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 Freedom of sunshine {Chizuru}

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Freedom of sunshine {Chizuru} | Dim 26 Mai 2013, 02:19

« Freedom of sunshine. »


Chizuru & Héra

La ville des fleurs, la déesse du mariage. Tu marchais doucement dans un champ magnifiquement fleuris de cette ville dans laquelle tu n'allais que très rarement. À croire que la grande déesse de l'olympe n'avait aucun intérêts autres que ses devoirs de déesse, mais ça n'étais pas complètement vrai. En même temps, les humains n'avaient jamais vraiment créer en toi une curiosité, ils étaient complètement sans importances. Le soleil n'était pas encore levé et tu marchais déjà pieds nus dans les champs de fleur qui tapissaient entièrement le sol ; ce paysage était magnifique. Tes pieds s'enfonçaient dans l'herbe à chaque nouveau pas que tu faisais, les yeux fermés tu laissais le vent venir à toi sans le repousser. La chevelure dorée que tu possédais se transportait dans les vagues que ce vent créait en cette fraîche matinée. Le froid ne t'agressait pas, ni même la petite brise qui secouait tes vêtements ; une belle robe blanche qui saillait parfaitement ton corps. Un rayon de soleil perça finalement l'horizon dorée, tandis que tu te glissais fesses contre terre. Longtemps tu ne t'étais pas abaissée à ce niveau, mettre les pieds sur terre, cette terre que vous aviez jadis construite pour arrêter les dévastations humaines. Vous vouliez que cette race cesse de chasser ce qu'ils ne connaissaient ni ne comprenaient, ça a d'ailleurs toujours été à cause de cette manière de pensée que ta pitié envers ces êtres s'est effacé. Tu regardes le soleil, droit dans les yeux avec un sourire aux lèvres ; cette astre est sans doute le plus éblouissant de tous. Ce n'est pas la première fois que tu te lèves au aurores pour l'observer se lever, grandir dans le ciel et dépasser les horizons. Tu ne descends que très rarement de ton palais divin, c'est là où tu te sens respectée et bien à ta place, tu ne déroges presque jamais des habitudes. Tu te lèves, tu te baignes, la déesse Iris vient te rejoindre et vous passez une majorité de la journée ensemble, elle est l'une des personnes que tu ne peux nier apprécier. Aujourd'hui, tu es sur l'île, dans un champ de fleur - fleurs qui vont surement laisser des marques sur la robe blanche que tu portes à ce moment-là. Ils laisseront la trace de ton passage dans un monde autre que le monde parfait d'où tu viens. Les douces mèches blondes qui tournent autour de ta tête te donnent l'air d'un ange, la brise qui se déverse dans celles-ci les rendront sans doute indomptable, mais pour le moment, ça n'as pas l'air si mal. Tu fermes les yeux et te concentre sur les mouvements qui se passent autour de toi, la ville commence à s'éveiller et il serait bien temps pour la déesse que tu es de regagner ton château. Les gens n'ont plus l'habitude de te voir parmi eux, seule la statut au panthéon peut prouver que tu existes encore - ils croient en ce qu'ils ne voient pas, mais détruisent ce qu'ils ne comprennent pas. Cette manière détestable de voir les choses sous un seul angle, sans tenter de s'imaginer les autres. Une présence qui s'approche, tu ne te retournes même pas, les yeux fermés. Comme si tu avais besoin de te retourner pour savoir à qui tu avais affaire, une petite fille de ce que tu peux percevoir. Disparaître ne serait pas très poli, et vu la politesse que tu exiges de ceux qui t'entourent, tu restes là.

Fille d'Hadès, hein. Un léger sourire étire tes douces lèvres tandis que tu ouvres finalement les yeux.

