Il y avait du vent, un vent un peu frais, mais cela n’était pas non plus quelque chose de désagréable en vrai. Bien sûr, tu ne pouvais pas comprendre pourquoi tu ressentais un courant d’air froid. Tu es allé te coucher dans ton lit, oui c’est le souvenir de ton lit qui plane. Pourtant, pourquoi tu as froid au pied ? La jeune femme est-elle entrain de rêver sûrement, elle rêve qu’elle a froid ? Drôle de rêve tout de même.
La jeune femme est dans une sorte de noir, tu as faim aussi, oui très faim. Mais pas une faim normal, cette faim qui te fait si mal au fond. Pourquoi tu es comme ça ? La demoiselle secoue un peu la tête et comme une petite lumière, la demoiselle remarque enfin qu’elle a les yeux fermé, ouvrant doucement les yeux, la demoiselle ouvre doucement les yeux. Tu étais contre un mur totalement endormir. La blonde regarde un peu partout, il fait froid en plus, oui très froid, tu étais perdu ? Oui. La jeune femme se relève doucement, regardant un peu partout. Tu étais dans une ruelle plutôt sombre, tu avais de la bave au coin de tes lèvres, tu bavais ? Tu as clairement trop faim. Serrant un peu ton haut, elle avance timidement, sa tenue qui est un pyjama n’est clairement pas choisie pour le bon endroit. Avançant rapidement en regardant partout, elle ne sait pas du tout où elle se retrouve, elle ne sait pas et à terriblement peur. Encore une fois, tu as bougé de ton lit à cause de ton rejet de ta personne, ce côté vampire veut survivre. Dans la panique, tu avances, tout tremble terrifié à l’idée de ne pas savoir où tu te trouves en ce moment même. Bien sûr, tu n’as pas pris ton téléphone, tu es juste en pyjama.
Essayant de calmer ta respiration un peu trop rapide, il ne faut pas faire de crise maintenant, il faut rester calme, malgré la situation totalement stressante. Ta maman n’est pas là, ta sœur n’est pas là, tu es toute seule perdu. La jeune femme serrant encore une fois ses mains contre sa poitrine, elle avance en ce demandant clairement ce qu’elle doit faire. Aller dans une rue plus rassurante déjà ? Puis, il est quelle heure ? Puis sérieusement, est-ce que tu es toujours dans ta ville ? Avalant durement ta salive, tu avances rapidement, bien qu’au fond tu es pris la première direction qui te semble rassurante.
Jusqu'à ce qu’une odeur alléchante te fait changer de direction, tu sembles attiré, voir même emporter encore une fois par ta tête qui veut clairement aller là et ton ventre le veut aussi, cette odeur si alléchante te semble si bonne et si écœurante, c’est fou comme tu es compliqué.
C’est alors que tu remarques une forme plutôt humaine, plutôt féminine, la demoiselle approche doucement, non naturellement, jusqu'à se « réveiller » encore une fois. Cette forme était bien humaine, elle était aussi une femme, ce que tu penses, bien que ton regard descendu doucement pour voir cette fois une couleur peu rassurante… Reculant dans la plus grande délicatesse équivalant à un éléphant dans une verrière. Tu recules en percutant dans des poubelles, t’es doué.
Tu étais toute blanche, tu avais la respiration qui ne voulait pas se calmer, tu étais totalement paniqué. Une femme, une femme que tu ne connais pas du tout, une femme qui semble menaçante, se frottant un peu les yeux. Est-ce un rêve ? Bien sûr que non. Tu as beau essayé de regarder la femme, tu n’arrives pas du tout à voir autre chose que c’est trace rouge.
« C’est Du-du-du-du sang ? »
Ta petite voix totalement paniqué commence clairement à te rendre de plus en plus mal. Oui l’odeur confirme bien que c’est du sang, cela ne peut pas être autre chose… Plus tu y penses plus tu te sens mal, c’est une personne méchante ? Du vrai sang ? Une femme dangereuse. Du sang, un danger….
