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 Une Déesse & un Sauveur.

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Anonymous
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Une Déesse & un Sauveur. | Ven 08 Juil 2016, 18:56

Une Déesse & un Sauveur.

ft. Noctis

Je m'ennuyais. Certes, le Mont Olympe est magnifique, aucun mot ne peut définir cette beauté. Mais, depuis des siècles que je vis dessus, cela devient un peu ennuyant à force. On veut de la nouveauté et c'est pourquoi je descend sur Terre. Enfin plus précisément sur Sanctuary of Heart. Allez c'est parti !


Dès que je sus quoi faire, j'étais parti là où logeait Déméter pour qu'elle puisse choisir mes habits. Elle paraissait étonnée. Je ne lui en voulais pas. Après tout, cela datait de quelques siècles là dernière fois où j'étais sorti de l'Olympe. Après l'étonnement, vient le ravissement. Je préférais l'étonnement. Elle m'accapara durant des heures interminables pour choisir -trop- de tenues. J’optai pour la plus basique, ne cherchant pas vraiment à attirer l'attention. Oui, elle m'avait sorti une robe datant du 19 siècles. Je ne dis pas qu'elle était moche. La robe était sublime au contraire ! Mais … Cela ne collais pas au siècle. Enfin, je croyais. Quoi que …

Je vais donc vous décrire une tenue basique pour moi. Car oui, j'ai une notion bien particulière de « basique ». J'avais donc opter pour un « slim » noir, ainsi qu'un corset noir avec des lacets derrière. Complétés avec cela, des bottes montantes toute basique, sans talon, sans rien, qui sont souples, noir aussi. Pour finir, j'ai opter pour une cape longue avec une capuche, d'un rouge sang, elle. J'ai accroché à mon cou, un collier d'un or pur avec au centre un rubis flamboyant. Je me trouvais belle et sexy. Mais le regard de Déméter était désapprobateur. Je n'en tiens pas compte et je partis en direction de l'île. Sauf qu'un imprévu arriva …

J'allais montée sur Aaron quand un Dieu mineur arriva en courant vers moi. Imaginant le pire, j'attendis avec impatience qu'il arrive jusqu'à moi. Il arriva enfin. Pour me dire qu'on lui avait donner des ordres. J'avais hocher la tête, attendant la suite. Je ne fus pas déçue. Il me faisait un cours. Un cours, qui allait aussi prendre des heures. Je ne laissa rien transparaître mais intérieurement j'avais envie de le brûler. Un peu. Après le choix de la tenue, on m'expliquait que je devais cacher mon aura, ne pas utiliser mes pouvoirs et que je ne devais pas me mêler à autrui. Ce qui dura, trop, trop longtemps. Et Aaron, fidèle à lui même, rigolait dans ma tête. J'avais envie de le brûler lui aussi. Mais je me retiens.

La leçon -enfin- finis, je monta -enfin- sur Aaron. Et je m’envolai, direction cet île qu'on avait créer.
Je ne fus pas déçue. Certaines choses retinrent mon attention et j'admirais le paysage sur le dos d'Aaron. Je lui indiqua la ville. Il vola en direction d'une forêt. J'eus beau lui dire « Aaron, la ville, pas la forêt. » Il ne m'écoutais pas. Je n'eus donc pas le choix. Il se posa à l'entrée de celle-ci, repliant ces magnifiques ailes. Il n'y as pas à dire, mon affilié est vraiment un magnifique cheval ailé.

Me voilà donc perdue devant une forêt peut attrayante et sur une île inconnu. Vraiment, Hestia, tu es la Déesse de l'Absurdité !





Anonymous
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Re: Une Déesse & un Sauveur. | Dim 17 Juil 2016, 17:30

