Read and run

Les coins de cet île, je les connaît comme ma poche, pourtant il y a un endroit qui est pas mal effrayant, même pour le dieu que je suis, c'était bien cet endroit, les ruelles. Même si j'étais là pour m'amuser des mortels et de leurs réations, ont voyait ici et là des marchands qui vendaient des objets contrefaits, pas sûr que cousine maligne approuve ce genre de commerce. Ou pire cousine poète. Enfin, je faisais allé un peu les vents dérangeant fortement le pauvre commerçant qui faisait que gagner son argent. Mais nous sommes les dieux, les régisseurs de cette île, bien que je me voyait avec un uniforme de flic, du moins actuellement, je pouvais changer d'avis. Après tout, il n'y avait que les crétins qui ne changeaient pas d'avis. Il est clair que je ne ferai jamais partie de cette catégorie de personnes. Je lâchais un soupir et m'amusais à renverser les étales comme un gamins capricieux, ce que j'étais un peu, peut-être, on s'en fiche, après tout qui pourrait m'arrêter, les divinités supérieures et c'est tout, ce n'était pas un petit mortel qui allait avoir raison de moi.  Petit peut-être plus grand que moi, enfin, je ne vais commencé à chipoter sur les détails comme ceux-là, je n'était pas là pour cela. Pour trouver une histoire qui pourrait me divertir pour pas grand chose. J'avais besoin d'un peu de surprises, les auteurs répète tellement les même schémas depuis quelques années, s'en est même plus amusant. Quel intérêt si je ne trouvait pas la diversité au final ? Je marchais normalement, mon écharpe bleu nuit assortis à mes vêtements noirs muni de broderies argentées. Je souriais doucement. La librairie sombre était proche, je pouvais presque sentir dans le vent, la poussières que ces derniers avaient ramassés au fil des années voir siècles. Je n'aimais pas le marché noir, mais avais-je le choix pour trouver quelque chose qui me plairait au moins quelques instants. Passant une main dans ma chevelure rousse, le vendeur me voir arrivé, son sourire mauvais ne me disait rien de bon, je pouvais l’influencé, ce pouvoir était un sacré raccourci pour le marchandage. Il ne restait plus qu'à voir ce cher monsieur.

-Voyons, ce que tu vends.
-Très bon livres, de toutes les époques.
-Ce n'est pas très légal tout cela, vous savez.
-Vous êtes flic ?
-Nan, et puis quoi encore ? J'ai d'autre choses à gérer que ça, bon, tu va me dire ce que tu as, pas d'histoires d'amour par pitié, j'ai envie d'action, de la vraie, pas commissaire Maigret de canard, ça c'est mon somnifère, pigé le dentu ?
-Ouais, J'ai la caisse à droite qui pourrait vous intéresser, des histoires de pirates. Pas du policier, juste de l'aventure c'est compliqué.
-Au moins, j'ai rien contre la fantaisie ou le futuriste, au fait j'adore la science-fiction.

Le type me souriais et sortais une dizaine de bouquins qui semblait voler, je pense que je les rendrait à la bibliothèque après tout cela et punir comme il se doit ce mortel. Il se disait que ça serait drôle de le voir supplier. Même s'il était pas des plus beaux, mais bref, j'étais là pour me divertir, un bouquin serait bien assez, je ne suis pas vraiment un littéraire, ça m'occupe un moment, puis je trouve autre chose, comme cette mode de crochet, je la trouvais très amusante. J'avais un bracelet de toutes les couleurs, je m'étais amusé comme un petit fou à mettre toutes les couleurs, ces élastiques en plastiques étaient très amusant, mais vite oublié, m'enfin, c'était drôle. Cela m'as distrait un petit moment. Il était autour de mon bras, parce j'avais eu le flemme de le retirer. Je regardais les titres de livres, il ne me disaient rien. Comme ils étaient volés, j'avais bien l'intention de les chourer à mon tour pour les rendre à la bibliothèque. Bon payer puis faire voler le tout, rien de plus facile sans abîmer les livres, pas envie que cousin poète m'en veuille. Je prenais un livre et sentais sa couverture durement travaillé, un travail de précision, rien à voir avec le vent qui ferait tourner les pages dans quelques instants. Au loin je pouvais entendre la voix d'un jeune homme, ces cheveux étaient rouge, mais rouge, déjà j'aime beaucoup cette couleur, de plus c'était proche de mon roux. Bon je prenais un livre, je faisais voler l'étale et filait tout sourire coursé par un type moche qui réclamait son fric, mais j'allais récupérer ses bouquins et les remettre en lui sûr, la grande bibliothèque, compter sur le grand Eole, super justicier à la chevelure flamboyante. Là, la pose sentai s'imposait, mais pas longtemps, le vieux me poursuivait, ah ces mortel.

