petite princesse doit courir vite ♡ pv capucine

∞ Oh, regarde zephyr. Là-bas, il y a une petite princesse au capuchon rouge. Je la vois, elle marche seule dans la forêt. Peut-être qu'elle n'aurait pas dû être là, à ce moment-là ? Peu importe, puisqu'il est temps d'avoir du plaisir. Les excuses viendront ensuite .. enfin, on verra si elle les mérite.

petite princesse doit courir vite ♡ pv capucine

le soleil s'était couché depuis une heure environ, l'adolescent avait travaillé toute sa journée et l'épuisement avait prit possession de tous ses muscles. il avait donc décidé d'aller sur l'île, pour se détendre alors que la population de celle-ci était - en majorité - déjà endormi. zephyr ne manquait jamais d'imagination lorsqu'il s'agissait de se détendre, en particulier lorsqu'il avait la possibilité d'aller dans le monde des mortels. aujourd'hui, il avait décidé qu'une petite balade en forêt s'imposait. il marchait a pas feutré dans les herbes, feuilles et branches que les arbres avaient laissés tomber. si on avait prit le temps d'écouter à ce moment-là, il n'est pas moins sûr qu'on l'ait entendu tellement il était silencieux. du bout des doigts, qu'il bougeait frénétiquement, le jeune homme faisait voler les branches des arbres autour de lui, poussait des branches hors du chemin qu'il avait emprunter. d'accord, ce n'est pas réellement ce que l'on entend par soirée de repos normalement, mais zephyr se sentait bien autour de son pouvoir, il laissait son vent tiède s'enrouler autour de lui telle une couverture gigantesque. il s'arrêta quelques secondes, puis se laissa tomber, fesse contre terre, dos contre tronc. il ferma les yeux et se permit quelques minutes de relaxation, un peu de méditation ne lui ferait sans doute pas de mal, lui qui avait la fâcheuse tendance à toujours courir vers les ennuis. il n'ouvrit les yeux, qu'une dizaine de minutes plus tard, tandis qu'il entendait des branches craquées sous le poids d'un mortel, parce que les dieux ne font pas ce genre de déplacement, même ceux qui apprécient la présence humaine. il se colla le dos contre l'arbre derrière et remonta doucement le long du tronc, il se tourna et aperçu non loin une silhouette humaine, une femme. Au poids que semblait avoir cette dame, il ne se serait jamais douté d'une présence féminine. quand les préjugés nous tiennent. il grimpa donc agilement à l'aide du vent, puis marcha doucement sur les branches, espérant que son équilibre soit assez forte pour supporter ça.

• ça te dis, qu'on s'amuse, un peu ?
• avec plaisir.

Jayd n'était pas un malin, mais il ne manquerait jamais une petite plaisanterie pour tout l'or du monde. Il s'élança alors dans le vide et passa tout près de la jeune femme blonde en lâchant son plus puissant crie. Zephyr resta dans l'ombre en regardant son lié faire peur à la demoiselle, personne ne peut résister à ce bruit strident d'oiseau, même lui aurait eut la frousse en d'autres circonstances. il leva doucement la main et le vent s'engouffra autour de la demoiselle, faisant danser les feuilles mortes devant ses yeux. le vent tomba d'un coup, comme si ce n'était qu'une hallucination, de quoi rendre fou n'importe qui aurait peur de la forêt. était-elle de cette partie ? il ne le savait pas encore.

❝don't be so rude with me

Crépuscule. Le soleil vient de se coucher, tu erres dans les profondeurs de la nuit. La forêt te manque, ton habitat naturel... cet endroit mystérieux ou tu as vécu tellement de choses. Que ce soit de la solitude, de la souffrance ou encore le berceau de ta vengeance. Tu quittes le navire en laissant Hansël et Loxia. Tu prends ta soirée pour aller vagabonder comme un animal. C'est l'été et il fait encore chaud à cette heure ci. Le bois n'a pas changé, toujours aussi sombre et pesant, pour toute personne n'y étant pas habitué. Arrivée à la frontière, tu ne caches plus ta joie et fonce entre les arbres. Tu cours, tu expires. Tu cours. Tu maîtrises ton souffle pour ne pas trébucher.

Préambule. Tu finis par t'arrêter au bout de quelques heures, te laissant tomber contre un tronc, épuisée. On peut voir autour de toi des arbres déracinés et des branches en pagaille. Mieux vaux ne pas être sur ton passage quand tu es dans cet état car tu es une véritable tornade. Rien ne t'arrête. Oh non, rien ne t'arrête... Tu hurles à la lune pour exprimer tes sentiments. Comme un loup solitaire. Les mains dans les poches, tu délivres tes longs cheveux blonds de tes deux couettes habituelles. Ils tombent désormais sous tes fesses, ondulant gracieusement et pourtant si rebelles.

Noctambule. Apparemment, tu n'es pas la seule à aimer te promener la nuit. Non, tu n'es pas seule. Il y a cette atmosphère lourde, qui est revenu hanter les lieux. C'est comme si tu étais devenu l'étrangère au sein de la forêt, comme si ça devait être toi la victime. Bien sûr, plus pour très longtemps. Tu recules dans le silence. Crac. Tu marches sur des branches déchues. Le silence est rompue. Le vent se lève. Anormal. Le vent t'attaque. Et un cri strident inonde la scène, accompagné en canon du tien. Tu as eu peur. Quelque chose t'observe, tapie dans l'ombre.

