Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Partagez
 

 Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4  Suivant




Anonymous
Invité
Invité
Re: Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] | Dim 19 Oct 2014, 14:57



« Il fût un temps »

Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] - Page 3 1408904066-tumblr-n6sm09x4u21rkuwozo1-500
Où nous n'étions pas si jeune que ça...


Quand on pense à Aphrodite et Athéna ensemble, on peut certainement penser que l'une raconte des bêtises ou ses aventures à tout va et que la seconde ne peut qu'écouter en soupirant pour la satisfaire. C'est du moins certainement la première image que l'on pourrait avoir. Aphrodite semble si enfantine, puérile presque innocente -à s'y tromper d'ailleurs...- alors qu'Athéna semble tellement froide et digne. Comme si tout ce qui pouvait toucher aux sentiments ne la touchait pas, cela lui passait au dessus. C'est une guerrière, elle n'a pas besoin de ce genre de chose. Faux. Totalement. C'est bien une preuve actuellement, voir les deux sœurs arriver à partager ? Oui c'est cela. Elles se partagent des choses. Certes Aphrodite est celle ayant un taux de parole bien plus élevé que son aînée, mais les rôles s'inversent, pour parfois même donner à des conversations parfaitement équitables. Comme actuellement. Ce n'était pas la cadette qui racontait, ou alors l'aînée qui apprenait. C'est un moment de partage tout simplement. C'est ainsi que les deux femmes en venait à faire des comparaison entre les deux choses qu'elles représentaient, ces choses si opposés et pourtant si semblables. C'est amusant. On peut ainsi se rendre compte que finalement ces deux êtres si différents ne l'étaient peut-être pas tant que ça... C'est presque bête à dire, mais dit comme ça, la demoiselle semblait avoir plus de point commun avec sa sœur qui représente l'Amour que son frère qui représente comme elle la Guerre. Il faut dire que ces jeunes gens ont une façon tellement opposés de voir la guerre... Mais je crois que c'est y aller un peu fort en comparaison là alors je vais m'arrêter là et revenir aux deux magnifiques demoiselles qui pourraient en faire baver des hommes rien qu'à elles seules.~

Alors qu'Athéna avait défait le chignon qu'elle faisait à chaque fois, chose assez rare pour le souligner, Aphrodite répondit alors à sa légère blague. D'ailleurs le sourire que l'aînée fit à la cadette sous-entendait quelque chose du style «  Ah bon ? Alors maintenant j'ai un autre rival? ». Chose fausse bien sûr. Mais en fait étrangement, elle était persuadé que sa sœur ferait un rival bien plus coriace que son frère... Pourquoi ? Parce que cette dernière écoutait les conseils -enfin parfois- les conseils qu'Athéna pouvait laisser derrière elle. Disons qu'elle est moins butés, alors que Arès prend tout comme une mauvaise réflexion à balayer rapidement. Et pourtant il pourrait faire bien mieux le bougre. Mais je crois que c'est un peu foutu, il ne changera jamais, reste à savoir lequel est le plus bornés... Mais là n'est pas la question. En fait les paroles de sa sœur la laissait encore songeuse. C'est presque amusant comme scène en fait... Athéna, la femme sûre d'elle, qui sait tellement de chose qu'on voudrait presque payer pour voir une mine sincèrement surprise sur son visage, elle semblait presque déstabilisée. Comme si c'était agaçant de ne pas savoir exactement quelque chose, mais c'était bien quelque chose qu'on ne peut connaître juste sous décision au contraire. Et vu la dureté de son cœur, et sa décision de vouloir rester vierge à vie, c'était bien une chose qu'elle ne connaîtrait jamais. Ainsi, Athéna ne pouvait que s'accrocher aux déductions qu'elle pouvait faire via les paroles de sa sœur ? Un truc du genre oui. Sortant dans ses pensées quand la brunette lui demanda l'air taquin depuis quand elle était mise à la poésie et répondant ainsi à la comparaison qu'elle avait faite plus tôt, ajoutant même la sienne. Athéna posa ses mains sur ses hanches, en cet instant on retrouvait la femme fier de ce qu'elle était. N'avait-elle pas raison ? Il faut être fier de ce que nous sommes, c'est ce que l'on est après tout ? -oui je sais c'est ridicule dis comme ça, mais je te jure que c'est très intelligent ! Et tu vois j'aime toujours mettre des conneries je pense fort à toi.~-. Elle ajouta alors.

« Voyons. Je suis la Déesse de la Sagesse, lire et écrire et une passion chez moi!~»

Pourquoi dire ça ? Pour se la péter ? On pourrait croire mais dans un sens cela coulait de source, elle était une bonne écrivaine c'était indéniable. Mais là n'était pas la question, c'est pourquoi elle changea d'expression, et non elle ne restait pas totalement neutre à tout pour le coup. Au contraire, puisqu'elle s'accouda un peu dans le vide pou se tapoter la tempe avec l'index. Les idées devaient beaucoup fuser dans son esprit hein... En même temps, voilà comment est la Déesse lorsqu'elle cherche à résoudre un problème. Bien souvent la réponse lui vient rapidement mais pour le coup, faut avouer que c'est la panne sèche... On pourrait presque trouver que sa tête est amusante. Elle daigna alors parler, préférant entortiller légèrement sa longue tresse entre ses doigts. Soudainement Athéna semblait bien plus naturelle presque ? Toujours aussi gracieuse tout de même, digne d'une noble.

« Hm... La Guerre et l'Amour sont pareil donc.. ? Enfin. Dois-je en déduire que c'est purement stratégique mais aussi violent.. ? Cela me semble étrange mais. Beaucoup d'expressions et de mots sont utilisés dans les deux cas.»

C'est bien l'une des seules fois ou Athéna se sentait presque ridicule voir bête. Sécher à ce point sur quelque chose, on pourrait dire que c'est rabaissant, mais finalement, c'est bien ainsi que la sagesse se forme. C'est en apprenant, nul ne peut tout savoir, encore moins de façon naturelle et spontané. Mais ce qui est amusant, est que la Déesse de la Sagesse bloque sur quelque chose que les gens apprennent de façon spontané. Son cœur devait être une bien forte barrière au sentiment amoureux, en retirant bien sûr celui amicale et fraternel, mais faut avouer que cela lui semble tellement naturel que la blonde ne faisait pas vraiment le lien. Athéna finit alors par croiser les bras. Elle semblait presque s'agacer elle-même, bien qu'elle restait parfaitement calme.

« Ah. Je me sent ridicule à ne pas savoir une telle chose. Mais est-ce tout aussi idiot de vouloir le savoir alors que je ne veux pas le vivre ? Cela ne peut se comprendre ainsi peut-être.»

Aphrodite... Voilà ton moment de gloire. Tu es celle qui sait tout et elle qui ne sait rien pour une fois... Il est bien connu que c'est le défaut de la Déesse de la Sagesse, sa faiblesse peut-être. Bien que dans les querelle, la guerre ou autre, on ne peut pas dire que cela soit un désavantage en fait. Ce sentiment bien envahissant dans l'esprit des gens ne l'affecte pas. Mais elle n'est pas non plus désavantagé par le fait que cela peut être une force, se battre pour l'être aimé, n'est-ce pas beau ? Elle pourrait très bien en faire de même avec sa famille...  Mais si un être amoureux perd un être cher ? Cela n'est pas un terrible désavantage.. ? Je crois qu'en effet, notre blonde avait une vision trop terre à terre de la chose pour penser ainsi... Ah. Que de philosophie pour quelque chose tel que l'Amour - tu vois ça nous suit vraiment partout !-. Sa sœur devait bien en rire... Heureusement qu'Arès n'était pas dans le coin tiens... La blonde soupira. Trop de questions sans réponse.
Codage by TAC




Anonymous
Invité
Invité
Re: Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] | Dim 26 Oct 2014, 22:22



flashback
il fût un temps.
f e a t ; ahtnéko ou athéninja ♥

P
ourquoi opposer l'Amour et la Guerre ? C'est notre société qui fait cela. Les gens les prennent bien souvent pour des opposés alors qu'en vérité, ces deux mots symbolisant tous deux de grandes idées, ne sont pas si éloignées l'une de l'autre. Tous deux utilisait des stratégies d'approches, des technique « d'attaque » si l'on pouvait dire cela comme ça, des modèles de pensées, des pensées rationnelles. Ce qui provoquait la guerre et l'amour, ce qui poussait les individus à agir, ce n'était rien d'autre que des sentiments : une envie, un amour, une haine.... Tout cela était amplifié. Enfin, c'est ce qu'Aphrodite pensait. La déesse de l'Amour n'avait pas vraiment combattue dans sa vie... Vous voyez Aphrodite avec une lance et un bouclier ? Ah vous non plus... Et bien ce n'est pas pour rien. Elle ne combattait pas ou peu. Disons plutôt : elle ne  combattait pas de cette manière là. Mais de ce qu'elle avait pu observer de toutes les guerres qui pouvaient éclater aux quatre coins de la planète, et des propos d'Athéna, Aphrodite était venue à une conclusion : l'amour et la guerre n'était pas si différent. Après, dans l'Amour, on peut trouver aussi des batailles. Comme partout non ? Tout n'était peut être qu'une question de point de vu après tout. Point de vu que nos très chères déesses ici présentes s'apprêtaient à partager.

Aphrodite n'avait pas le souvenir d'avoir déjà connu sa très chère Athéna comme cela. Elle avait l'air un peu perdue, à l'est – ou à l'ouest, comme vous voudrez – et cela l'intriguait assez. Athéna était la grande penseuse de la famille, la stratège inégalable, une gagnante, une guerrière. Athéna était quelqu'un d'impressionnant. Aphrodite avait longtemps entendue parler d'elle lorsqu'elle était jeune. On ne comptait pas sa beauté, mais son intelligence. Au départ, la déesse de la beauté – qui n'était alors qu'une enfant – s'était intéressée à cette fille de Zeus qui avait aussi bonne réputation. Mais cela était resté assez lointain. Il faut dire qu'Aphrodite n'aimait pas tellement montrer à quelqu'un qu'elle lui portait son attention, s'intéressait. Les choses devaient marcher dans l'autre sens. C'était Aphrodite qui devait être le centre d'attention, nullement elle qui s'intéressait aux autres. Finalement, et maintenant qu'elle y pensait, Aphrodite se disait qu'elle avait été bien stupide enfant. Elle s'enfermait dans son monde, était de toutes manières la plus belle, elle pensait ne pas avoir besoin des autres, pouvoir vivre juste en appréciant et vivant en petit comité. Mais on ne peut pas vivre qu'avec quelques personnes, ni même dans sa bulle d'amour, non ?  Même si c'était ce qu'on lui demandait ? Aphrodite avait toujours été trop occupée par les autres. On venait la voir, on l'enfermait involontairement dans ses appartements. On l'occupait de multiple manière, si bien qu'elle n'avait pas beaucoup de temps à consacrer à sa propre liberté. Ou alors, quand elle était au calme, elle préférait s'allonger, flâner. Aphrodite l'avait bien compris au fil des années, elle avait ensuite daigner à bouger de son petit cocon pour découvrir le monde extérieur. Les hommes, les autres dieux, il y avait tellement de choses à voir et a apprendre qu'on ne pouvait rester chez soi à s'occuper de sa peau ou de ses cheveux. Il est plus saint de sortir un peu. De plus, Aphrodite voulait mettre des visages sur les noms qu'elle entendait. Athéna en faisait partie. La chouchoute de Zeus hum ? Aphrodite voulait la rencontrer. Elle voulait être aussi une chouchoute. Et finalement, quand elle l'avait finalement rencontrée, les deux jeunes filles s'étaient parfaitement entendue. Aphrodite avait trouvé en cette femme une grande amie, une confidente qu'elle n'avait point envie de perdre.

