L'histoire, c'est passionnant

Ruth I. Pieter
Feat' Diane

« L'histoire, c'est passionnant »

Ruth regardait d'un coin de l’œil la jeune fille, elle n'osait pas trop utilisé ses dons télépathique, elle avait l'impression de violer la personne à qui elle faisait cela. Son dos lui servait en cas de problème, là elle en avait aucun, juste une jeune vampire qui semblait à la fois dans son monde et l'écouter. Ce mélange était étrange, peut-être trop pour elle. La blondinette secoua sa tête. Elle savait qu'à chaque pause qu'elle prenait dans son discours, à chaque mot, elle pouvait être oublié par son public du jour. Elle remit une mèche blonde derrière son oreille. Elle n'abandonnerait pas tant qu'elle aura des choses à dire qu'elle avait l'attention, au moins un peu de son public, bien que par moment il semblait ailleurs, elle en avait vu d'autres. Ce n'était pas cela qui changerait sa vie. Elle prit une grande respiration afin de reprendre là où elle en était, il vrai qu'elle avait pas mal résumé l'histoire des dieux, elle avait fait car elle sentait que son attention s'envolait. Elle voulait pas que ça arrive, pourtant elle ne pouvait rien faire pour empêcher cela d'arriver.

-Zeus est connu pour ces coups de foudres multiples et variés, malgré qu'il soit le dieux suprême, il s'est pas mal liés au mortels, Hera par moment punissait les gens qui s'était fait séduit par son mari. Il lui avait promis fidélité après tout, mais l'amour est une chose que même les dieux ont du mal à le contrôler, il suffit de voir comment est le mari de la déesse de l'amour, difforme à cause de cette jalousie dont fait preuve la dame du dieu des dieux. Nos dieux sont bien plus humains que certains d'entre nous, ils se trompent, tombent amoureux, font des bêtises. Tout dieux confondu, ils ont tous une histoire où ils sont montrés sous le jour de leur faiblesse. Ils sont fier, mais maladroits. C'est peut-être pour cela qu'il ont crée cette île, fin je n'en sais pas plus pour cette île.

Elle passa une main sur la couverture en cuir du livre qu'elle avait reçu de la jeune fille. Il avait l'air ancien, plus qu'elle, mais ce n'était guerre compliqué. Elle avait à peine deux siècles, mais sa chère mère lui avait appris le latin et grec ancien si bien qu'elle n'avait aucun souci pour lire ces livres anciens. Elle remerciait mentalement ce coup de folie de sa génitrice. Ce n'était pas la langue qui lui faisait peur, puis ici tout le monde ici se comprenait comme si les dieux avait lancé un sort à ces terres, les langues n'existait plus. Ils se comprenait et ce malgré leurs origines bien différentes. Elle sourit doucement, ça avait un côté pratique dans ce sens.

-Il y a aussi des dieux qui décide de rester vierge, comme Dame Artémis se consacrant à sa tâche, il lui arrive cependant de prendre une jeune fille sous son aile pour en faire d'elle une chasseresse comme elle. La chasse n'est pas qu'une chose pour tuer, la véritable raison de cette chose c'est garder une équilibre entres les espèces.

Elle marqua une petite pause, plongeant son regard dans celui de son public, elle aimait bien l'histoire, c'était une passion, on pouvait le voir quand elle en parlait à cette jeune fille, elle avait accompagné certaines phrases de gestes pour rendre son discours plus intéressant pour cette jeune fille, qui semblait avoir aussi traversé une époque. Sa transformation devait daté de pas grand chose après la naissance de Ruth ou elle aimait les habits de ce style. Elle n'avait pas envie de poser la question, c'était assez indiscret comme chose à demander. Elle entendait les gens autours dans la bibliothèque la quitter petit à petit comme si son histoire les ennuyait, tout ce qui comptait c'est que cette jeune reste au moins encore un peu. Elle parlait beaucoup, elle l'écoutait, c'était agréable, mais elle aimait aussi quand on lui répondait, cette jeune dame devait être timide pour le faire. Elle la comprenait dans le fond.