« C’est du sang… »
Hochant la tête comme pour t’assurer de ce que cela est, tu te sens d’un coup bizarre… Tu te sens partir, puis le noire arrive progressivement, et le paysage se penche d’un coup.
Margaery vient de tomber dans les pommes, quel courage.
Tu aurais pu mourir, tu aurais pu mal finir, tu aurais pu tout avoir, pourtant, quand tu viens de reprendre conscience, tu te trouvais face à un plafond trop blanc, et une odeur de médicament trop forte. Encore une fois, tu étais perdu.
La tête me tournait, mes jambes me portaient à peine. Un vent léger s'était levé et prenait ce qu'il restait de mes appréhensions. Mon regard fatigué peinait à retrouver son confort et il me semblait à peine distinguer la différence entre les murs et le sol. Il m'avait fallut plusieurs minutes avant d'être tout à fait en forme. J'avais l'habitude de me réveiller des caprices du monstre seulement le matin, avec une vilaine migraine et un café aux lèvres. Une clope et un verre de whisky. Quelque chose pour me remettre sur mes jambes. Mais rien. Il faisait encore sombre et dans les ruelles étroites de Skyworld, il commençait à faire froid. Le sang commençait déjà à sécher sur mes vêtements que je traçais le chemin de ma maison, nourrissant l'espoir de ne croiser personne.
Sauf qu'une gamine s'était plantée là, le regard hagard et perplexe, d'abord. Effrayée, sûrement. La petite avec de minuscules crocs au bord des lèvres et la pensée qu'elle ait été attirée par l'odeur de mon carnage me fit sentir un goût amer dans la bouche. Je n'avais jamais eu l'intention de lui faire peur. D'ailleurs, j'imaginais que ce n'était pas plus moi que l'accoutrement qu'il m'avait été donné de porter. Je soupire vaguement et tente de la rassurer, sans un mot cependant, simplement des mouvements de tête.
Et elle tombe. Je hausse les sourcils et tente de la récupérer mais son corps heurte déjà le sol. Je serre les mâchoires. Mes réflexes avaient pris cher dans leur fierté. Je plisse le nez et regarde autour de moi. Si d'autres monstres comme moi rôdaient, elle n'était pas en sécurité à dormir là par terre. Et les monstres, j'avais appris qu'il y en avait tout un tas, même dans un endroit aussi pur que Skyworld. Je me décide alors et la porte, me dirige d'un pas lent vers l'hôpital.
Là-bas, ils insistèrent plusieurs fois pour vérifier mon état en voyant le sang sur mes vêtements, mais je dus répéter à plusieurs reprises que ce n'était pas le mien mais celle de la petite qui avait craché du sang tout le long du voyage. Elle avait fait un malaise et je n'avais eu que le tissu de ma robe pour essuyer son visage. La bonne blague. Le pire, c'est qu'ils étaient dupes. J'avais même du faire croire qu'elle était ma filleule, comme quoi nous étions partis voir les étoiles. L'idée de mentir ne m'était pas tellement inconfortable, finalement.
Lorsqu'elle ouvre les yeux, il fait déjà jour et mon corps fatigué me supplie de m'endormir. Mais j'avais une gamine à rassurer. Mes vêtements avaient été changés par une blouse et un short, tous les deux blancs, donnés par l'infirmière qui s'occupait de la petite. Mon regard se pose sur cette dernière.
« Eh ben, tu m'as fait peur. »
Je marque une pause et ris. Comme si quoi que ce soit me faisait plus peur que moi-même. Bah. On pouvait toujours faire croire que oui. Je hausse les épaules. J'avais terriblement envie d'une cigarette. Mais les règles étaient strictes, dans un tel endroit.
« Tu es tombée dans les pommes, hier soir. Et c'était de la sauce tomate. Pas du sang.. »
L'excuse était ridicule, mais elle était bien trop sonnée pour se rendre compte que c'était un mensonge. Surtout si l'on considérait qu'à l'heure où elle m'a rencontrée, je pouvais très bien avoir renversé mon assiette de pâtes à la sauce tomate sur mes vêtements et suis rentrée de chez mes amis sans me changer. Quelle histoire stupide..
