Re: I Want you more - Feat Déio | Sam 22 Nov 2014, 22:27
I Want you more
Déiopée & Eole
Son rire est frais, je veux encore l'entendre, plus ses pleurs, juste ces rires. Ce que je dois faire pour cela c'est rester mettre du piment, combien de temps avant que je me lasse ? Je ne sais plus. Je voulais lui être fidèle pas seulement pour ces six mois, je voulais aussi prouver les dires de ma cousine, moi aussi, je pouvais aimer, pas toujours de la même façon, mais c'était possible. Je regardais sa peau si pâle, ses formes si belles. J'avais beau être son homme depuis moult années, elle restait la même c'est cela qui me gênait le plus, j'aime le changement, c'est pas nouveau. J'écoute ses mots, elle portait le parfum du lilas pour me signifier que j'étais à elle, pour l’éternité dans son cœur, bien que le cœur soit un muscle, mais l'idée était là. Je souriais. Elle était toujours aussi éprise, je regardais ses lèvres pulpeuse, mais pas trop, juste ce qu'il faut pour me plaire. Elle se laisse faire, qu'importe si nos corps dévêtus se collent. Elle aime mes gestes, je l'ai vu et entendu dans ces soupirs. Je souriais. Elle voulait bien que je la lave, je vais la toucher à nouveau, seulement, je vais la voir, la découvrir, ses formes, ses défauts, j'aimais déjà cette idée. Elle lançais une pique méritée sur mon comportement volage. Je grimaçais légèrement. Je regardais ses yeux, puis sa main vint s'occuper de ma chevelure de feu. Puis une pression se fait dans ces derniers, ses lèvres viennent se poser sur les miennes, les entrouvrant m'offrant là un accès à mon futur bonheur. Je l'embrasse, ma langue allant jouer avec la sienne quelques instant, je me sens comme en plein ciel, c'est tellement exquis. Comment fait-elle pour me procurer cette sensation après tout ce temps, toute cette peine causée. Je continuais un moment avant de me séparer d'elle, le souffle un peu court, mes joues rougies par le plaisir. Je peux affirmer à tous que ma Déio sait me décoller, mieux que n'importe quel mortel homme comme femme. Cette sensation, je l'avais plus eue, la dernière fois que je l'avais embrassée, c'était pas si intense. Je la regardais et souriais avant de saisir son menton. Mes yeux plongeant dans les siens, l'eau coulant sur nos corps.
-Te voir entière dans cet endroit et m'embrasser me donne encore plus envie de me lancer dans ce pari. Je ne sais pas comment tu fais, mais tes baisers sont si légers que je me sens dans les nuages, comme lors de mon premier vol, excitation, peur et surtout de la joie. Déio, ma belle, notre dernier baiser ne fut pas si intense, je regrette à présent. Notre lit risque d'être très animé ce soir sans passer aux choses sérieuse, crois-moi, j'ai un tas d'idée toutes assez farfelues.
Je glissais mes mains sur son corps la lavant sensuellement, mes gestes étaient doux empruint d'une certaine envie, sentiment que laissais brûler dans sa poitrine, je n'irait pas jusqu'à m'unir ce soir, on venait de se revoir depuis trop longtemps, j'avais encore le temps de le découvrir comme il se doit. Bien qu'elle pouvait oublié pour qu'on le fasse dans le noir. Je voudrais sûrement la voir, capter toutes ses réactions, ses mimiques, ses soupirs et ses sourires, je voulais tout redécouvrir. Les meilleurs moment de notre mariage serait nos premiers moments et les jours futurs. Je caressait ses formes les enduisant de savon. Je la lavais toujours, seulement voir sa peau laiteuse briller sous le savon avait un côté presque enchanteur, elle brillait presque.
-Tu es magnifique, ma belle. Si ton cœur m'appartiens, J'en suis heureux, car une femme si belle que toi me serai bien volée, je savais que tu étais belle, tu l'es d'autant plus quand tes sourires t'illumines, quand tes joues se colore de rouge et tes yeux pétillent d'envie. Je veux voir toutes ces choses que j'ai ratées, la prochaine fois que nos corps s'uniront, je veux la lumière, te voir entièrement. Te découvrir, ça me promet de long moment de plaisir.
Je lui souriais, me laissant faire aussi, je la lavais, mais l'inverse était aussi possible. Je sais que ce moment dans la douche pouvait durer, on devait juste se laver, mais nos corps voulaient se découvrir. Ce qui rendait mes gestes si hasardeux par moments.
(c) LADY PATPAT
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Re: I Want you more - Feat Déio | Sam 22 Nov 2014, 23:28
I want you more. « Fais-le t'aimer comme toi tu l'aimes. »
feat. Eole
Un baiser.