Une Déesse et un Fils de Dieux
Hestia & Noctis
Tu t'étais rendu au village Elfe se situant dans la forêt, on t'avais fait venir ici pour une raison très simple, une vielle dame vivant là-bas était visiblement sur sa fin de vie, et comment dire... Ouais, on t'as demandé sans forme de cérémonie de voir pour organiser la destination finale de cette dernière. Lorsque son corps ne vivrait plus et qu'il faudra alors le mettre sous terre. Ouais rien de bien subtil ni sympathique, mais quand on travail dans une pompe funèbre, faut pas s'attendre à devoir faire la fête tous les jours. C'est plutôt tranquille de façon général comme job, tu n'avais pas trop à t'en plaindre. De toute façon, tu aurais été bien con de croire autre chose en commençant à faire ça. Ce n'était de toute façon pas bien pire que ton premier métier, avant tu tuais des gens contre l'argent, maintenant tu les mets sous terre sans que tu ais eut à faire quelque chose de particulier. C'est un peu comme une suite logique en fait. Enfin bon, pour une fois, on ne pouvait au moins pas te traiter de gars étrange qui s'exilait sans aucune raison dans la nature pour le plaisir d'être seul avec toi même, mais comme un gars qui travail tout simplement. Au moins, ça t'avait fait sortir de ta boutique, pour te retrouver dans la forêt et visiter une ville changeant de celle dont tu avais l'habitude. Poser des questions, les mesures, les arrangement de où quoi comment livrer tout ce qu'il faut. Bref, le genre de truc que tu fais toujours quoi, c'est un boulot, c'est pas censé être fun ces choses là mais te faire gagner de l'argent et ta vie accessoirement. De quoi se  plaindre hein ? Tu es vivant toi au moins. Et peut-être qu'enfin tu avais un mode de vie correct s'éloignant de tout ce qui t'a fait perdre ce qui t'étais cher. Ah, tu étais quand même bien con, peut-être qu'avec plus de trois siècles d'existences tu aurais enfin du plomb dans ta cervelle.

C'est une fois sur le chemin du retour que ton regard fut attiré par quelque chose, une créature venait de passer au dessus de toi dans le ciel. C'est bête, si tu avais pris la peine de sortir tes ailes et de faire le retour en volant, tu n'aurais pas eut à plisser des yeux pour essayer de deviner ce que c'est. Trouvant ça bien trop gros pour être un oiseau classique. Va savoir pourquoi tu as fait ça. Si c'est à cause d'une curiosité mal placé. D'un ennui quelconque, ou que sais-je encore. Mais tu t'es décidé à cet instant là de sortir tes ailes, deux immenses ailes toutes noirs, semblables à celles d'un corbeau mais d'une taille tellement plus impressionnante. En même temps, il en faut pour te soulever, et ta race reste bien plus massive que l'oiseau auquel il est lié. Tes pieds ne touchent plus le sol te voilà au dessus de la cime des arbres. Juste à temps pour voir la forme disparaître à son tour sous la mer verte qui s'étend devant toi. Brièvement, tu t'es rendu compte qu'il s'agissait d'un cheval visiblement. Autant dire pas le genre de créature qu'on croise de façon régulière, même sur une île comme Sanctuary en fait. Les chevaux capables de voler sont un peu le genre de créature là dans les mythe, et à moins qu'il ne soit un mythologique comme toi, cela voulait dire qu'il est donc un « pure », un « originel » de quoi surprendre d'autant plus. Ayant cru comprendre qu'il y avait un cavalier sur son dos, par dépit peut-être tu t'es dirigé vers cette silhouette maintenant disparu, scrutant maintenant le sol pour retrouver leurs traces.

Et c'est là que tu l'as aperçut. Te retrouvant à faire du sur place pendant quelques instant avant de tomber habilement sur le sol. Face à toi, se trouvait une femme, cachée par une capuche, te rendant incapable de savoir le physique qu'elle pouvait avoir. (et de toute façon la non présence d'aura étrange ne te mit même pas la puce à l'oreille, comment le deviner de toute façon).

« Votre cheval s'est perdu ? Ou bien c'est vous ?»

Tu parles d'une approche, pourtant, tu avais réfléchit pendant genre... une demi seconde à comment te faire remarquer. T'approchant d'elle, laissant une traînée de quelques plumes derrières toi à chaque avancée que tu fais, tu te penches alors légèrement, tes yeux sanglant la scrutant, comme pour essayer de déterminer sons allure.

« Il est plutôt rare d'avoir ce genre de monture de nos jours. Il ne s'agit pas d'un mythologique n'est-ce pas ? … Je me nomme Noctis.»

Avais-tu dit après une brève hésitation. Te disant que te présenter devant une femme que tu venais de surprendre en pleine forêt était la moindre des choses. Mais tu ne savais même pas l'importance de cette personne devant toi. Toi qui avait toujours entendu parler des Dieux comme un mythe, tu avais toujours été forcé d'y croire parce qu'on t'a dis que tu étais l'enfant de la mort et ce au sens propre du terme. Jamais tu n'as vu un Dieu. Jamais tu n'as vu ton père et tu ne savais même pas si tu le désirais. Il n'est qu'un père biologique, une légende que tous le monde connaît rien de plus.
 
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