-Poséidon, aussi farfelu que ça soit est le père des chevaux, un peu étrange pour le dieu des mers d'être le créateur d'une créature terrestre, lui qui reste toujours dans ses océans. Athéna bien que sage et réfléchie s'est emportée sur une tisseuse et la transformée en araignée. Elle a regretté l'avoir tué par jalousie.

[HRP: en espérant que ça te va, j'étais malade ^^"]

L'histoire c'est passionnant

«Poséidon, aussi farfelu que ça soit est le père des chevaux, un peu étrange pour le dieu des mers d'être le créateur d'une créature terrestre, lui qui reste toujours dans ses océans. Athéna bien que sage et réfléchie s'est emportée sur une tisseuse et la transformée en araignée. Elle a regretté l'avoir tué par jalousie. Zeus est connu pour ces coups de foudres multiples et variés, malgré qu'il soit le dieux suprême, il s'est pas mal liés au mortels, Hera par moment punissait les gens qui s'était fait séduit par son mari. Il lui avait promis fidélité après tout, mais l'amour est une chose que même les dieux ont du mal à le contrôler, il suffit de voir comment est le mari de la déesse de l'amour, difforme à cause de cette jalousie dont fait preuve la dame du dieu des dieux. Nos dieux sont bien plus humains que certains d'entre nous, ils se trompent, tombent amoureux, font des bêtises. Tout dieux confondu, ils ont tous une histoire où ils sont montrés sous le jour de leur faiblesse. Ils sont fier, mais maladroits. C'est peut-être pour cela qu'il ont crée cette île, fin je n'en sais pas plus pour cette île. »

Diane hocha la tête d'un air entendu. Elle comprenait et suivait l'histoire aisément. C'était clair, net et précis, permettant à son cerveau farfelu d'emprunter les chemins sinueux et escarpés décris précédemment. Après tout, c'est plus facile de comprendre quand on a de bonnes bases et la blonde lui permettait de partir de bon pied. Celle-ci continua par ailleurs son récit :

-Poséidon, aussi farfelu que ça soit est le père des chevaux, un peu étrange pour le dieu des mers d'être le créateur d'une créature terrestre, lui qui reste toujours dans ses océans. Athéna bien que sage et réfléchie s'est emportée sur une tisseuse et la transformée en araignée. Elle a regretté l'avoir tué par jalousie. »

La jeune vampire leva les yeux au plafond comme si celui-ci pouvait l'aider à répondre à ses question. Si Poséidon est le dieu de la mer, et le père des chevaux, ça veut dire qu'il a d'abord créé les hippocampes ? Car après tout c'est les chevaux de la mer, non ? Puis pourquoi elle s'est énervée ? Puis normalement faut pas faire ce qu'on sait qu'on va regretter... Enfin, le plafond ne bougea pas d'un pouce. Et oui, Alice, il n'y a qu'au pays des merveilles que cela peut arriver. Ici tu es dans la re-à-li-té. Elle fit la moue, non, le plafond ne dira rien. Pfff. Quel grossier personnage ! Pensa-elle.

Il fallait donc qu'elle pose ses questions. A la seule personne présente et capable de lui répondre. Soit la blonde. Elle prit une grande inspiration et demanda alors :
« Dis, il a créé les chevaux de la mer ? Les hippocampes ? Ou alors les chevaux vraiment sur la terre.. ? Car ma sœur m'a dit une fois que les êtres ils avaient évolués, certains poissons ont bénéficié de pattes, alors ça se trouve Poséidon il a créé les hippocampes et certains ont eu des membres... ? »

D'un point de vu scientifique, cela n'était pas faux, effectivement le animaux ont évolués et évoluent encore. Mais il suffit de voir la taille des chevaux des mers pour comprendre qu'ils n'ont aucun lien avec les équidés d'aujourd'hui.

