 2015, 14:00
Viens, on se fait une bouffe F E A T Maxime
J'étais content, ma cliente était réceptive à mes sourires et ma bonne humeur, celle que je portais bien malgré moi par moments. Elle s'était même autorisé à faire une blague avec le remerciement. Je riais un peu. Je n'entendais pas les paroles venant de la salle, j'étais un peu trop loin, j'avais le super-odorat, donc pas besoin de la super oreille, puis cela devait être gênant, l'air de rien. Comme l'étais ma capacité, mais on s'y faisait. Elle avait demandé un steak à point, donc, je le cuisais en ce moment, faisant chanter la poêle qui me servait en ce moment. C'était une expression imagée, pas une vraie, je voyais mal ce genre de chose chanter, ahaha. Je l'avais entendu, son invitation était très tentante, connaissant mon estomac, fallait que je fasse plus à manger, car je pourrait finir par piquer dans l'assiette de ma cliente et cela ne faisait pas. Je souriais, son ami félin n'était pas agréable au fond, mon côté loup était fier d'être plus sympathique à ses yeux. Je commençait àpréparer pour moi, prévoyant de grandes quantités. Je souriais avant d'aller déposer ses plats sur la table.
-Je veux bien, par contre, je vais manger aussi, ne sois pas trop surprise, je mange beaucoup.J'arrive de suite.
Je passais donc quelques instants à faire des allers et retours à la cuisine et la table avant de m'y installer en me léchant un peu les lèvres, j'avais faim, comme à mon habitude, je m'écouterai, je mangerai tout au long de la journée. Je souriais en me mettant à ma place, il y avait là facilement pour une douzaine de personnes adulte. Je rougissais légèrement. Je me sentais toujours un peu gêné de manger autant, une mauvais habitude qu j'avais prise avec le maître. Avec lui, je pouvais plus ou moins contrôlé ma faim, afin que je ne tombe pas malade. Parce que trop manger, finirait par me dégoûté, je le savais, je n'écoutais que mon envie de manger, mon estomac qui hurlait comme un loup devant la pleine lune. Je lui souriait gentillement. J'étais confiant en ma ration. Elle n'était pas anodine, c'était un véritable festin.
-Je vous remercie pour votre invitation, et heureux d'être plus accueillant qu'un chat. Je vous souhaite d'ores et déjà un bon appétit, mademoiselle et toi aussi le chat, j'ai pris soin d'enlever les os, pour pas qu'il se blesse. Je ne suis pas un monstre, pas comme tu dois le penser.
Les chats ne m'aimaient pas, c'était un peu réciproque, surtout quand ces derniers me blessaient. Bien sûr c'était un peu humiliant, l'air de rien. Comme ma peur de l'eau, je ressemblais à un chaton avec cette frayeur. Je ne voulais pas être un chaton, un jeune chat, c'est pire. Je voulais profiter de Logan. Je souriais e pensant à lui. Je prenais une poignée de frites bien dorées, croquantes à l'extérieur et tendre à l'intérieur, tout un art. Comme m'avait montré une cliente. Elle serait fière. Je riais un peu et mangeais avec appétit.
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HRP: Ne t'en fait pas. Tes études sont plus importantes ;)
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Re: Viens, on se fait une bouffe | Lun 23 Fév 2015, 15:38
~Viens, on se fait une bouffe~
Le cuistot devait vraiment avoir la dalle puisqu’il accepta la proposition de Light presque aussitôt. Rapidement, il se mit à faire de nombreux allers et retours entre leur table et la cuisine, apportant chaque fois un plat supplémentaire. Entre temps, Max tira une troisième chaise vers elle avec le pied, et y installa Blackjack. Ça restait bien plus commode pour manger. Finalement, Atsuo revint et s’installa enfin. Devant lui, sur la table, était entreposée une quantité assez impressionnante de nourriture. La rouquine aurait largement pu faire trois repas différents de cette incroyable ration. M’enfin, elle ne s’en formalisa pas et ne fit aucune remarque. Il y a des gens qui mangent beaucoup et d’autres moins, c’est bien connu. Surtout que dans un lieu tel que Sanctuary où les créatures magiques font légion, le côté « bestial » de certain êtres tels que les hybrides leur donnaient généralement un appétit assez tenace. Et vu la réaction de son affilié en entrant dans l’établissement, la mécanicienne ne serait pas étonnée si cet Atsuo s’avérait être un loup-garou, ou un autre genre d’hybride canin.