« Je m'appelle Prudence. Et toi tu es ? »
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Re: Dormer avec Prudence | Jeu 21 Juil 2016, 03:04
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Dormer avec Prudence
MARGAERY & PRUDENCE
Quand on disait qu’un jour, tu vas collectionner les médailles de stupidité, tu devrais commencer maintenant Marga. Si tu acceptais ton côté vampire, tu ne serais pas dans une situation pareil, surtout que tes crises de somnambulisme commence vraiment à devenir de plus en plus fréquente, ton instinct de survie qui parle sûrement, mais tu ne l’écoutes pas du tout, car tu ne veux pas faire du mal, un bon geste et un mauvais en même temps. Au fond, tu aides le monde, mais tu te fais mal, c’est bien du Margaerys tout craché. Ta sœur te crierait bien dessus en ce moment même, encore une fois tu as fais la têtue et tu n’as rien bu encore une fois, on va devoir encore une fois de plus te forcer.
Tu as ouvert les yeux, l’endroit était trop blanc. Cela t’a fait un peu mal à la rétine. Tu te frottes un peu les yeux avant de pouvoir les rouvrir doucement, c’est sûr que ce n’est clairement pas ta chambre et encore moins ton chez toi, tu as eu un peu peur sur le coup, ton imagination était déjà dans le négatif. Jusqu'à ce que tu tournes la tête pour voir une blouse blanche et une femme qui la porte, oui une blouse blanche ne se balade pas sans personne sauf fantôme… C’est pas le moment. Marga cligne plusieurs fois des yeux, c’est un médecin ? Tu ne sais pas du tout, enfin il semble que tu vois dans un lieu médical, vu les appareils.
« Doc.. -Eh ben, tu m'as fait peur. »
En regardant plus en détails, tu remarques que c’est bien la femme que tu as croisé dans ton rêve ? C’était la réalité ou un rêve ? Plus tu essaies de te souvenir, plus cela devient un peu floue, bien que tu revois un peu les tâches rouges qui on attiré ton attention, l’odeur… c’était…
« Tu es tombée dans les pommes, hier soir. Et c'était de la sauce tomate. Pas du sang.. »
Des pâtes à la bolo… What ? La blonde papillonne encore une fois des yeux, c’est la meilleure ça. Depuis quand des gens se baladent les vêtements plein de sauce tomate ? C’est clairement pas fréquent des gens aussi bizarre. Et le pire dans toute cette histoire ? Ca marche, ce truc marche totalement sur Marga, pourquoi une femme lui mentirait comme ça ? Mon dieu, que tu es crédules ma pauvre fille.
« Je m'appelle Prudence. Et toi tu es ? »
Et maintenant elle te demande ce que tu es ? Eh bien, qu’elle femme étrange, tu ne comprends pas du tout la situation, bien que si tu l’as bien croisé dans la rue, que si tu es à l’hôpital, cette femme à du se déplacer pour t’emmener à l’hôpital ? Donc, tu l’as bien importuné sans le vouloir, tu as imposé ta présence, encore une fois tu étais un poids, mais pas le moment de déprimer.
« Mar-Margaery…Je m’appelle comme ça.. » Dis tu timidement en serrant tes draps. « Je… Je suis désolé. »
Un jour, on devrait voir ton compteur de désolé. Il a du déjà dépassé le millier tellement tu en dis chaque jours. C’est un tic presque trop lourd, pourquoi toujours dire pardon, pourquoi toujours chercher le pardon ? Car même pour toi, ta présence est clairement un poids.
