L'art d'emmerder les gens par Lyrnaël ! [PV Mia ]

Non, mais c’est moi ou aujourd’hui, c’est incroyable à quel point y’a absolument rien à faire ?! J’étais étendue dans l’herbe juste en face de la demeure familiale en observant le ciel bleu. Alyssa était partie… Je ne sais pas trop où, mais elle avait fichu le camp de la maison assez tôt. Elle devait être allée casser la gueule à plusieurs elfes. C’est dommage, j’aurais voulu venir avec elle ! Elle aurait dû me prévenir ! Quoi que… La dernière fois, je nous avais salement mises dans la merde. Elle voulait peut-être éviter que je fasse tout foirer encore… Mais c’est pas une raison quand même ! J’aimais passer du temps avec elle et quand elle est là, il y a toujours quelque chose à faire et je vois jamais le temps passer ! C’est complètement génial ! Sinon en ce qui concerne Ethan, j’avais pas la moindre idée où il était passé. Peut-être qu’il était allé draguer assez nullement un tas de demoiselles ! Quoique… J’sais pas trop. À moins qu’il soit allé foutre la merde partout où il passerait. C’était complètement son genre. Il avait au moins quelque à faire de sa peau ! Quant à Shawn, il venait de partir faire des courses pour sa mère. Il m’avait demandé de l’accompagné, mais j’avais refusé. C’est long faire les courses, c’est pas fun du tout et sa donne faim, c’est pas juste au fond. Sauf que… À bien y penser, j’aurais peut-être dû y aller avec lui. Ça m’aurait occupée au moins. RAAAH. Ça devrait être interdit de s’emmerder autant ! « Et si tu sortais un peu de l’enceinte de la maison ? Ça te ferait du bien de changer de décor ! Que dirait d’aller faire un tour en ville pour aller chercher des sucreries ? » La voix d’Amaryllis venait de résonner dans ma tête. Elle avait eu une idée méga géniale ! Je me suis tout de suite redressée avec un grand sourire aux lèvres. C’était pas difficile de me faire changer d’une humeur à une autre lorsque du sucre venait s’en mêler. « Tu as complètement raison ! T’es géniale, je t’adore ! » Je me suis tout de suite mise sur pieds et je me suis mise à courir vers l’enclos à l’arrière de la maison. C’était là que nos affiliés se trouvaient lorsque nous étions à la maison, puisque dans la famille, nos liés sont gros pour entrer dans une maison et ferait pas mal de dégâts. Essaie de faire rentrer une licorne, toi, sans rien casser dans la maison ! Bonne chance ! Encore faut-il qu’elle arrive à passer par la porte, mais bon, osef puisqu’elle rentre pas de toute façon ! Une fois à l’enclos, je me suis élancée et je suis grimpée sur la clôture pour enfin sauter par-dessus celle-ci. Sauf que… J’ai le pied qui a heurter le haut de la clôture et je me suis complètement écrasée de tout mon long sur le sol, ma tête dans la terre. Ça goût DÉ-GEU de la terre ! J’te jure ! C’est granuleux et… J’ai toussé et toussé. Un joli filet de bave s’en est suivit en prime. Bref, j’avais la grosse classe. J’en avais les larmes aux yeux à force de m’étouffer avec la terre. Oh mais merde, qui a mis cette terre là ? J’sais pas qui, mais il est con ! L’herbe c’est tendre au moins… Une fois que j’ai pu reprendre mon souffle, je me suis redressée en crachant par terre. Je me suis essuyée la bouche. Tant pis. Amaryllis avait pris de soin de se rapprocher. « Tu vas bien ? » Je me suis contenté d’acquiescer avant de me mettre à courir vers la licorne et pendant que je me dirigeais vers elle, Amaryllis replia ses pattes avant afin de me permettre de grimper sur elle sans trop me casser la gueule. Elle avait deviné ce que je m’apprêtais à faire. J’ai grimpé sur elle et nous avons filées le bas de la montagne pour finalement aller en ville. Les bonbons allaient enlever le goût de terre horrible que j’avais dans la bouche.