Diane décroisa ses bras, signe d'ouverture mentale. Elle se sentait bien plus à l'aise qu'au début et bien qu'elle n'ai prononcé que très peu de mots en comparaison à son interlocutrice, elle l'aimait bien. C'était moins barbant que les cours qu'elle suivait chez elle et bien plus amusant. Là elle découvrait un monde qu'elle connaissait plus ou moins déjà, s'aventurant dans les chemins inconnus de l'histoire, de ses ancêtres. Beaucoup de gens lui avaient décrit la création de la terre, et chaque création différait, ce qui rendait la compréhension compliqué. Qui de Dieu ou des molécules avait créé les océans, les poissons, la terre, l'acier, le four à micro-ondes ? Puis Dieu il s'est dit à un moment dans sa vie « ah j'vais faire croire aux humains que c'est eux qui ont créé le micro-ondes mais en fait je vais les aider beaucoup » ? Ou c'est l'homme qui dicte ses choix ? Fort compliqué tout ça hein ? Puis qui de Dieu et de l'homme a créé l'autre ? Ca aussi, on n'a pas la réponse. Enfin, la jeune historienne démêlait les fils de l'histoire et de l'incompréhension avec talent. Et la vampire aimait bien cette version des faits, faite de magie et d'humains.

< c > Cali', don't touch. ♥

Ruth I. Pieter
Feat' Diane

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Ruth la vit levé les yeux au ciel, ce n'était pas bon signe pour elle, son public commençait à s'ennuyer, elle devait y remédier du mieux qu'elle pouvait. Elle se mordit doucement les lèvres. Elle regardait la jeune fille, elle toisait le plafond bien ordinaire, d'une blancheur presque irréelle, puis elle vit qu'elle descendait les yeux pour revenir sur elle. La vampire sourit doucement en la voyant faire. Elle lui posait une belle question. Les hippocampes sont-ils des œuvres de Poséidon. Sûrement, puis la jeune fille lançais l’explication scientifique. Elle retint avec mal un rire, elle aimait ces scientifique, vraiment, mais ils avaient le don de tout rationalisé un peu trop à son goût, les histoires sont faites d'aventures et d'imagination, notre passé comme avenir sont lié à l'imaginaire, les être humains magiques ou non. Elle vit que la jeune fille décroisait les bras, quelque chose avait changé, elle ne l'expliquait pas. Elle garda son sourire doucement.

-Oui, je pense bien qu'il soit le responsable. Les hippocampes sont bien plus petits que les cheveaux. Personne ne pourrait grimper dessus, à moins de les agrandir avec une magie, c'est impossible. Après les dieux sont des êtres magiques qui on leur limites, bien qu'il faut vraiment chercher pour les trouver. Puis, il est préférable de les laisser en paix, leur punition sont d'un autre niveau.

Elle frissonnait de tout son long, elle n'imaginait pas ce que les dieux pourrait faire pour la punir elle. Ruth n'avait rien fait, elle se créait le pire des scénarios. Elle retint avec mal son grognement, il mourut dans sa gorge. Elle prenait son temps avant de remettre à parler, puisque la discussion semblait ouverte à présent, elle pouvait sortir pas que des faits historique, bien que ça lui plaisait beaucoup d'étaler son savoir à cette jeune fille. Elle avait vraiment adoré ce moment où elle avait parlé si longuement, qu'elle avait à présent besoin d'un peu d'eau. Elle rit doucement. Avec cette jeune fille, il fallait faire quelque chose d'intéressant. Elle aimait les histoires bien racontée comme une jeune enfant, c'était adorable quand elle y pensait. Au fond, elle avait réagit comme une enfant, curieuse et capable de retenir le moindre mot qu'elle prononçait. Cette sensation d'être utile se renforçait sans qu'elle l'explique. Elle se leva et alla chercher un peu d'eau pour sa gorge, elle n'avait plus parler autant depuis au moins une vingtaine d'années. Elle déposait son verre en douceur.