« Tu peux approcher. »

Elle était loin d'avoir peur, mais tu avais cette force qui se dégageait dans ton aura, ta voix reflétait un once seulement de toute la force et la puissance que tu pouvais déployer. On savait lire dans le ton de ta voix, que ça n'étais pas seulement des affirmations, mais que toutes les paroles qui sortaient de là était des ordres a exécuter. Tu n'avais pas l'air de la femme forte que tu étais en ce moment, assise au milieu de fleur multicolore, et tu te forçais même à calmer ta voix, qui se valait habituellement beaucoup plus stricte et froide.
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Anonymous
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Re: Freedom of sunshine {Chizuru} | Mer 29 Mai 2013, 00:43


Freedom of sunshine

Héra & Chizuru
Il y avait des moments où l’on se demandait si tel ou tel avait un lien de parenté avec nous, où l’on se demandait si on avait un lien avec une personne que l’on ne connaissait gère. Pour Chizuru, être parenté à une personne qu’elle ne connaissait pas du tout ne la surprenait pas, car après elle est la fille du Dieu des enfers et ne le connait même pas. Comme vous le savez s’en doute, les non-clairvoyants du temps ne savent pas du tout à quoi s’attendre dans un futur proche ou présent proche, il en valait de même pas la jeune Okami qui ne s’attend pas du tout à ce qui comptait se passer ce jour-là. Cette fois-là, Chizuru se promenait accompagné de son fidèle affilié Yoki comme toujours. En sortant des montagnes, la jeune okami entendit des habitants qui parlaient d’une ville qui se trouvait dans les pleines. Bien qu’au départ, elle n’y prêta pas attention, le fait d’avoir entendu le mot « fleuri » l’intéressa totalement. Pour Chizuru, une ville pleine de fleurs avait surement des marchands de fruits en ses rangs. En vérité cette ville du nom de Chloris qu’elle entendu, l’intéressait pour manger des fruits et surtout des pommes. Sous l’attente du lapin blanc à lunettes, la jeune okami vint vers les personnes et ce fut avec étonnement qu’elle demanda gentiment le chemin. Devant les compliments et les indications donnés par les habitants, mais surtout les compliments au sujet de Chizuru, Yoki en fut presque choqué, si bien qu’il en faillit perdre ses lunettes. Suite à cela, ils partirent vers la ville fleuri qui d’avoir des paroles, fut fondée par la Déesse des moissons, Déméter. Bizarrement, ce nom sonnait dans la tête de la jeune okami comme si elle connaissait cette personne ou divinité plutôt, pourtant elle ne l’avait jamais vu. Ce retrouvant dans les plaines, Chizuru se trouvait à l’entrée de la ville de Chloris. Rien que de la voir de l’extérieur était impressionnant, Yoki qui était sur la manche du maillet de la jeune okami qui se trouvait à son dos, descendit pour se retrouver au sol. Ses pattes avaient l’air de ressentir une sorte de confort, chose que Chizuru ne comprit pas vraiment. Quand ils s’infiltrèrent dans la ville, la jeune okami trouva en un rien de temps son marchand de fruits, au moment de se diriger vers lui, Yoki l’interpela. Il lui rappela que l’argent de la Terre devait surement être différent de celui d’ici, mais comme à son habitude, elle n’écouta pas et tenta quand même de payer en yens. Ce fut encore surpris que le lapin blanc vit le marchand accepter de prendre l’argent en disant d’un grand sourire qu’il le convertirait plus tard, décidément il y avait quelque chose d’anormale aujourd’hui. Pourtant, quand il fouilla dans les pensées de sa liée, il n’y avait rien de bizarre ou presque, elle n’avait pas de mauvaises idées pour le moment. Sans trop calculer son lié, Chizuru entama son sac de pommes tout en avançant prudemment, car rappelons-nous que la jeune okami est une petite maladroite. Pendant sa marche, Chizuru se sépara légèrement des quelques bâtiments pour se retrouve près d’un champ de fleurs où une odeur l’intrigua subitement. Ce n’était pas l’odeur des fleurs, c’était plus forte, c’était inhabituel mais familier à son odorat. C’est alors qu’en tournant son regard vers la position de l’odeur, elle entendit :

« Tu peux approcher. »