Tu lui as promis un baiser censé lui faire perdre la tête. Seulement, c’est toi qui perds la raison, Déiopée. Tu fonds totalement, dans ses bras, dans sa bouche. Ta langue se mêle à la sienne dans une symbiose parfaite, vos corps se collent, tes mains se perdre sur sa peau, rependant la mousse du shampoing qui colle tes doigts sur son corps si parfait. Tu te laisse aller, t’abandonne à lui, complètement. Tu sais que dans d’autres circonstances il t’aurait plaqué contre la paroi de la douche après un tel baiser, mais il ne te fait rien. Il te respecte. Tu ne peux que lui être reconnaissante pour ça. Tu inclines la tête sur le côté pour profiter de l’échange et le rendre le plus intense possible. Quel bonheur tu éprouves. Vous êtes mariés depuis longtemps, vous avez des enfants, il t’a été infidèle. Pourtant votre couple ne semble pas se perdre, tu aimes toujours autant l’embrasser comme ça. Un vrai renouveau pour votre amour qui sera peut-être eternel, cette fois. Tu feras tout pour qu’il ne se lasse pas. Tout pour qu’il ne voit plus que pas toi. Pour être son idéal, son essentiel, la seule qui hante son esprit. Comme il hante le tien, comme il habite ton cœur depuis ce quatorzième jour.
L’échange prend fin. Tu tends légèrement le visage, comme pour garder tes lèvres contre les siennes, encore un peu, rien que quelques secondes. Tu dois pourtant te faire une raison et rouvre les yeux pour le regarder. Tes joues sont rouges. Tes yeux pétillants d’amour, brûlants de désir. Tes lèvres sont humides, moins à cause de l’eau de la douche que ce baiser si fougueux et, tu penses bien, plutôt baveux. Ton souffle est court, tu halètes. Tes épaules remuent au rythme de ta respiration saccadée. Il y avait bien longtemps que tu n’avais pas eu de baiser aussi intense, et tu as quelques difficultés à retrouver un rythme respiratoire normal. Ton cœur lui, par contre, t’a lâchée depuis un moment. Il tambourinait dans sa poitrine depuis qu’Eole était entré avec toi sous la douche, et ne s’était pas calmé depuis. Il te prend le menton et te soulève le visage, pour que tu le regardes dans les yeux. Il te sourit. Tu lui souris aussi. Et tu l’écoutes, avec plaisir, te complimenter sur ta manière de l’embrasser. Alors comme ça, tu lui as fais perdre la tête, finalement ? Tant mieux, car c’est toi qui l’a le plus perdue, dans l’histoire. Ses derniers mots te font sourire, avec malice.
- Je suis ravie de savoir que mes baisers te font de l’effet. La dernière fois il n’était pas si intense tout simplement parce que ce n’était pas un baiser d’amour. C’était juste un échange, comme ça, pour que tu ailles mieux. Mon ange, je t’embrasserais de cette façon autant que tu le voudras. Je t’aime tellement.
Impatience.
Il y a bien longtemps que tu ne l’as pas appelé « Mon ange ». Tu réserves ce surnom affectif pour les occasions spéciales, les moments où il le mérite. Et tu estimes qu’il le mérite, en ce moment, alors qu’il s’offre entièrement à toi. Tu l’aimes comme une folle. Tu crois aveuglément à ses promesses. Peut-être te ment-il ? Tu refuses d’y croire. Tu veux avoir confiance en lui. Il t’a promit de t’être fidèle. De t’appartenir. Et tu lis dans ses yeux qu’il dit vrai. Il te lave, non sans te caresser avec sensualité. Tu te pinces les lèvres et garde ton corps collé contre le sien. Toucher sa peau t’apaise. Le caresser te rassure. L’embrasser te soulage. Il panse toutes tes blessures en quelques mots et un baiser. Tu ne veux pas lui offrir ton corps ce soir, mais tu ne vas pas non plus le bouder. Bien au contraire, tu compte garder entre vos corps la proximité la plus intense, celle qui est la frontière entre la chasteté et l’union. Peut-être veux-tu le frustrer afin qu’il ait envie de toi ? Il te désire et tu le sais. Et tu le désire tout autant.
Retiens-toi, encore un peu.
Ta peau luit sous tant de couche de savon, chacune étant une excuse pour une caresse toujours plus désireuse. Tu ne tardes pas à te mêler à son jeu, enduisant son corps de savon. Tu redécouvres son corps en entier, gardant pourtant la frontière qui se dessine un peu en dessous de la taille. Pour toi, pas question d’aller plus bas, pour le moment. Tu soupires chaque fois que ses mains passent sur ta poitrine ou sur tes fesses, une sorte de gémissement étouffé que ta fierté t’empêche de pousser. A nouveau, il te complimente. Et à nouveau, tu rougis. Il n’a de cesse de te dire que tu es belle, ce soir. Cela te fait un bien fou. A sa demande, tu hoches la tête.
