N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage. (Lyrnaël W. Khaedis)
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N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage. (Lyrnaël W. Khaedis) | Dim 08 Juin 2014, 02:31
C’était lors d’un soir, l’ombre avait pris le dessus sur ces ruelles qui , une mauvaise réputation y régnait, peu s’aventurait dans ce lieu macabre à y glacer le sang. Tout pouvait arriver dans cette ruelle, des agressions, des meurtres ou l’endroit rêver pour attraper quelqu’un dans un coin. Ce monde, qui même s’il habite des êtres magiques, elle ressemblait beaucoup à la planète bleue et pouvait rencontrer les mêmes dangers. Moi, créature de la nuit, je me faufilais dans la ruelle en quête de sang frais. Mon instinct vampirique me guidait vers une créature ivre qui marchait nonchalamment dans la ruelle en poussant des vulgarités. Une proie facile pour ma personne, mais le goût du sang n’en changerait rien. Je me faufilais dans son dos rapidement pour le faire sentir un coup de vent avant de me cacher de nouveau dans le noir. La proie arrêta de parler seule pour regarder ce qui était arrivé dans son dos, mais rien n’a l’horizon. Il haussa les épaules et continua son chemin jusqu’à ce que je le suis et vint lui frôler de nouveau le dos pour le faire frissonner de peur. Jouer avec mes proies m’amusait et donnait plus de punch à mes attaques. L’ivrogne qui n’en comprenait plus rien tremblait et s’excusa de ses affronts et des pêchés qu’il avait commis. Pour enfin lui donner un brin d’espoir, je sortis de ma cachette avec un sourire doux. La peur disparue dans le visage de l’homme pour laisser place à un sourire pervers, je m’avançais lentement de lui avec de fausses larmes sur les yeux.
-Monsieur, je suis perdue! Pourriez-vous m’aider?
L’homme bien trop ébloui par ma beauté s’approcha le sourire grand tel un imbécile s’apprêtant à profiter d’une pauvre jeune femme. Lorsqu’il arriva tout près de moi et posa sa grande main sur mon bras. Sans crier gare, ma main attrapa celle sur mon bras et je lui montrais mes crocs acérés à faire glacer le sang de ma victime. L’homme sous le brin de la panique tenta de m’assommer à coup de poing, mais très vite je lui enfonçais mon poing profondément dans l’estomac le faisant cracher du sang. L’odeur de ce liquide tout droit sortie de sa bouche éveilla mon côté animal que j’empoignais sa gorge d’une main pour le soulever dans les airs. Le pauvre homme se débattait dans le vide et s’acharnait à essayer de faire retirer mes mains de son cou, moi je riais comme une petite folle avant de le faire valser contre un mur. Le souffle coupé et les côtes brisées, le pauvre homme avait du mal à respirer, c’est dans ces cas-là que je me permettais de savourer mon repas. Telle une bête les griffes sorties, je sautai sur ma victime pour y pénétrer mes crocs pointus dans sa chair tendre. Le sang chaud coula le long de ma gorge m’arrachant des frissons de bonheur, certes le sang n’était pas aussi somptueux par l’alcool qui en découlait de ma victime. Je dévorais son sang sans répit jusqu'à le vide complètement comme une vieille carcasse. Boire de nouveau du sang me réchauffait l’âme, j’étais restée trop longtemps sans avoir bu une seule goutte pour m’attaquer à un être si idiot. Je léchais mes lèvres couvertes de sang pourpre lorsqu’un bruit m’alerta. Mes yeux or cherchaient la source de ce bruit quand je vis Blackyro, mon affilié qui en sortait du coin sombre pour s’approcher de la victime. Son éternel sourire terrifiant élargissait était collé à ses lèvres. Nous avions tous les deux un point commun, la chasse nous amusait ce qui renforçait notre lien.
-Blackyro : Hé hé hé, tu ne lui as fait qu’une bouchée, mais nous ne sommes pas seuls dans cette ruelle. Nous avons un spectateur!
Je suivis le regard de Blackyro qui m’indiquait où se cachait l’autre individu.
-Sortez de là, sinon je vous réserve le même sort que cet homme.
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Re: N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage. (Lyrnaël W. Khaedis) | Mer 11 Juin 2014, 13:59
N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage.
