#roue de la fortune #crimson

Perdu égaré, juste sur la mauvaise voie, mauvaise passe, mauvais chemin ? Question rhétorique; trop de voies, trop de voix, trop de vie; oh ! Là, une sortie. Une échappatoire, il y en a forcément une; aucune voie n'est réellement à sens unique, pour qui veut s'égarer. Rien n'est tracé; oh, fatalité ! Le monde n'est qu'amère liberté, dans laquelle l'enfant a vite fait de s'enfermer. S'échapper ? Mais pour quoi faire ? C'est la roue qui tourne, c'est elle qui décide; la chance nous détermine. Elle décide de nous, de nos chemins, nos voies; qu'elles soient à sens uniques, ou que l'on s'y fraie une sortie. La roue de la fortune décide pour nous.

Que l'on se perde, que nos pas nous mènent en terres inconnues, c'est la roue qui tourne et tourne, c'est elle, maîtresse de la vie de chacun, de chaque être, qui fixe les règles. C'est elle qui guidait la tête blonde devant une toile montée vers les cieux, un regard perplexe et un air abattu. C'est elle qui guidaient chacun de ses pas; elle et sa bonne face qui le couvaient sans cesse, lui permettant de ne pas trébucher. Elle qui lui fait si rarement faux bon, au petit garçon. Petit garçon qui a grandi s'il en est. Ne l'aime-t-elle moins, qu'elle l'a ainsi laissé se perdre ? L'adolescent amer qui a prit la relève observera une chance notable malgré tout.

La brise souffle, comme la roue continue de tourner et le temps de s'écouler, sur la plaine déserte habitée de ses sommets colorés. Des chapiteaux étaient disposés là devant l'adolescent paumé, sans la moindre compréhension de ce qui l'entourait; alors, sa chance avait-elle filée ? Il s'était perdu l'ange, jusqu'aux ruelles sombres, sales et ensanglantées de la capitale. Il s'était déjà perdu l'ange, mais pas aussi loin. Avait-il dormi ? Voilà que dans ses azurs se reflétaient les rayures rouges et blanches de la toile tendue. Que devait-il faire, au juste, dans cette situation ?

Un cirque, cela en avait tout l'air. Il n'en avait jamais vu en vrai, juste en photos, en vidéos; juste en songes, enfermé dans sa petite chambres aux murs trop proches. Il était curieux, l'adolescent amer, de voir ce que cette grande toile cachait. Avait-il le droit de regarder ? Droit où pas, tout est permit, à quelqu'un qui cherche tant à se noyer. Presque tout. Presque tout, Felix. Quand on voit du rose s'agiter dans le coin de l'oeil, on se retourne. La roue tourne, l'ange.

« HE MEC. Chuis paumé. Bon t'inspire pas confiance mais chuis paumé donc bon. Je suis, euh... Dans un cirque, là ? »

La stupidité chronique aide la roue à tourner, c'est un fait.

code (c) KC pour Felix

♟ The wheel of fortune turns again.

Crimson galba ses muscles à nouveau, se soulevant toujours un peu plus haut. La sueur perlait sur sa peau marmoréenne et il finit par lâcher la barre sur laquelle il faisait quelques tractions. Il chuta brièvement et retomba sur ses pieds avec souplesse avant d’essuyer l’humidité de son front d’un revers de la main. Il leva les yeux vers les acrobates qui tournoyaient au dessus de sa tête. Lui aussi en était capable, mais il préférait faire des tours de passe-passe devant la foule. Un sourire aux lèvres, il étira lentement chacun de ses muscles avant de se diriger vers le mobile-home d’Ameleyr – oui, il squatte souvent chez les autres. Il se leva rapidement dans la petite salle de bain avant de quitter les appartements de l’elfe pour aller s’installer dans sa propre caravane où il choisit des vêtements. Ce soir il y aurait un représentation. Ainsi, il enfila une tenue de scène. Un pantalon noir, une chemise blanche avec par-dessus un veston sans manches à l’imprimé en damier turquoise et noir. Il enfila une veste de costume par-dessus et des chaussures, puis posa un masque sur son visage. Ce dernier était blanc, les seuls détails étaient deux yeux en forme de longues fentes au niveau des yeux et une bouche au grand sourire, ainsi qu’une larme de pierrot assortie à son veston. Il sortit de sa loge après avoir enfilé sa paire de gants blancs et s’avança au dehors.

