Je regardais le raton, très enjoué, ce dernier disait qu'il était dans une réunion d'alcooliques anonymes bien que je ne buvais presque jamais d'alcool. A part peut-être le saké et encore. Son nom était Shizoku et ce mec était un voleur. Heureusement, j'avais rien de précieux, à part mon arme. Au moins on pouvait savoir qui était qui, déjà ça c'était très bien. Mais bon, ce n'est pas ça qui va arranger nos affaires. Surtout qu'on menait l'enquête. Le détective semblait trop affairé pour s'occuper de ce voleur, puis il pourrait être utile, être voleur nécessitait des habilités en dehors des miennes. Je souriais car malgré tout ce qui se passait et le danger permanent, j'étais comme fou, l'adrénaline montait en moi. Le danger était comme une pulsion électrique. Je ne pouvais m'en défaire tant que j'étais plongé dans l'inconnu, mon arme à la main. Je pouvais mourir à tout instant Il espérait des plans du raton. Donc moi je n'était qu'un faire-valoir dans cette aventure très dangereuse. L'homme d'âge mûr ordonna d'ouvrir les caisses de pinard. Je penchais la tête avant de comprendre que les caisse étaient censée contenir du vin. Mais l'ordre qu'il nous donnait en disait bien plus qu'il le croyais, il devait avoir des trucs louches là-dedans, en tout cas je n'aimais pas, mais vraiment pas l'odeur. Il ajoutait même que nous échapper, nous précipitera que notre mort. Donc je découpais le sommet de la caisse avec ma lame, satisfait de son tranchant. Je m'approchais de la caisse et posait les sac de chose blanche qui puaient sur la table, ça devait être de la drogue, je me jurai que j'en ferai un massacre si un membre de ma meute y touchait. IL faudrait remonter et affronter d'autres types, comme si ils se multipliaient en silence dans le noir. Il fallait trouvé des armes de feu, pas pour moi, seul mon katana a grâce à mes yeux, mais pour les deux autres. Je continue à mettre les sachets sur la table jusqu'à la caisse se vident entièrement par mon action. Je devais passer à la prochaine. Je tenais mon arme et ouvrait une autre.
-Je ne veux pas de ce truc qui pue, ni d'arme à feu, je ne suis pas un tueur, ni dealer. Mais si je suis menacer, je pourrai égorger quelques types de ma lame affûtée. Sur ce point monsieur en m'ayant de votre côté vous gagné un allié qui se bat plutôt bien.
Puis je sentais un vampire, mon maître en un, je reconnais leurs odeurs parmi tant d'autres. Je serrai mon arme, cette fois, je pense pas qu'il soit agréable à vivre, sachant que la haine raciale encré dans nos sangs devait pas être agréable à vivre pour cette personne. Son rire emplissait la pièce, je ne le voyais pas avant de sentir un souffle froid sur ma nuque. Je me retournais, mon arme en main, les joues rougies. Il devait être bien quelque part, je suivais son odeur, un peu de ce truc qui pue, du sang, beaucoup de sang, loin de mon maître qui buvait que par obligation, bien sûr il aimait ça, mais bon. Il préférai de loin regarder le soleil couchant avec son affilié félin. J'avais un sourire. Les vampires sont des gens cools aussi, au diable les préjugés. Ce n'était pas cela qui changera ma vie. Je pouvais voir sa silhouette se découper, dangereusement sexy. J'en frissonnais un peu.
-Bon on fait quoi maintenant ?
Je posais la question pour savoir la suite, c'était bien d’entreposer du bric à brac sur la table. Il reste un problème. Comment allait-on sortir de cette situation sans en mourir, je n'avais pas peur d'un vampire, il n'était pas aussi habile que mon maître, donc je pourrai le vaincre, tout était question de courage et de bon vouloir, je sortirai vivant de ce lieu. J'aurai des choses à raconter à mon maître. Je ne savais comment il le prendrait, les combats forment la jeunesse, c'est ce qu'il dit parfois. Mon maître est un sage. J'avais du boulot pour l'être aussi, mais il m'avait dit aussi d'être moi-même, de ne pas me mentir. Je ne reculerai pas devant cet adversaire, ni aucun des suivants. Je suivrais cette route jusqu'à ma mort, elle arriverai bien trop tôt pour que je disent tout ce que j'avais sur le cœur.