♫ Nana Crowell ♫
Penchant la tête de droite et à gauche, dans un rythme un peu étrange, le jeune homme écoute une musique qui semble plus être un bug, mais c’est une musique. Une musique disloqué, un jeune homme qui ne va pas bien mentalement, quoi de demander mieux pour lui ? Penchant un peu la tête, fixant un peu le miroir, le jeune homme rit de sa bêtise. N’assumant rien, ne cherchant même pas à savoir pourquoi ce ne va pas bien. Fermant les yeux comme pour apprécier ses notes aigus, appréciant les sonorités bien étranges qu’on lui offre…
Mais, il est vite interrompu par son chaton, comme quoi même les choses les plus mignonnes au monde peuvent être chiante, le jeune homme tourne la tête vers la porte en le fixant d’un air dépité. Sérieux ce chat a vraiment le chic pour interrompre de bon moment, se levant le maitre en question lui ouvre la porte pour que celui-ci aille emmerder son monde ailleurs. Mais même pas cinq minutes après le revoilà en faisant le beau, et miaulant autour de Lyrnaël.
« Tu veux quoi Hocus-Pocus, sérieux j’ai autre chose à faire… »
Soupirant un peu, il décide avec un peu de mal à se lever pour aller vers la direction que lui indique le félin. La cuisine, seul lieu où on peu marcher dans cette baraque. Regardant le frigo, le jeune adulte compris vite ce qu’il veut quand même. Fouillant dans le conteneur frais, il sortie un biberon de lait, car oui ce chat ne sait pas encore boire, pourquoi est-il encore un petit chat adorable qui ne peut pas vivre seul… le posant sur le rebord, le temps de choper Hocus-pocus, Lyrnaël n’a pas pensé à une chose… Revenant vers l’objet qui semble ne plus être à la place qu’il y a 2s… Le jeune homme regarde partout jusqu'à retrouver son précieux dans la bouche d’une plante…
« Mais con*sse c’est à moi ça ! REND ! »
La plante lui crache en pleine figure, et casse le biberon en verre…. Prenant un couteau, le jeune veut un instant la trancher, mais sur le coup sa mort est toute trouvée… Sa mère le tuerait à coup de livre en faite…. Soupirant, le mage cherche un peu partout, puis dans son livre, mais pas l’ombre d’un biberon pas cassé, car cette idiote de plante la jeté mais Lyrn n’a pas de réflexes et la laisser tomber donc briser… Résultat ?
Sortir en pleine nuit, pour aller à une épicerie paumée pour acheter un funking biberon et du lait pour chaton… Sa vie est géniale pour ne pas dire merdique. Le jeune homme soupir en se disant que ça va lui passer, mais hélas quand il a envie de lait la boule de poil ne lâche pas l’affaire… Résultat Lyrnaël se retrouve dehors, avec un chaton dans la capuche. Aller exprime ta joie petit Khaedis ! Ouais non, on ne va pas pousser le bouchon un peu trop loin quand même. Soupirant les mains dans les poches, le jeune homme avance dans cette nuit qui semble tranquille. Suivant un pseudo plan qu’il a écrit pour trouver cette shop ouverte la nuit. On peut dire qu’elle n’est quand même pas loin d’être paumé celle-là !
Le voilà maintenant paumé dans des rues étroites, c’est encore plus chiant que les grande rue, car on ne sait pas sur quoi on va tomber quand on prend un tournant d’une. Bah on va dire que c’est plus pour la personne qui va tomber sur Lyrnaël en fait, car après lui non plus n’est pas fréquentable ! Le jeune avance doucement en se disant que c’est bientôt fini et qu’il peut rentrer chez lui larver totalement. Mais hélas c’est dans ces moment là qu’il se dit qu’il ne doit pas avoir de chance et qu’il aurait mieux fait de ne pas prendre d’Affilé, enfin il n’a pas choisis. Le bébé félin descend de sa capuche et avance rapidement vers ce qu’il entend, le laissant faire, après tout il sait que c’est Lyrn qui a la bouffe… Enfin dans un futur très proche on va dire.
Non loin de lui dans un tournant de rue. Le jeune homme semble entendre des voix, essayant de distinguer s’il connait déjà ou pas. Collé contre un mur, comme une ombre d’une personne, le blond remet bien sa capuche attendant tranquillement que le calme ce fait, mais hélas le chaton semble peu discret.
« Sortez de là, sinon je vous réserve le même sort que cet homme. »
Le demi-dieu pouffe un peu de rire, comme si c’est menaçant, mais hélas Hocus-pocus sortie de sa cachette, hélas trop gentil celui là….