« Mais, j’espère que ce n’est pas ma faute si votre plat à terminé sur votre Robe ! Je me souviens plus trop de certains détails. Si c’est le cas, je peux laver votre tenue ! Je suis désolé ! »
Ta gentillesse te perdra, ta naïveté te tuera. Mais au vu de ton réveil et ton état, tu n’as pas toute ta tête, donc croire à des histoires pareil, tu y vas les deux pieds dedans et y croira dur comme fer. Comme quoi, tu es le meilleur témoin de stupidité de l’être humain. La demoiselle se mord encore une fois la lèvre. Le signe d’un stress trop présent.
« Euh…Aussi, merci de m’avoir amené ici, enfin je crois… Je suis désolé… Je ne sais pas ce qui m’est arrivée. »
Tu détournes le regard, tu sais très bien le pire, tu es une menteuse bien mauvaise, contrairement à certain, tu ne sais clairement pas mentir, tu es le cas typique de la fille stupide qui ne sait rien d’autre que dire pardon et excusez moi et qui ne sait rien cacher, tu es comme un livre ouvert Marga.
Re: Dormer avec Prudence | Ven 22 Juil 2016, 18:33
dormer
« Enchantée, Margaery. »
──Il y avait quelque chose d'attachant à sa silhouette fébrile et son regard effrayé, coupable. Un tremblement au bout de ses lèvres et son souffle à peu près stable. L'image de la gamine prise de panique par la vue du sang avait arraché un sourire à Prudence ; ses excuses timidement prononcées avaient fini de la ravir. Il était rare qu'une personne illumine le visage de la mythologique ; rare qu'elle semble être un rayon de soleil comme elle l'était à présent. Elle hausse les épaules, son sourire ne quittant plus son visage.
──Elle n'aimait pas vraiment recevoir des excuses, parce qu'elle estimait qu'elles étaient toujours inutiles. Des excuses ne rattrapaient pas les fautes. Mais puisque, dans ce cas-ci, elle n'avait rien à se reprocher, Prudence avait simplement trouvé ça attachant. La gamine était attachante tout court, du début à la fin. De sa silhouette tremblante à ses iris paniqués. Charmante dans sa détresse. Elle s'était contenté de souffler, pas vraiment comme un soupire, plutôt comme pour reprendre une respiration calme. Comme si la petite l'avait vraiment inquiétée. Elle rit, d'un rire calme. Apaisant.
« Non, ne t'en fais pas pour ça ! Je dînais avec des amis et l'un d'eux a été un peu maladroit. »
──Elle n'avait rien trouvé d'autre en guise de preuve que son sourire qu'elle voulait le plus rassurant du monde. C'était la première fois depuis longtemps qu'elle se sentait différente. Comme un instinct maternel qui se réveillait au fond de son âme pourrie.
« Donc rien de grave et surtout : tu n'y es pour rien. »
──De toutes évidences, elle était complètement perdue. Et de toutes évidences, elle était la seule à qui elle pouvait se retenir. Pourquoi était-elle toute seule, dehors, à cette heure-là ? Prudence se mord l'intérieur de la joue. Elle avait questionné les médecins : ils n'avaient reçu aucun appel. Personne ne s'était inquiété pour le sort de la petite, pas un parent, pas un responsable. A l'idée qu'elle avait pu être abandonnée, Prudence avait senti un goût amer lui prendre la gorge, comme un mauvais souvenir remontant à des centaines d'années. Elle refusait de l'abandonner à son sort. Mais elle se promettait de la questionner à ce sujet.
──Ce qu'elle comptait faire immédiatement, d'ailleurs. Elle ne savait pas trop par où commencer, de peur de lui faire du mal. Elle ne savait pas non plus comment lui demander sans avoir l'air d'un flic - elle les détestait. Elle laissa le silence s'essouffler et prit la parole, d'une voix aussi calme qu'elle pouvait le faire.
« Pourquoi est-ce que tu étais dehors ? Tu ne devais pas être chez toi ? »
──Elle marqua une pause, quelques secondes à peine. Elle refusait l'idée que la petite pouvait ne pas avoir de chez-elle. Et elle refusait encore plus l'idée qu'elle pouvait ne pas avoir de parents.