- Tu es beau aussi, mon Amour. Plus beau que ce que tous les Dieux m’avaient promis. Plus beau que le ciel est immense, plus beau que l’Océan est profond, plus beau que le bonheur est grand. Te voir sourire me rend plus heureuse que c’est possible. Et ta voix qui me dit que je suis belle, qui me dit que tu m’aimes, c’est plus de bonheur que je n’aurais jamais pu l’espérer. La prochaine fois qu'on s'unira, j’allumerais la lumière, c’est promis. Je veux aussi te redécouvrir tout entier. Tu seras tout à moi.
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Re: I Want you more - Feat Déio | Dim 23 Nov 2014, 09:07
I Want you more
Déiopée & Eole
Je la regardais ses yeux étaient emplis d'amour, ce sentiment que je connaissais assez mal tout compte fait, j'ai aimé ma femme comme un fou, là j'apprends à l'aimer après toute mes aventures, toutes mes tromperies, je ne regrette pas de l'avoir fait car j'ai eu des enfants formidables. Des gosses dont je suis extrêmement fier. Je ne pouvais pas les oublier, ni les renier, elle devrait s'y faire, elle m'avait pardonné, c'était tout ce qui comptait. L'instant présent prenait toutes mes pensées. Ses sourires la rendait irrésistible, ses joues rouges me faisait fondre et je voyais bien qu'elle n'avait pas fini de me surprendre. Je m'en réjouissais d'avance. Je l'écoutais en caressant ces cheveux presque noirs, elle disait que notre dernier échange avant celui-ci n'était qu'un échange de bons procédés. Je l'observais. Elle était sérieuse ? Je penchais la tête. Cette femme n'avait pas fini de me surprendre aujourd'hui comme demain, je devais être à la hauteur. Frustration, voilà le mot qui m'animais ce soir. M'unir à elle était impensable ce soir, mais je sais que ma résolution partirait demain matin. Surtout si elle le réveillait avec ce baiser. Celui qu'elle m'avait donné, il y a quelques instants. Je sentais ses mains glisser sur mon corps, respectant la distance sur les parties plus personnelles, plus qu'envieux, je retenais un soupir ou un grognement, sauf que je ne voulais pas la faire mienne ce soir, c'était son jeu de séduction qui me faisais brûler les étapes. Combien de temps étais-je parti pour qu'elle ai ce genre de pensée, j'étais envieux, je sais que cette envie si ne l'accomplissais pas ce soir, parce que j'étais trop fier. L’orgueil, voilà ce qui me permettait de tenir face à cette tentation. Elle me complimente à son tour, je souriais doucement. Elle n'avait pas les mots pour atteindre ce qu'elle ressentait, je le voyais dans ces yeux. Elle acceptait ma proposition de nous unir sous la lumière, je verrai tout son être s'enflammer pour moi, un frisson d'envie monte le long de ma colonne vertébrale. Elle me veux tout entier, je serai à elle durant six mois, sûrement plus si elle me fait toujours autant d'effet, je me lasserai pas si vite. Elle serait à moi seul, elle l'était déjà, mais elle le serait encore plus. Je rinçais son corps sous l'action de la douche. J'allais dans son cou, pris dans un coup de folie, mes lèvres se mettent à sucer sa peau délicate et la marquer d'une tâche violette. Fier de mon résultat, je le regarde et le garde en mémoire.
-Qu'importe ta beauté et la mienne, Déio, la seule donnée qu'on doit retenir pour le moment, c'est notre amour. Ton amour est plus profond que le mien, je le sais, je ne demande qu'apprendre à t'aimer de la même façon, ne me force pas, tu sais comme je me braque parfois. Laisse-moi le temps, après tout nous avons l'éternité pour nous redécouvrir, tes baisers ne sont que le commencement, un nouveau chapitre viens de commencer, je vais découvrir ce que les pages suivantes me réserve. Ma Déio, ma promise, ma seule femme après tout ce temps.
J'embrassais doucement sa main, toujours doucement, mon sourire se fait malicieux. Je sais ce que je ressens pour elle pour le moment, beaucoup d'envie, un peu d'affection, celle que j'avais perdue toutes ces années, je sens que l'avoir à mes côtés pour respecter mon pari sera des plus amusant, mais aussi frustrant, je ne suis pas le genre d'homme à unir son corps pour un oui ou non. J'apprécie l'union des deux corps, il n'y aucun doute, mais j'avais cette peur. Celle qui me retenait encore et toujours, celle qui m'avait fait marié nos enfants. Je caressais son corps doucement. Elle avait l'air si délicate, pourtant je connais son caractère, je l'aimais et la détestais pour cela. Je ne veux plus la haïr, pas maintenant, juste l'aimer. Je venais l'embrasser lentement, j'aurai pu être plus fougueux, mais là, je n'en avais aucune envie. J'avais besoin de ses épaules ce soir, pas de notre union.