« Mwaaaaaa ! »
Facepalm en pleine figure, comme si on va te comprendre ! Lyrnaël est dépité devant tant de naïveté de son affilé, on peu dire qu’il est sociale au moins contrairement à son maitre quand même. Soupirant un peu le blond regarde son chat approcher tranquillement, dandinant presque du fessier pour dire. Bien que vu l’état de cette femme et la chose qui l’accompagne… Le jeune homme avance tranquillement, autant mettre les cartes sur table ? Non autant faire comme-ci tout cela est normal. Penchant la tête avec un petit sourire tout à fait normal, restons calme…
« T’as un de ces sourires, tu utilise Colgate pour chaton ? T’as une tête vraiment chelou ! »
Se marre-t-il, alors que Hocus-pocus fait un petit miaou disant presque « soit gentil » Mais Lyrnaël ne parle pas le chat à ses heures perdu ! Le jeune homme reste dans une distance assez loin pour avoir un temps de réaction rapide, bien qu’on ne va pas dire que c’est lui qui c’est jeté dans la gueule du loup. Gardant un petit sourire tout aussi mignon que sournois, le blond passe les mains derrière lui, prenant un air parfaitement détendu… Mec y a un corps et toi t’es normal ? T’es vraiment comme ton père !
« Alors petite ? Belle soirée ? ♥ »
Lyrnaël, un jour tu sauras prendre une situation sérieusement, enfin un jour…. Voir jamais.
Re: N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage. (Lyrnaël W. Khaedis) | Ven 13 Juin 2014, 06:22
Un rire tel à une rigolade de mauvais goût provenait du lieu où j’observais avec mon compagnon. Pour une personne dont les menaces font rire n’est pas un être ordinaire, je restais sur ses gardes. Mais en toute surprise, un chaton aussi noir que le charbon se retirait de sa cachette dans un air ridiculement heureux. Un brin de sourire frôlait mes lèvres sous la ressemblance de Blackyro avec ce chaton, sauf le sourire et les yeux. Je pouvais en conclure que le chaton appartenait à l’être moqueur camouflé dans l’ombre. Blackyro n’était pas heureux d’apercevoir ce chaton à l’air bien heureux pendant leurs soirs de chasse, surtout qu’il jalousait surement le côté mignon qu’il ne possédait pas. La suite arriva plus vite que je ne l’aurais prévu, l’homme se délaissa de sa cachette pour se fondre dans la lumière de la ruelle, enfin ce qu’offrait le lampadaire clignotant a tout bout de champs. Je reniflais l’air discrètement pour y déceler l’odeur de son sang si parfumé. Si doux que ma peau en frissonnait, si seulement je n’avais pas terminé mon repas ce soir, il aurait été un meilleur petit repas. Tout d’un coup, les paroles qu’il lâcha en personne vers Blackyro m’arrachaient un rire à attendre à la ronde. Cette blague allait si bien à mon affilié que je devais avouer que son sens de l’humour était des plus charmants. Mon Blackyro ne partageait pas le même avis, ses poils se hérissaient sur son dos sous cette blague de mauvais goût.
Blackyro : -SHHH, je chuis pas un chaton! Mais un chat adulte! Mon apparence est beaucoup plus belle que la tienne et ton chaton stupide!
Mon rire à ne plus finir s’arrêta par cette question des plus spéciaux. Parler de belle soirée alors que je venais de dévorer un homme… pourquoi pas? Je frôlais mes doigts contre mes lèvres pour en retirer un peu de rouge et je lui offrais un sourire charmant comme le ferait une femme bien élevée.
-Oui, une superbe soirée, surtout lorsqu’on se remplit bien le ventre.
Pour le taquiner un peu et montrer de l’insouciance sur le fait qu’il m’avait pris en plein délit, je tirais la langue en levant mon index vers le ciel. Je pouvais en décerner dans cet homme une impression d’insouciance ou encore de folie à l’idée que voir un cadavre ne lui faisait ni chaud ni froid. Jouait-il la comédie ou était-il de ceux dont voir les gens mourir ne le touchait pas? Comme moi, froide comme de la glace quand je le souhaitais. Blacky s’approchait de l’autre chaton qu’il scrutait attentivement avant de lui jeter un regard mauvais, il était bien connu de rencontrer des affiliés de la même race… mais son air trop mignon le dégoûtait. Leur image était si différente, Blacky ressemblait à un chat tout droit sorti d’un dessin animé ou encore d’un film d’horreur alors que l’autre était si chat. Mais le détail le chipotant était que le chat avait sa grandeur! Lui un chaton?! Plus tard, il le dépasserait sans aucun doute, ça, il ne pouvait le supporter. Au moins, il y avait une seule chose qui le devançait du chaton, il connaissait le langage humain et le parlait couramment contrairement à la boule de poil. Ce sentiment de supériorité à l’autre lui fit lever la queue très haute et ainsi que la tête. Le voilà sous une posture glorieuse ou trop prétendant.