Une fois près du marché, je suis descendue du dos de la licorne et je l’ai laissé se promener dans les environs. Je ne pouvais pas vraiment l’emmener dans le marché. Tu essaieras ça toi, de trimbaler une licorne dans une place bondée de monde ! Elle prend trop de place et on est déjà coincés dans le marché, pas besoin de se coincer encore plus ! Sauf que… Aujourd’hui, c’était bizarre. C’était mort ! Ah, Amaryllis aurait pu venir alors… Tant pis ! J’étais en chemin vers le marchant de bonbons que j’adorais tant. J’étais même devenue une cliente régulière. On dit jamais non au sucre ! On dit que dans la vie on a tous une âme sœur. La mienne, c’est le sucre, y’a aucun doutes là-dessus ! J’pourrais peut-être me marier avec un jour ! Sauf que… Demander en fiançailles du chocolat ou même un cupcake, c’est pas facile… Mais DÉ-TAIL ! Osef que ça a pas de sens ! Phoque la logique, ouais ! J’avais le sourire aux lèvres lorsque quelque chose venait d’attirer mon attention. HEY ! MAIS C’EST UNE PIÈCE ÇA ! JACKPOT ! Non, j’suis pas radine, mais de l’argent qui tombe du ciel comme ça, comment cracher dessus ? Faut prendre les chances qui se présentent à nous et c’est exactement ce que je vais faire ! Ça allait me permettre de m’acheter encore plus de sucreries ! L’idée était géniale ! Je me suis approcher de cette dernière et je me suis penchée pour le prendre. Mais c’est quoi ça ? Pourquoi elle bouge ? J’ai froncé les sourcils et j’ai tenté de la reprendre et hop ! Encore une fois, elle s’est éloignée. Je l’ai refait encore une fois. WTF ?! Je me suis redressée et j’ai essayé de donner un coup de pied à la pièce et elle venait encore de ficher le camp. Roooooooh ! Chiasse ! Non, mais c’est quoi le but ?! Je suis aussi redressée en tournant sur moi-même en essayant de trouver un quelconque coupable. « C’EST QUI LE CONNARD QUI FAIT ÇA ?! ALLEZ, MONTRE-TOI, BITCH. » Oui, j’ai une très belle manière de m’exprimer. Parfois ça surprends les gens avec mes airs de gamine. Mais bon, OSEF !

Je cherchais le coupable, mais je ne trouvais pas. Mais merde ! Le marché était mort, comment ne pas réussir à trouver le con qui fait ça ?! Néanmoins, le coup doit être drôle quand on le fait à quelqu’un, mais lorsqu’on est victime, c’est trop la merde ! Quand j’vais trouver j’vais… J’vais… Je sais pas tellement en fait… Crotte. Je continuais de faire le tour de moi-même en observant. Je bougeais dans tous les sens. Je reculais, j’avançais, je me tassais dans l’espoir de finir par trouver quelqu’un. Finalement, j’allais laisser tomber ! Mes sucreries étaient beaucoup plus importantes et puis… BAM. Pourquoi je suis étendue de tout mon long par terre, là ?! J’ai vraiment mal au dos. Je me redresse sur les coudes afin de constater l’obstacle qui m’avait fait trébucher. C’était un mec ou plutôt un blondinet que je venais… Non, il venait de me heurter, c’est ça ! À moins que ce soit mes deux pieds gauches qui avaient décidés de tout foutre en l’air ! Ils étaient experts dans cet art-là ! Des fois, c’était eux qui décidaient où j’allais ! J’ai regardé l’inconnu avant de me laisser tomber à nouveau de tout mon long par terre. J’sais pas s’il s’était réellement fait mal dans toute cette histoire, mais j’espérais que non. « Non, mais tu peux me dire ce que tu foutais-là, toi ?! » Politesse, Mia. Politesse ! Ça, c’est un point que j’ai à travailler. C’est pas évident, mais le cœur y est au moins. C’est toujours mieux que rien après tout !

