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 MATTHEW # Frères de don

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MATTHEW # Frères de don | Lun 28 Oct 2013, 18:22


Frères de don

Faire apparaître quelque chose d'une feuille peut-être très utile, mais je ne m'imaginais pas que plusieurs personnes possèdaient ce don.
Matthew & Embry

Le parc. Quel lieu... Etonnant. Y a plein de choses qu'on ne peut voir nul part ailleurs qu'ici, c'est incroyable, je crois que je vais venir plus souvent dorénavent. Franchement là, chapeau. La terre a bien fait son travail et tout, tout est calculer à l'avance mine de rien, tout est mathématique au fond. Par exemple, la montagne est mathématique, elle a un angle, une altitude, une latitude, une longitude et plein d'autres choses mathématiques, c'est vraiment incroyable ce que les mathématiques peuvent faire dans la vie de tout les jours. Mais bon, ici on est pas à la montagne hein, je ne vois pas du tout pour quoi j'ai pris la montagne en exemple, c'est très bizarre d'ailleurs, va falloir que je me remette dans le bain moi, métro, boulot, dodo comme on dit sur Terre. D'ailleurs je me ballade souvent en ce moment, à droite, à gauche, je ne reste pas en place, je suis peut être devnu hyperactif ? Non, ce n'est pas possible de le devenir en moins d'une semaine, et puis on ne devient pas hyperactif, on est hyperactif ou on ne l'est pas, c'est comme ça parès tout. Du coup la question est réglée, je ne suis pas devenu hyperactif, loin de là et heureusement. Je sens que je dois bouger en ce moment, peut-être que c'est juste parce que j'en ai envie ? Ou pour une autre raison qui m'est inconnue ? Il y a beaucoup d'inconnu dans la vie, encore quelque chose de mathématique tient. C'est affreux, y a beaucoup mais beaucoup trop de mathématique en fait dans la vie, faudrait réduire le nombre de choses mathématiques, parce que là c'est trop pour mon cerveau littéraire, beaucoup trop. Enfin, on a inventé les mathématiques après avoir crée la Terre, du coup c'est la Terre qui a crée les mathématiques, si la Terre n'avait pas existé, les mathématiques non plus n'aurait pas existé, par contre la moitié de la population de cette île ne serait même pas née si la Terre n'avait pas existé. M'enfin, tout cela n'est pas très intéressant, n'est ce pas ? Bon, il est temps de plier bagage et de rentrer, le soleil se couche déjà. Enfin. C'était une belle journée en fait, mais trop mathématique à mon goût. Tous les goûts sont dans la nature, c'est comme ça qu'on dit sur Terre je crois. Hum ? J'ai cru voir un truc qui ressemble beaucoup à... Tient, une feuille, il tient un truc dans les mains... Ne me dit pas que...? Non c'est impossible. Je n'y crois pas. Comment ? Il faut que je vérifie.

EMBRY # Eh euh... Toi ! Tu viens de faire apparaître ça de cette feuille non ?

Serait-il possible qu'il ait le même pouvoir que moi ?

Mage

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W. Matthew Harrington
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J'ai traversé le portail depuis le : 23/12/2012 et on me connaît sous le nom de : MISS AMAZING. Mon nom est : William Matthew Harrington. Actuellement je suis : complètement fou d'elle (Judith) Il paraît que je ressemble à : Flippy from Happy Tree Friends & quelques oeuvres originales et à ce propos, j'aimerais remercier : moi-même (edit)
Re: MATTHEW # Frères de don | Jeu 31 Oct 2013, 11:26

« Animer un objet, c'est différent de ce que tu as l'habitude de faire. Il faut que tu croies qu'il est vivant, que tu considères qu'il y a de la vie. Sans foi, rien ne bougera. Tu dessines un oiseau; si tu penses que c'est juste un oiseau, tu auras créé une statue. En revanche, si tu penses qu'il vole, alors il volera. Mais si toi-même tu n'y crois pas, ça ne marche pas. »

