Quel est ce phénomène? - Pv Typhon

Ruth gardait en tête que cet homme la surprenait un peu de part sa façon d'être et de se lui parler comme si il avait toujours mieux à faire, d'autre chose à découvrir, à photographier. L'enseignante ne draguait presque jamais, surtout depuis qu'elle était sur l'île comme si cette dernière lui avait enlever une partie d'elle. La vampire était une amoureuse compulsive et une fanatique de pleins de choses au final. Elle n'était pas non plus une esclave de ces sentiments, et puis quoi encore. Elle restait sur ce banc, une main allant sur son lion qui dormait toujours. Elle savait qu'au moindre danger, il réveillerai sachant que sa lié pouvait se défendre seule. La prof était une guerrière dans l'âme, ses longues années vécues dans le conflit l'avait formée de façon efficace. Il répondait à mes mots sur la photographie, à vrai dire elle avait prononcer ces mots pour étendre son savoir historique. Elle savait qu'elle pouvait être agaçante avec cela. Mais elle était fière de savoir autant de choses, elle était presque imbattable au trivial poursuit, elle avait testé avec ses élèves un bon nombre de fois si bien qu'on lui donnait plus le rôle d'arbitre que de joueuse. Il parlait en siècle, aurait-elle un collègue vampire ? Non, elle aurait reconnu un de ses siens les yeux fermés. C'était donc un mythologique. Un être surnaturel qui n'existait que dans les légendes normalement. Avant d'entendre qu'il avait tout oublié effectivement, mais il était mort une fois, elle venait à se demander si les dieux lui donnerai une seconde chance si elle aussi, elle passait l'arme à gauche, sûrement pas. Elle avait sauvé des gens dans les guerres, comme de nombreuses personnes. Elle voyait l'homme sortir une cigarette, elle préférait boire du sang que de fumer une seule de ces choses. Il disait aimer plus le présent au passé, il est vrai qu'à force, c'était lassant. Surtout qu'on était pas passionné comme la dame l'était. Elle plissait le nez, elle n'aimait pas trop cette odeur.

-Tant que vous ne fumez pas comme un pompier, ça ira, ce n'est pas un peu de tabagisme passif qui va m'achever. Le présent est une chose instantanée. Ce que je dis fera rapidement du passé et ainsi de suite. Vous avez parlez de siècles... Êtes-vous ce que l'on nomme ici une créature mythologique ? Vous auriez été un vampire, j'aurai pu le remarquer avant, je reconnais facilement mes semblables. Je vous vois mal être un dieu. Sans vous vexez.

Ruth était franche, comme souvet, mais elle pouvait mentir, surtout pour le bien des personnes qu'elle appréciait beaucoup, comme Lilith ou Alan ou encore cette gamine qui avait fini par se suicider. Rien que d'y penser Ruth était un peu triste et son lion lui léchait la main. Elle se mit à rire doucement. Elle se disait avec cela elle pourrait plus serrer amicalement la main de cet homme. Elle le regardait tendrement.

-Maintenant, je suis toute baveuse Kovu content.

Il ronronnait, cet enfoiré, elle frottait sa crinière. Essayant de l'embetter, sauf que c'était plaisant pour le félin.

Ruth n'était pas habitué au fait d'être une personne avec qui on pouvait passer du temps, mais elle aimait cela, au moins, cela signifiait qu'elle était inintéressante et cela valait tous les trésors du monde à ses yeux. Elle sourit grandement avant d'entendre sa réponse, un être mythologique, elle ne savait pas si elle devait faire une courbette ou non, de toute façon, elle se voyait mal ployer l'échine, même devant un dieu, alors un mythologique, il pouvait courir. Il remarquait que les dieux ne mourrait pas, du moins elle savait qu'il n'était pas simple d'en assassiner un. IL avait raison, tué un dieu tout façon, c'était suicidaire. Cela voulait dire qu'il était une créature assez dangereux ou un satyre qui se planquait bien. Il disait être en partie mythologique, un serpent. Un reptile assez conséquent. Elle commençait à comprendre pourquoi il évitait son regard. Il devait être un basilic, pas l'épice qu'on mettait dans les plats, non, plutôt l'animal qui pouvait tuer d'un regard, cela fichait un peu la trouille rien que d'y penser. Mais Ruth ne reculait pas. Elle caressait son lion distraitement. Avant de me demander quel vampire elle était. Il y avait tellement de sang-mêlée sur cette île. Elle sourit simplement.

