Re: Melancoly and water ─ pv Io | Dim 02 Nov 2014, 19:59
Melancoly and water
Après un moment il disait qu'elle était assez susceptible par rapport à son poids, voilà donc pourquoi, elle m'avait mit un coup de bec, c'était bien une femme cela. Je roulais des yeux, je regardais ce jeune homme, il s'était trouvé un animal aussi particulier que lui. Je souriais, sacré bête. Il semblait content que je lui accorde de me toucher et ce jusque je me lasse au moins un peu. Ce n'était pas le cas en ce moment, le contact humain m'avait un peu manqué l'air de rien. Il demandait même quand il devait me lâcher, ce gamin est vraiment adorable. Je me retenais encore de le câliner tellement il était adorable. Je lui semblait chaleureux, vraiment étrange. Je gardais ma main dans la sienne, ce lien qui nous unissait l'air de rien. Il se sentait lui aussi en sécurité avec lui. Qu'est qui se passait, lui qui était venu pour oublier ses états d'âme, le voici serrant la main à une aveugle. Il demandait comment il était roux, moi. Je riais un peu, c'était comique. Son père était roux aussi, drôle coïncidence, mais il y avait d'autres roux sur la terre, mais aucun ne m'égalait. Cette comparaison me faisait rire. Il voulait toucher, un trc d'aveugle, je me penchais donc, j'étais plus grand que lui.
-Roux comme personne sur terre, un roux vif on me voit de loin, pour cela que je me cachais dans la brume. Touche donc, tu trouvera pas plus doux, j'en prends soin. Si ton père est roux, alors il doit un bel homme.
Oui, je suis un pro roux, être roux ça roxxe du poney argenté. Je regardais le jeune homme avec tendresse, dire que je pouvais être son père, un fils si adorable, je crois que je deviendrais complètement gaga de lui à force. Je souriais attendant qu'il touche ma chevelure, je savais que mon bandeau pourrait glisser, il le faisait toujours dans des moments pas possibles. Je savais que la tentation serai grande pour lui, je lui donnait l'autorisation de déranger encore plus mes cheveux, toujours en pétard grâce au vent. Un fils, après ma fille ça serait le coup. Je sentais une partie de moi sauter de joie à cette idée, mais je devais ne pas faire des idées. Je le laissais donc me découvrir, c'était beau à voir d'être la cible d'une personne dans ce cas, j'avais envie de le serrer, lui dire que tout allait bien que je pouvais le protéger. Des choses que je disais qu'à peu de personnes, dont mes enfants, une partie de moi, un souvenir de mon passage chez les mortels. Un amour fugace que j'avais vécu avec ces mortelles. Je gardais en tête de fermer mon œil maudis. Il ne devait pas le croiser, même aveugle, je ne voulais pas tester, pas avec lui, ni personne. Je suis dangereux, je le sais, je devais demander à tonton Sexy de baisser cette malédiction, j'avais compris, depuis longtemps, depuis que j'avais perdue cette mortelle que j'aimais.
Re: Melancoly and water ─ pv Io | Lun 03 Nov 2014, 14:30
Melancoly and water
Tu pus percevoir les mouvements de son auras alors qu’il bougeait. Tu n’étais pas certain de ce qu’il se passait, mais attendais tout de même. Tu voulais vraiment toucher, mais tu ne le ferais pas s’il ne voulait pas. C’était un peu ironique tout de même, puisque tu ne demandais rarement lorsque tu voulais toucher. Mais là va savoir. Peut-être parce qu’il était un dieu. Je veux dire, un dieu quoi. C’était complètement différent de l’humain –bizarre, certes, mais humain- que tu étais.
« Roux comme personne sur terre, un roux vif on me voit de loin, pour cela que je me cachais dans la brume. Touche donc, tu trouvera pas plus doux, j'en prends soin. Si ton père est roux, alors il doit un bel homme. »
Tu riais à ses derniers mots. Tu étais tombé sur quelqu’un qui aimait sa couleur de cheveux et la défendait. Ce n’était pas vraiment une chose que tu pouvais comprendre, ne pouvant voir, tu n’accordais pas une grande importance à la couleur des tiens. Sans compter que tu doutais qu’il y ai beaucoup de personnes aux cheveux naturellement bleus. Ce que ça avait put t’attirer comme commentaires et critiques d’ailleurs. Enfin ça, tu t’en foutais particulièrement puisque tu ne voyais pas.
Tu levais encore ta main et l’avançais lentement jusqu’à sentir sous tes doigts la chevelure. Tu plongeais dedans, laissant tes phalanges se mêler aux mèches. Tu suivais leur mouvement, évaluant leur longueur, appréciant leur douceur. Tu caressais doucement, en souriant, essayant d’imaginer leur couleur.