C'était le discours de toute une vie, d'années d'entraînement. Dans la pièce, il y avait un lion. Magnifique, le lion. Il tournait autour de nous, rugissait comme s'il s'agissait d'un vraie. Sa fourure en aquarelle était douce au toucher, et la créature était étonamment chaude. Ce lion était le plus beau que j'avais jamais pu voir dans ma vie, parce qu'il ne ressemblait à aucun autre. « Vas-y, fais-le disparaître. » Je peux pas. Demander de détruire quelque chose d'aussi beau, d'aussi vivant n'était pas aussi aisé que faire disparaître un objet quelconque.

« Je peux pas. »
« Et pourquoi ça ? »
« C'est... C'est vivant. Tu peux pas me demander de lui retirer sa vie. »
« Tu vois, on progresse. »

Je n'eus même pas la foi d'esquisser un maigre sourire. Deux heures plus tôt, j'étais en train de lui hurler dessus, persuadé qu'on ne créée pas la vie à partir de pinceaux. Alors il m'avait fait dessiner des animaux en tous genres, puis m'avait obligé à les faire disparaître. La plupart n'avaient pas pris vie, parce que je n'y avais pas cru. Les oiseaux, les chats, les chiens, les papillons... tous avaient disparu et jonchaient le sol, tapissaient les murs dans des taches colorées qui les rendait méconnaissables. Il m'avait ensuite fait dessiner le plus beau lion qu'il m'avait été donné de créer, et sous des directives, je l'avais déjà rendu vivant sur la toile. Il m'avait suffit de le tirer pour le voir sortir, et lorsqu'il m'avait renversé de mon tabouret pour poser ses pattes sur mon torse, j'avais eu quelques sueurs froides, oubliant complètement que cet animal était né sous mon pinceau. Dès lors, cet animal était devenu réellement vivant.

L'artiste s'approcha de l'animal, tandis que je restais en retrait, les bras couverts d'encre et de peinture en tout genre. Je tenais mon pinceau dans une main, incapable de le lâcher tandis qu'il s'accroupissait près de la créature, agitant lui même son pinceau tout contre le lion. Sa crinière disparut, sa fourrure sembla fondre sous les coups méthodiques donnés par cet homme qui avait su garder son sang-froid comme il ne l'avait jamais fait durant les vingt dernières années. Mon œuvre disparut, et je m'approchai doucement.

« Maintenant que tu as cette notion de vivant, il faut que tu te rappelles ce qui est réel et ce qui ne l'est pas. »
« Je sais faire la différence entre les deux. »
« Ce n'est pas ce que tu viens de me prouver, à l'instant. »

Je serrai les dents. Il marquait un point, pour le coup. « On en a fini pour aujourd'hui. » J'hochai la tête et sortit de la pièce, puis mes pas tracèrent le chemin le plus court en direction de la salle de bain. Avant de sortir, il fallait que je me débarasse de tout cela avant de passer pour un l'ouvrier-peintre que je n'étais pas. Mes vêtements roulés en boule dans un coin, j'allumai l'eau et la laissai m'ébouillanter. L'atelier dans cette maison était au fond de la cave, et quand bien même il y avait du chauffage, il était difficile de ne pas avoir froid quand on ne portait qu'un jean et un sous-vêtement.

« Matthew ? Tu as oublié tes vêtements. »
« Ah ouais. Pose-les devant la porte. »
« ... Je suis un chat, je te rappelle. Un chat, pas un chien ! Je ne rapporte pas les balles, moi. »
« Dans le genre casse-couilles, on a jamais fait mieux qu'un chat pour Affilié... »

Je coupai l'eau et rinçai les dernières traces de mousse blanche - deux passages oblige pour retirer toute la peinture - pour finalement sortir de la cabine et me sécher rapidement. J'enveloppai la serviette autour de ma taille et dégageai de la salle de bain pour m'introduire dans la chambre qui autrefois était la mienne, dans laquelle se trouvait une armoire remplie de fringues. Les retours à la maison n'était que très récents; depuis que Louka et moi avions eu deux nouveaux corps. Tout avait bien changé depuis ce jour, et parmi ces changements, il y avait mes rapports avec mon père. On continuait de se hurler dessus, mais d'une façon différente d'avant. Il me considérait toujours comme un gamin, mais maintenant un gamin plus mature. C'était un avancement considérable, puisqu'à mes yeux désormais, mon père n'était plus un ennemi.

