Avec difficulté, je réussis à ouvrir lentement mes yeux, observant avec stupeur un plafond que je n’avais jusqu’ici jamais vue, je me redressa lentement et observa tout autour de moi, remarquant qu’il n’y avait pas que le plafond qui m’étais inconnu, mais toute la pièce. J’avais les pensée totalement embrouiller, comme après une cuite, enfin d’après ce que j’avais entendue et remarquer de la part d’ivrogne dans les rue ou je vivais avant, n’ayant jamais touchée à une goutte d’alcool de ma vie. Petit à petit les souvenir me revinrent en mémoire, l’agression, le sauvetage, la rencontre de Chizuru, le coup de foudre, le premier baiser … . Je passa un doigt sur mes lèvres comme pour essayer de me rappeler la sensation et le gout de celle de la louve qui avait pris une place considérable dans mon cœur. Pourtant un doute envahis mon esprit, avais-je tout rêvé depuis le début ? Non, il y avait peu de chance, sinon je ne serais pas dans un endroit inconnu, en revanche il était possible que j’ai imaginé le fait que mes sentiment soit réciproque. D’ailleurs où étais-je ? Chez Chizuru ?
La porte de la chambre s’ouvrit et un homme entra dans la pièce, glaçant instantanément mon cœur, si on était chez la louve il était possible que cette homme était son petit ami. Une vague de tristesse me traversa de part en part, tandis que de la peur s’y mêler a chaque pas que l’homme faisait dans ma direction. J’avais horreur de ses derniers, et la nouvelle mésaventure que je venais d’avoir avec eux n’allaient rien arranger. Je me colla au bord du lit qui était le plus éloigné de lui, attendant qu’il se mette à parler.
- Bonjour, je vois que tu es réveillée, Je m’appelle Edward, tu vas bien ? - Ou .. Oui, merci. Ou est Chizuru ? - Je ne sais pas, elle t’a laissez ici avant de repartir.
Mon cœur se sera de nouveau en entendant ça, mais bon au moins elle ne vivait pas ici, Il y avait donc moins de chance que cette homme soit son petit ami. Je remercia Edward pour avoir pris soin de moi et partie rapidement, évitant le plus possible le contact avec lui.
Une dizaine de jour plus tard je me retrouva de nouveau sur la place du marché. Cela faisait des jours que je marchais partout où je pouvais dans l’espoir de retrouver la louve de qui j’étais tombé amoureuse, malheureusement pas une seule fois je n’avais retrouvé sa trace, et un effroyable doute c’était logé au plus profond de mon cœur. Et si elle ne m’était pas ? Et si elle m’avait trouvée trop faible quand je m’étais évanouie ? Peut-être qu’elle m’éviter … . J’avais le cœur gros et dormais mal depuis quelques jours, ses pensées se cessant de se transformer en d’horrible cauchemar à chaque fois que je fermais les yeux. Et pourtant je voulais la voir plus que tout, je voulais ressentir sa chaleur contre moi, le bien-être que je sentais quand j’étais dans ses bras, la douce odeur qui l’envelopper alors, et bien d’autre chose qui était liée à la louve.
Un reflet roux attira mon attention, et un espoir naquit dans mon esprit, comme à chaque fois que je croisais une personne avec cette couleur de cheveux. C’était stupide, je le savais bien, mais je ne pouvais m’empêchais d’espérer, bien que je finissais blessée à chaque fois. Et pourtant cette fois sembla différente des autres, car une paire d’oreille était dresser sur la tête de la rousse. Aussitôt je me mis à courir dans sa direction, le cœur battant à tout rompre. Malheureusement le marché était un endroit populaire, et beaucoup de monde s’y trouvais, je perdis rapidement sa trace, mais je savais qu’elle ne devait pas être loin.
- Chizuru ! L’appelais-je plusieurs fois.
Je fini par me heurter à quelqu’un, me faisant projetais au sol et tombant en arrière. Je m’étais cognée a la tête, et cette dernière ne cesser de tourner, le visage des quelques personnes qui me tendais la main devenant flou. Malgré tout j’arrivais quand même a savoir qu’il s’agissait d’homme, ce qui fit monter une peur bleu en moi, attiser par le fait que je ne parvenais pas a bien distinguer leur visage et le tournis qui faisait toujours effet, même les sons semblais déformer. Des larmes commencèrent à perler de mes yeux, créant des sillons de larmes sur mes joues. J’avais peur, et seule une pensée persisté en moi, je voulais être aux côtés de Chizuru.