«En effet, c’est tout doux. Pour mon père je ne sais pas. Je ne l’ai jamais connu, il a quitté ma mère avant ma naissance. Quand je demandais à maman, elle me disait que c’était un homme roux aux yeux vert Mais il n’était pas irlandais ou écossais. Bien grec. Avec un œil toujours caché alors qu’il n’était pas borgne. Par contre elle n’a jamais voulu me dire son nom, allez savoir pourquoi. »
Tu lâchais doucement sa main pour aller la glisser elle aussi dans la chevelure. C’était vraiment agréable. Tu parcourais le crâne, descendant sur la nuque, revenant au front. Tu notais la présence d’une pièce de tissus. Pas assez rêche pour un bandage. Foulard ? C’était rare chez un homme. Tu glissais tes mains le long, curieux de savoir ce que c’était.
« Qu’est-ce que c’est ? Pas un foulard…un bandeau… ? »
Tu demandais, incertain. Etrange accessoire pour un homme, mais ça semblait faire le tour de sa tête. Et tu ne voyais pas vraiment ce que ça pourrait bien être d’autre.
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Re: Melancoly and water ─ pv Io | Lun 03 Nov 2014, 15:32
Melancoly and water
Il avait un petite rire qui me faisait sourire. Je regardais tendrement ce jeune homme, une personne privé d'un sens qui me découvrait, la scène d'un point de vue extérieur, devait ressembler à scène intime. Pourtant, je le ne connaissais même pas. Qui je connaissais au fond, au final, pas grand monde. Donc je me laissais touche les cheveux. Pendant ce temps, il me parlait de ce père, qui plus je l'écoutais, plus il me ressemblait. Je retenais un rire quand il disait que j'aurai pu être écossais ou irlandais, des lieux emplies de magie comme cette île, j'aimais voir ce que les mortels ordinaires avaient faits et faisait sur ces lieux où le mystique était roi. Un œil cacher comme le mien, donc cela ne faisait pas de doute que c'était moi ce père absent, encore un de mes enfant dont j'ignorai l’existence, ce qui expliquait mon attachement à lui. Je souriais, il me touchait sans le savoir ce qui le rendait encore plus touchant. Je le regardais, mon enfant, ma main libre, je posais cette dernière sur la joue du jeune homme avec un sourire, caressant doucement sa peau pâle. Puis il tombait sur mon bandeau. J'avais une légère grimace sur le visage. Fichu morceau de tissus qui m'empêchait de profiter pleinement de ses retrouvailles.
-Un bandeau, il cache mon œil, pour la sécurité de tous, je le garde. Je pense que ton père et moi nous sommes la même personne. Navré de ne pas avoir été là pour toi. Les mots sur les irlandais m'as fait rire, oui je suis grec. Cela fait des millénaires que je le suis. Parfois je porte un bandana coloré, mais ce n'est pas le cas actuellement. À mon cou une écharpe, j'en ai tout pleins. Io, tu est un garçon très adorable. A ce demandé ce que tu as hérité de ma personne.
Je riais avant de poser mon autre main sur son épaule, pris d'un élan d'affection, je le serrai contre moi, comme un père le faisait à son fils. C que nous étions au fond, je sentais une part de moi être heureuse, l'autre se sentir coupable. J'aurai tant aimé le voir grandir, c'était déjà un grand garçon, même si ce dernier avait perdu la vue, il serait amené à faire des grandes choses, sinon, il n'aurait pas eu de portail menant ici. Mon enfant était une personne exceptionnelle.Je pouvais être fier de lui. Je me promettais de le protéger, même si on avait de commun, à part ce père qui me ressemblait trop. En tout cas le vent le caressais comme il le faisait avec moi. Ses cheveux bleus se faisant ballotter dans tous les sens. Étonné, mais heureux qu'il soit mon enfant.
-Io, ça ira, je suis là maintenant. Je ne promets pas d'être tout le temps là, mais je te protégerai comme je peux, encore plus si tu est mon enfant, mes fils et mes fille me sont précieux. Je suis peut-être aussi insaisissable que mon élément, mais en cas de souci, je serai là, je t'écouterai et te conseillerai du mieux que je puisse faire.