Une fois habillé, je sortis de la chambre, Clochette aux pattes, et tombai nez-à-nez avec ma mère. La voir après autant d'années d'abstinence me faisait tout drôle, et lorsqu'elle me prit dans ses bras, je manquai de réaction. Ce ne fut qu'au bout de quelques instants que je lui rendis son étreinte, et faillit la retenir lorsqu'elle se détacha de moi.

« Tu sais Matthew... ton père est très heureux de partager tout ça avec toi. Je suis certaine qu'il a toujours voulu le faire, mais tu semblais si peu motivé par le dessin qu'il ne trouvait pas de moment pour t'en parler. Je sais je ça fair tout bizarre d'avoir autant d'attention mais... ton père t'aime beaucoup. »
« Je sais Maman. T'en fais pas. »
« Il est comme toi. Vous avez tous les deux du mal à montrer à quel point vous aimez les autres alors... ne t'en fais pas, hm ? »

Un mince sourire étira mes lèvres. Cette femme était vraiment une perle. Je l'embrassai sur le front et filai par la porte d'entrée. La matinée avait été rude, mais j'avais appris tellement de choses que je ne l'avais même pas vue passer. J'adressai un dernier signe de main à ma mère et risquai un regard vers la fenêtre, depuis laquelle je crus apercevoir les iris dorés de mon père, similaires aux miens et à ceux de ma joyeuse fratrie.
Je m'étais déjà bien avancé dans la rue quand je vis Clochette arriver au galop, tenant dans ses mains une sorte de livre. Je m'arrêtai en attendant que le chaton n'arrive, et elle ne mit que très peu de temps à cracher mon carnet de dessins à mes pieds.

« Ah. J'allais oublier... »
« OUI T'ALLAIS OUBLIER. JE SUIS UN CHAT. MONSIEUR. »
« En fait j'allais t'oublier toi. Mais c'est pas grave, considère que- AÏE ! »

Me pencher pour ramasser le bloc de feuilles n'avait pas été la meilleure idée du siècle car Clochette en profita pour me mettre un coup de griffes au visage. Je lui hurlai dessus, et elle encore plus fort. Pendant dix minutes, plus personne n'adressa la parole à l'autre jusqu'au moment où le chaton décida d'être fatigué pour venir camper sur mon épaule. Si Clochette avait été une humaine... je n'ose même pas imaginer la galère.
Mes pas se dirigèrent d'eux-mêmes vers le parc. Pas que ce soit un coin particulièrement inspirant, mais disons que pour se reposer, c'était le pied. Et puis Clochette en avait assez des espaces clos, alors je m'étais plié à ses désirs et l'avait laissée filer, pour flirter sans doute avec d'autres animaux. Parce que oui, Clochette était de ces affiliés-là, qui se comportaient comme des humains.

Je me posai dans l'herbe, sortit mon carnet de dessin, me fit aborder deux fois, mis autant de recalages et commençai enfin à mettre en application ce que m'avait appris mon père. « Sans foi, rien ne bougera. » L'oiseau se détacha de lui-même de la feuille, vola un mètre et tomba au sol. Une statue, comme d'habitude. Je levai les yeux au ciel et recommençai. La même chose se produisit, mais cette fois-ci il vola plus haut. Je soupirai et regardai devant moi, jusqu'au moment où un espèce de coincé vint m'aborder. Je me préparai à lancer un « J'suis pas gay. » catégorique jusqu'au moment où il pointa la direction des oiseaux tombés au sol.