Opuscule. On aurait pu en écrire une belle histoire. Car c'était digne des rencontres romanesques. Tu enlèves tes mains de devant ton visage, qui furent arrivées là pour te protéger. Réflexe instinctif. Tu hausses la voix. Tu donnes les ordres. La peur est loin de s'emparer de toi. Si elle a fait un bond dans ta direction, tu feras en sorte de reculer le plus possible jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus jamais t'attendre. « Qui est là ? Je.. je sais que.. » ta voix tremble. Bordel. « Je sais que vous êtes caché. Montrez vous. Ou j'abattrai chacun des arbres qui vous servirait de planque. » Le vent se leva et tournoya en matière de réponse. C'était à en devenir fou. Tu avais bien juré croiser une silhouette volante au moment du cri. « ça vous amuse de vouloir faire peur aux gens ?! » Un vampire aurait été incapable de faire ça, tu peux ravaler ta haine. Sans pour autant baisser ta garde, tu t'approches des zones d'ombre lentement. Tu prends ton arc et une flèche... C'est parti pour la chasse. Quoique.. tu sens quelque chose qui ne te plait pas. Merde. Retraite. Et tu cours. Tu cours. Expire.

Spoiler:

∞ Oh, regarde zephyr. Là-bas, il y a une petite princesse au capuchon rouge. Je la vois, elle marche seule dans la forêt. Peut-être qu'elle n'aurait pas dû être là, à ce moment-là ? Peu importe, puisqu'il est temps d'avoir du plaisir. Les excuses viendront ensuite .. enfin, on verra si elle les mérite.

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Est-ce que c'était son hurlement qui avait attiré l'attention du dieu ? On ne saurait dire, mais zephyr avait toujours aimé jouer avec le feu, se mettre les pieds dans les plats pour finalement assez bien s'en sortir. On le considérait comme la perfection incarnée, d'une beauté incomparable, d'une chaleur incontestable, mais il savait très bien que tous ses beaux atouts ne changeraient rien lorsqu'il tomberait en face de la louve enragée. Elle hurla une seconde fois, mais ce n'était plus pour la lune, elle avait eu peur. Une petite frousse sans doute à en regarder son visage froncé par son orgueil d'avoir hurlé ; elle ne faisait pas parti de ceux qui ont peur de la forêt. Elle se racla presque la gorge et osa parler, fort, pour se donner du courage sans doute. Zephyr voulait lui donner l'impression d'être dingue avant de sortir de sa cachette et de faire « mais non, mais ce n'était qu'une plaisanterie ». Certes, il devrait s'arrêter avant que les victimes de ses mauvais coups ne se lancent dans une poursuite contre lui. OK. Il leur sera impossible de venir à bout de sa personne, mais on ne sait jamais jusqu'où une personne en colère pourrait aller. Alors qu'elle menaçait de détruire tous les arbres sur lesquels il se tenait, le jeune homme ne broncha pas. Son coeur manqua un battement, mais il se tint droit debout sur la branche qui l'avait soutenu jusqu'à maintenant. Il serra les dents en menaçant silencieusement de la tuer si elle faisait du mal à cette nature qui lui était plus que chère. La colère monta rapidement dans le corps du jeune homme, le rendant mal à l'aise avec son propre corps. Il devait empêcher cette inconnue de faire ce qu'elle venait de dire. Il s'approchait d'elle, encore et encore, juste un petit peu plus et il pourrait lui sauter dessus pour l'attraper. Si elle détruisait le moindre petit brin de gazon, il serait son ennemi jusqu'à la mort - et plus encore. Est-ce que ça l'amusait de faire peur aux gens ? Évidemment, un peu, sinon pourquoi le ferait-il ? Il pencha doucement la tête sur le côté avec un sourire, qui apaisa presque sa colère. Elle n'était pas stupide, mais la peur peut rendre malade et faire poser des questions plus qu'idiotes. Elle détala. Comme un lapin avant qu'il n'ait eu le temps de répondre à sa question. Cela n'était pas très poli comme réaction.

Il s'élança à sa poursuite pour éviter qu'elle ne détruise quoi que ce soit. Il décida de sauter en bas de l'arbre et de créer un mur à base de vent sous les yeux de la demoiselle qui fonça dedans - sans aucune douleur évidemment. Elle fut forcée de s'arrêter et deux autres murs s'érigèrent de chaque côté, sauf de face, où il était. « Ça m'amusait, certes. » lança-t-il simplement. Il lui fit un magnifique sourire plein de sincérité, rien de plus merveilleux. Non, zephyr n'avait pas l'air de quelqu'un de puissant, ni même de dangereux.