Re: Melancoly and water ─ pv Io | Lun 03 Nov 2014, 19:16
Melancoly and water
Tu profitais un max de ses cheveux. C'était tout doux, t'adorais ça. Tu aimais toucher les cheveux en général. Un fétiche ? Va savoir. Peut-être que tu aimais simplement les choses douces. Après tout, tu kiffais les plumes d'Edwige aussi. Elle était toute douce elle aussi. Tu sursautais un peu en sentant sa main se poser sur ta joue. Tu ne t'y attendais pas. Pas vraiment. Pas du tout. On te rendait assez rarement ton contact en fait. Ou pas directement sur le visage. Sauf pour les aventures sous la couette. Mais là t'avais pas spécialement envie. Pas que t'amuser dehors te dérangeais, sans compter qu'il y avait la baignoire à côté et le sèche-cheveux devant toi. Mais là nan, t'avais pas envie. Ça te paraissait étrangement dérangeant. Déplacé. Glauque. C'était bizarre.
Bref, tu fus surpris lorsqu'il te rendis ton contact. Surtout en repensant qu'il t'avait dit ne pas être très tactile. Mais tu ne dis rien, profitant de ce contact et continuant de foutre le bordel dans ses cheveux. Tu te fichais un peu qu'un mec arriva et trouve ça bizarre. Ça n'avait rien de bizarre et t'étais bien. Merde au reste.
« Un bandeau, il cache mon œil, pour la sécurité de tous, je le garde. Je pense que ton père et moi nous sommes la même personne. Navré de ne pas avoir été là pour toi. Les mots sur les irlandais m'as fait rire, oui je suis grec. Cela fait des millénaires que je le suis. Parfois je porte un bandana coloré, mais ce n'est pas le cas actuellement. À mon cou une écharpe, j'en ai tout pleins. Io, tu est un garçon très adorable. A ce demandé ce que tu as hérité de ma personne. »
Eh éh. Donc bien un bandeau. Puis après ça, bug. 404 ERROR. NO FOUND SYSTEME. What ? What, what, what, what, what, whaaaaaaaaaaaaaaaaaat ? Tu écarquillais les yeux, même si théoriquement c'était stupide, inefficace et plutôt ridicule. T'étais tombé dans la quatrième dimension, c'était ça ? Qu'est-ce qu'il te racontait le monsieur là ? Il avait sniffé du champignon ou... ? Il riait. Ah bah ça nan, c'était pas spécialement drôle là. Un mec -bon d'accord, un dieu, mais là c'est négligeable- venait de t'annoncer cash comme ça qu'il était ton père itout et ça le fait rire ? Tu voulais bien être un peu con, ne pas réfléchir trop souvent, accepter plus ou moins facilement les choses et ne pas toujours avoir des réactions naturelles et conventionnelles mais fallait pas déconner non plus. D'où est-ce que c'était drôle là ?
Sa main vint se poser sur ton épaule et tu tressailli avant de te faire emprisonner dans une étreinte. Ok. T'étais paumé. On récap' tout depuis le début d'accord ? Un mec -un dieu bordel!- que tu avais rencontré y avait quoi ? Vingt minutes ? Trente ? Bref, pas longtemps quoi, tu serrais actuellement dans ses bras juste après t'avoir annoncé qu'il était ton père comme il aurait annoncé à sa femme « bonjour, je te trompe ! »
…
Bon d'accord. Mauvaise comparaison. Mais vous cernez l'idée quoi.
Ok. Alors, soit ce mec...ce dieu, te disais la vérité et auquel cas tu savais pas trop comment réagir. Soit il te racontais un gros mytho et auquel cas tu lançais Edwige à l'attaque. Soit il était un psychopathe et auquel cas tu flippais grave. Et étrangement, tu savais pas quelle option tu préférais.
« Io, ça ira, je suis là maintenant. Je ne promets pas d'être tout le temps là, mais je te protégerai comme je peux, encore plus si tu est mon enfant, mes fils et mes fille me sont précieux. Je suis peut-être aussi insaisissable que mon élément, mais en cas de souci, je serai là, je t'écouterai et te conseillerai du mieux que je puisse faire. »
Ok, ok, ok, oooooooooook. LA, tu disais stop. Un gros STOP. En gros, en gras, en rouge fluo, en rose paillette, en clignotant, en brillant dans le ciel de la nuit, avec un arc-en-ciel derrière, ce que vous voulez mais STOP. Sérieusement les mec, what the fuck ?
Tu retiras tes mains de ses cheveux et les posais sur ses épaules avant de le repousser doucement. Pas que tu sois contre un câlin, mais là t'avais besoin de prendre un fer à repasser et de tout mette à plat. Bien à plat. Genre crêpe.