« Si tu as leur numéro, on va appeler tes parents pour qu'ils viennent te chercher, d'accord ? »
Invité Invité
Re: Dormer avec Prudence | Mer 24 Aoû 2016, 21:24
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Dormer avec Prudence
MARGAERY & PRUDENCE
On pourrait dire que tu as un don petite bouclette. Rencontrer des gens gentils qui ne semblent jamais apporter le mal avec eux, pourquoi ce genre de personne ne se trouve pas dans ton école ? Pourquoi tu ne vois jamais ce genre de personne dans ta vie quand tu en as besoin ? Il faut croire que la vie est parfois capricieuse avec toi. Mais cette femme t’apporte presque un moment de calme, comme une mère avec sa fille, c’est bizarre ça ? Tu n’as jamais connu ta mère, c’est ta tante que tu n’arrives pas à appelé tata mais que tu appelles maman… C’est étrange comme sentiment, t’as peur disparait totalement.
« Non, ne t'en fais pas pour ça ! Je dînais avec des amis et l'un d'eux a été un peu maladroit. » Un petit moment de pause, comme pour laisser le temps à Margaery de comprendre ce qui arrive « Donc rien de grave et surtout : tu n'y es pour rien. »
Tu papillonnes des yeux, comme surprise d’une phrase pareil, beaucoup te le dise en plus, ce n’est pas du tout le temps ta faute, alors pourquoi tu es tout le temps entrain de t’excuse pour un oui ou pour un non ? Car tu as pris cette habitude, cette peur de faire une bêtise, cela n’aide pas n’est-ce pas ? Quand on a plus de confiance, on ne sait plus du tout ce qu’on fait si c’est bien ou mal.
« Pourquoi est-ce que tu étais dehors ? Tu ne devais pas être chez toi ? »
Tu dégluties d’un coup, il est vrai que tu as quitté ta maison sans prévenir, c’est souvent le pire, contre ton grès le pire. Te pinçant un peu la lèvre inferieur, tu ne sais pas du tout comment faire sur le coup, ta mère va sûrement encore te disputé car tu n’as pas pris ta dose d’hémoglobine… Tu serres les couvertures, trouve une excuse, une excuse ? T’es pas bonne menteuse.
« Si tu as leur numéro, on va appeler tes parents pour qu'ils viennent te chercher, d'accord ? -No-Non ! »
Dis tu d’un coup comme effrayé, tu as peur de te faire disputé, en vrai c’est la petite fille qui a fait une bêtise qui parle, de toute façon ta mère doit travailler aujourd’hui, enfin tu crois, tu ne sais pas trop en vrai. La jeune femme se mord encore une fois la lèvre, ce n’est pas le moment de faire croire que t’es une enfant battu en plus vu le ton que tu as pris.
« Ma-Maman doit travailler, comme j’ai pas le numéro du travail… cela sert à rien… »
Ta voix descend de plus en plus, au point qu’on aurait du mal à comprendre tes derniers mots, tu as trop honte en vrai, mais tu essaie de chercher le pourquoi un NON aussi violent, tu es clairement aussi clair qu’un bouquin de toute façon, on peut te lire et te comprendre bien rapidement, en vrai t’es un livre pour enfant.
« On ne va pas l’embêter pour si peu, je me sens mieux… »
Un petit rire nerveux, c’est sûr que tu sais pourquoi tu as terminé ici. La demoiselle serre encore plus son drap, bien qu’elle ne sache pas comment faire pour faire croire une histoire à dormir debout. Y en a qui savent parfaitement mentir et d’autre non.
« Enfin je pense avoir repris des..Cou-Couleur… »
Tu t’allonges dans ton lit avec la tête qui tourne, c’est sûr que de t’exciter comme ça avec le manque cela n’aide pas du tout pour te remettre. Tu es véritablement une enfant quand tu t’y mets, ce qui est le cas en vrai.
« Je m’allonge juste car j’ai envie… »
Se justifier est clairement signe de culpabilité, ça aussi tu sais très bien que c’est mauvais, mais tu n’es pas douée.