Cette voix venait d’une femme aux cheveux blonds, elle se situait au même endroit que cette odeur qui reflétait la puissance, alors c’était elle ? Sur le coup, Chizuru tourna les paroles dans tous les sens avant de comprendre qu’il s’agissait pratiquement d’un ordre, mais pour qui ce prenait-elle la Blonde ?! Laissant son sac de pommes à terre et son maillet géant sous les regards de son lié, elle le laissa derrière elle et s’avança lentement vers la jeune femme. Puis à un mètre d’elle, la demi-déesse tourna étrangement autour de cette dernière qui se trouvait assise, les odeurs étaient plus fortes que tout à l’heure, elle n’avait pas à faire à une personne dite « normal » dans le sens de l’île. Elle s’arrêta soudainement en face d’elle, croisa les bras sur sa poitrine et déclara le plus normalement possible :

"Je ne fais pas ce qui me semble être un ordre, mais ma conscience a décidé autre chose."

Cette femme semblait sûre d’elle, car ses yeux furent fermés pendant un temps. Si bien que ses paroles attaquèrent la conscience de la jeune okami. Chizuru avait l’impression que cette femme ne lui avait pas donné cet ordre pour rien, ce n’avait rien d’une sorte d’autorisation où autre. Alors Chizuru se posa en tailleur sur le sol et tout en bougeant les oreilles, elle déclara :

"Vous n’êtes pas le genre de personne qui s’adresse à n’importe qui, que me voulez-vous au juste ?"
By Tchii




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Re: Freedom of sunshine {Chizuru} | Mar 11 Juin 2013, 13:22

« Freedom of sunshine. »


Chizuru & Héra

Il y avait tout d'anormal rien qu'avec le fait que toi, reine des dieux, tu te sois rabaissée a venir poser tes fesses royales sur le sol des non-dieux. Tu n'as jamais vraiment eut rien en particulier contre eux, mais ils te sont d'un ennuis mortel même face à ton immortalité. Alors, assise dans ce parc à fleur, tu ne regardes rien. Tu laisses ton corps se régénérer de cette odeur de fleur particulière à cette ville que tu ne visites que très rarement. Habituellement, tes journées sont consacrées aux problèmes des autres, à d'autres dieux. Aujourd'hui est une journée pour la déesse Héra, une journée où cette dernière pourra faire ce qu'elle souhaite sans contradiction à ses propres principes. Tu dois t'accorder plus de ce genre de temps, même si tes confrères doivent se demander où tu te caches en ce moment. Tu reviens à la situation qui t'entoure, aucun sourire au visage, les deux yeux clos. Tu sens l'énergie de la demi-déesse circuler autour de toi, jusqu'à ce que t'ouvres les yeux pour la regarder se planter juste devant ta personne. Elle n'est vraiment au courant de rien cette petite, ne reconnait-elle pas la grande Héra ? Tu ne fais surement pas assez peur pour que l'on te reconnaisse dans la rue, ils n'ont pas l'habitude de te voir toi, tandis que ton époux... Non. Tu retiens cette énergie qui tente de s'émaner de toi avec puissance, puis tu prends une grande inspiration en reposant ton regard sur l'adolescente aux oreilles difformes. « Je ne fais pas ce qui me semble être un ordre, mais ma conscience a décidé autre chose. » Tu continues de la regarder sans vraiment avoir de réaction ; en même temps, est-ce que cette situation mérite vraiment une réaction de ta part ? Semblerait-il que non, puisque tu ne bouges pas jusqu'à ce que la fille d'Hadès dépose son postérieur magique en face de toi. Tu n'as même pas eut besoin d'insister cette fois pour qu'on obéisses un peu aux ordres que tu avais donné. C'était une première pour ces êtres inférieurs, peut-être certains avaient-il assez de classe pour comprendre que ta force leur était supérieur et que dans un claquement de doigt tu pouvais les détruire ? Avec l'accord du reste des douze dieux, mais passons. « Vous n’êtes pas le genre de personne qui s’adresse à n’importe qui, que me voulez-vous au juste ? » Un mince sourire étira tes lèvres tandis que tu reposais ton regard sur la demoiselle qui, comme toi, finirait sans doute par tâcher ses vêtements aux couleurs des fleurs présentes.