À mon habituelle manie, je glissais ma main dans ma chevelure pour la faire voler avant d’avancer vers l’individu en balançant mes hanches de gauche à droite oubliant que ma robe était tachée et que mon apparence pourrait susciter la méfiance. Je m’arrêtais à quelques pas de lui, gardant une bonne distance s’il m’attaquait où essayait quoi que ce soit sur ma personne. Pour cette fois-ci, je reniflais de nouveau l’air, son parfum était plus fort et alléchant que précédemment. Je léchais ma lèvre supérieure à l’idée que ce liquide se faufile entre mes lèvres et caresse ma gorge.
-À l’odeur de ton sang, tu dois avoir un côté spécial! Les êtres spéciaux me donnent toujours cette envie fort de les goûter et tu en fais partie mon chou.
Il s'était permis de m’appeler petite, j’avais donc le droit de l’appeler chou, quoi que son air gentil et je me soucis peu de ce qui se passe n’était rien de chou. La peur de l’individu m’aurait fait beaucoup plus rire, sa non-réaction me décevait. J’installais mes mains contre mes hanches en grimaçant comme une gamine.
-Dommage que j’ai déjà mangé, j’aurais pu t’utiliser comme repas! Je suis sûr que je serais plus comblée que l’imbécile d’homme qui m’a servi de repas. À moins que… tu me permettes de goûter un peu de ton sang?! Juste une petite goûte pourrais me suffire.
À une vitesse surprenante, je me trouvais en quelques secondes derrière lui, mon doigt enfilé dans mon gant frôla son cou avec un sourire malsain en disant long sur mes mauvaises intentions. J’approchais mes lèvres pulpeuses de son oreille et y souffla doucement pour le seul plaisir de le taquiner avec ça.
-Si tu te montres bien docile, je ferais en sorte que tu souffres peu.
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Re: N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage. (Lyrnaël W. Khaedis) | Mer 25 Juin 2014, 18:51
N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage.
♫ Don't touch me ! ♫
Tout ça pour du lait, c’est le meilleur non ? Des fois on se demande si Lyrn n’est pas un attire personne bizarre, ou à emmerde, bien qu’il l’a cherche souvent quand même. Mais là, respect, il peut pas tomber mieux, une vampire semble-t-il. Enfin faut pas être un surdoué pour le deviné, sa robe pleine de sang, le corps, non sérieux ce n’est pas compliqué de ne pas deviner, sauf si c’est une cannibale… Ah bah ouais la c’est compliqué, nan c’est une vampire, ou alors… Non c’est une vampire okay !
Lyrnaël n’a pas de soucis devant le sang, au contraire cette couleur et ce qu’il aime le plus, bien qu’il ne sait pas pourquoi, ah oui le papa. Bon okay, c’est peut être une raison on dirait, mais pour le jeune homme dire qu’il aime cette couleur car c’est dans ses gênes c’est quand même bizarre, enfin pour lui. Le blond fixe cette demoiselle qui semble prendre des airs innocents, c’est ce que font souvent les pervers quand même. Affichant juste un sourire, il regard le chat qui parle, étant presque fière que le sien ne puisse pas parler, et heureusement car Lyrnaël ne voudrait pas l’entendre causer en fait… Il serait trop chiant !
Mais au lieu de regarder le mamoune en question, le regard doré de l’homme se porte sur cette femme, qui semble assez… bizarre, enfin c’est lui qui dit ça, mais là ça devient un peu plus convainquant quand elle commence à prendre un ton bizarre, enfin surtout les propos qui sont inquiétant.
Le jeune cligne un peu des yeux, avant de prendre un petit sourire, genre c’est bon son égo en prend plus pour lui là, adieu les chevilles, Lyrnaël bombe presque le torse comme pour se moquer un peu, Hocus-pocus revient vers son maitre et saute pour aller dans son sac comme s’il a un pressentiment de mauvaise chose.
« Ouais je sais que je suis spécial, je suis toujours aussi génial ! »
Dit-il en se moquant un peu de lui-même, ne prenant jamais rien au sérieux, le jeune homme affiche son petit égo bien fière, bien que pourtant il reste un minimum méfiant quand même. Mais sa méfiance ne fait que se confirmer, après tout il ne côtoie pas les vampires pour quelques raisons particulières. Elle parle tellement beaucoup déjà mais quand il entendit sa voix dans le creux de son oreille après avoir trop parler au début… Le jeune homme tourne le regard vers cette fille, s’il se fait morde et qu’elle est pure c’est mort il ne sera plus normal. Hocus-pocus miaule dans le sac. Le Khaedis n’affiche qu’un petit sourire, puis d’un geste brutus, il saisit le coup de la fille comme pour la coller au mur, de façon a stopper ses petits croc proche de sa carotide.
« Nan t’as pas payé le loyer pour ça. Et t’a voix n’est pas super agréable en susurrement, un vraie perverse ! »
Dit-il en riant, la tenant fermement, le jeune homme regarde son chat qui sort son gros livre et tourne les pages à la bonne, qu’il est bon ce chaton parfois ! Lyrnaël tape du pied sur la page qui éjecte une fiole qu’il chope.