C'était donc amusé qu'Aphrodite continua son discours, prêtant attention à toutes les actions de sa sœur favorite. La voir défaire son chinions lui donnait envie de lui coiffer les cheveux. Aphrodite voulait souvent faire d'Athéna sa petite poupée. Elle avait se si beau cheveux. Toujours enfermés, attachés, emprisonnés de cette attitudes sérieuse qu'elle ne lâche que dans de rares occasions.... Oh la la la, quel gâchis. Enfin, c'était l'avis d'Aphrodite. Cette dernière répondit à sa sœur par une blague, une blague qui valu, en réponse, un petit regard subjectif : était-elle entrai de la défier ? Aphrodite était loin de vouloir devenir la rivale de sa sœur – elle savait qu'elle se ferait toujours avoir. Non, il serait plus intelligent de faire équipe avec elle, non ? Athéna est une femme passionnante. Voyez par vous même, elle se mettait aux beaux arts : poésie et prose. Tout cela pour formuler ses pensées. Mais que demander de mieux ? Rien. Aphrodite se laissait entraînée dans ce petit monde qu'elles allaient créer. Un monde de réflexion, d'attention et de partage. Aphrodite n'hésita pas à lui faire la remarque avant de continuer dans l'explication de ses propos. Leur échange, cet échange, elles ne l'avaient jamais vraiment eu avant. Il leur était arrivé de tourner autour du sujet sans réellement l'aborder de plein fouet comme maintenant. Mais ce n'était pas dérangeant. Athéna était certes déstabilisée, mais elle n'avait rien à craindre venant d'Aphrodite. Elle n'allait certainement pas la mordre, ni l'embêter. Ça resterait entre elle, comme toujours, comme tout. Notre déesse rigola à la réflexion de sa sœur : le jour où elle, la grande Aphrodite, se daignera à prendre des bouquins plus théoriques que des histoires d'amour... Il tomberait des cordes. Littéralement. Enfin, plaisanterie à part, Athéna était vraiment en train de se casse la tête sur le sujet. Preuve : l'index sur la tempe. Aphrodite suivit le pas de sa sœur et veilla à rester silencieuse pendant sa réflexion, elle ne souhaitait pas l'interrompre.  Elle allait bien finir par répondre. Après quelques temps de silence, silence qu'Aphrodite avait apprécier sagement pour réfléchir à son tour, Athéna lui demanda si l'Amour et la Guerre étaient donc pareil. Il est vrai qu'on pouvait facilement trouver des... points communs. Mais ce n'était pas pareil pour autant, si ? Non ?

« Et bien...  »commença Aphrodite hésitante « Je pense que ça se ressemble sur plusieurs points, mais... La finalité n'est peut être pas la même... Je pense. Enfin. Ça doit dépendre aussi.  » elle s’interrompit quelques instants  « En fait, ce qui est compliqué, c'est que ce sont tout deux de grandes choses. Assez difficile à définir déjà chacune de leur côté... Alors ensemble ça devient encore plus compliqué. Je pense que je me tromperais si je te disais que l'Amour ou la Guerre ne sont que purement et simplement stratégique. On réduirait beaucoup la réalité non ? »

Ensuite, sa sœur la prit de court pour lui annoncer qu'elle se sentait ridicule... Un choc. Les yeux écarquillés, elle se tourna vers sa sœur. Non, elle ne séchait pas sur le sujet, elle ne venait pas de dire cela ? Un rêve, une montagne, un pont venait de se briser dans la tête d'Aphrodite. Elle s'y connaissait mieux que ça sœur ? Elle l'avait embêté avec ce sujet ? Mais, non, ce n'était pas possible, il ne fallait pas qu'elle baisse les bras, ce n'était pas si compliqué que cela à comprendre, non. L'Amour est quelque chose que l'on construit, on en parle aux petits, on les incite à repairer des ressentit et on appelle ça l'Amour. Après il se passe bien quelque chose entre deux êtres, une passions, une histoire communes, mais... Ce n'était pas grand chose non ? Elle s'exclama donc :

« RIDICULE ? Mais qu'est-ce que tu racontes ?! »

Aphrodite saisi le bras de sa  sœur et la conduit jusqu'à la plate bande la plus proche pour l’asseoir dans l'herbe tranquillement. Elle se posa d’abord en face d'elle pour lui demander :

« C'est d'avoir revu ton rival qui te met dans cet état ma chère Athéna ? »

Mais Aphrodite ne resta pas longtemps en face d'elle. Elle se relava pour se rasseoir derrière elle et... s'emparer des cheveux de sa sœur. Cela faisait un moment qu'elle en avait envie. Elle voulait les démêler, les coiffer, s'en occuper. Peut être une minière de faire voir à Athéna qu'elle ne voulait pas autant la perturber. Elle s'empara de la natte de sa sœur et la détacha délicatement.

« Tu sais, je pense pas qu'il faille vraiment le vivre pour pouvoir en parler. Après tout, on peut parler d'amour quand on évoque une famille. L'amour d'une mère pour ses enfants, d'un père pour ses enfants... Alors. D'un côté, tu le vis déjà.... Non ?  » ajouta la belle déesse calmement « Ne... Ne dis plus que tu es ridicule. »





Anonymous
Invité
Invité
Re: Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] | Mer 05 Nov 2014, 22:43



« Il fût un temps »

Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] - Page 3 1408904066-tumblr-n6sm09x4u21rkuwozo1-500
Où nous n'étions pas si jeune que ça...


Faire des débats avec Aphrodite quand on est Déesse de la Guerre c'est possible. La preuve. On pourrait même dire que les deux femmes étaient en train de philosopher presque. Bon certes, au final cela ne servirait certainement à pas grand chose, mais en même temps était-il nécessaire d'avoir une réelle utilité ? Certes, la blonde préférait toujours y trouver son compte, ne pas faire quelque chose pour rien. On pourrait dire qu'elle était championne dans ce domaine même. Mais quand il s'agissait de partager un peu avec sa sœur cadette, il fallait avouer que la belle Déesse mettait parfois ses principes de côté. Surtout qu'il était mis là quelque chose en évidence, quelque chose qui ne lui plaît guère et pourtant c'est la réalité. Athéna avait une grosse lacune, et ça, ce n'était pas nouveau. On pourrait même dire que cela paraît logique, quand on se décide à être vierge à pour l'éternité, il est évident qu'on ne va pas chercher à avoir une relation avec autrui dans ce genre là. Ainsi, la grande Déesse de la Sagesse avait une faiblesse ? Hm. Une  lacune serait un peu plus exacte, cela ne l'avait jamais dérangée jusqu'à maintenant pour gagner. Et cela n'était pas prêt de changer. Mais voilà, soudainement, la pauvre jeune femme -oui jeune, tout est relatif ici- se rendit soudainement compte que sa cadette était bien plus douée qu'elle dans ce domaine. Au même titre qu'elle en savait forcément plus. Ben quoi ? C'est très restreint de se baser sur ses connaissances intellectuelles ou des déductions pour connaître l'amour. Mais n'allez pas croire qu'elle irait revenir sur son vœux de chasteté hein, il en faudrait bien plus pour faire plier Athéna qui était assez fermée d'esprit à ce sujet -c'est à se demander si on peut lui faire courber l'échine pour quelque chose-, c'est une femme fière et indépendante. Tout le contraire de la brune. Ah. Je dis pas là qu'elle est misérable et tout hein. Mais je doute que cette dernière puisse se décider à rester seule toute sa vie. Surtout lorsqu'on voit le nombre d'étoiles pouvant faire leurs apparitions dans ses yeux lorsqu'on pouvait parler de son amour pour Arès.

S'étant trouvé complètement bête voir stupide. Heureusement qu'Arès n'était pas dans le coin. Ce dernier en aurait certainement profité pour placer une blague, ou alors une remarque sur ce fait, ce qui aurait forcément provoqué pour seule réaction de la part de la blonde, lui clouer le bec à sa manière. Y a des gens où, parfois, il faut agir que parler. Quand on est quelqu'un de réfléchit, on sait qu'il faut réfléchir, mais également agir quand il faut... Mais là, c'était instant réflexion. Tantôt éveillée, observant sa sœur avec intérêt, tantôt, totalement absente, réfléchissant. Essayant de démêler ces deux choses qu'étaient l'Amour et la Guerre, puisque depuis tout à l'heure les deux femme ne cessaient d’emmêler ses deux fait sans pour autant les faire fusionner. Ce qui serait d'ailleurs un peu étrange hein. Hm. Assimilant les paroles de la cadette, il est vrai que même s'il y a des choses semblables, ce n'est pareil. Ce serait presque triste que l'amour soit ainsi... Enfin, Athéna le supposait fortement. Dans un sens, si l'amour n'était que stratégie, ou serait la place des sentiments ? Oui, c'est quelque chose d'aussi simple et idiot, mais la Déesse avait l'impression de mettre un peu plus le doigt sur ce que pouvait ressentir toutes ces personnes qui sans cesse au fil du temps tombaient amoureuses. Parfois plusieurs fois et pour d'autres, c'est une seule fois dans leur vie. Fascinant non ? Qu'un être soit à ce point indispensable et unique pour l'autre. Dans un registre tout autre que l'amical, ou le familiale... Cependant, il faut avouer qu'Athéna était plutôt surprise de se faire remettre à sa place ? Un truc du genre. Ce n'était pas vraiment ça, mais on va dire que voir Aphrodite presque outrée des propos qu'elle venait de dire était bizarre. C'était limite si elle n'était pas en train de lui faire une leçon de moral pour lui dire qu'elle n'était pas ridicule. Pour une fois, la femme resta silencieuse, la regardant l'air un peu hébété. Bien que cette expression du visage assez unique resta qu'un bref instant sur ses traits, elle était néanmoins apparut, adorable petite sœur... Le sourire qui s'étendait sur ses lèvres lorsqu'elle entendait ses mots, laissait pleinement entendre qu'elle était ravie, mais que ce sentiment qui envahissait son cœur était qu'agréable.

Athéna est une femme froide, autant le dire. Elle n'est pas le genre de personne à rechercher l'affection ou l'attention des autres à tout va, au contraire, on va dire qu'elle sait de par sa nature attirer l'attention à sa façon. Cependant, ce n'est pas pour autant qu'elle est un cas sociale, qu'elle n'aime pas les autres. Elle aime qu'on respecte les limites qu'elle pose, mais... s'en approcher n'est pas si mal. C'est ce que fait assez souvent la brunette. Certes, elle est très collante, parfois un peu trop, bavarde aussi. Mais c'était une bouffée d'air frais pour la blonde, comme si tout ce qu'Aphrodite était tout ce qu'Athéna était incapable d'exprimer de façon spontané. Comme si la dignité était inscrite dans ses gènes. On pourrait la trouver coincer, mais, elle ne se prive même pas  -croyez-le ou non, vaut mieux qu'elle reste calme, cela fait peur lorsqu'elle le perd...-. Riant légèrement en l'entendant, Athéna se décida alors à répondre.

« Lui ? Me mettre dans mes états ? Allons-bon... Certainement pas. Disons que je n'aime pas ne pas comprendre quelque chose, et l'Amour est visiblement un problème difficilement résoluble à mes yeux. Mais je pense... Toucher du doigt ce que c'est.»

Finalement, la Déesse leva son regard vers le ciel avant d'ajouter. Elle avait déjà reprit son air calme et serein habituel, comme si la mauvaise passe était déjà loin derrière.

« J'espère pour toi que tu as savouré ton instant de gloire.»

Elle avait dit ça pour clairement faire de la moquerie légère. Disons qu'elle savait très bien qu'Aphrodite n'était pas de ce genre, mais... Voilà. Voir la blonde perdre pied pendant quelques seconde est un spectacle rare, tellement rare qu'il n'avait pas duré bien longtemps. Son cerveau s'étant rapidement remis en route. Tournant la tête pour la suivre du regard lorsque la plus jeune se mit derrière elle, la blonde songea à se retourner pour toujours lui faire face par réflexe, mais sentir sa longue chevelure doré lui tomber sur les épaules l'arrêta net. Hm ? Haussant les sourcils, il faut avouer que personne ne la coiffait. Athéna le faisait seule, comme dit plus haut c'est une femme indépendante hein. Et il y avait peu de personne pour oser s'approcher d'elle ainsi pour lui faire ce genre de chose. Un peu comme Artémis, c'est un peu une Déesse qu'on ne touche pas, à un degré bien moindre tout de même. Haussant les épaules, elle dût se dire qu'elle pouvait la laisser faire. D'ailleurs elle lâcha ainsi de façon naturelle.

« Tu t'amuses ? Que comptes tu faire ?»