« Je ne m'adresse pas à n'importe qui, je m'adresse simplement à ceux qui ont les capacités pour me comprendre. » dis-tu simplement.

Tu attrapes une fleur du bout des doigts et la regarde, puis souris à nouveau devant ce que cette île est devenue. En même temps, il ne fallait pas s'attendre à autre chose, vous aviez créer cette île pour que les créatures puissent y vivre en paix. Enfin, la paix ne dure jamais bien longtemps. Tu laisses doucement la fleur retomber avec ses jumelles avant de relever les yeux vers l'enfant assise juste là.

« Quel est ton nom, fille d'Hadès ? À moins que tu préfères que je continue de te prénommer fille d'Hadès ? »

Tu te doutes bien qu'elle n'aime pas particulièrement son paternel, comme chacun des enfants mi-dieux de chacun des dieux existants. C'est une malédiction que d'avoir des enfants demi-dieux. Ils finissent tous, par un jour, détester leur parent de ne pas avoir été présent, alors que ton mari, dieu de la foudre, à instaurer cette règle et l'a enfreint du même coup. C'est bon pour les autres, mais pas pour lui. Cette fois, tu n'arrives pas à retenir l'élan de ton énergie qui se répands autour de toi comme une vague dans l'océan, persécutant la majorité des trucs qui t'entourent. Les fleurs se balances un peu sous cette puissance, mais tu te ressaisis assez rapidement, puis ce manège cesse, tandis que tu reposes ton regard sur la demi-déesse, elle est toujours dans la même position d'ailleurs. Tu prends un légère inspiration avant de la regarder droit dans les yeux et d'attendre une réponse de sa part, son regard te fait un peu penser à celui de son père n'empêche, ça fait déjà un long moment que tu ne lui as pas rendu visite et ça n'est pas demain la veille que ça changeras. Les enfers sont son Olympe, le tien est le vrai. Tu aimes ton monde, tu ne déroges presque jamais de la routine, même après autant d'années, bien que ta situation amoureuse fasse des vagues énormes sur tes habitudes. Un mois avec lui, une semaine sans lui. Tu calmes les battements de ton coeur et lève les yeux vers le ciel avec un léger sourire.

« Je réitère ma question ou tu l'as bien comprise ? » demandes-tu en regardant toujours le ciel d'un bleu platonique.

Lors de tes moments sur l'île voir même sur la terre, tu dois t'empêcher volontairement de penser à ton mari qui est la seule cause à une vie imparfaite. Hors de cela, la routine dans laquelle tu es plantée ne serais pas détournée, mais c'est loin d'être la vie parfaite que d'être avec le dieu de la foutre et bien que votre amour puisse surpasser chacune des épreuves de la vie, c'est plus difficile que ça ne le semble. Tu l'aimes, ne comprends-t'il pas que tu ne le laisseras jamais à une autre ? Il faut croire que non. Tu reposes ton attention sur la jeune femme, un léger sourire aux lèvres.
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Re: Freedom of sunshine {Chizuru} | Sam 15 Juin 2013, 20:46


Freedom of sunshine

Héra & Chizuru
Suite à sa question, s’en suivi un mince sourire de la part de la jeune femme aux cheveux blonds. Cette dernière intriguait beaucoup Chizuru qui avait l’impression de la connaitre et pourtant… Elle ne l’a connaissait pas c’était sûr et certain.
 
« Je ne m'adresse pas à n'importe qui, je m'adresse simplement à ceux qui ont les capacités pour me comprendre. »

Dit avec une telle simplicité, elle semblait vraiment sûre d’elle et cela plaisait bien à la jeune okami. Alors comme ça, elle ne s’adressait qu’à ceux qui pouvaient la comprendre. Où voulait-elle en venir au juste ? Chizuru était en capacité de la comprendre alors, si ce fut bien ce qu’elle avait pu comprendre. Les yeux de la jeune okami furent rivaient sur une fleur que la jeune femme laissa tomber au sol, elle avait attrapé juste après ses précédentes paroles en souriant de nouveau.

