Erreur sur la personne

Ce n'était pas la première fois qu'il voyait tant de beauté, les filles aussi jolies, il n'empêchait, qu'il voulait voir voir de plus près. Les toucher, leur parler et surtout les embrasser. Donc, c'est naturellement qu'il se dirigeait vers elle avec l'agilité du à mon expérience de voleur. Il passait auprès de certaines personnes et prenait des biens qui était à sa portée. Il souriait, le jeune dragon ne serait pas satisfait qu'avec des simples larcins, c'était trop facile ça. Il lui manquait les filles, du moins au moins une. Il en avait envie. Le jeune homme l'aurai, même si ce dernier devait lutter pour avoir ce qu'il désirait, et bon sang comme il en vait envie de serrer contre lui une femme faite chair et d'os et non Boko. Il adorait son lié, c'était son doudou favori. Mais il voulait autre chose. Et peut-être un vrai lit. Dormir sur le sol n'étais pas toujours des moments très agréables. Il lâchait un soupir, il était encore loin. Comme marchait, qu'elle était plus grande, il n'est pas petit, pigé ? Il passait à la vitesse supérieure courant après celle qui l'attendait. Elle l'entendrait, sa belle brune aux yeux violets. Ce genre de regard était rare, si elle était célibataire, c'était le jackpot, mieux, si elle était bisexuel, deux pour le prix d'une de quoi alimenter ses fantasmes les plus fous. Il ricanait avant d'être trop proche d'elle. Il gardait néanmoins son sourire qu'il qualifiait lui-même de magnifique.

« Bonjour gente demoiselle. Puis-je vous tenir un peu compagnie. Bien entendu, je serai des plus charmant en votre présence. »

Le jeune garçon avait un sourire charmant, regardant à nouveau ce regard violet, il se sentais hypnotisé par son regard. Il semblait en pleine réflexion. Pourtant le jeune homme aurait aimé la voir sourire, jouer, elle aurait été sûrement plus facile. Le dragon ne reculait pas devant ce genre de défi. Il se battrai pour avoir un câlin déjà la suite, il verrait si la demoiselle serait d'assez bonne humeur pour faire ce genre de choses. Ah, c'était beau de voir le jeune puceau comploter pour être plus vierge. Il avait le temps pour ce genre de choses. Normalement, il n'aurai pas du y penser, mais cela l'obsédait. Il ne voulait pas être adulte, donc être toujours pur l'arrangeait dans un sens. Il ne voulait pas être un hypocrite comme eux. Paradoxalement, il était déjà plus hypocrite ou plus imbu que certains adultes. Il balançait sa queue avant d'aller cueillir une fleur avec cette dernière. Il la tendait à la demoiselle avec un autre sourire, qu'il espérait ferrait tomber dans ses bras la demoiselle. Il ne lâcherait pas, il aurait par tout les moyens possible. Qu'importe si il devait jouer un rôle. Il n'était pas lui de toute manière. La vie dans la rue l'avait endurci. Il restais à la fixer.

« Voici pour vous, une fleur pour une personne aussi belle que ces pétales. Mon nom est September, je suis un gentleman, pour vous servir. »

Si Arsène avait la classe, lui aussi.

September pouvait faire ce qu'il voulait, il n'arrêterai pas d'essayer de charmer cette jolie demoiselle. Il se voyait déjà caresser ses cheveux. Il rêvait sûrement. Le jeune homme savait que ça serait compliqué pour lui, déjà qu'elle était plus grande que lui, en âge et en taille. Ce n'était pas la différence de taille qui le gênait, loin de là. Il avait eu pire que ça. Le voleur tenait à être là pour cette dame. Il gardait son sourire, car il savait qu'un sourire pouvait tout changer. Le reste, il s'en fichais comme de sa première réparation de vêtement. Il voyait bien que son geste surprenait, il était fier de faire la cour à cette personne qui s'y attendais pas. Il était même étonné d'être le premier, la preuve qu'il n'avait pas peur des défis. Il ne s'arrêtait pas une particularité. Il était plus courageux que les autres hommes. Une once de fierté montait en lui. Il ne s'arrêterait pas, car les mots de cette demoiselle étaient hésitant, montrant qu'elle ne savait que faire. Une dame perdue, voilà une belle opportunité pour lui, le voleur qui commençait à connaître les coins de cette île. Puis elle avait déclarer être en bonne compagnie déjà. Il faisait un peu la moue, puis le prenait pour lui. Il n'était pas idiot, il savait que ce n'était le cas, mais il allait jouer sur les mots. Car c'était un enfoiré de première. Il était en train de lui faire la cour, ce n'était pas une compagnie quelconque qui allait le concurrencer.