Lorsqu’un spectacle se préparait, le cirque était toujours en ébullition. Les membres couraient partout, répétaient leurs textes ou numéros, vérifiaient que tout était bien en place. Cette scène se déroulait à l’intérieur du chapiteau et un peu plus loin, à l’endroit où les membres se reposaient dans loges et caravanes. Juste devant la large toile de tente, il n’y avait personne. Pour l’instant, tout le monde était occupé ailleurs. Tout le monde ? Non. Visiblement, il y avait bien quelqu’un, mais pas une personne que reconnaissaient les yeux dorés de notre magicien. Un adolescent d’une beauté frappante, aux larges yeux azur et aux cheveux dorés. D’apparence, il avait tout d’un ange. Crimson sourit à cette prise de conscience et continua son approche. Lorsque l’inconnu pivota légèrement vers lui, il le héla sans hésitation. Lorsqu’il entendit sa parole, il eut un ricanement amusé. Il répondit de sa voix de basse envoûtante.

« Bonsoir. En effet, tu es dans un cirque, et comme tu dois t’en douter, voici le chapiteau principal. »

Il se rapprocha de sa démarche féline et fit un ample geste de la main vers l’entrée de la tente. Il avait envie de s’amuser avec lui… étrangement, il était intrigué par l’aura de ce jeune homme. Et puis, si le destin l’avait guidé jusqu’ici, c’est qu’il y avait sans doute quelque chose à faire… ? Quelle blague. Crimson ne croit pas au destin. Il ne croit en rien.

« Veux-tu que je te fasse visiter, puisque tu es venu jusqu’ici ? »

Il attendit sa réponse patiemment, puis pivota vers le chapiteau avant de soulever un pan de l’ouverture pour le laisser passer à l’intérieur. En réalité, la tente de spectacle est immense. En somme, c’est un vrai cirque de professionnels. A cet instant, beaucoup de membres de la troupe répétaient leurs numéros, que ce soit au sol, dans les gradins ou bien dans les airs. Il y avait beaucoup de bruit et personne ne remarqua l’entrée des deux jeunes hommes. Crimson fit quelques pas à l’intérieur.

« C’est ici que se déroulera le spectacle de ce soir. Si jamais tu as l’intention d’y participer, je te conseille de t’assoir par là. »

Il désigna un certain rang de sa main gantée, souriant derrière son masque, avant de reprendre sa route. Il passa devant un groupe de prestidigitateurs qui s’échauffaient en se tordant dans des positions pas possibles tandis qu’une danseuse tournoyait sur elle-même en balançant des paillettes autour d’elle. Il passa devant eux sans leur prêter attention puis arriva à une autre entrée du chapiteau par où il sortit. D’ici, on pouvait voir les caravanes et loges des membres de la troupe, ainsi que d’autres locaux où ils rangeaient différent équipements etc. Il s’approcha d’une tente en particulier, où peu de gens allaient. Elle appartenait autrefois à une membre qui jouait les voyantes en lisant les cartes de tarot ou lisant dans une boule de cristal ; Elle avait un petit don de clairvoyance, mais en gros c’était une arnaque. Elle était morte il y a quelque mois, Crimson avait oublié pourquoi. Il repoussa les tentures et alla s’assoir derrière une table recouverte d’un tas de tissus colorés et de soie en tout genre. D’ailleurs, la totalité de cette tente était décorée ainsi. Il y avait des petits charmes en forme d’astres ou de coquillages qui pendaient du plafond, des attrape-rêves, un tas de babioles pour les superstitieux. Après s’ête installé, il désigna le siège en face de lui à son hôte. Crimson était un magicien, et il savait lire les cartes. Une autre de ses capacités, pourrait-on dire. Lorsque l’on travaille dans un cirque, il faut savoir faire un tas de choses.