« Quel est ton nom, fille d'Hadès ? À moins que tu préfères que je continue de te prénommer fille d'Hadès ? »

La jeune okami se figea soudainement face à cela, la première pensée qui venue fut celle-ci : « Comment le sait-elle, c’est impossible ! ». Le fait qu’elle a prononcé le nom de son paternel laissa partir un léger grognement de la part de Chizuru. Elle n’allait pas dire qu’elle le haïssait, bien au contraire, mais il y avait toujours une chose qui obligeait une demi-divinité à détester son parent divin. Hadès, la jeune fille n’avait pris que son côté sadique, on pouvait même dire qu’elle l’avait un peu remixé à la sauce des Ketsuiki. Pourquoi n’arrivait-elle pas à supporter d’entendre « fille d’Hadès » ? Tout simplement parce qu’il ne l’avait pas reconnu en tant que fille et que de ce fait, elle avait passé sa vie à ce faire traiter d’enfant « batard ». Si bien que cela eu un impact dans sa personnalité qu’elle seule connait. Pour garder son envie constante de s’amuser, elle passait par le sadisme, elle embêtait son monde, elle faisait preuve de maladresse no stop. Mais ce fut la première fois depuis qu’elle connait sa nature de demi-divinité que Chizuru ressentit l’envie de le détester plus que tout. En y repensant, la jeune femme savait surement des choses, et si elle avait un lien avec les divinités  par exemple ? Ce fut en sentant son énergie devenir de plus en plus impressionnante que Chizuru eu un déclic et la jeune femme exclama :

« Je réitère ma question ou tu l'as bien comprise ? »

Elle regardait le ciel, sous forme de question sa ponctuation ressemblait à un ordre. Elle semblait retenir son énergie et pourtant son odeur était beaucoup forte à l’odorat de Chizuru pour qu’elle puisse cacher son identité. C’est alors que Chizuru la regarda et déclara finalement :
 
"Je me serai bien passé du fait que l’on me nomme « fille d’Hadès ». Je me nomme Chizuru et vous ? Vu votre odeur, vous êtes une divinité, mais laquelle "
 
Quelle question idiote, cette femme était pourtant l’une des rares divinités que Chizuru connaissait grâce à sa mère, mais son nom l’échapper. Puis claquant subitement des doigts, elle s’éclaffa :
 
"Mais oui, vous êtes la grande Héra c’est bien sûr !"
 
La déesse du mariage et la Reine de toutes les divinités, la jeune okami la connaissait bien en effet. On pouvait même avouer que Chizuru fut plus ou moins prise d’admiration pour elle lorsque sa mère lui parler de quelques mythes grecques. La jeune okami avait donc la magnifique Héra sous ses yeux, la souriant encore et encore. Décidément, cette femme n’était pas la Reine d’Olympe pour rien. Chizuru la regarda de nouveau et se mise à la sourire.
 
"Vous êtes plus impressionnante que dans les descriptions de ma mère, je dois avouer que je vous admire." 
By Tchii


[hors RP: Pardon pardon pardon, je veux pas que tu sois fâchée, j'y plaisantais T.T. Du coup rien que pour toi, j'ai griller mon mode réponses chronologiques et je t'ai fais passé avant tout le monde D8 (sachant qu'il y avait un rp devant celui-ci)]




Anonymous
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Re: Freedom of sunshine {Chizuru} | Mar 18 Juin 2013, 20:18

« Freedom of sunshine. »