Je me suis redressée sur les coudes bien pitoyablement en jetant un regard au mec que j’avais heurté. Non, mais il me prenait pour une débile ou quoi avec ses grands airs de connards de merdeux ?! Il voulait me rire en pleine gueule, je le voyais parfaitement. C’était estampé sur sa gueule avec des néons roses fluo. Même un éléphant unijambiste aveugle le verrait ! Génial, je suis tombée sur un connard, autant au sens figuré qu’au sens propre. J’allais lui montrer moi qu’il ne paierait rien pour attendre, cet insolent ! Moi, qui riais de la gueule des autres qui se plantait… J’avais surement un mauvais karma pour me foutre les pieds dans une pareille situation. J’allais me relever lorsque je le vis montrer la fameuse pièce au bout d’une ficelle. C’ÉTAIT DONC LUI ! CE CON. Je… Je… J’allais pousser une réplique bien sentie lorsqu’il alla pousser plus loin sa stupidité. Il avait balancé la corde pour prendre mon sac et de filer à l’anglaise, CE CONNARD. J’allais le tuer ! Si seulement j’avais eu Ethan avec moi à ce moment-là… NON. Je suis pas une fille à son grand frère, mais des  fois, Ethan cassait des gueules avant même que j’ai à lever le petit doigt. Mais, je ne lui dirais rien de ce qui venait de se produire car je sais me débrouiller toute seule. Comme une empotée, mais j’essayais quand même d’arriver à mes fins. J’avais tout dans mon sac et là, j’avais terriblement besoin de serviettes hygiéniques et/ou des tampons ! Il n’avait vraiment pas choisis son moment pour débarquer celui-là ! Il allait crever ce petit con de mes deux !

Je me suis alors redressé tant bien que mal. Mes jambes et mes coudes me faisaient souffrir, mais j’essayais de ne pas trop y penser. J’étais enragé et il allait y gouter à ma fureur, ce débile. Je me suis lancée à sa poursuite en hurlant : « HEY ! REVIENS ICI SALE MORVEUX ! » La grosse classe, je sais. À cette heure-là, le marché commençait à se remplir davantage et il fallait bousculer les passants pour se frayer un chemin. C’est exactement ce que je faisais sauf qu’avec ma maladresse habituelle et ma petite taille, ce n’était pas évident. Plusieurs fois, j’arrivais pas à me faufiler et ça m’énervais. « Excusez-moi ! … Excusez-moi ! … Ex… MAIS POUSSEZ-VOUS, BORDEL ! » Hurlai à pleins poumons en poussant ceux qui se trouvaient sur mon chemin en y mettant ma fureur. Ils ne la méritaient pas comme du tout, mais il fallait que ça sorte et je devais suivre ce petit con à la trace même si je n’étais plus certaine de le voir encore. Je courais encore en continuant de me faire un chemin à travers la foule. Je progressais plutôt bien jusqu’à ce que je heurte quelqu’un et que je la fasse tomber à la renverse. Miss Maladresse c’est bien moi, ça ! Ou Gostonne La Gaffe. Je venais de tomber sur une blonde aux yeux verts et aux allures de garçon manqué. « Je suis… » « Wôw, man ! On dirait que t’as le feu au cul, ma chérie ! Ou j’sais pas trop ! T’es okay ? » Je me redressai en soupirant longuement. « Oui, ça va. » Lancai-je avant de me tourner à nouveau vers elle et de d’ajouter : « Dis, tu n’aurais pas vu un mec avec une tronche de connard qui courait avec un sac à la main ? » « Arrrf… Sérieux, j’sais pas, man. P’t’êt’e par-là ! » Lâcha telle avec une intonation typiquement masculine et déroutante pour une fille. Elle pointa une direction et je lui ai balancé un merci avant de courir plus vite dans cette direction. Il allait voir de quel bois je me chauffe cet imbécile.