-Lave mes doutes, ma chérie, toi seul sait combien me tourmente. Ma Déio, serre-moi encore. Sortons de cette douche et allons nous coucher. Le lit n'est pas la fin, c'est le prologue du chapitre suivant.
(c) LADY PATPAT
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Re: I Want you more - Feat Déio | Dim 23 Nov 2014, 16:01
I want you more. « Fais-le t'aimer comme toi tu l'aimes. »
feat. Eole
Un soupire.
Tu ne peux qu’en lâcher un, un bien explicite tandis que ton homme s’occupe de ton cou. Tu le tends pour lui laisser la place d’œuvrer. Ses lèvres sucent, ses dents mordent, sa langue lèche. Il a toujours su te marquer à la perfection, poser sur toi ce qui signifiait que tu lui appartenais. Peut-être une manière pour lui de se rassurer, d’être sur que tu ne t’échapperas pas. Tu ne trouves pas ça injuste ? Qu’il batifole de tous les côtés et qu’il t’interdise de faire de même ? Non, ce n’est pas injuste. Non, il ne t’interdit rien. C’est simplement une question de morale pour toi, tu es mariée, et tu te dois d’être fidèle. C’est ainsi, il ne t’a jamais emprisonnée. Tu glisses tes doigts sur le suçon qu’il vient de te faire, dans une sorte de caresse qui prouve à quel point tu apprécies le geste. Tu souris, presque bêtement, tant tu es heureuse. Il est à toi, pour six mois minimum. Et tu feras tout pour que de six mois il aille à l’éternité. Même si tu dois pour ça te casser la tête à trouver comment le surprendre, comment lui plaire, comment ne pas être redondante et lassante. Mais peu importe, tu trouveras. Tu puiseras tes idées dans l’amour que tu lui portes. Sans te départir de ton sourire, tu lèves les yeux vers lui, tu l’écoutes. Avec attention.
- Jamais je ne te forcerais, mon ange. Je sais que l’Amour peut parfois être long à se manifester. Mais j’ai confiance, tu m’as aimée autre fois, je sais que tu pourras m’aimer encore. N’est-ce pas ? Nous écrirons ce nouveau chapitre, ensemble.
Tu te grandis à nouveau, pour lui embrasser la joue. Presque sur les lèvres, mais pas tout à fait. Et il t’embrasse à son tour, dans une tendresse infinie, sans fougue ni gourmandise. Une autre intensité de baiser qui n’est calculable que par l’amour qui y est partagé. Tu fermes les yeux, glisses tes bras autour de son cou pour t’agripper à lui. Tu tombe, ainsi contre ses lèvres, tu tombes dans les méandres de tes sentiments infinis. Tu as eu plus de baisers en une soirée que depuis des années, et retrouver les lèvres de ton homme est si agréable que tu pourrais pleurer. Mais tu ne pleures pas et te contente de remuer tes lèvres contre celles de ton homme, sans y mêler ta langue, cette fois. Il te quémande de la douceur, et tu lui en offriras autant qu’il le souhaite, autant qu’il en a besoin. Tu es son appui, son réconfort, tu le sais. Ce n’est pas la première fois qu’il vient te voir quand il a mal. Quelque par, au fond de toi, tu le sais, qu’il t’a toujours aimée, quelque part. Il revenait vers toi chaque fois qu’il allait mal. Même ce soir tragique où il a perdu cette autre femme qu’il aimait, c’est dans tes bras qu’il a pleuré. Vos lèvres se descellent, il t’implore une autre demande. Celle de sortir de la douche pour aller vous coucher. Tu hoches la tête, sans un mot. Et tu éteins l’eau chaude pour sortir de la douche.
Le froid.
Tu as souvent tendance à oublier à quel point la différence de température entre la cabine pleine de vapeur d’eau et le reste de l’immense sale de bain est grande. D’autant que tu viens certainement de prendre la douche la plus chaude de ta vie. Tu grelottes, claques des dents. Tu saisis la première serviette qui passe, t’emmitoufle dedans. Puis tu en prends une autre et entreprend de sécher ton mari avec. Tu lui frottes les épaules, les bras, le dos et le torse, encore une fois sans oser descendre plus. Puis tu t’attaques à ses cheveux, les lui séchant avec vigueur pour le laisser avec cet air de s’être coiffé avec des explosifs. Tu ris. Il est adorable, comme ça. Une fois secs, tu glisses à nouveau ta main dans la sienne, entrelace vos doigts, et le conduit à ta chambre.