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Je regardais les livres, bon direction la bibliothèque, je sentais encore que j'allais payer pour le retard, dire que je faisais une bonne action, bah oui, faut bien que ça arrive de temps à autres. Bref je remettais mon bandeau en place, car ce dernier avait tendance à se barrer quand il ne fallait pas. Croiser un mortel avec mon œil découvert, dans un espace aussi réduit, je risque, sans aucun doute de faire de sacré dégâts, quoique je pouvais le faire au marché noir. Il devait avoir un mortel innocent ici, venu contre son gré ? Peut-être, et puis je m'en battais les steaks de tout cela. Puis un truc rouge me causait, le même truc rouge que j'avais vu un peu plus tôt, mais quelle galère, ce pauvre mortel tentait de défendre le commerçant, un habitué, cela se voyait à sa tronche, eh bah me voilà bien arrangé avec un type pareil sur les bras. Je roulais les yeux. Sérieusement, il y croyait en son discours idéaliste, mais oui, il monde est rose bonbon, et les fées et les elfes danse la javanaise ensemble, et puis encore. Il ne pouvait pas faire grand chose pour moi. Puis mes cheveux roux sont plus beaux que ceux tomates, bien qu'il était pas mal, mais son arrogance ne me plaisait pas des masses, cherchez l'erreur, un pote à moi était pire que lui.

-Je vais rendre ses livres à leur propriétaire, qui n'est autre que la bibliothèque, je vais d'ailleurs encore devoir dépenser mes drachmes pour cela. C'est là que je suis content de mon statut. Je ne joue pas les justicier par plaisir, quoique... Mais là n'est pas le sujet. Puis je voulait le lire pour passer le temps, je voulais me distraire quelques instants, rien de très grave.

Je passais une main sur la couverture en cuir de l'ouvrage, je n'aimais pas la tête qu'il avait, il allait finir par prendre l'humidité, ce qui n'était pas bon pour lui. Il finirait pas se déchirer, pas sûr que cousine intello le prenne bien. Athéna, cela fait un moment que je l'avais plus appeçue, elle a d'autres chats à fouetter, comme cousin albinos par exemple, j'aimerai, rien qu'une fois assister à leur disputes, elles doivent être passionnantes. Je me tournait vers le gars à la chevelure si rouge qu'il rendrait jaloux un feu de signalisation. M'en fin, il semblait s'emmerder autant que moi.

-Tu as l'air d'être un connaisseur des lieux, j'aimerai rendre justice encore une fois, tu serai un joli coquelicot si tu me dis quel endroit tu pense le plus louche. En échange, je t'offre un verre, ou un gâteau, qu'importe.

Je souriais en jouant un peu avec le vent, chaque temps que je passais était cela de pris. La vie de dieu était parfois ennuyante, mais un rien m'amusait, heureusement, cela devait être quelque chose qui m'était propre, quand une chose m'ennuyais, je passais à autre chose et ainsi de suite. De sorte de pas sombrer dans une mélancolie qui me ferai retourner chez ma femme, cette furie, cette folle qui vole ma mémoire.

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Je ne pouvais m'empêcher de voir ses cheveux rouge, sérieux ce mec là, il les rouge, mais rouge. Il a l'air perturbé, la fraise a de quoi être perturbée, avec un couleur pareille, bon okey, j'arrête avec ses cheveux, cela commence à être lourd, même pour moi, donc ce n'est pas peu dire. Le mortel commence à me répondre, assez grossièrement d'ailleurs, c'est quoi ce langage de camionneur ? Il indiquait un endroit où je pourrait faire mon super héros. Bien plus classe que dans le comics, wesh. Moi au moins, je porte pas mon slip au-dessus de mon pantalon. Il voulait bien le verre ou le gâteau, ouais, enfin, il profitait de la situation, je roulais des yeux. De tous les mecs que j'aurai pu croiser, voilà que je tombe sur un boulet qui s'amuse de mon sens de la justice, je vais lui envoyer un vent dont il pourrait se souvenir. Il demandait ce que j'étais au fond. Dois-je faire durer le suspens ou, bonne, dois en plus ajouter une pose, non pas de pose. C'était ridicule.