« Un instant vous voulez ? Pas que l'idée d'un câlin me dérange, ou que le fait que vous soyez peut-être potentiellement mon père pose problème, après tout ça doit être cool d'être un enfant de dieu, mais...d'où est-ce que vous le sortez ça ? J'veux dire, on vient de se rencontrer, j'ai pas spécialement l'impression que vous me connaissiez avant, et j'ai pas non plus l'impression d'avoir fait ou dit un truc qui vous prouve formellement que je suis bien votre enfant. »
Nan c'est vrai quoi. C'était pas comme si tu lui avais dit le nom de ta mère, ton âge, ton lieu de naissance et d'autres informations de ce genre qu'il aurait put recroiser pour se rendre compte qu'à ce moment-là, à cet endroit-là, il avait fréquenter cette personne-là et que peut-être par le plus grand des hasard il avait mit cette personne-là enceinte.
« Oh et puis sachez que je ne veux pas être surprotéger juste parce que je suis né aveugle. C'est extrêmement désagréable, agaçant, irritant, étouffant, frustrant et plein d'autres trucs en -ant ! »
Fallait pas non plus pousser mémé dans les orties. Non maioh !
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Re: Melancoly and water ─ pv Io | Lun 03 Nov 2014, 20:45
Melancoly and water
Là je me faisais repousser, je devais en avoir trop fait. Je sentais mon cœur se serrer en le voyant si loin de moi, bizarre. Pourtant j'étais du genre à aimer que très peu les contacts, comme si présence à mes côtés changeait la donne. Je soulevais un sourcil. Il parlait, il demandait un moment. Je lui accordais, le câlin ne l'avait pas dérangé. Il voulais des explication, comment j'étais arrivé à la conclusion que j'étais ce père disparu. Je souriais, sa question était légitime, je devais me retenir, c'était à cause de ses peines qui me rongeaient. Il n'avait pas preuve tangible. Je souriais un peu. Il ne voulais pas être protéger, il trouvait ça de trop. Je retenais un rire. C'était un garçon pleins de charme, il me plaisait de penser qu'on était lié par le sang à défaut d'autre chose. Je me grattais le cou, j'étais gêné pour lui, mais aussi pour moi. J'en faisais toujours des tonnes, c'était pire avec mes enfants, je les aimais, je ne pouvais pas lutter contre cela. Une part de moi était fier d'être père. Une aventure avec une mortelle qui avait donné naissance à une nouvelle vie, une belle vie. Je respirai à fond, comment avais-je deviné.
-Je sais, j'abuse, j'aime protéger les gens que j'apprécie. Pour ton lien avec moi, tu as décrit ton père, nous avons trop en commun pour que cela soit du hasard, puis le vent t'aime bien. Il valse autour de toi gracieusement. Je ne te connais pas, je ne demande qu'à te connaître, si tu le souhaites pas, je ne te forcerai pas. Je l'ai jamais fait à personne, j'ai laissé les courants décidé, c'est toi qui a les cartes en main à présent. Après, j'ai cette impression d'être avec quelqu'un que je connais.
J'avais été franc du début à la fin, après il pouvais faire ce qu'il veut, j'ai posé mes armes, il ne me restait qu'à attendre, patienter, voir comment mes explications allaient être prise, après tout, il y a des moments ou je suis tout sauf doué pour les explication, ce n'est pas nouveau, cela ne venait pas de sortir. Je savais que je suis un peu délicat par moment. Je retenais presque ma respiration, mon fils, cela ne pouvait être que ça. Sinon mon élément, comme moi aimait déjà la personne. Le vent est souvent clément, parfois violent. Je regardais la chouette, elle semblait prête à attaquer sous les ordre de son maître, je m'entourais d'une petit vent qui s’intensifiera, je n'allais pas me laisser faire par un oiseau, même si je les adorais plus que tout. Je regardais de mon œil vert ce qui allait s passer.
-Je suis roux et j'ai les yeux verts. Et comme je dit, je suis grec, jusqu'à preuve du contraire. Je n'ai pas pitié de ton handicap, des mortels avec handicap, j'en croise quelques uns, juste que je te trouve adorable dans ta façon d'être.
Je ne regrettais absolument pas mon câlin que je lui avait donné, c'était de bon cœur.
Re: Melancoly and water ─ pv Io | Mar 04 Nov 2014, 09:22
Melancoly and water
Tu l’avais repoussé. Logique. Pour une fois, tu avais une réaction normale. Fallait que tu te calmes un peu, que tu fasses le point et surtout, surtout, que tu digères ça. Ton père était peut-être devant tes yeux –ah ah ah. Peut-être ou peut-être pas. Aaaaaaaaaah, c’était tellement chiant comme situation. Comment t’étais arrivé là déjà ? Ah ouais, t’avais prit un bain involontaire dans le lac, c’est vrai. Tu soupirais doucement en écoutant ses explications. Ou ce qui était censé en être, t’étais pas sûr.
