Il semblerait qu'aujourd'hui la solitude attende quelqu'un. [ PV : Daryl / Isalyss ]

Il faisait beau, un grand ciel bleu planait au dessus de nos têtes sans l'ombre d'un nuage. La température était douce et il n'y avait pas de vent si ce n'est une petite brise légère qui passait de temps à autre faisant danser quelques mèche de mes long et soyeux cheveux couleur nuit et les feuilles des arbres verdoyant et vigoureux. J'étais recroquevillée en position fœtal sous un hêtre somptueux du parc de la capitale. Un parc magnifique et si grand, recouvert dans la majorité d'une pelouse à rendre vers de jalousie les gazons anglais, plus grand encore que central parc qui ferait rêver tout les fanatiques de nature et de jardinage de la planète bleu. Tout sur cette île évoquait pour moi le paradis, si on laisse de côté le fait qu'elle est peuplée de démons, de vampires et autres, que le paradis n'existe pas, que le terme exacte est l'Elisée vu qu'en réalité c'était les petit romains et grecques qui avaient raison sur les forces divines de ce monde. Catholiques, musulmans et j'en passe vous vous êtes entretués durant des siècles et au final aucun de vous ne détenait la vérité. Encore une mauvaise excuse pour se taper dessus. Bref tout ça pour dire que je n'avais jamais été plus heureuse qu'avant de passer ce portail lumineux et d'atterrir ici, les quatre ferres en l'air en me démontant une épaule. Plus mon affreuse mère sur le dos, entourée de personnes au moins aussi anormal que moi, habitant ma propre maison ( que je mettrais certes quelque temps à rembourser mais qui était mon chez moi ). La seule chose qui me manquer sur Terre c'était mon grand-père. Mais je lui envoyais régulièrement des lettres et il semblait se réjouir de mon bonheur, pendant que maman devez faire la fête à la maison tous les soirs avec sur plus d'alcool en se délectant de mon départ. De toute façon je n'avais jamais eu le droit réellement à un papa ou une maman, j'avais appris à vivre avec. J'avais beau connaître mon paternelle aujourd'hui je me voyais mal traverser les enfers pour aller lui rendre visite compte tenus qu'il ne s'était jamais soucié de mon sort et que je ne parierais  pas sur le fait de ressortir vivante de chez les morts.
Donc j'étais là, assise dans l'herbe au pied de mon arbre, genoux repliés vers la poitrine, avec mon carnet à croquis et un crayon à papier à dessiner une fois Greem ( mon affilié, un petit chat noir ), une autre fois une touffe de fleurs, le paysage du parc de mon point de vue, une jeune femme à moitié biche sortie de mon imagination qu'il ne m'étonnerait pas de rencontrer dans se monde de fous. J'avais un tallent pour l'art, autant l'exploité. Un tallent qui n'est pas exploité, c'est du gâchis que disait mon papi. Je n'avais rien à faire de mon après midi. Mes amies proche n'étaient pas disponible et je n'étais en aucun cas du genre à me mêler à une foule de "n'importe qui". Je préférais rester dans mon coin, lire, écrire, jouer de la guitare dessiner, réviser, faire des choses constructives qui m'apportaient quelque chose que de passer mon temps  à suivre comme un toutou des gens pour qui je n'avais aucune affection particulière simplement pour ne pas resté seule. En plus j'aime le calme, la tranquillité. Ca ne me gêne pas, j'ai l'habitude. C'est rare pour moi de trouver des adulte qui ne me considère pas comme une gamine avant d'avoir passer ne serait-ce que quelque minute à discuter, des personne de mon âge assez mature pour que je les supporte et des gens à qui j'arrive à me confier. Je continue de crayonner, sur le moment, le groupe de gamin qui prenaient leurs goûtés sur une nappe de pique-nique à une trentaine de mètre de moi. Puis je tourne la tête, la pivotant à droite, là y a un mec qui est planté. Je suppose qu'il regardait le dessin que j'étais en train de faire. Je ne dis rien sur le moment, m'attendant à ce qu'il parle le premier sans doute, j'avais du mal à parler avec quelqu'un dans mes âge que je ne connais pas. Surtout les mecs en fait.

