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| Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | |
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Amelëyr C. ThanárielStaffien Coeurs : 133 Messages : 471 Couleurs : #ff7518 & Indigo J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Lun 17 Nov 2014, 23:25 | |
| Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! Feat Amel & Ruth
Enfermé dans une cage dorée, voilà ce qu'elle pense, cette sang-pur. Le cirque est ton refuge, certainement, oui. Tu t'y es retrouvé après t'être enfuis de chez ton géniteur, après avoir fui ton crime. Les forains t'ont récupéré sans poser de question. Personne pour t'assaillir d'interrogation, personne pour te juger, pour te pousser à dévoiler tes secrets. En somme, le lieu idéal pour te remettre et pour te reconstruire. Oui, tu as dressé un mur de titane entre toi et les autres, mais il te protège, rien ne t'ai jamais arrivé depuis, et tant pis si cela t'isole. Tu préfères rester seul plutôt que mal entouré. Tu préfères être enfermé plutôt que vulnérable, sans défense face à ce monde noir sans scrupule. Adossé contre le lampadaire, tu finis par relever la tête et la fixer. Elle continue de te parler, ça n'en finit pas... Tu souhaites qu'elle se taise, pour de bon. Mais quand bien même tu serais en état, tu n'oserais même pas l'approcher. Quelle ironie du sort.
Soudain ses paroles t'interpellent. Que dit-elle ? Un pouvoir, qui contre le tien ? Qui la protège du tien ? Seuls les dons psychiques peuvent servir de bouclier impénétrable face à ton charisme. Puis brusquement, l'évidence te saute aux yeux. Elle qui devine tes intentions, elle qui connaît des épisodes de ta vie inconnus de tous, elle qui semble te connaître mieux que toi même... Non. Non, non ! L'horreur de la situation te frappe de plein fouet. Ce n'est pas possible, elle ne peut pas être... Cela explique pourtant cette sensation étrange, comme une douce brise qui caresse ton esprit. Tu la fixes avec horreur, encore plus terrifié de ce qu'elle peut lire dans tes souvenirs. Une télépathe. Cette foutue vampire est une foutue télépathe.
∞ Non... murmures-tu en serrant les poings sur tes cheveux. Il ne pouvait rien t'arriver de pire. Qu'une personne puisse lire tes pensées, sans que tu puisses lutter, sans que tu puisses l'en empêcher. Qu'elle puisse fouiller dans ton esprit à la recherche du moindre souvenir... Elle a accès à tout, tout ce que tu penses. Et tu ne peux pas t'arrêter de penser, non, c'est même pire, car la peur qu'elle découvre le viol que tu as subit, puis les deux meurtres que tu as commis, ne fait que remonter à la surface ces souvenirs horriblement douloureux. Ces souvenirs que tu souhaitais oublier tout ce temps. Comme tu regrettes de ne pas être amnésique comme Freya...
∞ Sortez de ma tête... je vous interdis de... de fouiller dans mes souvenirs ! Mon esprit ne regarde que moi, vous n'avez pas le droit de... « de violer mon intimité » Voilà ce que tu voulais dire, mais tu n'as pas pu prononcer les mots. Le mot, surtout. C'est trop dur, trop dur. Trop de souvenirs... C'est un cauchemar, c'est un mauvais rêve et tu vas te réveiller, bientôt, il n'y a pas d'autre solution... tu t'es endormi sans t'en rendre compte sur le comptoir et tout ce que tu as vécu se doit d'être le fruit de ton imagination onirique. Mais ta respiration s'essouffle, une boule t'enserre la gorge. On peut angoisser dans un rêve, on peut avoir peur, mais on ne souffre pas. Ce qui n'est pas ton cas. Tu as mal, mais pas physiquement, même si ton poignet t'élance encore et qu'un marteau prend toujours ton crâne pour une enclume. Tout cela n'est rien comparé à ta souffrance intérieur. Tu glisses contre le poteau jusqu'à toucher le sol. Le seul organe véritablement mutilé, dans cette histoire, c'est ton cœur. Et tu dois y faire face seul.
Seul ? Non, tu sens soudain un esprit allié se rapprocher. Les yeux rivés sur Ruth, tu ne la vois pas, mais Ombre est proche. Loin de toi, sur ta droite, une silhouette sombre se dessine, avançant à toute allure. Ton affiliée a ressenti ta frayeur extrême et ta détresse l'a conduite jusqu'à toi. Elle arrive à tes côtés en poussant un gémissement angoissé en te voyant dans cet état. Elle pose une grosse patte de velours sur l'un de tes genoux et vient te lécher la joue, malgré ta peau d'écorce toujours apparente.
∞ Amel... dit-elle à voix haute. ∞ Ombre... Tu prends sa grosse tête entre tes mains et poses ton front contre le sien, luttant pour juguler tes émotions. Sa chaleur corporelle te réchauffe et calme un peu tes frissons. Sa présence t'apaise, elle t'a toujours apaisé. Elle a toujours été là pour toi, depuis cette nuit pluvieuse où elle a croisé ton chemin. Quand bien même ses leçons de morale t'exaspèrent, il n'y a qu'elle en qui tu ai une confiance absolue. Elle a toujours été là pour te consoler dans les moments les plus difficiles, depuis ta fuite.
∞ Dans quel état es-tu... mais qu'est-ce que tu as encore fait, petit homme ? Et ne viens pas me dire que tu n'as rien fait ! A t'entendre ce n'est jamais ta faute. J'ai cru qu'on m'arrachait le cœur, jusqu'à ce que je comprenne que ça ne venait pas de moi. J'ai eu tellement peur, ne me refais jamais ça. Et voilà, elle s'y met aussi. Elle s'était exprimé dans ton esprit, pour que personne n'entende, car elle ne te fait jamais la morale à voix haute devant des étrangers, histoire de ne pas te décrédibiliser. Tu secoues la tête de droite à gauche, frottant ta peau d'écorce contre sa douce fourrure. Tu en aurais presque ri tant ton infortune est absurde.