-Une sang-pur, jusqu'au dernière nouvelle, je ne pense pas que ma mère irait se rabaisser à se mêler à autre que feu mon père. Elle est bien trop fière pour cela. Donc je peux transformer les gens en vampire si je le désire, quand bien même j'ignorai le procédé jusqu'à peu. Quand bien même avec cela, je transformerai personne.

Même Lilith, car je n'avais pas la force d'affronter Hadès, le fucking dieu des morts qui avait condamné cette pauvre fille. Comme elle trouvait cela ironique, le dieu des mort ne pouvait l'avoir à ses côtés, mais il prenait ceux dont elle tenait, il ne manquait plus que Alan au tableau. Pauvre gosse. Quand bien même son amour pour les poitrine était assez excessif, elle le trouvait adorable. Puis il lui fallait bien cela pour se distraire un peu. Elle continuais ses caresses sur son animal, si lui, il fumait, elle préférait caresser son lion pour se calmer un peu. Cela fonctionnait plus ou moins. Bien sûr, ce n'était à cent pour cent infaillible. Elle n'était pas dérangée par la fumée, après tout, elle avait aimé un fumeur avant qu'il la trompe. Plus jamais un type accroc à ces choses, elle se l'était promis, cela fonctionnait aussi pour les filles.

-Un basilic, si c'est comme dans Harry Potter, je veux bien croire qu'il soit très grand. Comme je ne peux pas parler Fourchelang, je vais éviter de croiser votre forme animale. Mais cela vous a donné l'opportunité de traverser le temps. Quand bien même vous vous souvenez pas.

Ruth rit doucement. Une mémoire vide voulait dire qu'elle pourrait se remplir de tout ce qui se passait, tout ce qu'on lui disait. C'était à la plaisant et effrayant pour la vampire comme idée, elle était très bien avec sa mémoire et son passé.

Ruth avait sûrement trop vite, car elle pouvait entendre dans la voix de cet homme de l'incompréhension, bien sûr, il avait perdu la mémoire, il ne pouvait pas se souvenir d'un livre pour adolescent, quand bien même elle l'avait lu adulte pour comprendre ses élèves, oui, la sang-pur n'aimais pas trop pas trop le fait qu'elle ne capte pas les discussions de ses chère tête blonde, donc elle avait lu ces bouquins, elle les avait trouvé bien fade, surtout concernant sa race. Il y avait qu'un vampire dans le deuxième tome, accompagné d'un pète-cul devenu amnésique par la suite, un peu gros comme coïncidence c'était dans ce même livre que l'on voyait le basilic. Le fait est qu'il comprenait pas la référence littéraire, la vampire était un peu troublé de cela. Après son incompréhension, elle faisait face à homme conscient des douleur que nos années d'immortalités pouvais engrangés. Elle connaissait ses douleurs, elle ne pouvait pas les nier tout ceux à qui elle s'attachait mourrait, c'était un fait. Elle serrait son poing, elle repensait à son ancienne élève, à son espagnol et tout ceux qu'elle avait porter dans son cœur, même la mère d'Alan. La dame gardait son sourire cependant, ce n'était pas si elle avait choisi d'être imperméable au temps qui passait devant ses yeux.