CODAGE PAR CALI' POUR ATSUO. PAS COPIER MERCI. ♥
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Re: ACTE 0 / Cry Wolf | Mer 20 Aoû 2014, 11:46
❝ Cry Wolf :
Comme un Mage, un Voleur ne dévoile jamais ses tours ❞
feat : Ryan Peterson & Atsuo F. Kazuki
Embarqué dans cette aventure, tu ne savais pas trop où trouver ta place, surtout que tu étais entouré de deux Loups. L'un semblait expérimenté dans la force de l'âge et l'autre un peu simplet mais ça pouvait être amusant. Oui parce que même si ton coté animal n'aimait pas vraiment ce qu'il se tramait en ce moment, ton coté démoniaque, au contraire, s'excitait. Enfin, pour le moment, il fallait que tu sois sur tes gardes. Puis, savoir que le jeune Loup était apprenti dans un restaurant japonais te faisais une belle jambe. Enfin, en même temps, tu ne pouvais t'empêcher d'être excité, c'était comme ça :
« C'est sûr que si tu es aussi doué avec ton arme, tu dois faire des miracles avec un couteau à découper le poisson ! Si on s'en sort, faudrait qu'on se fasse un repas ensemble ! Après l'apéro ce serait logique !»
L'excitation sûrement et peut être un peu la peur – même si tu essayais de ne rien laissé paraître – te faisais raconter ces choses assez étranges, surtout dans de telles circonstances mais tant pis. Tu entendis l'ordre du Loup plus âgé vous disant d'ouvrir toutes les bouteilles de vins qui, apparemment, n'en contenaient pas. D'après le louveteau – Atsuo – ces caisses contenaient plutôt de la drogue. Pour un voleur comme toi ce serait peut être un nouveau filon ! Enfin, tu devais plutôt calmer ta joie car le Loup plus âgé – Ryan – te demandais si tu avais pas quelques tuyaux à lui filer car apparemment, la plupart de ces plans étaient tombés à l'eau. Jouant le type mystérieux, tu répondis en secouant la tête :
« Malheureusement, je suis contraint de refuser. A l'instar d'un Mage, un Voleur ne dévoile jamais ses plans d'actions. J'aurais trop peur d'avoir de la concurrence déloyal et, vu votre expérience, je ne pourrais pas faire le poids alors je suis navré mais je vais devoir vous laisser dans l'ignorance »
Et oui c'était comme ça. Tu ne voulais dévoiler tes plans d'actions à personne, surtout que tu volais par plaisir mais aussi, quelques fois, notamment quand tes victimes avaient des objets de valeur, tu pouvais les revendre pour en tirer de l'argent alors... Peut être que cette substance blanche, cette drogue... Tu étais tiraillé. D'un coté, c'était tentant car ça pouvait te rapporter de l'argent mais, d'un autre coté, tu allais pourrir l'existence des gens qui consommeraient cette merde. De plus, les ennuis continuaient apparemment car tu pouvais sentir différentes odeurs. Notamment celle d'un vampire et tu te eus vaguement la pensée que les Loups n'allaient pas apprécier cette présence. Puis Atsuo demanda quoi faire. Tu l'ignorais également. Ça grouillait en haut et il fallait que vous remontiez. Tu ne pus retenir ta personnalité démoniaque plus longtemps :
« Mais c'est facile ! On a qu'à foncer dans le tas ! Ça doit être simple pour quelqu'un qui manie l'arme non ? Puis je peux vous aider. J'ai d'autres tours dans mon sac même si je ne suis qu'un Raton-Laveur. En plus ça me plairais assez de montrer mes compétences à d'autres »
De nouveau tu souris mais tu parus un peu plus différent que le gentleman de tout à l'heure. Tes yeux brillaient d'excitation pure alors que tes mains s'embrasaient violemment de flammes vertes. Hybride Raton-Laveur d'accord mais en ce moment, tu étais bien en « mode Démon »