-Je suis Eole, je suis quoi, un dieu. D'autres informations, ou tu veux aussi plus en savoir. Les mortels sont curieux, j'espère avoir répondu à tes question, bon allons voir ce coin.

J'aurais presque entendu le thème de Indianna Jones. Bah quoi, tout était possible, bon je vais aller par là. Je me lançais dans l'exploration de ses ruelles qui donnait sur des commerces un peu louches, mais sérieusement, ils vendaient des trucs que j'avais presque jamais vu. Je penchais la tête, bon premier commerce, des trucs qui semblaient être sortis des ordinateurs ou le trucs du genre, je connais la technologie. Mais je n'y connais rien pour les réparer, moi je suis pas comme cousine savante, il faut pas me prendre pour n'importe qui. Bon ce genre de choses, si tu fouilles les recyparcs, tu trouve facile des partie d'ordis, bon suivant. Puis le coquelicot, m'avait donné une indication peut-être, je devais aller à l'endroit opposé. Bon, endroit opposé, prenez garde, le grand Eole va vous aider. Mais bon. Voyons voir. Un magasin qui vendait des montres, voyant le type qui les vendait et certaines montres, c'était sûr et certain qu'il n'avait pas acheter une seule d'entre elles. Bon comment je vais m'y prendre cette fois. Bon comme d'ha. Un coup de vent et Hop, mais où les déposer ? Il y avait de mortels qui faisait régner l'ordre. Je roulais les yeux, bon autant lui laisser, c'est pas drôle, à part les livres. Je pouvais pas faire grand chose, cette galère, bon c'est chiant de jouer les justiciers, intéressons-nous à ce Coquelicot.

-Et toi, c'est quoi ton nom ? Genre, tu sais ce que je suis et tout, donc il est normal que je sache que tu est, je vais pas offrir un verre à un parfait inconnu, aussi beau qu'il soit. Je n'insinue pas que tu est joli garçon, quoique. Bref, on s'en fiche.

Je rangeais le livre autant s'amuser avec mortel, vu qu'il m'avait aborder, jouer avec lui sera drôle, ce sera une façon de perdre mon temps sans m’emmerder à cent quatre-vingt à l'heure. Tiens, je lâcherai bien vent quelque part sur terre, bon où le faire, l'Amérique, toute façon, une tornade de plus ou de moins, cela ne va pas faire de différence.

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Il se présentait sous le nom de Evan, le mec, il presque le nom d'une eau, tout va bien. Ce mec avait un sérieux souci avec ses parents. Bon, je ne sais pas ce que va donner notre temps ensemble. Puis ce dernier me proposait de boire, genre maintenant. Mais cela ne tournait pas rond dans sa tête. En même temps depuis quand un gars au cheveux rouges était doté de logique. Ce n'est pas très grave, de toute façon, il doit avoir un endroit pour boire un coup tranquille, mouais, on risque aussi de piquer mon fric, je me grattais un peu le menton. Je ne connaissais pas du tout l'endroit et lui, non plus, okey, on s'est paumé dans le marché noir, yolo, bon, je peux encore voler pour voir où était. Je l'avait dragué pour m'amuser, sa réaction était tout à fait drôle. Je me dirigeais vers un endroit qui semblait un peu plus animé. Bon c'était une dispute des plus ordinaires. C'était chiant, mais en écartant la foule, je trouvait ce qui ressemblait à un vieux pub anglais. Ouais, on se contentera de cela.Je m'installait sur la chaise en soupirant doucement. Coquelicot avait-il suivit, de toute façon, je verrai assez vite. Oui, je connais son prénom, mais cela m'amusait de le surnommé n'importe comment. Je remettais mon écharpe en place avec une classe inégalée.

-Bon, je vais appeler le serveur, le temps que l'autre fraise revienne, cela risque de durer. Bon je peux me commander un café.