Un regard en coin lui est lancé, on pourrait penser que cela sous-entend qu'elle n'a pas intérêt à faire n'importe quoi mais... Elle a confiance de toute façon. Ce n'est pas la Déesse de la beauté pour rien hein. Elle voulait profiter de cet instant, la laisser s'amuser comme bon lui voulait, déjà petite, Aphrodite prenait plaisir à jouer avec ses longs cheveux qu'elle attachait quasiment toujours. C'était un style on va dire. Finalement, plantant son regard un peu dans le vide face à elle, elle reprit.

« Ce serait triste que l'amour ne soit que Stratégie non ? Si l'amour fraternel ou amical peut compter comme étant de l'amour avec un grand A, alors dans ce cas, je pense pouvoir combler un peu de cette lacune. Regard en coin. Alors ma magnifique sœur, que penses tu ? Quelle note me donnerais-tu pour le sujet : Comprendre l'Amour ?»

Autant prendre ça sur un ton de rigolade hein. (C'est bon les enfants, on peut plier les affaires, l'évaluation est terminé, bonne récré ! -sbaf-)Elle pouvait se le permettre. Au final cet Arès aura fait circuler bien des sujets de conversations, le pire c'est que la blonde était certaine de ne pas avoir finit d'en entendre parler de la part de la cadette... Et c'est peu dire.
Codage by TAC




Anonymous
Invité
Invité
Re: Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] | Dim 16 Nov 2014, 02:02



flashback
il fût un temps.
f e a t ; athéninja ou athéneko ♥

E
couter les conseils qu'on lui donnait, Aphrodite savait faire – enfin, surtout quand elle avait de l'intérêt, de l'admiration pour la personne qui les lui donnait – mais les mettre en applications, c'était autres choses. Souvent, les personnes qui vous donne des conseils se contente d'explication avec des « tu ne devrais pas faire ça parce que... » ou quelque chose dans le genre... Mais, comme vous le devinez, cela ne fonctionnait pas vraiment avec Aphrodite. Il lui fallait un peu de temps pour comprendre réellement l'impact de ses caprices, de son comportement de diva. Aphrodite était insupportable quand elle était petite. Cela lui arrivait encore, par moment, car on n'oublie jamais un fonctionnement qu'on a connu durant toute son enfant – le naturel revient au galop. Mais Athéna... Athéna est la seule à savoir la ramener dans le droit chemin. Aphrodite s'en souvenait comme si c'était hier. La première fois qu'elle avait vu cette déesse, déjà grande à l'époque – parce qu'elle n'est pas vraiment née naturellement (Aphrodite avait eu un peu de mal à tout imagé) – elle lui avait tout de suite inspiré la sagesse. Et bien qu'elle soit partie sur un sentiment de jalousie hors du commun – comme à son habitude – la petite déesse s'était directement adoucie et avait commencé de discuter avec sa grande sœur. Leur relation n'était pas partie de quelque chose d’exceptionnelle, mais regardez où nous en étions : Aphrodite était complètement démunie face à l'instant de « faiblesse » de sa sœur. Elle avait bien trop d'estime pour sa sœur pour l'entendre dire qu'elle était ridicule. Athéna inspirait bien des choses, mais absolument pas le ridicule, bien au contraire. Ce petit instant de « faiblesse » – qui n'en était absolument pas un – provoquait plutôt chez Aphrodite de la sympathie, cela rendait Athéna peut être plus atteignable... Mais pas faible, ni ridicule...

C'est la raison pour laquelle Aphrodite se sentit obligée de réagir... Rapidement. Il ne fallait pas qu'Athéna commence à dire des choses comme cela devant elle – il ne fallait pas qu'elle brise cette image qu'elle avait  construite pendant tant d'année, toute l'admiration que sa jeune sœur avait pour elle... Ce qui était marrant, c'est qu'Aphrodite ne l'avouerait certainement jamais à sa sœur. Elle ne lui dirait sûrement jamais qu'elle l'aimait à ce point, qu'elle l'adorait à se point. Elle savait Athéna pudique, c'était un point important, quelque chose qu'elle prenait bien en compte. Elle ne voulait pas l'embêter avec de pareil sentiments... Et puis, il y avait d'autres moyens de dire ces choses là, de lui montrer qu'elle l'admirait. Elle pouvait... Mettre à exécution tous ces conseils par exemple ? C'était une idée, mais à trop grande ambition.... Aphrodite n'était pas aussi... perspicace, il allait falloir  lui demander des choses simples... Plus simple.

Mademoiselle la déesse de la Beauté avait trouvé cela intelligent de tourner la situation au comique, ré-évoquant la rencontre avec Arès. Athéna avait été bien gentille aujourd'hui, elle avait été capable de supporter son rival pendant quelques instants tout cela pour les beaux yeux de sa petite sœur. Alors Aphrodite n'allait pas sa ramollir de la sorte. Elle avait aussi décidé de s’incruster dans sa petite bulle. Aphrodite aimait bien cette image pour se représenter Athéna. Elle la voyait entourer d'une sorte de champs de force, comme dans une bulle. Une bulle dans laquelle il était souvent difficile de rentrer, dans laquelle Athéna vivait tranquillement, dans laquelle il fallait savoir rentrer délicatement. Aphrodite aimait la bulle de sa grande sœur, elle comprenait qu'elle souhaite se protéger comme cela. Elle trouvait cela attachant, touchant, mignon... Des adjectifs que l'on associe normalement que très rarement à Athéna... Aphrodite esquissa un sourire quand sa sœur rigola de cette blague. Ouf, tout n'était pas perdu, elle n'avait pas tant déstabilisé sa sœur. Ne pas comprendre n'était pas quelque chose d'évident, mais... c'était normal non ? La plus jeune des sœur ne savait trop quoi répondre. Un instant de gloire ? Plutôt déstabilisant comme instant de gloire. Aphrodite ne souhaitait plus en connaître de pareils.

Restant silencieuse, notre déesse de la Beauté s'installa derrière sa sœur et commença à lui toucher les cheveux. Ah les cheveux, parlons en... Il n'y avait rien de plus féminin, de plus doux, de plus beau chez une femme. Enfin non, mais c'était quelque chose de tellement caractéristique de la femme. Aphrodite aimait comment sa sœur se coiffait, c'était un  beau chignon.... Mais... C'était si stricte. La jeune déesse trouvait que cela donnait un peu trop de sérieux dans l'image de sa sœur, qui n'en avait pas besoin à présent. Elle sourit à sa sœur lorsqu'elle lui jeta un regard en coin :

«  Ne t'inquiète pas, fais moi confiance ! » lui répondit-elle.

Athéna était bien docile avec Aphrodite. En même temps, la déesse de l'Amour faisait tout pour la mettre en confiance, être délicate, attentionnée. Jamais elle ne lèverait ne serait-ce que le petit doigt sur sa sœur adorée. Jamais jamais au grand jamais. Aphrodite saisit quelques mèches, les caressants délicatement. Sa sœur avait de si beaux cheveux. Elle les détacha complètement tout en écoutant la propriétaire de cette belle chevelure blonde. Elle passait ses doigts entre les mèches, cherchant quelque chose à répondre. Oui, il est vrai que c'était triste de dire que l'Amour n'était rien que de  la stratégie... Il est évident que ce n'était pas le cas. Il ne fallait pas le lire avec des yeux de guerrière, je pense. Aphrodite ferma les yeux.

« Oui, ce serait triste. C'est pour cela qu'il faut ajouter quelques petites choses à toute ces stratégies. Un peu de sentiment, de légèreté, de bonheur, de rigolade... Ce genre de choses que, je pense, on ne trouve pas vraiment dans la guerre.... »

Aphrodite profita de se retrouver dans le dos de sa sœur pour lui caresser les épaules, comme pour la rassurer. C'était le but en même temps.

« Tu n'as pas de lacune, n'exagère donc pas...  » dit-elle en chuchotant.

Athéna lui avait demander une note. Une note sur sa dissertation sur l'Amour. Ah, quelle bonne blague... Vous arrivez à imaginer Aphrodite avec des lunettes et un tailleur de professeur ? Oui la tenue sûrement... Mais le reste... Noter quelqu'un, elle ne l'avait jamais fait, et ne comptait pas le faire avec sa sœur. Elle lui détacha les cheveux, les laissant flotter au vent.

« Ah, ça te va tellement bien.... Pourquoi tu ne les laisses pas comme cela plus souvent ? » Dit-elle l'air de rien.

Elle invita sa grande sœur à l’accompagner vers le point d'eau le plus proche – qui n'était qu'à quelques pas de l'endroit où elles étaient assises. Elle voulait qu'Athéna se regarde, qu'elle se voit....Et n'ayant pas de miroir sur elle, pour une fois, elle décida de lui montrer son reflet dans l'eau. Un fois vers cet élément si apaisant, Aphrodite regarda leur reflet dans l'eau :

« Tu ne trouves pas, chère sœur ? »

Un sourire s'afficha sur les lèvres de la plus jeune. Elle se baissa pour s'accroupir vers l'eau et invita Athéna à faire de même. En fait, toute cette histoire avait donné à Aphrodite une certaine envie de jouer. Alors quand sa sœur fut près de l'eau, elle n'hésita pas longtemps avant de l'éclabousser en rigolant.

« Je t'ai euuuuuue ! » s'exclama-t-elle « Cela t'apprendra à dire des bêtises ! Depuis quand Aphrodite note Athéna hein ? » ajouta-t-elle en rigolant.




Anonymous
Invité
Invité
Re: Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] | Mar 25 Nov 2014, 21:09



« Il fût un temps »

Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] - Page 3 1408904066-tumblr-n6sm09x4u21rkuwozo1-500
Où nous n'étions pas si jeune que ça...


Il était tellement rare qu'Athéna se prenne ce genre de réflexion. De quoi je parle ? Bien sûr qu'on essaye de la rassurer, de lui dire que ce n'était pas une lacune, ou alors un manque de savoir, qu'au contraire, elle avait juste une vision différente de la chose. En l’occurrence l'Amour dans le cas présent. Puisqu'elle ne connaissait pas les plaisir de la chair et d'être amoureux d'un autre, elle était tout de même -et heureusement, la pauvre sinon- capable d'aimer un proche, un membre de sa famille en tant que tel. Parmi toutes les sœurs qu'elle avait, Aphrodite était certainement le meilleur exemple de son affection familiale. Elle ne l'exprimait souvent qu'assez peu, on la trouvait froide et distante, mais si on la connaît un peu, on est capable de savoir quand la blonde vous apprécie ou non. Aphrodite le savait très bien, elle l'avait toujours sût. C'est pourquoi la Déesse blonde se permettait parfois quelque relâchement en sa présence. Bien qu'elle se trouverait ridicule si elle se  regardait face actuellement. Mais la blonde était capable de parfois mettre sa fierté de côté. Je crois que c'est un trait un peu typique chez tous les Dieux. Une certaine fierté, que dis-je un égo. Qui n'en aurait pas ? Quand on est aussi puissant qu'eux. Après, il ne s'exprime pas de la même façon et pas forcément avec la même intensité. Athéna ne faisait pas exception, il était évident que c'était une femme forte et sûre d'elle, généralement, elle savait ce qu'elle faisait et ce qu'elle voulait, et ne faiblissait pas. C'était une femme libre et indépendante. Elle était connue pour ça, tant parmi les mortels que parmi les Dieux. Mais en quelques instant, cette image qu'elle dégageait c'était alors légèrement fissurée sous les yeux d'Aphrodite, laissant paraître une Athéna certainement un peu triste, voir vexée de ne pas s'y connaître dans un domaine ? Ah. Il est vrai qu'avec un peu de recul -oui, il suffit de lui parler, pour qu'elle prenne du recul en quelques secondes, elle est trop forte pour nous simples mortels ahah- elle ne pouvait pas tout savoir. Ni avoir le même point de vu que tout le monde. Elle le savait et c'était quelque chose de tellement évident... Aphrodite est la Déesse de l'Amour, une jeune femme amoureuse, Athéna avait fait le choix de rester seule. C'est tout. Chacun sa vision de l'amour, et puis, sa sœur cadette partageait aussi de cet amour fraternel avec elle.