Je m'étais montré clair, de par ce monologue. Et j’attendais la réponse du raton-laveur avec impatience. Je pourrais savoir, à ce moment-là, si il était, ce que j’appelai "un chien de Skyworld" ou non. Et je n'en n'attendais franchement pas moins de sa part :
« - Malheureusement, je suis contraint de refuser. A l'instar d'un Mage, un Voleur ne dévoile jamais ses plans d'actions. J'aurais trop peur d'avoir de la concurrence déloyal et, vu votre expérience, je ne pourrais pas faire le poids alors je suis navré mais je vais devoir vous laisser dans l'ignorance
- Oui, je te comprend, tu ne veux pas de concurrence, c'est pas grave, si t'as besoin d'aide un jour, ben... Disons que tu trouveras rapidement le nom de Mickaïl Buttler. »
Mickaïl Buttler. Qu'est-ce donc ? Mon nom de scène. Simplement. Cela a été prouvé. Un hybride a pour définition un esprit simplet, s'il né sur ces terres maudites, et retiendra le nom qui l'intéressera le plus. Buttler n'était autre que mon nom de criminel. J'avais détesté les chiens de Skyworld, aussi rare soit-il, j'en étais un. D'ailleurs, il pourrait très bien utiliser mon nom, Peterson en premier. Je ne suis pas l'homme le plus connu, mais je ne suis pas un détective de pacotille. De toute façon, il saura à quoi se tenir, si nos chemins se recroisent un jour. Et j'y compte bien, dans tous les cas. J'aurais plus besoin de lui que de ce cuistot idiot avec qui... Je mangerais sans doute des sushis un jour.
Cela me permettait également de voir si notre ami commun et présent, au voleur et à moi-même, était dans le droit chemin. En effet, lui, avait l'air catégorique. Jamais il ne toucherait à cette saloperie de sa vie. C'est vrai, cela puait, c'était infâme, pire que le poisson. Et Dieu sait que je déteste le poisson. Non, au moins, lui, n'était pas un criminel. "Mais il sait que tu es détective, lui. il peut bluffer, non ?". Non. En au moins 30 ans de carrière, je sais reconnaître quelqu'un qui bluffe ou non. Les seuls que je ne démasque que très peu sont bien souvent... ben, les joueurs de poker. Mais ça encore, c'est autre chose.
Outre cette odeur immonde de cocaïne, d'héroïne, et même d'amphétamine que mes deux compagnons trouvaient petit à petit, un nouvel ami allait se joindre à moi. Ouvrant lentement les yeux, encore sonné, et ma pince à la main, je le regardais d'un air de dire "bien dormi ?", mais comme vous savez que je ne suis pas salaud à ce point, je me suis juste contenté de le réveiller avec un sachet de coke de 1kg dans la gueule, avant de laisser tomber le sachet par terre, à moitié ouvert, laissant ainsi de l'argent qu'il aurait pu avoir tellement facilement si je n'étais pas venu. Ça le réveillait.
Ce qui était fascinant avec les vampires, c'était la robustesse et la puissance qu'ils possédaient, et voir à quelle vitesse ils pouvaient vous mettre à terre. Généralement en moins d'une dizaine de minutes, vous étiez mort. Ce qui l'était encore plus - même si en vrai, c'était finalement plus amusant qu'autre chose -, c'est à quel point ils pouvaient être lâche et tout avouer quand ils n'étaient pas en position de force, à quel point ils étaient faibles et sans une force. L'homme se réveillait lentement, et mon cher familier s'empressa de lui mordre le doigt afin de le réveiller. Micks avait le chic pour faire chier le monde. Je crois que c'est pour ça que je l'apprécie autant, à certains moments. Surtout le matin, quand je suis en retard. Mais passons.
Devant lui, je pouvais sentir son souffle, et sa respiration pourrie, et saccadée. Puis, j'entendis les deux zigotos derrière moi, parler :
« - Bon on fait quoi maintenant ?