∞ Ça ne sert à rien, Ombre, cette sorcière entend tout ce que tu me dis. Ce n'est que maintenant qu'Ombre repère la vampire. Elle tourne la tête et pose ses grand yeux violets sur elle, la scrutant jusqu'au moindre détail. Ses oreilles bougent, aux aguets. Sa queue bat l'air nerveusement, elle entrouvre la gueule, mais ne bouge pas d'un poil. Elle sent finalement que Ruth ne représente pas un danger pour toi.
∞ Si tu pouvais entendre tout ce que je te dis, ce serait bien pratique aussi. Tu relèves la tête pour la fusiller du regard. Elle te retourne le sien, sereine, les oreilles dressées. Elle n'a pas l'air plus médusée que ça. Mais, elle ne le montre pas. Elle est très inquiète en réalité, t'engueuler est la seule façon qu'elle ait trouvé pour te le signaler. Elle est angoissée, et se set impuissante aussi. Tu ne sais pas ce qui te méduse le plus ; qu'elle ne soit pas plus étonnée que ça que Ruth soit télépathe, ou qu'elle ne s'en soucie absolument pas. Pire, si elle reste bien sur ses gardes vis-à-vis de la vampire -par pur instinct protecteur- elle semble contente de ne plus être seule à te remonter les bretelles, pour une fois qu'elle trouve quelqu'un capable de le faire sans se retrouver avec un bras cassé ! Ta vie est vraiment à chier.
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| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Mar 18 Nov 2014, 09:13 | |
| .Amel & Ruth.Oh chic, une proie...AH nan pas de bolRuth ne lisait pas toutes les pensées, seulement les plus fortes, alors quand le rouquin se met à penser à ses crimes, elle ne peut pas faire grand chose pour le stopper, il est était mis en place pour la préserver elle. La négation de cet lui avait comprendre qu'il avait deviné son pouvoir. Il est vulnérable. Elle le voyait bien. Son passé est riche, trop, il le blesse quotidiennement, il joue les dominateur pour oublié qu'il a été dominé par cette folle, puis le sang, beaucoup de sang. Il n'avait rien d'appétissant, il était là pour lui rappeler qu'il n'était qu'un méchant, cette gamine du cirque à qui il pensait, son amnésie. Il voulait qu'elle sorte de sa tête, qu'elle respecte sa vie privé, difficile de retirer cette barrière qu'elle avait mise. Cela lui demandait des efforts, mais aussi croire qu'il n'avait pas besoin d'aide. Ce qui difficilement acceptable du fait qu'elle avait entendu certaines choses. Son esprit le regardait seul, elle ne lisait pas tout, elle n'avait pas mis toute la gomme sur sa capacité. Elle pénétrait son permissions dans ses failles, profitant d'elle le mieux qu'elle pouvait de ces faiblesses. Son affilié viens, un félin, ça signifiait pas mal de choses pour la dame. Elle sourit, ils étaient plus proche qu'ils le croyait, un bel animal était inquiet pour le rouquin. Son animal lui parlait comme elle parlait avec le sien. Elle se mit à sourire doucement en l'entendant le rassurer. Lui faire la leçon, si il devait écouter quelqu'un c'était bien cet animal, plus mûr que lui dans un certain sens. Au traitemet de sorcière, elle retint un rire, pas que c'était drôle, mais parce qu'elle n'avait pas l'habitude qu'on la nomme ainsi. La bête semble pas inquiète qu'elle vienne dans l'esprit de son lié, elle devait sentir qu'elle ne voulait pas de mal. Elle disait qu'elle voulait l'entendre elle aussi.
-Pas sûr que cela soit bon pour vous deux ce genre de lien, désolé de m'incruster dans vos retrouvailles, mais je crois qu'elle a raison. Bonjour Ombre. Je sais que tu fais déjà beaucoup pour lui, mais le laisser tomber dans la facilité en se droguant pour oublier est facile. Je sais que je suis mal placée pour juger, mais fais ce que tu peux pour qu'il arrête de vivre avec les fantômes de son passé. J'aime l'histoire, mais je n'aime pas quand elle blesse autrui.
Ruth était un paradoxe à elle seule. Elle disait ce qu'elle pensait pour faire le bien. Elle avait du mal à ne pas se sentir coupable de cet état, elle l'avait provoqué, elle l'avait attaqué, lu ses pensées. Tout ce qui faisait d'elle un être impoli. Elle qui voulait l'aider, le sortir un peu de ce qui le retenait Elle soupira doucement. Elle aimait le temps qu'elle passait avec son lié, il lui faisait oublié qu'elle contrairement a lui, elle n'avait pas des masses d'amis, mais elle se disait que tout pouvait changer, que des gens plus caractériel avait des liens forts. Elle respira à fond. Elle n'aimait vraiment jouer le mauvais rôle.
-Vraiment désolé, lire vos pensées me fait autant de mal qu'à vous. Je suis navré de tout ce qui vous est arrivé. Chacun à son fardeau, plus particulièrement sur cette île, être un combattant de sans-cœur va de paire avec un passé chargé, j'en ai conscience. Je devrai me mêler de mes affaires, j'aimerai juste lui montrer que les vampires ne sont pas tous méchants.
Elle était seule, elle tiendrait ses arguments, elle avait la force pour se tenir ici.
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Amelëyr C. ThanárielStaffien Coeurs : 133 Messages : 471 Couleurs : #ff7518 & Indigo J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Mar 18 Nov 2014, 20:00 | |
| Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! Feat Amel & Ruth
Que serais-tu devenu sans ta panthère ? Si elle n'avait pas croisé ta route, cette nuit là... tu te serais sans doute laissé mourir. A l'époque tu n'avais plus assez de force ni de volonté pour même fin toi-même à tes jours, mais si tu ne t'étais pas lié avec Ombre, si elle n'était restée qu'une panthère noire comme une autre, peut-être t'aurait-elle trouvé à son goût. Enfin... elle t'as donné la force de reprendre ta vie en main. De te battre et de ne plus laisser personne t'atteindre. Pourtant en ce moment tu as l'impression que tout ce chemin parcouru n'a servi à rien. Tu te retrouves à nouveau si dépassé par la situation. Désemparé, sans défense. Non, non, tu ne peux pas laisser faire ça, il doit y avoir un moyen...
Tu lèves les yeux vers la vampire lorsqu'elle s'adresse à vous deux. Tu sais qu'elle a tut entendu, et elle le confirme. Tu ne peux même pas avoir une conversation privée dans ta tête avec ton affilié... Ombre grogne à la remarque de Ruth sur la drogue. Elle sait tout autant que toi que ce n'est pas si simple. Toi, tu réagis plus vivement. Tu fusilles Ruth du regard, submergé par le sentiment d'injustice et par la rage, qui te donnent la force de te relever, mais sans quitter l'appui du lampadaire.
∞ Parce que vous croyez que j'ai eu le choix ? L'agresses-tu en criant presque et en serrant les poings. Que j'ai voulu devenir accro ? Que j'ai choisi d'être un junky ? Elle m'a donné la drogue de force ! Vous pensez que j'en voulais, à l'époque ? Que j'aimais être prisonnier de cette saloperie ? Elle l'utilisait pour me rendre plus malléable, plus obéissant ! Et quand elle n'utilisait pas son propre pouvoir pour m'empêcher de me protéger, pour qu'ils puissent « boire ». Ils trouvaient que mon sang avait meilleur goût. La drogue m'enlevait ma protection, je me retrouvais sans défense, vous croyez que c'est de mon plein gré que je la prenais ? C'est à cause de ça que... Ton souffle est court et saccadé. La rage et la souffrance te mettent à rude épreuve. Ton mal de crâne revient subitement et tu te prends la tête entre les mains en grimaçant. Oui, si tu n'avais pas été drogué cette nuit là, tu aurais pu te défendre, te protéger avec ta peau d'écorce, il n'aurait pas pu te battre et te violer... Mais ce n'est pas ce qui s'est passé. Tu fermes les yeux, luttant pour reprendre contenance, mais c'est si dur... Tu en pleurerais de rage si tu ne t'étais pas fait promettre de ne plus verser une seule larme, quatre ans auparavant.
∞ J'ai essayé de résister, mais chaque crise de manque était plus forte que la précédente. Elle attendait que je la supplie. Je n'avais que 15 ans ! A force ça m'aidait à tenir. Ironie du sort n'est-ce pas ? Les chaînes qui m'immobilisaient m'empêchaient de m'enfuir ou d'essayer de me tuer. Un long frisson te parcourt l'échine. Un souffle glacial t'envahit et chasse à nouveau toute chaleur de ton corps. Tu glisses à nouveau sur le sol, les yeux fermés avec force pour juguler tes émotions. Tu en as déjà trop dit... qu'elle soit maudite, de t'avoir poussé à bout. Tu as toujours du mal à respirer et tu trembles, de froid, de rage ou d'impuissance, tu ne sais pas très bien. Les trois à la fois, sans doute. Ombre s'assoit à côté de toi et frotte sa lourde tête contre la tienne, en gémissant. Elle souffre elle aussi de te voir dans cet état. Elle a essayé à maintes reprises de t'aider, de parler avec toi, de te secouer les puces. Mais on accepte souvent plus facilement une aide extérieure. Elle est trop impliquée, trop proche de toi, affectueusement, pour avoir un poids conséquent sur ce sujet. Tu lances un regard en coin à Ruth.
∞ Vous êtes navrée, hein. C'est tellement facile de dire ça. Moi aussi, je suis navré. C'est vraiment pour « m'aider » que vous voulez me prouver ça ? Ou vous voulez vous décharger d'un poids ? Vous prouver à vous même que vous n'êtes pas un monstre ? Ombre relève la tête et couche les oreilles sur son crâne, trouvant tes propos injustes. Mais toi aussi tu as subit tant d'injustices, entre ton foyer natal, l'abandon de ta mère, la haine de ton « père », le désintérêt de ton géniteur... et par dessus tout ce que tu as subit entre leurs mains. Devant ton abattement, Ombre n'ose pas te reprendre, alors elle tourne la tête vers Ruth et la fixe de ses prunelles violettes.
∞ Essayez de vous mettre à sa place... Il n'a connu que ça, la haine, la violence. Je sais, moi aussi j'ai essayé, mais sa propre peur m'envahit à chaque fois. Difficile d'argumenter avec lui dans ces conditions. Elle baisse la tête, tandis que toi tu les fixes tour à tour, le regard presque sauvage. Puis te te frottes l'arrête du nez nerveusement, sans réussir à calmer les tremblements de tes mains. Heureusement que personne ne passe dans cette rue à cette heure-ci. Tous les habitués du var sont déjà à l'intérieur et ne risquent pas d'en sortir de si tôt. Sans quoi, leur regard sur toi serait encore plus angoissant. Mais le pire serait que tu croises quelqu'un de ta connaissance, un membre du cirque. Qu'un proche t'aperçoive dans un tel moment de faiblesse. Voir leur regard changé sur toi t'achèverait.
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| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Mar 18 Nov 2014, 20:52 | |
| .Amel & Ruth.Oh chic, une proie...AH nan pas de bolLa vampire pouvait entendre ses pensées, aussi que si elle les avaient entendues de sa bouche. Il s'accroche au lampadaire. Ruth admire cette force qui semble surgir de nul part, elle préférait cela à ce qu'il se plaigne sur son propre sort. La panthère ne dit rien, le rouquin ne se prive pour dire ce qu'il pensait. La drogue avait utilisé pour le rendre plus manipulable, quelle sorte de vampire faisait cela. Elle était outrée d'être mise dans le même sac que ce spécimen. Elle ne forçait jamais les gens à lui donner du sang. Elle préférait encore faire la grève des gaufres que le faire. Il expliquait sa vie, elle pouvait voir les images qui allait avec, elle en avait la chair de poule rien que d'y penser, elle avait envie de mettre un poing dans cette femme. De lui montrer sa façon de faire. Boire quelqu'un de drogué, ça revenait à se drogué soi-même. Une vraie horreur. Le viol, la faiblesse. Elle se mordit les lèvres violemment, promettant milles souffrances à cette vipère. Elle ne l'écoutait à moitié élaborant milles plans pour la faire souffrir, même demander à sa mère de l'aider, après tout c'était elle l'adepte de ce genre de torture,bien que sa génitrice aimait plus torturé mentalement. L'animal partageait cette peur, cette douleur, à quel point un lié et son maître son lié, elle n'y avait jamais songé avant cela, voilà que se retrouver devant ces deux-là, l'avaient mené à se poser la question. Elle le fusilla du regard quand elle disait qu'elle voulait juste absoudre ses pêchés, s'était n'importe quoi. Puis la panthère prit parole, se mettre à la place du roux, elle ne pouvait le faire, sa vie était différente. Il était enfermé dans ces peurs. Elle lâcha un soupir exaspéré. Elle racla sa gorge.
-J'ai compris, il a peur, le secouer dans son état ne sers à rien. Dis-moi Ombre, ne vit-il pas des bon moments au cirque qui lui permet de laisser son passé là où il est, j'en suis sûre que si. Je promet de faire mon possible pour retrouver cette vampire et lui donner une leçon comme les Pieter savent le faire depuis des générations. Nous avons aussi des faiblesses. Je lui ferai comprendre.
Ruth avait été à bonne école avec les deux guerres mondiales sur terre. Elle était une gentille, mais elle savait ce que la torture pouvait faire comme dégâts à ses semblables, elle avait été si écœurée, pourtant la détresse de l'acrobate lui donnait envie de rendre infertile et impuissante cette vampire. Ces oncles faisait les fiers avec leurs victimes mais ne les droguaient pas. Boire le sang d'un junkie, c'est en devenir un. Elle respira longuement, prenant du mieux qu'elle pouvait sa respiration. Elle pensait toujours qu'il avait besoin de se sortir de ses ténèbres.
-Boire un junkie ou un alcoolique c'est accepter les conséquences de substances, nous sommes sensible au sang. C'est un des moyens pour nous tué à coup sûr, même si cette technique et un peu kamikaze. Elle a le mérite de fonctionner. Nous en faites pas, je lui prouverai plus tard que les vampires sont pas tous méchants. En attendant, il faudrait qu'il décuve un peu. Mets-le sur le banc s'il te plaît. Seul le temps pourra le guérir de cette blessure.
Ruth avait du regret dans sa voix, elle avait joué son rôle de vilaine sorcière, celle qu'on devait pas dragué sous peine de s'en mordre le doigts. Son sang l’intéressait plus, elle voulait simplement que cet homme arrête de prendre les vampires pour des monstres sans pitié. Elle s'appuya sur le mur. Ce n'était pas gagné, vraiment, elle n'était pas au bout de ses peines. Elle remit correctement la veste sur ses épaules en soupirant, la chaleur sortant de sa bouche formant une vapeur, contraste avec la fraîcheur de la nuit. Elle époussetait cette dernière en voyant une telle complicité entre liés, elle était loin de cela avec son lion. Un paresseux qui devait dormir à l'heure qu'il est d'ailleurs. Elle sourit un peu à cette pensée, son félin ne changerait pas. Tant qu'elle vivrait, il serait figé dans le temps. Cette idée lui plaisait beaucoup. Sa fourrure lui manquerait bien trop vite.
-Je peux attendre, oh que oui.
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Amelëyr C. ThanárielStaffien Coeurs : 133 Messages : 471 Couleurs : #ff7518 & Indigo J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Mer 19 Nov 2014, 23:01 | |
| Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! Feat Amel & Ruth
Tu comprends face à la réaction de la vampire qu'elle ne sait pas tout, qu'elle ne peut pas lire toutes tes pensées. Sans quoi elle aurait su ces détails considérables. Cette pensée te rassure ; cela signifie qu'il y a toujours une partie de ton esprit qui reste inaccessible. L'idée que quelqu'un puisse un jour apprendre la vérité sur ton passé t'a toujours révulsé. Tu ne veux pas être pris pour une victime, tu ne veux pas de la compassion d'autrui. Ces dernières années tu as compris que rester secret est une pièce maîtresse des jeux de stratégie. Et qu'est-ce que la vie, sinon un plateau où s'amoncellent les pièces, où certaines font irruption et que d'autres disparaissent, terrassées par leurs rivales ? Alors tu as toujours cherché à découvrir les petits secrets de tout un chacun, pour mieux les comprendre et ainsi les manipuler plus aisément. C'est ta façon de te protéger, contre-attaquer. Ainsi personne ne pourra t'atteindre. Seulement... il n'y a pas que des avantages à cette tactique. Encore faut-il que tu t'en rende compte.
Tu observes les deux commères discuter sans rien dire. Tu écoutes le discours de Ruth en lui lançant un regard inquisiteur, les sourcils froncés. Pourquoi, pourquoi ferait-elle ça ? De toute façon, c'est peine perdue, et tu le sais très bien. Tu pousses un rire jaune. Ah, quelle ironie du sort ! Ç'aurait été vraiment agréable, en effet, de savoir cette monstrueuse femme entre de « si bonnes mains », quand bien même tu ne connais pas tellement leur propriétaire, sinon que c'est une prof d'histoire qui boit comme un trou et qui suce le sang. Tu secoues la tête, tu en rirais presque, devant tant de mauvaise fortune.
∞ Louables intentions, mais ce n'est pas la peine de vous fatiguer pour rien. Vous ne la retrouverez pas, sauf si vous mourrez, peut-être. Elle est morte. Ils sont morts tous les deux. Alors à moins qu'Hadès ait un humour de mauvais goût vous ne pourrez pas... Tu ne termines même pas ta phrase, frappé par ce que tu viens de dire. Tu n'as jamais considéré cette éventualité, car tu n'as jamais pu imaginer que la mort les refuse. Il te paraissait juste qu'ils y restent, même si la mort t'as toujours paru comme un châtiment trop doux. Mais eux morts, tu n'avais rien à craindre. Alors... la chance ne serait pas pute au point de te poignarder aussi fort dans le dos tout de même... La probabilité doit être faible, enfin tu crois... Cependant maintenant que le doute s'est insinué en toi, il ne veut plus en sortir. Cette pensée te terrifie. Bien plus que Ruth, bien plus qu'on sache ce qui t'es arrivé, ou les crimes que tu as commis. Ce serait, littéralement, ton pire cauchemar. Tes yeux fixent le sol, mais ne le voient pas. Tu es bien trop choqué par cette révélation. La vie ne serait pas injuste à ce point tout de même... Sentant ta détresse, Ombre se retourne, les oreilles dressées.
∞ Amel... ne pense pas à ça s'il-te-plait, tu te fais du mal... Ne les laisse pas te pourrir l'existence jusque dans leur mort... Plus facile à dire qu'à faire. Au lieu de l'écouter, tu ramènes tes genoux contre toi, les entoures de tes bras et poses ton front sur tes rotules. Tes yeux restent ouverts dans ce noir presque absolu, reflet de ton propre esprit en ce moment précis. Ruth reprend la parole, mais cette fois-ci tu n'écoutes absolument rien, plongé dans un mutisme total. Ombre en revanche dresse une oreille attentive aux propos de la sang-pur.
∞ Ne dites pas « boire » en parlant de lui, te défend-t-elle en rouspétant. C'est dévalorisant, un junky n'est pas une canette de bière et Amel encore moins. (elle redresse les oreilles et pause ses yeux violets sur ceux de Ruth) Mais... je vous crois sur parole, vous êtes bien mieux placée. Après, je vous souhaite bon courage pour lui faire entendre raison, il est pire qu'une tête de mule quand il s'agit de ne pas vouloir avoir tort. (Ombre fait une pause et incline ses oreilles, malheureuse) Certaines blessures ne guérissent jamais complètement, et j'ai bien peur que celle-ci n'en fasse partie. Puis elle se lève et s'approche de toi. D'une patte elle te secoue, pour ne t'arracher qu'un grognement. Ton crâne te fait mal, c'est de pire en pire. Et tes intestins jouent à la marelle. Les oreilles de ta panthère se couche vers l'arrière, mécontente que tu ne réagisses pas. Elle, considérant qu'avec ta peau d'écorce tu n'auras pas mal, elle attrape l'un de tes bras dans sa gueule et te tire vers le banc.
∞ Allez, viens t'allonger ça te fera du bien, te dit-elle par la pensée, faute d'avoir la bouche libre. Ça calmera ton mal de tête. Tu essaies de résister mais ta panthère a plus de force que toi, vu ton état. Alors tu finis par te laisser guider jusqu'au siège. Tu t'affales dessus à plat ventre, en songeant qu'il y a plus confortable, tout de même. Ombre lève les yeux au ciel devant ta mauvaise foi. Puis elle fixe Ruth qui s'appuie sur le mur. Celle-ci semble soudain désolée. Ta panthère soupire, en songeant au chemin qu'il vous reste à parcourir. Il sera long et tortueux, semé d'embûches. Mais elle espère bien que tu parviendras au bout un jour. Ruth murmure quelque chose qui, malgré ton état, ne t'échappe pas.
∞ Attendre quoi ? Bougonnes-tu de ton banc. Tu n'y portes pas une curiosité sans borne, mais y prêter attention te permet de t'arracher un instant à cette souffrance interne qui t'épuise tant physiquement que moralement. Et Ombre semble ravie que tu recommences à parler. C'est qu'un Amel silencieux, c'est vraiment flippant.
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| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Jeu 20 Nov 2014, 11:02 | |
| .Amel & Ruth.Oh chic, une proie...AH nan pas de bolL'elfe toujours en mauvais état, elle passa son regard sur le corps du jeune homme, il se gâchait la vie, il aurait pu lui plaire, mais vraiment, mais les données étaient contre lui. Elle lâcha un soupir en s'appuyant bien contre le mur. Il disait qu'elle n'avait pas de chance de la retrouver vu qu'elle était morte. C'était bien, elle devait souffrir si les rumeurs sur le royaume de Hadès étaient bonnes, elle devait être pas dans une des meilleures partie. Un sourire bref vint se peindre sur son visage, elle était rassurée. Puis il pensait encore à ce qui lui faisait souffrir ressentant ses émotions, l'animal se mit à lui parler. C'était amusant de voir un animal parler, elle s'y faisait jamais, c'était peut-être pour cela que son lion était resté muet, allez savoir. Elle l'écoutait, elle semblait avoir plus d'impact qu'elle, en même temps, c'était son lié. Un animal qui partage la vie de son lié humain aux pouvoirs dépassant toute l'imagination. Le félin commence à me faire la morale, elle était comme elle dans le fond, c'était marrant de voir les points commun avec cette créature, elle sourit doucement en l'écoutant. Elle défendait son elfe contre vents et marrées, c'était mignon. Elle disait aussi qu'il était très têtu, elle aussi, cela tombait bien, elle aussi. Elle avançait même que sa blessure ne se refermerait jamais. Elle lâcha un petit soupir, torturé à jamais par cette blessure. Elle tire son lié sur le banc. La vampire sourit, elle était comme une mère pour le rouquin, c'était adorable. Puis elle entends à nouveau la voix du garçon. Elle sourit, pourtant elle avait dit ces mots plus pour elle que pour l'homme. Elle roula des yeux. Elle devait lui répondre. Il réagissait, c'est qu'il était apte à penser à autre chose que ces blessures.
-Attendre que tu reprennes le poil de la bête, sans vous vexer Ombre. Te voir te morfondre est quelque chose d'assez disgracieux, je te préfère avec ton sourire prétentieux aux lèvres. Même s'il ne m'annoncent rien de bon pour les dindes environnantes. Après je ne suis rien pour toi. Qu'une buveuse de sang dont tu veux te débarrasser au plus vite, on ne me la fait pas à moi. Pas besoin de lire les pensées pour le savoir. Sache que mon pouvoir n'est qu'à la moitié de ses capacités, je n'aime pas pénétrer dans la vie privé, je préfère largement parler en direct.
Après tout, Ruth restait une bavarde. Ce n'était pas quelques personnes qui allait la briser. Elle était plus forte que ceux qui osait lui aire du mal, elle n'était pas comme sa mère, elle ne le serait jamais. Elle était plus gentille. La lecture des pensée était là surtout parce qu'elle avait du défaire les silences d'une de ses conquêtes. C'est l'amour qui lui avait fait découvrir la plupart de ses capacités, la force, la télépathie, la rapidité, tout cela n'avait eu qu'un seul impact sur sa vie. Sa manière de faire certaines tâches quotidiennes. Elle sourit en le voyant comment il était allongé sur le ventre sur ce banc. Elle aurait presque rit, mais elle tenait à faire bonne impression. Elle se mit à rire doucement. Elle ne pouvait s'en empêcher, elle ne pouvait plus se contrôler. Elle reprit son souffle suite à une hilarité inconnue. Elle reprenait un peu de prestance et se mit droite devant le banc de l'elfe gardant une distance entre eux par pur respect. Car elle était avant tut une femme d'honneur.
-Puis je dois vous entendre râler quelques instants pour m'assurer que tout va bien. Je m'excuse pour cette soirée, elle aurait pu être plus agréable, j'ai ma part de responsabilité dans l'échec de cette dernière. J'espère aussi vous prouver un jour que les vampires sont pas tous des monstres. Je vous prie de considérer ma proposition. Je ne vous force pas.
Ruth s'inclinait comme une dame d'une siècle qu'elle n'avait jamais vu, sa mère lui avait montré comment faire, cela faisait partie de son éducation, du coup, elle connaissait ce geste. Elle se releva gracieusement et sourit un peu à cet homme, espérant qu'il l'accepte au moins un peu. Elle était impatiente comment il prendrait sa façon de faire.
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Amelëyr C. ThanárielStaffien Coeurs : 133 Messages : 471 Couleurs : #ff7518 & Indigo J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Jeu 20 Nov 2014, 20:20 | |
| Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! Feat Amel & Ruth
Ombre se comporte bien souvent comme une mère avec toi, à te protéger -la plupart du temps contre toi-même-, te consoler, te faire la morale. Enfin, en fait, elle a toujours été bien plus maternelle que ta propre mère, dont tu ne veux même plus entendre parler. Son abandon a été la plus terrible des trahisons. Avec le temps, tu as fini par comprendre que c'était une manière de se racheter auprès de son mari. Échanger sa vie contre la tienne, toi, enfant non désiré issu d'un adultère. Toi, enfant bâtard, conçu lors d'un acte de vengeance, qui n'a jamais eu sa place dans ton ton foyer. Sans Ombre, tu ne serais rien. Sans Ombre, malgré ton agacement lorsqu'elle te réprimande, tu serais totalement perdu.
L'expression que Ruth utilise pour te répondre amuse plus Ombre qu'autre chose. Ton affiliée n'est pas susceptible. Elle te préfère avec ton sourire prétentieux, comme c'est étrange, elle qui un peu plus tôt ne le supportait plus. Ainsi donc la vampire n'aimait pas user de son pouvoir, hein ? Alors pourquoi l'avoir fait sur toi ? Voulait-elle vraiment t'aider au point de dépasser ce stade ? C'est quelque chose que tu ne comprends pas. Son aide... il faut dire que tu n'as jamais croisé quelqu'un de serviable dans ta vie. Il est difficile de comprendre tout de suite un élément inconnu. Levant les yeux de ta position, tu sondes son visage, mais tu ne discernes que de la sincérité. Tu soupires, agacé, en reposant ta joue contre le banc.
∞ Si je comprends bien vous voulez attendre que j'aille mieux pour me faire encore chier avec cette histoire. Vous me laisserez pas tranquille, hein ? Pffff. Ombre te regarde d'un air désapprobateur. Bah quoi, tu as bien le droit d'exprimer ta frustration ! Et puis, tu es encore saoul, tu as une bonne excuse. L'ébriété permet de dire ce qu'on veut. Ombre lève les yeux au ciel, trouvant ton comportement juste puéril. Selon elle, tu n'as jamais vraiment grandi, enfin mûri plutôt, tout en n'étant plus un gosse. Ce qui donne un résultat assez inquiétant. Parfois elle aimerait bien te donner un bon coup de patte, griffes sorties, histoire que ses messages passent. Mais elle se laisse toujours avoir par ton charme lorsque, seuls, tu lui lances ce regard de chien battu et qu'elle ne résistent pas à tes cajoleries.
Soudain Ruth part dans un éclat de rire. Tu relèves la tête en poussant un « gneeuh ? », ne comprenant pas ce qui lui prend. Elle se moque de toi là ? Ton crâne te fait déjà assez mal comme ça pour qu'une greluche vienne te casser les oreilles en plus.
∞ J'peux savoir ce qui vous faire rire, là ? Ruth s'approche de toi, tout en restant à une distance respectueuse, ce que tu apprécies tout de même. Comme rester la tête levé n'est pas super agréable comme position, tu te retournes péniblement sur le dos. Ce qui n'est pas beaucoup moins bizarre de voir la sang-pur à l'envers. Ombre rit mentalement en entendant la remarque de Ruth sur ton attitude. Oh oui, elle a parfaitement saisi. Quand tu râles, c'est que tout va bien... enfin disons plutôt que ça va mieux. Enfin, qu'il ne faut pas s'inquiéter quoi. Elle s'excuse. Ah bah elle a de quoi, franchement. Ombre grogne, te rappelant mentalement qu'elle est loin d'être la seule fautive. Ruth va même jusqu'à faire la révérence. Sérieux ? C'est un truc de vieux ça. Ou de bourge. Tu hausses un sourcil. Elle te sourit. Tu fais la moue, ne sachant plus quoi dire. Parce que, tu le vois bien, cette femme n'a rien d'une menteuse, et elle est très différente de ta tortionnaire. Et tu détestes avoir tort.
∞ Ouais ouais... j'vais y songer... Devant ton manque d'enthousiasme et ta mauvaise foi, Ombre bondit agilement sur le banc, plaçant ses pattes de chaque côté de ton corps, ce qui te fait loucher. Puis elle commence à te lécher, ce qui t'arrache un grognement de protestation. Tu as toujours ta peau d'écorce, mais elle bave volontairement sur tes cheveux et tu ne supportes pas ça.
∞ Tu me fais confiance, Amel ? ∞ Bah ouais... pourquoi ? ∞ Alors si je te dis que tu n'as pas de raison d'avoir peur d'elle, et que tu as tout intérêt à accepter sa proposition, tu me crois n'est-ce pas ? Donc, tu n'as plus besoin de ça (elle désigne ta protection). Tu ne sais pas quoi pondre comme contre-argument. Notamment parce que ta panthère ne s'est jamais trompé sur son instinct. Finalement tu te retournes en grognant, ce qui équivaut à « laisse moi tranquille, j'en ai marre, je boude ». Ombre te donne un coup de patte en te traitant de tête de nœud. Mais, au bout de quelques instants, tu retrouves ton aspect normal. Fière d'elle, ton affiliée te force à te remettre sur le dos et s'allonge sur toi, te coupant le souffle.
∞ Heeey … tu-tu m'étouffe là. Lève toi ! ∞ Pas tant que tu n'auras pas répondu gentiment à la dame, te répond-t-elle comme si tu étais un gamin, avant de bâiller. ∞ Bon bon, d'accord, t'as gagné, oui, vous pourrez me montrer tout ce que vous voulez quand vous le voudrez. Voilà, t'es contente ? Tu peux te lever maintenant, histoire que je respire un peu ? Mais non, elle décide qu'elle es ttrès bien, là tout de suite, et puis, pour une fois qu'elle est en position de force. Tu soupires en levant les yeux au ciel. Enfin façon de parler vu que tu vois déjà le ciel au dessus de toi. Bon, au moins elle te tient chaud. Mais franchement, elle pourrait éviter de faire ça devant Ruth. Mais ta panthère te fait remarquer par la pensée que justement, c'est une bonne leçon. Comme si tu avais toujours été bon élève.
Codage par Cali' pour Ame. |
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| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Jeu 20 Nov 2014, 21:37 | |
| .Amel & Ruth.Oh chic, une proie...AH nan pas de bolRuth restait immobile, elle croisa les bras sous sa poitrine, pouvait faire ce qu'elle voulait, mais ce n'était pas maintenant qu'elle allait changer. Elle pouvait patienter des heures sans se lasser, il n'avait aucun souci. Il n'aimait pas sa façon de faire, difficile de changer à son âge, pas une difficulté insurmontable, mais très compliqué de la faire agir autrement. Le rire de la vampire l'intrigue, il sort une onomatopée de sa bouche, ce qui rends la scène plus comique. Il n'aime pas, il croit qu'elle se moque, il n'en est rien, elle trouve cela comique la complicité qui lie ces deux êtres. Elle pense à son lion, il devait dormir comme un bienheureux. Il allait y songer, c'était un bon pas. Elle sourit grandement à cette pensée. Elle ne pouvait que se réjouir de cette initiative. L'animal surplombait l'elfe, elle leva un sourcil. Elle le lèche. L'institutrice se retenait de rire. Ils parlèrent de confiance envers elle. Elle reprit son calme initial. L'animal argumentait en sa faveur, elle l'en remerciait mentalement, sans l'envoyer, elle pouvait le faire après tout. Mais elle respectait ses paroles précédentes, elle n'abuserait pas de son pouvoir. Puis elle le vit faire le gamin et bouder, elle roula des yeux. Son dragueur était un putain de grand gosse. Puis le bois disparaît de la peau de cet homme, son pouvoir la fascinait vraiment. Elle s'empêcha de rire, c'était drôle pourtant. Le fauve tentait encore de le convaincre. Il accepte à contre cœur, le cœur de la vampire repart pour un tour, cela lui fait plaisir. Bien décidé à rester, elle fait office de couverture à Amel. Elle sourit, comme elle le faisait depuis un moment. Elle remit une mèche de ses cheveux derrière son oreille.
-Contente que vous ayez accepter, je suis sûre que vous le regretterez pas, puis je boirai pas votre sang, pas envie de perdre mes repères, j'y tiens, j'ai été assez perturbée à mon arrivée ici. Croyez-moi, je veux pas revivre cet enfer. Merci pour votre coopération Ombre, ans votre intervention cette tête d'enclume n'aurait pas démordu. Je vous dois au moins mes remerciements. J'ose espérer que vous n'aurez pas trop de soucis pour rentrer. Et aussi qu'on se reverra vite pour vous prouver que les vampire sont gentils parfois. Dans toute race, il y a du bon et du mauvais. Se focaliser sur un groupe d'individu ne fera que confirmer le stéréotype formé dans votre petite tête, aussi séduisante soit-elle.
Ruth passait un moment immobile, laissant ses phrases atteindre le cerveau embrumé de l’acrobate ou de son lié, qu'importe du moment que ces mots touchent le junkie, tout roulait. Elle sourit en voyant les deux, son lion lui manquait. Elle soupira avant que sa main soit happée par une langue rapeuse. Elle baissa la tête et vu son lié comme si lui aussi avait senti sa solitude. Ou il avait faim, vu le spécimen, cela ne serait guerre étonnant. Elle roula à nouveau ses yeux avant poser sa sa main sur sa tignasse rousse. Il ronronnait un peu rappelant qu'elle aussi n'était pas seule. Le félin mordillait ses doigts, elle grogna un peu. Il avait les crocs, il voulait de la viande. Elle frapa son front.