« Je sais, j'abuse, j'aime protéger les gens que j'apprécie. Pour ton lien avec moi, tu as décrit ton père, nous avons trop en commun pour que cela soit du hasard, puis le vent t'aime bien. Il valse autour de toi gracieusement. Je ne te connais pas, je ne demande qu'à te connaître, si tu le souhaites pas, je ne te forcerai pas. Je l'ai jamais fait à personne, j'ai laissé les courants décidé, c'est toi qui a les cartes en main à présent. Après, j'ai cette impression d'être avec quelqu'un que je connais. »
Well. Analysons d’accord ? Tu diras rien pour la première phrase. Qu’il te protège s’il veut, ça te va au fond. En plus être protégé par un dieu c’est stylé quoi. Tant qu’il est pas sur ton dos H24 comme ta mère ça ira. Quoique tu doutais un peu qu’il puisse le faire, il devait avoir du boulot ailleurs, nan ? Bande de fainéants. Description…okayyyyyy. Tu voulais bien que les roux aux yeux vert grec avec un œil pas borgne mais caché ça courait pas les rues, mais quand même… C’était pas un peu léger ? Tu te prenais l’arête du nez entre deux doigts. Était-ce vraiment si léger ? Tu voulais bien avouer que non. Nouveau soupir.
Là maintenant, tu aimerais avoir un portable sous la main pour appeler ta mère et lui dire « allo maman ? Ça va ? Est-ce que tu voudrais bien me dire le nom de papa maintenant parce que là tu vois y a un mec qui s’avère être le dieu grec du vent, de son petit nom Éole, et qui dit qu’il est mon papa. Est-ce que tu peux confirmer s’il te plait ? » Sauf que t’avais pas de portable là maintenant tout de suite sous la main. Et même si tu en avais eus un, tu n’étais pas sûr de pouvoir contacter ta mère. Ô joie et banana split.
Le vent t’aimais bien. Haussement de sourcil –oui, encore un mouvement de faciès inutile mais chut. Oh et puis merde, pourquoi pas ? Explication acceptée. Certes c’était chelou comme justification ça, mais ce mec –dieu- était le dieu –justement- du vent quoi ! Il s’y connaissait forcément plus que toi en courant d’air. Donc son explication était valable voila. Et de toute façon t’en avais marre de t’arracher les neurones. Déjà que t’en avais pas beaucoup, t’allais pas les gaspiller.
Et tes yeux sur son aura ne décelaient pas grand-chose d’étrange. Pas de vagues. Pas d’agitation. Tu ne prétendais pas pouvoir lire assez bien les auras pour savoir exactement quand quelqu’un disait la vérité ou non, quand une personne était heureuse ou en colère, ou triste ou tout plein d’autres trucs. Mais tu réussissais plus ou moins selon toi à interpréter certains changements d ans une attitude. Des vagues. Et t’avais pas l’impression qu’il mente. Son aura restait claire. Et tu commençais à penser que ce mec –dieu- était convaincu de ce qu’il te racontait. Putaiiiiiiiiiiiiiiiiiin.
«Je suis roux et j'ai les yeux verts. Et comme je dit, je suis grec, jusqu'à preuve du contraire. Je n'ai pas pitié de ton handicap, des mortels avec handicap, j'en croise quelques uns, juste que je te trouve adorable dans ta façon d'être. »
Re-hausement de sourcil useless. Ah tiens, depuis quand t’étais adorable ? Qu’on te l’ai dit quand tu étais petit, tu t’en souvenais un peu. Mais depuis que t’avais passé l’adolescence, t’étais plus devenu chiant que resté adorable. Est-ce que par hasard tu étais tombé sur un papa gâteau ?
…
Minute. Tu venais de penser à lui comme à un père là ? J’ai pas rêvé. T’as envisagé sérieusement qu’il pouvait vraiment être ton père ? Oh bon sang. Ok. Un instant vous voulez ? Tu repris ta canne dans ta main, l’agitais un peu en t’éloignant lentement, trouvais un arbre et te frappais violemment la tête contre le tronc. Putain, ça allait mieux. Ça faisait mal aussi. Mais ça faisais du bien. Un peu. Bon. T’étais un mec bizarre, ok. Tu tu réagisses alors bizarrement, c’était pas étonnant, ok. Et là, t’avais vraiment envie de réagir bizarrement. Quoique ce soit déjà fait en fait.
Faire confiance. Accepter. Tu voulais bien…le croire. T’acceptais que ce dieu soit ton père. Au pire tu demanderais confirmation à ta mère quand t’aurais trouver un moyen pour retourner sur Terre. T’avais jamais eus de vrai père, en avoir enfin un était une idée qui te plaisait. C’était pas comme si tu risquais grand-chose de toute façon. Tu te cognais encore un peu la tête contre l’arbre, pour le principe, soupirais profondément et retournais du mieux que tu pus vers le monsieur. Le dieu. Ton père. Peut-être. Nan, pas peut-être.