Votre chambre.
Depuis qu’il est parti, tu as du refaire la décoration de cette pièce six fois au moins, ce qui fait qu’il y a ça et là, quelques objets du thème précédent, le tout rendant une sortes de bazar organisé et mélangé. Tu observes la pièce et sourit, il aimera certainement cette nouvelle décoration qui te ressemble. Un thème doux et fleuri, qui sent le printemps. Tu as d’ailleurs mis quelques lilas, ça et là, qui embaument la pièce sans que leur parfum ne soit trop pesant. C’est juste ce qu’il faut. C’est juste comme tu aimes. Alors que tu t’apprêtes à retirer ta serviette, tu te souviens brusquement que tu n’as jamais aimé dormir habillée. Même les premières années de votre mariage, tu étais toujours dévêtue, dans ses bras, même quand la nuit était calme. Pourtant vous avez eu de nombreuses nuits agitées. Comment le prendra-t-il, alors que tu comptes encore lui dévoiler ton corps ? Tes joues chauffent. Tu ne changeras jamais totalement. Alors tu te glisses sous les couvertures en gardant ta serviette. Tu te caches sous les draps. Et tu retires le seul tissu qui masquait ton corps, une fois bien camoufflée, en le regardant dans les yeux, non sans un air quelque peu aguicheur.
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Re: I Want you more - Feat Déio | Dim 23 Nov 2014, 17:19
I Want you more
Déiopée & Eole
Je passais un moment purement tendre, par Zeus, j'en avais réclamé un sans obtenir totale satisfaction. Pas que j'étais difficile, loin de là, mais j'aimais certaines choses un moment, celui d'après je les détestais. Il fallait s'adapter avec moi. Je voyais son sourire, elle était heureuse, c'est tout ce qui comptait, la voir triste était pas très joli à voir. Je la regardais ses yeux exprimant que son amour, elle était mignonne, ma femme, la plus adorable qui soit, elle était mienne, pour ma vie entière, donc l'éternité, ça faisait un peu peur, mais c'était un défi impressionnant que je me devais de relever, pour au moins six mois. Je souriais doucement. Elle ne forcerait pas, c'était déjà cela de gagner. Mais je l'avais aimé avant, cela pouvait revenir, si il y a une chose que j'ai compris en observant les mortels, c'est que certaines choses reviennent encore et toujours, donc mon amour pour cette personne n'était pas éteins, juste endormi, je me devais le réveiller de sa léthargie. Je riais doucement, elle reprenait mes mots, c'est vraiment adorable. L'embrasser me faisait plaisir, je sentais mon cœur battre pour elle à nouveau. Je la serrai doucement contre moi, aucune violence, rien que douceur et patience. Elle est là pour effacer mes peines, par ses gestes, non par son pouvoir, je ne veux pas la voir souffrir, je sais qu'elle a mal à chaque fois qu'elle l'utilise. L'eau cesse de couler sur nos corps, je sortais doucement, l'eau coulant le long de mes muscles. Je m'entourai alors d'un cocon chaud , ma femme prends la solution des serviettes. Elle m'essuie bien que la chaleur que je dégage pour ne plus avoir froid risque d'avoir fini son boulot, je la laisse faire, elle coiffe mes cheveux, ils ont l'air tellement décoiffés par le vent, qu'ils sont indomptables. Elle me sourit, elle est belle, je lui ai déjà dit, mais ce n'était que plus vrai dans ces moments dont j'étais le seul témoin. Elle me conduisait dans la chambre, tellement différente de la salle de bain, on sentait qu'une personne y vivait, je sentais mon cœur battre la chamade. Elle hésite un moment avant de fuir sous les couettes pour dormir nue. J'avais presque oublié qu'elle dormait ainsi. Je réfléchis rapidement, point gêner par ma nudité, je venais la rejoindre dans le lit. La pièce autour de moi était tellement personnelle. J'allais me coller contre elle mon corps nu contre le sien et tenter de la faire rire sous es doigts taquins. Elle m'avait un peu allumée, maintenant, elle devait assumer les conséquences. Je la regardais sérieusement tandis que mes mains tentais de la faire rire avec des chatouilles. Je continuais un moment.
-J'aime cette pièce, on voit que quelqu'un y vit, c'est tellement moins barbant que le reste. Je suis fier de toi, ma Déio chérie. Mais ne crois pas que j'abandonne, je vais te faire rire. Crois-moi j'ai de bon doigts pour te faire rigoler ma belle. Prête ou non... La nuit viens à peine de commencer.