Le jeune homme devait avoir environ un ou deux ans de plus que moi, il était grand, plutôt charmant, bien bâti, les trais du visage fin la peau pâle et des yeux magnifique, d'un couleur superbe. Il me sourit. Je crois que j'ai rougis. J'ai du mal avec inconnue, leurs parlé, établir un contact, c'est pas comme si j'étais quelqu'un de très extravertie. J'ai d'autant plus de mal avec les mecs. Peu être parce que je rêve trop du grand amour, comme dans les comédies romantique, telle une petite fille naïve et ignorante.  

« C'est très joli ce que tu fais. »

Il s'accroupit à côté de moi, se penche sur mon carnet à dessin et sur le croquit en cours et reprend :

« Tu devrais appuyer un peu plus sur les traits des ombres, ça donnerait un effet plus intéressant. »

Ses yeux passe du dessin à mon model, les gamin qui maintenant c'était lancé dans une partie de petit chevaux endiablé, agrémenté de " Mais non heu ! t'as pas le droit de lancer le droit de lancer deux fois le dès, c'est de la triche ! ", qui se faisait entendre depuis ma position. Moi je scrutais mon dessin sans rien dire, songeant à se que cet inconnu m'avait suggéré. Il n'avait pas tord, ça rendrait sans doute mieux. Je n'aimais pas trop les conseils, les remarques, de la fierté mal placée sans aucuns doute, même si j'étais consciente que cela était utile pour la progression et non forcément une critique. Surtout qu'il m'avait quand même complimenté. Du coup je lui dis simplement :

« Heum... merci. Tu dois avoir raison, effectivement. »

Je ne sais pas trop quoi dire, je suis pathétique comme ça. On dirait une autiste, vous savez ces gens intelligent, qui ont des tas de qualité, mes des relations sociale de merde... bah ça c'est moi dans se genre de situation. Finalement je me force à articulée sans avoir l'air débile ou sans hésiter avec les mots, de manière détendu :

« Tu dessines également ? »

« Non, j'ai jamais essayé. J'ai tout appris dans des livres. »

Je le regarde bizarrement en levant un sourcil. « Jamais essayer » ? « Tout appris dans les livres » ? Ce n’est pas théorique le dessin.  Je levais les yeux au ciel, toujours aussi bleu, avec toute fois plus de nuage qu’à mon arrivée, de gros nuages blancs qui me faisaient penser à de la chantilly. Je restais là, l’air con-con sans savoir quoi dire, à tous les coups si j’ouvrais ma bouche c’est une ânerie hors norme qui allait en sortir. Au final c’est lui qui brise le silence. Il n’a pas l’air de savoir trop quoi dire non plus. Si j’avais réagi comme à l’accoutumé je me serai barré après avoir dit merci pour le commentaire ainsi que le compliment et rapidement modifié mon dessin. Je ne savais même pas se que je foutais encore là.


« Désolé, c'est le travail... En fait, moi c'est Daryl. Toi ? »

Mouais bon j’essaye pour ne pas parler comme la grosse coincée que je suis, à savoir baragouiner un truc incompréhensible sans articuler en trébuchant sur chaque mot.

«  Et bien, c’est pas grave, moi c’est Isalyss. »

« Je peux savoir de quelles races tu es ? Pour ma part je suis un fils d'Eole et un hybride. »

Blanc. Ouai ça c’est la question qui tue qu’on te pose à chaque fois ici. La question que tu peux difficilement éviter. Je tiquais sur la question, plissant le front, hésitant un moment. Finalement je le dis, la vérité sortie, de toute façon ce n’est pas le genre de truc que tu peux cacher indéfiniment dans se genre d’endroit, autant le dire toute suite, ça m’évitera d’être en plus de cela étiquetée menteuse.

«  Et moi je suis… Je ravale ma salive en soupirant. Et bien je suis une fille d’Hadès… à moitié humaine. »