-Les dieux, il y a absolument pour tout ce qui existe dans ce monde. D'après les gens ils vivent ici sur cette île, mais il est assez rare de les croiser. Vous aurez cette chance ou ce malheur tout dépends du dieux et de son humeur. Faites cependant attention, ils sont connu pour être beaux.

Elle rit un peu, il est vrai qu'avoir une aventure avec ce genre personnage avait quelque chose d'assez exaltant. Puis après il fallait assumer le gosse tout seul. Un enfant, elle se demandait si un jour elle aussi, elle en aurait, elle n'était pas prête à ça. Pourtant elle était assez mure pour supporter les cris d'un bébé. Après il avait un souci de taille, trouver le père et ce n'est pas l'autre poilu qui allait l'être. Enfin, elle retournait à cette fille, avait-elle dit son nom ? Si c'était le cas, elle ne l'avait pas entendu. Elle se frotta les cheveux doucement avant de sourire.

-[color:a2a7=660066]Il y a eu aussi des héros qui ont défié les dieux, certains en sont ressorti victorieux comme Jason et la toison d'or, tu connais cette histoire ? Je l'aime bien. Elle est assez spéciale cependant, penser comme un scientifique quand on parle de mythologie, c'est un peu comme si tu trouvait des cerises en hiver.

Elle garda son sourire aux lèvres, il ne voulait pas se décoller de son visage, comme si ces histoires les avaient liés malgré elles. Elle ne savait pas son prénom, mais ce n'était pas grave, elle serait dans sa tête, une de ses élèves favorite, elle avait des préférences, mais faisait tout pour les cacher à ceux qui prenait son enseignement. Elle faisait partie sans le savoir de ce cercle secret avec Alan. Elle but à nouveau de l'eau et la regarda avec un sourire doux.

[Un peu d'eau]

L'histoire c'est passionnant

« Oui, je pense bien qu'il soit le responsable. Les hippocampes sont bien plus petits que les cheveux. Personne ne pourrait grimper dessus, à moins de les agrandir avec une magie, c'est impossible. Après les dieux sont des êtres magiques qui on leur limites, bien qu'il faut vraiment chercher pour les trouver. Puis, il est préférable de les laisser en paix, leur punition sont d'un autre niveau. »

Punitions ? Diane réfléchissait. Si jamais un jour, sa folie devenait démesurée et effrayante, est-ce qu'ils la tueraient ? Est-ce qu'ils pourraient abréger ses souffrances ? Car après tout, Diane avait une vision de la mort bien à elle, détachée de celle que les autres peuvent avoir. Elle la voit comme un soulagement, un renouveau qui sait. Parce que sa vie la ronge, et les seuls moments où elle se senti libre, c'est quand elle créé ou elle écoute une histoire, comme maintenant. Là elle est bien. Parce que la conteur est douée, parce qu'elle sait emmener Diane dans un monde où sa folie est bien futile, un monde d'Histoire. Un monde qui vit dans le passé.

La blonde alla se chercher un verre d'eau. Compréhensif, elle devait bien avoir parlé durant vingt minutes sans s'arrêter. Il fallait aimer parler pour aimer Diane, puisque ça n'est jamais elle qui discute. Elle écoute, tout le temps, porte une grande attention à chaque mot ou a chaque mouvement, mais ne dit rien. Parce que plus on en dit, plus on est jugé. Si on ne dit rien on n'est pas jugé. C'est là une des choses que la vampire a apprise à ses dépends. Si un jour l'envie lui prend, elle écrira un livre, il s'appellera « Comment vivre en société quand on est fou ». Ca sera un beau livre, une couverture en cuir rouge avec des lettres manuscrites en or, avec de belles images en couleurs qui trancheront avec les mots durs qu'elle sera obligée d'utiliser, car on ne peut décrire sa vie avec des jolis mots. De jolis mots qui sont utilisés pour décrire les contes, qui finissent toujours bien. Ou pas. Les premières versions sont souvent glauques et ont été revisitées pour ne plus faire pleurer. Diane, c'est le conte original. Le conte qui n'est pas changé, qui est destiné à être tragique. Car nous connaissons tous la fin. Seul un miracle pourra la sauver.