- Mais c'est facile ! On a qu'à foncer dans le tas ! Ça doit être simple pour quelqu'un qui manie l'arme non ? Puis je peux vous aider. J'ai d'autres tours dans mon sac même si je ne suis qu'un Raton-Laveur. En plus ça me plairais assez de montrer mes compétences à d'autres
- Pour l'instant vous la fermez, et vous me laisser parler à ce gus. Je sais très bien comment les gens en haut comptent se positionner, pas vous. J'en ai pour une quinzaine de minutes, pas plus. »
Il me regardai, me défiait De son regard argenté, avec lequel j'aurais pu le tuer, il se prenait pour le plus malin. J'utilisais ma pince dans le vide, commençant à faire pression sur lui. Sa tenue me rappelait tous les pires souvenirs que je ne pouvais oublier. Ses ongles longs, il tentait de se libérer tant bien que mal. Plantant un bout pointu de la pince dans sa cuisse gauche, et le retirant tout de suite après, il avait l'air décidé de se calme. Ses cris. Jouissifs, si j'avais pu le dire. Ils provoquaient en moi une certaine extase que je ne pouvais masquer ne serait-ce que par un rire plus sordide que je n'avais jamais sorti.
« - Mon ami. Depuis le temps que je veux te parler... Est-ce que tu sais ce que tu as pu me faire endurer, avec tous tes collègues ? Tu n'es pas seul. Vous n'êtes pas seul. Qui ? Je veux tout savoir. Tu as un quart d'heure. Ta fin est proche. Abrège. Je saurais tout dans ces dossiers, mais je veux ta version.
- Crève »
Puis du sang arriva sur ma tronche, ce dernier provenant de sa douce bouche de pute. Les choses allaient se corses. Ma pince dans la main, il perdit peu à peu, tous ses doigts. Mais pas que ceux des mains. Je m'étais également occupé de ses pieds. Plus pâle qu'un vampire, c'était dur de trouver. Là, ce n'était même plus un cachet d'aspirine que j'avais devant moi, c'était... Bizarre.Il me regardait, et malgré la dose de coup de poings dans la tronche que je lui avais filé en pleine tronche, il ne parla qu'au bout d'une bonne trentaine de minute.
un coup sur la joue gauche, pui celle de droite. Je le voyais, bleu, en sang, il n'en pouvait plus. De la pitié s'alimenta dans son corps, et il n'en pouvait plus. « Épargnez-moi » tentat-il en vain d'exprimer. J'entendais son appelle, mais ô grand jamais je ne l'aurais épargné. Micks, presque terrorisé, et ne voulant voir ceci, me demanda quoi faire. Je lui donnait une grenade que les deux gus avaient trouvé, n'ayant que faire de leurs sarcasmes, et je laissais Micks la poser là où je lui avait dit de le faire. Me retournant vers mon nouvel ami qui se décida enfin à parler, et à me donner quelques détails, je sortis mon pistolet en souriant, et en lui disant :
« - [color#331200=]Merci de m'avoir parlé, mon ami. Voici ta récompense[/color]. »
Il ne voulait que ça. Mourir. Il me suppliait de l'achever. Puis, je me mis à rire le plus fortement que possible, et je me mis à lui tirer deux balles dans les genous, pour qu'il souffre, mais qu'il ne meurt pas. Me retournant, rangeant mon arme, et laissant une grenade près de la table, je regardais mes deux vrais compagnons. Je pris les dossiers, accrochant la grande au sol, accrochant un fil d'une certaine longueur au monte-charge, histoire qu'elle explose et détruise tout, une fois que l'on sera en haut.
« - Shizoku, prend ce que bon te semble. J'ai pris de l'argent, tant qu'à toi, mon ami loup, et bien... Prend ce que tu veux, ou rien, mais préparez-vous. Tant qu'à toi, cher ami vampire, je te remercie pour tes précieuses infos, mais ne compte pas sur moi t'épargner dans la joie et sans souffrances. Oh que non. »
Micks me regarda en m'indiquant où il avait placé la grenade à l'étage. Je commençai à activer le monte-charge, puis je me mis à regarder mes deux amis.