« Que dirais-tu de regarder ce que le destin te réserve ? Ne t’en fais pas, je n’ai pas l’intention de te faire payer pour ces sottises. Mais il se trouve que parfois, la déesse de la bonne – ou mauvaise – fortune prend le temps de donner une signification au tirage. Peut-être auras-tu de la chance… »

Puis, il sortit des cartes de tarot de sous la table, avant de les battre d’une main habile sans quitter des yeux l’adolescent qui lui faisait face. Il sentait une sorte de… doute, en lui. Une oscillation. Cela l’intriguait réellement.

#Code by Nao ✖ R O U E D E L A F O R T U N E

Rien, rien dans la figure de l'individu face à lui n'inspirait confiance à la tête blonde. Regard, rieur, moqueur, face invisible derrière un masque suspect, il aurait bien reculé. Mais maintenant les mots prononcés et le regard ancré, il ne pourrait s'éloigner. Et la bille de clown se sentait profondément stupide de son côté impulsif, plus prépondérant que son esprit de conservation. Parce que, sa voix avait beau avoir un ton suave et mystérieux qui attirait plus qu'autre chose, l'adolescent sentait un frisson désagréable lui parcourir l'échine -quelque chose comme une méfiance un peu trop éveillée, comme si son corps le prévenait d'un danger. Or, son corps n'avait pas pour habitude de sentir le danger. Concrètement, il semblait même graver kiffer ça, le danger. Mais pas là, non.

« Bonsoir. En effet, tu es dans un cirque, et comme tu dois t’en douter, voici le chapiteau principal. »

Felix dut se retenir de ne pas faire un pas en arrière quand l'individu s'approcha d'une manière particulièrement suspecte. Ce type était un prédateur. Pas sexuel hein, je vous entends là, tss. Ce type respirait le... Vampire. Comme Adèle. Comme sa tante. Comme Eva, aussi. Pourtant, même Eva lui avait inspiré confiance -pas lui. Depuis quand savait-il quand un danger allait l'approcher ?

Pour autant, il réussit à garder un air neutre, désinvolte, une façade parfaitement bien robuste, de sorte que l'individu n'y vit très certainement que du feu -pas totalement, mais cela, il ne pouvait pas non plus s'en douter. Ni qu'il avait vu plus loin que sa simple façade. Felix lança un regard rapide au chapiteau qu'il avait désigné au passage. Rapide oui, c'est le mot; il ne voulait pas détacher son regard de lui, un peu craintif. Mais en même temps, le regarder de façon trop insistante, cela serait encore plus suspect. Donc il le regarda, son chapiteau. Puis il oublia tout esprit de conservation, de nouveau.

« Veux-tu que je te fasse visiter, puisque tu es venu jusqu’ici ? »

Ce type rose, avec un masque, une aura suspecte, une voix suspecte, une démarche suspecte, bref, LE TYPE SUSPECT par excellence, lui proposait de le suivre ? Et il était censé accepter ? Mais il le prenait pour qui ? Un gland ?

« Oh ? J'peux, sérieux ? Je veux ! »

...Il n'aurait peut être pas entièrement tort. Mais en même temps, cette espèce de fierté lui empêchait de juste tourner les talons pour partir en courant -ça serait lâche. Et depuis quand était-il courageux, au juste ? Depuis quand préférait-il se foutre dans la merde, plutôt que fuir ? Il avait toujours préféré la fuite stratégique pourtant -surtout devant sa frappa dingue de tante-, et là, il refusait de tourner les talons. Il refusait de fuir. La crise d'adolescence, c'est mal. C'est contre-productif. Et nocif. Très nocif pour la santé. Avec un caractère irréversible très prononcé.