« Santé ! »
Il boit tranquillement, ce gout est infâme, mais bon, on fait comme on peut, puis il tient à son sang quand même. Ce truc que sa mère fait souvent, il avait toujours l’impression qu’elle a peur qu’il devient un de ses êtres de la nuit. Cette potion est là pour rendre le goût de son sang infâme et l'odeur aussi… Que le boire peut rendre malade les autres, au moins la mother elle gère du pâté quand elle veut !
La lâchant en souriant, comme pour montrer qui et le plus fort, il ne fait qu’un petit rire comme montrer qu’il est tout fière cet idiot.
« Maintenant tu vas ranger tes petits croc, serait dommage que tu finis mal n’est-ce pas ~ »
Rangeant son livre pour le mettre dans son sac et Hocus-pocus par la même occasion, rien à dire ce chat et parfait dans ce genre de situation.
Re: N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage. (Lyrnaël W. Khaedis) | Lun 11 Aoû 2014, 04:27
N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage. feat. Lyrnaël W. Khaedis & Nana Crowell
Le plaisir du sang n'a aucune limite▹ Nana Crowell
Blackyro étant toujours dans son mode je suis meilleur que toi, arrêta son manège en remarquant que le chaton retournait à son maître. Un sourire vainqueur élargissait ses lèvres paraissant tel à un sourire sadique. Le chaton avait sans aucun doute senti vaincu devant ses capacités supérieures aux siennes! Ce n’est pas tous les affiliés qui possédaient des capacités de la sorte, dont le pouvoir du langage. Cependant, Blackyro se voyait être trompé par les agissements du félin, il se préparait plutôt à aider son maître pour contrer l’envie du sang de sa maîtresse perverse. Beaucoup moins victorieux. Le chaton mignon sautait dans le sac avec obéissance… ce que comprenait peu le chat à l’allure de BD. Pouvoir se promener sur le sol et être libre était plus exaltant que vivre dans un sac, mais la suite le surprit. Sa maîtresse était sur le point d’enfoncer ses crocs lorsque le chaton émit un miaulement d’avertissement et ainsi l’homme agrippa le cou de l’être de nuit. Les yeux ronds à la base de Blackyro s’agrandirent pour devenir aussi gros qu’une boule de billard. Sans penser quoi que ce soit, son instinct d’affilié lui criait de venir en aide à Nana, même au risque d’y laisser sa peau. Court sur patte, il s’approchait rapidement du prédateur pour lui mordiller la cheville dans l’espérance qu’il porterait son attention sur lui au lieu de sa maîtresse. Une idée assez inutile, car la vampire s’en sortait à merveille.
Accotée contre le mur, aucune peur ne dégageait de mon être. Je m’amusais de le voir peu docile comme je l’espérais. Lorsque les proies se débattent, c’est toujours plus rigolo. Je lui laissais le plaisir de contempler un sourire malicieux sur mes lèvres alléchantes rougies. Son rire n’atteignait pas mes oreilles avides d’entendre le cri de l’homme au moment où j’aurais pris le dessus sur son cou, il était dans l’ignorance que je détenais une force surhumaine et qu’il me suffisait de le propulser contre le mur sans le moindre effort. Dès lors que je m’apprêtais à utiliser ma force, le chaton plus mignon que ma boule de poil exhortait un bouquin du sac du jeune homme… mais qu’est-ce qu’il manigançait? Dans un tapement de pied, une fiole s’injecta du livre que le jeune homme se fit un plaisir de boire. Je restais pantois devant cette situation incompréhensible. Devais-je avoir peur ou plutôt me demander s’ils ne se moquaient pas de moi avec leur petit tour de passe-passe? L’odeur du sang de l’homme devint écœurante à mes narines que j’en grimaçais d’horreur et bien entendu, c’est là que Blackyro infiltra ses petits crocs dans la cheville du jeune homme. Il devint blâme quand le sang lui monta à la bouche, un goût inexpliqué lui monta à la gorge semblant à celui d’un objet au jus de poubelle. Il se laissa choir sur le sol avec un spasme dans la patte arrière. Ses yeux livides montraient à quel point le goût l’avait choqué et à la fois empoissonné. Face à cette scène peu amusante sur le coup, ma force en jeu, je fis volté le gamin loin de moi et attrapa Blackyro par le collet pour un peu le secouer. Une vraie limace entre mes mains, il paraissait flasque et ne réagissait pas à ma voix. Je soupirais tout bas et à la même vitesse, j’apparus en face du magicien pour lui pendre au nez Blackyro aussi mou qu’un cadavre.