Tandis qu'elle lui laissait tout le loisir de jouer avec ses cheveux, la blonde c'était alors reprise un peu. Et puis, au final elle était un peu contente d'avoir rapidement réussit à déduire comme elle pouvait ce qu'était l'amour. Ce drôle de sentiment qui pouvait faire bien des folies aux gens... On peut le dire, Athéna possède une petite fierté, et à moins d'avoir face à elle un adversaire des plus doué -une fois encore on repars du côté de la guerre, c'est décidément plus fort qu'elle-, mais il est évident qu'elle n'aime pas avoir tort, même si elle l'admettra facilement. Essayant de partir du principe que c'est de ses erreurs qu'on apprends. Du moins, si on reconnaît les dites erreurs justement... Heureusement que cela n'arrivait pas tous les jour hein, cela mettrait bien à mal son titre de Déesse de la Sagesse. Cependant la gentillesse d'Aphrodite dans ce genre de situation était plus qu'appréciable, certains ne se seraient pas gêné pour remuer le couteau dans la plaie, comme si c'était uniquement dans ce genre de moment qu'on pouvait espérer battre le cerveau toujours actif de la belle femme. C'est pourquoi, elle quittait en sa présence son air si sérieux et parfois stricte, que certains pourrait qualifier de coincer -bien que cela soit intentionnel- pour afficher un sourire d'une douceur peu commune. Eh oui, Athéna peu être une femme très mignonne je vous le jure, la preuve en ce moment même. D'ailleurs elle souffla juste.

« Merci. Certains doivent te prendre pour une femme superficielles, mais ils ne te connaissent décidément pas.»

Eh oui, c'était un bien beau compliment qu'elle lui faisait. Et réaliste à ses yeux. Je pense que pour d'autres, la brunette est une femme qui ne s’intéresse qu'aux histoires d'amour, aux gens beaux, et à sa propre beauté. Les choses superficielles souvent. Moui, c'est en effet ce qu'elle pouvait dégager comme impression, passant en prime pour une Déesse gamine et capricieuse. Ce qu'elle était un peu, il ne faut pas se voiler la face. Mais elle était une femme bien plus réfléchis et profonde que cela. Une « vrai » femme aux yeux de la guerrière qui était très attachée à la place de la femme dans la société. Le machisme ? Très peu pour elle, une femme est différente d'un homme mais pas moins faible pour autant ça non !

Gardant alors le silence tandis qu'Aphrodite lui affirma qu'elle était très bien coiffé ainsi, du moins, sans son chignon elle supposait. Bonne questions. Disons qu'elle préférait sortir coiffé, ses cheveux sont bien moins gênant ainsi, ils sont trop long. Un réflexe de guerrière peut-être ? Sur un champ de bataille, il vaut mieux être le plus à l'aise, et les protéger dans la mesure du possible, car en effet ils sont très beau. Regardant son reflet d'un regard en coin. Elle finit alors par répondre à sa question.

« Question d'habitude je suppose, je les trouve trop long, mais je ne veux pas les couper. Les attacher et donc la meilleurs option.»

Et pourquoi un chignon ? Parce que déjà cela relevait bien tout comme il faut, elle était libre de laisser deux mèches tomber pour encadrer son visage. Mais aussi parce que c'était une coupe qui tenait plutôt bien sur la tête on va dire. C'est marrant, à l'entendre penser ainsi, on pourrait croire que la Déesse se rendait sur un champ de bataille tous les jours, ce qui n'est absolument pas le cas. Plus dans le temps certes, à l'époque même où elle se trouvait, mais dans le futur, les Dieux ont bien moins d'interventions sur Terre. Ce qu'il faut avouer, leur permet d'avoir d'avantage de temps libre. Journée tranquille ? Hm. C'était sans compter sur sa sœur cadette qui ne se gêna pas de la réveiller en l'aspergeant avec de l'eau. Arrachant une mine surprise à la plus âgée des deux lorsqu'elle sentit l'eau fraîche sur son visage. Cela eut le mérite de la réveiller il faut avouer. Fixant comme si elle ne comprenait pas ce qu'il venait de se passer sa sœur, la voir rire ainsi lui fit avoir un sourire en quoi ? Ah oui ? Elle l'avait eut ? Elle ? Athéna ! Déesse de la Guerre, mais aussi de la victoire pour ses stratégie ahah ! -oui bon, faut avouer qu'il n'y aurait rien de stratégique dans ce qu'elle allait faire mais bon, on va faire genre.- C'est pourquoi, sans prévenir, et d'un geste rapide, une vrai guerrière en pleine action ! -ou pas.- Athéna poussa  tout simplement sa sœur pour qu'elle tombe dans la flotte. Eh oui. Elle n'éclabousse pas, elle fout  la personne dedans tout simplement. Comment ça on allait pouvoir voir à travers les vêtements de la jeune femme parce qu'elle est habillée en blanc ? Ah mais je vous jure que toute personnes passant par ici et regardant risquerait de perdre l'usage de ses yeux pour un moment foie d'Athéna ! -quelle gentillesse...-. Mais bon, il n'y avait visiblement pas grand monde dans le coin. Affichant un sourire victorieux, faussement victorieux mais tout de même, elle posa ses mains sur ses hanches et la regarda.

« Qui a eut qui ? Laissant échapper un petit bruit du fond de sa gorge, comme pour appuyer sur une fierté exagérée, la jeune femme ajouta. Comme je dis à Arès, il ne faut jamais prévenir et trop parler avant d'agir ! … Déformation professionnel.»

Oui bon, il n'était pas question d'attaquer ou de se défendre contre quelqu'un là faut avouer, pas du tout même. C'était même une ambiance plutôt détendue. Mais c'était un fait. Il est souvent préférable d'agir, au lieux de vociférer pleins de menaces avant -permettant à la personne en face de fuir ou d'agir entre temps.-. Ceci est un des gros défaut de son rival... Ou alors de certains films ou autres qu'on peut voir de nos jours. (parce que oui Athéna regarde des films de son œil de Stratège maintenant...).
Codage by TAC




Anonymous
Invité
Invité
Re: Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] | Lun 08 Déc 2014, 00:00



flashback
Il fût un temps.
f e a t ; athéninja ou athéneko ** ♥

C
e qui était intéressant avec Athéna, c'est qu'elle pouvait être la personne  la plus froide que vous n'ayez jamais rencontrer, mais aussi la plus chaleureuse. Il y avait quelque chose dans son regard, une chose qu'elle dégageait presque naturellement qui faisait qu'on pouvait assez aisément être auprès d'elle, être bien auprès d'elle. Un côté presque rassurant, sans vraiment chercher à l'être. Un côté naturel, un côté sécurisant... Enfin, c'était ce qu'Aphrodite pensait. La déesse de la beauté savait ô combien elle avait une place privilégiée avec sa sœur. Même Artémis, qui partageait bien plus de point communs avec Athéna qu'Aphrodite, n’avait pas une relation aussi fusionnelle avec sa grande sœur. Et cela, Aphrodite s'en vantait – que très rarement, mais elle le faisait quand même surtout en la présence de sa peste de petite sœur (même si on sait tous que c'est Aphrodite la plus « peste » des deux... Aphrodite avait toujours regarder sa sœur avec de grand yeux. Elle était érigée en star dans sa petite tête. Un femme si différente qu'elle, une femme si pure, si droite, si dure... Une sorte de modèle pour la déesse de la Beauté. Même si au final, elle savait que tout cela n'était qu'illusion, elle était bien trop éloignée de ce qu'Athéna représentait, trop différente, pour pouvoir un jour lui ressembler un peu. En plus, elle venait de tomber amoureuse de son pire ennemi, enfin non de son rival – et avec le temps on saura que cette histoire, ce n'était pas vraiment  du vent. Mais cela ne changerait rien, absolument rien. Car Aphrodite savait ce qu'elle voulait, à défaut de ne pas tout savoir et tout comprendre. Ce qui était déjà bien, en soi. Et elle savait que sa sœur était très importante pour elle, qu'elle ne laisserait pas une histoire d'amour, même si c'était celle de sa vie, briser le lien qu'elle avait construites depuis qu'elles étaient toutes petites – même si Athéna n'a jamais été petite... Elle se faisait quand même embêtée par cette effrontée d'Aphrodite. Ah, mais quelle gamine elle faisait. Elle n'avait même pas été impressionnée par le fait que sa sœur, la chouchoute de  son papa d'amour, soit déjà une grande personne : cela ne lui faisait ni chaud ni froid. Elle savait que dans tous les cas, elle ferait bonne impression. Bon après, il faudrait vérifié si cela fut le cas pour Athéna immédiatement ou non. Les bonnes impression avec Aphrodite, ça peut prendre du temps. Elle pouvait paraître tellement pimbêche par moments... Elle même le voyait. Mais c'était sa façon à elle de fonctionner, même si elle n'était pas aussi superficielle qu'on pouvait le croire lorsqu'on la connaissait un peu mieux.

Avec Athéna, Aphrodite avait eu la chance de prendre conscience de cela. Elle avait compris qu'elle n'était pas aussi superficielle que cela, qu'elle pouvait aussi fonctionner autrement, se présenter autrement, laisser parler ses sentiments d'une autre manière... Athéna avait changé bien des choses chez Aphrodite. Peut être s'était-elle rendu compte de cela ? Même si la déesse de l'amour n'était pas douée pour mettre en application les conseils de sa grande sœur... On va dire qu'elle faisait quelques efforts de temps en temps, mais que tout ne lui revenait pas toujours à l'esprit sur le coup, dans l'action, au moment où elle pourrait justement faire en sorte de changer un peu. Mais non, c'était un peu trop demander. Mais c'était normal , on parlait de la déesse de l'Amour... En revanche, ce qui était plus gênant, c'était de voir la déesse de la sagesse aussi perturbée pour si... peu de chose ? N'entendez pas par là que l'Amour est peu de chose, ABSOLUMENT PAS, mais plutôt.... Que ce n'était rien de ne pas comprendre quelque chose. C'était normal de ne pas tout saisir. Personne ne savait tout. Même si Athéna était la déesse de la Sagesse, elle n'était pas celle du savoir. Ce n'était pas exactement la même chose. Et donc, elle n'avait pas à tout savoir sur l'Amour. Ou même si quoique se soit d'autre. Tout savoir n'est pas intéressant.

Tout en continuant de jouer avec les cheveux de sa sœur – ces cheveux si doux qui restaient emprisonnés dans des chinions à longueur de journée, Aphrodite sentit sa sœur se reprendre. Elle lui reparlera de cette histoire, vous pouvez en être certain. Plus tard, car à présent, ce n'était pas le moment d'en rire. Mais ne vous inquiétez pas, ce ne sont pas des choses qu'Aphrodite oublie rapidement. Pour le moment, elle s'occupait de « rassurer » sa sœur. On ne peut pas vraiment dire qu'elle la rassurait, donc c'était un petit peu exagérer de dire cela. Mais Aphrodite remettait les choses dans leur contexte. Athéna ne devait pas perdre le contrôle. Enfin, si , elle le pouvait, mais... Mais... Aphrodite ne supporterait pas qu'elle se dénigre. Elle n'en avait pas le droit, c'était SA grande sœur, SA grande sœur en qui elle portait une admiration sans nom. Alors elle pouvait le faire, mais pas devant sa petite sœur. Elle la défendrait toujours, quitte à être une fois de plus déraisonnable. Les joues de la déesse de la Beauté rosirent un peu : elle n'était pas habituée à recevoir un compliment comme celui-ci. Dire qu'elle n'était pas superficielle était un peu exagéré, car Aphrodite elle même ne le niait pas : elle l'était belle et bien. Mais il y avait autre chose derrière. Il fallait juste savoir le trouver.... Non ? Athéna l'avait bien trouvé elle. Mais ça ne s'était pas souvent laissé savoir aussi facilement.

« JHeureusement, imagine, si on découvrait que la déesse de la Beauté n'était pas intéressée uniquement par ses petites histoires d'amour, mais qu'est-ce que je deviendrais ? » dit-elle en rigolant «  Il faut bien une part de mystère chez chacun d'entre nous ! »

Avec Athéna, tout était simple. Quand le moment devenait un peu trop sérieux, quand on commençait à toucher les caractéristiques profondes, ce que chacune des déesses renfermaient au fond d'elles, Aphrodite ne pouvait s'empêcher de transformer son gêne en bêtise. Ah, elle était assez douée, notre déesse de l'Amour. Même si il y avait un vérité derrière ce qu'elle disait : c'était une sorte de secret qu'elles gardaient entre elles. Et c'était bon comme cela. Il fallait maintenir ce mystère. Elle sous entendait donc que c'était très bien qu'Athéna remarque cela chez elle, qu'elle l'appréciait énormément, mais qu'elle préférait que ça reste entre elle deux ! Aphrodite trouvait parfaitement son compte dans son rôle de femme superficielle, de déesse de la Beauté. La conversation reprit sur les cheveux. Aphrodite comprenait les choix de sa sœur, mais elle ne l'acceptait pas pour autant. Sa sœur serait aussi belle avec un queue de cheval basse... et ses cheveux seraient plus lâches.... Elle deviendrait presque une femme fatale. Ce serait assez marrant de déguiser Athéna en femme fatale. La prochaine fois que la déesse de la sagesse passerait dans les appartements de sa petite sœur, cette dernière prenait un malin plaisir à l'habiller de la sorte !