Chizuru & Héra

Le mot Hadès quitta tes lèvres et tu sentis les battements du coeur de la jeune femme devant toi s’accélérer. Non, elle ne semblait définitivement pas l'aimer plus qu'il ne le fallait ; exactement comme à peu près tous les demis-dieux existants. Tu n'avais jamais entendu l'histoire d'un enfant demi-dieu qui adorait son parent divin, de cette cause, tu étais particulièrement heureuse de n'avoir eut que des enfants divins, et encore. Lorsque tu reportas finalement ton attention sur l'enfant d'Hadès, tu recomposas ta question dans ta tête, peut-être n'avait-elle pas comprise le sens de ta phrase, et dans ce cas, tu ne passerais pas une minute de plus à ses côtés ; non, tu ne parlais pas aux personnes stupides, qui n'étaient pas aptes à comprendre tes paroles. Tu ne t'abaissais pas à leur niveau, jamais. « Je me serai bien passé du fait que l’on me nomme « fille d’Hadès ». Je me nomme Chizuru et vous ? Vu votre odeur, vous êtes une divinité, mais laquelle » Un bref sourire éclaira ton visage, tandis que toi, ô grande déesse du mariage, tu regardais à demi-divinité avec cet air de défi au visage. Tu ne faisais pas partie des déesses cachées que personne ne connait, on se comprends, tu es la reine de l'Olympe, il n'y en a pas deux comme toi. Aussi hystérique, aussi impatiente, autant dictatrice, mais ô combien aimé de tous - peut-être pas de tous, mais de la majorité. Ne serait-ce que tu les diriges par la peur qu'ils ressentent en ta présence, tu n'en a rien a faire, tant qu'ils te respectent. La jeune femme claqua des doigts, attirant du même coup ton regard dans sa direction, tandis que tu souriais toujours en coin - oui, parce que les vrais sourire, ce n'est pas particulièrement ton genre. « Mais oui, vous êtes la grande Héra c’est bien sûr ! » Là, tu te contentas d'acquiescer avec ce même sourire toujours attaché à tes lèvres tandis que tu restais silencieuse, tu n'étais pas fervente des paroles en l'air qui ne servent à rien.

« Bien joué. » lâchas-tu avec de reprendre le silence.

Qu'aurais-tu pus dire de plus à cette réplique ? À peu près tous les êtres vivants connaissaient ton existence, alors tu voyais mal pourquoi la gamine du dieu des enfers ne la connaîtrait pas. Elle devait connaitre que les bons côtés que tu avais vu l'air qu'elle faisait, Chizuru ne devait même pas songer que tu avais ruiner la vie de nombreuses femmes après qu'elles soient passé par les bras de ton époux. Certaines personnes réussissaient à comprendre que prit d'un tel amour pour le dieu de la foudre tu veuilles le garder auprès de toi, d'autres pensent simplement que tu es une folle pour tous les actes que tu as posé. Réellement, ces femmes n'ont que ce qu'elles méritent après tout. La demoiselle releva la tête dans ta direction et te fis un sourire, tu n'étais plus habitué à ça. Tu ne passais jamais ton temps, ni sur l'île, ni sur la terre, tu restais enfermé dans ton château divin où tu étais respectée et écoutée - presque toujours. « Vous êtes plus impressionnante que dans les descriptions de ma mère, je dois avouer que je vous admire. » Cette déclaration te fit sourire, un vrai comme y'a cent ans que tu en avais fais un. Si tu avais l'apparence de ton âge, peut-être que ce simple mouvement t'aurais fait craquer ton visage de porcelaine, mais ça n'était pas le cas.

« Je suis certaine que ta mère t'as dressée un portrait de moi hors du commun, beaucoup de gens embellissent la réalité, chère. Il ne faut pas croire tout ce que l'on entends, Chizuru. »

Rien que son prénom entre tes lèvres sonnait faux, depuis quand ne t'étais tu pas adressé à quelqu'un d'humain qui ne te craignait pas ? Des lunes, déjà. Tu restes là avec un sourire à la regarder en te demandant ce que sa mère lui a raconter sur les dieux, en fait, tu te demandes si les enfants divinités savent pourquoi leurs parent divin n'apparaissent pas dans leurs vies.