« Je vous assure qu'un moment en ma compagnie sera plus agréable que de chercher après votre affilié. Qui plus est, ce dernier semble loin de vous. Laissez-moi vous accompagné chez vous. Je saurai vous amuser et être charmant. »

September mentait un peu, ce n'était pas le première fois qu'il le faisait à une dame. Il savait,qu'il pouvait encore recevoir en plein visage un obstacle. Il avait eu pire que ça. Boko allait se mettre dans son cou et transmettait sa chaleur. Il savait que les choses mignonnes pouvait attirer les filles, mais le geste du poussin avait été naturel pour le jeune homme. Il avait repensé à sa mère. Il avait été triste, elle ne l'aimait pas. Il avait fait tout pour elle, même être le plus gentil qui soit. Ce qu'il n'était plus. Il préférait envoyer paître les gens. Mais par amour, il pouvait changer. C'est le genre de choses qu'il gardait pour lui. Il gardait un sourire charmant sur son visage.

« Je vous dérange c'est cela ? Mais je pense avec moi, vous trouverez la chose que vous cherchez, vous semblez un peu perdue, je suis un des meilleurs guide de l'île, en plus comme vous êtes charmante, je vous fait ça gratuit, une bonne affaire. »

September avait d'autres arguments dans sa poche. Il n'était pas encore sur le point d'abandonner. Il était loin de se douter de ce qui allait lui arriver, mais il étaitplus centré sur le présent que sur l'avenir.

September balançait sa queue, un peu d'impatience. Il la gardait, car pour une demoiselle. Il pouvait attendre. Quand en plus de ça, elle était si belle qu'elle créerait des envies de meurtres aux gens qu'il pourrait croiser. Il prouverait par a plus b, qu'il était beau. Lui n'en doutait pas une seconde, mais les autres pouvaient en douter. Son charme pouvait fonctionner. Il en était sûr. Il savait que ces mots maladroits et son aide pouvait ajouter une plus value. Il n'était pas complètement stupide, ça c'était pas pour lui. Il n'était pas non plus le gamin le plus savant. La dame hésitait, le voleur la trouvait mignonne, bien qu'il apprécie moins que l'affilié de cette dernière le bouscule, il grognait comme l'animal qu'il était. C'était bien le seul moment où sa voix était grave pour le moment. Elle fuyait à la suite de ça, alors en sautillant, le dragon la poursuivait en tant qu'homme digne, il ne courait pas trop. Juste assez pour qu'elle ai l'illusion de pouvoir lui échapper pour mieux la surprendre en faisant d'autres choses. Il gardait son rythme, il avait connu plus palpitant comme course poursuite, en aucun cas, il était aussi heureux que quand il fuyait les forces de l'ordre. Il savait qu'elle s'était caché de lui. C'était adorable de la voir lutté contre son destin. Il soulevait le carton, car la fille se jouait à Solid Snake. Il ne manquait plus que le bruit. Mais ce n'était un jeu. Le seule qu'avais connu le jeune garçon, c'était celui de la douleur.

« Je pense que fuir est inutile, vous êtes incapable de semer un papy. Ce qui rend plus attachante. Ce n'était pas très poli de me bousculer avec votre affilié, je suis un peu triste. Suis-je à ce point gênant pour vous ? Je peux vraiment vous guider, même si pour cela, je dois ignorer votre charme et me retenir de vus faire la cour, car j'aime beaucoup ce que vous êtes. »

Sepember la regardait, vouloir à tout prix se perdre, c'était bien un truc de fille. Il gardait son sourire, un petit sourire qu'on aurait pu croire naturel. Il n'en était rien. Ses sourires naturels n'étaient pas vraiment de ce monde, depuis trois années, il n'avait été véritablement heureux. Il vivait sa vie de voleur chaque jour qu'il passait. Il balançait à nouveau sa queue, car elle faisait ce qu'elle voulait et si quelque chose indiquait bien ses vraies humeurs, c'était cet appendice qu'il avait eu en conséquences de ces trop nombreuses guérison de soi-même. Il voulait lui tendre la main, mais il devinait que son geste ne serait pas apprécié. Le voleur était loin d'être né de la dernière pluie. Il passait un moment dans le silence, prouvant à cette demoiselle qu'il pouvait se taire. Au fait, il ne forçait même pas, pour lui, son silence était naturel, plus que parler vainement. Il attendait simplement qu'il lui laisse une chance de la séduire en tant qu'homme aimant les femmes et rien que les femmes.

September savait que insister n'avait pas que du bon. Mais, au point où il en était, il se devait de le faire, car cette dame s'obstinait à le fuir. Comme si il était le pire fléau du monde. Il serrait les poings à cette simple pensée. Il n'était pas l'homme le plus chiant du monde, il y avait pire que lui. Il passait donc un moment à voir la dame être sur le point de faire quelque chose. Son cerveau devait marcher à plein régime, car elle était vachement concentré, le voleur en profitait pour voir s'il pouvait toucher. Bah oui, pourquoi e priver de le faire, toute façon, il n'était qu'un contre-venant. Pourquoi restait-il encore plus ou moins correct ? Par quel convention il lui devait encore le respect d'une femme qu'il draguait en ce moment. Elle tentait le dédain, très bien imité, mais le jeune garçon n'était pas dupe. Il l'écoutait attentivement, sans aucun doute, elle se sentait sûrement puissante à imiter ce qu'elle n'était pas. A la fin de toute cette histoire, elle tentait de s'éloigner. En tant que sale gosse, le garçon lui faisait un magnifique croche-pied. Cette action la faisait tomber dans la fontaine. Elle avait été tellement prise dans son imitation qu'elle ne l'avait pas vu. Bien entendu, il matait allégrement, vu qu'elle n'avait mis de soutif, ce qui ravissait l'adolescent. Plein d'hormones, il en profitait.