« Bon, d’accord. C’est parmi les explications les plus chelou que j’ai jamais entendu mais je suis pas très normal de base alors ça me va. Ravi de te rencontrer enfin, papa. »
Ouais. Avec toi ça se passait juste comme ça. Tu hésitas un instant. Faire ou ne pas faire ? Sachant que tu ne voyais rien et que tu risquais potentiellement de te ramasser par terre. Quoique…il devrait te rattraper si tout allait bien. Aller ! Pas d’hésitation à avoir.
HUG ATTACK !!
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Re: Melancoly and water ─ pv Io | Mar 04 Nov 2014, 11:40
Melancoly and water
Ce jeune homme était étrange, original, j'aimais bien les gens qui sortait un peu de leurs carcans. Je souriais en le voyant se diriger vers un arbre, celui-là même où était posé sa chouette. Je la regardais d'un air normal , quand a elle, elle m'envoyait des signaux comme quoi son maître allait faire une connerie. D'un coup, il frappa avec force contre le tronc, j'écarquillais les yeux. Okey, c'était surprenant d'avoir un père divin, mais pas à ce point si ? Il continuait, je tentais tant bien que mal avec le vent de le stopper, génial mon fils est un masochiste. Qu'allais-je devenir si un sale type se jouait de lui ou une femme. Rien que d'y penser j'ai la peau qui me gratte. Il se mit à parler à nouveau, il disait que mes explications était stranges. Il avançait le fait comme il n'était pas normal, il acceptait mes hypothèses. Je soulevais un sourcil. Moi je le trouvais normal, c'était juste mon fils, donc de ce fait à mes yeux, il était quelqu'un d'exceptionnel. Puis il je voyait une ombre d'hésitation dans son regard avant qu'il se jette vers moi. Je le rattrapais avec une once de sourire d'amusement, j'avais un fils qui était presque aussi particulier que moi. Je le errai doucement. J'étais son père jusqu'à ce qu'on prouve l'inverse. Je souriais, mes peines étaient balayées en un instant.
-Moi de même, fiston. Je ne suis pas doué pour les explications. Je suis désolé ne t'inquiète donc pas, je ne surprotégerai pas. Je laisse les gens libre de leur avenirs, les vents sont dirigés par moi, mais ton avenir ne dépends que ce tu en fait. Je suppose que tu as des questions à me poser. Ou non. J'en sais rien, je ne lis pas les pensées. J'ai d'autres pouvoirs, mais pas celui-là.
Je frottais ses cheveux, il était adorable, mais cette idée pouvait le vexé. Je regardais les environs, la brume se dissipait doucement, je ne pouvais plus me cacher, de toute façon, j'étais avec mon enfant, eux hommes se faisant un câlin, c'était juste de l'affection, comme deux frère se retrouvant, un famille se reformant par cette simple rencontre. Comme quoi ma mélancolie peut avoir des côtés positifs. Ma femme allait sûrement être jalouse, mais elle ne pouvais rien faire contre mes enfants, ils étaient dans ma mémoire. Je gardais ces choses à défaut de pas me souvenir de leurs mères, pauvres mortelles. Je suis sûr de les avoir aimé, au moins un peu. Sinon, j'aurai jamais été jusqu'à faire des enfants. Je ne pouvais lui dire de visiter les cieux, tout ce qu'il aurait comme sensation, c'est celle du vent sur lui. Aveugle de naissance, il ne pouvait qu'imaginer les choses.
-Content d'avoir un fils aussi courageux, essaye d'éviter de te cogner aux arbres exprès. Tu perds une partie de tes capacités en faisant cela. Il y a des façons moins radicale pour se remettre les idées en place. Moi je secoua vivement la tête, par exemple.
Re: Melancoly and water ─ pv Io | Mer 05 Nov 2014, 14:16
Melancoly and water
T’avais visé un peu à côté. Juste un peu. Bon là c’était pas grave puisqu’il t’avait rattrapé. Mais t’aurais sérieusement pus te magner la pelouse. Et t’avais jamais vraiment eus un faible pour la salade. Tu t’accrochais à lui en mode koala, quoique tu gardais tes pieds sur le sol. T’aimais bien avoir les pieds sur le sol, c’était plus rassurant.