Je la regardais avec un sourire malicieux. J'embrassais ses joues avant de faufiler mes mains pour explorer son corps, je trouverait l'endroit qui l'as fait rire, par Zeus, même si je dois y passer toute ma nuit à le faire. Je riais doucement, la toucher était plaisant, sa peau était douce, je sens que notre future union le sera tout autant, car nos corps s'uniront à nouveau. Pas dans l’immédiat, mais bientôt, j'avais envie avant cela découvrir ce que j'ignorai d'elle c'est à dire quand même beaucoup. Après, je pouvais changer d'avis. Après tout je suis comme le vent. Je passais une de mes mains dans ses cheveux, si longs que je ne voulais pas les mesurer, ils avaient poussés depuis la dernière fois. Un flash vient à moi, elle avait eu les cheveux courts, certes, elle était belle comme tout, mais ses cheveux longs lui allait bien mieux. J'embrassais le sommet de son crâne. Gratouillant, cherchant la faille qui sortirait pas un soupir, mais un rire, ceux que je n'ai plus entendu depuis trop longtemps. J'allais réussir, j'étais aussi têtu qu'elle quand je le voulais. Mes mains allient partout suf les parties plus intimes, je le trouverai, foi d'Eole.
(c) LADY PATPAT
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Re: I Want you more - Feat Déio | Sam 06 Déc 2014, 18:36
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feat. Eole
Un frisson.
Il parcourt tout ton corps, ton échine entière dans un frémissement que tu n’as pas eu depuis bien longtemps. Ce n’est rien qu’une caresse, rien qu’un contact, pourtant. Celui de ton corps nu contre celui de ton mari, sans eau, sans la chaleur étouffante de la cabine de douche ni la sensation poisseuse du savon gras qui s’engouffre par tous ses pores. Il n’y a plus que toi et lui, vos corps secs et chauds l’un contre l’autre, épousant les draps soyeux. Car tu es coquette, et pour le bien te ton grain et de ton teint, tu ne dors que dans des draps en soie. Puisque tu passes tes nuits seule et nue dans ces draps, tu aimes les sentir caresser ta peau, comme si la présence d’un autre être parcourrait ton anatomie de ses doux doigts affectueux et tendres. Pourtant rien ne vaut la tendresse des bras de ton homme, tu le sais, et c’est certainement pour cela qu’après une nuit comme celle que tu t’apprêtes à passer, tu ne pourras plus jamais le laisser partir. Tu ne le supporterais pas une nouvelle fois. Et s’il venait à s’échapper encore, tu supplierais certainement tous les dieux de mettre fin à ton existence. Plutôt mourir, que vivre une existence éternelle, trop vide d’un manque d’amour. Et tant pis si à ce moment là, tu le feras souffrir. Il t’a suffisamment fait de mal, non ?
Qu’importe.
Pour l’instant, tu ne veux que profiter du moment présent. Alors que tu fermes les yeux, soupirant pour exprimer ton bien être, voilà que les mains de ton mari se font baladeuses. Croyant d’abord qu’il va se tenter à tes caresses coquines, tu te reprends bien vite, constatant qu’il s’amuse à te chatouiller. Tu as toujours été très sensible à ça, après tout tu es une nymphe, très joueuse. T’amuser est très simple et le jeu est ta nature profonde. Tu te mets donc à rire, à gesticuler entre ses bras. Il ne lui a pas fallu longtemps pour trouver tes zones sensibles, d’autant que tu es bien plus réceptive, puisque c’était lui. Tu calmes tes rires le temps de l’écouter te complimenter. Tu souris, heureuse, et glisse tes doigts dans ses cheveux roux pour les agripper.
- Je suis heureuse que tu aimes cette pièce, car je compte bien t’y faire passer toutes tes nuits jusqu’à la fin de l’éternité. Le séjour est tout aussi vivant, mais tu n’as pas du y faire attention. Tu verras cela demain. Et je suis prête à démarrer cette nuit, mon amour.
Sur ses mots, tu lui saisis les poignets. Habilement, avec toute la grâce dont tu es capable, tu le plaques contre le matelas et ne te gêne pas pour lui lancer un regard quelque peu aguicheur. Une fois l’homme allongé, tu te hisses sur lui, le chevauches sans te soucier de ta nudité. Même si cela te gêne un peu au fond, tu t’en moques et préfères t’occuper du cas du Dieu des vents. Tu laisses donc tes doigts glisser sur son corps à présent sec, avant de te mettre à le chatouiller également. Une sorte de petite vengeance, tu cherches également le point sensible qui le fera rire, tout en t’allongeant quelque peu sur lui pour laisser ta poitrine se coller contre son torse. Ses yeux t’happent et te noient en eux, tu souris. Tu t’approches, frôle ses lèvres des tiennes, mais encore une fois, tu ne l’embrasses pas et te redresse pour te remettre à le chatouiller. Tu le fais volontairement languir, certainement jusqu’à votre prochaine union. Tu veux qu’il te désire, toute entière, jusqu’à ce qu’il ne puisse plus tenir.