-Vous avez raison en presque deux siècles, j'en ai vu des morts, mais je m'attache encore à des gens formidable, je m'amuse avec eux, je vis avec eux leur présent. Pour une fanatique d'histoire, je renie un peu celle qui me fait souffrir. Notre immortalité n'est pas notre faute, on peut mourir si on le souhaite, mais hors de question que je me donnes la mort, et puis quoi encore ? Je n'aime pas voir les gens mourir, mais je ne vais pas sombrer dans une dépression pour eux. Garder les bons souvenirs est ma solution. Même si certaines morts marquent mon esprit. Excusez-moi pour la référence littéraire, ces gamins dont je m'occupait aimait cet ouvrage.

Ruth avait dit un tas de choses vraies, elle parlait avec mélancolie et une certaine fierté. L'enseignante était une personne fière qu'importe les moments et la situation. C'était une personne qui avançait, bien sûr elle pleurerait la mort de Liltith, elle s'en voudrait sûrement de n'avoir pu rien faire pour elle. Elle aurait sûrement besoin d'alcool et d'une présence à ses côtés, ce qu'elle pouvait remercier son affilié d'être là. Car elle doutait trouver quelqu'un à mettre dans son lit de sitôt. Elle grattait le félin avec un sourire, ce dernier ayant entendu ses pensée lui disait mentalement qu'elle ne devait pas perdre espoir, que l'amour depuis le temps qu'elle vivait, elle devait savoir que cela ne se commandait pas. Elle pinçait son lion, il avait raison. Il baillait, il avait l'habitude qu'elle le maltraite parfois.

-On change tout de même pas physiquement, sûrement mentalement. Ces personne croisée façonne indirectement notre caractère. Si je suis comme je le suis, c'est en partie grâce à ces gens. Je suis sûre que vous rencontrerez des gens formidables.

Ruth était sage, oui, mais elle n'avait pas le savoir infini, de toute façon elle ne le voulait, elle trouverait les choses ennuyeuses à force. Si il y a bien quelque chose qui l'emmerdait au plus haut point, c'est bien cela. Elle s'amusait plus à trouver ce qui n'allait pas que l'inverse, c'est aussi pour cela qu'elle aimait l'histoire, tant de versions différentes devant les yeux des gens, c'était quelque chose de dingues. Même elle qui avait vécu la guerre, n'avait rien vu des camps de concentration et heureusement d'ailleurs. Elle sourit à cet homme, il avait connu la douleur de la mort, elle entendait dans ses mot, dans le timbre de sa voix, les gens qui côtoie la mort sans trop la toucher ont ce ton quand il parle des gens partis. Ils manquent toujours, mais comme on ne peut tuer facilement ceux que l'on est, on ne peut faire revivre les gens que l'on aimait. Elle écoutait son histoire, car elle aimait les histoire, même les plus utile, déformation professionnelle sûrement. Il disait des choses censées. Elle tapotait son épaule compatissante. Ce mec ne voulait plus de sa mémoire, sûrement car comme cela était moins dur pour lui.

-Vous avez raison, mais attention à ne pas répéter vos erreurs. Cela serait bête autant pour vous que pour les personne qui compteront. On ne peut s'empêcher de se socialiser, à part si on sociopathe, là ce n'est pas de mon ressort et vous en aviez pas l'air. Comme on le dit, l'habit ne fait pas le moine.

Ruth pensait à ses prête qui dévastait les enfants, elle avait envie de les démolir, comme sa mère avait tué quelques uns sûrement à son époque à cause des persécutions des femmes, comme elle en était une. Sa mère était pire niveau fierté. Elle gardait son sourire, qu'il vive dans le présent, c'était vision utopiste et assez bien de sa vie. Là il pouvait se reposer sur ce qu'il voyait, ses impression sur ce qui se passait dans ses yeux, quand bien même elle pourrait tuer les gens ou les oiseau qui croiserai son regard. Mais il fixait un point sans vie animale, juste végétale. Il pied ordinaire, pouvait marcher, tant que les yeux se croisait pas, ce qui expliquait ses lunettes teintés, bien qu'un peu étrange. Tout cet homme criait originalité. Il rit doucement avant de frapper amicalement.