«  Moui moui... On va changer cette mauvaise habitude ! » répéta-t-elle.

Affirma-t-elle en l'invitant à se rendre vers un point d'eau pour s'observer. Il fallait qu'elle se regarde les cheveux lâches... Et détendre cette atmosphère non ? Aphrodite avait toujours rigolé avec sa sœur, elle comptait bien le faire aujourd'hui. Même si comme je l'ai dis, il y avait déjà de quoi rire : entre les gaffe de Mme Beauté et les changements de comportement de Mme Sagesse. C'est pour cela qu'une fois vers l'eau, la déesse de la Beauté se permis d’arroser son aînée et d'en rigoler après. Bine avant de se retrouver les fesses dans l'eau. Elle n'avait même pas calculé sa chute. Sans rien comprendre, elle s'était retrouvée les fesses dans l'eau, l'eau lui arrivant jusqu'à la poitrine – comme quoi ces bassins étaient quand même profonds... La situation c'était bien retournée contre elle ! Elle ne pu se retenir plus longtemps, riant aux éclats en tentant de se relever. Avec cette robe mouillée, ce n'était pas des plus simple. Elle n'arrivait même pas à en placer une, et pourtant, elle en avait des choses à dire, mais voilà. Il ne fallait pas trop être ambitieuse dans ses moments comme cela... ça finissait toujours de la même façon. Voyant qu'elle ne pouvait se relever, elle resta assise dans l'eau à regarder Athéna en riant. Au bout de quelques instant, elle se reprit :

«  Ah, tu m'a bien eu d'accord... Mais c'était facile ! Très facile ! J'aurais très bien pu le faire, ne doute pas que l'idée ne m'était pas passée par la tête ! C'est juste que j'avais trop de respect pour ma sœur ! »

Dit-elle en lui tirant la langue. Belle excuse n'est-ce pas ? Cela n'empêcha pas la déesse d'éclabousser sa sœur de plus belle, faisant mine de se relever. Elle lui lança au passage quelques regards  « d'excuse », comme si elle ne l'avait pas fait exprès. Puis elle tenta réellement de se relever, s'aidant de l'épaule de sa sœur... Mais c'était sans compter le sol glissant... Qui permirent cette fois aux deux déesses de tomber dans l'eau ! Tout cela grâce à la maladresse d'Aphrodite, si ce n'est pas beau ! Rigolant de plus belle Aphrodite fini par lâcher :

«  Au moins, je ne serais pas la seule à avoir mouillé ma robe blanche ! »

Et au passage exposé mon joli corps, car il fallait le dire, elles avaient l'ai assez maligne, comme ça...




Anonymous
Invité
Invité
Re: Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] | Mer 17 Déc 2014, 11:35



« Il fût un temps »

Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] - Page 3 1408904066-tumblr-n6sm09x4u21rkuwozo1-500
Où nous n'étions pas si jeune que ça...


Quand on s'appelle Athéna, on se sent forcément obligé de toujours paraitre. Non, dit comme ça on pourrait l'interprêter autrement. Hm, je dirais qu'on se sent obligé de toujours rester digne et calme ce quelque soit la situation ? Il faut dire qu'elle était tout de même la première à faire la remarque à son frère cadet tient. Qu'il était trop énervé tout le temps, ce qui rendait son jugement faussé, ou alors le poussait à se précipiter et donc faire des bêtises. Mais c'est un peu triste de tout voir ainsi, la vie n'est pas qu'une bataille que l'on doit gagner, mais fort heureusement des moments égalements préviligiés avec les gens qu'on aime. Dans le cas d'Athéna, je dirais que parler de sa famille serait bien sûr le plus simple étant donné que les Dieux n'ont pas pour habitude de facilement se faire des "amis" parmi les mortels. Et si jamais ils en ont ces derniers sont bien éphémères. Et vu qu'ils sont tous liés d'une façon où d'une autre par le sang, on peut dire que c'est une très grosse famille -une très très grosse je l'avoue-. Mais là n'est pas la question, j'ai l'art et la manière de changer subtilement de sujet en cours de route que je suis sûre que t'as rien vu venir toi qui lit ahah ! Bon j'avoue, moi-même je ne sais pas trop où je vais comme ça, je vais donc retourner parler de la dignité de notre chère blonde qui en a pris un sacré coup tout de même-là. Parce que oui, non seulement pendant un bref instant elle était visiblement un peu déboussolée ? Je dirais que déçus serait un thème qui convient mieux mais bon. De ne pas tout savoir, qu'on pointe ainsi du doigt une lacune, bien que sa soeur adorée lui ai souligné que ce n'était pas une lacune. Bon, cela avait permis de déboucher sur des débats philosophiques forts intéressants mais tout de même ! Heureusement que la cadette eut pour idée de détourner la conversation, rendant alors une atmosphère plus sereine entre les deux femmes. Commençant alors à aborder le sujet de l'apparence de la Déesse de la Sagesse, faut avouer que c'est un autre sujet assez drôle pour elle à aborder. Elle ne veut pas plaire, du moins, pas dans le sens où on l'entend. L'attirance éventuelle d'un homme pour elle la dégouterait, en même temps elle n'a pas fait voeux de chasteté pour rien. Mais elle n'est pas un souillon loin de là, bien que son chignon peut lui donner un air trop sérieux voir même coincé, il est évident qu'elle ne laisse jamais rien au hasard. Et bien que laisser ses cheveux un peu lâché pourrait être un atout, il faut avouer qu'innover pour tenter des trucs plus osés n'était pas dans ses cordes. Et étrangement, elle savait au fond d'elle même qu'elle pourrait compter sur sa soeur pour vouloir faire des expériences de ce style... C'est bien parce que c'est elle.

C'est des moments de ce genre qui rendent le lien qu'elle entretenait avec sa soeur si unique. Elle en a des soeurs pour sûr, je pense qu'on peut compter sur Zeus là-dessus. Mais Aphrodite avait toujours été celle dont elle était le plus proche. Etrange non ? Sachant que c'est deux opposés total... Pourtant Athéna n'est pas trop du genre à se faire des ennemis au seins de la famille, à quelques détails près dirons-nous. Il est d'ailleurs "amusant" de souligner que les gens qui ont un différent avec cette dernière, c'est généralement un homme qui a subit une ou plusieurs défaites faces à elle.  Ah... A croire qu'ils ont décidement une fiertés mal placé. Mais c'est être un peu de mauvaise fois, Athéna avait une fierté parfois mal placé, mais elle était un peu plus humble lorsqu'elle se trompait, et acceptait -assez souvent, pas toujours nul n'est parfait même un Dieu !- ce fait. Souriant toujours de façon douce et légère, il n'y avait pas besoin de faire plus, pas besoin de se forcer, de toute façon Athéna ne se force jamais et c'est bien là la chose qu'on pourrait considérer de positif dans les relations avec elle. Sauf si on apprécie pas la vérité, dans ce cas-là je ne peux plus rien faire pour vous.

« Etrangement je pense que je peux compter sur toi... Soit soit, c'est nos petits secrets on va dire, faut bien qu'on ait nos privilèges ma belle.»

Elle avait dit ses paroles avec une telle douceur. En la compagnie de sa soeur cadette, c'est fou, mais elle se sentait tellement bien. Elle était gentille, pétillante, attentive, un peu maladroite certes mais c'est ce qui fait son charme. Il n'est même pas certains qu'Athéna puisse avoir une conversation correcte avec quelqu'un qui serait exactement comme elle en fait. L'ouverture d'esprit est important et... bon sang ce que j'ai l'impression de faire de la philosophie dans nos rp c'est fou ! Ca fait trop badass quand on joue Athéna. Ahem. Je reviens donc aux filles. Maintenant que l'une d'elle était dans l'eau, c'est maintenant que la dignité d'Athéna en prend un coup. Quand elle... Joue avec sa soeur à s'éclabousser ? Certes, elle n'a pas le rire jusqu'aux éclats ou autre, mais elle s'est tout de même abandonnée à jouer quelques instants avec elle comme si elle était soudainement l'enfant qu'elle n'avait jamais vraiment été. Comme si c'était une partie enfouit en elle. Je sais que c'est dur de parler de jeunesse et de vieillesse quand on est un Dieu, mais je ne pense pas qu'on puisse considérer Aphrodite comme âgée pour une Divinité, même Athéna dans un sens n'est pas très vieille. Et pourtant, elle était parfois plus sage que certaines Divinités plus âgées ! Mais en cet instant, elle avait pris un sacré coup de jeune. Son visage qui a pourtant pour habitude d'afficher cet air si calme et impassible, ou alors parfois moqueur avait totalement disparut pendant un bref instant. Quand bien même elle était trempé avec une Aphrodite de mauvaise foie qui devais accepter sa défaite huhu... (Quoi ? Laisse donc cette pauvre Déesse s'amuser !), pour au final se retrouver les deux dans l'eau. Leurs robes fines d'époques, blanche collant de façon assez osé leurs silhouette il fallait le dire. Bon, elles sont toutes les deux magnifiques hein, là n'est pas la question mais bon. Mais ce n'était pas le sujet immédiat de la Déesse qui resta un instant sans rien dire à regarder la brunette à ses côtés qui semblait s'amuser de cette situation plutôt inédite. Pour finalement avoir quelques secousses au niveau des épaules et rire un coup de bons coeurs. Un rire qu'elle était certainement la seule à pouvoir prétendre entendre.

Relevant comme elle pouvait ses cheveux désormais trempés pour essayer de les essorer, la blonde se releva en prenant garde à ne pas tomber de nouveau. Même si au point où elles en étaient, ce n 'était pas un drame. Une fois debout, elle tendit sa main à sa soeur pour l'aider à se relever, sans qu'elle ne recommence la même maladresse que tout à l'heure ! ... A moins qu'elle n'ait fait exprès la petite fourbe.. hm hm...

« Quelle maladresse. Mais on pourrait également associer ça à un coup de génie de jouer là-dessus pour tromper ton adversaire. Elle fit un clin d'oeil tout en sortant de la fontaine, laissant alors une traînée d'eau autours d'elle. Les mortels ont le même genre de robes... J'ai toujours trouvé que c'était assez peu pratique lorsqu'il pleut.
»

Bon un Dieu peut se téléporter à l'abri, donc il s'en fout me diriez-vous. Mais dans ce genre de situation hein comment qu'il fait ? Possédant le pouvoir de changer ses vêtements en armure, la Déesse aurait pût passer outre le fait de devoir se sécher ou autre, mais par solidatiré féminine elle ne le fit pas. Au lieux de cela, elle fit apparaitre alors une nuée de papillons de son corps. Ces derniers étant composés de feu, non seulement cela allait les réchauffer mais également les aider à sécher et à se cacher. Un bon nombre suffirait. Cependant, elle ne s'arrêta pas là. D'un geste qu'on pourrait qualifier d'étonnant, la Déesse de la Sagesse fit apparaitre une serviette, parce que rien à faire pouvoir téléporter des trucs c'est cool. Pour se placer derrière sa soeur et se mettre à lui frictionner les cheveux rapidement.

« Va pas prendre froid. Tu devrais revoir ton plan d'attaque pour la prochaine fois. Lâchat-elle sur un ton un peu moqueur mais pas méchant. Avant d'ajouter. J'aime bien quand on parle, ça revient au fait de tout à l'heure comme quoi tu n'es pas si superficielles que tu veux bien le montrer. Aurais-tu retenu la leçon ma petite ?»