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Re: I Want you more - Feat Déio | Dim 07 Déc 2014, 10:29
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Déiopée & Eole
Je voulais la voir rire, sous mes mains, ce n'était pas grand chose, mais j'avais besoin d'un peu de joie après tant de peine que j'avais vécue. Je trouvait réconfort auprès d'elle. Moi qui avait tout fait pour l'éviter, je prenais en pleine face mon besoin d'être à ses côtés pour l'aimer entièrement et surtout pour me sentir entier. J'étais un bel idiot d'avoir éviter la plus belle chose qui m'est arrivé. Son rire était comme l'évidence qui me tombait dessus. Il était magnifique, si plein de vie. Il me faisait chaud au cœur. Elle était toujours la même, parfois ça m'agaçait , mais cette stabilité m'apportait ce qui me manquait. Peut-être pour cela que j'avais mis en gage ma fidélité pour elle. Aphrodite m'avait donné une idée, je comptait la suivre jusqu'au bout, jusqu'à ce qu'elle me lasse. Elle parlait de la pièce, si vivante, celle que j'aimais plus que tout. Possessive, elle disait me faire passer mes nuits pour l'éternité dans ses draps de soies, je riais un peu. Elle ajoutait que le salon était vivant, trop pris dans ce qui me rongeait, je n'avais rien vu. Je m'étais réfugier dans ses bras, pour oublier cette journée, Zephyr qui souffrait. Puis nos positions furent inversées, surpris, je la regardait, ma femme serait devenue une tigresse au lit, voilà qui était intéressant à exploiter. Mais comme moi, elle tentait de me faire, d'abord insensible, elle trouvait un endroit qui laissait échapper un rire. Mon hilarité remplissait la pièce, on se redécouvrait, comme deux enfants. Elle est si proche, je peux sentir son souffle sur ma peau, il me fait frisonner de tout mon long. Elle me faisait languir exprès, difficile à croire, mais ses petites choses me donnait envie de retenter l'aventure de la fidélité, qui plus est, elle serait là, elle ne partirait pas. Je riais toujours, avant de la faire tomber sur matelas un violemment, mais pas trop. Je venais la serrer contre moi, respirant son odeur. Si on ne s'unissait pas ce soir c'est par pur caprice de ma part, c'était un pu trop facile comme renouveau. Je voulais que nos deux corps soit à la limite de le crier. J'avais envie, je n'allais pas le nier, mais pas assez fort, pas assez intensément. Je lui ferai l'amour comme il se doit.
-Cette nuit sonne le début de cette nouvelle vie que je me donne, j'ai trop longtemps été trop têtu pour voir que plus que l'ennui qui m'animait, ma curiosité m'as poussé dehors sans toi. Le voir à tes côtés sera des plus excitant. Ma femme, ma petite Déio, je tente de trouver ce trésor, je t'aime ma belle.
Je restais comme cela contre elle, fermant mes yeux, j'étais épuiser, son doux contact, m'emportait malgré moi dans le monde dirigé par cousin Morphée. Ceux qui disent que les dieux n'ont pas besoin de sommeil, il se trompait lourdement, j'avais autant besoin de repos qu'un mortel ordinaire. Je collais mon corps conte le sien, épuisé et las. J'avais besoin de ce repos plus que tout. Je passais ma main dans son dos avec douceur. Elle avait réveillé en moi la tendresse et un peu de taquinerie,elle m'avait pas mal titillé sous la douche. Dans d'autres moments, je l'aurais uni à mon corps dans la liesse et d'excitation, je ne voulais pas céder à cette facilité. Notre prochaine union risque d'être mouvementé, et cette idée me plaisait beaucoup. Je pense que mon corps était d'accord avec moi. L'alcool, plus les émotions, je me laissais emporter par mes songes. Happé par ce monde irréel, oubliant le fait que je lui avait dit que j'allais la taquiner avant de dormir. Les choses ont été dans le sens où je me retrouvais face à mon épuisement. Endormi, je restait près d'elle,de sa chaleur, je souriais, j'étais heureux d'être là à ses côtés, de sentir quelqu'un à mes côtés. Je dormais bien à nouveau, une seule présence changeait la donne, rêver permettait de voir mes enfants. Fruit de mon infidélités, aussi les nôtres, ceux que j'avais mariés ensembles à cause de cette peur qui me rongeait. Je respirais doucement, essayant de me défaire de cette illusion.
-Je t'aime Déio, à moi, tout à moi...