La douce voix de la blondinette qui reprit son histoire fit sursauter Diane :

« [color=#660066Les dieux, il y a absolument pour tout ce qui existe dans ce monde. D'après les gens ils vivent ici sur cette île, mais il est assez rare de les croiser. Vous aurez cette chance ou ce malheur tout dépends du dieux et de son humeur. Faites cependant attention, ils sont connu pour être beaux. [/color] »

Diane pencha la tête. Pourquoi avoir peur de quelque chose de beau ? Après tout ce qui est beau n'est pas effrayant. En tout logique, le beau attire, pas ce qui fait peur. Diane rangea cette question dans le coin supérieur droit de son cerveau et continua à écouter ce que la blonde disait :
« Il y a eu aussi des héros qui ont défié les dieux, certains en sont ressorti victorieux comme Jason et la toison d'or, tu connais cette histoire ? Je l'aime bien. Elle est assez spéciale cependant, penser comme un scientifique quand on parle de mythologie, c'est un peu comme si tu trouvait des cerises en hiver.

Diane cligna des yeux puis dit alors :
« Non, je ne la connais pas. Tu peux me la raconter ? Oh, et puis, avant ! Pourquoi avoir peur de quelque chose de beau ? Puis il existe pas un Dieu des cauchemars ? Ou un Dieu du mal ? »

Diane ne connaissait que très peu de Dieux, pour ne pas dire ne connaissait que ceux que la jeune professeur avait cités. Elle était donc curieuse de savoir si les Dieux n'étaient que des gens bons et forts, intelligents et matures. Où si il y en avait, qui comme elle, sortaient du lot...

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Ruth I. Pieter
Feat' Diane

« L'histoire, c'est passionnant »

Ruth l'entendait réclamer cette histoire, elle sourit. Elle avait réussi à enchaîner sur une autre histoire, il y en avait des tas et le temps pour les raconter, elle quitterai la bibliothèque que lorsque les responsables la jette dehors, comme il y avait d'autre vampire, elle pouvait aisément penser qu'elle restait ouverte une bonne partie de la nuit. Les siens aimaient l'obscurité, c'était connu. Même si elle ne se gênait jamais pour se balader en pleine journée. Sa peau ne prendrait jamais le soleil. Elle sourit avec tendresse à son jeune public. Elle devait reprendre la parole, pourtant elle n'était pas si pressée de la reprendre. Elle se demandait quel était le nom de la jeune fille, peut-être le dirait-elle plus tard, elle pouvait toujours espérer. Elle posa un regard sur la couverture.

-Il y a Morphée, le dieu des songes, je suppose qu'il gère bon comme mauvais rêve. Pourquoi avoir peur de quelque chose de beau ? En voilà une belle question que voilà comme le dit un proverbe toute rose à ses piquants. Les dieux comme elles, les gens beaux sont comme ses fleurs. Il n'y a pas de dieux du mal à proprement parlé, disons ça dépens ce que tu attends par le mal. Les définitions de ce mot diffère selon la personne. Comme il y a pas un dieu du bien. Il y a une déesse de la sagesse pas du savoir, car comme le bien ou le mal le savoir est une chose assez personnelle.