Il le suivit à l'intérieur, s'émerveillant très vite de tout ce qui glissait sous son regard, oubliant presque que son guide le faisait un peu flipper. C'était... Grand. Il regarda les gradins; c'est drôle, il imaginait la scène, et tout ce qui était à l'intérieur du chapiteau, exactement comme ça -ou presque. Alors c'était ça, un cirque. Il se dit qu'il aimerait bien voir la représentation. D'ailleurs, bons nombres d'artistes semblaient répéter, et Felix les observa avec beaucoup d'intérêts quelques instants, avant que la voix de l'étrange homme ne parviennent de nouveau à ses tympans.

« C’est ici que se déroulera le spectacle de ce soir. Si jamais tu as l’intention d’y participer, je te conseille de t’assoir par là. »

L'adolescent regarda les gradins qui lui étaient désignés, et il se contenta d'hocher légèrement la tête, pour indiquer qu'il avait entendu et s'en souviendrait. Puis il le vit du coin de l’œil se retourner et continuer son chemin, et il le suivit, continuant de rêver devant tout ce qui l'entourait. Il imaginait que des enfants venaient ici, rêver eux aussi. Et il se surprit à les envier presque, ces enfants. Qui avaient pu venir ici avec leurs parents -les deux-, sortir jouer avec les copains, grandir normalement. Il se mordit la lèvre. Il n'avait pas à penser à ce genre de choses, il était très heureux maintenant -il avait juste l'impression d'avoir un bras en moins, une jambe aussi tiens, et un gros morceau de cœur, sans Feofan, mais il était heureux. Et c'est sur ces pensées joyeuses qu'ils arrivèrent derrière le chapiteau, où Felix put observer l'envers du décor dans toute sa splendeur et avec des paillettes dans les yeux -bon pas autant que devant Séréna, ou un piano, mais voilà. Il regarda le tout avec un intérêt des plus évident, bien sûr, mais il ne put en profiter bien longtemps -DES TIGRES C’ÉTAIENT DES TIGRES IL AVAIT PAS RÊVÉ ? MORPHÉE Y A DES POTES A TOI :oupas:-, puisqu'ils arrivèrent vite dans une tente, où son guide les menait. Il avait moyennement confiance -rappelons le-, mais il rentra à son tour. Cela sentait l'arnaque à la voyance à dix huit kilomètres. Ce qui fit doucement rire le blond. Il vint mettre une pichenette dans un attrape rêve avant de baisser les yeux vers l'homme masqué. Il s'était assis derrière une table à la nappe de velours et lui désigna lui chaise qui lui faisait face. Felix y lança un regard avant d'aller s'y installer. Il ne savait pas trop ce qu'il voulait faire, mais bon. Il y perdrait rien, de toute façon.

« Que dirais-tu de regarder ce que le destin te réserve ? Ne t’en fais pas, je n’ai pas l’intention de te faire payer pour ces sottises. Mais il se trouve que parfois, la déesse de la bonne – ou mauvaise – fortune prend le temps de donner une signification au tirage. Peut-être auras-tu de la chance… »

La voyance, ce n'était rien de plus qu'un peu de chance, avec de la psychologie et de la logique. On enfumait les clients crédules. Mais ça aurait le mérite de tuer le temps. C'est sûrement ce qu'il aurait pensé en premier, si on n'avait pas évoquait la déesse de la fortune. Entendant cela, Felix ne put se retenir de faire une grimace. Cette salope pouvait aller se faire voir. Qu'elle les laisse, ces cartes. Baaah c'est mal de penser du mal de sa mère -et d'une déesse par la même occasion. L'individu ne savait pas le nombre de remarques que l'ange pourrait sortir, en disant ces mots. Bien sûr que non, il ne le savait pas. Il leva les yeux vers l'individu.