(c) LADY PATPAT
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Re: I Want you more - Feat Déio | Lun 15 Déc 2014, 19:07
I want you more. « Fais-le t'aimer comme toi tu l'aimes. »
feat. Eole
Changement.
Tu te doutes bien, Déiopée, que jamais tu ne changeras entièrement. Tu resteras éternellement cette petite fille, cette nymphe enfantine et joueuse que tu étais sur Nimos. Malgré tout le malheur et le désespoir qui brulent en toi, tu as toujours cette faculté à sourire pour causer le bien autour de toi. Et tu es toujours aussi timide face aux inconnus malgré la perte de ta chasteté qui aurait logiquement du te décoincer. Tu n’es véritablement à l’aise qu’avec Eole, et tu ne sors presque jamais d’ici de peur de le rater, puisque tu ne sais jamais quad il rentrera. Tu ne sors donc pas ou très peu, et ne rencontre par conséquent que peur de gens. Mais peut-être que désormais qu’il est là, à toi, tu seras plus sereine à l’idée de sortir et rencontrer des gens. Mais malgré tout cela, malgré que tu seras toujours la même, tu peux bien essayer de te renouveler un peu pour lui plaire. Tu as une éternité à tenir, à trouver des idées pour lui plaire. Pries pour qu’il finisse par se satisfaire, car tu sais que tu ne tiendras pas, que tu craqueras, que tu ne pourras plus changer et qu’il s’ennuiera à nouveau. Cette idée te tord le ventre de terreur.
Il se calme.
Il ne s’est pas laissé chatouiller bien longtemps et t’a plaqué contre le matelas, avec une sorte de violence douce. La violence du mâle qui veut reprendre le dessus sur sa femelle sans pour autant lui faire de mal. La violence qu’il a souvent adoptée lors de vos nuits endiablées, pendant toutes ces années où tu as été si heureuse que tu redoutais de ne plus l’être. Pourras-tu être à nouveau heureuse à ce point sans te méfier ? Tu ne sais pas, peut-être que ton appréhension face à cette douleur, la terreur d’à nouveau tomber de haut te bloquera. Peut-être ne pourras-tu pas être heureuse à nouveau, du moins plus autant. Tu le laisses te câliner, souriant à ses mots d’amour qui sont plus nombreux ce soir que tous ceux que tu as eu depuis des années. C’est comme s’il avait quelque chose à se reprocher, à se faire pardonner. Tu le soupçonnes d’être à nouveau allé vagabonder dans les lits des mortels mais tu ne préfères pas y penser. Tu ne veux rien savoir. Tu seras trop brisée si tu apprenais quoi que ce soit.
- Je t’aime aussi, Eole. Plus que n’importe qui. Et je veux vraiment être heureuse avec toi, mais j’ai peur. Peur d’avoir à nouveau mal comme j’ai eu mal après toutes ces années où nous filions le parfait amour. Si je peux te faire confiance à nouveau, alors à toi de me le montrer. Montre-moi que je peux à nouveau être heureuse sans avoir peur. Je suppose que tu l’as compris mais je ne m’offrirais pas à toi ce soir, ni peut-être demain, car je ne veux pas soulager simplement une envie passagère comme tu le fais avec tous tes mortels. Je veux que tu aies envies de moi, et d’uniquement moi, que tu me désires jusqu’à t’en faire tourner la tête. Jusqu’à ce que tu ne rêves plus que de moi. Je ne suis pas égoïste, j’estime simplement que c’est ce que je dois faire. Pour ma part j’ai l’habitude de t’attendre. Quand ce sera le cas, tu auras ce que tu voudras. La lumière allumée, bien sur.
Tu es une femme de parole, Déiopée.
Et une femme fière aussi, malgré tout. Pour toi il est absolument hors de question de le laisser faire de toi son jouet avec lequel il peut prendre du plaisir quand il en a envie. Tu veux être digne. C’est bien la première fois que tu te refuses à lui de la sorte, il sera certainement surpris, tu espères simplement qu’il ne se vexera pas et ne se mettra pas en colère. Alors comme pour le rassurer, tu lui voles un dernier baiser tout en le gardant dans tes bras nus, profitant bien sur de tout cet amour qu’il t’offre. Et il finit par s’endormir tout contre toi, lové dans tes bras. Tu souris. Tu es terriblement amoureuse de lui, malgré tout ce qu’il t’a fait subir. Après l’avoir tendrement recouvert de la couverture, tu te blottis à ton tour dans ses bras et l’observe dormir durant un long moment. Il y a des années que vous n’avez pas passé la nuit ensemble, et tu veux en profiter le plus possible, jusqu’à ce que le sommeil t’emporte à ton tour. Juste avant de t’abandonner aux bras de Morphée, tu murmures dans son oreille.
- Je t’aimerais toujours, et tu es tout à moi aussi…