« Moi de même, fiston. Je ne suis pas doué pour les explications. Je suis désolé, ne t'inquiète donc pas, je ne surprotégerai pas. Je laisse les gens libre de leur avenirs, les vents sont dirigés par moi, mais ton avenir ne dépends que ce tu en fait. Je suppose que tu as des questions à me poser. Ou non. J'en sais rien, je ne lis pas les pensées. J'ai d'autres pouvoirs, mais pas celui-là. »
Il allait pas te surprotéger. Génial. C’était tout ce que tu demandais, plus deux ou trois trucs mais chut. Tu ricanais à la fin de sa phrase alors qu’il te frottait les cheveux. Tu disais rien. T’avais beau avoir 18 ans et être adulte, t’aimais bien parfois qu’on te traite comme un enfant. Surtout qu’au regard d’une divinité qui avait vécue des siècles, tu devais paraître vachement jeune.
Des questions ? Tu réfléchis. Est-ce que tu en avais ? Excepté lorsque tu lui demandais son nom, ta mère avait presque toujours répondu à tes questions à son sujet. Et tes quelques connaissances d’histoire répondaient à peu près au reste de questions que tu pouvais avoir à poser à propos de lui. Et après… ?
« Content d'avoir un fils aussi courageux, essaye d'éviter de te cogner aux arbres exprès. Tu perds une partie de tes capacités en faisant cela. Il y a des façons moins radicale pour se remettre les idées en place. Moi je secoue vivement la tête, par exemple. »
Tu penches la tête. Quoi, ça le gênait que tu t’exploses la tête contre les arbres ? Roooh… Tu fis soudain un grand, immense sourire. Le genre qui indique clairement "attention, je vais dire ou faire une grosse connerie". Et ça ne manqua pas.
« Oh je sais qu’y a d’autres façons, t’inquiète. Y a les murs aussi !! »
…J’avais dit quoi ? Et le pire, c’est que t’étais fier. Si avec ça ton père ne comprenait pas que tu étais taré. Mais pour en revenir à tes questions...
La famille c’était important. Surtout que tu n’en n’avais jamais eut d’autre que ta mère.
« T’as d’autres pouvoirs à part le vent ? Que je sache si c’est de ta faute si j’peux faire des trucs bizarre, même si en fait c’est obligé que ça vient de toi. Ah et je peux toucher ? Parce que concrètement je sais toujours pas à quoi tu ressembles. »
Et ça, c'était un drame.
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Re: Melancoly and water ─ pv Io | Mer 05 Nov 2014, 15:37
Melancoly and water
Il souriait, le genre de sourire qui indiquait que mon fils allait lâcher une connerie, je roulais les yeux. J'avais comme fils, un fou, je regardais ce jeune homme, il lui manquait carrément une case voire même tout un programme, celui de conservation. Il disait fièrement qu'il y avait aussi les murs, mais quel con celui-là, non mais je vous jure. Je me frappais doucement le front. Le crétin des îles. Il demandait si il avait des frères ou des sœurs. Je souriais doucement. Il avait des questions assez normale. Je devais lui répondre, c'était mon devoir, vu que j'étais son père. Puis les pouvoirs, que de questions pour un si jeune homme, après tout je lui avait dit d'en poser. Du coup, il ne s'était pas gêner pour le faire. Puis après il demandait pour toucher, ce gamin était un tactile, vu son handicap, c'est tout à fait normal. Il était curieux, je suis un inconnu pour lui. Je le serait plus pour bien longtemps. Je souriais.
-Tu as quatre demi frère qui sont eux aussi des dieux du vents, tu as une demi-sœur qui est à moitié ange, c'est une jolie comme sa maman. Sinon, j'ignore tout de tes autres frères et sœurs. Ton grand-père, c'est Poséidon, je suis un de ses fils, donc les fils de ce dieu sont tes cousins. Je ne les connais pas personnellement. Tu as grand nombre de grand oncle, le dieu des dieux et une grande tante qui ne faut absolument pas énervé. J'ai des cousines donc je sais pas comment elles sot considérées de ton côté.
Je marquait une pause, cela faisait tellement de choses à retenir que je sentais qu'il avait fallait que je marque la pause en le regardant tendrement. Il était mignon, On était une grande famille. Les divinités étaient tellement nombreuses, le seul lien que j'avais avec cousine mignonne était purement affectif, je l'appelait cousine alors que je n'avais aucun lien avec. Je respirais à fond, je le serrai dans mes bras. J'aimais bien le câliner, c'était une chose que j'adorais faire avec mes enfants. Je posais un regard sur lui. Mes autres pouvoirs. Voilà une bonne question. Je les connaissais que trop bien. Je souriais, vraiment, un enfant curieux que j'avais, il me ressemblait vraiment beaucoup. C'était touchant.