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❝don't be so rude with me

Fuite. Pourquoi t’enfuyais tu lâchement ? Tu es une louve, tu as cet instinct animal de prédire, de sentir le danger quand il est présent. Et tu ne sentais aucunement un vampire, ta rancune et ta haine demeuraient endormis. C'était quelque chose d'autre, quelqu'un qui avait pour allier la nature, le vent, l'air que tu respirais. Il n'était pas question de s'embarquer durement dans une lutte acharnée. L'animal qui séjournait en toi te soufflait avec prudence de ne pas provoquer cette force. Et pourtant, inexorablement, tu en mourrais d'envie.

Faite. Comme un rat, dans un langage courant. Un mur de vent se dressa devant toi. Alors il t'aurait suivi ? Le traversant dans ta course, il n'en fut aucun cas douloureux. Deux autres se dressèrent de chaque côté. Et il apparut enfin en face de toi. Son sourire te troubla. Il n'avait pas l'air de quelqu'un de dangereux, et il ne montrait aucune animosité. Il n'allait sûrement pas t'attaquer. Alors quel avait été ce ressenti ? Tu baisses ton arme, te raclant la gorge avec une certaine gêne dissimulée.

Défaite. Tu lui rends son sourire, sans comprendre sa venue. Tu décides de baisser les armes, pour ne pas provoquer de bataille incongru. Mais il pique ta curiosité, titille ton animosité.. tu veux découvrir ce qu'il te veux et sa réponse n'est pas du tout satisfaisante. « T'amuser tu dis ? Pourtant tu n'as pas vraiment la tête d'un chasseur... » tu étires encore plus le rictus sur tes lèvres, le jaugeant de regards indiscrets. « Ni la carrure à ce que je vois. » tu aimes provoquer, tu aimes jouer, tu aimes te plonger dans son regards pour en découvrir ses pires péchés secrets. « Pourtant il y a ce … pouvoir, qui m'empêche de passer. » La réponse à ta précédente question. « Qui êtes vous ? » Le respect se réinstalle doucement. Doucement.

∞ Oh, regarde zephyr. Là-bas, il y a une petite princesse au capuchon rouge. Je la vois, elle marche seule dans la forêt. Peut-être qu'elle n'aurait pas dû être là, à ce moment-là ? Peu importe, puisqu'il est temps d'avoir du plaisir. Les excuses viendront ensuite .. enfin, on verra si elle les mérite.

petite princesse doit courir vite ♡ pv capucine

L'adolescent releva le regard vers sa « proie » avant de secouer doucement la tête de gauche à droite, un peu exaspéré de son comportement. Pourquoi s'était elle enfuit ? Il n'allait pas tarder la le découvrir, avec un sourire au coin des lèvres il lui avoua qu'il s'était bien amusé pour le peu de temps que cela avait duré. « je n'en suis pas un » marmonna-t-il alors qu'elle continuait de le narguer avec son sourire presque choquant, presque troublant. Il n'était pas bien certain d'apprécier cette demoiselle, cependant dans le moment, elle ne le dérangeait pas. Il passa distraitement un main dans ses cheveux, ramenant sa crinière pâle vers l'arrière avant de secouer ses cheveux pour les remettre à leur place d'origine. Elle le jaugeait du regard, comme s'il n'était qu'un simple morceau de viande à varier, comme si elle pouvait le jeter d'un simple coup d'oeil dans sa direction. Ce n'était pas le cas. Zephyr fit un bref sourire arrogant alors qu'elle lui avouait qu'il n'avait pas la carrure d'un chasseur, mais c'était bien mal connaitre le jeune homme. Il n'avait peut-être pas l'imposante carrure de certains dieux, mais il n'était pas bâtis comme une planche de bois. C'était simplement qu'il fallait regarder au bons endroits pour se rendre compte de ses muscles, qui s'était développé sans pour autant prendre toute la place. Elle faisait exprès pour l'agacer, pour le rendre en colère, mais c'était loin de fonctionner. Il commençait tout juste à acquérir la maturité pour contrôler ses pulsions de jeunesses, mais il n'avait pas envie de se prendre la tête avec cette nana. Il inclina doucement la tête sur le côté en haussant les épaules d'un geste trop souvent répété, lasse. Il poussa sa main droite dans un geste rapide et bref, les trois murs de vent s'effondrèrent autour d'elle, laissant place à l'air frais de la forêt. Il faisait bon. Le dieu ferma les yeux en laissant la brise entourer son corps, puis il décida qu'il pouvait peut-être répondre à la demoiselle qui était devant lui. Elle commençait à reprendre contrôle d'elle, étant naturellement plus calme, plus apte à poser des questions.

« Je suis zephyr. Le Dieu du vent ouest, je contrôle ses variations, celles des vents chauds. Beau gosse en prime. » ajouta-t-il en souriant. Il n'était pas narcissique à ce point, mais il aimait faire sourire les demoiselles, il aimait pouvoir s'attirer un peu l'attention mine de rien. « J'ai affaire à une petite louve, si je ne me trompe pas. Merde, l'instinct animal est vach'ment intéressant sur vous. » Il n'avait franchement pas toujours l'air d'un dieu, mais il ne faut pas le pousser à bout. On ne lui demande pas une preuve de sa divinité, oh non.

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» Belle journée pour insulter tout le monde | PV Capucine
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