« Elle ne s'intéresse que rarement aux mortels, mais pourquoi pas. »

Il avait dit cela d'un ton acerbe, plein d'un mépris évident qu'il n'aurait de toute façon pas voulu cacher. Quoi qu'il n'en savait trop rien. Il avança la main, tira la première carte. Lui n'en comprenait pas la signification, et leva les yeux vers l'homme.

« Et je suppose que vous savez ce que cela signifie ? »

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♟ The wheel of fortune turns again.

« Elle ne s'intéresse que rarement aux mortels, mais pourquoi pas. »

A ces mots, Crimson redressa son regard vif vers l’adolescent, le toisant comme s’il pouvait voir au travers de son être tout entier. Il ne pouvait pas en être certain, mais il avait le sentiment que ces mots renfermaient plus de sens qu’ils n’y paraissaient. Le mépris qu’il avait employé en prononçant ces paroles était bien trop vibrant pour ne pas avoir de signification. Le magicien resta silencieux tandis qu’il l’observa tirer une première carte et la porter à son regard, avant qu’un sourire étire ses lèvres dissimulées. Etant donné qu’il ne savait pas lire les cartes, le jeune garçon tendit celle-ci à l’homme masqué qui s’en saisit de ses doigts longilignes. Il prit son temps, retournant la carte vers lui de manière assez cérémonieuse – Crimson et son amour du théâtre – avant de sourire à nouveau.

« Le Bateleur… c’est assez intéressant, tiens. Parmi les significations que l’on peut en tirer… une me paraît plus évidente, vu le sens dans lequel elle était tournée quand tu l’as tirée. Un adolescent, naïf et influençable, plutôt immature qui cependant possède de nombreux talents et beaucoup de potentiel… Il semblerait gai, mais en réalité, se cache en lui de fortes incertitudes face à l’avenir. »

Crimson s’interrompit, levant à nouveau son regard doré vers celui azur de son vis-à-vis, jaugeant ce dernier avant de cligner des yeux.

« Jusque là, ai-je tort ? »

Crimson attendit patiemment la réponse de son invité. Ce tirage était-il un coup de chance ou bien avait-il une réelle signification ? Allez savoir… autant continuer pendant que cela reste intéressant. La main pâle de l’illusionniste retourna deux nouvelles cartes. Oh…

« Le Chariot, ici symbolisant la révolte et… L’Amoureux. L’enfant est devenu capricieux et désagréable avec de fortes tendances aux conflits. Toujours influençable, ses actions pourraient le conduire à faire de mauvais choix ou de mauvaises rencontres… »

Crimson n’ajouta rien sur le fait que sa propre compagnie n’était pas la plus saine qui soit. Il devait bien s’en douter. Sous ses airs affables, on ne pouvait pas manquer sa puissante aura dérangeante. Et ce n’est pas comme si lui-même tentait de le dissimuler. Les gens l’approchaient, à leurs propres risques et périls. Il changea légèrement de position, appuyant l’un de ses coudes sur la table, il approcha sa main de son masque, caressant sa surface lisse distraitement. Les cartes avaient, de manière surprenante, prédit ce qu’il avait semblé apercevoir en ce garçon. La déesse de la fortune se serait peut-être bien portée garante de la véracité de ce tirage… En tout cas, notre mage fou à lier se plaisait à observer les discrètes – ou moins discrètes d’ailleurs – réactions du jeune homme face à lui. Le moindre tremblement de ses membres, oscillation de son regard, souffle un peu court… il observait tout. Il ne savait pas réellement pourquoi, mais il le trouvait assez attrayant. Peut-être son apparence si angélique qui semblait cacher beaucoup plus. On aurait eu envie de découvrir ce qu’il cachait sous ce si doux faciès. Un sourire aux lèvres, Crimson présenta d’un geste les cartes positionnées.

« Souhaites-tu tirer une nouvelle fois ? »

La curiosité l’aurait emporté sur plus d’un.

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