« Si je peux me permettre cette indiscrète question, comment se passe la vie sans un de ses parents ? Je veux dire, tu n'as pas une très belle image de ton père à ce que j'ai ressentis et je me demande pourquoi ? »

Question, pas question. C'est vrai que tu n'as jamais vraiment perdu de temps à tourner autour du pot, tu as une réputation de femme directe, qui ne mâche pas ses mots. Tu te posais cette question, tu l'as posé point à la ligne. Tu doutes que la jeune femme refuse d'y répondre, tu es Héra. Elle t'admire qu'elle a dit, alors elle répondra sans doute. Tu plonges ton regard dans le sien en attendant sa réponse, tu attends aussi de percevoir ce qu'elle ressent comme sentiment avant de te prononcer sur tes doutes, c'est simple de comprendre une personne lorsque l'on peut percevoir aussi facilement ses sentiments. Les tiens, un peu plus chauds a déchiffrer pour les non-divinités, sont habituellement camoufler par l'énergie que tu dégages.  
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    Ne t'en fais pas. Je ne t'en veux pas.




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Re: Freedom of sunshine {Chizuru} | Sam 29 Juin 2013, 14:02


Freedom of sunshine

Héra & Chizuru
Cette femme était bel et bien Héra, Chizuru avait donc vu juste. Elle n’en connaissait gère un rayon sur les divinités, mais Héra était bien une des rares qu’elle connaissait.

« Je suis certaine que ta mère t'as dressée un portrait de moi hors du commun, beaucoup de gens embellissent la réalité, chère. Il ne faut pas croire tout ce que l'on entends, Chizuru. »

Chizuru la regarda en penchant la tête sur le côté, il était vrai que les mythes étaient parfois grossis a leur paroxysme. Mais bon, l’imagination des humains étaient immense après tout, on ne pouvait savoir ce qui était vrai ou faux. Il y n’avait qu’à voir tout ce qu’il était capable de sortir sur une personne qui ne leur semblait pas du tout normal comme la jeune okami. Mais elle s’en fichait toujours de ce que les gens pensaient d’elle, quel impact cela pourrait avoir sur la fille d’Hadès après tout ?

« Si je peux me permettre cette indiscrète question, comment se passe la vie sans un de ses parents ? Je veux dire, tu n'as pas une très belle image de ton père à ce que j'ai ressentis et je me demande pourquoi ? »

Cette question surprit plus ou moins la jeune okami, elle cligna plusieurs fois des yeux avant de se rendre compte qu’elle allait avoir du mal à y répondre. Qu’est-ce que cela faisait de passer sa vie sans un de ses parents ? Pas grand-chose pour la jeune okami, mais il y avait toujours ce sentiment de dégout envers ce genre de chose. C’était tout de même bizarre que Chizuru ait décidé d’haïr son père sans savoir pourquoi, peut-être que c’était la nature qui obligeait les demi-dieux à être comme ça. La jeune okami appuya ses coudes sur ses jambes et posa son menton sur ses mains, elle regarda la jeune femme tout en étant encore dans ses pensées. Elle décida tout de même de lui répondre de manière totalement calme.

"On ressent qu’il manque quelque chose dans notre vie. Quand je voyais un enfant avec son père et sa mère, j’me demandais si j’en avais un et si c’était le cas, qui était-il."

Elle n’avait répondu qu’à la moitié de la question, elle comptait répondre à la suite lorsqu’elle serait sûre de sa seconde réponse. Héra se demandait pourquoi Chizuru n’avait pas une super image de son père, en n’y repensant, la divinité ne semblait pas avoir connu ce problème avec ses descendances. La jeune okami pensa alors qu’elle n’avait pas eu d’enfant demi-dieu et que tous ses enfants étaient de véritable divinités tout comme elle. Chizuru plaça sa queue sur ses jambes en enlevant ses coudes et commença à caresser cette dernière, elle faisait souvent cela pour ce détendre et il n’y avait qu’elle pour comprendre comment.

"Je ne sais pas non plus pourquoi j’ai une mauvaise image de mon père, c’est surement parce que je ne lui pardonnerai jamais pour sa présence fantôme."