« Toi... ? Attends un peu... C'est comme ça que tu viens de m'appeler ? »

On croirait rêver, il m'a pris pour un paysan ou quoi ? Même moi, qui n'étais pas un modèle de politesse, je n'avais jamais parlé à quiconque en l'interpellant par un "Eh toi !" au summum de l'impolitesse. L'oiseau se releva. J'en oublai complètement l'autre sale gosse, et me relevai pour mieux voir, laissant mon carnet posé dans l'herbe. L'animal dessiné au crayon, se mit à sautiller dans l'herbe, picorant le sol avec son bec minuscule. J'avais fait des progrès depuis la dernière fois, c'était indéniable. Obnubilé par mon œuvre, j'en oubliai presque que l'autre n'était pas parti.

« Pourquoi, tu veux un autographe ? »

Ne savait-on jamais... en vingt ans, en j'avais croisé des garçons bizarres.
Je tendis la main, et l'oiseau vint se poser dessus. Doucement, je l'approchai de mon visage histoire de le voir de plus près, et il n'y avait pas de doute: cet animal était bel et bien sorti de mon carnet.




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Re: MATTHEW # Frères de don | Jeu 31 Oct 2013, 14:01


Frères de don

Faire apparaître quelque chose d'une feuille peut-être très utile, mais je ne m'imaginais pas que plusieurs personnes possèdaient ce don.
Matthew & Embry

EMBRY # Regade maman ! C'est pour toi !

MAMAN # Oh c'est joli. Comment l'as tu eue ?

EMBRY # Je l'ai dessiné.

MAMAN # Vraiment ?

J'étais tellement fier ce jour là. J'avais dessiné une orchidée, parce que je savais que c'était la fleur préférée de ma mère. J'étais tellement fier de moi. Pour je ne sais quelle raison a fleur est apparue en vrai devant moi. J'ai d'abord cru en une hallucination mais en fait c'était bien réel. J'ai couru voir ma mère pour lui offrir, c'était mon rêve depuis toujours d'offrir une orchidée à ma mère, fallait voir à quel point elle les aimait. Cette orchidée n'a jamais fanée, elle est toujours dans le salon à la maison je crois. En même temps ce n'est pas vraiment une orchidée, ce n'est qui dessin, réel certes, mais un dessin. En plus je me rappelle que ce jour était une fête des mères, mon cadeau à fait deux fois plus d'effet que ce que j'avais prévu ce jour là. Au début j'avais fais un collier, en bois symblisant les membres de notre famille, mais une orchidée telle que je lui ai offerte l'a beaucoup plus émue que si je lui avait offert le premier cadeau. Depuis ce jour, je lui ai offert une orchidé par année mais elle n'ont pas survécue, elle se sont fané au bout d'un moment, seule la première était parfaite, parce que j'y ai mis tout l'amour que je pouvais. Enfin. Cette époque est bien loin à présent. Tout à changé. Je ne sais pas si maintenant j'aurais le courage de revenir chez moi, offrir une orchidée et rapartir, non je ne le pense pas. C'est impossible à présent. J'ai fait trop de mal à ma famille, je ne peux pas revenir juste pour ceci, ça ferait mauvaise impression. Enfin. Je ne sais pas pourquoi je suis parti la dessus, peut-être parce que l'oiseau qui est apparu comme cela m'a rappellé cette orchidée, pourtant ce n'était pas la même chose. L'un un animal, l'autre un végétal. Mais revenons à nos moutons. Ce n'est pas le centre d'interet n'est ce pas ? Je ne suis pas la pour raconter ma vie, enfin. L'homme aux cheveux verts - couleur très spéciale au passage - me tira de ma rêverie.

UNKOWN # Toi... ? Attends un peu... C'est comme ça que tu viens de m'appeler ?