« -Je vous remercie pour votre invitation, et heureux d'être plus accueillant qu'un chat. Je vous souhaite d'ores et déjà un bon appétit, mademoiselle et toi aussi le chat, j'ai pris soin d'enlever les os, pour pas qu'il se blesse. Je ne suis pas un monstre, pas comme tu dois le penser.
-Le chat a un nom figure toi, grogna le félin qui n’aimait pas trop qu’un jeune -exception faite de sa liée- lui fasse la morale sur son comportement. Et sache pour ta gouverne que c’est normal pour un chef de retirer les os de la viande qu’il sert à ses clients, alors ne vient pas jouer les parfaits petits cuistots. Sur ce je vais faire honneur à ce plat, car si l’odeur canine que tu te trimballe ne m’enchante guère, il en est tout autre pour le délicieux fumet qui émane de mon assiette. »
Et sur ces mots, le chat commença à attaquer son plat. Maxime quant à elle, réprima un rire léger. Blackjack avait cette manie de faire des compliments sans vraiment en faire qu’elle trouvait souvent hilarante.
« Cherche pas à discuter avec lui, les vieux chats ont toujours raison parait-il, ironisa la jeune fille à l’encontre d’Atsuo, bon appétit sinon ! »
Ni une ni deux, elle s’empara de son couteau et fit une tranchée dans son steak à cheval, afin que le jaune d’œuf encore coulant imprègne mieux la viande. Percer le jaune des œufs au plat était une chose qui, pour une raison inconnue, lui procurait toujours un sentiment de satisfaction parfaitement incongru. Elle commença à déguster son steak et ses frites, puis avala sa bouchée et, tout en pointant sa fourchette vers lui, demanda à Atsuo :
« Bon, on va commencer la conversation de manière basique si tu veux bien. Ça fait longtemps que tu tiens ce restaurant ? De mémoire, le bâtiment est plutôt récent non ? »
Nouvelle bouchée de frite.
« ‘Fin, j’me trompe peut-être mais j’ai toujours vécu à Skyworld et ma mémoire marche plutôt bien donc je suis quasi-sûre de moi… »
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Re: Viens, on se fait une bouffe | Lun 23 Fév 2015, 16:18
Je me goinfrait, ce n'était pas vraiment très joli à voir. L'air de rien je mangeait plus que de raison. Le félin montait direct sur ses grands chevaux. Mah, je m'en doutait un peu qu'il n'hésiterai pas à retourner mes gentillesses contre moi. J'avais toujours l'espoir de m'entendre avec ces créatures. Après tout, tout le monde pouvait être gentil, malgré nos différences de races. Il appuyait que je sentait le canin, normal pour un loup. Néanmoins, il était ravi de son plat. C'était déjà bien. La maîtresse du chat essayait de me faire passer la pilule, elle était déjà passée pour moi. Il pouvait être grognon, tant qu'il mangeait mes plats, c'était positif. Bie que la notion des vieux chats faisait un peu grogner le loup en moi. Je le laissais pour ce qu'il était, mangeant bien plus qu'une personne normale. Elle voulait discuter, pourquoi pas. Je riais un peu. Ce n'était pas la première fois que je parlait alors que je mangeait. J'avalais mes bouchées tout de même avant d'ouvrir la bouche. Mon maître tenait à ce respect. Je faisais tout pour tenir ce dernier. Elle décidait de me poser un tas de question sur mon restaurant, sur le temps que je l'ai ouvert, ce genre de choses. Selon cette dernière, mon lieu de restauration était récent.
« Oui, en effet, je suis nouveau sur le marché, ça fait une semaine que j'ai ouvert, je n'ai pas encore beaucoup de monde. Je voulais faire une soirée d'ouverture, mais j'avais pas d'argent pour imprimer une publicité, peut-être plus tard. En tout cas, j'espère que le bouche à oreille fonctionne toujours. J'ai tenté de faire du commerce en utilisant Kojiro, mais il n'aiment pas trop porter des choses. Par contre, ton chat n'as pas tord pour le canidé, je suis un loup-garou. »
Voilà, je l'avais dis, il me restait qu'à finir mon repas pour vois si elle restait en ma présence ou pas. On le verrait assez vite. Je prenais une poignée de frites que j'avais couvert de fromage fondu, pour imiter une recette étrangère. Une recette de la terre, je me demandait si il y avait des plats typiquement d'ici. Je me grattait un peu le menton avant de prendre un peu de viande que je mordait à pleine dent. La chair était juteuse, je préférait la viande saignante quand elle s'accordait à cette préparation. Ce n'était pas toujours le cas. Le chat devait sûrement me fusiller du regard. Après tout, j'étais un ennemi naturel de son espèce, comme les vampires, mais je sortait avec l'un d'entre eux, donc je partais sur un bon espoir pour moi et le chat. Bien qu'il était comme Grincheux. Un des nains de Blanche-neige. J'aimais bien ce nain, il était très affectif sous ses travers un peu particulier. C'était adorable de penser au chat comme cela. Il protégeait sa maîtresse à sa façon. Comme un nain au caractère bien trempé.