-Guéris-le ou je te transforme en tas de chair! Et si tu le fais, je ne t’attaquerais plus, c’est un bon compromis non?
Bien que ça m’agaçait à l’idée de ne pas venir aux crocs, mais je ne souhaitais pas non plus me retrouver prit avec un chat incapable de se tenir debout où divulguer sa façon de pensés, bien qu’ennuyants. Je sais très bien que ma relation avec Blackyro paraissait peu amicale et on me voyait souvent le châtier que le câliner. Mais comme on dit si bien, qui aime bien châtie bien. Je ne pouvais me contenter de rester les bras croisés en attendant la suite, j’ignorais les effets de sa sorcellerie ignoble, donc j’étais prête à oublier l’idée de goûter à ce sang, surtout que maintenant, il me paraissait tel une horreur nauséabonde.
Re: N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage. (Lyrnaël W. Khaedis) | Sam 06 Sep 2014, 03:00
N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage.
♫ Ahahahaha ! ♫
Un sourire de fierté sur son visage, le jeune homme affiche clairement sa victoire pour le moment. Il gérer à merveille son livre, les potions de sa mère sont toujours les meilleures de toutes, bref, en rien il n’est perdant dans cette histoire. Bien que pourtant, il y a un souci qu’il n’aurait pas pensé possible. La vampire a compris qu’il ne fallait pas le toucher, mais pas son abrutit d’affiler… C’est ridicule ce qu’il veut faire, mais alors qu’il sent une douleur à sa cheville, le jeune homme ferme un œil par réflexe et voulu lui donne un coup de pied pour le jarter…. Mais au lieu de ça vola pour atterrir dans des caisses, super ? Grognant un peu Lyrnaël se trouve sonner.
Cette femme a une force de malade c’est sûr, un peu la tête qui tourne le mage regarde sa cheville qui saigne avec un air assez menaçant, c’est bien le moment de voir son sang, soupirant un peu et regardant le ciel. Il se lève doucement pour se remettre sur pied, son chaton c’est inquiété, mais il va bien, eh ouais Lyrn c’est du solide !
Mais, il oublie comme une femme c’est chiant… Alors qu’il allait repartir, car ouais rien à battre du chat lui. Il entend celle-ci lui gueuler après…. Blasé, le jeune homme se tourne pour la regarde, comme changer, car oui lunatique qu’il est Lyrnaël joue des émotions comme de ballon… Ce n’est plus le gosse souriant qu’elle avait, mais un homme blasé… Un blasement bien court, qui d’un coup, son visage commence à afficher le genre de sourire que très peu de personne aime, le sourire de méchanceté, un sadique, un être qui n’a aucune pitié.
« ‘’Compromis ?‘’ » dit-il très lentement, comme susurré. « T’as qu’a apprendre à ton chat et a toi-même qu’on n’agresse pas une personne comme ça, belle leçon n’est-ce pas ! Le vampire qui tombe de haut car son pauvre petit chat est entrain de crevé ! Laisse-le donc crever ! »
Dit-il d’un rire cinglant, la vie ? C’est un jeu, on lance les dès et on regarde le résultat. Les mains dans les poches, avec un sourire tout aussi méchant que cruel, regardant de haut, l’homme ne la quitte pas du regard.
« Si tu me tue, tu condamne ton minou adoré, alors au lieu de parler pour rien économise tes paroles pour ses dernières à lui ! »
Sadique, c’est tout ce qu’il y a dire, pour lui ce chat peut bien crever, il va bien dormir cette nuit. Mais hélas, dans la team Lyrnaël, l’un n’est jamais de l’avis de l’autre. Le chaton sort du sac avec une fiole en bouche, le blond le regarde et fait de gros yeux et essais de l’attraper. Bien qu’elle soit bien agile cette bougre de féline, Lyrn la rate d’un poil et la voit courir. Le mage la poursuit en se jetant dessus, mais c’est encore raté ! Un peu sonné, le jeune homme voit son chaton tirer sur une petite soucoupe qui et tomber de son sac et verse le contenue de la fiole volé dedans. Poussant la tête du chat malade vers la soucoupe en lui donnant des petits coups de tête pour l’aider. Bien qu’elle ne sache pas parler, cette petite femelle a le cœur sur la main, un regard assassin sur le visage de Lyrnaël, Hocus-pocus sait bien qu’elle n’a pas le droit de faire ça…
« Viens là tout de suite. »
Un ton froid, le chaton avance doucement avec un peu de peur, après tout, elle a désobéit…. La peur au ventre et un petit miaulement de peur, comme un « pitié » ou un « désolé » Le chaton ne veut pas aller voir son maitre, car la peur lui tient bien l’estomac, mais si elle ne vient pas, c’est Lyrna qui va venir à elle, c’est même très sûr !