Ah, c'est la Déesse de la Guerre qui est de retour. C'est des espèces de petits pics certes, pas bien méchante mais à croire qu'elle ne pouvait pas dire les choses si simplement. Dire que c'est cool de passer un après-midi entre soeur à se déterndre et rigoler. Un peu comme des gens de la hautes noblesse ferait lorsqu'ils se détendent de leurs soirées à ne plus en finir ou autre. mais non, ce serait comme avouer quelque chose qu'elle avait gros sur le coeur de façon trop visible. Et sa soeur est certainement suffisement intelligente pour savoir ce qu'elle voulait dire par-là. Et puis, depuis le temps elle devait connaître sa façon de faire. Les marques d'affections venant d'elle étaient rare, pour ne pas dire unique. Mais elle a des sentiments et cela lui arrive, elle n'est pas un monstre fort heureusement. C'est d'ailleurs pour cela que lui laissant la serviette encore humide sur la tête de la brune, la blonde se glissa devant elle pour tout simplement lui faire un baiser sur le front. Disant tout simplement, comme un murmure.

« Merci.»

... Quoi ? Tu t'attendais à plus ? Arrête d'être trop gourmande te-dis je !
Codage by TAC
[Hrp: Je travaille de façon sérieuse sisi]




Anonymous
Invité
Invité
Re: Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] | Sam 20 Déc 2014, 22:22



flashback
Il fût un temps.
f e a t ; athéninja ou athéneko ** ♥

S
i Athéna était toujours sérieuse, Aphrodite était tout l'inverse.  Chaque situation devait être un jeu, un moment où l'on s'amuse – enfin presque tous. La déesse de l'Amour et de la Beauté ne prenait que très peu de son temps pour réfléchir sur le monde. Elle préférait être dans l'action, ou plutôt la rigolade. C'était bien plus amusant. Après, elle n'était pas contre un peu de belles paroles pour élargir son esprit et sa vision des choses. Deux choses qu'elle ne faisait qu'en compagnie de sa grande sœur, car techniquement, c'était avec elle que la déesse s'entendait le plus. De toutes les sœurs et de tous les frères qu'Aphrodite avait – en commun avec Athéna –, de tous ces dieux, elle n'avait lié une sincère amitié qu'avec la déesse de la Sagesse. Et quand je parle d'amitié sincère, je me trompe quelque peu. C'était bien plus que cela. Athéna était à la fois une amie, un modèle, une concurrente, une sœur et une confidente. Les limites de la langue nous obligent à trouver de stupide mots pour désigner une personne, pour la catégoriser dans sa vie, alors que la réalité est bien plus large que ce terme. Mais il fallait s'en contenter pour se faire une idée de la relation partagée par les deux jeunes femmes. C'était une forme d'amour bien unique, qui montrait bien que ce sentiment, ce ressentit, cet émotion était un peu difficile à cerné. A vrai dire, pour revenir sur l'histoire de la note, Aphrodite elle-même ne pourrait se mettre 20/20 en dissertation sur l'Amour, à moins qu'elle n'explique une à une toutes les relations où l'amour était présent. Et pour cela, bah bonne chance. Chaque personne ayant une histoire, un ressenti et des imaginaires différents, il allait être important de compter chacun d'entre eux dans ce fameux rapport. Alors merci, mais non merci. Aphrodite n'était pas le genre de femme à s'installer sur un bureau pour écrire, et encore moins disserté. Tout ce qu'elle produisait n'était pas forcément sérieux, car elle trouvait ça un peu redondant. C'est la raison pour laquelle elle avait changé délibérément l’atmosphère. Elle ne voulait pas créer un gêne, et que ces gênes s’enchaînent les uns après les autres.

Et cela avait bien fonctionné. Athéna s'était apaisée, adoucie aussi. Il était rare de la voir aussi douce. On aurait dit une sorte de maman, une protectrice. Aphrodite l'aimait bien lorsqu’elle était comme cela. C'était à la fois si inhabituel et si normal... Inhabituel parce qu'elle avait pour habitude d'être froide, distante, à l'image du rôle qu'elle devait tenir... Mais normal parce que ce rôle, ce qui nous donne une place dans notre famille, notre entourage et notre société, doit bien se lever un moment où un autre pour nous permettre de vivre d'autres expérience.s Dans le cas présent, Athéna et Aphrodite n'étaient rien d'autre que des déesses, des femmes, discutant, papotant, rigolant et s'appréciant. Il n'y avait pas de guerre en jeux, pas d'autre interlocuteur. Elles pouvaient se permettre toute deux de faire tomber leurs masque : Athéna celui de la savante et Aphrodite de la pimbêche. Attention, je n'entends pas par là qu'elles ne jouent que des rôles en temps normal. Non. Ces traits de caractères étaient tous deux fondamentales dans leurs esprits, mais elles n'étaient pas QUE cela. Et puisque les deux jeunes déesses étaient partantes pour changer un peu de registre, sortir du carde habituel, Aphrodite en profita pour s'attaquer au cheveux de sa sœur. Les détacher, c'était l'objectif d'Aphrodite, et elle avait réussi son coup d'ailleurs. La déesse de l'Amour était donc bien contente d'elle, fière de sa bêtise. Car finalement, c'était une bêtise attachante, qui permettait de se faire au passage quelques confidences.

« Comment ça, étrangement ?  »Demande la déesse en fonçant les sourcils pour faire comme si elle ne voyait pas où sa sœur voulait en venir.  «  Alors c'est un autre petit secret ! »

Aphrodite rigola, finalement. Avant que les choses ne s'accélèrent. Sans vraiment avoir le temps de comprendre ce qui lui arrivait Aphrodite s'était retrouvée les fesses dans l'eau. N'était-ce pas censé être le sort réserver à la plus grande des deux ? Mais si ! Ce n'était pas normal que la brunette se soit retrouver elle aussi les fesses trempée. Enfin non. Athéna devait être éclabousser. C'était un geste d'une grande cruauté. Jamais Aphrodite n'aurait oser : vous vous imaginez bien que si elle l'avait osé, c'est ce qu'elle aurait fait en premier. La déesse de l'amour n'était peut être pas la plus  grande stratège de l'Olympe, mais elle savait une chose : il ne fallait pas attendre que son adversaire fasse ce que l'on pouvait/souhaitait faire. Il fallait agir en premier ! C'était donc une défaite pour Aphrodite qui, en plus d'être littéralement trempée, ne pu se relever lorsqu'elle le souhaita, se rattrapa a Athéna et l’entraîna à son tour dans l'eau. Et voilà, deux déesses trempées, en petite tenue blanches, servies sur un plateau ! Que demander de mieux non ? Heureusement que personne ne passait dans le coin à ce moment là. Enfin, heureusement pour Athéna. La nudité, le rapport au corps, n'était pas un problème pour Aphrodite. Se dévoiler, s’exposer, n'était absolument aps un problème pour elle : dois-je vous rappeler qu'elle avait le plus beau corps que l'univers n'ait jamais conçu ? Non... Bah je me le suis permise, du coup. Athéna ne pu s'empêcher de faire passer cet acte manqué comme une parfaite stratégie, ce qui fit ouvertement rire la déesse de la Beauté. Sa maladresse ? Un coup de génie ? Mais laissez-la rire ! Aphrodite resta à rigoler dans l'eau alors que sa sœur était déjà sortie. Elle se dirigea vers le bord quelques instants après elle, une fois son souffle reprit, à quatre pâtes, histoire de ne pas faire la même bêtise. Elle n'avait pas envie de se faire mal. Elle écouta la remarque de sa sœur sur les robe, ce qui la fit sourire une fois de plus. Tout en s'extirpant de l'eau, elle l'interrogea :

« Un peu transparentes tu veux dire ?  » demanda-t-elle en regardant sa propre robe, puis revenant sur Athéna «  Tu aurais des choses à cacher ma chère sœur ? »

Un petit sourire en coin s'était affiché sur le visage de la déesse de l'Amour. Il ne fallait pas s'en faire, ce n'était qu'une robe et qu'un corps à la limite. Et puis il n'y avait pas grand monde ici... Alors il ne fallait vraiment pas qu'elle s'inquiète. Aphrodite reprit ensuite leur précédent sujet de conversation, celui qui l'avait bien fait rire :

«  Non... Mais... Juste comme ça... Tu penses réellement que ma maladresse est un atout ? Enfin je veux dire... A ce point ? Il va falloir que je revois mes ambitions, je devrais me présenter comme troisième déesse de la guerre nan ? »


Jamais en une conversation elle ne s'était rendu compte qu'elle avait de telles capacités – enfin, parlons plutôt de la partie de toute à l'heure, parce que là c'était une bonne plaisanterie. Enfin, même si elle le voulait, ce ne serait pas très efficace d'avoir Aphrodite en déesse de la guerre. Elle n'était ni brutale ni stratège... Alors... A quoi bon ? Et même si elle n'était pas tout cela, Aphrodite savait qu'elle pouvait être utile lors de guerres. Elle pouvait faire un très bon intermédiaire, être une alliée fidèle et rendre quelques services. Il suffisait de lui demander et qu'elle accepte. C'était le deux conditions pour que cela fonctionne. C'est d'ailleurs les seules raisons pour lesquelles elle se rendait sur un champ de batailles.

Une fois sortie de l'eau, la déesse se mit à frissonner. Même si il faisait chaud, il y avait un petit vent qui rendait la peau un peu plus sensible au froid. Aphrodite n'eut rien le temps de faire qu'Athéna s'occupait déjà d'elle. Vous voyez, quand je vous dit qu'elle est géniale comme grande sœur ? La belle blonde fit apparaître une nuée de papillon autour des jeunes femmes, et comme tout à l'heure Aphrodite s'émerveilla. Elle adorait ces petite bêtes, les trouvait d'une féminité, d'une élégance... Même si ils n'en restaient pas loin dangereux. Mais c'était peut être ce qu'elle aimait le plus, le fait qu'ils soient dangereux. Une belle représentation de la beauté chez une femme.  En même temps, une serviette apparu dans les main de la cadette qui s'empressa d'éponger les cheveux de sa sœur avec. Aphrodite se laissait faire en souriant. Elle était contente, on s'occupait d'elle. Enfin on... Ce n'était pas n'importe qui quand même.

« Merci Athéna. » Dit-elle en lui offrant le plus chaleureux des sourires.«  La prochaine fois, je t'aurais peut être ? Et... Qui sait... Peut être que je gagnerait quelque chose ! Après tout tu es la seule qu'on n'ait jamais vaincue, n'est-ce pas ? » Aphrodite rigola «  Enfin, je ne pense pas que je serais aussi entêtée que cela...  »

Aphrodite avait fait exprès de ne pas trop parler de la deuxième partie des propose de sa sœur. Pourquoi ? Parce qu'ils étaient nobles et que cela n'avait rien à voir avec les imbécillités qu'Aphrodite balançait. Elle était en forme aujourd'hui, cela s'entendait. Mais elle n'allait pas pour autant ignorer ces belles paroles. Athéna avait le dont pour  être quelque peu discrète et secrète. Ce n'était pas souvent qu'elle complimentait son entourage, et puis même, ces histoires de leçons, c'était un truc qu'elles travaillaient depuis si longtemps !

«  Qui sait ? C'est à toi de juger cela! Mais si c'est le cas... Cela signifie que c'est la première que je retiens : il faut fêter ça ! » dit-elle doucement.

Aphrodite avait gigoter dans tous les sens, comme à chaque fois. La fête ? Ah elle aimait faire cela. Il fallait voir si Athéna serait d'attaque.. Mais Aphrodite n'avait même pas envie de fêter cela de cette manière. Il fallait que ça soit à leur deux images... Et puis il fallait encore qu'elle confirme que la leçon était retenue !

«  Moi aussi... J'aime beaucoup quand on parle toutes les deux.... Surtout quand les après midi sont aussi chargés en émotion ! » dit-elle doucement.

Athéna se plaça ensuite devant elle, laissant la serviette sur les cheveux de sa sœur. Une fois face à la petite Aphrodite, elle lui déposa un baiser sur le front, chose à laquelle la déesse de l'Amour ne s'attendait pas. Ce petit geste fut accompagner d'un petit merci. Un murmure, mais tant d'affection. Aphrodite pouvait le sentir. N'étant pas habituée à de telle actes de la part de sa sœur, elle ne pu s’empêcher de la prendre dans ses bras. Elle n'avait pas fait cela le plus délicatement du monde, même si elle était naturellement douce. Elle avait enrouler ses bras atour des bras de sa sœur, posant sa tête contre son épaule. Se rendant compte qu'elle s'était un peu emportée, Aphrodite s'écarta de sa sœur brusquement :

«  Pardon, pardon, pardon, pardooon !! Je sais que tu n'aimes pas ça mais... Mais... J'ai pas pu m'en empêcher... Tu  étais bien trop mignonne ! » Dit-elle le plus rapidement possible en rougissant de gêne.

