Good morning ! [Pv James et Meylan]

Good morning !

Ft. James et Meylan

Je me réveillais à l'aube, une longue journée s'annonçait. En tant que policière, c'était mon devoir de veiller à la sécurité. Aujourd'hui, exceptionnellement, je me chargeais avec la patrouille de Chloris, de faire respecter les lois dans la cité fleurie. J'allais rester là pour une semaine, c'était déjà mieux que de payer pour un seul jour l'hôtel où j'étais. Je quittais à contrecoeur mon lit pour aller m'habiller. Je revêtis mon uniforme de policière, et accrocha quelques armes dessus, on ne savait jamais ; même dans une ville calme et tranquille, un désastre n'est jamais loin. Je m'équipais donc d'une matraque, de mon épée et d'un pistolet. J'ouvrais donc la porte, et traversais l'hôtel. Je fis une patrouille dans la ville, et, vers huit heures, me dirigeais vers un café.

Je m'installais à une table, et commandais un café expresso, plutôt fort. Comme je les aime. J'attachais mes cheveux en couette, et attendis patiemment mon café. Comme d'habitude, les gens me regardaient, admiratifs ou plutôt énervés, à cause de mon uniforme. Une petite musique défilait. J'observais les gens autour de moi. Ils n'étaient que trois : un homme avec une moustache, une chemise rouge et bleu à carreaux, un jean, et une casquette. Il y avait aussi une jeune fille qui devait avoir 12 ans, vêtue d'une robe bleue et de sandales, et sa mère, une grande femme qui devait avoir 30 ans, qui était habillée de la même façon que sa fille. Un homme qui s'avérait être serveur vint, et déposa la tasse de café sur ma table, et demanda d'un ton poli :
-Souhaitez vous autre chose, madame ?
Je souris, et répondit que ça allait. Il reparti donc, me laissant à mon café.

Je commençais à siroter calmement, le café clairement très chaud. Cette journée s'annonçait bonne ! En esquissant un sourire, j'allais chercher le journal du jour. En première page, on annonçait qu'un festival allait avoir lieu bientôt. En tant que policière, je devais le surveiller, évidemment. Je repris une petite gorgée de mon café, tenant mon journal à une main.