-Mis à part le vent, je peux me téléporter ou je veux et le temps n'a aucune prise sur moi. J'ai un contrôle sur la température, les vents chauds et les vents froid sont la combinaison de ce pouvoir et celui de créer les vents. Je peux aussi influencer la pesanteur, rendre plus lourd ou plus léger un objet. Je peux insuffler des idées aux gens si j'en ai envie, si tu savais combien de mortel j'ai changé la vie en faisant cela. J'ai un marteau, c'est mon arme, il peut changer de taille à volonté.
Je me rendais compte que j'en avais pas mal et cela me plaisait beaucoup, je n'étais pas over cheaté, mais j'avais des pouvoirs de boss intermédiaire.
Re: Melancoly and water ─ pv Io | Mer 05 Nov 2014, 19:57
Melancoly and water
Tu fixais l'aura de ton père avec de grands yeux de bébés chats, trépignant presque en attendait tes réponses. Tu ressemblais vraiment à un gosse dans ces moments-là. Un gosse de sept ans. Nan, pas plus. Si tu n'étais pas accroché à lui, tu serais en train de gigoter dans tous les sens. T'avais toujours eut la bougeotte. T'étais incapable de rester à rien faire, c'était une torture. Mais enfin, il y mit fin.
« Tu as quatre demi frère qui sont eux aussi des dieux du vents, tu as une demi-sœur qui est à moitié ange, c'est une jolie comme sa maman. Sinon, j'ignore tout de tes autres frères et sœurs. Ton grand-père, c'est Poséidon, je suis un de ses fils, donc les fils de ce dieu sont tes oncles. Je ne les connais pas personnellement. Tu as grand nombre de grand oncle, le dieu des dieux et une grande tante qui ne faut absolument pas énervé. J'ai des cousines donc je sais pas comment elles sont considérées de ton côté. »
Des demi-frangins dieux. Des demi-frangins classes quoi. Une demi-frangine ange. Et sans doute pleins d'autres pas identifiés. C'est cool, la famille côté divin. Tu bloquas sur le grand-père. Poséidon ? Le dieu de la mer et tout ça ? Sérieusement ? Ton visage s'illumina. Mais...mais...mais...C'ETAIT TROP GENIALISSME !! Et apparemment t'avais aussi pleins d'oncles, sans doute aussi pleins de tantes. Des grands-oncles...Zeus ? Zeus, en grand-oncle ? Seriously ? Et si tu te rappelais bien de tes cours d'histoire -putain c'est fou ce qu'ils servent en fait-, Poséidon c'était aussi le frère d'Hadès... Oh. Mon. Dieu. C'était juste...tellement classe comme famille. Là ton visage n'était plus juste éclairé, il générait carrément paillettes et étoiles. Cette famille. Etait. Trop bien. Géniale. Topissime. Et même s'il s'avérait qu'ils étaient en fait des gros salauds tu t'en foutais comme d'un guigne. C'était classe. Point.
Grande-tante susceptible...C'était pas Héra ça ? Nan parce qu'il te semblait qu'Hestia était plutôt sympa globalement et que Déméter, tant que tu touchais pas sa fille ça allait. Ouais, donc note à toi-même. Pas fâcher tata Héra. T'étais peut-être masochiste, mais pas suicidaire. Nan mais.
« Mis à part le vent, je peux me téléporter ou je veux et le temps n'a aucune prise sur moi. J'ai un contrôle sur la température, les vents chauds et les vents froid sont la combinaison de ce pouvoir et celui de créer les vents. Je peux aussi influencer la pesanteur, rendre plus lourd ou plus léger un objet. Je peux insuffler des idées aux gens si j'en ai envie, si tu savais combien de mortel j'ai changé la vie en faisant cela. J'ai un marteau, c'est mon arme, il peut changer de taille à volonté. »
Yep. Ton papa il était classieux lui aussi. Immortalité, c'est cool. Bon, ça t'étais sûr de pas l'avoir. Dans tes souvenirs, les demi-dieux ça crevaient assez régulièrement. Téléportation...nan, t'espérais pas l'avoir, ça t'aurait servit à rien. Température, vent, pesanteur. C'était classe, c'était cool, mais t'avais pas l'impression d'en avoir hérité. Nul. Influence. Influence. Influence... Illumination.
« Ah !! Alors c'est grâce à toi que j'arrive à convaincre les gens qu'ils sont des cookies !!! »
Oui, tu l'avais déjà fait. Et c'était juste drôle. Voir, ou plutôt écouter les gens se prendre pour des cookies, c'est tordant. Bon concrètement ce pouvoir tu l'utilisais surtout pour sauver ta peau en cas de conflit et squatter chez les gens parce que personne voulait employer un aveugle et donc t'avais pas de pognon pour te trouver un appart tout seul. Donc tu squattais en vil parasite chez des gens pas toujours d'accord à la base.