Je m’arrêtai à bout de souffle et j’avais un point au niveau des côtes du côté drit à cause de mon essoufflement. J’ai tourné sur moi-même en observant les environs. Merde ! Je l’avais encore perdu ! Des larmes de frustration me montèrent aux yeux et je fermai les yeux en inspirant longuement. Calme-toi, Mia. Du Calme. Une fois les yeux de nouveau ouverts, je me suis de nouveau élancer à sa recherche. Allez… Ou est-ce qu’il pouvait bien être ? C’est pourtant pas difficile de trouver un blondinet ! En fait, dans une grosse assemblée, oui, c’était le cas. Il aurait pas pu avoir les cheveux d’un couleur extravagante comme vert radioactif ou encore jaune pisse ? Je venais de passer devant une vitrine lorsque quelque chose ou quelqu’un attira mon attention. Je me suis retournée aussitôt. Il était assis là, bien pénard avec sa tronche arrogante. Je suis entrée en trombe dans la boutique et une fois à sa hauteur, je lui ai littéralement sauté dessus, le faisant renverser lui, sa chaise et la table au passage, tout ça dans un magnifique vacarme. Il le méritait mille fois qu’une. J’essayais de le maintenir au sol en étant « à cheval » sur lui. « DONNE-MOI MON SAC, CONNARD ! » Criai-je en le ruant de pleins de coups de poings. Il le méritait pleinement, sale merdeux. Des plaintes résonnèrent autour de nous dans un brouhaha typique aux boutiques et restau’ bondés. J’crois que les gens n’ont pas appréciés le vacarme. On nous gueulait de dégager et qu’on perturbait le bon fonctionnement de la place publique ou quelque chose comme ça ! Mais c’est qu’ils étaient agaçants ! J’voulais juste mon sac ! Je restai sur le mec malgré ma petite taille pas du tout imposante et mon poids plume. Dans un autre contexte notre position serait… Ouaaaaaaais. Inappropriée pour des yeux ou oreilles chastes, mais ça, ça ne se produirait JAMAIS avec ce mec-là. YEURK. Je lui donnai un coup de poing sur le torse en fulminant : « Prends pas tes fantasmes pour la réalité, c’est purement… Profes… Enfin, en cas de nécessité ! Azy donnes-moi mon foutu sac, si tu veux pas te retrouver avec des tampons bien profonds dans tes narines, morveux ! » Et je lui ai donné une gifle. Tu te bats comme une fille ou tu te bats pas comme une fille, hein…

Je lui jetai un regard assassin en le maintenant au sol. Il allait me le redonner mon foutu sac à la fin ?! Ce mec, était sérieusement un taré ! Il me faisait royalement chier ! D’autant plus que c’était pas le moment pour m’énerver ! Il ne perdait rien pour attendre celui-là. J’allais lui donner une autre gifle bien méritée lorsqu’il ne se priva pas pour jouer les connards de premières. « OOOOOH TU AS TES REGLES ! » Avait-il gueuler, comme un con. Bravo, le génie ! Tu pouvais pas être moins subtil ?! J’en restais complètement bouche-bée. Est-ce qu’il venait de réellement de crier ça ? Oui. Oh my god. Plus idiot que ça, tu meures ! Je l’ai regardé et je n’ai pas du tout aimé voir ce que j’y ai vu. Il avait quelque chose en tête, ça se voyait à des kilomètres à la ronde. J’avais un peu peur de ce qu’il allait faire et quelque chose me disait que je n’avais pas envie de le savoir. « Bah attend, je vais te les rendre tes tampons ! » Aaaaaah ! C’était pas trop tôt pour me rendre mon sac à main si précieux ! C’est que j’avais absolument tout là-dedans ! Sans lui, je suis perdue. En plus… WAAAAAAAAAAAIT, WHAAAAAAAAAT ?! Pourquoi, j’ai deux tampons dans les narines ?! OH PU-TAIN ! J’allais le TUER ! OH MON DIEU ! Il ne tenait définitivement pas à la vie celui-là ! Mon poing s’était refermé pour lui balancé un coup qu’il venait de me faire tourner. Ohhh… Ça tourne vraiment ce truc. Merde ! Lorsqu’il me lâcha, j’ai tourné encore un coup avant de m’écraser en beauté sur les fesses. Aïe. J’avais les mains sur la tête et les yeux clos en attendant que l’étourdissement cesse. Il faisait vraiment chier ce petit connard de mes deux ! Une fois de nouveau sur mes pieds, j’ai enlevé les tampons de mes narines. Beuuuuuuurk ! Je les ai lancés par terre avant de m’élancer dehors. Je ne savais plus du tout dans quelle direction aller. ARRRRRRGH ! C’est AFF-REUX.