Euh... Ah ouais c'est vrai. Je l'ai appelé "toi". C'est pas de ma faute si je connais pas son nom hein. Faut pas m'en vouloir. Si on veut pas se faire appeller toi on se colle une étiquette avec son prénom dessus mais je lis pas dans les pensées moi, je savais pas comment il s'appelait alors le réflexe à été "toi", tout simplement. Ce n'était pas du tout pour lui manquer de respect, loin de là, je ne suis pas comme ça. J'aurais pu l'appeller "monsieur" mais j'ai pas tilté sur le moment, j'ai toute suite pensé à "toi" et sans réfléchir j'ai fais ma phrase. Ca m'apprendra tient. J'y penserais la prochaine fois pour éviter de manquer de respect à quelqu'un sans m'en rendre compte, j'y penserais, faut que ça devienne un réflexe le "monsieur" ou le "madame" quand je connais pas un prénom pour éviter de me faire envoyer chier par la personne en question. Ca sera mieux pour tout le monde je crois. Le mec aux cheveux verts - je l'appelerais comme ça tant que je saurais pas son prénom - était partit observer ce qu'il venait de créer à partir de sa feuille et de son crayon. C'était un oiseaux. Un très bel oiseau qui sautillait dans l'herbe en picorant dans l'herbe par ci et par là, quelle magnifique petite chose. Quand on pense que ce n'est qu'un dessin, je ne vois moi même pas la différence alors que je peux faire la même chose que lui si j'en ai envie.

UNKOWN # Pourquoi, tu veux un autographe ?

Un autographe ? Non c'est pas mon genre de demander un autographe à un mec que je viens juste de renconter et uniquement parce qu'il a le même pouvoir que moi hein. Je suis pas un groopie qui saute sur son idole dès qu'il la voit, je suis aps comme ça, loin de là et heureusement. L'oiseau était monté sur la main de l'homme aux cheveux verts et celui ci raprocha la créature chantonnante de son visage, histoire de mieux l'observer j'imagine. Il serait peut-être temps que je lui réponde nan ? Il va commencer à se demander si je suis pas là juste pour le stalker comme un ninja. Donc je me lance.

EMBRY # Non pas vraiment. En fait le fait que tu aie le même pouvoir que moi m'a intrigué, je ne savais pas que d'autres personnes le possèdait également.

Avec cette phrase il va me prendre pour un noble sérieux, faut que je me calme avec tous ces mots soutenus là. Ca me soule moi même tous ces trucs là. Avec les mots à double sens, et tout ça, c'est très compliqué, et ça m'énerve. Non sérieusement. Tous ces changements en fonction de où tu places le verbe dans la phrase ou ce putain de complèment circonstentiel etc... C'est vraiment d'une difficulté inutilelement grande, très franchement. Non sérieusement. Est-ce que tu t'es servi une seule fois du plus-que-parfais dans ta vie ? Non. Bah alors à quoi ça sert qu'il existe ce temps ? Tant de choses inutiles dans tout ça. Et puis toutes ces déclinaisons là, le verbe change de forme parce que le complèment est avant et patati et patata ça sert à quoi ? ~♪ Enfin. Peut-être que mes parents auraient pu me l'expliquer ça, à quoi ça sert, si j'étais rester un peu plus à la maison, mais le destin en à voulu autrement, c'est comme ça, je n'y peux rien. Le chemin de la destinée en a décidé autrement à ce que je voie. (je deviens un poète, ça craint azy). Mais enfin. C'est comme ça c'est comme ça. On y peut rien. On a pas de machine à voyager dans le temps alors on fait avec ce qu'on a et on avance. Point barre. C'est tout. Y a rien d'autre à dire, je crois. Je me tais... Enfin j'arrête de réfléchir et j'attend que MONSIEUR le mec aux cheveux verts daigne me répondre.