Re: N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage. (Lyrnaël W. Khaedis) | Dim 25 Jan 2015, 00:38
N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage. feat. Lyrnaël W. Khaedis & Nana Crowell
Le plaisir du sang n'a aucune limite▹ Nana Crowell
Ce jeune homme effronté me tapait sur les nerfs, je l’imaginais couché sur le sol recouvert de sang après que mon poing lui avait défoncé l’estomac. Je danserais sur son corps poisseux et exhibant toute la fine joie d’écraser ses organes. Ça parait déconcertant, mais je l’assume. Un être de la nuit tel que moi, vaut mieux ne pas s’y frotter, au risque de voir le sommeil éternel d’un peu plus près. Les voir croupir sous ma chaussure et réclamer le pardon me faisait frissonner de plaisir. Si j’avais bel et bien fini comme une reine, mon Dieu que je serais la plus détestée et la plus crainte. Je lui offris la vision de mes dents, signe que je m’apprêtais à attaquer. J’évaluais toutes les ouvertures à ma portée. Mon coup devrait être puissant pour lui provoquer des fractures de toute part. Au diable la gentillesse, mon affilié allait mourir par sa faute et étant donné que monsieur se fichait royalement de Blackyro, ma colère et mon envie de meurtre se dégageaient de mes pores de peau. Je me penchais vers l’avant, prête à bondir à tout instant, mais que voyais-je? Le petit s’approchait de mon Blackyro complètement immobile par le poison. Elle portait dans ses minces crocs, le remède à cette formule ravageuse. Mes yeux brillants de moquerie suivaient le maitre frustré que son petit affilié ne fût pas aussi docile qu’il paraitrait. Une défaite imminente, à mon avis, j’évacuai même un petit rire hautain sous la délectation de son échec lamentable.
-Ooooh, pauvre petit magicien. Son affilié se rebelle et aide l’ennemi, tu dois te sentir moins puissant après ça.
Balckyro se délecta du liquide, comme s’il avait le choix, du contenant que le jeune chaton lui offrait. Le goût particulier de la potion le fit tirer la langue, à cette surprenante constatation qu’il avait pu grimacer, il se leva d’un bond sur ses pattes. Ce remède miracle lui avait sauvé la vie! Alors qu’il imaginait son âme le quitter, tandis que son corps finirait par être dévoré par les fauves sauvages! Ou encore, dans les déchets. Les pires des images défilaient dans sa tête, mais le chaton là, lui, se tenait devant lui, l’observant longuement. Cette petite bestiole l’avait sauvé! Lui au départ l’avait évalué comme un ennemi, il se sentait minable sur le moment. Comment avait-il pu avoir de vilaines pensées envers ce chaton qui a la patte sur le cœur. Blackyro, contrairement à sa maitresse, pouvait consentir à s’excuser et se montrer amical, si on faisait autant de son côté.
-Merci… sans toi… je serais mort.
Ses joues étaient en feu, mais heureusement que le poil cachait ses marques. Il était difficile de se rendre à l’évidence qu’il avait eu tort, si seulement il pouvait se rattraper. Par caprice, je m’installais entre les deux chats pour attraper le chaton par la peau du cou, comme tout félin possède, je l’approchais de mon visage pour le détailler de plus près. Blackyro très inquiet courait autour de moi comme une poule sans tête me criant de ne pas lui faire de mal. Non, mais, pour qui me prenait-il? Pourquoi attaquais-je un chaton qui vient de sauver la peau de mon affilié? Oui, j’étais une vipère quand je le voulais, mais lorsqu’une personne m’aidait, je me devais de me montrer polie et agréable.
-Pourquoi avoir aidé mon affilié? Nous sommes vos ennemis et non vos alliés… Tu es vraiment une bête épatante du coup… TU ES TROP MIGNONNE!
Par la plus grande des surprises, je collais cette adorable boule de poil contre ma poitrine avec un air gaga dans le visage. Blackyro ouvrait grand la gueule sous mon comportement étrange. Si grand ouverte, que la mâchoire y tombe. Dans mes souvenirs, mes bras n’avaient jamais entouré le petit corps fin de mon affilié pour lui couvrir de câlins, je l’écrasais tout bonnement, donc, pas surprenant qu’une nouvelle jalousie se développât chez lui. Il cacha entre ses crocs et sautillait de colère. Une vraie boule d’énergie après ce qu’il venait de vivre.
-Non, mais! Tu câlines le petit chaton? Je compte pour du beurre?! Je te signale que je suis aussi un chat et j’ai besoin d’affection. J’ai failli crever, tu n’as rien à dire à ce propos?!