J’ai essayé dans un magasin, ce fut un échec cuisant. MERDE. MERDE. MERDE. Qu’avais-je fais pour mériter ça, mon Dieu ? J’allais… J’allais… J’allais… Je sais pas du tout en fait ! C’était quoi son problème à lui ?! Au bout de plusieurs boutiques, j’étais à cours d’idée et j’commençais à paniquer. J’avais presque envie d’alerter Ethan. Mais… Ça serait un très mauvaise idée parce que je ne suis pas une petite fille à son grand-frère. Comment ça, ça se dit pas ? Non, mais je t’emmerde toi et ta logique pourrie ! OSEF, MON GARS ! OSEF ! Mon regard se promenait partout dans l’espoir de voir apparaître sa tête blonde de petit merdeux. Sauf que… Ça ne se produit pas. MAIS MERDE. J’entrai dans une boutique, le feu au cul comme on dit. J’allais abandonner lorsque sa silhouette est apparue dans mon champ de vision. Enfin… Je pense que c’était lui. Mais… Ah non, c’était clairement pas lui, vu le chapeau. Quoi que… Je m’avançai lentement en me cachant à travers les rayons de vêtements afin de ne pas me faire voir. C’était carrément suspect, mais je ne tenais pas vraiment à ce qu’il me voit si jamais c’était lui le fautif. Je m’approchai en douce un peu comme un ninja, mais… Sans la classe d’un ninja. Un ninja emporté, quoi ! Il était maintenant à moins de deux mètres de moi et je venais de m’accroupir derrière une rangée de vêtements en l’observant d’en haut. « Qui aime bien châtie bien ! Comme on dit ! » BINGO ! C’était sa voix ! C’était lui le coupable ! Je me suis aussitôt redressée en lui sauta dans le dos. Comme ça, on aurait dit que j’étais accrochée à son dos en mode koala. « SALE PETIT CON ! RENDS-MOI MON SAC ! » criai-je, ce qui a eu pour effet que tous les autres clients s’étaient retournés vers nous. Non, mais il allait pas finir par me le rendre un jour ?! J’espérais que oui parce que là… C’est saoulant. Il m’énerve. Finalement, je l’ai rué de coups aussi en m’agrippant à lui avec mon autre bras. On pouvait me dire pourquoi je tombais généralement sur des connards ? Finalement, j’essayais d’attrapé mon bras qui tenait mon sac sauf que c’était pas évident faut avouer. J’allais lui péter sa gueule bordel ! Une vendeuse débarque oh merde, oh merde oh merde ! « SORTEZ D’ICI TOUT DE SUITE ! MAINTENANT ! ALLEZ JOUER LES GAMINS AILLEURS ! C’EST UNE BOUTIQUE ICI ! PAS UN PARC D’AMUSEMENT DE MCDONALD’S ! » avait-elle hurlé. Aïe, mes oreilles. Puis, dans un élan de rage peut-être, je l’ai mordu dans creux entre la base du coup de le début de cou. Pour le surprendre, c’était le cas de le dire, je pense. Ça allait peut-être lui faire lâcher prise mon sac. Je croisais les doigts mentalement en tout cas.