Elle s'en prit ensuite à sa robe, comme pour changer de sujet. Elle la serra pour faire tomber toute cette eau qui la rendait si lourde... Elle se rendit compte qu'Athéna l'avait aidée depuis tout à l'heure mais qu'elle, la petite princesse, elle n'en avait rien fait. Elle se précipita donc pour faire tomber la serviette de sa tête et la mettre sur celle de sa sœur et s'occuper de sa robe à son tour :

«  T-Toi aussi tu vas prendre froid, heureusement que tes petits papillons sont là. »




Anonymous
Invité
Invité
Re: Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] | Lun 05 Jan 2015, 15:49



« Il fût un temps »

Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] - Page 3 1408904066-tumblr-n6sm09x4u21rkuwozo1-500
Où nous n'étions pas si jeune que ça...


Athéna pourrait presque être qualifiée de femme inaccessible, vous savez, le cliché de la femme fatale -bon, elle n'était peut-être pas la plus belle, ni au goût de tout le monde, mais je pense qu'on ne peut nier qu'elle est une belle femme-, qui ne peut être approchée. Et soyons franc, c'est un peu le cas. Aphrodite lui disait souvent, mais en fait la blonde se plaisait dans cette image qu'elle dégageai. Parfois les gens ne savaient pas s'il fallait l'approcher. Donnant alors l'impression qu'on allait la déranger si on vient lui parler. Mais comme quoi, faut pas se fier aux apparences, il suffit que le courant passe bien et pouf, ce masque pourtant incrusté en elle disparaît pour laisser place à une femme bien plus douce et sensible qu'il n'y paraît. Derrière la guerrière se cache une femme, on dit que les femmes ont besoin d'amour, ou alors d'esprit un coté maternel en engendrant une descendance, disons que cela s'exprime d'une toute autre façon pour Athéna. Ne s'entourant qu'assez peu, de façon proche cela s'entend, la demoiselle est du genre très protectrice, elle est intelligente, très, parfois trop. Mais assez pour parfois réfléchir pour deux, ou alors faire attention pour deux. Elle est forte, certes elle ne possède pas forcément une force aussi élevé qu'Arès, mais elle n'en reste pas moins une Divinité, et la Déesse de la Guerre mais aussi associé à la victoire. Ce n'est pas pour rien. C'est un atout à l'avoir à ses côtés. Et bien qu'elle ne doute pas de la capacité à d'Aphrodite pour envoyer les gens sur les roses, il est évident que si cette dernière a des problèmes, il vaut mieux qu'Athéna n'ait pas vent de ses histoire. Ce serait alors la faire entrer dans une colère noire... Mais alors vraiment. Je crois bien que ce serait là une façon tellement rare et exceptionnel de la rendre tellement cruelle dans ses actes. En même temps c'est comme toucher à sa moitié, sa sœur, son amie bref. Je ne vais pas plagier ton précédent poste en disant qu'il y a bien trop de mots pour décrire leur relation. Même si c'est à moitié fait ahah. Ahem. Mais c'est réellement le cas, c'est ce qui rend la chose attendrissante. Leur relation si unique et pourtant adorable à la fois. Certains pourraient ne pas aimer Athéna pour sa capacité à savoir gagner tous le temps, ayant du coup un petit air supérieur bien mérité peut-être, et Aphrodite pour son côté pimbêche, mais il suffit de voir au-delà de ça. Tout était fait pour qu'elles ne puissent ne pas s'apprécier, sans compter que par la suite elle serait en couple avec l'homme que notre femme déteste le plus et pourtant, elles passent au dessus de ça. Elles sont intelligentes. Les deux oui oui.

Aphrodite avait légèrement tiqué sur le fait qu'elle avait affirmé qu'étrangement les deux s'entendaient bien et qu'elle avait toujours sût qu'elle pouvait faire confiance à la cadette. Et pourtant c'est vrai. Elles forment une combinaisons étranges, des opposés qui arrivent à se compléter et à s'accepter telles qu'elles étaient. Chercher à changer les autres et souvent peine perdus, quand on est sur des idées, les débats sont souvent stériles et pourtant c'est ces dernier qui se reproduisent le plus. N'est-ce pas Arès ? Si tu passes par ici cette phrase est pour toi ! Cependant, de son air sérieux qui était gravé si souvent sur son visage Athéna affirma simplement, souriant toujours légèrement, parce que la compagnie de sa sœur la détendait toujours un peu.

« Étrangement oui. Nous formons une équitation un peu improbable. J'aime bien.~»

Quand il ne s'agit pas de comparer tous à la guerre, Athéna voyait toujours les choses de façon tellement logique. Peut-être parfois trop logique. Mais on ne la changerait pas, cela pouvait la rendre attachante à sa façon. Certains Dieux font très bien avec hein. Tandis que d'autres avaient un peu plus de mal à supporter ce caractère si carré et stricte. Surtout parce que notre Déesse avait tendance à ne jamais parler dans le vide, à toujours dire des choses avec tellement de justesse qu'il est difficile de le contredire. A moins dans ce cas de l'entraîner sur un terrain qu'elle ne maîtrise pas. Si la brune ne pouvait être contestée sur sa beauté, c'est sur l'intelligence de la blonde qu'on ne pouvait le faire. Ah ah et en plus on contredit le cliché de la blonde superficielle et bête ! En parlant d'ailleurs de beauté, les deux belles Divinités pourraient aguicher plus d'un homme dans cette tenue. Heureusement pour elle, du moins surtout pour Athéna, ou peut-être plutôt pour le potentiel voyeur vu ce que la blonde aurait pût lui faire subir suite à cette vue. Puisque sa sœur cadette ne semblait pas vraiment gênée par ce fait. Vrai, elle trouvait la robe trop transparente à cet instant, disons qu'elle n'est pas pudique, mais Athéna n'apprécie pas tout ce qui touche au côté charnel, et ce genre de tenue lui donne un peu trop l'impression que cela pourrait plaire à la gente masculine pour diverses choses assez peu catholique. On pourrait dire qu'elle est coincée, mais que voulez-vous y faire..? C'est pourquoi elle jeta un coup d’œil autours d'elle puis à elles deux avant de dire. L'air mois sûre d'elle, comme si c'était soudainement encore quelque chose qu'elle ne maîtrisait pas du tout encore une fois.

« Je n'aime guère qu'on puisse me voir. Je dirais... Que je veux être juste Athéna, pas une « femme ». C'est étrange dit comme ça je sais. »

Athéna ne fait que rarement la différence entre homme et femme. Il faut dire qu'en tant que Déesse de la Guerre, on peut dire qu'être une femme mais aussi figure de cette chose réservée à l'homme est plutôt étrange. Lui donnant ainsi cette façon de penser. Mais elle n'apprécie pas vraiment cette différence dans la société des hommes entre le sexe masculin et féminin. C'est pourquoi selon elle, un homme peut avoir les même faiblesses qu'une femme et une femme la même force qu'un homme. Cette nudité mettait en valeur ses formes, ses potentiels atouts, toutes ces choses qui ne lui sont pas utiles du tout, préférant alors les cacher sous une armures. Cependant. La soudaine gêne dans les propos d'Aphrodite lui arracha alors à nouveau un sourire. Elle était tellement adorable à douter ainsi. C'était un spectacle assez unique, mais tellement mignon, mettant alors un point d'honneur sur le fait qu'elle était la grande sœur qui donne des conseils et elle la petite qui écoute -ou bien tente d'écouter-. Elle lâcha alors avec douceur.

« Bien sûr ! Sur le fond, tous peut-être un atout après tout. Il suffit de savoir utiliser ses compétences et avoir confiance en soit, ce dont je ne doute pas vraiment pour toi. Et puis... la maladresse peut te donner un certains charmes, j'en baisserais ma garde ! Finit-elle par en rire légèrement, s'amusant de sa propre comparaison. Mais je ne compte pas te laisser me prendre la place de gagnante. Voilà un moment qu'Arès se bat pour avoir cette place, il te faudra être plus entêtée que lui..»

Athéna avait alors ponctué sa phrase d'un léger sourire en coin. Bien sûr, il était évident qu'il n'était nullement question de vouloir faire de la concurrence ou autre réellement. Mais il était vrai que pour le coup Arès était quelqu'un d'extrêmement têtu, on ne pouvait lui retirer ce fait. Ni même d'avoir l'espoir de pouvoir la battre en fait... Mais ce n'était certainement pas pour tout de suite, Athéna était invaincu et comptait bien le rester... Elles parlaient tout en s'occupant d'elle, c'est une ambiance détendue, une relation, un moment d'intimité entre les deux sœurs même. A tel point que cela avait fait lâcher quelques compliments de façon spontané de la part de la belle blonde. Laissant sa pauvre sœur un peu perturbée par cette soudaine et douce affection qu'elle lui communiquait. Tant dans ses paroles que dans ses gestes. Et bien sûr, elle eut droit à un retour... Ouvrant que le coup les yeux lorsque les bras de sa sœur se resserrent autours d'elle, la tête calée contre son épaule. Faut le dire, la blond n'apprécie généralement pas vraiment ce genre de rapprochement, comme s'il était obligatoire pour elle d'avoir une distance entre elle et les autres. Mais dans le cas présent, il s'agit d'Aphrodite, sa chère et tendre sœur. Ainsi... Bien qu'elle ne le dirait jamais -mais Aphrodite devait le savoir tout de même, un peu..?-, Athéna appréciait ce genre de geste... Cependant elle ne pût se résoudre à passer d'instinct les bras autours de la cadette pour lui rendre la pareil. Elle en eut d'ailleurs légèrement le regret lorsqu'elle s'éloigna d'elle pour s'excuser. Affirmant qu'elle savait qu'elle n'appréciait pas ça, mais qu'elle était trop mignonne. La Déesse de la Sagesse se fit silencieuse un bref instant, comme cherchant quoi dire. Ce qui laissa le temps à la plus jeune de se décider à lui rendre la pareil. C'est à dire s’atteler à la faire sécher. Mais ce qui était le plus adorable dans tout ça -on va finir par péter des licornes et vomir des arc-en-ciel tellement on les adores!- c'est la façon dont elle s'était soudainement exprimée. Quoi ? Tu n'as pas remarqué ? Elle semblait gênée. Et je pense que pour gêner Aphrodite faut le faire, comme si elle ne savait pas comment exprimer son affection soudainement trop grande pour sa sœur si distante, de peur qu'elle la repousse peut-être ? Ou quelque chose de ce genre. Cela fit apparaître un sourire un coin, elle lâcha sur un ton de moquerie léger.

« Je suis solide voyons, mais te voir ainsi gênée me donne l'impression d'être une grande gagnante, tu es tellement adorable quand tu butes sur tes mots. »

Dans un sens, cela sous-entendait qu'Aphrodite dégageait une image assez sûr d'elle. Un peu comme sa sœur, les deux ne sont pas vraiment du genre gênée à dire et faire ce qu'elles veulent comme elles veulent en fait. Cependant elle glissa ses doigts jusqu'à sa joue, comme pour attirer son attention vers on regard.

« Sache que tu ne me déranges pas. S'il y a bien une personne que j'apprécie avoir dans mes bras, c'est toi Aphrodite.»

Voilà. Quand je dis qu'elles ne se gênent pas pour dire ce qu'elles pensent. Athéna avait ressentit le besoin de la rassurer de lui exprimer ce qu'elle pensait d'elle, de façon soft, peut-être trop même, mais c'était sincère. Athéna utilise toujours les mots de façon simple mais juste. Soufflant un coup, avant de la lâcher pour la laisser terminer de s'occuper d'elle, Athéna haussa les épaules en levant le regard vers le ciel qui avait la même couleur que ses yeux. Revenant sur le sujet de tout à l'heure.