Elle prit un nouveau une gorgée d'eau, si elle parlait beaucoup, il fallait qu'elle boive quelque chose optant pour quelque chose de non-alcoolisé pour garder constance, bien qu'elle n'en avait pas vraiment besoin de se méfier, prudence est mère de toute vertu comme disait l’adage. Elle regardait cette jeune fille, qui aurait pu dire qu'elle trouverai ici quelqu'un d'assez timide et curieux pour l'écouter durant tout ce temps. D'autres en aurait profiter pour filer à l'anglaise comme sa classe. Ah les gosses. Elle roula doucement les yeux en y pensant. Puis elle avait au moins une personne qui s'intéressait à elle. Ou ces histoires plutôt, mais qu'importe. Elle aimait parler et dire des choses instructives, bien que les légendes étaient mises en avant. Ruth passa un moment dans ses pensées avant de reprendre.

-Donc l'histoire de la toison d'or. Déposséder de son trône par son oncle, le jeune homme le réclamera à corps et cris, après avoir aidée une vielle dame à traversé la rivière, ignorant qu'il s'agissait d'Hera. Malin le roi actuel lui promets de lui rendre à condition qu'il rapporte la fameuse toison de l'île où elle était cachée. Avec l'aide de la mère des dieux et d'Athéna, il construira un bateau. Il partira de son royaume dès que celui-ci est fini, il fera une assez désagréable escale durant son voyage, il jura au roi de ces terres qu'il regretterai plus tard son manque d'hospitalité, histoire que se vérifiera avec la guerre de Troie. Il arrivera à destinations après vogué quelques temps. Il rencontre le roi qui possède cette toison qu'il convoite tant. Naturellement, il ne veux pas la céder que si il affronte une épreuve surhumaine. Il devait semé des dents de dragons à l'aide de chevaux féroces. Ce qu'il ne savait pas c'est que ces dents de reptile volant légendaire donnait naissance à de guerriers qui l'attaquaient. Il sera aidée par la fille du roi dont il tombera amoureux. Grâce à elle, il arrive à l'avoir. Rusant un peu, il attendra que la nuit tombe pour la récupérer, endormant le dragon qui la gardait à l'aide de la magie de dame dont il s'était épris. Il revint chez lui après cela et récupéra son trône. Malheureusement pour lui cette histoire finira mal. Son oncle avait tué le père du héros, et sa vengeance mènera à sa perte.

Elle avait tout raconter en un coup, bien sûr, elle avait pris des pause à chaque point, chaque virgules. Elle n'avait pas prit autant de temps que pour expliquer l'histoire de la toison, d'abord aidé par deux déesse puis tué par probablement une mage comme elle avait vue ici. Cette légendes et d'autres confirmait la présence de ces gens dès l'Antiquité.

[Toison d'or]

L'histoire c'est passionnant

« Il y a Morphée, le dieu des songes, je suppose qu'il gère bon comme mauvais rêve. Pourquoi avoir peur de quelque chose de beau ? En voilà une belle question que voilà comme le dit un proverbe toute rose à ses piquants. Les dieux comme elles, les gens beaux sont comme ses fleurs. Il n'y a pas de dieux du mal à proprement parlé, disons ça dépens ce que tu attends par le mal. Les définitions de ce mot diffère selon la personne. Comme il y a pas un dieu du bien. Il y a une déesse de la sagesse pas du savoir, car comme le bien ou le mal le savoir est une chose assez personnelle. »

Rêves ? A-t'elle dit rêve? Ce Dieu là avait-il vu ses rêves ? Et ce qu'elle vivait ? Connaissait-il Wonderland ? Si oui, il fallait qu'elle la rencontre ! Elle rangea cette chose à savoir dans la partie inférieure droite de son cerveau cette fois. Ruth continua son récit :