« J'y avais presque cru, voyez-vous, imiter le dédains ne vous fera point dédaigneuse, par contre. Je suis surpris qu'une femme si prude se balade sans soutif, c'est donc vrai, les timides sont des tigresses au lit. Je me demande si il en est de même pour vous. Merci pour le spectacle. »

September retournait à l'observation de ce corps qu'il admirait déjà sec, mouillé, c'était bien pire. Il imaginait déjà ce genre de femme entre ses bras. Bien entendu, il savait que sa manière de parler avait éliminé toutes chances de plaire. Clairement, plus il avançait, plus il se rendait compte que c'était impossible. Le gamin n'était pas né de la dernière pluie, pas besoin de plus pour savoir qu'il pouvait laisser tomber le masque de la gentillesse. Il était presque dégoûté de retourner à l'état de lavette. Il s'installait sur le rebord de la fontaine, balançant sa queue de joie. Son sourire exprimait sa contemplation. Il ne se privait pas pour voir ce corps. Si maigre, presque trop, mais beau, sans aucun doute. Bien entendu, il savait que l'affilié de la dame ne resterait pas sans rien faire.

« Sept, je le sens pas.
-Laisse-moi regarder, Boko.
-Ne vas pas te plaindre si il t'arrive quelque chose que tu risque de regretter.
-Là, je suis loin de regretter. »

September était franc, comme toujours. Il ne privait plus personne de son sale caractère de fouteur de merde et de connard. Toute façon, il n'avait plus rien à perdre, cette femme ne voulait pas de lui. C'était bien dommage. Il aurait d'autres chances, il le savait, les filles l'attendront.

September passait un bon moment à mater, il n'allait pas bouder son plaisir de voir cette poitrine plus que délicieuse devant ces yeux. Il la fixait avec attention, car il ne pouvait pas faire autrement. Tout façon sa contemplation prenait vite fin. Il se retrouvait avec des griffes trop près de lui. Bien entendu, il tombait sur le sol en grondant un peu. Il perdait son honneur de dragon. L'animal la menaçait, il pouvait aussi joué à ce jeu. Si elle le menaçait. Il en ferrait de même. Il transformait son bras gauche en bras presque draconique. Il approchait ses griffes de l'animal. Il ne serait pas le seul à mourir, il en faisait le serment muet. Il fixait l'animal en mettant toute sa rage dans ses yeux bleus. Il n'avait pas peur. Il avait eu pire, il avait failli mourir, ça oui. Mais sa mère était plus effrayante qu'un affilié chat. Il voyait un homme, ressemblant étrangement à la dame s'approcher son timbre grave lui ordonnait de tout oublié. Il luttait comme il pouvait contre le pouvoir, mais il était plus fort que lui.
Son bras était à nouveau normal. Il oubliait tout ce qu'il s'était passé avant. Il secouait la tête se levant du sol. Il ne savait pas ce qu'il faisait ici. Mais qu'importe, il pouvait voler. C'était déjà un bon point. Bon, pas de filles à l'horizon, il trouvait ça assez dommage pour lui. Il aurait aimé draguer un peu. Mais bon, il traquerait une dame plus tard. Maintenant, c'était le moment d'avoir des sensations fortes. L'adrénaline le faisait sourire, se sentir au crépuscule du bien et du mal. Le vol, c'était vraiment une chose qu'il aimait de sa nouvelle vie. Il ricanait et s'avançait vers diverses personnes, puis une attirait son regard. Pourquoi ce bourgeois était trempé. Il était sûr qu'un plaisantin l'avait éclaboussé. Il souriait en le voyant ainsi. Bien entendu, comme le jeune voleur n'est pas quelqu'un de bien, il s'approchait avec la ferme intention de se foutre de la gueule du mage. Bien entendu avec ces souvenirs oubliés, il ne savait pas qu'il avait échoué à une drague. C'était un adolescent nouveau qui abordait à nouveau sa victime du jour. Pas des compliments cette fois. Que des mots blessant et franc. Digne de l'enfoiré qu'il est.

« Je ne savais pas que les bourgeois aimait faire trempette dans la marre aux canards. Vous n'avez aucune honte de vous exposer de cette manière aux yeux de tous. »

Si lui avait oublié, il en était de même pour Boko , son affilié. Il n'aimait toujours pas la situation et picorait la tête de son maître pour le mettre en garde. Il ne voulait pas encore que ce dernier frôle à nouveau la mort. Il savait pas ce qui faisait que cette peur revenait. Son instinct animal le trompait rarement. Il frappait de son bec. Et le garçon grognait.

« Bon d'accord, je vais faire ce que j'ai prévu, content Boko ? »

Il devait donc simplement le voler et se barrer, ce qui l'empêcherait pas de lancer des piques au bourgeois trempé. Il n'allait pas se gêner.