Chizuru se mit soudainement à penser à la vie d’Héra, elle aussi elle avait surement des choses intéressantes dans sa vie. La vie d’une divinité pourrait être assez enrichie en y pensant.

"Dites-moi un peu, et la vie d’une Divinité c’est comment ?"
By Tchii




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Re: Freedom of sunshine {Chizuru} | Mer 03 Juil 2013, 14:27

« Freedom of sunshine. »


Chizuru & Héra

Empathie. Merveilleux don. Heureusement, tu es doté de cette capacité spéciale qui te permet de ressentir les sentiments des gens avant même que ceux-ci n'en exprime quoi que ce soit. Aujourd'hui, ce don sert beaucoup plus qu'autre fois, quand les gens discutaient. Tu regardais attentivement la fille d'Hadès, cherchant dans ses yeux le moindre sentiment que tu pourrais tirer de ces prunelles rouges. Cette demoiselle semblait ressembler d'avantage à son paternel qu'elle ne le laissait transparaître aux premiers abords. « On ressent qu’il manque quelque chose dans notre vie. Quand je voyais un enfant avec son père et sa mère, j’me demandais si j’en avais un et si c’était le cas, qui était-il. » Un bref sourire apparaissait maintenant sur tes douces lèvres, tandis que tu observais toujours la jeune demi-déesse. Tous les êtres dans son genre ressentait cette haine profonde envers leur parent divin, et ce, grâce au dieu qui se trouvait être ton époux.

Oui, les règles sont bonnes pour tous, sauf lui.

Tu regardes la jeune femme sans grande réaction, tu ressentais qu'elle avait autre chose à dire, elle ne t'avait pas complètement répondu. Patiente ? Jamais, mais tu n'avais pas spécialement envie de brusquer cette magnifique journée que tu passais pour une fois sur l'île, à faire connaissance avec les sentiments qu'une demi-déesse peut ressentir, ça faisait différent des problèmes des divinités. Très différent. « Je ne sais pas non plus pourquoi j’ai une mauvaise image de mon père, c’est surement parce que je ne lui pardonnerai jamais pour sa présence fantôme. » Ton sourire apparût à nouveau sur tes lèvres, tandis que tu observais toujours la jeune femme devant toi. C'était ça, ce problème, cette règle qui avait été imposé aux dieux par Zeus. Non, ils n'étaient pas au courant il faut croire, ils ne savaient pas que le plus puissants dieu de l'olympe en avant décidé ainsi, supposément pour la survie de tous. En même temps, qui rendait cette règle heureuse ? Personne. « Dites-moi un peu, et la vie d’une Divinité c’est comment ? » Tu penchas légèrement la tête sur le côté en réfléchissant à l'éternité que tu vivrais encore, à t'engueuler avec zeus, à régler des problèmes humains dont tu n'avais strictement rien à faire. De temps en temps, c'était blasant cette vie, mais à d'autres occasions, c'était excitant.

« C'est différent pour chaque divinités. La mienne ressemble beaucoup à une de vos montagnes russes. Ce n'est pas toujours simple. » dis-tu en haussant légèrement les épaules.

Ça ne semblait pas être spécialement la réponse qu'elle voulait, m'enfin. Tu ne voulais pas parler de ta vie, ce n'était pas spécialement important.

« Il est toujours là, même si tu ne me croiras pas. Je suis persuadée qu'il pense à toi. »

Tu n'ajoutes rien, parce que ce n'est pas nécessaire. La « loi » de zeus est formelle, on ne rencontre pas ses enfants demi-dieux. Pour quelles raisons ? Parce que la vie est faite ainsi. Il décide, on obéis. Ça fonctionne habituellement avec les autres dieux, mais toi tu as une tête de mule. Tu ne voulais pas parler d'Hadès, tu n'étais pas là pour ça, mais tu ressentais le besoin de lui dire que son père n'était pas seulement qu'un sans-coeur, qu'il pensait - forcément - à ses enfants, du moins, tu essayais d'y croire très fort. 
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