Mage

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W. Matthew Harrington
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J'ai traversé le portail depuis le : 23/12/2012 et on me connaît sous le nom de : MISS AMAZING. Mon nom est : William Matthew Harrington. Actuellement je suis : complètement fou d'elle (Judith) Il paraît que je ressemble à : Flippy from Happy Tree Friends & quelques oeuvres originales et à ce propos, j'aimerais remercier : moi-même (edit)
Re: MATTHEW # Frères de don | Mer 20 Nov 2013, 23:18

Il était debout, mais à en croire mon évaluation de l'espace, je devais le dépasser d'une bonne tête si je n'avais pas été assis dans l'herbe. Je levai la tête vers lui et le toisai un instant avec un air blasé, l'air de penser qu'il sortait d'une autre planète. Personne n'avait de don unique, on nous l'avait assez répété à l'école pour qu'on puisse oublier. Mais lui visiblement... il ne venait pas de Skyworld.

« Tu vis dans une grotte ? »

Je sais pas. Si ça se trouve hein. Je ne voyais pas d'autre explication au fait qu'il me pose une question comme celle-là. Je n'étais pas venu au parc pour clasher les campagnards qui viennent m'aborder pour me demander ce genre d'idioties sans réellement de sens à mes yeux. L'oiseau s'envola et disparut bien assez rapidement tellement il était petit, mais le garçon resta planté à côté de moi. Je levai les yeux vers lui, le fixai longuement et soupirai.

« T'es encore là ? »

Question rhétorique. Ne répond pas petit, c'est pour toi que je dis ça.
Clochette arriva en trottinant, la mine contrariée qui en disait long sur le recalage qu'elle venait de se prendre en pleine face. Elle sauta sur mes jambes et se blottit contre moi, comme un chat ordinaire à la recherche d'un peu d'affection. Je pris le chaton entre mes mains et le carressai, tandis qu'elle se mit à ronronner.

« Qui c'est celui-là ? »
« J'sais pas. Il paraît qu'on a le même don. »

« Comment tu t'appelles ? » demanda-t-elle à voix haute.

Clochette était de ces affiliés capables de parler. Comme la renarde de mon ex copine, avec qui mon chat s'entendait particulièrement bien, soit dit en passant. La petite boule de poils blanche roula sur le dos et me griffa très légèrement la main quand je la carressai sur le ventre. À force, on s'y habitue, et même si j'ai pas l'air fin à jouer avec ce chat, j'ai envie de dire va te faire foutre.
Qu'est ce que ça pouvait lui faire à ce chat, de pourquoi ce garçon était venu me voir. Clochette m'avait toujours cru gay, et ne se gênait pas pour me le rappeler chaque fois que je lui prouvais que me lancer dans une vraie relation n'était pas dans mes cordes. Pas pour l'instant, du moins. Quand bien même je lui dirai que je crois pouvoir trouver la perle rare - ce qui n'est absolument pas le cas - elle me traiterait de gay fleur bleue et efféminé, de surcroît. Pas que je sois contre le mariage pour tous et autres débats dans le même style, mais disons sincèrement que j'en ai rien à cirer. Mariez vous avec qui vous voulez les gens, c'est pas mon problème.

« Matthew Harrington. » me présentais-je. « Histoire que tu ne recommences pas à m'appeler "toi". »

La politesse n'était pas le genre de principes que je prônais particulièrement, mais quand il s'agissait de moi, c'était important. Je suis pas le pote de tout le monde, et dans le genre familièrement agaçant, "hé toi !" était bien placé.
Je constatai très vite que la présentation était la meilleure solution pour engager une conversation. Ce qui n'était pas mon passe-temps favori, je vous l'accorde. Parler pour rien dire, merci mais je passe mon tour, je connais bien assez de gens qui le font. Je passai ma main libre dans mes cheveux verts, couleur atypique qui caractérisait les membres de ma merveilleuse - ahem - famille que l'on pouvait pas conséquent repérer à des kilomètres à la ronde à condition de ne pas être daltonien.




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Re: MATTHEW # Frères de don | Sam 30 Nov 2013, 15:50


Frères de don

Faire apparaître quelque chose d'une feuille peut-être très utile, mais je ne m'imaginais pas que plusieurs personnes possèdaient ce don.
Matthew & Embry

Bon. Je crois qu'il me fait vraiment chier. Ou alors il le fait exprès. Mais ça me soûle là. Très très beaucoup (oui c'est pas français). IL VA ME REPONDRE OU FAUT QUE JE LUI DANSE LA MACARENA ?

