Je vis le bras de Ciel monter vers un chateau brillant en plein milieu de la ville.
- Là-bas, c'est ce grand palais de cristal...Il faut aller là-bas. Je ne veux pas mourir...Il avait soufflé tout cela. Sa seconde partie de phrase me fit froid dans le dos. Je ne laisserais jamais plus quelqu'un mourir en ma présence. Je courus aussi vite que je le pouvais. Je lachais quelques gémissements car ma cote me faisair souffrir énormément. Je l'entendis tousser et le vit s'essuyer sa main. Il fallait faire au plus vite.
Je sautais, je courrais. Même Rohjka avait du mal à suivre. J'arrivais dans le palais et les médecins furent appelé. On déposa Ciel sur un brancard et ils l'emmenèrent. Je m'effondrais de fatigue. Ils me mirent sur un brancard malgré mes protestations et m'emmenèrent dans une salle différente de Ciel. Je ne le voyais plus mais un homme se présenta comme un médecin mage. Il tâta mon thorax et signala que j'avais une cote salement amoché qui commençait à faire trop de dégats. Non, il croit. Il s'excusa, mais pas le temps de m'endormir pour soigner car j'avais été assez folle pour porter le jeune hommes sur mon dos. Je ne pus réagir à la pique puisque Deux infirmières se couchèrent sur moi. Il me dit que cela allait faire mal et il mit ses mains sur mes cotes.
La douleurs fut tel que je ne pus même pas hurler. Si c'était pour faire ça, autant me les laisser casser.
On m'emmena dans une pièce et on me dit de ne pas bouger. On me prévint qu'elle était réparée mais les os était le plus douloureux à soigner. J'en avais pour 2 semaines de douleurs. On me donna une boite d'anti-douleurs et on m'injecta un puissant médicament. J'attendis un moment avec la tête de mon loup sur mes jambes. J'avais refusé le lit pour m'asseoir sur le siège. L'infirmière vint me voir pour savoir si je n'avais besoin de rien. Je répondis que je voulais manger mais je devais attendre Deux heures car les médicaments devait être assimilé par corps. Je ralais un peu mais attendis.
Mon ami arriva sur son lit. On l'avait endormi durant l'opération. Donc lui on l'endort et pas moi?? la sur le coup, je ralais un peu.
Il se réveilla enfin et regarda le plafond. Ensuite, il me regarda et parut soulagé. Il regarda son bras et sa perfusion. Une infirmière vint par après et nous annonça qu'on pouvait partir une heure plus tard. Ce qui me choqua, c'est qu'il pourrait déjà enlevé ses bandages, plus rien ne serait visible. Je voulais le voir pour le croire.
- Az, ça va mieux ? Après qu'on soit rétabli, on ira manger. Je meurs de faim.- Oui, sauf que je m'en sors un peu moins bien que toi, j'en ai pour 2 grosses semaines de douleurs. Et moi, on ne prit même pas le temps de m'endormir pour me soigner.Je le dis sur un ton un peu enjoué afin de ne pas l'inquiéter mais je ralais toujours sur ses médecins. Je déteste toujours les médecins et je ne le cachais pas. J'avais faillit mordre l'autre imbécile.
Je laissais Ciel se reposer et je m'allongeais sur le lit au final. Ma cote me gênait et je savais que si je n'avais pas d'anti douleur, la douleur reviendrait en force. On vint enlevé la perfusion et la bandage à Ciel. On ne voyait plus aucune trace de l'attaque. Je fut très étonnée ce qui fit rire l'infirmière.
Je pouvais enfin aller manger. Je sautais du lit et fit une grimace. La vieille infirmière me remonta les bretelles et je ne fit aucunement la fière.
Maintenant que j'y pense, tu n'as pas encore de foyer. On va voir si on peut te trouver une chambre dans ce palais. Tu m'as aidé à sortir de la forêt, je dois tenir mon marché.Bon je voulais pas habiter un chateau mais dans mon état, je ne devais pas faire la difficile.
Je reçu une petite chambre mais qui était pour moi. Il paya sans même connaitre le prix total. Il semblait riche et ne pas faire attention. Il regarda ses vêtements et je fis de même. J'avais tout de même quelques vêtements avec moi mais je ne pouvais me changer sans une bonne douche. J'étais pleine de sang et puait l'ours ensanglanté.
- Je t'invite à te nettoyer chez moi. Tes habits sont en mauvais état.Je ne dis pas non. Mon ventre gargouilla et espérait qu'il propose de manger un petit truc chez lui. Je n'étais pas difficile, un os à moelle pouvait même faire affaire si jamais. Tant que je mangeais un peu. Mais manger comme Je l'étais, ce n'était pas poli du tout.
Rohjka s'amusait beaucoup de mes réflexions internes. Je n'y prêtais pas attention. Je ne pensais qu'à suivre Ciel dans ce dédale de couloirs. Je revoyais mon combat avec l'ours et analysais ses attaques. Il avait été un ours très intelligent. Les animaux devait être spéciaux ici.
Il s'arrêta devant une porte et me l'ouvrit. Il me fit signe d'entrer
[Suite du Rp
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