-Je t'aime bien, tu est un type bien mon gars, vivre le présent, plein de gens te dirons que c'est le mieux à faire. Au moins on se soucie de moins de choses. C'est une technique en toute somme valable.

Ruth était heureuse, au moins son détour à Chloris lui avait du bien, elle était plus faible qu'elle le croyait mentalement. Elle ne sentait pourtant pas quelqu'un d’excessivement faible. Elle avait vu eu de quoi avoir son moral plus haut. Bon maintenant qu'il était monté, hors de question qu'elle le laisse descendre facilement. Elle était plus forte que cela, elle n'était pas le genre à se laisse faire même par elle-même.

Ruth passait un agréable moment, à n'en pas douter. Après elle parlait bien plus que lui, c'était une certitude qu'elle ne pouvait pas retirer. Même si il mettait du sien, la vampire était une sale bavarde, elle le savait bien. Elle poussait un soupir, au mins, ils s'étaient trouvés des sujets pour moins s'ennuyer, ce n'était pas rien tout cela. Il parlait de sa vie, de cet accident sur un lac gelé qu'il avait pensé solide, elle frissonnait de tout son long, elle s'attendait pas à ce que le jeune homme ou pas, du moins en apparence, il était. Soit mort aussi bêtement. Elle sentait sa gorge se serrer.Au moins ses mots semblaient lui faire sourire. C'était quelque chose de très positif. Elle l'écoutait d'une oreille attentive ses mots, il l'aimait bien aussi, sans rien penser de plus, elle n'avait pas besoin de cela de toute façon. IL avouait que l’enseignante était quelqu'un de vivant et heureusement d'ailleurs, elle n'allait pas déprimer pour rien, bien sûr sa vie n'avait été toute rose, mais chaque personne avait son parcours, elle se sortait plus forte du sien. Il lui demandait où elle vivait, c'éytait une question simple et compliqué, il lui demandait dans quelle rame historique elle se trouvait. Elle riait un peu.

-Cela dépends des moment, quand je suis au boulot ou que je me plonge dans un livre, je vis dans le passé, c'est mon travail, quand je parle à mes élèves, je pense plus à l'avenir, quand je suis seule, je suis plus encrée dans le présent. Disons que les trois font partie de ma vie, elle s'équilibre très bien pour ma part. Sinon, je vis dans une maison, mais bon, cela ne vous intéresse guerre. Ce qui est important c'est dans quelle trame ma placer, étant vampire, je suis passé, présent et futur. J'ai vécu nombre de choses, elle m'ont rendue ce que je suis actuellement.

Ruth souriait toujours, elle jouait doucement une mèche blonde se ses cheveux, évitant un peu de croiser le regard directement de ce garçon. Je me rappelait qu'il était dangereux que je le fasse quand bien même la politesse exigeant qu'on se regarde, c'était embêtant comme pouvoir. Il devait en baver tout les jours avec ce dernier, toujours caché ses yeux ou les mettre devant des verres teintés, c'était vraiment pas une vie qu'elle ne pouvait pas s'inventer pour elle-même. Elle secouait sa tête. Elle souriait avant de poser sa main sur son menton. Elle était contente.

-Après c'est quelque chose de personnel. C'est à nous de savoir ce qui est bon pour nous, les choses peuvent nous blesser, passé, présent ou avenir, suffit de faire avec. Tout est question d 'équilibre, ce monde ne tiens pas à grand chose, le déséquilibre peut apparaître n'importe quand.

Ruth ne se prétendait sage, elle n'avait qu'une partie du savoir, elle s'en servait par moment, surtout pour le boulot, mais comme la question de cet homme était philosophique, elle avait répondu dans ce sens là. Elle espérait juste qu'il comprenne.