UNKOWN # Tu vis dans une grotte ?

… NON MAIS JE VAIS LE TAPER LUI SERIEUX. Non mais il connait beaucoup de gens qui habite dans une grotte lui ou c'est comment ? Non mais vraiment, quand je vous dis qu'il m'énerve c'est qu'il m'énerve - c'est un peu logique en même temps, hein. Ses remarques il peut ce les foutre où je pense d'ailleurs. Voilà. C'est tout ce que j'avais d'intéressant à dire.

UNKOWN # T'es encore là ?

… JE NE VAIS RIEN DIRE DE PLUS, juste pour ma conscience.

----------------

MAMAN # Embry s'il te plait. Arrête un peu de dire n'importe quoi.

EMBRY # Mais c'est vrai maman ! Je l'ai faite apparaître, elle est sortie de mon dessin !

MAMAN # Mais bien sûr.

Embry s'en alla en courant, et en pleurant. Sa mère ne lui fessait pas confiance, cela ce voyait trop, beaucoup trop pour Embry encore si jeune qui, lui, n'avait cherché qu'à faire plaisir à sa mère en lui offrant un véritable cadeau pour la fête des mères. Elle en retour, ne lui avait dit que de vilaines méchancetés, pleines de venin de vipère. Il ne voulait plus sortir de sa chambre, même pas pour manger. Sa mère avait eu toute les peines du monde pour enfin l'arracher à sa tristesse mais elle avait finalement trouvé le moyen de se réconcilier : si Embry fessait apparaître un objet en le dessiant, sa mère s'excuserait, sinon Embry serait puni d'avoir menti, et Embry avait accepté cette condition, il était sûr de lui.

----------------

Une voix sortant de nul part me ramena au présent - et surtout à la réalité.

LE CHAT # Comment tu t'appelles ?

Un chat qui parle. Très original. Bon c'est pas comme si Light ne parlait pas non plus, hein, je suis habitué à voir des animaux qui parlent maintenant. Ca doit être son affilié. Bon aut peut-être que je réponde à sa question du coup non ? Même si je dois éponger à un… Chat.

EMBRY # Greenleaf.

Ouais je n'allais quand même pas dire mon vrai nom à un chat, mon surnom est mieux de toute façon, et puis tout le monde me connait sous ce nom là, sauf certains, mais ce n'est pas important tout ça.

---------

Embry dessina le plus vite possible un vase pour les orchidée qu'il avait offert à sa mère. Il posa un doigt dessus et murmura "vie" devant son dessin comme s'il parlais avec quelqu'un. Le vase devint progressivement un véritable objet.

MAMAN # D'accord. Je te dois des excuses Embry. C'est la première fois que je vois cela tu comprend, c'est pour ça que je ne t'ai pas cru. En tout cas très joli vase, je vais toute suite mettre ma magnifique orchidée dedans, merci Embry !

EMBRY # De rien Maman.

---------

Cette fois si ce fût la voix de l'autre poireau qui me tira de mes pensées.

MATTHEW # Matthew Harrington. Histoire que tu ne recommences pas à m'appeler "toi".

Si c'est pour dire ça il peut se la fermer hein. Mais bon, vu que je suis un minimum poli je ne vais rien dire.

EMBRY # Enchanté Matthew.

Bon voilà. Génial. La vie est belle. Y a pas grand chose à dire hein… A moins que je ne fasse un discours. OUAIS ALLEZ.

EMBRY # Bon sinon. Ce pouvoir. C'est bien celui de faire apparaitre un objet en le dessinant ? C'est bien ça hein , Dis moi. Parce que si c'est ça on a le même don. c'est incroyable hein ? J'ai pas un peu l'air fou là ? A baratiner comme ça super vite et pleins de choses avec un petit sourire ? Si hein. On est d'accord.

VOILA. Ca c'est un discours qui sert à rien digne de moi AHAH (8D).





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