« Alors dis moi ? Comment comptes-tu fêter ça?~»

Un sourire en coin. Un sourire sincère. Elle était bien. Il fait bon de se détendre parfois.
Codage by TAC




Anonymous
Invité
Invité
Re: Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] | Lun 16 Fév 2015, 22:22



flashback
Il fût un temps.
f e a t ; athéninja ou athéneko ** ♥

L
e plus impressionnant dans la relation entre la grande Athéna et  la belle Aphrodite, c'est la manière dont les choses ont évolué. Au départ, Aphrodite n'avait fait le connaissance de sa grande sœur dans l'unique but de découvrir qui était sa grand rivale aux yeux de son papa. Alors que nous sommes d'accord sur le fait qu'il n'y avait aucun enjeux à cette place, mais c'était du Aphrodite tout craché : il fallait qu'elle soit le centre d'attention, que ce soit elle la chouchoute de papa – et qu'à la limite tous les autres enfants du roi des dieux n’existaient pas ou ne devaient pas être évoqué. Le seul nom qui devait sortir de la bouche de Zeus, c'était Aphrodite. Aphrodite par ci, Aphrodite par là, Aphrodite toujours et encore. Bon, il faut aussi préciser qu'on ne devait QUE la complimenter, sinon mademoiselle boudait. Petite elle était la reine des boudins, elle passait  son temps à faire enrager  son entourage avec ses caprices. Car n'étant pas contente que les choses  ne se passent pas comme elle l'avait prévu, Aphrodite faisait vivre l'enfer à ses domestiques.... Jusqu'à ce que son papa (ou sa maman) la prenne sur ses genoux et écoute ses petite histoires ou s'occupe d'elle. Aphrodite adorait être sur les genoux de son père, mais malheureusement Zeus n'était pas toujours disponible pour sa fille. Et c'était bien normal. Simplement que la petite déesse ne le comprenait  pas, car elle n'était pas le centre d'attention, qu'elle ne voyait pas ce qu'il y avait de plus important qu'elle, ce qui était plus urgent que de s'occuper de ses états d’âmes. Je crois qu'on peut s'accorder à dire qu'elle était une enfant gâtée, une princesse. Enfin, c'est toujours un peu le cas, même si elle a quand même bien changer depuis. Aphrodite est persuadées que si elle est ce qu'elle est aujourd'hui, c'est grâce à sa grande sœur. Qui aurait cru qu'Athéna aurait une aussi bonne influence sur sa petite sœur. Alors qu'elle était considérée comme une rivale potentielle, Athéna est rapidement devenu un sorte de modèle pour la petite déesse. Pourquoi une sorte ? Parce qu'Aphrodite a un peu de fierté et n'avouera certainement jamais à quel point elle considère cette grande sœur comme un modèle et peut être pour protéger l'intimité d'Athéna. Les deux sœurs avaient construit leur relation sur une base de pudeur. Chacune respectait l’intimité de l'autre et l'acceptait avec ses qualités, mais ses défauts aussi. Veillait à ne pas trop déranger l'autre dans ses convictions, veillait à la bousculer gentiment, tirer des sonnettes d'alarme quand il le fallait. Oui, maintenant, elles pouvaient compter l'une sur l'autre. Enfin, c'était même depuis longtemps qu'elles fonctionnaient comme cela. Aphrodite avait grandi, et elle savait comment, elle aussi, prendre soin de sa sœur de manière à ce qu'elle le comprenne sans la déranger dans ses principes. Maintenant qu'elle était grande, les rôles s'étaient un peu... égalisés. Car il faut le dire, avant, c'était Athéna qui supportait la petite brune qui venait la tirer par la robe pour faire x activités. Aphrodite avait compris que sa sœur était gentille et qu'elles s'appréciaient, donc elle n'hésitait pas à venir l'embêter, à venir prendre de son temps. Que faire si elle avait d'autre chat a fouetter, Aphrodite savait être dans les pattes des autres sans réellement les déranger. Et, en plus, cela lui permettait d'apprendre du caractère carré et stricte de sa chère sœur. Elle avait toujours aimé la regarder en pleine action.

Les deux sœurs étaient différentes sur bien des choses. Dont le corps. Le rapport qu'Athéna avait avec son corps était différents de celui d'Aphrodite. Alors que la déesse de la beauté passait son temps à chercher à attirer le regard des autres, la déesse de la sagesse, elle, tentait d'être très discrète. Comme si son enveloppe charnel la gênait. Comme si elle cherchait à être neutre, se défaire de cette image de femme. Et c'était peut être normal non ? Aphrodite jouait avec son corps, elle le prenait comme un atout. En même temps, elle était la plus belle femme que le monde connaisse, alors il serait dommage qu'elle ne se serve pas des qualités de se corps et surtout de ce qu'il pouvait faire naître dans la tête des gens. La beauté de la déesse lui était très utile, depuis qu'elle était toute petite. Elle savait comment enrouler ses cheveux autour de son doigts en demandant quelque chose, elle avait utiliser le bon regard pour faire craquer tout le monde, le bon déhanché. Mais, elle n'était pas aussi fausse avec tout son entourage ! Fort heureusement. Athéna par exemple, même si une ou deux fois ses petites mimiques avait du faire craquer la déesse de la sagesse, Aphrodite avait très rapidement pris conscience qu'elle ne voulait pas fonctionner comme cela avec sa grande sœur – et que techniquement elle se ferait souvent griller. Et puis, leur relation s'était rapidement installée comme étant une relation de confiance. Aphrodite était une autre personne en la présence d'Athéna comme Athéna était une autre personne  en la présence d'Aphrodite. C'était peut être pour cela qu'on ne comprenait pas vraiment comment les deux déesses pouvaient supporter et surtout aussi bien s'entendre. Aphrodite sourit donc lorsque sa grande sœur lui répondit donc qu'elle n'aimait guère qu'on la voit comme cela.

«  Non non, ce n'est pas étrange. » répondit simplement la déesse de la beauté avant de faire une courte pause. «  Disons que ça te correspond bien ! »  

Aphrodite rit à cette petite réflexion. Il n'y avait rien de méchant, c'était juste comme cela entre elles. La déesse de la beauté acceptait grandement la vision de sa sœur sur la place de la femme dans les sociétés humaines, voir même de la femme dans l'Olympe, mais c'était une autre histoire. Aphrodite était fière de voir sa sœur occuper un rôle habituellement plutôt masculin. Mais malheureusement, cela ne changeait pas vraiment les choses, les femmes étaient toujours considérées comme différentes des hommes. En même temps, elles l'étaient. Mais les sociétés appliquent une autre dimension à cette différence physique, une différence comportementale, rationnelle. Les Hommes attribuaient souvent des caractéristiques un peu trop mystérieux aux femmes, mais il fallait en jouer aussi, au même titre que s'y opposer. Aphrodite le faisait parfaitement bien. Elle savait comment aller dans le sens de ses perceptions en s'y opposant royalement, montrant les limites de ses mécanismes. Un peu contradictoire pour une déesse qui représente elle-même toutes ces représentations fantasmées de la femme. Enfin, presque. Aphrodite n'était pas vraiment présentatrice de la grosses, du rôle de mère... Enfin, elle n'en était pas là. Pour le moment elle allait simplement s'occuper de se mettre en couple. Enfin voir si c'était possible. Et cela avait un peu disparue de la tête de la déesse, profitant de ce moment de bonheur avec sa sœur.

Aphrodite partit ensuite dans son délire du : Avec ma maladresse, je pourrais bien être la  troisième déesse de la guerre et se lancer dans la compétition acharnée que se disputaient Arès et Athéna. Cela pouvait être une idée de carrière, surtout si la plus forte en titre, Athéna, trouvait les petits moment de gênes d'Aphrodite touchant au point d'en baisser sa garde ~. Oui, dans ses cas là, la compétition, et surtout la proposition, était à considérer. Même si la déesse de la beauté ne se voyait terriblement pas envoyer tous ces gens dans des combats sanglant. Aphrodite aimait le beau, pas le sanglant...  Donc elle ferait certainement une piètre déesse de la Guerre. La déesse de la beauté rit donc à la dernière réflexion de sa sœur, comme quoi elle n'allait pas se laisser faire aussi facilement, qu'Arès se battait déjà depuis un moment et qu'il allait donc falloir qu'Aphrodite soit aussi entêtée.

«  Je ne pense pas être aussi entêtée ! Alors tu n'as pas de soucis à te faire, surtout que j'aime trop mes titres actuels pour les quitter... Néanmoins, je prends note de... ces petits charmes qui te font de l'effet !  »

Aphrodite lui fit un clin d’œil en restant sur le ton de l'humour, évidement. C'était tout simplement sa manière à elle de répondre aux sourires en coin qu'Athéna lui faisait depuis tout à l'heure. L'ambiance de cette conversation avait bien changé, et permettait à chacune d'être plus intime avec l'autre. Aucune n'était réellement gênée de ce qu'elle montrait, mais plutôt surprise par ce qu'il se passait. Aphrodite n'aurait jamais cru recevoir tous ces compliments de sa sœur, toutes ces petite remarques gentilles... Pas qu'elle croyait Athéna incapable de penser de la sorte, non, simplement... Ce n'était pas elle d'être aussi à l'aise à exposer ce qu'elle ressentait, ce qu'elle pensait de quelqu'un, à parler de leur relation. Du coup, cela entraînait des comportements assez étrange chez la déesse de l'Amour, qui avait sauté au cou de sa sœur pour la prendre dans ses bras. Aphrodite ne s'autorisait pas vraiment un tel comportement avec Athéna, mais c'était parfois plus fort qu'elle. C'était une déesse qui vivait l'action, qui laissait parler ses émotions, même si elle savait aussi se remettre à sa place au final, même si elle s'excusait de s'emporter de cette façon après coup. Les excuses de la plus jeune installa un bref silence. Un bref, gêne. Aphrodite combla se vide en s'activant, séchant à son tour sa chère sœur. Car elle aussi était tombée dans l'eau rappelez vous ! Ainsi, elle pouvait espérer que le  sujet change, qu'elles oublient ce qui venaient de se passer – même si dans  le fond cela lui aurait fait de la peine que ça sœur n'ajoute rien...

Aphrodite se figea sur place lorsqu'elle entendit Athéna lui dire qu'elle était mignonne lorsqu'elle buttait sur ses mots. Elle leva la tête pour la regarder de se regard qui lui disait « mais c'est cruel ce que tu me dis là ~ comment oses-tu, moi, ta sœur préférée ~ ». C'était toujours sur le ton de la plaisanterie. Aphrodite savait  qu'Athéna ne jouerait jamais avec elle, qu'elles n'auraient jamais à se considérer comme gagnantes ou perdantes de leurs interactions. Et c'était ben comme ça.  Mais Athéna ne se contenta pas de cela... Athéna ajouta des paroles si mignonnes, si touchantes qu'Aphrodite ne pu la quitter des yeux.Cette fois, elle était figée par l'émotion. Elle laissa Athéna faire, prenant son visage dans ses mains.  

«  Mais... C'est une vrai déclaration d'amour que tu me fais là, Athéna. » dit-elle instinctivement.

Elle resta aussi en beug un moment, jusqu'à ce que ça sœur lui demande ce qu'elle comptait faire  pour fêter le fait que la cadette avait enfin peut être apprit une leçon et appliquée ! Aphrodite se reprit ensuite et resserra sa sœur dans ses bras, d'une étreinte plus que chaleureuse. Elle la serra dans ses bras, sans se poser de questions cette fois. Athéna a dit qu'elle aimait cela alors elle allait être servie. Parce que de l'amour pour sa sœur, Aphrodite en avait à revendre !

«  Déjà, avec ce câlin ! Après, je pense qu'il est préférable de se sécher avant de parler de festivités ! Surtout que tu es toi aussi concernée ~ Tu seras mon invité d'honneur ! »

Aphrodite souhaitait fêter cela simplement, avec sa sœur... Profiter encore d'un peu de temps ensemble.




Contenu sponsorisé
Re: Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥] |

 
Il fût un temps. [pv : Aphrodite ♥]
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 3 sur 4Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4  Suivant
 Sujets similaires
-
» Quand il est temps de partir, il est temps. ♡ pv ruth
» it's really you? {aphrodite&valentine}
» Visite à Atlantide [Pv Aphrodite]
» ••• brave heart ; Aphrodite
» Aphrodite | ღ Now, I fuckin' hate you, mom ..

Sanctuary of Heart :: La Terre :: Le Mont Olympe-
Sauter vers: