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| Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | |
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Amelëyr C. ThanárielStaffien Coeurs : 133 Messages : 471 Couleurs : #ff7518 & Indigo J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Sam 15 Nov 2014, 15:51 | |
| Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! Feat Amel & Ruth
Ton discours sur les pommes rouges la fait rire. Et bien, son rire est plaisant à tes oreilles. Il faut que tu trouves autre chose à dire qu'il la fasse rire. Tu aimes quand les femmes rient à cause de toi. Tant que ce n'est pas pour se moquer ni pour te ridiculiser. Il n'est pas conseillé de te contrarier, tu es quelqu'un d'assez rancunier, et bien souvent tu te venges en douce. C'est bien plus efficace. Les gens ne s'y attendent pas et ne peuvent pas parer le coup. Tu trouves cette Ruth décidément très agréable. Tout ce qu'il te faut pour te changer les idées, pour oublier. Elle n'a jamais vu la mer de nuages, comme c'est dommage... Tiens, tu fais des rimes en pensant maintenant, cette idée t'amuse. Ou alors l'ivresse commence à te gagner. Non, c'est encore trop tôt, tu trouves. D'habitude tu tiens mieux que ça. Mais d'habitude tu ne prends pas de drogue l'après-midi. Enfin.
∞ Oui c'est vrai, les espaces verts m'attirent plus que la ville, mais comme pour tous les elfes, en général. Ce n'est pas étonnant en soi. Je vous recommande d'y aller, oui. Même moi je dois reconnaître que je n'ai pas vu spectacle plus fascinant. Tu la fixes dans les yeux, avec une étrange sensation. Comme si quelque chose t'effleure l'esprit. C'est bizarre, tu n'as encore jamais ressenti ça. Hum, il faudra éviter drogue et alcool en si peu de temps la prochaine fois. Elle commande un nouveau verre, et plus par amour propre, tu fais de même. Tu ne vas pas t'avouer vaincu aussi facilement. Elle te parle ensuite de la rivalité entre elfes et fées, vieille comme le monde. Tu hausses les épaules, indifférent.
∞ A dire vrai je m'en fiche complètement. S'ils ont du temps à perdre pour se taper dessus, grand bien leur fasse. (tu souris) Oui, parler nourriture, c'est original, non ? Les rouges sont les plus sucrées. C'est pour ça que je les préfère. Juteuses et sucrées. Pour toi, les femmes sont comme les pommes : toujours meilleures quand elles sont bien mûres. Enfin, les jeunes pommes sont aussi plus sucrées, ça dépend des variétés en fait. Tu y trouves toujours ton goût. Enfin... le serveur arrive pour déposer vos commandes respectives. Tu aperçois Ruth lui faire un clin d'oeil. Tu hausses un sourcil. Quoi, elle espère te rendre jaloux ? Alors là, elle se met le doigt dans l'oeil. Tu est tout sauf jaloux. Tu n'as rien à envier à ce serveur, franchement. Tu tournes la tête et fais un clin d'oeil au jeune homme, qui, surpris, file jusqu'au bar. Tu regardes à nouveau Ruth avec un air espiègle.
∞ Désolé de vous décevoir. Ce n'est pas comme ça que vous arriverez à me rendre jaloux. Je ne suis pas quelqu'un de jaloux. Je préfère de loin rendre les autres jaloux. Ta langue se délie de plus en plus, fais attention, Amelëyr. Tu bois encore, complètement inconscient du petit jeu de ton interlocutrice. Du moment que tu t'amuses, le reste tu t'en fous. Tu te fiches des conséquences de tes actes. Tu assumes quand il le faut, mais en général les responsabilités te donnent de l'urticaire. Tu encaisses les coups, aussi, très facilement grâce à ton pouvoir. Les gens se font souvent plus mal à eux qu'à toi, ce qui est encore plus hilarant. Ton verre se vide trop vite, tu trouves. Mais tu as aussi besoin de changer un peu d'air. Tout ce brouhaha, ça te donne mal au crâne à force.
∞ Que diriez-vous d'aller ailleurs ? Ou de sortir, au moins. Je connais d'autres endroits plus dignes de vous. En plus je crois que l'happy hour va bientôt se terminer ici. Allons profiter d'autres ristournes ! Tu ne doutes pas qu'elle va accepter. Tu as bien compris qu'elle aime l'alcool et qu'elle ne refuserait pas une invitation à boire. Et puis, si elle n'appréciait pas ta compagnie, elle serait déjà partie, non ? Tu te lèves -prudemment- et te diriges vers le comptoir pour régler ta note. Entre ta vie de toxico et tes soirées arrosées, ton salaire d'acrobate a vite fait d'être écoulé. Enfin, ce n'est pas comme si tu as des bouches à nourrir non plus. Ton argent te sert à toi uniquement. Toutes tes dépenses tournent autour de toi. Après avoir réglé la note -qui compte aussi pour une partie des verres de Ruth- tu te tournes vers ta camarade de beuverie.
∞ Alors, prête ? Demandes-tu avec un grand sourire. Puis tu quittes le bar sans regret. Il fait déjà nuit, les lampadaires sont allumés et diffuse leur lumière jaune tout autour de toi. L'air frais du soir d'automne te fais du bien. Si tu as trop forcé ? Naaaaan. Tu peux encore boire. Heureusement pour toi, ton agilité d'elfe compense largement les effets de l'ébriété. De l'extérieur, tu as juste l'air un peu pompette, sans plus.
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| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Sam 15 Nov 2014, 17:21 | |
| .Amel & Ruth.Oh chic, une proie...AH nan pas de bolERuth observa attentivement le jeune homme, il aimait la forêt comme les elfes dans les livres de Tolkien, l'enseignante avait jeté un œil à ces livres car ces élèves les adorait, c'était drôle de les voir s'extasier devant ces choses imaginaire et pourtant si proche. Il semble aimer le spectacle que les donne ces nuages. Il parla du conflit sur l'île, il ne s'en mêlait pas, même il les laissaient se chamailler comme des gosses pour un morceau de biscuit. Elle sourit quand elle y pense, c'était le premier elfe qu'elle croisais, pas aussi blond que l'était Légolas, mais beau, ça l'imagination de l'auteur ne leur avait pas retirer. Elle écoutait continuer sur la nourriture, il y tenait à son sujet de conversation. Elle retint un rire quand elle entendit épiloguer sur les pommes rouges. Avant que son petit manège soit contré par un geste de l'homme alors ce jeune homme aimait aussi les belles fesses, bon à savoir se disait l'institutrice. Il n'était pas jaloux, mais aimait en jouer, elle souleva un sourcil. Elle soupira un petit coup avant de voir que l'alcool est de plus en plus efficace, elle finirai par savoir ce qui se cachait derrière le sourire de ce rouquin, elle aimait les histoires. Celles des autres, la sienne aussi, mais dans une moindre mesure, elle avait déjà vécu, pourquoi la revivre encore et encore. Puis le malaise traverse le visage du rouquin. Elle penche la tête. Il proposait de sortir prétextant qu'il avait des endroits plus digne d'elle ailleurs. Il parla de l'happy Hour, depuis quand le patron faisais des réductions, c'était la meilleur de l'année celle-là. Elle pouffa un peu, si il voulait faire la tournée des bars, pas de soucis. Elle sourit, elle pouvait tenir des heures entières à boire de l'alcool, elle savait qu'au final, c'est lui qu'elle ramasserai sur le sol et pas l'inverse. IL alla régler son addition, elle posait à son tour de l'argent, le salaire de prof était parti en grande partie, mais aujourd'hui c'était la fête, aucune restriction. Elle le suivait dehors, la fraîcheur extérieure faisait rougir ses joues, elle se mit à rire doucement. Il était saoul, il faisait genre, mais elle voyait bien qu'il déjà bien loin. Elle respira à fond.
-Alors, monsieur l’acrobate, où est-ce que vous me mener ainsi ? Sachez que je ne suis pas assez loin pour être emmenée chez vous. La nuit est loin d'être finie. Par contre état est déjà pas mal avancé. Comme votre compagnie rends ma soirée moins morne, je me demande quel tour vous allez me jouer.
Bien qu'il ne soit pas magicien, Ruth se comprenait parfaitement. Il allait sûrement lui dire des tas des choses, mais elle ne s'en formalisait pas. Elle préférait se faire draguer par cet homme que de s'ennuyer chez elle à s'engueuler avec la démone qu'elle avait pris sous son aile. Elle l'adorait, mais elle devait un peu penser à elle de temps à autres. Quad bien même le rouquin était un bel enfoiré, elle avait de quoi se défendre et ce malgré les pouvoirs qu'il pouvait avoir. Elle sourit, l'air frais faisait du bien à son organisme. Elle regarda un peu le ciel caché par les bâtiment, si elle aimait un truc dans la nature, c'est la vue, elle ne pouvait se lasser de ce genre de moment seule. Elle savait qu'à son retour, elle prit attention à voir ce qu'il avait de l'animation, des bars, ils avaient peins d'autres, elle n'aurait pas l'occasion de les faire tous ce soir, ni le soir prochain. Elle préférai se contenter d'un bar ou deux, puis après elle rentrait. Elle remit une mèche de ses cheveux derrière son oreille.
-C'est vrai que ça commençait à être lassant. Amel, je n'avais pas remarquer à quel point vous êtes grand. La vue est belle de là-haut?
Ruth sourit en le regardant, c'est vrai qu'elle avait que vaguement dans ce bar, maintenant elle était consciente de cette taille, elle avait d'autre chose pour lutter contre lui. Son sourire qui charmait les personnes alentour, suffisait de voir les filles la regarder en la fusillant, s'en était comique. Elle avait un rictus en croisant une de ses envieuses. Au mains, elle ne se faisait draguer par un laideron, manquerait plus que cela. Elle haussa les épaules
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Amelëyr C. ThanárielStaffien Coeurs : 133 Messages : 471 Couleurs : #ff7518 & Indigo J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Dim 16 Nov 2014, 12:05 | |
| Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! Feat Amel & Ruth
Que cherches-tu, dans cette histoire ? Pourquoi fais-tu tout ce cinéma ? Pour te divertir, sans aucun doute. Pour chasser l'ennui, mais ça c'est l'excuse officielle. Comme tout être vivant tu as tes intentions cachées dans ton subconscient. Tout ce cirque -quel ironie- vise simplement à oublier qu'il fut un temps où tu fus victime des envies des autres. Par toute cette comédie, Amelëyr, que veux-tu prouver ? Que toi aussi, tu peux manipuler les autres, que tu peux faire subir ? A force de jouer avec le feu, on finit par se brûler, mais ça c'est une leçon que tu n'as pas encore appris, faute de faux pas. Tout spectacle a ses défauts, des petits détails à corriger qui, s'ils prennent de l'ampleur, peuvent conduire à une catastrophe. Mais tout ceci t'es inaccessible, enfoui profondément en toi, à l'abri de toi-même. Toi tu n'as d'yeux que pour cette personne qui t'accompagne à l'extérieur. Tu ne sais pas comment la soirée va se finir, mais qu'importe, tu as toujours vécu au jour le jour. Tu te retournes pour l'observer, elle et ses joues rougies par la fraîcheur de la nuit.
∞ Un tour ? Ne vous inquiétez pas, je ne risque pas de vous emmener chez moi ! Je n'ai pas envie de vous priver de votre liberté. Tu dis cela, tu ne penses en réalité pas à elle, tu te fiches bien de sa liberté. C'est plutôt de la tienne qu'il s'agit. Tu n'as jamais emmené aucune de tes conquêtes chez toi, tout simplement parce que chez toi, c'est le cirque. Et quiconque y pose un pied hors des horaires de représentation se retrouve piéger par la malédiction jusqu'à la fin de ses jours. Du moins, jusqu'à aujourd'hui. Personne ne sait comment s'en débarrasser, pour peu que quelqu'un se soit penché sur le sujet. Toi, tu t'en fiches. Tu as trouvé ton foyer, et avec ou sans malédiction, tu comptes bien y rester. Même si c'est tout de même un peu frustrant d'être en partie privé de sa liberté. En tout cas, tu ne veux pas te coltiner une conquête pour le reste de ta vie.
∞ Vous faites bien de vous poser la question... je ne sais pas quel genre de tour je pourrais vous jouer. Je ne suis pas magicien ! Tu éclates de rire, bien que l'humour en lui-même ne soit pas de ton meilleur crue. L'ivresse rend hilare, c'est bien cela que tu cherches, n'est-ce pas ? Car il vaut mieux en rire qu'en pleurer. Tu es bien ébréché tout de même. Sur ce point, Ruth t'as bien eu ; elle ne mentait pas se disant coriace. Enfin, toi, le reconnaître... certainement pas à voix haute. Tu trouves que la soirée se présente plutôt bien, jusqu'ici, malgré ces étranges impressions qui reviennent de temps en temps à la charge, mais se heurtent à ton ébriété. Tu t'en fous ; rien n'a plus d'importance que toi et ta compagne de beuverie.
∞ La nuit est loin d'être finie, en effet. Où pourrais-je vous emmenez ? … Tu hésites sur ce point. Il y a quelques bars de bonne notoriété, et pas très chers, dans le coin. Tu es plutôt un habitué, l'alcool, avec la drogue, est un vieux compagnon, cependant si on peut te qualifier de junkie, tu n'es pas un alcoolique. Tu poses tes mains sur tes hanches en reprenant ton souffle. C'est alors qu'elle te pause une question pour le moins surprenante. Tu hausses un sourcil, et laisses échapper un petit rire. C'est vrai que tu es grand, tu la dépasses de deux têtes, environ. Mais on ne t'as encore jamais demandé ça.
∞ Oui, oui, je suis grand... ou c'est vous qui êtes petite, ce n'est qu'une question de point de vue. Les elfes sont réputés pour être grands, mais c'est vrai que je dépasses la moyenne. Quant à la vue... Quand une idée te traverse la tête, tu réagis bien souvent sur le moment, imprévisible. Mais avec de l'alcool dans le sang, ton impulsivité s'en trouve décuplée, et tu n'agis plus que par envie, sur un coup de tête, sans prendre le temps de considérer les conséquences de tes actes -pour peu que tu le fasses d'habitude. Alors, quand cette inspiration en particulier te traverse, tu n'hésites même pas. Fort de ton agilité et de ta vitesse propres à ta race, tu la prends dans tes bras et approches ton visage du sien. Puis tu fais un tour sur toi-même afin de lui faire voir par ses yeux la vue de ta position.
∞ Si vous voulez vraiment mon opinion... je ne me suis jamais posé la question, mais elle me convient, on va dire. Et vous alors, comment trouvez-vous la vue, dites moi ? Elle est à votre goût ? Ne voit-on pas bien d'ici ? Tu lui adresses un grand sourire, fier de ton petit tour. S'y attendait-elle à celui-ci ? Tu es incorrigible, Amel, tu le sais et tu le revendiques. Malheureusement, tu ne pourras pas toujours jouer au chat, tu finiras bien un jour par rencontrer plus fort et plus malin que toi.
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| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Dim 16 Nov 2014, 13:21 | |
| .Amel & Ruth.Oh chic, une proie...AH nan pas de bolElle écoute attentivement le rouquin parler, il semble que cette histoire de cirque cachait un truc louche. Le voir en représentation en devenait de plus en plus tentant. Elle aimait vraiment trop les histoires pour laisser celle-là sans au moins une réponses qui tournait dans sa tête. Elle soulevais sourcil, vraiment c'était curieux cette pensée de la privé de liberté. Ruth était plus forte qu'on pouvait le deviner. Il semblait bien décider à la conduire dans une de ses ruses. La vampire n'était pas dupe, elle avait vu clair dans son jeu de séduction, elle jouait le même jeu. Elle qui serait tombé pour le charme de cet hommes quelque temps plus tôt, maintenant, elle était plus fort, son célibat avait donné un second souffle à celle qui buvait le sang. Il semblait trop saoul pour se décider de la suite, elle pouffa en le voyant ses débattre contre les affres de l'alcool. Comme être créature dite de la nuit pouvait servir. Il riait, l'alcool le rendait joyeux, donc c'était quelqu'un de triste un peu. Elle faisait ses conclusions sûrement hâtivement, mais elle verrai si elle est en tord ou non par la suite de la soirée. Elle fronça les sourcil à la remarque sur sa taille, elle se trouvait très bien, pas besoin d'être une grande asperge comme cette carotte. Puis le sol se dérober sous ses pieds, d'abord surprise, la dame ne dit rien puis elle arrive à sa hauteur. Elle grogne, pour le romantisme, il repassera. Il la tourne, elle n'aime pas ça, la vue est spéciale. Elle était un peu plus grande du coup. Il la provoquait avec des mots doucereux, elle fronça les sourcils.
-Okey, pour la vue, je vous ai provoquée, mais j'aimerai être déposée par terre avant que je commence à m’énerver et croyez-moi quelque soit vos pouvoirs, vous aurez de quoi trembler de ma force. Donc Amel, mes pieds ont rendez-vous au sol, je vous déconseilles de jouer au plus malin, je déjoue toutes les farces de ces gamins depuis un moment. Le premier avril, ils sont d'autant plus inventifs. Croyez-moi en plaisanterie, j'en connais un petit rayon avec ces gosses.
Pour Ruth, beaucoup de ses personnes était des enfants, ce n'était guerre compliqué d'être moins âgé que la vampire. A son sourire de tout à l'heure, elle avait vu de la fierté mal placé. Elle attendit patiemment qu'elle retourne au sol. Contrairement à lui, elle pouvait encore marché droit, elle ne ressentait même pas l'ombre de l'ivresse, encore moins la joie qu'elle engrangeait chez elle. Elle profita tout de même de la hauteur pour remarqué un bout de sa toiture, sa maison, elle attendait sûrement son retour, elle y reviendrait, comme d'habitude. Elle eut un sourire. Elle remit une mèche de ses cheveux blonds derrière son oreille. Il ne pourrait faire ce qu'il veut d'elle encore moins un bisou, elle n'avait pas assez bu, et toute façon, peu de chance qu'il soit conscient quand elle se sentirai apte. Malgré toutes les substances illégale il pouvait sniffer. Elle ne trouvait pas sain, mais qui était elle pour juger alors qu'elle buvait verre d'alcool sur verre. Elle ne pouvait s'empêcher de trouver un drogué un peu minable, son côté prof. Elle soupira, le froid, elle y était habitué d'une certaine manière, il ne faisait pas toujours bon dans son pays d'origine, mais elle les aimait bien ces bougres de ce bout de terre.
-Amel, je ne sais pas ce que vous êtes venu chercher en m'abordant, un défi, mais me tenir est tout sauf un bon plan, surtout si vous tentez de me séduire. Je suis une intellectuelle, mais j'aime les jolies choses, comme votre fleur en bois. Une m'est bien suffisante. Vu votre état, je déconseille la sérénade aussi.
Ruth respira, elle ferma quelques instants ses yeux, se massant la tempe, elle se faisait draguer par un gamin, un gosse qu'on avait jamais remis à sa place. Elle jouait encore les enseignante alors que son boulot était fini depuis plusieurs heures déjà. Elle se gratta la nuque un peu gêné. Donner des leçon de drague à un gars bourré, c'était comme parlé à un mal-entendant. Il l'écouterai à moitié et l'autre moitié serait très vite oubliée. Elle frissonna de tout son long. Dehors c'était bien, mais un peu de chaleur serait pas de refus.
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Amelëyr C. ThanárielStaffien Coeurs : 133 Messages : 471 Couleurs : #ff7518 & Indigo J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Dim 16 Nov 2014, 15:56 | |
| Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! Feat Amel & Ruth
Tu as gagné, Amel, elle ne s'y attendait pas du tout, tu es content de toi, et ensuite ? Elle grogne et fronce les sourcils. Oulà, elle n'a pas l'air contente, mais c'est justement ce qui t'amuse le plus, énerver les gens. Surtout lorsqu'ils te résistent, c'est ta spécialité, bourré ou non. Tu la fixes avec ce grand sourire exaspérant, que tu arbores en général après une blague de ton crue. Oh oui, tu trouves la situation hilarante, la petite madame au caractère visiblement bien trempé, étrangement insensible à ton Charisme, se retrouve piégée dans tes bras. Elle te menace, bien sûr, mais ce n'est pas comme si tu n'as pas l'habitude.
∞ Eh bien quoi, vous n'aimez pas la vue ? C'est trop haut pour vous peut-être... auriez-vous le vertige ? Allez quoi, vous n'avez aucun sens de l'humour ! Tu n'as pas vraiment l'intention de la laisser t'échapper aussi vite. Certes elle te résiste, mais tu trouves ça excitant, oui c'est le mot. Enfin... cela ne veut pas dire qu'elle finira dans ta couche, bien sûr, mais le fait que tu la dragues l'énerve, visiblement, et toi tu aimes énerver les gens. Tu aimes être cette épine dans leur pied, suffisamment enfoncée pour faire mal et ne pas se déloger si facilement. Et ça tu le caches, bien sûr, tu fais l'exaspérant sans pour autant montrer que tu le fais exprès, et pourtant c'est là tout le centre de ton petit manège. Tu aimes mener les gens par le bout du nez, les amener à réagir comme tu l'escomptes. Et si Ruth s'est montrée différente, en cet instant précis, elle a réagit comme tu le pressentais. Tu es impossible, tu le sais, et tu en es fier. Pas étonnant que la moitié de la ville ait envie de t'étrangler. Enfin, officieusement bien sûr.
Mais Ruth ne l'entend pas de cette manière et réitère son avertissement. Ah, comme si tu avais toujours écouté tes parents comme un enfant bien sage. Tes parents, tu les emmerdes, tu les détestes comme eux ne t'ont jamais aimé, et tu emmerdes tous ceux qui veulent aussi te dire comment te comporter. Tu fais ce que tu veux, quand ça te chante. Tête à claque, inconscient, irresponsable sont autant de mots qui te décrivent bien et qui te siéent bien. Tu décides de la reposer, parce que tu le veux bien. Ses menaces n'ont aucun effet sur toi, tu es bien trop buté pour y prêter de l'attention. Une fois sur ses pieds, tu viens épousseter un peu ses épaules, poussant la provocation plus loin.
∞ Vous aimez les jolies choses, hein ? Tu tends ta main paume vers le ciel, et avec quelques mouvements gracieux des doigts tu façonnes une petite fée de bois, ailes déployées, mains tendues vers le ciel. Ta fleur lui suffit ? Bah, si elle ne veut pas de la fée, elle ne la prend pas, mais toi tu as envie de la créer. Tu la déposes dans sa main en souriant.
∞ Une jolie fée pour une jolie fleur. Et n'ayez crainte pour la sérénade, je ne sais pas chanter, enfin je n'ai jamais essayé en tout cas. Ce n'est pas mon truc, quoi. Je préfère bouger, danser aussi. Vous savez danser ? Grâce à ton agilité, qui te donne une souplesse naturelle, tu aurais très bien pu faire danseur aussi. Mais ce n'est pas dans une troupe d'artiste de la scène que tu as atterri, mais en pleins milieu d'un cirque. Tu ne t'en plains pas, tu t'y plais très bien et tu aimes ta vie. Enfin sauf quand June se met en tête de te courir après, là c'est déjà beaucoup moins drôle. Enfin, tu as soudain envie d'exercer quelques pas de danse. Tu recules de quelques pas pour faire la révérence puis tu lui prends la main et la tires vers toi pour lui attraper la taille. Ensuite tu la fais tourner sur elle même et la renverses vers l'arrière, avec ta seule main dans son dos pour la retenir. Ton visage se retrouve à quelques centimètres du sien, si bien que tu peux voir ton reflet dans ses prunelles vertes.
∞ Tout est dans l'art du rythme, murmures-tu. Il suffit seulement de suivre l'homme. Tu lui adresses encore ce grand sourire charmeur. Dommage qu'elle soit immunisée à ton charme, tout de même. Enfin, cela ne rend la partie que plus intéressante.
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| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Dim 16 Nov 2014, 16:41 | |
| .Amel & Ruth.Oh chic, une proie...AH nan pas de bolPrenant sa respiration, elle le fusilla du regard, du mieux que le pouvais sa position actuelle. Elle n'aimait pas du tout la plaisanterie dont elle était victime actuellement. Ruth alors entreprends de se défaire de cette prison, elle avait bien sûr des moyens doux et d'autres plus violent. Elle n'aimait pas du tout qu'on se paye de sa tête. Elle n'est pas le genre de femme qui se laisse faire paisiblement, ça non. Elle n'avait pas le vertige, manquait plus que ça qu'elle ai le vertige dans une île céleste, elle roula des yeux. Puis elle retrouve le sol, au moins elle avait retrouvé un semblant de liberté à l'instant, elle grimaçait légèrement, elle sentais un coup foireux arriver de loin. Là il l’époussette comme si elle était un vulgaire objet, un sourcil se fronce furieusement, in ne joue pas avec ça avec l'enseignante. Il poussait la provocation en offrant une fée. Elle était rassurer qu'il se mette pas à chanter, vu le personnage, elle pariait tout son salaire qu'il parlerai de son égo et de toutes ces poulettes qu'il avait pigés entres ces filets. Puis il demandait si elle savait danser avant de la forcer à le faire avec lui. Elle avait dansé dans une fête de Dionysos, ce n'était pas rien, merde.Elle tenta de lui marcher quelques fois sans grand succès, fichue agilité elfique, puis vient le moment ou elle la renverse, c'était tellement cliché que la vampire aurait presque rendu son dernier repas. Puis il fait un discours totalement macho. L'enfoiré. Elle se lève et et prend sa main avant de le projeter dans une technique que pouvais s’apparenter de très loin à du judo sauf que c'était elle qui attaquait. Fière de son résultat, elle se mit devant l'homme.
-Suivre l'homme ? J'ai dansé dans des lieux bien plus prestigieux qu'ici, vous croyez que vous faites face à une brebis égarée, mais vous avez trouver un prédateur. Votre fée, vous pouvez vous la mettre dans votre royal postérieur. Vous les hommes, vous êtes tous pareil, vous vous sentez plus fort que les femmes, mais je ne suis pas faible, la personne qui marchera sur ma tête n'est pas née, si votre état vous donne l'idée de le faire, je n'ai qu'une chose à constater, vous êtes le pire de suicidaire que je connaisse.
Ruth le fusilla du regard, les mains sur les hanches, certes elle était plus petite que le rouquin, mais elle était tout de même impressionnante par sa force de caractère, par sa volonté. L'institutrice pouvait faire peur, sans dire à son camarade de beuverie sa nature, vu son énervement, elle le lâcherait à un moment ou l'autre dans ses mots. Si les autres du cirques étaient si désagréable que cela, elle se contenterai d'une sortie au parc d’attraction, c'était un joli endroit de toute façon. Elle remit correctement dans ses cheveux, il faut dire que la soirée n'avait pas rendu sa tignasse plus disciplinée. Elle releva l'elfe et lui rendit ces quelques pas de danse, menant d'une poigne ferme le spectacle. Avec presque deux siècle d'expérience, elle dépassait la grâce l'elfe naturelle. Elle dansait pour son plaisir par pour faire sa potiche. Jouer la plante verte n'est pas fait pour elle, pourtant l'absence de contact avec ses collègues l'agaçait au plus haut point. Elle continua quelques minutes, puis le libéra, se souvenant qu'il n'aimait pas se sentir prisonnier.
-On vous as pas dit que séduire un vampire est une chose dangereuse. Après tout nous sommes des suceur de sang des ennemis pour vous personne plus ou moins normale. Auras-tu peur de moi Amel si je te dis que je suis l'une de leur, pire encore que je une sang-pur. D'habitude sache que je suis gentille, sauf que dès le départ, vous n'avez pas recherché cette part de moi. Ce qui a fait foiré votre plan de drague.
Ruth savait qu'une fois prise par les sentiments, elle était une chose fragile comme un fleur, sauf que son éducation ne permettait pas à l'homme ou la femme qui partagerai sa vie d'être le dominant. Elle portait fièrement la culotte de ces couples passé, bien qu'éprise de son espagnol, elle ne l'avait laissé tout régenté. Elle sourit avant de lui donner un baiser sur la joue.
-Un bel enfoiré, voilà ce que vous êtes.
La vampire ne savait pas à quel point elle avait raison, ce qui comptait c'est que l'autre comprenne qu'elle était sauf une fille fragile.
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| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Dim 16 Nov 2014, 18:27 | |
| Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! Feat Amel & Ruth
Tu es là, avec ton sourire insupportable, penché au dessus d'elle. Tu sais que t'es vraiment à claquer quand tu t'y mets ? Si tu ne changes pas de comportement, tu risques de te mettre toute la ville à dos d'ici quelques années, ce ne serait pas une très bonne technique de survie. Le cirque est certes avec toi, mais il y a des limites à ne pas franchir. Pense un peu à eux, à la situation délicate dans laquelle tu le mettrais. Mais non, c'est trop te demander que de quitter ton égocentrisme pour avoir une vision global du futur. En même temps, tu sais que tu n'as pas vraiment de futur, même si tu n'y songes pas vraiment. Parfois, on a envie de t'étrangler. Tu es souvent bon à claquer, et c'est bien ce que fait subitement Ruth. L'instant d'avant, tu la retiens d'une main. L'instant présent, tu sens sa main attraper la tienne et te projeter sur le sol. Instinctivement, ta peau d'écorce apparaît pour amortir ta chute. Mais cela ne t'empêche pas de cogner le bitume et de le sentir passer.
∞ Aouch ! C'est la seule chose que tu puisse dire. Tu grimaces en te frottant le crâne. Déjà, avec l'alcool, ça te suffisait mais maintenant ça joue le tambour à l'intérieur. Et voilà qu'elle commence à te sermonner. Allons bon ! Tu veux bien reconnaître que tu ne t'y attendais absolument pas et qu'elle a une fore incroyable -certainement l'un de ses pouvoirs. Tu écarquilles un peu les yeux, surtout au passage avec la fée. Quel exemple pour ses élèves ! IL y a deux mots qui ressortent particulièrement de son discours. Prédateur et suicidaire. Elle parle au sens propre ou au sens figuré ? Tu as un peu de mal à la suivre là. D'une pensée tu fais disparaître ta peau d'écorce.
∞ J'espère que vous ne parlez pas comme ça devant vos élèves, c'est un mauvais exemple... Mais, très bien... (tu te masses le poignet) je reconnais que vous êtes plus forte que moi. Sacré poigne ! Mais vous savez que vous êtes encore plus mignonne quand vous êtes en col... Tu n'as pas le temps de finir ta phrase complètement irréfléchie. Ruth te relève de force et voilà qu'elle inverse les rôles. Okay, tu regrettes de lui avoir dit que l'homme menait la danse. Cela répond à ta question précédente : oui, elle sait danser, et très bien. Sa force sur-développée t'empêche de te dégager, elle te tient trop fermement. Cette position inconfortable te déplaît, mais bon, tu lui a infligé le même traitement un peu plus tôt. Elle s'arrête au bout de quelques minutes et te libères. Tu t'écartes un peu, histoire de reprendre ton souffle. Diable, ce que t'as mal au poignet. Tu lui souris, fair-play.
∞ Autant pour moi, vous savez très bien dans... Elle t’interrompt pour enchaîner sur un nouveau discours. Au début tu l'écoutes d'un air décontracté, mais dès les premiers mots alarmants, c'est-à-dire très vite, ton sourire se fane. Ton cœur loupe un battement, les couleurs quittent ton visage, tandis que la peur remplace l'étincelle provocatrice de ton regard. Tu sens le vertige te gagner, tandis que les sensations qui se heurtaient à ton ivresse pénètrent enfin tes barrières pour t'atteindre en plein cœur. Tu n'entends pas la fin. Seul un mot résonne toujours et encore dans ton esprit. Vampire. Vampire. Comment... Un long frisson te parcours l'échine. Un souffle glacial s'insinue dans ton être et balaie toute chaleur de ton corps. Tes yeux bleus fixent Ruth, ne la quittent plus. Tu ouvres la bouche pour parler mais aucun son ne sort. Ta voix reste bloqué dans ta gorge. Un seul mot capte ton attention vers la fin : sang-pur.
Tu sens tes poumons te brûler. Le choc t'a coupé la respiration et tu manques d'air. Tu inspires difficilement, la gorge serrée par la peur. Peur qui a balayé tout effet de l'alcool, excepté cet affreux mal de crâne. Tu clignes des yeux, pâle comme la mort. Tu n'arrives pas à croire à ta propre stupidité. Alors, tous ces signes, toutes ces sensations... c'était donc ça, ton instinct de survie qui tentait de te mettre en garde. Ruth a terminé de parler. Et elle fait exactement la même chose qu'une autre femme, quatre ans auparavant. Même situation, même position de force. Le contact de ses lèvres sur ta joue te fait l'effet d'une claque. Tu la repousses violemment et te recules jusqu'à te retrouver le dos plaqué au mur, ton pouvoir protecteur à nouveau activé.
∞ Ne... ne me touchez pas... Ta bouche est tellement sèche que tu es surpris d'avoir trouvé la force de parler. Tu ne fais plus le fier, oh non. Tu ne t'amuses plus du tout. Tu es terrorisé. Elle a agit exactement comme elle. Pendant quelques secondes, leurs deux images se superposent. Elles ne se ressemblent pas, mais leur condition et leur position, ajouté à ta présente situation, sont similaires. Pendant un instant qui te paraît être une éternité, tu aperçois cette femme aux longs cheveux noirs et aux yeux rouges sang. Son regard de prédateur, son attitude féline, son sourire mi-figue, mi-raisin. Et avec son souvenir surgit celui de ton autre tortionnaire. Tu portes une main tremblante devant tes yeux. La seconde suivante, ils ont disparus, seule reste Ruth.
Comment as-tu pu être aussi stupide ? Inconscient ? Elle a raison, tu es le pire suicidaire qui soit, et elle n'a aucune idée d'à quel point. Tu sens ton estomac se contracter. Non, ce n'est pas le moment... Tu luttes, mais l'alcool mélangé à la drogue, ta frayeur, et ce froid intérieur qui te glace le sang, ont finalement raison de toi. Tu as juste le temps de te retourner avant de vider le contenu de ton estomac, plié en deux, appuyé d'une main sur le mur, l'autre sur ton abdomen.
Codage par Cali' pour Ame. |
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| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Dim 16 Nov 2014, 19:20 | |
| .Amel & Ruth.Oh chic, une proie...AH nan pas de bolElle avait entendu l'expression de sa douleur, bien sûr elle n'était du genre violente, mais elle n'aimait qu'on piétine sa fierté, son éducation l'avait faite comme cela. Elle n'aimait pas trop quand on se permettait certaines choses. Il lui sortait le discours comme quoi elle ne devait pas parlé parce qu'elle était enseignante. Sa vie privée n'avait rien à voir avec son boulot, puis d'habitude, elle est plus aimable, mais à force de la chercher, Ruth ne pouvait plus s'empêcher d'agir comme une vrai peste. Il avait presque tenté de la reséduire ce filou, elle l'avait vu arrivé avec ses grands sabots. La danse l'avait laissé sans voix, tant mieux, il avait tenté un truc, mais non ma révélation tombait comme un couperet. Blessé, elle avait son regard sur elle changé, du dégoût et de la peur comme ça monsieur l'elfe avait peur des vampires, il trouvait qu'elle était une. Il semble à nouveau plus subtil, cette haine, un des siens a du dans le passé le torturé pauvre grande carotte, mangée par Janot Lapin. Le baiser, elle voyait qu'elle se le glaçait, oh pauvre choupinet. Ses mots traduisaient sa peur, cette crainte presque muette pourtant elle voyait un tas de choses, elle captait quelques pensées, pas son intention de lire les pensées, elle avait mis une partie de son pouvoir en place pour se défendre maintenant qu'il tentait plus de la charmer, elle arrivait à entendre certaines choses. Une femme vampire lui a fait mal, ces cheveux noirs lui rappelle vaguement Roxanne, la sang-pur qu'elle avait croisée. Là dans la rue, le rouquin rendait son repas. L'institutrice eut une grimace de dégoût. Elle soupira, elle se devait de l'aider même sans le toucher.
-Sachez que je ne parle comme cela à mes élèves, Amel vous vous faites du mal e pensant à cette femme. Cette vampire ne mérite même pas votre attention, c'était sûrement une personne bien plus fière que moi. Je sais que vous me haïssez pour ma nature. Malgré votre drague maladroite, vous êtes une personne blessée, je les reconnais quand je les croise. Sachez que je peux vous aider à moins craindre les miens. Nous sommes pas tous à mettre dans le même panier s'en est vexant.
Ruth disait là ce qu'elle pensait de ses pensées volatile. Elle lui donna un médicament contre la migraine, il en aurait besoin, le choc qu'il avait subi n'était pas bon pour lui. Elle n'était pas séduite par le jeune elfe, non, elle était une gentille, c'est juste qu'elle préférait de loin mener la danse en séduction. Elle repensa à son premier amour, sur certains points Amel le ressemblait , c'était cela qui l'avait touché. Le genre de type à faire la roue puis après s'enfermer derrière des murs se protégeant de tous sentiments. Elle avait de la peine pour cet homme c'est tout ce qui fallait retenir pour le moment. Elle se mit à sa hauteur, elle savait que sa vue ne ferait sûrement que faire revivre ces moments, il l'avait cherché, maintenant elle était sûre de partir un peu mieux, elle n'aimait pas jouer sur des fausses apparences. L'institutrice était franche, par moment. Elle devait parfois mentir, même à ses élèves. Pas sur les faits historique, elle était sûres de certaines choses, son flair aidant à démêlé le faux du vrai. Elle lâcha un soupir, le rouquin avait été choqué, fait revivre des souvenirs atroces que lui laissé une autre vampire.
-Quand bien même j'ai été un peu désagréable, je ne suis pas quelqu'un de méchant sinon pourquoi j'hébergerai une adolescente en perdition, je ne prends même pas son sang. De toute façon je me débrouille bien avec les pochettes de sang qu'on l'on vends. Tant que cela rentre dans mes moyens. Vous savez Amel, je connais moi aussi le mauvais côté des vampires. Mais voir que lui limitera votre champ de vision. Il y a des personnes qui valent la peine qu'on s'intéresse à elle. Vous êtes enfermé, dans cette malédiction, dans votre confort actuel.
Ruth se gratta le cou doucement avant de grogner et lui apporter de l'eau minérale, celui purgerai l'estomac de tous ces trucs et surtout de ce mauvais goût qu'il devait avoir à présent entre ses lèvres.
(C) MISS AMAZING. |
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Amelëyr C. ThanárielStaffien Coeurs : 133 Messages : 471 Couleurs : #ff7518 & Indigo J'ai traversé le portail depuis le : 23/07/2014 et on me connaît sous le nom de : Etilya - Ebola Mon nom est : Amelëyr Círdan Thanáriel. Actuellement je suis : célibataire, volage, et bisexuel ! Il paraît que je ressemble à : Ren Jinguji -- IRL Jamie Campbell Bower et à ce propos, j'aimerais remercier : ARIA ♥♥♥
| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Lun 17 Nov 2014, 19:16 | |
| Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! Feat Amel & Ruth
Tout ceci n'était qu'un mauvais rêve. Tu allais te réveiller bientôt. Pourtant ton estomac te dicte le contraire, à l'unisson du marteau qui tape sur ton crâne. Les mélanges c'est jamais bon. Tu te redresses, soudain assaillis de paroles. De mots qui t'agressent, dont tu ne comprends pas tout le sens. Comment, que raconte-t-elle ? Comment peut-elle savoir pour cette femme qui t'a retenu captif pendant des semaines, qui a fait de toi son garde manger personnel, son jouet, sa chose ? Tu n'en as jamais parlé à quiconque, et Ombre ne te trahirait jamais, alors comment ? Tu t'éloignes de tes rejets en t'essuyant la bouche, sans perdre de vue une seconde la prédatrice. Tu poses sur elle un regard effrayé, mais également suspicieux. Tu ne comprends pas. Tu pointes un doigt maladroit vers elle.
∞ Qu'est-ce que vous en savez ? Vous savez rien de moi, rien ! Arrêtez de vous prendre pour un bon samaritain. Je n'ai pas besoin d'aide et encore moins de votre part ! Tu ne veux pas qu'on te vienne en aide, tu n'en as pas besoin, selon toi, et pourtant c'est faux. Une part de toi le sait, mais elle est enfouie si profondément que tu l'ignores toi-même. Tu ne veux pas qu'on te plaigne, tu ne veux pas de compassion, tu ne veux pas qu'on te comprenne. La compassion, c'est pour les victimes, et tu refuses d'en faire partie. Tu refuses d'être faible. Mais tu l'es pourtant, en cet instant, encore à moitié saoul. Le choc ne t'as pas aidé. Voilà qu'elle te donne un comprimé ! Tu ne daigne même pas le regarder. Cette femme te pénètre comme un couteau dans du beurre et tu n'aimes pas ça, pas du tout. Ta meilleure défense c'est l'attaque, alors tel un aspic, lorsqu'on menace ton intégrité, physique ou mentale, tu ripostes.
Tu étais venu ici pour te divertir, pour oublier, pour chasser ces fantômes. Et voilà qu'elle gâche tout. Elle ? Arrête donc de reposer toujours la faute sur les autres, tu l'as fait toute ta vie. C'est à cause de toi que tu en es là, mais tu préférerais qu'on t'arrache le cœur plutôt que de le reconnaître. Tu luttes contre ta mémoire, mais inévitablement les images heurtent tes barrières et repassent en boucles. Puis les sentiments, et les sensations, ces terribles sensations, si bien que tu n'écoutes qu'à moitié le discours de la vampire, qui t'agresse plus qu'autre chose.
∞ Taisez-vous, lui ordonne tu en reculant. Je me fiche de votre vie. Tu ne veux plus l'entendre. Tu refuses d'entendre. Tout ce qu'elle te dit t'agresse. Et tu deviens toi aussi agressif, tel un fauve, tel un animal blessé, enfermé dans une cage. Mais c'est justement ce que tu es, au fond. Ta cage dorée, c'est le cirque, c'est ton refuge. Et tu es blessé, ils ont porté atteinte à ton intégrité, autant physique que morale. Mais les êtres mutilés et apeurés ne se laissent jamais approcher au début, prenant toute intrusion comme une agression. L'esprit fonctionne de la même façon.
∞ Je ne suis pas enfermé dans mon confort ! Comment vous savez, pour la malédiction ? Qui vous l'a dit ? Tu esquives, comme à ton habitude, d'une parfaite mauvaise foi. Ton esprit refuse d'entendre ce que tu ne veux pas entendre. Ruth te présente de l'eau mais tu n'en veux pas. Tu ne veux pas de son aide. Tu veux juste des réponses. Tu veux savoir comment elle est au courant. Pour la malédiction, et pour la vampire. Tu recules encore, comme si ses paroles te l'obligeaient. Malheureusement tu butes sur un obstacle, que tu ne pouvais pas voir bien sûr. Et ton agilité elfique ne peut te venir en aide sur ce coup-là. Tu bascules en arrière et te retrouves par terre, sur l'arrière train. Tu sens un point dans ta poitrine, un point douloureux qui te compresse le cœur. Mais, tu le sais, il n'y a rien à faire pour le soulager. Tu es déjà passé par là, plus d'une fois. Ta détresse choisira elle même son moment pour te déserter. D'ici là, tu dois y faire face et subir, seul.
Tu t’agrippes au lampadaire à ta gauche pour t'aider à te relever. Ta tête tourne, c'est atroce, tu es obligé de t'appuyer contre le poteau lumineux. Mais même dans cette situation, ne n'accepterait l'aide de personne. Tu sais au fond que c'est ridicule, comme attitude, mais c'est plus fort que toi. Tu fermes les yeux, une main sur le front, pour chasser ces lumières multicolore qui t'agressent. Non, tu es bien trop fier, dans ton orgueil blessé.
Codage par Cali' pour Ame. |
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| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | Lun 17 Nov 2014, 20:06 | |
| .Amel & Ruth.Oh chic, une proie...AH nan pas de bolRuth partant du principe qu'elle fait dès un petit moment du camp des vilains de l'univers qu'on se débarrer pour le rouquin. Elle fit de son mieux pour garder une distance entre lui et elle, c'était plus respectueux envers cet homme, bien qu'il ne l'ai pas respecté. Mais elle n'allait pas chicané sur les détails. Elle captait juste quelques pensées, de l'étonnement, son pouvoir de lecture de pensée était une arme à double tranchant, il fallait en parler avec une grande prudence. Elle respira à fond, la fraîcheur de la nuit permettait de garder un soupçon de calme. Donc ce n'est pas maintenant qu'elle allait lui sauter au cou pour le secouer une bonne fois et lui faire oublier que les vampires sont pas tous des méchants. Bien que cette idée n'aiderait pas à positiver les siens. Elle lâcha un soupir, il râlait sur le fait qu'elle ne savait rien de lui, qu'elle partait sûrement de conclusions hâtives, que cela servait à rien de tendre la main parce qu'elle était une buveuse de sang. Elle resta calme. Elle devait pas s'exciter, même si le rouquin la provoquait, rester calme. Elle prit quelques respiration lentes avant de retrouver un semblant de sérénité. Son ivresse plus la peur, cela ne fait jaiamis de bon de ménage, il lui dit de se taire, mais elle savait que si elle attaquait pas pas ses point sensibles, il resterait dans ses carcans. Jouer les mères pour les gens paumés, elle avait traversé ce portail pour être un maman substitution, ce qui était drôle c'est qu'elle avait pas eu un seul enfant, elle aurait voulu. Il était surpris de son savoir sur la malédiction, son pouvoir de télépathe l'aidait pas mal pour les cas comme Amel qui s'enfermaient. Il bute, tombe, puis se relève, si elle devait parler de sa vie alors elle parlerait de la sienne pas sûr qu'il apprécie, mais elle devait un peu le secouer pour qu'il ouvre un peu cette porte d'acier qu'il avait mis entre lui et les autres. Elle soupira doucement, l'observant.
-Comment je sais, pour me défendre de votre pouvoir, j'ai mis un des miens en place, comme votre peur et votre passé l'on enlever mon pouvoir est d'autant plus efficace, je pourrai m’arrêter de l'utiliser, mais quelque chose me dit que je ne doit pas le faire. Je dois vous aider, vous penser que je fais cela pour me pardonner, vous n'avez pas totalement tord, mais il y une part de moi que vous ne connaissez pas, cette part vous fera réaliser que tous les vampires ne sont pas à mettre dans le même sac. Vous voulez pas entendre ma vie et la votre vous fait souffrir actuellement. Amel la nature ne vous as pas doter de ces dons pour rien, ils sont là pour garder intact une grande sensibilité.
Ruth n'allais pas dire de but en blanc qu'elle était télépathe, c'était comme courir à sa propre perte. Elle respira à fond, elle faisait de son mieux pour rester logique, sa voix devait atteindre les oreilles du rouquin. Elle savait qu'elle devrait se répéter encore encore afin que l'information se grave en lui comme on grave des prénoms sur un arbre, bien que romantique, elle trouvait la technique un peu trop barbare. Elle roula des yeux en voyant bien qu'il n'avait qu'un seul envie se débarrassé d'elle. Elle respira à fond. Elle serra les dents, elle ne flancherait pas, elle avait vécu pire que cela. Il avait besoin de repos et de calme pas sûr qu'il prenne bien si elle décidait de l'emmener de force dans un endroit calme. Elle respira doucement, fermant ses yeux verts.
-Je n'aimais pas votre drague, tellement vue et revue, par contre le personnage est quelque chose à connaître. Amel qu'importe vos chaînes à vos pieds, brisez-les si vous en avez la possibilité, même si pour cela vous devez rentrer aux cirques, voir tous ces gens qui vous aimes, vos amis. Ils ont autant à apprendre vous que vous d'eux. Même cette dame qui semble vous faire peur. Sûrement aussi vampire que moi. Cela n'arrange rien.
Ruth s'appuya cintre le mur doucement la dureté et la froideur permettait de pas dire des choses trop de travers, elle avait bu tout de même. Cela avait tendance à délier sa langue.
(C) MISS AMAZING. |
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| Re: Oh chic, une proie... Ah nan, merde, encore une sangsue ! | | |
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