-Donc l'histoire de la toison d'or. Déposséder de son trône par son oncle, le jeune homme le réclamera à corps et cris, après avoir aidée une vielle dame à traversé la rivière, ignorant qu'il s'agissait d'Hera. Malin le roi actuel lui promets de lui rendre à condition qu'il rapporte la fameuse toison de l'île où elle était cachée. Avec l'aide de la mère des dieux et d'Athéna, il construira un bateau. Il partira de son royaume dès que celui-ci est fini, il fera une assez désagréable escale durant son voyage, il jura au roi de ces terres qu'il regretterai plus tard son manque d'hospitalité, histoire que se vérifiera avec la guerre de Troie. Il arrivera à destinations après vogué quelques temps. Il rencontre le roi qui possède cette toison qu'il convoite tant. Naturellement, il ne veux pas la céder que si il affronte une épreuve surhumaine. Il devait semé des dents de dragons à l'aide de chevaux féroces. Ce qu'il ne savait pas c'est que ces dents de reptile volant légendaire donnait naissance à de guerriers qui l'attaquaient. Il sera aidée par la fille du roi dont il tombera amoureux. Grâce à elle, il arrive à l'avoir. Rusant un peu, il attendra que la nuit tombe pour la récupérer, endormant le dragon qui la gardait à l'aide de la magie de dame dont il s'était épris. Il revint chez lui après cela et récupéra son trône. Malheureusement pour lui cette histoire finira mal. Son oncle avait tué le père du héros, et sa vengeance mènera à sa perte. »

Diane avait du mal à ranger toutes les informations dans sa tête, tout allait vite, vite, vite vite. Vive ! Elle classait, plus ou moins bien, « je rangerais plus tard » pensa-elle. Après tout il fallait tout d'abord récolter les informations avant de les ranger, dans l'ordre, dans le tiroir du bas de son cerveau. Une fois le récit fini, elle regarda à droite, à gauche, personne. La bibliothèque était vide, de gens, de vie. Il ne restait qu'elles : une professeur, une élève. Et la dame là bas qui couvre les livres fraîchement arrivés. Trois. Dans un espace aussi vaste, aussi importantes qu'un grain de sable dans un désert et pourtant seules traces de vie en ce lieu. Diane poussa un long soupir, puis regarda sa professeur. Depuis combien de temps l'écoutait-elle ? Depuis combien de temps était elle restée assise, là, par terre ? Assez longtemps pour avoir mal au fesses au moins. C'est à dire plus d'une heure puisque Diane était passée maître dans le fait de s'asseoir par terre dans les librairies, sans avoir mal. Son record, elle le connaît, car elle s'est chronométrée une fois, vous savez. C'est une des choses que Diane a effectué, dans sa vie. Une des choses qui ne lui servira pas, qui n'est ni science exacte ni record du monde. Mais c'est Diane, après tout.

Elle se leva, légère, dépoussiéra sa robe, lente et gracieuse. Sans un mot, elle s'avança vers la jeune blonde, lui sourit légèrement, lui adressa un signe de tête, silencieuse. La jeune vampire fit volte-face, faisant voler les plis de sa robe et sortit de la bibliothèque, le regard vide. La vie qui demeurait dans ses yeux s'en était allée. Elle voulais être seule, seule. Seule.

Elle ouvrit la lourde porte en bois, il faisait frais dehors, et retourna vagabonder dans les rues. Seule.

Diane, quelle mal élevée. Pas un au revoir, pas une fin d'histoire. Enfin, qui sait ce qui aurait pu arriver ? Elle se sentait mal, une boule dans sa gorge, un mal de tête, une tempête dans son cerveau. Mal. Mal. Mal. Seule. Seule. Seule.

< c > Cali', don't touch. ♥

Dernier post pour ma part. Merci pour ce rp, j'ai moi même bien appris. ♥

Ruth I. Pieter
Feat' Diane

« L'histoire, c'est passionnant »