Je trouvais cette place particulièrement sale, mais bon je n'avais pas le choix. Je connais pas grand chose, je pouvais presque entendre les rumeurs de conversation, l'air de rien, beaucoup de choses tournait à cet endroit. Surtout des information, qu'est que j'en avais à faire qu'un certain Jean-Charles passe son temps avec des jolies demoiselles aux vertus assez petites. Mouais pourquoi pas, j'en avais rien à faire cela me distrayait, pas plus que cela. Je croisais les jambes et fermais deux secondes mais yeux. Je n'aimais pas trop qu'on me prenne pour un idiot. Je regardais le ciel un instant. Je ne pouvais m'empêcher de voir à quel point cet endroit était bordélique, le marché noir était bordélique que le marché normal, chercher la logique, vraiment. Je passais une main sur la table, je rencontrais un tâche de café, sérieux, c'est quoi ce bui-bui ? Je suppose que je n'aurai pas mieux. Je lâchais un soupir, l'air de rien, cela m’embêtait un peu d'inviter un garçon pas mal dans un endroit qui puait la débauche.

-Bon, je m'excuse pour l'endroit, si tu veux, je me téléporte ailleurs, même à Paris, il parait que c'est très romantique, mais les hommes semble te choquer. Apparemment, monsieur est presque hétéro.

Je souriais, fier du coup que je venais de faire. J'allais le perturber énormément, pauvre garçon, être la distraction d'un dieu comme moi, il est pas sorti de l'auberge, bon j'ouvrais le livre. Le lisais un peu. Il était un peu chiant ce bouquin, je pense que je lirai ça plus tard.

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 Ah le doute dans les yeux du coquelicot, c'était un plaisir de le voir, je m'en lassait pas, c'était marrant de le voir hésiter seulement parce que je lui faisait du rentre dedans. J'avais réussi à toucher une corde sensible, donc c'est qu'il n'était pas contre les hommes, ce qui était assez drôle, car je n'avais pas prévu de draguer aujourd'hui. La vie était pleine de surprise, j'adorai cela. Je m'en frotterai presque les mains, comme dans ses dessins animé passant il y a quelques dizaines d'années. La fraise s’installait en face de moi, un sourire se dessinais sur mon visage. Il était embarrassé, ah ces mortels, toujours à se planquer derrière des faux airs. Je l'écoutais avec un sourire aimable. Il doutait, c'était comme cela que tout commençait, des doutes. Je n'était pas un expert de l'amour, je laissais toutes ces histoires à ma cousine. C'était compliqué, c'est cela qui rendait les mortels si fascinants à mes yeux, ou à mon œil dans le cas actuel, mais ne chipotons pas sur les détails. Perturber, il finissait par poser la question pourquoi je le draguais. Je souriais, il était cmique, il était presque aussi rouge que ses cheveux. Cela le rendait mignon.

-Dieu du vent, si tu veux savoir, pourquoi te draguer ? Parce que tu me semble un gars assez particulier, j'aime beau coup tes réactions en tout cas. C'est passionnant à voir, j'ai vu tellement de choses, certaines choses arrivent encore à me faire sourire, malgré que je les ai déjà vu. Je vous drague parce que j'aime draguer et que ça permet de voir quelle personne vous êtes. Si vous hésiter, c'est que vous vous posez des question. Dans ce cas, je peux répondre à certaines d'entre elles, cela nous fera un sujet de discussion, n'est-ce pas.

Le serveur vint déposer les cafés devant nous avec un sourire édenté, je retenais avec grand mal une grimace de dégoût, franchement cet endroit était tout sauf le lieu pour compter fleurette à un inconnu nommé Evan, il avait son prénom, mais c'était tout. Le pauvre garçon, il subissait la drague d'un dieu, quand ce dernier à une cible, il lâche que quand il en assez. Je riais presque de mes pensées. Un gamin que je perturbais par de simples compliments, il devait pas en recevoir beaucoup, pauvre gosse. Pour le coup, il avait l'intégrale , se faire complimenter par un dieu était quelque chose d'assez exceptionnel dans une vie de mortel. Même si j'étais moins important que Tonton sexy, plus volage que je le suis. Je ne pouvais lutter contre le roi des Dieux, en même temps qui le pouvait à part Tata badas, absolument personne. Je regardais la tasse, elle était presque trop propre pour l'endroit où on était. Je soulevais un sourcil, avant de sentir l'odeur de la caféine chatouiller mes narines, cela me réveillait un peu.

-Il est sain, j'ai eu presque peur avec ce sale type, bref, buvez, cela vous fera du bien jeune homme. Vous faites quoi sinon jeune homme, dans la vie? Avec un physique pareil, les dames doivent se damner pour vous avoir.

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