« Et vous êtes quoi vous ? Êtes-vous née sur l'île, moi oui. »
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Re: Viens, on se fait une bouffe | Sam 28 Fév 2015, 14:06
~Viens, on se fait une bouffe~
« Oui, en effet, je suis nouveau sur le marché, ça fait une semaine que j'ai ouvert, je n'ai pas encore beaucoup de monde. Je voulais faire une soirée d'ouverture, mais j'avais pas d'argent pour imprimer une publicité, peut-être plus tard. En tout cas, j'espère que le bouche à oreille fonctionne toujours. J'ai tenté de faire du commerce en utilisant Kojiro, mais il n'aime pas trop porter des choses. Par contre, ton chat n'as pas tord pour le canidé, je suis un loup-garou. »
Maxime acquiesça silencieusement tout en mâchant. Elle avait vu juste, le restaurant était récent. Et vu la qualité de la nourriture qu’on y servait, elle espérait de tout cœur que les clients affluent en masse prochainement. Atsuo enchaîna et posa à son tour une question à la jeune fille. Celle-ci ricana.
« Je croyais qu’on était censés se tutoyer, fit elle malicieusement remarquer au lycanthrope qui avait recommencé à lui parler en « vous ». Sinon oui, je suis née à Skyworld, j’ai grandit à Skyworld et je mourrais probablement à Skyworld aussi. Ma mère était une mage et mon père c’est…-elle hésita- Héphaïstos. »
Parler de son père la gênait toujours un peu. En tant que demi-déesse, elle avait presque l’impression de se vanter de ses origines divines chaque fois qu’elle abordait le sujet, alors qu’il était évident que la jeune fille était tout ce qu’il y a de plus humble à ce sujet. Son père était un Dieu, ok, cool. Le débat s’arrêtait là. Elle s’apprêtait ensuite à enfourner une énième bouchée dans sa bouche quand son regard se leva machinalement et se posa sur l’affilié d’Atsuo, toujours perché sur une des poutres du toit. Elle repensa à ce que lui avait dit le cuistot concernant son souhait de se faire un peu de pub, et une idée germa dans son esprit. D’un seul coup, sans crier gare, ses yeux se mirent à pétiller et un large sourire se dessina sur sa bouche.
« Oh non » fit Blackjack qui savait à quoi s’attendre quand sa liée avait ce genre d’expression sur le visage.
Il sauta d’un bond sur l’épaule de la rouquine et grogna :
« -Maxime, on avait dit qu’aujourd’hui était un jour de congé. CONGE, tu sais ce que ça veut dire ?
-Fiche moi la paix, je fais ce que je veux ! » répondit-elle en remuant l’épaule sur laquelle il s’était perché.
Sur ces mots, elle sortit un carnet et un crayon de son sac -qu’elle avait toujours sur elle afin de pouvoir noter toutes les idées qui lui passaient par la tête- et commença à dessiner rapidement une petite machine dont le mécanisme était semblable à celui de ses rouge-gorge, mais qui revêtait cette fois l’apparence d’une hirondelle. Elle montra ensuite son dessin à Atsuo.
« Regarde, fit-elle toute émoustillée, si tu veux, je peux faire plein de petits Kojiros mécaniques pour distribuer des tracts dans la rue ! C’est super simple, si je m’y met dès ce soir, j’en aurais déjà au moins cinq pour le lendemain ! Cinq ça m’a l’air suffisant pour faire de la pub non ? T’en penses quoi ? »
Elle n’avait plus rien à voir avec la Maxime tranquille et calme qui était entrée dans le restaurant plus tôt. Là, elle ne tenait plus en place, pressée de pouvoir réaliser son projet. Son chat lui fit remarquer par télépathie qu’il allait falloir qu’Atsuo paye ses inventions, alors qu’il n’avait peut-être pas assez pour puisque son restaurant ne rapportait pas encore beaucoup. Elle ajouta donc :
« Et si t’es d’accord, t’en fais pas pour le paiement, t’auras qu’à nous faire ce repas gratuit et on n’en parle plus ! »
Au final, les jours de congés, Light s’en fichait un peu. Son travail ne lui apparaissait même pas comme tel puisqu’elle s’amusait à chaque fois qu’elle inventait quelque chose.