Ruth passa un moment comme ça, bien sûr, elle avait encore des choses à dire, mais elle jugeait qu'elle en avait déjà dit beaucoup, il ne fallait pas abusé non plus. Elle sourit en voyant la jeune fille satisfaite de ses paroles. Elle vit son regard se poser sur elle. Flattée dans son égo, elle ne remarqua pas tout de suite que la jeune fille commençait à s'en aller. Elle avait été l'institutrice dont elle voulait être depuis un moment, comme à ses débuts. Elle ne pouvait s'empêcher d'être heureuse face à cette pensée aussi brève soit-elle. Elle la regarda l'espace d'un moment, elle sentait que malgré ses paroles, la jeune fille ne semblait pas tout à fait heureuse, elle s'enfermait dans cette solitude propre à certains de son espèce, elle la salua avec un léger sourire avant de la laissé partir. La blondinette regarda de loin ses actions. Elle ne saurait donc jamais son prénom, elle soupira doucement en se levant, les muscles un peu douloureux à cause de sa position qu'elle avait adopté malgré elle. Pourquoi sentait elle ce malaise grandir. Elle n'en savait rien, pourtant, elle était heureuse de partager ce savoir longtemps enfoui en elle. Ses connaissances ont été faites pour qu'elle les partage, son enseignement était unique, pour une intemporelle comme elle c'était devenu comme sa seconde nature, celle qu'elle retenait. Pourtant elle ne devait pas. Mais les années lui avait appris que bien vite, ses discussions pouvait être agaçantes. Elle se massa un peu les muscles qui lui faisait mal avec une petite grimace, elle aurait pu utiliser sa télépathie, mais elle s'était jurée de mettre en marche ce pouvoir qu'en cas d'extrême urgence, ce qui n'était pas le cas. Elle prit quelques livres d'histoires diverses afin d'en savoir plus et de trouver l'origine de ses semblable, pourquoi ces recherches ? Parce que elle se demandait comment et surtout pourquoi des êtres buveurs de sang intemporels existaient, apparemment depuis des millénaires certains étaient aussi anciens que les dieux. Elle l'avait déjà vu.
Elle se dirigea vers le comptoir d'un pas qui se voulait gracieux, Ruth avait une marche un peu raide dû à ces moments passé avec la jeune fille aux cheveux roses, elle semblait si fragile, elle aurait bien voulu la protéger. Elle se demandait si elle la reverrai un jour, si un jour, elle saurait son prénom, ça l'intriguait à un point inimaginable. Elle salua la dame qui tenait cet endroit, elle écrivit rapidement dans son registre sans un mot pour elle peut-être avait-elle aussi écouté. La vampire ne le savait pas et en doutait assez fortement, l'Histoire était souvent barbante pour les gens. Néanmoins, elle put voir un léger sourire se former sur ce visage. Elle avait du capté des choses qui l'avait aussi intéressée. Elle n'en saurait rien, c'était le mystère de son cours improvisé, elle lui dit son nom et porta ses livres sous le bras avant de se diriger vers les portes de bois. Elle regarda une dernière fois cet endroit, elle y reviendrait, ne serais-ce que pour revoir cette jeune fille une seconde fois. Elle se retournât et poussa la porte en bois d'une seule main, il n'y avait rien à dire, c'était pratique d'avoir de la force de temps à autre. Elle sourit à nouveau en voyant son lion venir la chercher, elle passa une main dans sa fourrure rousse. Il grogna de plaisir, elle commençait à s'éloigner de cet endroit. Les choses ont été étrange aujourd'hui, cette rencontre l'avait laissée perplexe. Elle connaissait les timides, mais jamais elle avait vu quelqu'un d'aussi introverti ou elle ne s'en souvenait pas. Ce ne devait pas être très important si elle oubliait, elle gratta son animal, elle entendait son inquiétude télépathique. Elle ne pouvait pas le rassurer, elle était elle-même prise entre deux eaux. Elle marchait lentement, pourtant pour elle ses livres ne pesait presque rien, mais à chaque pas qu'elle faisait, elle sentait que quelque chose l’échappait. Elle avait pourtant été passionnante. Elle avait fait pour, elle n'expliquait pas ce malaise monter en elle. Ruth pris sur elle et avança plus vite, elle devait rentrer chez elle à présent. Elle sentait qu'une bonne gaufre serait suffisante pour calmer ce sentiment. Elle maudissait son côté trop sensible.

[The End]

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