Le raton refusais de donner son truc au vieux loup, c'était comique de voir qu'un voleur et un détective pouvait coopérer en toute tranquillité, comme quoi ce ne pouvait qu'arriver dans les films mignon de Logan ou les livres anciens du maître, j'espère qu'il ne les ouvrirait pas avant un moment. J'avais corné certaines pages pour reprendre la lecture plus tard. Qui plus est les livres avait l'odeur du maître. Déçu, il le laissais cependant se montrant très compréhensif, il avait donc un nom pour se cacher comme les espions, si c'est pas cool. Je vis une grande aventure, dangereuse certes. Mais une aventure tout de même. L'odeur de la drogue resterai vraiment de ma mémoire, ça puait, ça embrumait mon cerveau, il n'était pas bon d'en respirer et me voici en train de le faire, sans le faire exprès, mais tout de même. J'espérais seulement que je n'aurait pas droit aux conséquences. Pour ce qui était du vampire, il se trouvait vite face à de sacrés difficultés, le vieux loups l'avait maîtrisé sans que je m'en rende compte, mah c'était tant mieux dans un sens, mais je me demandais bien comment il avait fait. J'ai tout de même deux vampires dans mon entourage, je les adorais plus que tout, ma meute. Il avait intimé l'ordre de nous taire, je restait interdit, sérieusement cet homme avait un truc lui aussi, à moins qu'il ai le même pouvoir que moi et j'aille remarquer rien de son petit manège, tout était possible. Le vampires se mettait à crier, c'était horrible, en avoir à mes côtés devait avoir rendu ce genre de choses désagréable à mes oreilles, si ça avait été Riku ou Logan, non et non. Je ne permettrait pas une telle chose, c'est innommable. Il l’interrogeait de façon bien plus musclé, finalement je préférai mille foi Basil à cet homme. Le vampire se faisait tirer de dessus, l'odeur de son sang emplissait mes narines, je me promettais que ça aussi, je ferai tout l'éviter, ne jamais présenter les vampires de ma meute à cet homme, jamais. Il demandait à Shizoku de prendre ce qui lui semblait bn, moi il était hors de question que je prenne quoique soit de cet endroit qui pue. Je retournerai au dojo et je prendrais ma douche, bien glacé pour disparaître ces odeurs. J'étais prêt à me battre pour me sortir de ce guêpier, car finalement, vivre une aventure n'était pas que positif. Il grimpais sur le monte-charge. Je grimpais à mon tour sans faire plus de procès, je prenais rien, j'emporterai avec moi ce pauvre vampire torturé. Je voulais tellement revoir le maître, le serrer, me rassurer qu'il était bel et bien vivant.
-Je ne prendrais rien de cet endroit horrible, pauvre vampire, j'ai beau être un loup et les détester au fond de mon âme, je n'aime pas qu'on fasse du mal au gens pour rien.
Au moins je l'avais dit et l'air de rien ça me faisait du bien, je ne cautionnais pas ce genre d'acte, rien qu'à voir ce vampire se traîner, j'avais mal au cœur, mais c'était un méchant, je ne devais pas l'aider et ce malgré mon envie. Cela me faisait mal. J'aurais du mal à l'oublier, cette drogue pouvait être utile pour oublier, mais je tomberai jamais dans ce genre de travers. Je resterai clean comme disent les gens parfois. Il sourit quand même, en voyant de vampire avait quoi pour abréger ses souffrances, je ne voulais pas voir ça, franchement, sur ce coup, le vieux loup est bien moins classe, j'étais un peu dégoûté , mais l'adrénaline que je ressentais depuis un moment était toujours présente. Il ne me restait plus que faire ce qu'il voulait, car se barrer à mi-chemin, n'est pas mon genre, malgré mon côté un peu cool, je pouvais être déterminé, sinon je ne serai pas aussi fine lame et ça l'air de rien, c'était vraiment quelque chose dont je pouvais être fier. J'étais loin de me douter ce que l'avenir me réservais mais voir le maître et travailler semblait une priorité. Je pouvais sentir la plaque de métal sous mes pieds, il y n'a rien faire je préfère être les deux pieds sur le sol, je n'ai pas le vertiges, mais j'aimais le contact de la terre sous mes pieds. C'était une communion entre la nature et moi. Je lâchais un petit soupir.
-J'espère que je sentirais plus ce genre d'odeur, je n'aime vraiment pas.
Loin de me douter que mon avenir me confronterai peut-être à ce genre de chose, j'en frissonnais de dégoût.