Re: Melancoly and water ─ pv Io | Jeu 13 Nov 2014, 22:09
Melancoly and water
Je voulais réellement le remercier, mais ce dernier voulait pas, je faisais un peu la moue, . Il ne savait pas quoi demander, je sentais qu'on avait besoin de moi, les vents sont sauvages, je les dirigeais de main de maître. Son câlin me faisait énormément plaisir, c'était un bon garçon, comme on en fait que très peu. Je peu être satisfait qu'il est le mien, la chair de ma chair. Je pouvais le dire à Aphrodite la prochaine fois que je la voyais, cela me faisait tellement plaisir de parler de mes enfants à une personne compréhensible, et la déesse de l'amour l'est à mes yeux. Je le serrai contre moi, ce moment ne durera pas. Je vois un volatile venir à toute vitesse vers moi. Je plissais les yeux avant de voir mon affilié, un pélican qui se prenait pour Lucciano Pavaroti, mais chantait aussi faux que les casseroles du casting de la Nouvelle star, même pire. C'était une véritable horreur, je ne voulais pas qu'il rende sourd mon fils à cause de sa stupidité. Je le fusillait du regard. Il n'ouvrirait pas le bec pour sortir une seule note, parler, je m'en fiche, mais chanter, non. Je continuais de le fixer.
-Maître Eole, nous avons un gros problème zone huit, il y a une rafale de vent pas prévu qui arrive. -Tu te prends pour monsieur météo, tu vois pas que je suis en train de retrouver mon fils. -Maître, si vous le faites pas, il risque lui aussi de laisser sa peau. Puis c'est votre devoir, vous devriez être content d'avoir du boulot, maître votre œil. -Ouaip, je peu ressembler enfin à un vrai beau gosse, tu vois. Plus à un sosie de pirate irlandais, moi irlandais. Puis quoi encore Scoobidoo qui n'as plus faim. -Vous retrouverez votre fils plus tard, venez. -Désolé fiston, je dois te quitter là. Sache que je t'aime, je suis fier de toi, ne l'oublie pas, ne tombe pas à l'eau.
Je déposais un baiser sur son front avant de m'écarter gentillement de lui. Créant une distance entre nous. Je gardais un sourire. Oh que oui, je le reverrai, je retrouverai avec sa touffe bleue et sa canne, je n'ai qu'un œil sans danger, mais il voit très bien. Aucun souci de vue de ce côté. Je frottais doucement sa tête.
-A bientôt.
Je me téléportais laissant mon fils tout seul, près de ce lac, le même ou il était tombé par accident, c'est que cela m'inquiétait un peu de le savoir si proche d'un danger. Je me mordillais les lèvres doucement. Je gardais en tête cela. Je réglais le souci de la zone cinq en quelques minutes, mon fils était sûrement parti, je tricoterai une écharpe pour lui et pour moi. Ma tradition personnelle, je l'aimais bien, elle me liait à ses personne si incroyable, mes enfants. De véritable perles dans ce monde, ça devait être l'avis de bien des dieux. C'est cela qui était comique. Nos enfants sont sujets de légendes, c'est à peine si on me connaît moi.
Re: Melancoly and water ─ pv Io | Ven 21 Nov 2014, 10:59
Melancoly and water
Tu le sentis te serrer contre lui quelques secondes avant que quelque chose ne le fasse s’agiter un peu. Quelque chose d’à peine perceptible, mais tu savais sentir à défaut de voir. Ce n’était pas grand chose, et tu attendis simplement. Puis une voix que tu ne connaissais absolument pas se fit entendre. Tu écoutais la conversation sans un mot, Edwige t’informant qu’il était plus que probable que la voix inconnue soit celle de l’affilié de ton père. Ah, okay. Tout s’explique. Bon en fait non ça n’explique rien mais osef.
« Désolé fiston, je dois te quitter là. Sache que je t'aime, je suis fier de toi, ne l'oublie pas, ne tombe pas à l'eau. »
Il s’éloignait de toi et t’embrassait le front tandis que tu haussais un sourcil. Comment ça tomber à l’eau ? Parce que genre tu faisait exprés peut-être ? Il frottait gentiment ta tête une nouvelle fois avant de te dire au revoir.
« Byebye papa. Bonne chance avec ton courant d’air. »
Tu t’attendais à voir son aura simplement s’éloigner, mais elle disparue simplement, te laissant bête. Ah bah merde. Il t’avait pas dit qu’il pouvait se téléporter déjà ? Si. Mais c’était entré par une oreille et ressortit par l’autre. Comme souvent. Tu t’arrachais finalement de ton immobilité pour faire demi-tour, agitant de nouveau ta canne. Jusqu’à ce que ton affilié ne vienne se poser une nouvelle fois sur ton épaule et ne t’indique que tu avançais une fois de plus vers le lac. Oh mince. Finalement, t’étais pas passé loin de finir encore trempé. Comme quoi…