-Ah oui… j’oubliais!J’arrêtais ma mise en scène pour admirer la bestiole si petite dans mes bras. -Merci d’avoir sauvé ma répugnante bête au visage sortant de l’ordinaire.
Là… c’en était trop, il se sentait dénigré par moi. Sur le coup, il regrettait d’avoir eu recours au pardon chez ce chaton qui se croit tout permis de lui voler les bras de sa maitresse!
-Dis le chaton, ça te dit que je t’achète un gros poisson rien que pour toi? C’est ma façon de te remercier. Je fis un dernier câlin sur cette peluche adorable.
Mon affilié, toujours abasourdi de mes dires, lui aussi il voulait du poisson. De petites larmes semblaient se former sur le coin de ses grands yeux, la vie était si injuste. En plus, tous ignoraient le magicien, vive la politesse!
Re: N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage. (Lyrnaël W. Khaedis) | Ven 13 Mar 2015, 11:09
N'aie pas peur, je ne te dévorerais pas si tu es sage.
♫ Ce chaton vie bien sa vie ♫
Alors là, c’est le pompon. Lyrnaël est une personne qui n’a pas de pitié, son affilé est complétement l’opposé de celui-ci. Chaque fois qu’il fait quelque chose comme ça, c’est toujours le chaton qui récup ce qu’il peut. Un jour peut être que cela couteras la vie de son affilé ? Espérons que non, Lyrna tient beaucoup trop à son stupide chaton. Comme quoi on s’attache vite à ce genre de petite bestiole adorable.
Bon elle a eu un merci, c’est génial, mais le mage n’était guère fier de e qui vient d’arriver, c’est la honte de ne pas pouvoir contrôler son affilé comme ça. Il est complétement dépité. Au moment où il va saisir la peau du cou de son chaton, celle-ci se fait soulever d’un coup, mais pas par la bonne personne… Eh ? La main vide de la touffe de poil noir, le jeune homme regarde l’autre blonde tenir son chat, sur le coup, il regardait très salement… Possessif en plus, t’as vraiment tout pour plaire Lyrn.
Hocus-pocus n’était pas une personne agressive, c’est un chaton docile toujours zen et avec des yeux pétillants… Parfois, un peu trop stones quand elle est trop détendu dans sa vie. Elle fixe la vampire la tenir, et ne bouge même pas en la fixant, même pas peur le chaton… Ou alors juste inconsciente. Pourtant, en deux secondes, voilà la boule de poil se faire étouffer par la poitrine de la femme. Lyrn et Hocus font tout les deux des gros yeux surpris, bien que la demoiselle retrouve un visage heureux, on dirait la tête d’une perverse heureuse de ploter quelqu’un. Le demi-dieu se frotte les yeux d’un main, d’un blasement générale en lui, c’est sur que là y a rien à dire.
Le pire c’est que l’autre est totalement délaissé, haussant un sourcil, le blond soupir et approche la main comme pour reprendre son bien, car ouais c’est lui qui l’a trouvé dans un carton sous la pluie en boule.
« Hocus ne mange pas beaucoup solide » dit-il d’un ton blasé « Elle boit au biberon. »
Moi je connais mon chat, et pas toiiiiii. C’est ce que veut dire la phrase du mage en traduction. Pocus est un chaton au ventre qui ne supporte que peu le solide, enfin le midi c’est croquette et poisson, le reste c’est du lait spécial donner au biberon, car cette chatte mange beaucoup trop, et donc obligé de surveiller ce qu’elle boit… Car l’idée de dire à sa mère qu’il doit l’emmener au véto car il prend pas soins, il n’a pas envie de mourir.
« Et occupe toi de ton horreur, il est entrain de chialer. »
Dit-il avec un sourire narquois. Tapant dans ses mains, Hocus saute pour aller dans ses mains, bien sûr Lyrn ne va pas lui hurler dessus, c’est dangereux quand même avec la fan girl de Hocus… C’est vraiment un bouclier ce chaton ? C’est nul de penser ça ! La chatte bouge des bras de Lyrnaël pour retourner dans le sac. Soupirant content, le mage se dit qu’il va pouvoir partir…Eh non !
Quand il est question de bouffe, l’affilé est bien la première à répondre d’un coup. Sortant du sac avec en bouche son biberon avec des petites souris, elle l’apporte à la blonde avec les étoiles dans les yeux.
« Espèce de morfale… »
Ouais, c’est tout ce qu’il y a dire devant cette scène, une morfale. Ne voulant même plus lutter devant cela, William s’assoit sur une caisse et fixe la scène d’un air totalement dépité. Faut bien la laisser se faire plaisir, sinon elle va être insupportable à la baraque.