-Je t'ai dit combien de fois d'aller chasser sombre imbécile, puis je t'ai prouvé par a plus b que c'était mieux que tu le fasse. Pas besoin de faire les yeux suppliants, tu sais bien quand je dis non, c'est non. La personne qui me montra sur la tête n'est pas née. Pas la peine de bouder non plus. Je sais que tu viendras dès qu'il y a un moyen de bouffer sans chasser. Prends exemple sur les autres animaux et arrête de dormir.
Elle faillit tomber quand l'animal mit ses pattes sur ses épaules avant de lui mordre le nez, elle exprimait sa douleur, il descendait et la laissa seule avant de lui dire qu'il l'attendrait à la maison. Elle serra le poing. Elle prit une grande respiration calmement. Elle reprit son calme en se frottant le nez, c'est que cela faisait mal.
-J'espère que vous aurez pas de souci à rentrer, je vous proposerai bien ma maison, mais pas sûr que vous apprécierez ma compagnie un peu plus, n'est-ce pas ?
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Amelëyr C. ThanárielStaffien Coeurs : 133 Messages : 471 Couleurs : #ff7518 & Indigo J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Sam 22 Nov 2014, 16:15 | |
| Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! Feat Amel & Ruth
Ta position actuelle n'est pas vraiment confortable, entre le banc un peu dur et la masse de ta panthère. Cependant tu te sens tellement fatigué d'un seul coup... il faut dire qu'elle te tient chaud, c'est agréable ça au moins.Tes paupières commencent à se faire lourdes. Tu dois faire un effort pour garder les yeux ouverts. Les paroles de Ruth t'arrachent un ricanement. Elle s'y croit vraiment, là ?
∞ Z'avez pas intérêt... toute façon c'est pas comme si vous pouviez. ∞ Je vous en prie, Ruth répond ta panthère en ignorant ta réplique. Je vous remercie également pour cette petite leçon. Cette réplique t'outrage. Tu ne vois pas ce qu'il y a de bien dans toute cette histoire. Elle n'a fait que remué tous ces fantômes, là... Oh pis zut, les femmes... Tu n'as pas envie d'écouter la fin du discours de la vampire, et pourtant ce qu'elle dit a du sens. Enfin, on ne peut pas tout apprendre en un jour, toi encore moins. Car Ruth n'a pas tort, avec ta tête d'enclume -comparaison qui, soit dit en passant, ne te plaît pas des masses- il est difficile de te faire entrer une information dans le crâne sans qu'elle ressorte. Soudain tu sens Ombre se tendre, aux aguets. Ton affiliée dresse les oreilles en observant avec intérêt le nouveau venu. Tu arrives à te contorsionner le cou pour voir de quoi il s'agit encore. Tu hausses un sourcil. Un lion ? Son affilié est un lion ? Quelle drôle de coïncidence. Ta panthère se montre particulièrement curieuse, bien qu'elle ne bouge pas de son perchoir -c'est-à-dire toi.
Le sermon que Ruth donne au fauve te fait sourire en coin, ce sourire espiègle qui te va si bien, mais qui est si agaçant. Ah, avec un gros paresseux qui a tout le temps faim et qui lui sert presque de gosse, elle doit pas avoir la vie facile tous les jours ! C'est mesquin mais cette pensée te satisfait. Ombre couche les oreilles sur ton crâne et te donne un coup de patte. Tu pousses un cri de protestation en retour, avant de bouder, encore. Les vapeurs d'alcool commencent à te monter à la tête.
∞ Nan nan, pas maison, pas compagnie... Ombre secoue la tête, blasée. Décidément, tu ne changeras jamais. ∞ Ne vous en faites pas, Ruth, je ne pense pas qu'il soit en état pour rentrer de toute façon. Il va décuver ici et dès qu'il sera en forme nous rentrerons au cirque. Je vous aurais bien demandé de nous y accompagner, mais avec cette malédiction... Ce sera pour une prochaine fois ! Et pas d'inquiétude, Amel tiendra sa parole, j'y veillerai. A moitié somnolent, tu lui fais tout de même remarquer que tu ne te souviens pas avoir promis quoi que ce soit, encore moins avoir donné ta parole. Accepter sous la pression, pour toi, ça ne veut pas dire grand chose. Ce à quoi elle rétorque que tu n'as pas le choix, et que de toute façon tu dois bien ça à Ruth. Tu ne vois pas pourquoi, mais tu en as marre de tergiverser avec elle. Là tu as juste envie de dormir. Ombre lève les yeux aux ciel, dans un geste très humain. Puis elle tourne sa grosse tête de peluche vers la vampire.
∞ Rentrez bien, Ruth. Et surtout, ne vous sentez pas responsable de ce qui s'est passé. Ça devait bien arriver un jour ou l'autre, et je préfère que ce soit avec quelqu'un comme vous. Je pense que, malgré tout ce qu'Amel peut penser, il a de la chance de vous avoir croisé ce soir. Il avait raison, dans le bar. Vous avez quelque chose en plus que chez les autres. Tu fronces les sourcils et ouvre les yeux. Quoi, elle raconte quoi là ? Ombre vient te lécher le visage pour t'empêcher de dire encore des conneries. Tu protestes en trouvant ça vraiment dégueu, elle y a mis toute sa bave en plus. Mais bon, tu n'es pas tellement en position de force et tu finis par reposer ta tête, vaincu. Tu trouves ce banc bien confortable, soudainement. Ombre te laisse sombrer dans le sommeil en songeant que, oui, l'intervention de Ruth est salutaire. Elle t'a permis de faire un premier pas vers l'avant, bien que ce fut dans la peine et la souffrance. Enfin, elle songe à ton réveil et se dit que tu vas payer chèrement tes débordements. La gueule de bois, cela te va bien, non ?
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| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | | |
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